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Flashback 1624

[1624 – Foret de Fushia – 6h17]

C’était une autre journée d’entrainement ordinaire qui allait bientôt débuter. Le soleil venait de ponter le bout de ses énervants rayons dorés, les oiseaux gazouillaient un chant mélodieux à ça venue et Vandale ne ronflait plus depuis un petit moment déjà. Il s’était réveillé sous le craquellement de l’un de ses pièges dans la forêt. Probablement un petit animal, un rongeur inoffensif ou une autre bête qui était tombé dans l’une de ses trappes ce qui lui apporterait assez de viande pour un repas. S’était déjà une bonne chose de régler, avant même de s’être levé, encore mieux. Mais aujourd’hui ce n’était pas pareil, en se retournant contre le grand tronc d’arbre creux qui lui servait de garde-manger, vandale compta sans faute douze petite ligne graver dans le bois dénuder de l’arbre. Douze semaines d’entrainement sans signe de vie humaine, sans contact amical ni rien pour passer le temps. Que de l’entrainement pur et dur, chasser et chasser puis pêcher et manger. Le tout dans le but précis de devenir plus fort, mais jusqu’à présent les résultats n’était pas très concluant. V avait beau chasser avec de lourde pierre, son corps était déjà assez fort, la question n’était donc pas là. Aujourd’hui il devrait trouver une nouvelle façon de s’améliorer, sinon il se promit à lui-même qu’il retournerait en ville pour demander un peu d’aide.

Ça lui pris un bon moment ce jour-là pour daigner se lever, lui qui généralement se dépêchait pour partir en chasse, mais encore une fois un pressentiment l’envahissait, comme si la pluie allait s’abattre sur toute la forêt sans crier gare. Il se retourna d’abord sur le dos, puis passa un moment à regarder le mouvement des feuilles, ensuite se fut aux braises de son feu, il les regarda comme si sa vie n’avait plus de sens, c’est à se moment précis qu’il décida de se lever. Et hop direction la rivière. Il faut s’avouer qu’il avait été chanceux de trouver ce petit coin de paradis perdu. Son territoire comme il aimait l’appeler, était constitué du grand arbre de tout à l’heure, gigantesque et tout creux en son centre, se qui en plus du feuillage lui conférait une réserve et un endroit sec ou dormir quand le temps ne permettait pas un repos à la belle étoile. Ensuite, près de l’arbre unique végétal dans un rayon de dix mètres dus à la coupe à blanc effectuer par notre heureux bucheront improviser, on retrouvait un gros rocher deux fois grand comme Vandale et une petite rivière et pour finir, quelques pièges de fortune emplissaient les environs pour aider le jeune homme dans sa cueillette de viande.

La rivière était froide ce matin-là, mais la surprise elle n’était pas au rendez-vous. Malheureusement, elle tournait toujours autour de cette froideur, quand ce n’était pas pire merci mon dieu. Comment les poissons pouvaient survivre dans tout ça, s’était un mystère encore inconnu, mais il y en avait assez pour en manger aussi souvent qu’il le voudrait. Le lit de la rivière était sinueux, mais n’avais pas plus de deux embranchements en général, ce qui permettait d’installer quelques filets sans toutefois amasser assez de poisson pour attirer les bêtes sauvages. Quant à sa profondeur, certain endroit était évidemment bien pire que d’autre, mais dans se coin si pas plus d’une cinquantaine de centimètres de profondeur. V débuta ça routine habituelle, frottant derrière les oreilles en premier puis  il pouvait ensuite laver les cheveux et se qu’il pouvait atteindre de son dos, mais quelques choses d’autre ne tournait pas rond. Il se demanda un bon moment si le tout n’était pas un blague, mais non il en déduit qu’il ne s’était pas tromper. Directement en face de lui, de l’autre côté de la rivière, un homme ou un humanoïde semblait attacher en croix et quasiment nu contre un arbre. Le pauvre devait être inconscient ou malade, car il ne semblait pas démontrer aucun signe de vie.

Sans perdre une seconde, le géant aux cheveux blanc s’élança à la rencontre du maltraité, puis plaça deux doigts sur sa gorge. Parfait, il était en vie. Même si le rythme cardiaque perçu n’était pas le plus endiablé qu’il ait pu compter, l’homme n’était pas en danger de mort. V défit les liens et se saisit de l’homme pour le rapporter en un meilleur emplacement. Son petit coin de paradis fut de grand secours, comme la peau de l’inconnue était froide, Vandale l’installa dans ses couvertures et redémarra le feu avant d’aller fouiller dans ses réserves pour trouver quelques choses à se mettre sous la dent. Tout en agissant, il ne put s’empêcher de juger son invité. Il était pour le moins, étrange de voir un homme comme lui, son corps semblait délimiter en deux parties bien distinctes, l’une blanche comme un œuf et l’autre noire comme la nuit. Ses cheveux étaient d’un vert tout aussi inquiétant, mais qui était-il pour juger un homme à la couleur de sa pigmentation, lui qui était depuis toujours blanc de partout.

Un restant de poisson fumé et un peu de lièvre atterrirent sur le feu en moins de temps qu’il n’en fallait pour crier au loup, puis l’odeur fit son effet. Le pauvre homme cligna des yeux, révélant des pupilles d’un jaune tout aussi anormal que le reste de son anatomie. Et bien pensât V, pour une surprise se matin, j’ai trouvé le gros lot.

- Hé mon gars, comment te sens-tu ? Tu me sembles bien amocher toi ?

C’est sur un ton amical qu’il lui donna d’un geste réconfortant une petite tape sur l’épaule et qu’il lui offrit ensuite sa gourde, un peu d’eau fraiche l’aiderait à revenir à lui. L’homme la saisit aussitôt et la porta à sa bouche apparemment assoiffée. Bordel, combien de temps avait-il été ligoté ? Si près de lui en plus sans qu’il ne s’en rende compte… Peut-être que les champignons qu’il avait cueillis la veillent n’était pas si frais ou si normal en fin de compte…

- Ne t’inquiète pas mon ami, tu es en sécurité ici, d’ailleurs je suis Vandale, mais mes amis m’appelle V. et toi comment te nomme-tu ?

V était terriblement intrigué par se nouveau compagnon, comment était-il arrivé ici, pourquoi et tant d’autres questions lui brulait les lèvres, mais il ne dit rien de plus, pas pour le moment, de peur de l’effrayer ou de l’empêcher de raconter son histoire.
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D'autres idiots. Des simples crevures incapables d'une quelconque compréhension. Faut vraiment être une bande de congénitaux pour oser s'en prendre à Double Face… Si seulement tu pouvais te souvenir de leur visages… Si seulement tu pouvais dès maintenant te lever et courir te venger.

Mais non, ils t'ont bien pris par surprise, ces connards profitant d'une permission bien arrosée. Seul dans une ruelle, légèrement groggy, t'en a vu de toute les couleurs faut dire. Qu'ils t'aient roué de coups, frappé avec des bâtons ou d'autres armes contondantes, c'en est presque normal. Toujours ça a été comme ça, et ce n'est pas ton petit grade ridicule qui empêchera ceux qui te déteste de continuer de te faire du mal.

Qu'est-ce que tu fais dans cette clairière? Bonne question. Qui c'est celui-là? Bonne question. Mais tu sais aussi bien que moi qu'il ne te touchera pas plus longtemps.
Dégagement rapide de la douillette qui t'recouvre, une poigne d'un noir d'encre lui saisit le cou à la vitesse d'un serpent. En moins d'une seconde, tu l'as plaqué au sol et l'y maintiens par le cou sans qu'il ne puisse rien faire.

C'est là enfin que tu trouves ce que tu cherches chez ce colosse aux cheveux blancs. Ce regard. Autant tout à l'heure semblait-il intrigué, autant maintenant il comprend ce que tu es. Tu n'es pas simplement anormal, tu es un monstre.

Et c'est cette constatation que tu peux lire dans son regard surpris et apeuré.

-Vandale hein? ça n'a rien d'amical, rien d'enclin à la discute, juste un menace poussée dans un avertissement de mort. Et comme pour prouver cette intention que tu laisses présager envers cet homme dont tu ne sais rien, tu serres ton poing blanc haut dans les airs, braqué vers son visage. Un mouvement brusque, et tu lui en mets une. Tu lui en mets une comme tu en aurais flanqué à n'importe qui d'autre.

Aucune considération, seulement la violence pure et simple de l'animal traqué.

Peut-être même que ce Vandale est avec eux? Avec ces troufions qui t'ont amené dans cette clairière? Peut-être qu'ils n'ont pas terminé de se moquer de toi? Une seule façon d'le savoir.

-J'suis Oswald "Double Face" Jenkins. J'te laisse une minute pour m'expliquer c'que tu fais ici et comment j'suis atterri ici. Si la réponse me convient pas, tu meurs. Compris?

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La situation, bah elle devenait plus ou moins étrange. Au début, l’inconnue ne démontre aucun signe de vie apparente semblais abattue par le cruel destin de la vie et de l’intolérance, puis soudain, il saute sur qui ? Sur son sauveur, le bon et gentil Vandale. Étrange spécimen que cet homme divisé en deux. Mais Vandale n’est pas le genre de type qu’on domine facilement, il faut avouer qu’il était rapide et que l’effet de surprise s’était emparé de la place un brin. Ça ou simplement que V n’avais pas ressenti le besoin de se méfier du demi-chocolat au lait... Dans tous les cas, se marbré là, il l’enfourchait comme un vulgaire animal, le menaçais et l’avais déjà frappé. De bon petit coup dans la fraise, sans aucune raison apparente, juste la dose parfaite pour vous réveiller un homme. Mais V n’était pas insulter, choquer ou quoi que se soit du genre. Il était au contraire très compréhensif, ce mec venait de vivre un enfer et voilà que la première personne qu’il trouvait était gentille avec lui ? Savait-il au moins ce qu’était la gentillesse ? Son côté sombre lui donnait l’impression d’avoir vécue la guerre les tueries et pire encore, alors qu’étrangement l’émotion dégager par son autre côté elle était beaucoup plus paisible. Se gars devais en avoir vue de toutes les couleurs… peut-être n’était il pas habitué de vivre simplement sans jugement ou sans préjuger, mais V était bien placer pour espérer le comprendre, il est vrai que son corps à lui n’était pas peinturer ? Tatouer ? Diviser en deux ? Mais ses cheveux avaient toujours su attirer l’attention et il avait par le passé détesté cette phase de sa vie.

-J'suis Oswald "Double Face" Jenkins. J'te laisse une minute pour m'expliquer c'que tu fais ici et comment j'suis atterri ici. Si la réponse me convient pas, tu meurs. Compris?

Oswald Jenkins… Jen, kins… non V avais bien beau repasser en vue toutes les données accumulées dans son crâne, jamais se nom n’avais effleurer le moindre souvenir en lui. Il était donc clair que se Oswald n’était pas de l’ile et se surnom double face lui allait comme un gant. Quant aux explications, il n’en avait pas, lui qui avait commencé sa journée normalement avec pour but de s’entrainer encore aujourd’hui, voilà qu’un type malmené le maltraitait. Une réponse banale du genre je n’en sais rien je vie en Hermite ici depuis un bon moment aurait peut-être apaisé le bougre, mais Vandale n’aimait pas la tournure de la situation, puis un adversaire, un vrai… ça fessait un moment qu’il en cherchait un de taille. Or, celui-là l’avais surpris et maitrisé en moins de temps qu’il faut pour dire abrakadabralakazoom. Il allait donc lui montrer qu’il n’était pas le genre de personne qu’on traite de la sorte.

Profitant de l’attente de son rival, V pensât rapidement à la posture qu’il allait utiliser, puis d’un geste rapide et précis, transforma la situation. Il passa en premier sa jambe gauche sur celle de son adversaire, puis pris appuie sur sa deuxième pour le renverser. Tous deux roulèrent en sens inverse comme des aimants négatifs et par enchantement, comme si la polarité s’inversait, les deux hommes revinrent tout proches poing lever tout deux près à défendre leur honneur.

- Tes sur d’avoir assez d’une minute pour écouter se que j’ai à dire ? Tu m’as l’air de démarrer au quart de tour toi ! donc écoute, voilà se que je sais d’accord ?

V expulsât un petit crachat rougeâtre au sol, dû à l’attaque d’Oswald, puis lui fonça dessus le poing bien haut avec l’intention de le frapper, choses que la demi-couleur ne laissa pas arriver. Parade, coup, esquive, parade, etc. s’étaient tout simplement magnifique, soie les deux étaient de force égale soi Vandale n’était pas le seul à se retenir afin de jauger son adversaire.

- Cela fait un bon moment déjà que je vie ici, seul et que je m’entraine pour devenir plus fort.

Les coups ne diminuaient pas, les deux semblaient à la limite prendre plaisir à la tournure des évènements, puis chacun encaissait plutôt bien, V de par son imposante composition semblait être le type de gaillard qui naturellement pouvait en prendre, quant à l’autre, s’était le contraire, plus faible en apparence et beaucoup plus endurcie par le temps et les caprices de la vie.

- Pour ce qui est de toi, je n’en sais pas plus, je n’ai pas vu de vraie personne depuis je sais plus combien de temps, je sais simplement que tu étais là et que tu n’y es plus grâce à moi.

Le combat continuait, parfois s’éternisait entre une petite prise de lutte au sol, mais le tout redevenait rapidement en un combat de poing, tester l force d’un adversaire est en soi un art compliquer qui nécessite du temps et de la concentration, surtout quand un pressentiment aussi intense que celui qui rongeait les os de vandale peut nous envahir. Oswald avait une lueur d’intelligence dans son regard parfois démoniaque et parfois angélique, une intelligence à ne pas négliger et V aurais mis ça main au feu qu’il jouait avec lui dans le seul but d’en tirer les conclusions qui lui plaisait, pour tout avouer, plus le combat durait plus l’avantage de double face était remarquer par le géant aux cheveux blancs.

- Je n’attends rien de toi Oswald, mais tu frappe et encaisse comme un homme, j’ai du respect pour les gens comme toi et si je peux me risquer, je peux simplement te garantir que je ne te veux aucun mal.

Vandale était honnête, comme à son habitude, puis une lueur lui traversa le regard, lui qui cherchait un moyen de devenir plus fort et bien le destin fessait souvent bien les choses, car miraculeusement quand il en avait le plus besoin, se bon samaritain aux allures psychopathes entrait dans son univers, voilà se qu’il ferait aujourd’hui. Oswald Jenkins allait l’aider à devenir plus fort, avec ou sans son accord.
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Du poing, t'essuies quelques gouttes carmin sur la commissure de tes lèvres. D'un sourire, t'indique à V qu't'apprécies l'échange.

Ouais, t'apprécies, t'as c'bon vieux sentiment qui pulse à travers tous les pores de ta peau, noirs comme blancs. Cette impression que tu connais depuis que tu t'ai trouvé un rival sur West Blue. Plus que ce simple besoin de faire couler le sang et les larmes par haine ou fureur. Non. Le désir de se prouver à quelqu'un.

L'amour du combat.

Quand le combat devient plus que des poings contre des joues. Plus que de la douleur et des blessures. C'est quand le combat devient un langage gardé secret par deux adversaires que réellement tu peux vivre à fond une confrontation.

Juusei t'as enseigné ce langage par l'acier de ses marteaux, à toi de transmettre cet apprentissage à ce Vandale. Pour toi comme pour moi, c'n'est plus un ennemi, un potentiel agresseur ou un autre connard venu te rappeler à quel point tu es laid. Désormais, c'est quelqu'un sur qui t'as imprimé tes jointures, et vice-versa.

Et pourtant, il manque de jus, c'gamin.

Ouais, décidément, il a pas l'niveau. Il lui manque un truc qui ne s'obtient pas par la sueur et l'entraînement. Il lui manque un truc pour qu'il puisse réellement un adversaire de poids.
Ça tu le sais, car si tu te lâches vraiment, infimes sont ses chances de survie face à un prédateur comme toi.

-Ça va, t'es pas un d'ces idiots, j'te crois. Tes poings ont parlé pour toi.

Sinon, faut dire que l'endroit est joli. Une clairière, un grand arbre, un rocher pas loin, un ruisseau. Tout pour faire de l'endroit une vraie résidence forestière idyllique. Un vrai repaire d'ermite. Un ermite qui devait régner en prédateur suprême sur l'endroit avant que Double Face ne perturbe la chaîne alimentaire.

-Et t'as beau me vouloir aucun mal, 'm'étonnerais que tu puisses m'en faire, même si tu voulais très fort.

Les répliques acérées, c'est toi tout craché. Toujours à rappeler à ce monde que tout c'que t'as en toi est pourri. Toujours à vouloir vomir au visage des gens les ténèbres qui te polluent de l'intérieur.  
-Dans c'monde, tu trouveras toujours quelqu'un de plus fort que toi. Et ça, ça t'arrive maintenant. Pour te rappeler c'genre de chose, y t'faut une marque. Un exemple.

Et des exemples qui restent gravés, les monstres savent très bien comment en donner.

Bandage de muscles. Prise d'élan. Poing qui se serre.

Envol mortel.

Midnight Blast!

À pleine vitesse, un poing noir nimbé d'étincelles s'enfonce dans l'abdomen du colosse aux cheveux blancs. La seconde d'après, ce dernier est propulsé directement contre le tronc de l'arbre.

Toi, tu t'étires tranquillement en t'en retournant. T'as plus rien à faire ici, faut retourner à Goa.

-Que ça t'serve de leçon. Oublie jamais c'coup, ça t'aidera bien à progresser et à frapper avec plus de force qu'un pétale de rose.

Bien dit. Maintenant, on s'ramasse et on file. Tu files, traverse la clairière sans un regard derrière. Double Face ne peut s'attarder ici, Double Face doit trouver ceux qui se sont foutu de lui et se venger. Car jamais on ne se moque de Double Face.

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Une fois le coup donné, V décolla littéralement du sol pour venir percuter son arbre. Quelle force, quelle beauté, c’était tout simplement incroyable, un seul coup comme ça l’avait mis K.O. et un sentiment d’infériorité incompréhensiblement grand s’empara de lui. Comment une telle puissance pouvait se réunir en un seul point comme celui de Oswald. Oswald Jenkins, alias double face… V se promit alors de ne pas le pourchasser, pas aujourd’hui ni demain, mais un beau jour, alors qu’il serait plus fort, il voudrait l’affronter de nouveau. Son rival, son premier rival depuis toujours. Il le regarda s’éloigner puis regretta de ne pas lui avoir fait part de son intention, mais c’était le genre de choses qu’on sait sans le savoir. Il devait surement se douter, voir espérer que Vandale le retrouve un jour, que se soit pour lui montrer son amélioration, pour lui donner encore une fois la force de combattre ou peut-être pour le libérer de tout se qu’il y avait de cacher en lui.

Peut importait a V après le coup, beaucoup d’idée beaucoup de projet, mais tout ça n’arriverait pas comme par enchantement, il devait vivre, cet homme venait de lui donner plus qu’il ne le réalisait encore. Une motivation, une raison de progresser, une raison de survivre, de devenir quelqu'un. C’est à ce moment qu’il se releva, innocent et ignorant du temps écouler, il posa tout son poids sur sa main et s’accrochât à l’arbre pour crier de toutes ses forces à l’intention de son ami.

- OSWALD JENKINS ! JE TE RETROUVE UN JOUR !

L’invitation était lancée et s’était surement dans sa folie, dans la démence du moment, mais V crue voir le dos de son rival, l’espace d’un instant s’arrêter entre les branches et les fougères, comme s’il avait entendu, comme s’il acceptait l’offre, peut-être daignât-il jeter un regard envers son élève, peut-être eut-il un frisson d’excitation a l’idée de le voir grandir encore et encore, mais une chose était sûr, Vandale tomba dans les pommes, le coup l’avait obligé à vomir en atterrissant au sol. Un coup magnifiquement bien placer qui avec tout ça, laissait une cicatrice en forme de cercle sur l’abdomen de sa victime, une brulure qui avec le temps rappellerait toujours se moment unique et merveilleux passé dans les bois, avec double face.

- Salaud, haha il porte bien son nom lui…


[…]

Midnight Blast! … Ce souvenir là avait beaucoup de valeur, mais le nom n’allais pas, ça, il ne le garderait pas, par contre, la technique lui fut très utile, il s’entraina sans relâche jusqu’au beau jour ou il la maitrisa, à sa manière. C’est d’ailleurs ce jour-là qu’il retourna auprès de sa famille, mais il se garda bien son petit secret. Midnight Blast, technique destructrice, il n’allait l’utiliser qu’en dernier recours, puis quand elle serait parfaite, il l’utiliserait pour terminer chacun de ses adversaires, ainsi sa légende pourrait débuter et Oswald entendrait parler de lui. Quel nom avait-il choisi de donner à la technique ?

Half Black, en l’honneur du côté sombre de son créateur.
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