C'est un dial abruti !

Cannibale, c’est quoi ça ? Manger des hommes… Ouais j’vois. Hé alors ? Si je ma mémoire est bonne… Dans la prison de south blue j’me suis fait attaquer par un cannibale. Il voulait me bouffer. C’était un vrai prédateur. Je comprends ce qu’il ressent. La sensation d’être le chasseur et non le chassé. C’est … Oui c’est ça ! Manger les autres joueurs. Soit ils deviennent mes esclaves, soit mon repas. Hé hé hé hé. L’idée me plait bien. HA HA HA HA !

Après un repas à base de viande d’homme, l’équipage du blond prend l’option repos. Une bonne nuit de sommeil.  Sans doute une nuit bien calme. Les hommes blessés se font soigner, le cuisinier lave la vaisselle, le schizophrène parle à lui-même. Notre pirate est assis sur un pic du Sanbi. Il balance ses pieds tout en regardant les photos de ses filles. Devenir un bon père, un bon mari. Voilà ce qu’il souhaite désormais. Ce nouvel objectif est encore plus important que ses plaisirs personnels. Cela est étrange. Pourquoi maintenant, pourquoi si soudainement. Il est vrai qu’il aurait aimé avoir des parents qui s’occupent de lui. Il est vrai que son amour pour sa famille est incommensurable. Mais je suppose que cela vient surtout de la rencontre faite plus tôt. La rencontre d’un orphelin. Peut-être qu’il se voit dans ce petit. En tout cas c’est le petit élément qui lui a ouvert les yeux sur la famille.

. . .


-Debout bande de limace ! La partie va commencer.

Le réveil est brutal. Des coups de pied, des hurlements et des jets d’eau.  Le soleil ne s’est pas encore levé, mais l’équipage est déjà debout. Après un petit déjeuner les hommes attendent les directives du chef.  Celui-ci se place devant tout le monde. Légèrement en hauteur, à sa gauche le schizophrène, à droite le Dimitri.

-Bon.

Puis il se met en route. Il n’a absolument rien à dire. Les yeux encore rouges de sommeil, il baille et avance tout en s’étirant.

-Louis tu gardes le navire. Reste pas dans le secteur, j’ai pas envie que tu te fasses attaqué et qu’on père nos navires.

‘tin j’ai même pas envie de faire d’la recherche aujourd’hui. Pourquoi il a vendu le dial l’autre abruti de Croquette. J’savais pas que dans ce monde des êtres aussi idiots exister. Si je le savais, mais bon. C’est toujours aussi surprenant d’le voir. Puis les rues sont encore désertes à cette heure. Il y a quelques têtes d’ivrogne dans les coins. Mais bon, frapper des ivrognes c’est pas drôle.  Alors on avance dans la ville. Sauf que là j’tombe sur un truc. OUAA ! La classe. Un bâtiment trop beau. J’me demande bien à qui ça peut être. Un riche dans cette ville. Hé hé hé, il va avoir un drôle de réveil.

-Bon, restez là. J’vais faire un tour des lieux. Si c’est top alors on habitera ici. En attendant regardez si les passant ne connaisse pas une personne qui a acheté un dial hier. Enfin, un dial de chez Criquounette. Dimitri il est trop tôt pour chasser la viande du déjeuner, tu ferras ça plus tard.

Les gars aiment bien l’idée. Les hôtels de luxe. Rien que l’extérieure donne envie. Les hommes de Roger commencent à interroger les passants. C’est pas des tendres. Ils cognent de bon matin. Ils cognent avant de demander, c’est pour vous dire à quel point ce sont des êtres primitifs. En tout cas, notre pirate peut infiltrer les lieux en toute discrétion. Il est assez doué pour ça.

Déplacement de félin
Spoiler:

Le lieu semble désert. Tout le monde dort. Enfin, il y a toujours des vigies dans ce genre de ville. Le blond avance donc doucement tout en regardant bien de partout. Il finit par repérer un homme qui effectue sa ronde. Celui-ci sort du bâtiment et se trouve devant une belle piscine. Son regard scrute les environs, puis il se remet en marche. Roger caché derrière un buisson attend le bon moment. Puis il avance jusqu’au vigil.

Les pas des ténèbres
Spoiler:

Juste derrière l’homme. Ils avancent et entrent dans le bâtiment. Le surveillant a l’impression d’être suivi et lance rapidement un regard derrière lui, mais le pirate se baisse et se décale tout en restant dans l’angle mort. Rien à signaler alors il se remet en route. Après avoir parcouru le couloir, un grand escalier s’offre à eux. L’individu reste au rez de chausser et se dirige vers une salle à droite. L’infiltrer monte sans bruit. A l’étage il trouve un long couloir. Les portes sur les côtés doivent être des chambres de sous fifre. La porte du fond est plus belle que les autres. C’est probablement celle du chef.

Le fou avance tandis qu’une porte s’ouvre à dix mètres devant lui. Un homme qui vient de se lever, le tant qu’il remarque l’intrus qui avance vers lui sans bruit, c’est déjà trop tard. Un coup de poing dans le visage, l’homme riposte avec un coup, mais ses muscles son encore endormi alors c’est facile d’esquiver cela et un bon coup de tête est lancé. Bim assommé.  Cela fait du bruit. Alors Roger traine l’homme et ferme la porte. Maintenant c’est lui qui sent une présence derrière lui. Il se retourne et voix une femme probablement nue sous sa couverture.

-YIAAAAAAAAAAAA

Elle lance un cri strident qui réveille tout le bâtiment. Là les choses vont se corser. Heureusement que c’est un hôtel de luxe. Il y a une belle fenêtre pour s’enfuir. Sauf que…

- Non mais ho! Ferme là à tout jamais ! Tu m’as fait mal aux oreilles là. Tu sais ce que ça veut dire ?

Un cri de bon matin, j’te jure que j’vais être sans pitié avec elle. J’saute sur le lit et j’lui file une droite puis une gauche. J’m’assois sur elle et je continue de frapper. Droite gauche, Droite gauche. Le sang gicle, mais j’arrête pas. Son visage ne ressemble plus à rien. Elle était charmante à la base. Maintenant même un mec comme Criquette, un homme vierge à trente ans n’en voudrait pas hé hé hé. En plus ce genre de femme me rappel ma mère. Une trainée. J’peux pas supporter ça. J’ai pas pour habitude de tuer des gens mais là. J’pourrais même pas gouter à sa cher. Elle me dégoute. Je finis pars m’arrêter alors qu’elle est inconsciente. J’l’attrape par les cheveux et lui relève légèrement la tête puis je donne un gros coup dans la gorge qui la tue.

Les mains pleines de sang, le visage fermé. Il est rempli de haine. Le fait de s’être rappelé de sa mère l’a rendu fou furieux. Les poings serrés. Il aimerait tué toutes les catin du monde immédiatement.

    Au cinquième et dernier étage de l’hôtel de luxe, appartements de Don Diego.

    Thaddeus, quelle est la situation je vous prie ?
    Il semblerait qu'un homme dont l'identité reste inconnue jusqu'ici, se soit introduit dans la demeure de maître Diego, avant de mutiler à mort une pauvre demoiselle sans défense, dans la chambre de l'un de nos clients. J'ai immédiatement envoyé les majordomes de maître Diego maîtriser la menace et nettoyer ce massacre.  
    Bien Thaddeus, bien. Tenez-moi régulièrement au courant de l'avancée de la situation.
    Bien maître Diego.


    Spoiler:

    Le majordome, Thaddeus Middleton, un homme d'une trentaine d'année, la tignasse d'ébène impeccablement coiffée vers l'arrière, dégageant un front où nichent quelques rides. Les sourcils fins, longs, une fine moustache trônant fièrement au-dessus de ses lèvres, les joues creuses, les pupilles d'un bleu qui se veut discret. Il dépose l'escargophone sur une petite table dans un coin de la pièce, en attendant des nouvelles des autres employés, puis se rapproche de la table du maître, la démarche silencieuse, raffiné. Il transpire le stoïcisme, l'élégance, la classe, la perfection, niché dans un mutisme qui ne prend fin que pour acquiescer aux désirs du maître des lieux ou pour répondre à l'une de ses questions.

    C'est lui, supervisé par Don Diego, qui s'est chargé de l'apprentissage et la transformation de l'intégralité des majordomes servant le Capitaine pirate. Aussi n'a-t-il aucun doute sur l'efficacité et la propreté avec laquelle sera effectué le service. Rendu aux côtés de Diego, il s'empare de la théière auparavant déposée sur la table de repas, lequel vient tout juste d'être achevé par le propriétaire de l'hôtel. Après le dîner, rien ne vaut qu'une succulente tasse de thé pour apaiser son esprit, le Middleton le sait bien. C'est ce qui fait toute l'efficacité du bonhomme. Savoir exactement quoi faire et quand pour contribuer au bien-être du patron. Il verse délicatement la boisson dans la tasse, repose le tout, avant de s'éloigner d'un pas.

    L'indétrônable ?
    Absolument, maître Diego. Perle de Rosée, l'un si ce n'est le, plus grand thé de la Route de tous les Périls. En espérant que cela contente le maître.
    Vous êtes une perle, Thaddeus.


    Et sur ces quelques propos, il porta la tasse aux lèvres, en buvant subtilement une gorgée, dans la plus grande finesse qui soit, avant qu'un fin sourire ne déforme ses traits du visage...

    Quelques étages plus bas, dans la chambre de la défunte.

    On toc à la porte. Trois coups.

    Monsieur Edward Bron Henkrein ? C'est le service d'étage, pouvons-nous entrer si vous le permettez ? Nous avons perçu un hurlement provenant de votre chambre, nous voulons nous assurer que tout va pour le mieux. Monsieur Henkrein ?

    L'homme dans le couloir semble être seul, puisque uniquement le son de sa voix parvient à tes oreilles. Il n'a pas l'air de se décourager facilement, continuant de s'adresser à ce fameux Henkrein, qui devait probablement être le gaillard assommé plus tôt. L'amant de cette malheureuse femme mortellement défigurée. Pas le temps pour autant d'envisager l'option fuite par la fenêtre que le mur dans ton dos explose brutalement, projetant d'épais bloc rocheux un peu partout dans la pièce. Un nuage de poussière s'y engouffre et trois silhouettes se dégage de la toute nouvelle ouverture crée. Trois personnages tous respectant le même code vestimentaire stricte, le costard.

    Yalé, yalé... il y a peu, cette pièce resplendissait par sa propreté et voilà comment nous la retrouvons...
    Cet homme ne respecte de toute évidence pas notre travail, quel manque de respect impardonnable.
    J'espère que nous n'aurons pas à salir nos costumes hors de prix pour une crasse de cette envergure. Travaillons proprement, messieurs.


    Le premier sort de son gilet un poignard. La lame est suffisamment affûtée pour facilement se frayer un chemin dans l'amas de chair que tu es. Le second une paire de pièces en métal dans lesquelles il passe ses doigts, l'arme venant alors en prolongement des excroissances de ses articulations osseuses. Ainsi, il peut frapper plus fort sans craindre d'y laisser une main et l'impact est bien plus conséquent. Gare à ne pas prendre un vilain coup avec. Enfin, le dernier s'équipe d'une arme bien plus singulière. Un plumeau. Non, tu ne rêves pas, il est bien armé d'un foutu plumeau. Et l'air très sérieux qui anime son faciès ne laisse clairement pas croire à une mauvaise plaisanterie, c'est bien son arme.

    Libre à toi de le sous-estimer, maintenant... Quoi qu'il en soit, il te faudra te débarrasser d'eux avant d'aller plus loin dans ton aventure.
      Ignorer l'entrée fracassante: Fait
      Sortir la pipe volé à Criquette : Fait
      Allumé la pipe : Fait pendant le speech
      Tué une femme qui lui rappel sa mère : Fait
      Eventré toutes les femmes pour mettre un terme à ce monde : A faire

      Bon la liste des choses à faire est longue et probablement pas très intéressante. Roger s’écarte simplement de la fenêtre. Les énergumènes ne l’impressionnent pas. Puis, les sous-estimer ? HA ha ha. Roger n’estime presque personne. C’est surement pas des gars comme ça qui risque de l’intriguer.

      -Rangez moi ça.

      Direction la porte de sortie. La main sur le poignet mais les hommes ne l’entendent pas de cette oreille. Juste avant l’action.

      -Hep.

      Il se retourne et lance un léger regard aux trois gars. Un regard qui en dit long. Le regard montre bien que ce qu’il regard ne l’intéresse pas. Comme un simple courant d’air qui claque une fenêtre. On regard rapidement ce que c’est puis on s’en va.

      -Si vous voulez pas plus de travail, restez à votre place.

      La porte est ouverte comme si de rien était… Mais notre pirate n’est pas dupe, il se concentre et s’attend à une attaque. Enfin, si cela n’arrive pas c’est pas plus mal. De toute façon, les trois ploucs n’ont probablement aucune chance de succès.  Puis, il n’est pas vraiment d’humeur ce matin. Avec le souvenir de sa mère… Hum. Je pense que c’est une mauvaise idée de taquiner la bête qui ne tue pas tellement habituellement.


        La porte de la chambre s'ouvre, dévoilant le physique musclé d'un garçon d'étage qui a plus l'air d'un ancien taulard qu'autre chose. S'il n'avait pas ce costume hors de prix l'habillant, rien n'indiquerait le fait qu'il travaille ici. Surtout pas l'énorme masse qu'il tient dans sa main et qu'il abat avec fureur immédiatement après que tu ai ouvert la porte. Une grossière erreur que d'avoir négligé cette voix dans le couloir qui semblait si déterminé à obtenir réponse du dénommé Henkrein. Un coup directement porté au niveau de l'estomac, qui t'expulse en arrière, te forçant à rester ainsi dans cette chambre. Ils n'ont définitivement pas l'intention de simplement attendre que tu t'envoles pour nettoyer ton carnage. Il va falloir payer avant cela.

        Pendant que tu te remets de l'impact avec l'outil de destruction, son possesseur pénètre dans la pièce. Plongé dans un soudain mutisme, il ferme la porte derrière lui, avec délicatesse. Le patron a horreur qu'on dérange les clients durant le service. Il accorde un regard à ses trois camarades qui eux n'ont pas bougé d'un poil, te fixant toujours des yeux. Un hochement de tête plus tard du grand gaillard, tu comprends qu'il va falloir te battre. Le colosse à la masse, que l'on nommera Hubert Dafloine, est le premier à te tomber sur le coin de la tronche. Il abat son arme avec violence et vélocité, un coup qui ferait jalouser Tôôhr et son marteau truqué. Oui, Tôôhr, le célèbre pirate, originaire des contrées glacées de Polard Island.

        Et c'est amplement suffisant, le lit qui se brise en deux sous l'impact en étant le témoin. Que tu sois pris dans l'assaut importe peu, les autres finiront le travail. L'homme au plumeau, Swih Fèr de son petit nom, bondit avec une agilité déconcertante à travers la pièce, pour retomber droit sur toi, plumeau en avant. Il compte sérieusement te frapper avec cela ? Oui. Il se trouve qu'avant l'impact, l'objet servant habituellement à faire le ménage se retrouve enveloppé d'une couche noirâtre. Ce qui le rend dur comme fer, faisant de lui une arme tout aussi dangereuse que la masse. Combiné la vitesse d'exécution à l’avantage conféré par la surprise potentielle, c'est ici l'atout de notre cher Swih Fèr. Le tout dans tes dents.

        Et ce n'est pas terminé, il en manque deux encore. C'est aussi l'avantage conférer par le nombre, ne laisser aucun répit à l'adversaire, le noyer sous les assauts. L'une des choses qui leur a été enseigné par Thaddeus après leur recrutement par le Capitaine Don Diego. Juste avant qu'ils deviennent de parfaits petits majordomes. Brook '' Crâne Dur '' Lesnar, celui armé de pièces en métal aux poings, rendant ses phalanges aussi solides que l'acier, prend le relais. Et tout de suite, le style est plus agressif. Tentative de plaquage au sol, rouée de coups de poings si plaquage réussi, pour finalement te soulever et t'envoyer t'écraser contre la cloison. Ils étaient préparés à une situation de ce genre, aucun doute.

        D'une coupe nette, découper le morceau de viande en fines tranches, à l'aide d'une lame aiguisée chaque jour avec la plus grande des attentions afin que jamais elle ne s'émousse.

        Le dernier du quatuor, qui récite à voix haute comment cuisiner un yak albinos des terres du Royaume de Sakura, s'entraîne sur ta carcasse. En l'occurence, tu es le yak, il est le cuisinier. Son poignard aussi grand qu'une dague est l'ustensile nécessaire à la découpe de la viande. Et c'est tout naturellement qu'il te menace par trois fois de te taillader le corps.

        Spoiler:
          La première attaque l’envoie dans la salle. Mais la réaction qu’il a n’est pas ordinaire. Son corps a encaissé. La douleur existe. Cependant c’est le début de la provocation pour le singe. Adossé contre le mur, il se lève doucement avec le sourire aux lèvres. Du revers de la main il tapote l’endroit de l’impact comme pour enlever la poussière. Sans doute cette légère provocation pousse Hubert Dafloine à revenir à la charge… Le grand gaillard est tombé dans le piège. Le coup qu’il donne envoie Roger sur le lit qui se brise. Pourtant, le pirate ne semble toujours pas atteint. Le sourire aux lèvres alors qu’il se relève des débris en prenant un bout de bois dans une main.

          -Vous êtes trop mignon. Mais vous savez… Je suis GOLD ROGER ! Le saigneur des pirates !

          Pour un mensonge... Ça c’est du mensonge. Raison de plus pour vouloir lui régler son compte. Le blond continue de débiter des âneries tandis que Swih Fèr s’amène. L’attaque est contrée par le bout de bois… A non, le plumeau détruit ce morceau de bois assez facilement. Puis une autre attaque est lancer, lorsque l’homme de chambre arme son bras, Roger lui saute dessus comme un petit singe. Au corps-à-corps, cela empêche l’attaque puis… Une main attrape le bras armé et l’autre se pose sur le visage. Sous les bandelettes de la main du pirate se cache…

          IMPACT DIAL !

          Dans la face. Je tiens tout de même à signaler que le dial a été charger lors de la deuxième attaque de Dafloine. Cela projette donc l’homme au plumeau de l’autre côté de la pièce.

          -PIOU. C’est pas joli joli.

          Ça m’amuse même pas. J’veux juste le dial moi. Que des sauvages dans ce monde. On peut plus se promener tranquillement sans se faire agresser par quatre chiens. Depuis quand les chiens attaquent un maitre ? Il faut les dresser alors ?

          -Bon, on ne vous a pas appris les bonnes manières… Je vais donc vous les enseignez.

          J’ai encaissé un coup dans l’estomac et l’autre avec son plumeau m’a fait mal à la main. A peine le temps de renvoyé un qu’un autre me fonce dessus. Il me choppe par les jambes et tente un plaquage. J’lui offre un bon coup de coude derrière la tête, mais le bougre résiste et me porte pour finir par me jette au sol.

          Le blond se retrouve au sol avec Brook sur lui qui commence à enchainer des coups de poings. L’intrus encaisse une bonne droite mais offre un joli sourire. Le deuxième coup vient mais le pirate pousse de la paume de la main l’avant-bras adverse. Le poing finit au sol tandis que Roger continue d’avancer son bras en le passant juste au-dessus de l’ennemie. Fourchette aux yeux ! Malheureusement, la tête dur à tourner le visage et esquive cela. Avec son deuxième bras, le blond bloque le bras qui a attaqué pour qu’il reste tendu puis il ramène l’autre et donne un coup de coude dans le coude. Krr. Fracturé ? Peut-être, mais légèrement.

          Des coups sont lancés, ça roule dans tous les sens et ça se débat. Le cannibale finit par se libérer et comme tout bon singe, il provoque l’adversaire. Les quatre sont bien là, debout. Juste derrière eux la porte.

          Provocation
          Spoiler:

          Depuis le départ le fou lance provocation sur provocation. Les adversaires ont probablement certaines veines qui leur sorte de la tête. L’action reprend et cette fois c’est le pirate qui fonce vers les ennemies.

          Fantôme
          Spoiler:

          Qui pourrait croire qu’un homme pourrait se montrer si agile et si vif dans une chambre. Avec son agilité et sa vitesse. Il parvient à passer un homme, deux, trois. Même quatre ! Sa technique est surprenante. On a l’impression d’avoir vu un fantôme insaisissable. Sauf que c’est à deux pieds qu’il saute sur la porte pour la défoncer. Une fois dans le couloir, sa vitesse refait parlé de lui. S’il n’a pas continué le combat c’est parce que son cerveau fonctionne. En restant, la probabilité de sortir de l’hôtel entier est mince. Puis son objectif et le dial, rien d’autre.

          Dehors, les hommes ont fait du grabuge. Un peu trop même. Cependant, cela semble payant. Ils obtiennent l’information ! Le dial est dans cet hôtel. Mais bon, en explosant les passants, l’information comme quoi des hommes cherchent le dial se répand.

          -Go go go. Allé on fonce dans le tas ! Sautons la grille et sautons. Faut faire un truc de fou ! HA HA HA HA

          Psymon déborde toujours d'énergie. Il saute de partout et n'attend que le moment où l'adrénaline montra.

          -Moi j’pense que vous avez fait trop de bruit. Faut trouver un plan. En parlant à mes fidéles amis.

          -Tu parles à tes mains…

          -Ho respects nous toi !

          -Ouais respect sale imberbe.

          -Du calme les amis. C’est qu’un cuisinier du dimanche.

          -Bien parlé !


          Puis la dispute commence. Ils s’insultent et en viennent presque aux mains. Psymon trouve que c’est marrant et il saute sur les deux. Pendant ce temps, les esclaves se retirent discrètement pour retrouver leur liberté.

            Au cinquième et dernier étage de l’hôtel de luxe, appartements de Don Diego.

            Pulupulupulu. Pulupulupulu. Pulupulpulu. Gotcha !

            Mushi Mushi ? J'écoute.
            Monsieur, l'indésirable qui a investi l’hôtel n'a pas été neutralisé ! Les quatre n'ont pas réussi à l'arrêter. Il est actuellement en fuite, dans les couloirs, étage indéterminé.
            Je vois. Voilà qui est très regrettable, que tous les hommes se lancent à sa poursuite, il ne doit pas sortir d'ici. J'en informe immédiatement le maître.
            Bien monsieur !


            Impassible face à cette nouvelle déplaisante, le majordome personnel du Capitaine repose le gastéropode, délicatement, avant de se retourner vers son supérieur. Un silence. Un observateur peu compétent se laisserait tromper à croire que Thaddeus cherchait ses mots. Qu'il préparait dans son esprit la meilleure façon de présenter la situation. Afin d'éviter d'embraser la colère du forban réputé dans tout Jaya. Il n'en est rien. Le Middleton ne craignait pas la fureur de son patron, pas plus qu'il estimait l'intrus avoir une chance de sortir d'ici vivant. En réalité, s'il ne disait mot, c'est uniquement car il attendait patiemment qu'on l'autorise à prendre la parole.

            Face à lui, confortablement installé dans un fauteuil hors de prix, sa valeur devant surpasser la plupart des vieilles baraques de Jaya, Don Diego savourait son cigare. Comme il en avait l'habitude de faire après chaque repas et thé qu'il dégustait. Il se posait dans le cuir de son siège favoris, s'y relaxant un instant, discret, avant d'attraper sa boîte de barreaux de chaise. Coronas gordas, directement fabriqué sur la Route de tous les Périls, sur une île peu connue de la première voie, Koopa Kabana. Arôme épicé, celle qu'il affectionne tout particulièrement. Inévitablement lorsqu'il en fumait un, cette phrase lui revenait en tête, comme une évidence.

            Une femme est seulement une femme, mais un bon cigare c'est tout un arôme. Citation d'un homme dont il n'avait jamais retenu le nom. Seule cette phrase s'était encrée dans sa mémoire pour ne plus jamais en ressortir. Ce jour-là était la première fois qu'il savourait un cigare. Depuis, il ne s'en passe plus. Il n'y a d'autant pas meilleur allié pour réfléchir calmement à une solution. Comment coincer le rat avant qu'il engendre davantage de dommages ? Lui, ou ses propres hommes qui, bien qu'éduquer par ses soins, n'en restent pas moins des hors la loi. Des criminels baignant dans la violence depuis leur plus jeune âge. Ils s’emportent facilement.

            Thaddeus.
            Maître Diego, il semblerait qu'il y ait quelques complications avec l'individu. Vos serviteurs éprouvent des difficultés à entraver sa course dans l'établissement.
            Les quatre n'y sont pas parvenus ?
            Non maître Diego.
            Je vois. Condamnez les issues, personne entre, personne ne sort. Informez à tous les serviteurs, qu'ils se lancent tous dans la traque du misérable. Vivant ou mort, peu importe. Armes à feu autorisées, mais avant conduisez l'intégralité des clients à cet étage, dans la grande salle prévue à cet effet. Vous savez quoi faire ensuite.
            Bien maître Diego.


            Quelque part dans l’hôtel de luxe.

            Dans ta folle course au beau milieu des couloirs, deux hommes surgissent à un croisement, tous deux équipés d'une bien étrange manière. Costume impeccable, évidemment, mais surtout, masque au visage. Masque à gaz. Quel gaz ? Celui contenu dans ces bombes aérosols de la taille d'un fusil. Du gaz poivre. Pour tes beaux yeux. Et ils ne sont pas que deux. Derrière-toi, mais également à tous les étages, des serviteurs vaporisent le gaz poivre en grande quantité, afin de rendre ta progression cauchemardesque.

            Fusils en mains, ou munis d'armes blanches, c'est tout l'établissement qui veut ta peau. Toi qui veux te frayer un chemin jusqu'aux appartements de Don Diego, tu vas avoir besoin de courage.


            Je te laisse continuer tout seul jusqu'à atteindre le dernier étage, si tel est vraiment ton objectif. Quoi que tu fasses, que tu fuis ou pas, tu gères tout seul jusqu'en haut, en un ou plusieurs posts. J'ai pas vraiment d'utilité à poster derrière pour le moment. Voilà ^^
              C’est quoi cette merde qui jette ! J’vois des guss qui s’activent. Pourtant il y a pas de balle. J’suis prêt à esquiver, mais là il y a que de la poussière et… P’tain c’est quoi ça.

              Le pirate met son bras devant ses yeux qui comment a piqué. Puis l’inhalation du gaz par d’autre voies le met dans un état…  Il commence à tousser et ne s’arrête pas. Après quelques pas lent vers l’adversaire, la main tendue, le blond s’écroule. C’est la seule idée qui lui est venue.

              -On l’a eu ?

              -On nous a dit que c’était qu’un rat. Pas besoin de gaz je pense.

              -Enfin, on fait ce qu’on nous dit. Puissant c’te merde.

              Les gars avancent pour chopper le corps inerte qui bouge bizarrement de temps en temps. Les mouvements étranges proviennent de la toux. Il se retient et donc son corps bouge à chaque fois, mais ça donne l’impression qu’il a une attaque.  Les hommes s’avancent sur d’eux.

              -On va avoir une belle petite récompense

              -C’est sur

              Le corps au sol se lève soudainement avec une agilité déconcertante. Il attrape les deux à la gorge et les étrangle en les plaquant contre le mur. Sa force est diminuée à cause du gaz. Puis il n’arrête pas de tousser. Cela dit, les adversaires sont bien faibles et n’arrivent pas à se dégager.

              -J’veux un masque moi aussi !

              D’autre arrivent et le pirate prend un masque. Les effets ne sont pas immédiats. Il faut plusieurs minutes avant que l’être puisse reprendre toutes ses capacités. La fuite est impossible. Alors les deux autres qui arrivent se prennent une raclée à leur tour. C’est en marchant qu’il quitte la petite zone de combat. Avant cela, Roger se change et ressemble à un simple employé de l’hôtel. Puis hop là, il prend les quatre bombes aérosols. Une dans chaque poche, et une dans chaque main.  Parcourant l’hôtel comme un parmi tant d’autres jusqu’à ce que….

              La porte d’entrée est défoncé et cela crée du grabuge. Alors que Psymon hurle de prénom de Roger à l’entrée, les deux autres larbins se disputent sur la stratégie à adopter, mais il semble que ça soit trop tard désormais.

              -Tin Psymon, on t’a dit qu’on avait un plan !

              -Mais le dial est dedans ! Puis ça semble actif ! Alors goooo
               

              Trois secondes plus tard il sort de l’hotel avec les yeux rouges.

              -OUAAA, c’est un truc de ouf. Ça pic. *tousse*. C’est pas de la bonne ça, mais c’est marrant. HOUU *tousse*

              Les deux autres le tirent à l’extérieur pendant que des hommes s’amènent.

              -J’te rappelle que les esclaves se sont fait la malle, 5/5

              -J’te rappelle que je compte pour trois, abruti !

              -On est trois, pas tu comptes  pour trois, AAAbruti !

              -Sale cave !

              -Ho fermez là !


              -14/18 ? Non même 16/2. Ouai’p 16/2.


              Puis là ça commence à cogner à l’entrée. Des coups de point pour le schizophrène  et des coups de pied pour le cuistot.
                Le pirate entre et cherche de l’eau pour se rincer le visage. Il ne tousse presque plus, mais ses yeux piquent encore. Le bougre n’a pas eu la présence d’esprit de dissimuler les corps de ses adversaires. L’information comme quoi il a un masque et est vêtu comme les autres faits vite le tour. Mais la situation est simple. Un seul homme se promène seul, tandis que les autres sont en équipe de deux minimums. Trouver l’intrus n’est pas très compliqué. Ce dernier est localisé dans la cuisine. Les hommes se regroupent pour attraper le rat.

                -Ah enfin de l’eau.

                J’me lave un peu, et j’ouvre les placards. J’fais comme chez moi-même si j’ai jamais eu de chez moi. Le monde c’est ma maison. Alors là, de belle bouteille de vin, d’alcool. Une gorgée, deux. Une bouteille, deux bouteilles.

                -Putain ! Elle est trop bonne !! Hoo oui, encore !

                Mais les hommes à l’entrée de la pièce décident de passer à l’attaque. Les quatre qui ont déjà fait face au singe son présent et ouvre le bal. Le bandit ne prête pas attention aux paroles qui lui sont lancés, enfin, ça ne change pas à d’habitude.

                Swih Fèr s’envol. On pourrait croire qu’il ne fait qu’effleurer le sol. Son plumeau change de nouveau de couleur. Mais Roger n’est pas stupide pour contrer une deuxième fois l’attaque. Il se penche à l’arrière tout en continuant de boire du bon rhum qui doit couter très cher. Brook Crâne Dur approche et prépare un nouveau placage. Une position basse il arrive pour saisir alors que Swih continue ses attaques. Roger fait un salto, et lorsque sa tête est vers le bas il fait le grand écart. Un coup de pied sur chaque tête. Le blond finit en roulade. Le grand marteau d’Hubert s’approche pour effectuer un home run. Sur la table de la cuisine, après la roulade effectuée, le voleur est sur le dos. Le marteau arrive et lui se relève comme dans les films d’art martiaux. Le marteau lui passe juste dessous et il offre un joli shoot dans la face d’Hubert qui lâche son arme et finis dans le mur.

                L’un ne semble pas apprécier le spectacle dans la cuisine. C’est avec une belle dague que Lorand vient tenter son coup. Une attaque à trois est lancée.

                Harlem Shake
                Spoiler:


                Avec une agilité déconcertante, il esquive les attaques tout en donnant quelques une. C’est impressionnant. Les mouvements sont imprévisible, des changements de directions hallucinantes. Sans compter les positions que Roger prend. Une souplesse et agilité…

                Hubert finit par se relever et revient à la charge. Du sang dégouline de son visage. Cette fois c’est les quatre en même temps.

                -J’vais vous dévoilez ma plus puissante attaque.

                Les hommes sont prêts tandis que Roger file à toute vitesse vers la sortie.

                Fantôme
                Spoiler:


                Encore cette technique de lâche. En tout cas, ça marche. Un rat insaisissable. Mais le rat n’est pas là pour combattre, il veut seulement voler et c’est tout. Rien à foutre du reste. Mais quand on lui hurle certaines paroles.

                -On sait que t’es venu avec tes hommes pour nous voler le Dial !

                Là, c’est beau. Lui qui ne savait pas où se trouver son petit coquillage, maintenant il sait que le grabuge causé par ses hommes lui a servi à quelque chose. Pour une fois, c’est une bonne chose que l’information a fui ses rangs. En même temps, tabasser les passants en demandant un dial, c’est pas la façon la plus discrète.

                Dernière étage ! La grande porte est défoncée avec un saut, double coup de pied. Là, c’est pas des têtes brulées en face, c’est des êtres avec une certaine classe. Le pirate un genou à terre reprend son souffle. Puis il se redresse.

                -C’est quoi c’est un bordel cet hotel ? Enfin bref. J’veux mon dial du con !

                Il pointe du doigt l’homme le plus élégant. Ce n’est pas forcément le chef, mais il s’en fout. Au moins tout le monde sait pourquoi il est là.
                  Bla bla bla, qu’est-ce qu’il raconte le vieux. J’ai pas parcouru cet hôtel pour me faire sermonner par un vieux dégarni.

                  Un homme prend son courage et dit clairement qu’il n’a pas peur et que c’est le pirate qui devrait avoir peur. Mais bon, le blond n’écoute pas un mot, ça ne l’intéresse pas alors il baille en se penchant en avant et en se grattant le ventre. Le petit riche persiste alors le fou se met les doigts dans les oreilles et commence à chanter.


                  Yo-ho-ho-ho Yo-ho-ho-ho,
                  Yo-ho-ho-ho Yo-ho-ho-ho,

                  Je m'en vais de bon matin,
                  Livrer le bon rhum de Binks.
                  Les vagues dansent et je chevauche,
                  Les flots au gré du vent.

                  C’est une chanson apprise en prison avec d’autres pirates qui tenter de se remonter le moral. Mais quelque chose lui tape à l’œil. Une canne de très grande classes. Il se précipite sur la personne possédant l’objet et le bouscule. Les deux luttent ridiculement. Malgré la faible force du bourgeois, ce dernier est bien agrippé et résiste. Mais le cannibale le mord à plusieurs reprises jusqu’à lui arracher un bout de chair qui finit par convaincre ce combattant du quatrième âge.

                  -Yeah ! La classe. Regardez ça.

                  Il sort sa pipe et s’appuie sur sa canne.

                  -Quelqu’un a du tabac ? Personnes ? Faut partager les gars. Bande d’égoiste. Vous devriez avoir honte ! Bon, j’vais faire simple.

                  Il pointe les gens avec la canne

                  -Ici c’est moi qui fait la loi, alors interdiction de parler sans mon accord, interdiction de respirer sans mon accord, interdiction de…

                  Un homme éternue, probablement à cause du gaz qui parvient légèrement à cette pièce. Roger se dirige vers lui.

                  -Interdiction d’essuyer la morve sans mon accord ok ?! Et j’eux entendre ok sinon.


                  Un bon coup de pied dans les bijoux de famille du pauvre homme devant lui qui s'écroule.

                  -A genoux ! C'est bien, hé hé hé.

                  Rares sont les personnes à dire ok en réalité, ils n’ont pas vraiment peur. En tout cas, notre homme s’amuse bien.

                  -Interdiction de dire OK sans mon accord !! hé hé hé.

                  Un petit bruit d’ascenseur entre en scène.

                  -Le service d’étage arrive enfin. Vous allez voir ce que c’est du nettoyage.

                  -Fuuu, t’es le gagnant.

                  Le fou s’approche du riche et le prend comme bouclier humain tandis que les quatre adversaires entre furax.


                  -Yo mes biches. Vous êtes peut être costaud, mais ces gars je les bute tous d’une pichenette. Donc Ramenez moi Mon dial AVANT que mes mains glissent et que la nuque du pauvre monsieur tourne trop brutalement.
                    Afin d'honoré le rendez-vous qui avait avec Roger, Shoma avait pris la mer, changer de cap et s'était rendu sur Jaya. Cette île ne faisait pas partie de son plan, même s'il ne connaissait pas les îles qu'il y avait sur sa route jusqu'à la fin de son périple, faire des détours ce n'était pas Shoma. Droit au but, voilà comment Shoma avançait, mais pour un compagnon il pouvait faire des entorses à cela. Bien que d'ordinaire en retard, cette fois le capitaine était dans les temps, chose que l'on ne pouvait pas dire de Roger qui semblait avoir zappé Shoma.

                    Toujours dans le même bar depuis son arrivée, Shoma assis sur sa chaise regardait son escargophone. Quand ce fichu moyen de communication allait-il sonner ? Quand Roger, allait-il enfin donner signe de vie ? Ce n'était pas que Shoma s'ennuyait, il y avait de quoi passer du bon temps ici, de l'alcool, des fous pour se battre, des personnes puissantes pour un véritable défi, mais Shoma n'était pas ici pour cela et en ne bougeant pas, il avait l'impression de perdre son temps, d'autant plus qu'il n'attendait qu'une chose, retrouver son navire.

                    Impatient, Shoma pris le Den Den Mushi et lui demanda de joindre celui de Roger. Tant pis pour le coup de fil, c'était lui qui allait prendre contact en premier. Au diable la patience.

                    Une minute, c'est le temps que Shoma du attendre avant d'entendre que de l'autre côté de l'escargophone, une voix décida de rompre le silence.


                    "Bordel Roger tu fais quoi ? Tu sais depuis combien de temps je t'attends ici ? Grouille de ramener ton cul au plus vite. Non, plus simple dit moi où tu es j'arrive. Pas de mais, pas de non."

                    Shoma coupa court à toute tentative de discutions constructives. C'était peut-être la première fois que Roger entendait son frère d'arme comme cela. Hé oui, même Shoma pouvait parfois montrer un tout autre visage, signe qu'il en avait un peu marre d'attendre. La faute à qui ?

                    Quoi qu'il en soit Roger lui avait donné l'information. Shoma savait où il se trouvait, il savait comment venir le rencontrer et grossomodo ce qui l'avait causé autant de retard. Qu'importe, maintenant qu'il savait où se rendre, Shoma raccrocha et indiqua à ses compagnons qu'il était temps d'y aller, qu'ils reprenaient du service.


                    "Il parait que l'on va devoir casser des têtes, j'aime"

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                    Perup Perup Perup....


                    Qui ça peut être ? J’suis en pleine partie. J’men fou j’décroche pas. Suffi que je lâche du regard les quatre manchots pour subir une attaque combinée. Mais là, l’escargophone ne s’éteint pas. Trente secondes de vacarme. Ça commence à me gonfler là. En plus, il est dans mon sac à dos, du coup, j’dois lâcher le gus. Mais le son m’a tellement soulé que je finis par décrocher en poussant du pied l’otage. Les quatre me prennent en chasse tandis que tout le monde fuit dans une autre salle.

                    -YO c’est qui ?!

                    "Bordel Roger tu fais quoi ? Tu sais depuis combien de temps je t'attends ici ? Grouille de ramener ton cul au plus vite. Non, plus simple dit moi où tu es j'arrive. Pas de mais, pas de non."

                    A ouaiii merde ! J’ai complétement oublié Shoma. Ce dial me préoccupe tellement. Mais j’ai pas le temps de taper la discuste, j’esquive les attaques tout en courant, sautant un peu partout.

                    -J’suis dans le plus gros hôtel de luxe, dernière étage. J’me bas avec des hommes des empereurs. Shoma ? Il a raccroché…

                    Des bruits d’objets se brisant son perceptible. Mais maintenant que la discussion prend fin, un nouveau Roger fait surface. Son frère va arriver. Hors de question de fuir et de se taper la honte pour des retrouvailles. Il encaisse un coup de poing au visage et sa réponse et un sourire. Avec la canne comme arme, il peut combattre en gardant une certaine distance. Le blond enchaine des petits coups bien placés. Mais les quatre sont coriace et finissent par le coincé dans un angle. Dos au mur, le temps de remarqué qu’il ne peut plus reculer, Hubert arrive pour donner le coup décisif. Mais c’est sans compter sur la précision et la vitesse de Roger. Avec le mouvement parfait, le pirate place la canne sous le bras donnant le coup et pousse. Hubert voit son bras paralysé pendant quelques instants.

                    En réalité, ce n’est pas la meilleure chose à faire, car il se retrouve au milieu des trois autres qui lui acènes de nombreux coups. La seule chose à faire est d’éviter les coups de dague. Au départ, le fou réussit. Sauf que Brook fait de nouveau un placage et Swih Fer donne un coup de pied sur la canne qui va au loin. Brook donne un coup de tête qui le sonne légèrement et le cuistot vient avec sa dague pour en finir. Hubert le pied sur un bras, Swih le pied sur l’autre bras. Brook sur le corps et la dague qui s’approche du visage ou plutôt de la gorge. Soudain, un cri apparait.

                    ***

                    A l’extérieure, les deux fous se battent toujours tandis que Psymon finit par se lever d’un coup. Toujours aussi vif. Un regard à droite, un autre à gauche suivie d’une roulade arrière et maintenant il se retrouve sur ses jambes.

                    -J’ai le plan parfait ! Jetez-moi en haut et vous vous infiltrez par le bas.

                    Les deux autres qui se tiennent fermement regardent l’homme qui ne vie que d’adrénaline. Ce dernier a les yeux fixés vers le sommet. Comme s’il rêve de faire cela.

                    -S’il vous plait.

                    -C’est pas un bon plan on te dit

                    -On s’en fout des plans, ce qui compte c’est d’être libre, de faire ce qu’on veut.

                    -Pff.

                    -Dit pas pff, admet le.

                    -Non jamais.


                    -Dit le ou j’te bute !

                    -Ouais dit le pour une fois on est d’accord avec lui !

                    -Tu l’as dit !!

                    -AAHHH MERDE !


                    -Prêt pour le décollage.


                    Les deux hommes attrapent Psymon

                    -Toujours prêt.

                    Le lancement est effectué parfaitement. L’homme avec des tatouages qui représente des chaines s’envole le poing en avant avec classe… Non. En réalité il bouge dans tous les sens.

                    IT’S CRASYYY HA HA HA HAAA

                    Le fou défonce une fenêtre du dernier étage et balaye Roger et les quatre majordomes sur son passage.

                    -C’était drôle on recommence !
                      Fini la distraction, la beuverie, c'était l'heure de passer à l'action et d'aller sortir les fesses de Roger dans le guêpier dans lequel il venait de se fourrer. Le pirate dans cette histoire était que ce fou avait mentionné une faction qui était considérée comme intouchable et qu'il ne fallait pas mettre en rogne.

                      Bien qu'il fasse partie de ces pirates qui ne reculent devant rien n'était pas encore assez fou pour se dresser contre des hommes tels que les Empereurs des mers, ces pirates ayant atteint les sommets de ce monde, mais les rencontrer, les affronter et les faire tomber de leur piédestal était bel et bien dans les cordes de Shoma pour l'avenir, mais cet avenir parait d'un coup plus sombre maintenant que ce dernier savait que le plus fou de ses hommes s'occupaient de leur subordonnée.


                      Maria :"Où allons-nous capitaine ?"

                      Shoma : " Dans le plus grand et luxueux hôtel de cette zone, il parait qu'ils y à des hommes appartenant à des empereurs."

                      Barman : "Les empereurs des mers ici ? Impossible !"

                      Shoma : "Quoi ?"

                      Pirate inconnu : "Il y a bien des hommes des Yonkou sur l'île, mais ils ne viennent que rarement ici, nous sommes dans une zone neutre et puis s'ils devaient bouger, tous les pirates de cette zone en auraient eu vent"

                      Barman : "Ils ne sont pas du genre à bouger sans raison."



                      Ce n'était pas complètement faux. Shoma savait que cette île était divisée en trois parties et que deux d'entre elles se trouvaient sous le contrôle des empereurs des mers. Maintenant si jamais ils devaient se déplacer, cela ferait certainement du bruit, assez pour que plus d'une personne le sache, ce qui laissait une grande possibilité comme quoi Roger, fidèle à lui-même lui ait menti.

                      *J'espère pour lui qu'il dit vrai*

                      Vérité ou pas, Shoma quitta les lieux et se mit en route. Dix minutes de marche, ce n'était pas bien loin pour botter les fesses de ceux qui entravent son avancé, Yonkou ou non.

                      -- >< --

                      Une fois devant l'hôtel en question, Shoma remarqua que du gaz s'échappait du bâtiment. Pas la peine de l'inhaler pour comprendre que ce n'était pas bon pour la santé et puis le simple fait de voir des hommes joncher le sol ou se battre sur le seuil de la porte montre à quel point l'ambiance était montée d'un cran, mais voilà Shoma n'avait que peu de temps à perdre avec de petites frappes, alors il demanda à Maria de s'en charger.

                      La jeune femme retira ses chargeurs et chargea ses armes avec des balles en caoutchouc. Cette décision était étrange étant donné qu'elle était une pirate, mais Shoma ne lui dit rien. Si elle ne voulait pas ôter la vie, ce n'était pas grave. Utilisant toutes ses munitions, la jeune femme coucha chacune des personnes se trouvant à l'extérieur. Même en caoutchouc, les balles d'un pistolet faisait extrêmement mal et encore plus quand le projectile touche des points sensible tel que la tête, les parties intimes, le genou ou pire encore le thorax.


                      Shoma : "Merci"

                      Maintenant que les nuisibles se retrouvaient au sol, Shoma pouvait se concentrer et trouver une manière de monter sans entrer en contact avec ce gaz qui était encore actif.

                      Opacho :"Pourquoi monter ? Demande lui de descendre."

                      L'idée de la petite mascotte n'était pas mauvaise. Pourquoi monter rejoindre Roger quand celui-ci pouvait le rejoindre directement en bas. Retirant son arme de son fourreau, Shoma coupa simplement les fondations du bâtiment à l'aide d'une vague d'air. L'attaque du pirate n'était pas assez puissante pour faite tomber l'hôtel, mais suffisamment pour le laisser debout encore quelques instants, le temps que le bois se rompt de lui-même.

                      Shoma : "Reculons, il risque d'y avoir pas mal de grabuge"



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                      Roger choppe Psymon comme une lionne qui attrape son petit pour fuir et se met à distance des quatre qui se rétablissent.

                      -J’étais sur le point de gagner. Maintenant j’dois tout recommencer.

                      -Le dial est ici. Tu l’as, dit ? Et tu l’as ?


                      Il me tourne autour tout en continuant à me poser la question. J’hésite entre répondre et lui collait une baffe. Mais j’me dis qu’on a toujours besoin de fou. Alors la simple réponse est non.

                      -Faut trouver leur chef. C’est probablement lui qui l’a. Mais reste avec moi histoire qu’on leur met une p’tite racler.

                      Psymon est parti juste après le non de Roger. A la fenêtre, il regard les deux autres cinglés se battrent contre des hommes de Don Diego. Alors Psymon fait le saut de l’ange et tombe sur des ennemies. Un bon gros combat en bas tandis qu’un trio arrive.

                      -Hey les gars c’est Shoma. 7/89

                      -Chaud mat ?

                      -Chaud devant !!

                      -Calmez vous, on est mort on est mort à 5/1. Au moindre coup faite les morts.


                      Maria fait son nettoyage, est les hommes de Roger jouent la comédie. Ils attendent tranquillement l’opportunité de fuir comme leur a si bien appris le blond.

                      Pendant ce temps j’me retrouve face aux gus et le combat continue. J’avoue qu’ils sont plus forts. Enfin c’est du quatre contre un. Aucune dignité chez ces hommes. Des vrais lâches. Alors pendant le petit moment où Psymon saute et que j’remarque que j’parle à personne. Les autres ont un petit sourire aux lèvres et moi j’me mets à courir.

                      -A plus les nazes !

                      Une course poursuite encore et toujours. Mais cette fois un étrange événement perturbe le tout. L’immeuble se met à bouger. J’me retourne vers les quatre qui sont sur leurs appuis et aussi surpris que moi.

                      -Vous avez foutu quoi ?

                      Une chute de quelque mètre. C’est le bâtiment qui tombe ! On est tous au sol. Puis ça glisse vers l’arrière à l’opposé de l’entrée où ses hommes se situent. J’grimpe sur ce que je peux, le sol commence à former un angle assez important, les hommes glissent tandis qu’avec mon agilité je grimpe et tente de sortir par une fenêtre. Même dans cette chute les poursuivants ne me lâchent pas. C’est fou… Mais les murs s’écroulent petit à petit et ces pauvres bêtes ne sont pas assez rapides. Je sors in extrémis et me retrouve sur les décombres avec classe.

                      HEY HEY HEY !

                      -Voilà quand j’m’énerve j’peux briser des montagnes avec ma seule volonté !

                      Tandis que Psymon se lève et pose son coude sur Maria.

                      -C’est un truc de fouu. T’as vu ?

                      Tandis que des hommes sortent des décombres un peu plus loin. Don Diego avec sept personnes. Sept majordomes qui ne sont probablement pas des tendres. Puis les poursuivants de Roger sortent à leur tour.

                      Spoiler:
                        C'était fait. Avec les fondations en pièce, ce n'était qu'une question de temps avant que ce grand hôtel ne soit plus qu'un amas de bois et de poussière. Au seul de l'hôtel, le groupe de Shoma prièrent leur distance et une fois suffisamment éloigné, Shoma eut la bonne idée de parié sur le temps qu'il faudrait pour que l'édifice ne tombe.

                        Shoma : "Trente secondes."

                        Opacho : "Huit secondes et demi."

                        Shoma : "Pourquoi le demi ?"

                        Opacho : "J'ai envie."

                        Shoma : "Mais ça ne compte pas."

                        Opacho : "Si."

                        Shoma : "Attends déjà tu as de l'argent ? Où ?"

                        Opacho : "J'en ai."

                        Shoma : "Si tu triches, tu seras de corvée de patate."

                        Maria : "Moi je dis une minute."

                        Shoma : "Une minute ? Tu n'as donc pas confiance en mes capacités ?"

                        Maria : "Sait-on jamais."

                        Shoma : "Pffff, aucun respect."


                        Alors que Shoma essayait de faire changer d'avis ses compagnons sur leur estimation, le bâtiment s'écroula. Devant ce qui représentait la fin du paris, Shoma resta sans voix. A force de parler, de bouger, il n'avait pas compté et était à la merci de ses compagnons qui tous deux affirmèrent que l'hôtel était tombé pile poil au moment de leur estimation. Quand il y avait de l'argent en jeu, c'était chacun pour soi et ce même au sein d'un même équipage.

                        Opacho : "On à gagner tous les deux."

                        Shoma : "Tu es fou ? Tu n'essayes pas de m'entuber toi par hasard ?"

                        Maria : "Aboule le fric."


                        Résolu à ne pas sortir un seul berry de sa poche, Shoma en oublia les habitants de l'hôtel. S'il y avait des personnes à l'intérieur, ils n'avaient que peu de temps pour sortir de la merde dans laquelle le capitaine pirate venait de les jeter et pourtant certaines personnes réussirent à s'enfuir et parmi elles, se trouve Roger, le frère d'arme du capitaine des spectres.

                        Shoma : " Hé Roger"

                        Bras tendus vers le ciel, Shoma appelait son frère. Les retrouvailles s'annonçaient chaleureuse, mais voilà c'était sans compter sur l'intervention d'une personne qu'il n'avait pas vue, car se trouvant derrière lui. Un coup violent dans le dos, assez violent pour croire que cette personne possédait un niveau de combat très proche du sien.

                        Inconnu: "Monsieur, pardonnez mon retard."

                        La personne qui venait d'envoyer Shoma dans les décombres de l'hôtel était un homme. Vêtu comme le reste des personnes ayant échappé à l'effondrement, celui-ci portait un costume, plus propre que ceux de son groupe, mais identique. Dans sa main, un objet laissait apparaitre un peu de fumée blanche, comme si ce qu'il utilisait venait d'être utilisé et que la consommation d'énergie requis venait d'exploser un seuil record, enfin bref, c'était avec cette chose qu'il pu déployer une telle force et lancer un corps humain sur plusieurs mètres comme s'il lançait une simple bille.

                        Inconnu : "Dois-je m'occuper du reste de cette bande d'excentrique Monsieur ?"

                        Sûr de son fait après s'être occupé de Shoma, le nouveau venu se tourna en direction de Maria avant même que la personne à qui il s'adressait avec politesse ne lui donne d'ordre, mais s'était sans compté sur le sang froid de Maria qui coupa court à toute offensive possible.

                        Maria : "La personne que tu viens de frapper n'est pas morte. Je pense que pour ton salut tu devrais continuer et lui sauter à la gorge. Je dis ça, je dis rien."

                        Opacho : " Shoma va être en colère, olalalalala"


                        Devant une telle attaque beaucoup de personnes auraient compris la dangerosité de la situation et pourtant les deux compagnons du capitaine ne bougeait pas d'un iota. Bien que leur boss venait d'être mis à mal, ils savaient qu'il était vivant et qu'une fois debout, alors son adversaire n'allait plus tarder à mourir. Triste réalité.





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                        Dans ce monde, vous pouvez tuer, torturer. Faire tout ce que vous voulez. Gold Roger s'en fou. Mais, il y a toujours un mais… Si vous avez la malchance de toucher à l'une des rares personnes qui compte pour lui, le fou s'acharnera sur vous.

                        Shoma : " Hé Roger"

                        Cette voix ne lui ai pas inconnu. Celle de son petit frère. Il se retourne et fait la pose du nice guy. Mais son sourire s'estompe d'un coup. Mantel Shoma projeté dans les décombres. Son visage exprime de plus en plus la colère jusqu'à ce qu'il en tremble. Il fonce avec sa vitesse maximum, son point fort. Le dial de l'adversaire est beaucoup plus fort que le siens, il le sait. Mais le savoir et une arme. Ce genre d'objet a besoin de se rechargé. De plus l'utilisateur semble avoir dégusté pendant son attaque. L'ennemi se tient l'épaule.

                        La quatrième dimension.
                        Spoiler:

                        Le blond profite de l'ouverture créer par sa technique pour en enchainer une autre.

                        Ombre
                        Spoiler:
                        L'ennemi le plus fort ici, c'est Don Diego. Les autres tournent à un peu plus de 1000D. L'adversaire de Roger est perd légèrement conscience. Cette attaque lui a ouvert le crâne. Le pirate ne s'arrête pas là. Il monte sur le corps et commence à donner une série de coup de poing au visage. Bim BADABOUM. La tête entre ses mains et il la frappe a plusieurs reprise contre le sol. Le sang coule… Le visage se déforme. Le nez est tordu. Peu importe les paroles d'autrui, il continue. Plus violent que jamais.
                        Il récupère le rejet dial et le met dans sa poche. Don diego ordonne à ses hommes de tué toutes ses vermines, mais dans les décombres, une autre bête se réveille.

                        -Coolboy, tu te charge des moustiques. J'ai un compte à régler avec leur chef.

                        L'homme à la cicatrice sur le visage se remet a courir direction le boss histoire de clôturer cette histoire.

                        Fantôme

                        Spoiler:

                        Les gars tentent de l'arrêter, mais avec son agilité et cette course démoniaque personne ne peut le stopper. Brook tente un plaquage, mais Roger saute et continue sa course en s'apuyant sur le dos de l'adversaire. Swih Fèr profite que le blond soit dans les airs pour lui donné un coup avec son plumeau. Avec son avant bras il bloque l'attaque, puis il saisi le plumeau et le tir vers lui ce qui amène Swih Fèr. Un coup de la pomme de la main dans le visage. A l'atterisage, Hubert se trouve face à lui. Prêt a donné un grand coup. Le balafré effectue une rotation et l'efface. Juste derrière Hubert se trouve le dernier du quatuor. Une attaque à la dague pour finir. Notre homme se décale vers l'attaquant pour bloquer le coup. Une fois au corps à corps, il pose la main sur la tête et le jette violement au sol.
                        Le dernier face à face désormais. Tout les larbins sont derrière lui tandis que les trois fou joue les pompom girl.


                        -Donnez moi un RO, donnez moi un GER. ROOOOGER ! Touchdown !

                        -C'est quoi Touchdown. 2/4

                        -J'sais pas, c'est classe. On s'en fou.

                        -Ok, ben, TOUCHDOWN !

                          Toucher, Shoma ne quitta pas tout de suite la planque où il avait été forcé de se cacher. Il fallait vanter la puissance de cette personne qui l'avait eu. Rappelons le une dernière fois, Shoma avait été touché par une attaque fourbe. Ce n'était pas du jeu, cela ne pouvait donc pas compter, mais sur une île de pirate il ne faut pas s'attendre à de la délicatesse de la part de ses adversaires. Bassesses et traitrise, chacune des personnes qui se trouvaient sur cette île puait ces défauts.

                          Allongé sous des planches des bois coupés en de nombreux morceaux, Shoma sentait grandir en lui une certaine douleur. Parole de médecin, il avait presque du mal à sentir ses jambes et son dos lui faisait souffrir le martyr. C'était quoi cette attaque. La peur envahie le capitaine pirate, il n'avait pas peur de perdre, non, combien de fois avait-il perdu ? Le nombre de ses adversaires l'ayant vaincu n'était pas bien grand, mais perdre il connaissait. Ce qui effrayait le capitaine était le fait de ne plus sentir ses jambes.

                          Il avait beau essayer rien ne répondait. Ses jambes, ses pieds, rien ne voulait bouger, c'était comme s'il n'avait plus le contrôle de son propre corps. Il avait reçu le coup près de sa colonne vertébrale, c'était peut-être pour cela qu'il se retrouvait ainsi. Oui, pas de doute, avant d'être frappé il était en pleine forme.

                          Le doute, l'angoisse, la peur, l'énervement, la colère et la rage. Voilà les états que Shoma traversa en à peine quelques secondes, qui pour lui paraissait être des minutes, des heures, des jours entiers.

                          Plus rien n'allait, jusqu'à que ses jambes décident de se connecter à son corps. C'était enfin la délivrance. Oui, il n'était pas/ plus handicapé, c'était la fin de la peur, la fin du doute et le retour de sa confiance de fer inébranlable. Le second round pouvait commencer.


                          "Alors, maintenant ON VA JOUER"

                          L'ombre de Shoma s'allongea depuis les décombres de l'hôtel et se connecta à plusieurs personnes. Touché par le pouvoir du fruit des ombres, ces personnes se retrouvaient privé de leur liberté de mouvement.

                          "Kage Kage Mane"

                          Depuis les décombres l'on pouvait entendre la voix du capitaine pirate. Ce dernier était remonté à bloc et allait remettre les pendules à l'heure de ces sois disant pirates sous les ordres des empereurs.

                          Opacho : "Personne ne nous écoutes quant on parlent."

                          Maria : "Je lui avais dit de continuer d'attaquer, mais il est têtu, maintenant on peut dire que s'en est fini pour eux."


                          "Kage Kage Break"

                          L'écart de puissance entre les zoives et Shoma était tel que le capitaine pirate n'eut besoin que d'une attaque pour se défaire d'eux. Pour des hommes qui se trouvent sous le commandement de la plus haute autorité pirates, ils étaient minables. Quoi qu'il en soit ce n'était même pas un combat, mais une punition, une exécution punitive sans doute excessif et bien qu'un rogne après le coup reçu et la peur occasionné, s'il savait depuis le début qu'il avait à faire à de petites frappes, Shoma n'aurait pas éliminé ces merdes, du moins pas ainsi, pas aussi rapidement.

                          Opacho : " Ce n'était même pas marrant."







                          # Kage Kage Mane
                          Spoiler:

                          # Kage Kage Break
                          Spoiler:
                          • https://www.onepiece-requiem.net/t1129-mantle-shoma
                          Qu’est-ce qui s’est passé. Les gens sont tous à terre en train de souffrir. Pourtant Shoma est toujours dans les décombres. Je comprends pas trop. De toute façon j’ai mon duel. J’me demande quel genre de technique utilise se bougre. Il termine son cigare tranquillement. Aucune peur. C’est louche. Même moi j’aurais pris mes jambes à mon cou si j’vois un truc comme ça. Ce Don Diego… Il a trop la classe.

                          -Allez Don coquelicot, tu vas gouter à mes plus belles pommes de terre.

                          C’est pour faire style. Pomme de terre pour dire mes coups de poing. Je regard mes gars deux secondes et j’ai fait un bide total.

                          -0/3000 patron !

                          -Ho la ferme.


                          Shoma sort enfin des décombres et pointe du doigt mon ennemi. J’me retourne et j’le vois en train de courir. Mes hommes se mettent à rire, j’ai l’air con.

                          -C’est ma technique !

                          C’est parti course-poursuite. Moi qui voulais impressionner Shoma, j’ai l’air d’un minable qui poursuit un gars encore plus minable. En plus pourquoi j’dois le chopper ce gars ? J’ai le dial, reste plus qu’à fuir. Oui j’vais fuir.

                          PAN

                          Une balle dans la jambe droite. En réalité, il ne fuyait pas. Ce Don Diego mettait simplement de la distance. Un pistolero… C’est la première fois que je combats contre ce genre de truc. Enfin j’crois. Y’avais pas d’arme à feu sur l’ile du Karaté. On combattait avec tout sauf ça. C’est bien ma veine.

                          -On peut discuter peut-être ?

                          Les balles s’enchainent et j’me mets à danser pour esquiver tout ça. J’finis par prendre un des corps au sol comme bouclier. Il me faut une technique. L’avoir en un coup. Mais oui. Je prends le rejet dial et le place au sol. Je donne le plus puissant coup de poing que je peux. C’est parti. Je fonce.

                          Fantôme
                          Spoiler:

                          Avec la balle dans la jambe, les mouvements sont douloureux. Mais la douleur il la connait. C’est une amie d’enfance. Toujours présente à chaque instant de sa vie. Alors ses mouvements continus jusqu’à ce qu’il arrive au niveau du tireur.

                          -Créve !

                          Il donne un petit coup sur le torse de Don Diego… Et rien. Cette abrutie à replacer le rejet dial dans sa poche. C’est son impact dial non rechargé qui se trouve dans sa main. Alors l’ennemi lui donne un coup de pied en pleine face et dégaine son Katana.

                          -Oui, crève, cordialement.

                          C’est parti pour la série d’esquive du singe. Forcé de reculer pour ne pas se faire couper. Ce Don Diego se débrouille bien. Très bien même. Mieux qu’à l’arme à feu. Des petites coupures un peu partout pour notre homme puis… Un coup en horizontale est dévié de la paume de la main sur le côté. Puis un coup de pied aérien est effectué dans l’oreille.

                          Vertige
                          Spoiler:

                          Le temps que l’ennemi se stabilise, Roger n’est plus dans le champ de vision.

                          Les pas des ténèbres
                          Roger reste dans l’angle mort de son adversaire, il associe cette technique au déplacement de félin.

                          Don Diego ne trouve plus son adversaire. A droite à gauche. Rien à faire. Avec un déplacement sans bruit, le pirate reste dans l’angle mort. Il donne des coups petit à petit jusqu’à ce qu’il réussisse à frapper la main violemment histoire que le Katana s’envole. Une lutte au corps à corps s’en suit. Les coups du blond sont vicieux. Fourchette aux yeux, d’autres coup de vertige. Frappe dans les bijoux de famille. Même s’il est agile, se bougre encaissent quelques coups. Niveau force brute, l’adversaire est plus fort. Mais avec ce genre d’attaque, le singe obtient des ouvertures et donne des coups qui font mal, très mal.

                          L’ennemi s’écroule et Roger met son pied sur le corps et un fait le signe de V pour victoire avec sa main.

                          -Bwahahaha trop facile !

                          -On dit trop facile, cordialement.


                          L’enfoiré n’est pas k.o. Il décale rapidement là le pied sur son corps et donne un coup entre les jambes… Un combat de coup bas.

                          -Mes nounours …

                          Voir un tel combat dégoute. C’est des vrais pirates. Sauf que les coups de vertige offrent le plus grand des avantages. Cette fois, il est parfaitement exécuté. Un saut avec les genoux sur le torse est les mains qui tapent les oreilles. Impossible de tenir debout après cela. Alors le blond en profite pour donner des coups. De nombreux coups jusqu’à ce que cette ennemie ne puisse plus répondre.

                          L’homme a du mal à se relever. Il marche en se tenant l’entre jambes. Mais fier d’avoir gagné. Ce Roger traine la jambe est rejoint ses alliés.

                          -On retourne au sanbi. J’suis fatigué.

                          ***

                          Un de mes hommes dirige la bête avec l’orbe. On peut voir un navire attaché au sanbi. Roger donne son simple impact Dial à Psymon et met la main dans sa poche. Le rejet dial. Un bon petit coquillage. Sauf que…

                          -Pas dans cette poche. Ni celle-là. Pt’in elle est où !! Ce batard a dû me la volée pendant que j’le finissais.

                          La chasse au dial n’est pas terminée...

                          Vers les décombres de l’hotel, Don Diego lance un petit sourire. Le dial en main. Tandis qu’un homme de Carpate Zag traine dans le coin. Pas besoin de beaucoup de temps pour qu’il voit le dial. Un bon coup de pied dans la tronche de Diego et il prend tranquillement le rejet dial.