Le jour de congé, l'unique que je prenais par semaine pour faire autre choses que le boulot. Du moins en théories, car oui, même le jour de congé pouvait être enlevé pour intervenir quelque part. Et tout ceci pouvait arriver rapidement. Pour aujourd'hui disons que pour moi tout se passait bien, j'avais réussi à éviter les problèmes en me réfugiant dans une taverne où je connaissais bien le patron. Un homme gentil avec ses clients, cherchant toujours à satisfaire les demandes et en plus, il me fournissait un papier d'excellente qualité pour ma consommation personnel. Avec une douce bière qui ne me faisait aucun effet, je restais donc là, assise à attendre que la journée passe. Aujourd'hui, j'avais juste envie e ne rien faire, cela m'arrivais de temps en temps et pour cela j'aurais aimais qu'il fasse beau.
Pas pour bronzer, non, au contraire, je serais resté encore plus longtemps dans la taverne s'il faisait beau. Le soleil attire les gens à l'extérieur, il fait en sorte que peu de gens se rassemble dans les bâtiments. Sauf que là, il pleuvait. Ainsi, la taverne était bondée. Assise dos au bar, je regardais vaguement ce qui se passait. Quelques disputes éclataient par-ci par-là, rapidement calmer sans que personne n'interviennent. Plusieurs alcooliques étaient déjà là, titubant, trainant leur pichet de bière un peu partout. Et un d'entre eux s'approcha d'un groupe de charpentier commençant tout juste à manger. Il trébucha en avant et son pichet de bière se renversa sur les charpentiers ainsi que dans leurs assiettes.
Je fermais les yeux, je connaissais l'alcoolique, et maintenant que sa bière était foutue, ce serait un carnage. L'homme hurla de désespoirs en voyant son pichet se fracasser sur le sol, vide. Les charpentiers se levèrent, ainsi que d'autres personnes, plus ou moins concernées. De là où j'étais, je sentais la tension monter. Mangeant ma feuille je lâchais au patron.
- Barn, tu vas devoir changer quelques meubles je pense.
- Ouai...
Il semblait désespérer par l'attitude de ses clients, un sentiment parfaitement compréhensible dans ce genre de situation. Une chaise vola sur l'alcoolique, qui leva brusquement les bras pour se protéger. Le mobilier atterri sur une table renversant plusieurs assiettes. Je soupirais, si cela ne se calmer pas rapidement, je serais obligé d'intervenir, et adieu ma journée de tranquillité.
Pas pour bronzer, non, au contraire, je serais resté encore plus longtemps dans la taverne s'il faisait beau. Le soleil attire les gens à l'extérieur, il fait en sorte que peu de gens se rassemble dans les bâtiments. Sauf que là, il pleuvait. Ainsi, la taverne était bondée. Assise dos au bar, je regardais vaguement ce qui se passait. Quelques disputes éclataient par-ci par-là, rapidement calmer sans que personne n'interviennent. Plusieurs alcooliques étaient déjà là, titubant, trainant leur pichet de bière un peu partout. Et un d'entre eux s'approcha d'un groupe de charpentier commençant tout juste à manger. Il trébucha en avant et son pichet de bière se renversa sur les charpentiers ainsi que dans leurs assiettes.
Je fermais les yeux, je connaissais l'alcoolique, et maintenant que sa bière était foutue, ce serait un carnage. L'homme hurla de désespoirs en voyant son pichet se fracasser sur le sol, vide. Les charpentiers se levèrent, ainsi que d'autres personnes, plus ou moins concernées. De là où j'étais, je sentais la tension monter. Mangeant ma feuille je lâchais au patron.
- Barn, tu vas devoir changer quelques meubles je pense.
- Ouai...
Il semblait désespérer par l'attitude de ses clients, un sentiment parfaitement compréhensible dans ce genre de situation. Une chaise vola sur l'alcoolique, qui leva brusquement les bras pour se protéger. Le mobilier atterri sur une table renversant plusieurs assiettes. Je soupirais, si cela ne se calmer pas rapidement, je serais obligé d'intervenir, et adieu ma journée de tranquillité.