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Bartimeus Law U. Ether - Blue


>> Bartimeus Law U. Ether


Bartimeus Law U. Ether - Blue Avat210
Pseudonyme : Blue
Age: 53
Sexe : Homme
Race : Humain

Métier : Trappeur, chasseur de prime
Groupe : Chasseur de prime
But : Envoyer tous les criminels en prison, se faire un max de blé grâce à leur capture.

Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : -
Équipement :
- Paire de colts à 6 coups
- Fusil de précision
- Couteaux de lancer
- Lame à dépecer

Codes du règlement :

Parrain : Me, Myself, and I.

Ce compte est-il un DC ? : Oui, Alrahyr Kaltershaft
Si oui, quel @ l'a autorisé ? : Elie, Pludto

>> Physique


Large. C’est un bon mot, ça, non ? Mais certainement qu’il en faut plus, pour avoir une bonne description de mon physique. Commençons donc par étapes. Il fait nuit, la ruelle est sombre, et la lune est cachée par la hauteur des bâtiments. Une torche fait danser les ombres derrière moi, ce qui vous permet de distinguer ma silhouette. Silhouette qui n’est pas si grande, finalement, à peine un mètre quatre-vingt. Mais silhouette large (ah, on le retrouve ce mot !) : on devine qu’elle passe tout juste les portes de taille classique. Disons qu’avec un gros veston comme j’ai l’habitude de porter, ça frotte.
Cette longue veste en cuir marron, je l’adore, je la porte depuis une bonne vingtaine d’années. Désormais elle est pas mal abîmée, mais je m’en tape, elle me tient bien chaud. Et puis, il y a quatre grosses poches à l’intérieur pour mettre les quatre supers thermos de café dont je ne peux pas me passer au quotidien. En fait, comme je n’en ai jamais retrouvé une autre qui puisse les contenir, je garde celle-là. Et je l’aime bien.

En plus, cette veste est bien assortie à mon chapeau et à mon foulard, l’un marron et l’autre rouge. Enfin, c’étaient leurs couleurs d’origine, maintenant c’est sale et délavé. Car, comme le veston, je ne les ai pas changés. En fait, comme mes gants en cuir. Et mon jean… D’accord, ma garde-robe, elle n’existe pas. De toute manière, je n’ai pas de chez-moi où la stocker, je porte tout sur mon dos. Alors autant minimiser les quantités de vêtements. Un bon gilet sous la veste, une bonne chemise sous le gilet, et le tour est joué ! Mais mon hygiène n’est pas déplorable pour autant ! Je déteste avoir une odeur sur moi, qu’elle soit bonne ou mauvaise. En réalité, je crois ne pas avoir d’odeur. Et puis, ça facilite les planques et les traques.

Partout sur moi, je porte des multitudes de lanières et de ceintures de cuir, qui me permettent de tenir mes deux colts, mes couteaux de lancer et ma lame à dépecer. Cette lame, je l’ai depuis que je suis parti de mon île d’origine, après le drame. Elle semble éternelle. Mon fusil de précision et tous les accessoires associés – je parle de la lunette, des chargeurs, et des munitions –, je le porte sur mon dos, accroché à une large sangle.

En fait, ça, c’est ce que vous pouvez voir de moi si vous me croisez. Mais j’espère que je ne me limite pas à un physique brut.

Je pense que ma démarche est assurée, et qu’elle montre de moi ma force calme. Enfin, calme… D’accord, je vous l’accorde, je rebondis partout, mais c’est à cause du café ça ! Cette boisson, dont je ne peux pas me passer, me permet de faire mon boulot correctement. Mais en même temps, j’y suis totalement accroc, et elle met mes nerfs et mes sens à vif. Bref, parfois, quand je suis à la limite de l’overdose, ça se voit sur mon visage, qui s’étire comme si j’étais à moitié paralysé.

Mais je ne suis pas comme ça tout le temps ! Quand j’ai la juste dose, je suis totalement normal. Mes yeux bleus me donnent un beau regard, quoique parfois dur, et certains diront strict. Faut dire qu’à mon âge, j’en ai connues des choses, sur les mers des Blues. Mais maintenant va falloir passer à autre chose, de plus… Bein découvrir plus de choses, quoi ! Les blues, c’est bien, mais…

Je m’égare, pardon, j’en étais où… Ah, oui ! Mon visage. Quelques rides, bien évidemment, et une barbe mal rasée, ça fait plus classe. Des sourcils gris toujours froncés – surtout à forte dose de café – et des courts cheveux gris en bataille, souvent dissimulés sous mon fameux chapeau.

En gros, un air de cow-boy. Oui m’sieur ! Et même le parler y contribue ! Même si, encore une fois, les phrases énoncées par ma voix grave sont bien différentes selon la dose de caféine ingurgitée. Oui, je sais, étrange. Parfois, je parle tellement vite que ça en devient incompréhensible.

Enfin, bref !

>> Psychologie


Mwahahahaha

MWAHAHAHAHAHA

HAHAHAHAHAHAHAAAAAA



Quoi, c’est pas suffisant pour me décrire ? Faut vraiment que j’étoffe ? Booooh… Allons-y !

Par quoi commencer, mis à part ce qui guide ma vie ? Je cherche à mettre les méchantes canailles en prison, et pour ça, je m’appuie sur les primes que le Gouvernement et la Marine mettent sur eux. En fait, je trouve que ça me permet de bien visualiser le genre de type, en tenant un historique de leur ascension. Caractériser la dangerosité d’un criminel, c’est une étape essentielle dans sa traque.

S’ils ont une prime sur leur tête, c’est qu’il y a une bonne raison. J’ai choisi d’accorder ma confiance à la Marine, même si certains les critiquent. Après tout, ce sont les seuls qui tentent réellement de mettre de l’ordre dans ce foutoir qu’est le monde ! Et ces satanés pirates et révolutionnaires qui bouleversent tout… Je ne les déteste pas particulièrement, mais je préfère les voir enfermés dans les prisons que dehors. Et puis, ils me permettent en fin de compte de gagner ma vie !

Parce qu’après tout… Qu’aurais-je fait si j’étais resté sur mon île ?

Après tant d’années passées à naviguer sur les Blues, je pense que je vais me diriger vers Grand Line. J’en ai pas mal appris dessus, et je pense que mes compétences de navigation vont me permettre de survivre. Bon, après, va falloir trouver du monde pour y aller, parce qu’il est hors de question que je m’y rende seul. Pas envie de crever !

J’suis comme ça, moi, je tiens à ma vie. Les autres, ils peuvent bien crever, tant que je reste envie. Me, myself, and I. Moi, quoi.

Après, au sujet de la vie des bandits primés… Bah sur la feuille, c’est bien écrit « Dead or Alive ». Et ça, ça veut tout dire. En général, j’évite de les tuer, c’est plus galère à transporter. Alors je les blesse juste. Mais s’ils meurent, c’pas grave hein. J’aurais juste à les porter sur mon dos !

Et mon rapport à l’argent... j’aime l’argent, car il me permet d’acheter de meilleures armes. Je suis très matérialiste, voyez, j’ai besoin d’avoir tout ça avec moi. Pour moi, une arme, il faut qu’en plus d’être efficace, elle soit bien ouvragée. Et puis, à force, j’ai le pognon pour m’acheter des armes comme ça. Il n’y a que ma lame à dépecer que je ne changerai jamais. Cette lame, c’est ma mémoire. Le reste, je m’en tape, du moment que j’ai de quoi tirer à distance comme à courte portée. Et, lorsque je n’ai plus de munition – chose qui arrive rarement vu la quantité avec laquelle je me trimballe –, j’utilise mes couteaux de lancer. Et toutes ces choses, j’ai besoin de les sentir contre moi, sinon je me sens mal.

Enfin, le café. Parce que oui, faut en parler. C’est relativement simple : je ne peux pas m’en passer. En fait, ça m’aide à me concentrer et à réfléchir, à organiser mes traques, et tout ça. Honnêtement, je serais capable de tuer n’importe qui rien que pour avoir ma dose de café. Sans elle, je ne suis plus rien, je tremble, je m’effondre, je suis incapable de tirer droit ou de me battre. J’ai besoin de café. Et ça affecte fortement ma manière d’être. Je deviens complètement malade quand je n’ai pas ma dose. Oui, je suis un drogué. Non, je n’essaierai pas de me sevrer. Car cette dose me permet de faire des exploits incroyables !

Ah, et on m'appelle Blue, même si j'aime pas. Je voue une sorte de culte au nom de Bartimeus Law U. Ether. Mais tout le monde s'évertue à m'appeler Blue, parce que Bartimeus Law U. Ether, c'est trop long pour eux. Alors ils prennent les initiales. Bon, je m'y suis fait hein !

Enfin, bref !

>> Biographie

Viser... Tirer.

La balle traverse la tête du bandit, qui ne s'attendait à rien. Il s'effondre au milieu de la rue, déserte.

- Merdeeeuuuh !

Encore accoudé au parapet en haut du bâtiment qui m’a servi de point de tir, je chope ma tasse de café et en engloutis le contenu.

- Aaahh ! Eh beh, ça va mieux !

Je me remets en joue, vise, et...

- Ah oui mais non, ça sert plus à rien là...

Le café, il aurait fallu le prendre avant...

Mais la question, c'est : comment j'en suis arrivé là ? Non, pas tuer un mec, ça c'est banal... Je parle d'être accroc au café comme ça. Remarquez, c'est assez sympa, c’est ma petite potion magique à moi.

* * *


Il y avait ce gosse, Bartimeus, qui traînait tout le temps avec un ami, un certain Blaise. Ils vadrouillaient par monts et par vaux sur leur île d’origine, quelque part en West Blue. Leur quotidien se résumait en chamailleries, coups fourrés et bonnes parties de rigolade. Les parents du petit Blaise l’avaient abandonné à l’orphelinat à sa naissance, n’assumant pas la charge d’avoir un enfant. Selon le responsable du centre, lesdits parents étaient directement retournés d’où ils venaient, sur Grand Line. Car, malgré leur refus de s’occuper d’un gosse, ils avaient préféré le déposer sur une terre plus hospitalière que celle de leur quotidien.

La famille de Bartimeus avait alors, finalement, recueilli le petit orphelin, qui était donc devenu presque un frère dans la famille. Les deux garçons avaient le même âge, et un caractère similaire en ce qui concernait les divertissements. Mais bon, vous me direz que tous les enfants savent s’amuser ensemble. Mais ces deux-là… Ces deux-là avaient quelque chose, quelque chose qui les rapprochait.

Il paraissait que certaines personnes avaient un petit truc en eux qui les faisaient s’entendre entre elles, naturellement. Mais rien n’avait jamais été prouvé à ce propos, ni expérimenté. Quoi qu’il en soit, Bartimeus et Blaise traînaient exclusivement l’un avec l’autre.

Vous vous doutez bien évidemment de la suite ? Allez, vous allez voir, c’est classique, je vous le donne en mille : le pauvre petit orphelin n’est dans cette histoire que pour mourir et donner une raison à Bartimeus de partir à l’aventure, désireux de le venger. Et malheureusement, c’est comme ça que toutes les histoires commencent, et sachez que ça n’est pas si loin de ce qui est effectivement arrivé ! Que voulez-vous, on ne se refait pas, on ne peut pas renier ses origines et s’inventer un nouveau passé !

Quoi que…

Un jour, les deux gamins partirent de nouveau à l’aventure, comme chaque jour. Ils poussaient à chaque fois plus loin dans l’île, découvrant la forêt, de nouvelles parties du littoral, des criques cachées, des crevasses dissimulées, et tant d’autres merveilles renfermées dans cette magnifique île.

Mais, alors qu’ils arrivaient dans une petite crique, ils aperçurent un navire arborant le drapeau noir des pirates, mouillant là. L’équipage avaient débarqué, et semblait chercher un endroit pour dissimuler un gros coffre que deux hommes à l’allure barbare portaient. Ils eurent l’air de trouver la cache adaptée, car ils creusèrent derrière un bosquet et dissimulèrent leur précieux butin.

Une fois leur tâche terminée, ils partirent tous un peu plus haut sur la colline.

Même si les deux garçons étaient très proche niveau caractère, Blaise était un poil plus intrépide.

- Un trésor piraaaaate ! Viens viens viens, Barti !
- Tu crois ? Faut pas qu’ils nous voient !
- T’inquiète, t’as peur ou quoi ? Allez grouille !

Ils allèrent donc, avec une furtivité toute relative, explorer le fameux bosquet, et y déterrèrent le trésor. Lorsqu’ils ouvrirent le coffre, leurs yeux reflétèrent le brillant doré de leur trouvaille.

- Eh, vous faites quoi là ?

Un immense pirate se dressait derrière eux, les surprenant dans leur larcin.

- Euh, non mais on regardait juste hein, on vole rien !
- Ouais c’est ça ! Vous savez pas à qui vous avez à faire !

Il tendit une affiche devant leurs yeux, une affiche le représentant.

- Ma tête vaut quatre millions de berries ! Et ça fait trois ans que ma prime grossit, et personne n’arrive à m’attraper ! Alors c’est pas deux petits morveux qui vont venir me piller comme ça !

Le capitaine pirate attrapa alors Blaise par le col et entama un geste pour l’envoyer à ses hommes. Mais le petit Bartimeus bondit sur la jambe du grand homme et le mordit à pleines dents, le faisant hurler et l’obligeant à lâcher sa prise sur le môme, qu’il envoya valser dans les bosquets.

- Coooourt Blaise ! T’occupe pas de moi !

Alors Blaise se mit à courir, poursuivi par des pirates. Au détour d’un rocher, il parvint à se cacher. Mais il entendit l’homme primé lui hurler :

- On a ton copain ! Si tu viens, on vous tue tous les deux rapidement, si tu viens pas, on va le torturer et il mourra dans d’atroces souffrances !
- Reste caché Blaise ! Ne vigglgmglghhhggmmmm…
- Tais-toi, toi !
GNAP
- Aïeuh !
- Ne viens pas, ne viens surtout pas !
- Y m’a mordu ! Embarquez-le, on lève l’ancre ! Reprenez le trésor !

Blaise était pétrifié, il n’osait même plus respirer. Et cela dura encore longtemps, jusqu’à ce que la nuit tombe sur l’île. Comment allait-il expliquer cela aux parents de Barti ? Il l’avait sauvé… Qui sait ce qui était advenu de lui ?

Il fut incapable de rentrer à la maison, et profita des recherches menées par les parents et leurs voisins pour passer par une fenêtre, attraper des affaires, un couteau grand couteau à dépecer, et s’en alla à l’autre bout de l’île. Arrivé au seul port insulaire, il s’arrangea pour se faufiler dans un bateau de commerce qu’il savait non-originaire d’ici, de manière à ne pas pouvoir être reconnu.

Durant la traversée, il fut découvert par un matelot, qui l’amena devant le capitaine. Celui-ci lui demanda son nom.

Son nom ?

- Bartimeus Law U. Ether, m’sieur.
- C’est un nom bizarre, ça !
- Oui mais c’est mon nom !!

Interdiction de cracher sur un tel nom, le nom de celui qui l’avait sauvé des pirates ! Désormais, il arborerait fièrement son nom, plutôt que d’être Blaise, il serait Bartimeus.

- Bon, on va te ramener là d’où tu viens… On demandera là-bas à être payé !
- NON ! Je veux partir ! Et puis, personne ne pourra vous payer, là-bas…
- Hehe, gamin ! Et tu comptes faire quoi, en mer ?
- J’veux capturer toutes ces enflures de pirates dont personne ne s’occupe !
- HAHA ! Tu me fais bien rire !

Celui qui avait tué le petit Barti voguait tranquillement, alors qu’il avait une prime sur sa tête. Cela ne pouvait plus être. Dès lors, le nouveau Bartimeus savait ce qu’il allait faire de sa vie.

- C’est vrai d’abord !
- Et t’as quel âge, mon p’tit ?
- Huit ans…
- Et comment tu comptes me payer ta traversée à bord ?
- Avec une prime que j’aurai en capturant un pirate !
- Haha ! Mais je peux pas attendre, moi, tu consommes, tu payes !
- Alors je peux p’t’être travailler pour vous ?
- Eh bah oui, t’es pas si lent à la détente ! Allez, va en cuisine, le chef va s’occuper de te trouver quelque chose d’utile à faire. Il a besoin d’un commis.

Le capitaine attrapa une plume et un bout de papier.

- Hep attend. Tu m’as dit que tu t’appelais comment déjà ?
- Bartimeus Law U. Ether.

Il écrivit le nom complet.

- Mouais… B.. L.. U.. E.. Ce sera mieux, on va t’appeler Blue !
- Nan ! Appelez-moi Bartimeus Law U. Ether !
- C’est trop long, gamin ! Et Blue ça va avec tes yeux !
- Alors au moins Bartimeus !

Pas question de gâcher un si joli nom ! Pas question de renier celui qui l’a sauvé !

- Non non, Blue ça va très bien. Regarde, ce sont les initiales de ton nom.
- Mais je m’appelle pas Blue ! Je m’appelle Bartimeus Law U. Ether !
- Allez, va en cuisine, Blue !

Le cuisinier l’attrapa par le col et l’emmena.

- BARTIMEUS LAW U. ETHER !!!
- Travaille bien, BLUE !

* * *

Pendant des années – de très nombreuses années –, celui qu’on appelait à chaque fois Blue contre son gré, et cela malgré ses nombreuses crises de nerfs à ce sujet, vogua à travers toutes les Blues. Son but : capturer les criminels recherchés par la Marine, leur amener et toucher la prime. Il avait, au passage, acquis une carte officielle de chasseur de primes, lui permettant de travailler en toute légalité.

Avec cet argent, il put s’offrir un attirail conséquent, de manière à toujours chasser de meilleures têtes. Il apprit le tir à bout portant comme à longue distance, le lancer de couteaux, et maintint en activité annexe la chasse et la pêche pour se nourrir lorsque les proies humaines venaient à manquer.

* * *

Voyez, c’était pas bien compliqué ! Ma vie, elle est assez simple. Je pourrais vous en parler longtemps, comme la fois où j’ai arrêté un pirate qui n’avait ni jambes ni bras, mais dont le charisme était suffisant pour continuer à donner des ordres à son équipage. Oh, vous auriez vu la tête des Marines quand je leur ai amené ce fameux « John aux Bras Sanglants » ! Il portait bien son nom, le bougre.

Ah mais, attendez ! J’ai oublié de vous parler du café ! C’est pourtant pas si anodin.

Le café, ça a commencé en même temps que mes traques nocturnes. C’est simple à expliquer hein, je vais pas vous tenir ici des heures. En fait, fallait pas s’endormir. Or, j’étais fatigué. Donc j’ai pris pour habitude d’emmener du café et tout le tralala pour tenir debout lorsque j’attendais mes ptites primes sur pattes. Depuis, j’ai un gros problème : impossible de viser juste quand j’ai pas ma dose de caféine. Je sais qu’un jour je vais devoir me l’injecter en intraveineuse, mais bon… J’ai encore quelques temps j’espère avant que ça n’arrive !

Quoi qu’il en soit, que ce soit pour tirer ou pour me battre, j’ai besoin de boire du café, beaucoup de café. Au moins, ça réchauffe le cœur dans les longues soirées de planque en hiver ! Mais ça ne me réveille plus, désormais. Non, ça me maintient juste capable de faire ce pourquoi je vogue partout sur les Blues : chasser des primes.

Et puis... Moi, j'aime bien le café.

Enfin, bref !
>> Test RP


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Informations IRL

Prénom : Clément
Age : 22
Aime : Plein de trucs !
N'aime pas : Peu de choses
Personnage préféré de One Piece : Shanks, entre autres
Caractère : MWAHAHAHAHA ! Ahem, pardon...
Fait du RP depuis : Quelques années
Disponibilité approximative : Souuuvent ! Quotidienne !
Comment avez-vous connu le forum ? Google



Dernière édition par Blue le Mar 11 Nov 2014 - 18:03, édité 12 fois
  • https://www.onepiece-requiem.net/t12556-bartimeus-law-u-ether
  • https://www.onepiece-requiem.net/t12539-bartimeus-law-u-ether-blue#149381
Rebienvenue Alrahyr !

Tu te souviens de comment ça tourne, j'imagine. Uppe quand tu seras prêt pour ton test RP !

Bon courage, à bientôt !
  • https://www.onepiece-requiem.net/t10413-fiche-de-craig
Merci Craig !

Eh bah c'est bon, je ne crois pas avoir oublié quoi que ce soit pour lancer mon test RP !

En attente...
  • https://www.onepiece-requiem.net/t12556-bartimeus-law-u-ether
  • https://www.onepiece-requiem.net/t12539-bartimeus-law-u-ether-blue#149381
Et voilà le test que je te propose :

Jamy l'ivrogne, primé à vingt millions. Un très gros poisson pour toi, chasseur encore débutant, d'autant que ce boucanier s'est habitué à en dompter de bien plus coriaces et expérimentés. Alors est-ce par cupidité, par défiance, par prétention ou par stupidité que tu décides d'en faire ta proie ? Peu importe, tu renifles sa piste.

Et elle finit par t'amener en forêt dense, à des dizaines de kilomètres de toute forme de civilisation. Jamy erre par là, tu ne sais pas vraiment où, ni pourquoi. Sûrement un truc de pirate, genre un trésor. Ça serait cool, un trésor, ça te permettrait de faire d'une pierre deux coups.

Flingue ? OK. Couteaux ? OK. Munitions ? OK. Café ? ... Pas OK. Pas OK du tout.
Y avait une fuite dans ta réserve. Il en reste tout juste de quoi boire une gorgée. Une petite gorgée. Et derrière toi une discrète traînée brune que tu répandais sans t'en rendre compte, quasi invisible sur la terre, qui représente au moins un bon litre d'élixir gâché...
Pas de bol. Alors, demi-tour ou tu tentes le coup quand même ?

Tu connais la chanson aussi, s'il ne te convient pas, tu peux en demander un autre !

Bonne inspi et à bientôt !
  • https://www.onepiece-requiem.net/t10413-fiche-de-craig



- Jamy l’ivrooooogne !! Il est sur l’île !

Mais c’est pas possible ça… Etre dérangé quand on boit son café, tranquillement accoudé au bar d’une taverne. Ha, vous auriez vu la tête du barman quand je lui ai passé commande ! « Vous préféreriez pas un whisky ? » Non mon vieux, moi je marche au café. Le café, c’est la vie. « Bon, comme vous voudrez ».

Mais son café, il est passé. J’l’aime pas. Alors j’en redemande un autre, plus corsé. Le barman râle, mais moi j’en ai besoin, alors il va me le donner, ou ça va mal aller.

- Et faites m’en plusieurs litres, c’est à emporter. Mettez-les là-dedans.

Je lui dépose mes thermos, tous vides, sur le comptoir.

- Vous avez de quoi payer, l’étranger ?
- J’ai toujours de quoi payer le café.

Son ton se radoucit lorsque je lui dépose une bourse pleine de berries dans la main.

- Vous avez un souci avec le café. Sûr, pour le whisky ? Ici, ça coûte moins cher que le café hein.
- J’suis sûr, oui. Allez, quatre litres s’il vous plaît. Plus une tasse, pour tout de suite.

L’homme qui gueulait dans la rue tout à l’heure continue son capharnaüm, hurlant partout qu’un certain « Jamy l’ivrogne » était revenu.

- C’est quoi son problème à lui ?
- Il a peur, et il est pas l’seul.
- A cause de ce Jamy ?
- Ouaip’, vous connaissez pas ?
- Jamais entendu parler.
- Vous devriez sortir, pour prendre des infos.
- A quel sujet ?
- Vu votre dégaine, sa tête va vous intéresser.
- Ma dégaine ?
- Z’êtes bien chasseur de prime nan ? Alors bougez-vous l’arrière train et allez écouter ce que ce pauvre gueulard a à dire. J’vous remplis vos fûts de café, vous z’en faites pas.

Alors je sors. Une prime, qu’il a dit, ça c’est cool. J’en n’ai pas trouvé des masses récemment, encore une semaine creuse comme ça et j’allais plus pouvoir me fournir en café. C’est que ça coûte cher à force. Et ce barman, oser me proposer du whisky… Non, mais il a pas vu ma tête ?

Alors, ce Jamy l’ivrogne, c’est qui ? Je m’approche de la foule réunie autour du maire, qui tente de les rassurer.

- Vous en faites pas, on va lancer une traque !
- Hein ?
- Le chef de la milice, ici présent, m’assure qu’on le trouvera et qu’on l’enfermera !
- Je peux vous parler une minute ?

Le « chef de la milice », qui vient d’interrompre le maire, le prend à part, laissant la foule se calmer grâce à l’annonce. Je m’approche d’eux, pour les entendre.

- C’est Jamy l’ivrogne, hein, il est primé à vingt millions de berries ! On n’a pas les moyens nécessaires !
- Débrouillez-vous, vous devez protéger ma ville !
- Rien à faire, je mets pas les pieds en forêt avec ce type dedans !

Vingt millions, c’est très très alléchant tout ça… Jamais je ne me suis attaqué à un aussi gros poisson, mais bon… Il y a une première à tout. Et, surtout, j’ai besoin d’argent. Alors, lorsque ce pleutre de milicien s’éloigne de la foule et que le maire continue de leur vendre des mensonges, je rattrape l’homme d’armes.

- Hey, toi. Montre l’affiche.
- Mmh ?
- Montre la prime de Jamy.
- Ah, tiens.

Il me la tend. Effectivement, le bonhomme n’a pas l’air très sympathique, et la prime semble bien officielle.

- Cherche pas, le vieux, c’est un malade ce type.
- Eh j’ai peut-être dépassé la cinquantaine, mais c’est pas mes cheveux grisonnants qui vont m’empêcher de chasser !
- T’en fais partie, hein ?
- De ?
- Ces malades qui pensent pouvoir s’occuper des primes du Gouvernement.
- Je le pense pas, je le fais. Tu crois que j’ai vécu comment jusque maintenant ?

Bim, prend ça.

- Bon, si tu veux vraiment le trouver, il a été aperçu la dernière fois proche de la forêt de l’île.
- C’est par où ?
- Là-bas, à l’ouest. Mais ne compte pas sur nous pour venir te secourir, ni sur une quelconque aide. Déjà, rares sont ceux qui vont dans cette forêt, on l’aime pas. Et ensuite, avec Jamy dans les parages, tous resteront sagement cloîtrés chez eux, toute la journée.
- Même s’il fait jour ?
- Ce type est dangereux ! Qui que tu sois, t’as intérêt à être bon, sinon tu vas finir en compote.
- Autre chose d’intéressant que je dois savoir ?
- Jamy boit beaucoup.
- J’ai dit, d’intéressant.
- C’est important. Il est un peu incapable de se battre s’il n’est pas saoul. Personne ne comprend pourquoi, mais il faut qu’il soit bourré. Mais quand il a bu, c’est une brute épaisse.
- Tiens, c’est marrant ça.
- Pourquoi ?
- Nan rien… Merci pour l’info !

Alors comme ça Jamy, toi aussi tu as ta petite boisson magique ? C’est très drôle tout ça.

Je fais donc un saut à la taverne, le temps de récupérer mes thermos de café, et me voilà fin prêt à partir. Flingues ? OK. Couteaux ? OK. Munitions ? OK. Café ? OK.

C’est parti.

A l’orée du bois, je me fie à mon instinct : Jamy l’ivrogne, tu bois. Beaucoup. Donc tu pue l’alcool. Et cette odeur qui flotte dans l’air, c’est clairement de l’alcool. Allez, une gorgée de café pour maintenir mes sens en éveil en ce début d’après-midi, et on commence la traque.

Au fur et à mesure que j’avance, la forêt se densifie. Je vide un, puis deux thermos de café. Pouah, il est pas assez corsé, mais va falloir faire avec. L’odeur d’alcool, au fur et à mesure, se fait de plus en plus forte, si forte qu’on croirait être arrivé au but. Mais pas encore. Signe que c’est vraiment un gros ivrogne, le Jamy.

Alors je continue, parcourant plusieurs kilomètres, continuant à boire du café. Je n’en aurai plus pour rentrer, pas grave. Au moins j’aurai Jamy, quitte à devenir timbré par manque de café. Au pire je le tue, comme ça il m’embêtera pas pendant le trajet de retour.

Troisième thermos, terminé. Bon, maintenant, faut trouver la prime sur pattes. Maintenant, ça pue vraiment l’alcool, alors il doit pas être loin ! Allez, encore une gorgée et on continue.

- Merde, si j’essaie de boire dans le thermos vide, ça va pas le faire… Celui-là ? Rah, non. Et lui ? Toujours pas… Bon, le dernier ?

Eh mais… Il est pas censé être si léger lui ! Et d’ailleurs, il est tout dégoulinant. Je regarde dedans : il reste un tout petit fond. Merde ! Alors je fais le tour du conteneur et y découvre un trou, un petit trou, vers le bas. Il fuit depuis combien de temps ? Je me retourne, reviens un peu sur mes pas. Une traînée de café se mêle à la terre. Impossible à récupérer.

Je tremble. Sans café, c’est impossible !

- Faut que je rentre…

Je dis ça tout bas, évidemment, mais je ne peux pas garder cette peur dans ma tête.

- Oh mais qui voilà ?

Merde, c’est qui ça ? Jamy ? Oui, c’est évident, il pue encore plus l’alcool que l’air ambiant. Donc Jamy, on fait pas les présentations hein, ça sert à rien. Pourquoi je tombe sur toi dans le pire moment ?

- Eh j’te connais toi !
- Qui, moi ?
- Ouais ! T’es le chasseur de primes, Blue !

Eeeeeey, comment il me connaît cet ivrogne ?

- Haha, ils m’ont dit de faire gaffe à toi, que t’es un bon ! Mais j’vais te piétineeeeer !

Merde merde merde merde merde merde merde merde merde et re-merde ! Comment je peux m’en sortir de ça ? Avec du café, je veux bien, mais là, battre un ivrogne sadique de deux fois ma taille dans mon incapacité la plus complète, faudra qu’on m’explique comment faire !

Mais... Comment il me connaît ? Pas le temps !

J’esquive sa première attaque, évitant de justesse sa grosse hache qui vient fendre l’arbre qui se trouvait derrière moi. Encore à terre, sur le côté, je sors mes deux colts et vide mes barillets de six coups sur lui.

Bon, normalement, après ça, mes primes sur pattes, elles sont bien mûres et prêtes à être récoltées. Mais là, pas de café. Pas de café, pas de visée. Pas de visée, pas de cible atteinte. Pas de cible atteinte…

Pas de cible atteinte.

Et là, clairement, ça va poser un sérieux souci. Je croyais que le café ferait encore effet quelques temps, mais la piètre qualité de la mixture préparée par ce foutu barman me laisse en plan.

Bien heureusement, il semble que le Jamy, il vienne à décuver. Enfin, on pourrait prétendre l’inverse en le voyant ainsi déambuler, ayant perdu le sens de l’équilibre, mais moi je comprends bien la situation. Parce que ça me fait la même chose en ce moment. Mes sens se troublent, mes oreilles sont assourdies par de nombreux acouphènes, mon odorat ne parvient même plus à humer la puanteur de l’alcool, et mes mains tremblent plus que si la température était proche du zéro absolu.

Et je vous assure, une situation comme ça, c’est super chiant.

Mais malgré mes étourdissements, j’aperçois l’ivrogne qui titube à ma manière, s’affalant à terre, tentant de ramper quelque part. Certainement son campement !

S’entame alors une course de bras cassés, lui essayant d’atteindre sa potion magique, l’alcool, et moi préférant miser sur le fait que dans cet état, je serai capable de battre le bandit. On rampe alors à pleine vitesse – c’est-à-dire à peu de choses près la vitesse d’une limace. C’est une course effrénée qui se déroule sous mes yeux, car même si la lenteur est intense, je sais que nous ressentons tous deux une sensation de vitesse inimaginable.

En bref, c’est un dur moment à passer.

Dans mon agonie de limace, j’en profite pour saisir mon fusil, le caler contre mon épaule, et tirer plusieurs coups. Un arbre, une feuille, un rocher, un autre arbre, de la terre. Super, cinq coups totalement dénués d’intérêt ! T’en as d’autres, des idées à la con, comme ça ?

Des idées à la con… Non ! Mais une idée de génie, oui ! Je saisis alors mon thermos percé, me rappelant tant bien que mal qu’il reste un petit fond, que j’avale en vitesse, tentant de ne pas renverser ce précieux breuvage par terre.

Mes idées deviennent plus claires, je vois à nouveau ! Mes mains cessent peu à peu de trembler, je recouvre l’ouïe… Alors je compte. Il me reste une balle dans mon fusil, et je n’ai pas le temps de recharger, avant que les effets se dissipent.

Je me relève, chancelant, j’agrippe mon arme, et je tire.

Directement dans la tête.

Puis je retombe au sol, lamentable. Une simple gorgée d’un bon café corsé m’aurait tenu debout plus longtemps, mais ce jus de chaussettes… Pouah !

Quoi qu’il en soit, même si je souffre comme jamais, Jamy l’ivrogne ne boira plus jamais d’alcool. En fait, il ne fera plus jamais rien.

Ce qu’il me reste à faire ? Prier pour qu’il n’ait pas de complice, me prendre la tête dans mes mains de peur qu’elle n’explose, retrouver mon chemin dans cette maudite forêt, galérer comme jamais en rampant de manière pathétique, traînant ma victime, essayer de faire bonne figure au village, trouver du café qui en vaille le coup, livrer mon prisonnier – mort – et récupérer ma prime.

Normalement, c’est un jeu d’enfant. Mais là… Bon, j’ai déjà réussi à faire ça, alors il n’y a pas de raison !

Allons-y !


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Yo Blue, premier avis !

Point forme, succin : ortho très propre (j'ai pas l'oeil pour ces choses-là, rien de choquant disons) style fluide qui se marie bien au perso. Impeccable à ce niveau-là.

=> Descriptions. Parfait, on visualise totalement le vieux briscard, ses façons d'être et de paraître. Marrant, sa mentalité fleure pas trop la cinquantaine. J'lui aurais donné la carrure d'un petit jeunot avide avant d'avoir lu son âge et son physique hihi.

=> Bio. Elle est courte, elle balaye que les origines du bonhomme, mais elle pose bien le concept, le contexte et le héros. Courte mais efficace. Mention spéciale pour le vol de l'identité du copain d'enfance, ça renouvelle bien le cliché du souvenir douloureux d'un camarade d'enfance mine de rien. Au lieu de rester dans sa mémoire, il squatte maintenant carrément son nom...

Le petit Blaise timoré et traumatisé se décoince peut-être un peu trop vite, il se décide rapidement à partir sur les mers. Il plaque tout, sans vraiment réfléchir, façon révélation mystique et instinct de revanche instantané. Pourquoi pas, même si ça m'a paru un peu précipité.

=> RP. La résolution du souci m'a paru assez facile, mais bon, l'intitulé du test pouvait inviter à partir dans ce sens. La toute dernière goutte de café qui te sauve de justesse, on la voyait venir quand même hihi. Idem pour Jamy, je m'attendais à cette baston entre addicts qui carburent à leurs ambroisies respectives. Et qui se retrouvent tout deux à sec. Huhu. Le combat reste vachement bien tourné. Puis au moins, il est équitable...

Le reste est très cool. Je pensais que tu te centrerai sur la traque en forêt, mais tu as inclus l'intro. Alors, forcément, il se passe beaucoup de choses, pas toujours développées à fond (largement assez pour qu'on se les imagine bien ceci dit) en l'équivalent d'un seul post RP. A titre personnel, je suis pas fan de ce genre d'intrigues compressées, même si, comme je l'ai souligné plus haut entre parenthèses et que je m'apprête à surligner cette fois, sans parenthèses, l'action et le scénar restent limpides avec un style bien fluide, efficace, tout en étant bien vif.

Bref, convaincu. Je tape sur le 800 D, et si le collègue qui passera derrière moi veut, pourquoi pas les 1000.
  • https://www.onepiece-requiem.net/t10413-fiche-de-craig

Hoy Blue ! Dabedi Dabeda...

Un point forme, pour chipoter sur les fautes :
« tant que je reste envie » >> T'as oublié un espace entre « en » et « vie »Razz
« J’aurais juste à les porter sur mon dos ! » >> « J'aurai », c'est du futur.
Voilà pour l'orthographe et les fautes de frappes. Autre petit côté forme qui m'embête un peu, le choix de la première personne descriptive pour les descriptions. Ça peut paraître un peu bizarre dit comme ça, mais j'ai du mal avec ça. D'abord parce qu'il ne s'agit pas d'un regard sur soi-même, mais bien d'un regard sur une autre personne, ta narration est complètement en dehors. Cependant, il s'agit bel et bien de toi. On dirait que tu sors de ton corps pour prendre un peu de recul sur toi-même, et je trouve ça maladroit.

Donc mis à part ce petit aspect formel, les descriptions, autant physique que psychologique, sont très complètes, et on capte bien tout le personnage, rien à dire là-dessus.

Pour la bio, c'est bien sympa en règle générale, bien que tu t'attardes peu sur autre chose que son « départ ». Toute cette partie est très bien, il me manque sans doute un peu plus de choses sur la fin. Et l'addiction au café me paraît un peu parachutée à la fin, j'aurais sans doute préféré que la justification soit un peu plus cherchée, héhé.

Le test est bien. Même si la fin est très attendue, et un peu facile. Manque sans doute un peu de développement sur le personnage de Jamy, j'suis très attaché aux Pnjs, et il manque d'un peu de profondeur à mon sens. Même si ce n'est qu'un test Rp, s'arrêter un peu plus sur lui aurait été bienvenu.

Tout ça pour être un poil moins convaincu que Craig pour plusieurs petites raisons et aller taper sur du 750.

Ce qui te valide à 775 Dorikis.

Bon jeu ! Pluche.
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