Pour des raisons de force mineures, cette quête est déconseillée aux moins de dix-huit ans, les épileptique, hémophile, allergique au foin, ceux aux poils de chat. Ceux qui n'aiment pas les poissons et les poisons. Ceux qui n'aiment pas le café ou la bière. Tout ceci, pour des raisons de sécurité plus qu'importante. Je nie donc, à ceux qui lisent, toute responsabilité, sur les envies de vomir, les vertiges, les saignements de nez ou tout problème vous concernant comme la tumeur que j'vois dans ton œil la tous de suite !
Attention, cette avertissement n'est pas une blague.
J'marche. Tranquille. Y'a du soleil, y fait chaud, j'suis dehors. C'parfait. Bras gauche en écharpe. Plus pour l'principe que par utilité. Pis comme ça les gens m'emmerdent moins. J'peux presque l'utiliser comme avant. L'seul truc qui m'dérange. C'est l'troue dans l'torse. Ouais. Aoi m'a pas loupé. Ça va rester. Elle me le payera. Surtout qu'elle capte pas qu'j'aime pas l'intérieur. Ouais. Belle langue, p'tit cerveau. Toujours pareil. Et v'là que j'parle avec des mots compliqué. Mais pas capable d'comprendre.
Tan pis. J'vais faire c'qu'elle m'a d'mandé. Profiter un peu pour buter. Pis j'me casse. Ouais, ça d'vrais l'faire. J'me balade en ville. Ouais, faut que j'trouve des coins à piller. Banque, bijouterie. Magasin divers. Y'en a plein. J'note dans ma tête. Chai pas écrire t'façon. Ni faire un plan. Et t'façon j'pourrais pas m'relire. J'y passe la journée. C'est chiant. Pis y'a personne à tuer. Et j'ai la dalle. Acheter. Ouai, faudrait que j'prenne un truc. J'ai un peu d'sous. Juste de quoi m'payer d'quoi m'remplir l'bide. Et j'le fais. Ouais. Un bon steak bien saignant. Ça c'est bon. J'm'éloigne des grandes rues. J'grimpe sur un toit. J'me pose tranquille là où y'a personne. Fin c'est c'que j'pensais.
-Pssst, germain !
-Ouai ?
-Tu vas acheter le fruit du démon ce soir.
-Même si je dois y passer ma fortune, je le prends. On n'en voit pas tous les jours des fruits pareils.
J'penche la tête par d'sus le toit. Fruit du démon. P'tête que j'pourrais récupérer mon pouvoir. Ouais, celui qu'j'ai perdu à Impel. Putain d'prison. J'frissonne de plaisir rien qu'd'y penser. Rha, cette douleur. J'divague légèrement. Pis j'me décide. C'fruit est à moi. Ouaip. J'saute et dégaine mon épée courte. PAF. J'tombe sur les épaules d'un des deux. Pis d'un coup, je tranche l'autre. Du haut vers l'bas. Ça s'plante dans son crâne. Et ça s'coince. Mort. Ouais déjà ça de fait. L'sang coule. J'lâche ma lame sous l'choc. J'tombe par terre. Roulade. J'me relève et j'saute sur l'autre. J'le plaque au sol. Dégaine ma dague et lui plaque sur la gorge.
-Où est l'fruit ?
Y répond pas. C'connard. Il s'agite. Chui pas doué pour t'nir les gens. J'frappe un coup. L'pommeau de la dague dans l'nez. Y s'brise. J'tends ma main gauche et l'bâillonne. Plein d'bandage. J'men fou, ça m'sert à rien. Il mord. J'souris. J'enfonce ma main. La mâchoire s'écarte et j'l'enlève.
-Où est vendu le fruit ? Réponds et j'te laisse en vie.
- Au marché noir.
- Il est où ?
Il m'indique la route. Tranquille. C'crétin y crois vraiment qu'il va vivre ? En plus la vente et se soir. Pff parfait. J'ai deux heures. J'lève ma dague. J'la retire. Paf dans l'œil. Jusqu'à la garde. Il tressaute, le liquide coule. J'souris, il est mort. J'me lève, j'retire ma dague. L'essuie. La range. Pis j'vais retirer mon épée. Tchac. Ça c'est fait. J'rouspète légèrement en voyant l'sang sur ma veste. J'l'enlève. Pis j'lèche. Ouais, ça d'vrais partir comme ça, si j'fais ça vite. Ça part. Presque, t'façon, y vas bientôt faire nuit. Personne le verra. J'fouille les cadavres. Un fil de fer, un peu d'argent. Des clopes. Ho, fait longtemps. J'ai pas fumé depuis bien avant Impel. J'le prends. J'fouille encore. Ha un briquet. S'parfait. Tranquillement, j'm'éloigne en f'sant attention à pas laisser des traces de sang. Tuer, être discret. V'là c'qu'on m'avait dit. J'le fais.
J'me pose dans un coin. Tranquille. Fin sur un toit. Pas loin d'là où j'dois aller. Ouais, l'fruit s'ras là ce soir. J'sors une clope du paquet. J'l'allume. J'tire. Kof, Argh, saleté, j'tousse. Mais ça fait du bien. Tin, longtemps, vraiment longtemps. J'm'allonge et j'attends. J'aime pas attendre. Du coup, j'fume, encore et encore. Jusqu'à que ça s'agite. Ouais, du monde entre dans l'bâtiment. J'descends du mien et j'me mêle à la foule. Reste deux clopes.
Aucun problème. Ya des gens d'tout genre. Des comme moi, des riches. Tous les connards du royaume. S'parfait. On traverse un marché souterrain. C'est organisé. Bien plus que c'que j'connais. Pis on finit par entrer dans une pièce spéciale, on m'prend mes armes à l'entrée. Tin, la dèche. J'me mets au premier rang. Des enchères. J'ai pas d'argent, j'men fou. Ils le savent pas. N'empêche. Y auraient pu faire ça dehors ces bâtards. Heureusement qu'là salle est grande. Sinon, j'pét'rais d'jà un câble. La j'me r'tiens, va y'avoir des morts.
Attention, cette avertissement n'est pas une blague.
J'marche. Tranquille. Y'a du soleil, y fait chaud, j'suis dehors. C'parfait. Bras gauche en écharpe. Plus pour l'principe que par utilité. Pis comme ça les gens m'emmerdent moins. J'peux presque l'utiliser comme avant. L'seul truc qui m'dérange. C'est l'troue dans l'torse. Ouais. Aoi m'a pas loupé. Ça va rester. Elle me le payera. Surtout qu'elle capte pas qu'j'aime pas l'intérieur. Ouais. Belle langue, p'tit cerveau. Toujours pareil. Et v'là que j'parle avec des mots compliqué. Mais pas capable d'comprendre.
Tan pis. J'vais faire c'qu'elle m'a d'mandé. Profiter un peu pour buter. Pis j'me casse. Ouais, ça d'vrais l'faire. J'me balade en ville. Ouais, faut que j'trouve des coins à piller. Banque, bijouterie. Magasin divers. Y'en a plein. J'note dans ma tête. Chai pas écrire t'façon. Ni faire un plan. Et t'façon j'pourrais pas m'relire. J'y passe la journée. C'est chiant. Pis y'a personne à tuer. Et j'ai la dalle. Acheter. Ouai, faudrait que j'prenne un truc. J'ai un peu d'sous. Juste de quoi m'payer d'quoi m'remplir l'bide. Et j'le fais. Ouais. Un bon steak bien saignant. Ça c'est bon. J'm'éloigne des grandes rues. J'grimpe sur un toit. J'me pose tranquille là où y'a personne. Fin c'est c'que j'pensais.
-Pssst, germain !
-Ouai ?
-Tu vas acheter le fruit du démon ce soir.
-Même si je dois y passer ma fortune, je le prends. On n'en voit pas tous les jours des fruits pareils.
J'penche la tête par d'sus le toit. Fruit du démon. P'tête que j'pourrais récupérer mon pouvoir. Ouais, celui qu'j'ai perdu à Impel. Putain d'prison. J'frissonne de plaisir rien qu'd'y penser. Rha, cette douleur. J'divague légèrement. Pis j'me décide. C'fruit est à moi. Ouaip. J'saute et dégaine mon épée courte. PAF. J'tombe sur les épaules d'un des deux. Pis d'un coup, je tranche l'autre. Du haut vers l'bas. Ça s'plante dans son crâne. Et ça s'coince. Mort. Ouais déjà ça de fait. L'sang coule. J'lâche ma lame sous l'choc. J'tombe par terre. Roulade. J'me relève et j'saute sur l'autre. J'le plaque au sol. Dégaine ma dague et lui plaque sur la gorge.
-Où est l'fruit ?
Y répond pas. C'connard. Il s'agite. Chui pas doué pour t'nir les gens. J'frappe un coup. L'pommeau de la dague dans l'nez. Y s'brise. J'tends ma main gauche et l'bâillonne. Plein d'bandage. J'men fou, ça m'sert à rien. Il mord. J'souris. J'enfonce ma main. La mâchoire s'écarte et j'l'enlève.
-Où est vendu le fruit ? Réponds et j'te laisse en vie.
- Au marché noir.
- Il est où ?
Il m'indique la route. Tranquille. C'crétin y crois vraiment qu'il va vivre ? En plus la vente et se soir. Pff parfait. J'ai deux heures. J'lève ma dague. J'la retire. Paf dans l'œil. Jusqu'à la garde. Il tressaute, le liquide coule. J'souris, il est mort. J'me lève, j'retire ma dague. L'essuie. La range. Pis j'vais retirer mon épée. Tchac. Ça c'est fait. J'rouspète légèrement en voyant l'sang sur ma veste. J'l'enlève. Pis j'lèche. Ouais, ça d'vrais partir comme ça, si j'fais ça vite. Ça part. Presque, t'façon, y vas bientôt faire nuit. Personne le verra. J'fouille les cadavres. Un fil de fer, un peu d'argent. Des clopes. Ho, fait longtemps. J'ai pas fumé depuis bien avant Impel. J'le prends. J'fouille encore. Ha un briquet. S'parfait. Tranquillement, j'm'éloigne en f'sant attention à pas laisser des traces de sang. Tuer, être discret. V'là c'qu'on m'avait dit. J'le fais.
J'me pose dans un coin. Tranquille. Fin sur un toit. Pas loin d'là où j'dois aller. Ouais, l'fruit s'ras là ce soir. J'sors une clope du paquet. J'l'allume. J'tire. Kof, Argh, saleté, j'tousse. Mais ça fait du bien. Tin, longtemps, vraiment longtemps. J'm'allonge et j'attends. J'aime pas attendre. Du coup, j'fume, encore et encore. Jusqu'à que ça s'agite. Ouais, du monde entre dans l'bâtiment. J'descends du mien et j'me mêle à la foule. Reste deux clopes.
Aucun problème. Ya des gens d'tout genre. Des comme moi, des riches. Tous les connards du royaume. S'parfait. On traverse un marché souterrain. C'est organisé. Bien plus que c'que j'connais. Pis on finit par entrer dans une pièce spéciale, on m'prend mes armes à l'entrée. Tin, la dèche. J'me mets au premier rang. Des enchères. J'ai pas d'argent, j'men fou. Ils le savent pas. N'empêche. Y auraient pu faire ça dehors ces bâtards. Heureusement qu'là salle est grande. Sinon, j'pét'rais d'jà un câble. La j'me r'tiens, va y'avoir des morts.
Dernière édition par Shippû Kurushimi le Mer 11 Fév 2015 - 16:11, édité 1 fois