Je regarde Grey s'éloigner. Ma respiration reprend un rythme normal. Je souffre toujours comme un chien, un chien sacrément mal traité d'ailleurs, mais au moins je ne saigne plus. Ce qui est à tout les égards plutôt une bonne nouvelle. Bon …
Je fais quoi ?
Si on regarde les possibilités qui s'offrent à moi, le choix est simple. J'ai la voie du sociopathe, je m'amuse à défoncer du marine jusqu'à plus finir. La voie du pillard, je suis la horde de guignol qui cherche à arracher à la marine un paquet de pacotille en tout genre. Puis la voie du vautour qui consiste à foutre le camps le plus rapidement de ce bordel.
T'en penses quoi toi Vautour ? Qu'est ce qu'on devrait faire ?
Crôaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !
Le contraire m'aurait étonné tiens … Et merde,c'est bien un bruit de flingue ça. De flingues même. Je me retourne et voilà un demi-cercle de marines qui me braquent fermement mais gentiment la tronche avec leur armes. Je soupire, on leur apprend quoi dans les académies militaires ? Que ces merdes cracheuses de balles ont une quelconque utilité ? Si c'est ça on leur apprend vraiment que des conneries. Des hommes de Posta ou de Garde ? Arf … C'est pas comme si j'allais être capable de le savoir rien qu'en regardant leur uniforme. C'est des troufions de la marine comme il y en a des régiments entiers. Comme il en meurt par régiments entiers.
Rends toi Dyrian. Tu es cerné !
C'est qu'il arrive presque à le dire sans tremblement de peur dans la voix. Ils ont sûrement un paquet de défauts, mais ça on ne peut le leur enlever. Ces bougres sont sacrément courageux … ou stupides. Ma respiration est lourde et la fumée qui encrasse mes poumons n'aide pas. Le goût du tabac se mêle à celui du sang, je ne rêve que d'une chose. Boire. Ma gorge est désespérément sèche, ce qui est plutôt ironique vue la quantité de flotte qui tombe C'est avec le regard pleine de fatigue que je réponds. Du coup vous me capturez ou on se bat ?
Imaginons que je me rende. Il se passe quoi ? Vous avez du granit marin, un endroit où m'enfermer ? Puis faudra des types pour m'escorter, garder ma geôle. Vous pensez pouvoir vous permettre ce genre de dépense matérielle et humaine au beau milieu d'une bataille ?
C'est que … en fait …
Bon bah, ils sont définitivement plus stupides que courageux. Et je n'arrive pas à déterminer si c'est plutôt une bonne ou une mauvaise nouvelle. Enfin bref. La bouche de leurs armes est toujours pointé sur ma pauvre tête prête à cracher du plomb.
Bon les gars … C'est que j'ai pas toutes la journée moi.
Mon sable file, tranchant net l'embout des canons comme il aurait pu trancher leur carotide. Ils sont loin mais c'est comme si je les entendais déglutir d'ici. Ah en voilà un plus téméraire que les autres qui s'élance sabre à la main dans ma direction. L'attaque est brouillonne et je l'esquive d'un simple pas de côté. Le tranchant de ma main vient frapper sa gorge. Il tombe au sol en s'étouffant.
Si vous voulez faire un truc d’utile … Vous avez une commodore à mettre en lieu sur. Mais si ça vous intéresse on vous pouvez vous amusez à mouliner dans le vent pendant que je vous met au tapis un par un. Le choix est le votre.
Ah le zèle des fonctionnaires. Mon genou foudroie l'un de mes assaillants en plein estomac. Ils sont bien trop lent pour prendre à défaut mon kaki et trop faible pour souffrir mes attaques. Ils tombent les uns après les autres. Les derniers semblent hésiter. Toujours la même chose. Du visage je désigne Hilda Garde qui gît toujours au sol.
Je crois que vous avez compris de qui vous feriez mieux de vous occuper.
Combattre des sous fifres n'a aucun intérêt. La seule chose qui pourrait m’intéresser sur ce maudit rocher, c'est un moyen de le quitter. Et pas l'ombre d'un à vue.
Je fais quoi ?
Si on regarde les possibilités qui s'offrent à moi, le choix est simple. J'ai la voie du sociopathe, je m'amuse à défoncer du marine jusqu'à plus finir. La voie du pillard, je suis la horde de guignol qui cherche à arracher à la marine un paquet de pacotille en tout genre. Puis la voie du vautour qui consiste à foutre le camps le plus rapidement de ce bordel.
T'en penses quoi toi Vautour ? Qu'est ce qu'on devrait faire ?
Crôaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !
Le contraire m'aurait étonné tiens … Et merde,c'est bien un bruit de flingue ça. De flingues même. Je me retourne et voilà un demi-cercle de marines qui me braquent fermement mais gentiment la tronche avec leur armes. Je soupire, on leur apprend quoi dans les académies militaires ? Que ces merdes cracheuses de balles ont une quelconque utilité ? Si c'est ça on leur apprend vraiment que des conneries. Des hommes de Posta ou de Garde ? Arf … C'est pas comme si j'allais être capable de le savoir rien qu'en regardant leur uniforme. C'est des troufions de la marine comme il y en a des régiments entiers. Comme il en meurt par régiments entiers.
Rends toi Dyrian. Tu es cerné !
C'est qu'il arrive presque à le dire sans tremblement de peur dans la voix. Ils ont sûrement un paquet de défauts, mais ça on ne peut le leur enlever. Ces bougres sont sacrément courageux … ou stupides. Ma respiration est lourde et la fumée qui encrasse mes poumons n'aide pas. Le goût du tabac se mêle à celui du sang, je ne rêve que d'une chose. Boire. Ma gorge est désespérément sèche, ce qui est plutôt ironique vue la quantité de flotte qui tombe C'est avec le regard pleine de fatigue que je réponds. Du coup vous me capturez ou on se bat ?
Imaginons que je me rende. Il se passe quoi ? Vous avez du granit marin, un endroit où m'enfermer ? Puis faudra des types pour m'escorter, garder ma geôle. Vous pensez pouvoir vous permettre ce genre de dépense matérielle et humaine au beau milieu d'une bataille ?
C'est que … en fait …
Bon bah, ils sont définitivement plus stupides que courageux. Et je n'arrive pas à déterminer si c'est plutôt une bonne ou une mauvaise nouvelle. Enfin bref. La bouche de leurs armes est toujours pointé sur ma pauvre tête prête à cracher du plomb.
Bon les gars … C'est que j'ai pas toutes la journée moi.
Mon sable file, tranchant net l'embout des canons comme il aurait pu trancher leur carotide. Ils sont loin mais c'est comme si je les entendais déglutir d'ici. Ah en voilà un plus téméraire que les autres qui s'élance sabre à la main dans ma direction. L'attaque est brouillonne et je l'esquive d'un simple pas de côté. Le tranchant de ma main vient frapper sa gorge. Il tombe au sol en s'étouffant.
Si vous voulez faire un truc d’utile … Vous avez une commodore à mettre en lieu sur. Mais si ça vous intéresse on vous pouvez vous amusez à mouliner dans le vent pendant que je vous met au tapis un par un. Le choix est le votre.
Ah le zèle des fonctionnaires. Mon genou foudroie l'un de mes assaillants en plein estomac. Ils sont bien trop lent pour prendre à défaut mon kaki et trop faible pour souffrir mes attaques. Ils tombent les uns après les autres. Les derniers semblent hésiter. Toujours la même chose. Du visage je désigne Hilda Garde qui gît toujours au sol.
Je crois que vous avez compris de qui vous feriez mieux de vous occuper.
Combattre des sous fifres n'a aucun intérêt. La seule chose qui pourrait m’intéresser sur ce maudit rocher, c'est un moyen de le quitter. Et pas l'ombre d'un à vue.
Dernière édition par Galowyr Dyrian le Ven 8 Jan 2016 - 20:06, édité 1 fois