Orange, une ville plutôt agréable pour n’importe qu’elle touriste, un endroit sans aucun marin. Le bonheur parfait. En effet, n’étant pas encore recherché, je pouvais me balader tranquillement sans que l’on sache qui j’étais. Je m’étirais un coup en regardant autours de moi. J’étais dans cet endroit simplement pour m’amuser, le dernier navire commerçant avait fait escale ici et j’avais décidé d’y rester. Un endroit qui c’était révéler tout de même un peu bizarre, au fond de moi, je sentais que quelque chose allait arriver. Bizarrement, cela m’excitait. Oui, j’aimais l’action, des choses si amusantes, en général, le sang et la douleur. Hmmm cette douleurs si bonne, cette chose que j’apprécie tellement dans la vie. Je baillais tranquillement avant de remarquer une scène étrange. Un groupe d’homme pénétrait de force dans une maison fracassant tout sur leurs passages.
Je me posais contre un mur observant la scène, deux homme attendais dehors tendit que 6 autres rentrais précipitamment a l’intérieur. On entendit distinctement un hurlement qui me fît frémir de plaisir et, quelques secondes plus tard, le groupe ressortis en tenant une femme qui se débattait de toutes ses forces. Elle semblait terrifier ce qui paraissait normal dans ce genre de situation. Je constatais donc qu’il n’y avait pas de marin mais, qu’il y avait bien une loi dans cette endroit, sans aucun doute que quelqu’un tirait les ficelles quelque part. Me remettant lentement à marcher, je suivais à distance le groupe qui emmenait la femme. Oui, je voulais découvrir ce qui se passait dans le coin. Cela pouvait être intéressant. Néanmoins, cela ne marcha pas, le groupe me distança rapidement et certaine personne me dévisageais. J’avais en effet changeais de vêtement depuis un petit moment, portant un débardeur noir a capuche, celle-ci possédant un symbole blanc, un pantalon noir et souple, je portais toujours mon sabre et mon katana ainsi que ma dague bien visible.
Je finis donc par arrêter de suivre le groupe, oui, je ne voulais pas me retrouver avec tous les habitants sur le dos. Tournant dans une ruelle, je changeais d’endroit afin de ne pas me faire remarquer. Oui, il est plus facile de tuer et torturer quelqu’un lorsqu’il n’y a pas 100 personnes qui veule vous tuer à côté. Soupirant je continuais donc de marcher sans vraiment de but.
Je me posais contre un mur observant la scène, deux homme attendais dehors tendit que 6 autres rentrais précipitamment a l’intérieur. On entendit distinctement un hurlement qui me fît frémir de plaisir et, quelques secondes plus tard, le groupe ressortis en tenant une femme qui se débattait de toutes ses forces. Elle semblait terrifier ce qui paraissait normal dans ce genre de situation. Je constatais donc qu’il n’y avait pas de marin mais, qu’il y avait bien une loi dans cette endroit, sans aucun doute que quelqu’un tirait les ficelles quelque part. Me remettant lentement à marcher, je suivais à distance le groupe qui emmenait la femme. Oui, je voulais découvrir ce qui se passait dans le coin. Cela pouvait être intéressant. Néanmoins, cela ne marcha pas, le groupe me distança rapidement et certaine personne me dévisageais. J’avais en effet changeais de vêtement depuis un petit moment, portant un débardeur noir a capuche, celle-ci possédant un symbole blanc, un pantalon noir et souple, je portais toujours mon sabre et mon katana ainsi que ma dague bien visible.
Je finis donc par arrêter de suivre le groupe, oui, je ne voulais pas me retrouver avec tous les habitants sur le dos. Tournant dans une ruelle, je changeais d’endroit afin de ne pas me faire remarquer. Oui, il est plus facile de tuer et torturer quelqu’un lorsqu’il n’y a pas 100 personnes qui veule vous tuer à côté. Soupirant je continuais donc de marcher sans vraiment de but.