Eydie se tient au bord de la petite barque qu'elle avait "emprunté", et regarde l'Îlot Flottant vers lequel elle fait cap. Quelle île épatante ! Il n'en fallut pas plus que son paysage pour raviver l'énergie de la jeune fille. Elle languit de toutes les découvertes qu'elle fera une fois là bas, sans se soucier des tribus qui y vivent.
A peine la petite barque touche le sol qu'elle se jette par dessus bord, un grand sourire au lèvre. La fraîcheur de l'eau envahit alors tout son petit corps, mais le premier réflexe qu'elle a est de placer son sac au dessus de sa tête pour éviter de le mouiller. En effet, l'eau lui arrive aux côtes. Mais ni la fraîcheur, ni la profondeur de l'eau ne peut nuire à la jovialité d'Eydie. Elle court, ou du moins, se déplace comme elle peut avec hâte vers le rivage. Une fois arrivée sur la terre ferme, elle remet correctement son sac sur ses épaules tout en vérifiant qu'il soit bien sec, puis reprend sa course vers la jungle.
Et c'est donc l'air émerveillée qu'elle fait ses premiers pas dans l'hostile forêt. Elle court aussi vite qu'elle le peut, dégageant les branches sur son chemin. A cause de sa petite taille, elle ne dépasse pas tout à fait toutes la végétation qui l'entoure, et se retrouve de dans en temps à devoir faire de grand bonds pour voire au dessus. Les arbres lui semblent titanesques et donc leurs branches, inatteignables. Cependant, sur l'une d'elle se trouve une créature qui attire son attention.
La tête en l'air, elle ne se rend donc pas compte qu'elle vient de marcher dans une flaque de boue, assez profonde. Elle tombe alors à l'intérieur jusqu'aux cuisses, stoppée net dans sa course. La créature qu'elle n'ut le temps de voir perdit tout l’intérêt de la jeunette empêtrée. Elle essaie de bouger ses jambes, mais rien ne change. Elle tâte donc le sol pour voir à partir d'où la terre est solide. Fort heureusement un bout de terre ferme se tient à portée de bras. Elle prend appui sur celui-ci et se hisse tant bien que mal hors de la flaque. Essoufflée, elle se retourne pour se retrouver assise par terre, quand elle tombe nez à nez avec la créature de tout à l'heure sur la branche, qui se trouve en fait être un gros serpent qui lui siffle au visage. Elle sent tous les muscles de son être se contracter d'un coup, et ouvre grand les yeux. Elle aurait préféré qu'il reste sur son arbre tient. Puis dans un élan, qui relate plus de l'instinct de survie qu'autre chose, elle attrape vivement le serpent par les mâchoires pour le jeter dans la flaque, et partir en courant. Sa seule destination pour l'instant est juste "très loin de cette vilaine bête". Elle trébuche plusieurs fois mais finit toujours par se relever ignorant si elle est encore suivie ou non.
Ce coup d'adrénaline la fit courir jusqu'à atterrir devant un temple complètement à l'abandon, envahit par la végétation environnante. Elle tombe à genoux, reprenant son souffle et admirant le vestige. Quelle chance ! La mésaventure qui vient à peine de se dérouler ne resta pas longtemps dans la mémoire d'Eydie, bien plus préoccupée par la bâtisse. Elle se relève en suite pour y rentrer, quand elle entend un cris. Elle se dirige en courant vers celui-ci et se retrouve face à un jeune homme prit au piège.
A peine la petite barque touche le sol qu'elle se jette par dessus bord, un grand sourire au lèvre. La fraîcheur de l'eau envahit alors tout son petit corps, mais le premier réflexe qu'elle a est de placer son sac au dessus de sa tête pour éviter de le mouiller. En effet, l'eau lui arrive aux côtes. Mais ni la fraîcheur, ni la profondeur de l'eau ne peut nuire à la jovialité d'Eydie. Elle court, ou du moins, se déplace comme elle peut avec hâte vers le rivage. Une fois arrivée sur la terre ferme, elle remet correctement son sac sur ses épaules tout en vérifiant qu'il soit bien sec, puis reprend sa course vers la jungle.
Et c'est donc l'air émerveillée qu'elle fait ses premiers pas dans l'hostile forêt. Elle court aussi vite qu'elle le peut, dégageant les branches sur son chemin. A cause de sa petite taille, elle ne dépasse pas tout à fait toutes la végétation qui l'entoure, et se retrouve de dans en temps à devoir faire de grand bonds pour voire au dessus. Les arbres lui semblent titanesques et donc leurs branches, inatteignables. Cependant, sur l'une d'elle se trouve une créature qui attire son attention.
La tête en l'air, elle ne se rend donc pas compte qu'elle vient de marcher dans une flaque de boue, assez profonde. Elle tombe alors à l'intérieur jusqu'aux cuisses, stoppée net dans sa course. La créature qu'elle n'ut le temps de voir perdit tout l’intérêt de la jeunette empêtrée. Elle essaie de bouger ses jambes, mais rien ne change. Elle tâte donc le sol pour voir à partir d'où la terre est solide. Fort heureusement un bout de terre ferme se tient à portée de bras. Elle prend appui sur celui-ci et se hisse tant bien que mal hors de la flaque. Essoufflée, elle se retourne pour se retrouver assise par terre, quand elle tombe nez à nez avec la créature de tout à l'heure sur la branche, qui se trouve en fait être un gros serpent qui lui siffle au visage. Elle sent tous les muscles de son être se contracter d'un coup, et ouvre grand les yeux. Elle aurait préféré qu'il reste sur son arbre tient. Puis dans un élan, qui relate plus de l'instinct de survie qu'autre chose, elle attrape vivement le serpent par les mâchoires pour le jeter dans la flaque, et partir en courant. Sa seule destination pour l'instant est juste "très loin de cette vilaine bête". Elle trébuche plusieurs fois mais finit toujours par se relever ignorant si elle est encore suivie ou non.
Ce coup d'adrénaline la fit courir jusqu'à atterrir devant un temple complètement à l'abandon, envahit par la végétation environnante. Elle tombe à genoux, reprenant son souffle et admirant le vestige. Quelle chance ! La mésaventure qui vient à peine de se dérouler ne resta pas longtemps dans la mémoire d'Eydie, bien plus préoccupée par la bâtisse. Elle se relève en suite pour y rentrer, quand elle entend un cris. Elle se dirige en courant vers celui-ci et se retrouve face à un jeune homme prit au piège.