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Des cendres à la lumière

Il est parfois des tourments qui peuvent ébranler les fondements même d'une personne.. Nakano avait toujours été quelqu'un de fier et d'arrogant, se voyant naturellement dominer quiconque. Cependant, suite à son entré dans le terrible équipage pirate des Ombres du Chaos, il avait dû faire face à ses limites et essuyer de nombreuses défaites. Tant et si bien que la graine du doute s’immisça profondément dans le cœur du jeune homme de 17 ans, nous étions alors en 1625  quand la rencontre et la confrontation face à un monstre de puissance du Cypher Pol achevèrent d'effriter la confiance du Nain moustachu. Il avait fuit et abandonné ses compagnons et ses biens précieux, croyant laissé derrière lui une vie de luxe et de domination et redevenir un moins que rien passe partout. Mais on ne peut fuir sa nature profonde éternellement.

En tant que criminel recherché souhaitant désormais éviter les ennuis, il enchaîna des boulots usants dans des lieux tous plus isolés les uns que les autres, subvenant à peine à ses besoins et devant régulièrement lever le camp  pour éviter les ennuis. IL arborait désormais une barbe drue et sale dissimulant un peu plus sa trogne et réduisant l'impact de sa fabuleuse moustache. Il dissimulait avec peigne sa coupe afro qui était un signe plus que distinctif, ne pouvant se résoudre à la raser malgré tout. Du fait de sa faible réputation, il y avait généralement un bon laps de temps avant qu'il ne soit ennuyé, mais malgré cela et malgré tous ses efforts, son identité finissait invariablement par être découverte,  et jamais les gens ne tremblaient face au "grand" Nakano,non, on le pourchassait avec hardiesse, après tout ce n'était qu'un nabot avec une prime minable. Et ce nabot ayant perdu tout esprit de combativité fuyait misérablement pour sa propre survie, sans espoir de revoir son foyer, sur Zaun aussi, on le mangerait tout cru.

Cependant, l'histoire était sur le point de reprendre son cours, alors que ses deux années de pérégrinations   le menèrent sur la fameuse île de Whiskey Peaks... Il connaissait le lieu de réputation, mais ignorait tout des derniers mouvements s'étant déroulé dans le coin, sachant que l'île était un repère de chasseurs de prime, il savait qu'il ne ferait pas long feu si il était bazardé. cependant étant sans le sou, ses dernières économies étant parties dans cette ultime expédition à bord d'un navire de marchands qui tenait plus du navire de rustres contrebandiers plutôt que de l'honnête caravane de commerçants, il ne disposait d'aucunes alternatives à cette destination. Le vent était favorable et le ciel dégagé, mais  Nakano lui n'avait pas fier allure, avec son vieux bleu de travail cradingue et une casquette contenant pittoresquement sa coiffure extravagante. Il était contraint de briquer le pont, le capitaine de ce petit bâtiment qui n'avait à son bord qu'une demi dizaine de matelot, était un  grand costaud qui menait le bâtiment d'un main de fer. Nakano entreprit tout de même de négocier avec ce mastodonte patibulaire, en dépit du fait qu'il lui rendait bien 70 centimètres:



" Hum, monsieur l'capitaine, je sais bien que je n'ai pu vous payer que pour que vous m'ameniez à la première île que vous croiseriez, mais serait-il possible de..

-Ch't'arrête tout de chiure d’abeille... t'as payé pour un voyage et c'est ce que t'auras, déjà que l'équipage à du se farcir une bouche en plus et ta sale trogne

La voix de Nakano se fit plus petite et hésitante encore, ceux ayant connu le nain jadis serait estomaqué de le voir aussi pathétique.

-Mais je vous assure que je pourrais vous trouver de l'argent lors de notre prochaine escale et puis..."

Un coup de botte en pleine face clôtura cette discutions.

* Qu'est ce qui te prend mon gars ?! Tue-le! Prend le contrôle de son navire, son équipage est composé de demi portions toutes plus lâches les unes que les autres, il a le contrôle uniquement  parce qu'il fait le gros dur, tu lui es supérieur en tout point* Cette petite voix était comme un coup de poignard pour Nakano, un coup de poignard qui voulait le renvoyer dans une vie le menant tout droit vers le chaos.

Ils finirent par accoster dans un petit village portuaire, il faisait jour et les gens étaient tous affairés à leurs occupations habituelles,malgré la présence d'un simili marché, la place  qui était juxtaposé au quai était loin d'être bondée de monde. Il y avait souvent du passage ici et les gens se contentèrent de regarder  d'un air suspicieux le groupe de contrebandiers mal dégrossis qui débarquaient. Le nain mécano se retrouva bien vite isolé du reste et attira des regards de plus en plus insistants *Ne baisse pas ta putain de tête !*, un sentiment d’extrême solitude envahit le nabot, celui-ci fut accompagné d'une étrange chaleur et les battements de son cœur s’accélérèrent * la seule solitude que tu peux souffrir est celle de celui qui domine la montagne triple buse.* Nakano finit par se stopper net et releva la tête d'un coup pour se retrouver nez à nez avec un quidam qui le dévisageait d'un peu trop près avec une affiche dans la main. Après un échange de regard, Nakano put sentir la terreur  profonde dans le regard de l'homme


" Attention tout le monde ! C'est Nakano, l'un des pirates de ce fichu équipage des Ombres du Chaos !"

Un mouvement de panique générale accompagne l'évocation  de son nom et de celui de feu son équipage, l'âme du mécano sembla d'un seul coup recouvrer toute sa légèreté

*ils ont... peur de moi ?*

Il ne put étouffer un sourire

"Ouuuuhhh ouuuuuh ouuuuh(ceci est son rire :3)"


Dernière édition par Nakano le Jeu 15 Sep 2016 - 11:33, édité 3 fois
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Le temps sembla se suspendre, Nakano se sentait baigner dans une lumière blanche salvatrice qui libéra son âme des tourments qui l'engourdissaient. Sans prendre conscience du tumulte qui se propageait autour de lui, le petit génie ôta sa coiffe et laissa apparaître une coupe afro bien rebondie, secouant son visage en profitant de l'air frai et chaud de la journée, il débarrassa sa barbe et sa moustache furent débarrassées instantanément de toutes les impuretés qui s'y étaient ancrées, Nakano brillait de mille feux. Il lui avait fallu deux ans pour recouvrer la vue, putain deux ans !


La terreur qu'il put lire dans les yeux de son vis-à-vis remettait  en perspective ces deux années écoulées dans la honte. Si on l'avait pourchassé avec ferveur depuis son arrivée sur Grand Line ce n'était pas parce qu'il représentait une cible facile, mais une question de survie... La plèbe, terrifiée et fascinée, n'avait probablement pas d'autres choix  pour préserver sa minable existence que de se rebeller contre celui qui se dressera forcément au-dessus des autres...Réflexe primaire de préservation! Non ce n'était pas probable, c'était sur et certain ! Comment avait-il put être aussi aveugle ?! Nakano ressentit le besoin pressant de sauter au cou de celui qui l'avait démasqué, se faisant il renversa l'homme qui tentait maladroitement de se saisir d'un revolver, ce dernier finit au sol juste à côté des deux hommes désormais étalés au sol, Nakano couvrait de baiser l'homme qu'il considérait comme son sauveur.

"Regardez c'est lui ! Attendez il a prit en otage Dok ! Faites gaffe!.

Une femme s'était précipitée dans l'auberge du coin pour faire appel à un petit contingent d'hommes armés. Même s'ils paraissaient plus menaçant que les quidams moyens, ces gus, qui étaient des chasseurs de primes, ne présentaient pas bien, la plupart étaient maigres et on sentait bien qu'ils n'avait pas eu grand chose à se mettre sous la dent depuis un certain temps. Et la terreur des habitants n'avait pas épargnée ces gaillards qui n'en menaient pas large, braquent fusils, fourches et sabres vers le nain, toujours occupé sur son "nouvel ami".

-Eh... eh ! Toi p'tit bonhomme ! Dégage de ce pauvre type, t...t'es cerné! T'as aucun échappatoire.


Le temps reprit son cours, Nakano était en danger, un bref coup d'oeil en arrière lui permis de comprendre la situation. Six hommes l'avaient pris pour cible, il était encore au bord de l'eau et n'avait que quelque choix qui s'offrait à lui: attaquer de front ces six pécores, ce qui lui vaudrait sans doutes aucun doutes des blessures dont il se passerait volontiers, fuir de l'autre côté, mais même si ces hommes s'avéraient être manchots, la route était étroite et on lui tirerait dans le dos à coups sûr. Il pouvait également se jeter à la mer, mais il n'avait jamais excellé en tant que nageur. 
* Fuir, tu penses encore à fuir ?*

D'un geste rapide il se saisit du revolver tombé sur le quai pavé, se positionna derrière celui qu'il considérait depuis peu comme son nouveau meilleur ami, un peu contrit de devoir l'utiliser comme bouclier humain d'ailleurs. Malgré l'image un peu pittoresque d'un nain à coupe afro contraignant physiquement un homme de taille normale, il prit la parole avec un flegme retrouvé

-Messieurs messieurs, nul besoin de recourir à la violence, je n'ai encore rien fait de mal et vous autres esprits inférieurs ne trouveraient que du déplaisir à m'affronter de front ouuuuh ouuh ouuuh, soumettez vous plutôt à moi et vous retrouverez un semblant de dignité, après tout un homme tel que moi, vous l'aurez bien compris, à de grands projets et vous pourriez y prendre part[...]

Iétait parti  dans un de ses monologues interminables, alors que l'un des hommes en face enjoignit le nain, braquant son fusil de plus belle, "à fermer son claque-merde". Sans même prendre la peine de se taire, Nakano dégaina son pistolet et tira un coup net en direction du fauteur de troubles, malheureusement il était fort rouillé; Nakano, pas le pistolet; et son coup vint heurter l'enseigne du bar d'où sortaient plus tôt les chasseurs et se faisant, elle ricocha pour venir se loger dans la nuque de celui qu'il visait. L'homme s'affala, mort sur le coup, la tension monta d'un cran. l'otage réagit au son de la détonation et fit mine de tenter de s'extirper, il fut remercié par une balle lui déchirant le mollet,un reflexe instinctif du pirate qui ne voulait pas perdre son bouclier humain favoris, malgré l'affection soudaine qu'il lui portait. Tandis que le nain resserrait son emprise sur ce bon Dok d'une main. Il dissimula à grande peine son étonnement, seules ses lunettes teintées empêchèrent ses adversaires de voir ses yeux écarquillés, lui qui ne revenait toujours pas de l'immense coup de bol qu'il venait d'avoir après son tir manqué.


" Chhht chhht allons calme toi, tout sera bientôt terminé.,chuchotait-il à son précieux otage, avant de reprendre avec un ton sec malgré sa voix haute perchée. Comme vous le voyez je ne tolérerai aucunes exactions de votre part. Et ce n'est qu'un bref aperçu de ce dont je suis capable. Soumettez vous au grand Nakano." Ses paroles ne trahissaient nulle hésitation, mais il est probable que notre ambitieux nabot ne put recouvrer une totale confiance en lui-même si rapidement après deux années à agir comme un parfait couard, mais son instinct de survie était affûté par les flots d’adrénaline qui inondait son corps.

L'instant d'après, des détonations fusèrent dans ces rues soudainement désertes, tandis que ceux pourvues d'armes blanches se ruèrent sur le vilain pirate.


Dernière édition par Nakano le Jeu 15 Sep 2016 - 11:35, édité 2 fois
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Chaque battements de cœur semblaient résonner plus fort dans sa minuscule cage thoracique, tandis que le proverbial "calme avant la tempête" s'instaurait, Nakano pouvait sentir les perles de sueurs roulées jusqu'au bout de ses mains désormais moites, mais malgré cela, un sourire timide se dessinait sous les bacchantes du jeune homme. L’altercation physique fut brève, Nakano balançant son "otage" vers ceux qui se ruaient vers lui, tandis qu'il se mit  lui-même a tournoyer sur sa tête en dégainant des lames de ses protèges tibias, soigneusement dissimulés sous ses vêtements. Les sbires ne pouvaient bien évidemment pas rivaliser  avec un pirate de l’acabit de Nakano, ils furent déchiquetés et martelés de coups le petit ouragan teigneux qui venait de s'abattre sur eux. Nakano eut bien à subir quelques dommages, mais rien de plus que des éraflures. La scène avait pour unique témoin ce brave Dok, désormais libéré de l'étreinte de l'abominable nabot. Ce dernier essoufflé se tenait au milieu des dépouilles de ses opposants, un sourire béat aux lèvres.

Dok crut voir sa dernière heure arrivée lorsque l'homme s'approcha de lui, il put clairement voir que dans les yeux de Nakano se distinguaient un curieux mélange de folie et d'un  équilibre retrouvé. Le nain l'aida à se relever et lui donna une accolade, avant de laisser supposer qu'il avait fort à faire désormais...


Et en effet, pour Nakano, qui ne se préoccupait pas vraiment des douleurs qu'il pouvait ressentir, ce n'était que le début, il avait bien l'intention de reprendre les rennes de son existence. Pour une raison ou une autre cela équivalait en premier lieu à retrouver cette canaille de chef et lui faire mordre la poussière, il ne s'était pas déroulé une heure depuis leur séparation et ce serait chose simple que de le retrouver, tandis qu'il rebroussait chemin vers le navire, Nakano eut tout le loisir de songer à la futilité pour un esprit supérieur tel que lui de recourir à la violence pour obtenir réparation. Mais ces élucubrations mentales furent bientôt ensevelies sous une tonne de souvenirs honteux durant lesquels Nakano était traîné dans la boue et humilié. Non définitivement, cette vermine de brute de fripon de capitaine, c'était quoi son nom déjà d'ailleurs ? Per? Peri ? Capitaine Peri ? Oui ! Ce salaud de Peri serait l'avatar d'une vengeance accomplie, de la renaissance de Nakano par son instinct le plus sommaire, sa résurrection par la violence.

Alors qu'il approchait du Navire, une coque de noix à peine assez grande pour dix personnes, qui portait le doux nom de "rêve d'ébène", Nakano ignorait les raisons de ce nom et s'en fichait éperdument, il n'était resté sur le navire qu'une semaine et demi mais ses compagnons de voyages, tous entassés dans la même pièce que lui, le navire étant emplie d'une riche cargaison de caisses diverses, semblaient tout aussi terrifiés et peu loquace, pour sur il ne tenait pas particulièrement  à ce buffle de Péri qui les traitait avec peu de considération. Puis le navire fut finalement en vue, ça et là les matelots du navire embarquaient ou débarquaient des caisses de marchandises, alors que le chef de meute lui, marchandait de manière volubile avec un homme barbu quelconque. Aux alentours, de nombreux civils s'affairaient paisiblement à leurs vies quotidiennes. Nakano ne les voyait même pas, au sein de cette vaste place, manifestement commerçante, il ne voyait rien d'autre que sa cible, aveuglé par une colère qui ne cessait de croître et qui était autant dirigée contre ce sale type que contre lui-même.

Alors qu'il s'approchait, Peri le remarqua, se faisant il grogna d'un air revèche

" Qu'ech que tu fous là chiure d'abeille ?! ch'tai dis de dégager non ?3

En réalité Peri n'avait rien dis de tel, mais ça lui importait peu, ils étaient maintenant séparés par moins de deux mètres et Nakano s'approchait lentement de son vis-a-vis, comme une bête prêt à bondir, autour d'eux, les gens semblaient avoir compris que quelque chose se passait. Les matelots du "rêve d'ébène" s'étaient arrêter de travailler.

" Qu'ech qu'vous faites ?! Continuer de bocher bons à rien !"

Les veines frontales de Peri se montraient au grand jour dévoilant un agacement croissant. Et comme souvent, cela se traduisit par un réflexe de violence, il fit mine de porte un coup de botte au nabot qui s'approchait de lui manifestement armé de mauvaises attentions. Mais Nakano connaissait la chanson et esquiva en bondissant vers le visage du capitaine, lui portant un uppercut qui décolla l'imposant tyran du sol à la surprise générale.  Nakano aurait pu se lancer dans un sempiternel monologue dont il a le secret, mais il  se rua sur son adversaire qui était désormais affalé au sol, la mine surprise, la mâchoire déboîtée. Prenant position sur la cage thoracique de sa victime, il martela son visage de coups furieux. Peri tenta bien de se débattre mais la violence des coups lui fit rapidement perdre connaissance, les spectateurs horrifiés tentèrent bien d'arrêter le nain, mais chaque intervention se vit récompensés par de violents coups de coudes. Nakano lui ne voyait même pas le visage de son adversaire, aveuglé par sa colère brute, le seul visage qu'il se voyait frappé était le sien. Ce n'est qu'au bout de quelques secondes, qu'il rouvrit les yeux, constatant le visage de Peri, si cet imbroglio de chair pouvait encore être appelé ainsi, Il respirait encore. Nakano se releva doucement, sans avoir confiance de l'effarement qu'il avait provoqué, il sentit monté en lui une chaleur familière, il était bel et bien  en vie. Il hurla de toutes ses tripes,  même s'il s'imaginait comparable à un gorille hurlant pour prouver au monde sa supériorité, sa petite voix haut perchée elle donnait un résultat bien différent.

L'instant d'après il sprinta vers le bateau avant de sauter sans effort vers la balustrade du navire. Conscient que sa petite démonstration de violence n'allait pas tarder à lui attirer des problèmes il lui fallait réagir vite. Il prit à parti l’ersatz de second qui officiait sur le bateau:

"Bon, comme vous pouvez le constater, ce bon vieux Peri n'aboiera plus après vous,ou  alors sans ses dents, ouhouuuuhouuuuhh, votre prochaine escale c'est Alabasta non ? Notre bon vieux capitaine tenait plus à sa marchandises qu'à vos vies, que diriez vous de nous dirigez ensemble là bas et d'écouler le stock de ce Navire, nous partagerons équitablement les gainsBien entendu, les matelots du navire ressentaient une vague d'émotions différentes, entre sentiment de libération, de peur  et de cupidité, le plus ancien des matelots de Peri sembla prêt à prendre la parole la mine fermée avant que Nakano n'ajoute: ou vous pourriez refuser, mais moi je pars avec ce navire, vous êtes libre de résister après tout ouuuhouuuhouuu, mais j'apprécierai votre compagnie."

Une poignée de main fébrile conclu cet accord.


" A la manœuvre, rassemblez les retardataires, nous levons le camps sans tarder !"


Nakano s'engouffra dans la cale du bateau, se saisit d'une caisse de rhum et décida de l'ouvrir et d'offrir une tournée pour sceller complètement l'accord, l'initiative, parut motivé les matelots , eux qui n'avaient pas souffert de tels gestes amical depuis bien longtemps.  Nakano sourit en découvrant l'étiquette du breuvage, du rhum de la Gragass corporation, un rhum de Zaun, c'était un signe supplémentaire, Nakano était de retour sur les mers, tenant la barre de son destin avec fermeté.
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