Encore une fois j’avais du sang sur les mains, un cadavre tomba devant moi, lentement avec la grâce que la mort donne à toutes personnes. Je souris, le sang gicla de la blessure alors que je retirais ma dague de la gorge maintenant grande ouverte. Le spectacle étais si beau que je ne clignais même pas des yeux lorsque le sang atterrie sur mon visage. Je récupérais rapidement la bourse remplie d’argent que je venais de donner au capitaine avant de m’éloigner. Des cries retentirent depuis le pont du navire. Ce même navire qui m’avait permis d’atteindre cette île, ce navire qui était entrain de mouiller a une bonne cinquantaine de mètres de la. Plusieurs hommes avancèrent vers moi. Tous armée de sabre, ils étaient menaçant et paraissait en colère. Cela ne m’étonnait pas. Rangeant rapidement mon argent dans une poche, j’essuyais ma dague tout en reculant et la rengainais. Oui, ils allaient tous mourir et, juste après, j’allais aller boire un coup dans la ville la plus proche.
Après tout, ce gentil capitaine qui avait maintenant l’apparence d’un cadavre m’avait donné la direction à prendre pour atteindre la ville la plus proche. Cela m’avait couté quelque pièce supplémentaire mais bon, cela n’avait pas d’importance puisque j’avais tout récupéré à l’instant. Je souris et saisi mon katana de la main gauche. Oui, je suis gaucher, une chose qui est plutôt rare surtout pour les combattant. Je sais aussi me battre de la main droite, mais moins bien, de plus cela me confère un certain avantage. Ils étaient cinq à avancer vers moi, des hommes débarquer du navire, ramant de toute leurs force afin d’atteindre la plage et de m’éliminer. Du coin de l’œil j’aperçus l’un des gardes du capitaine m’attaquer. Il voulait me prendre par surprise et c’était rater. Reculant brusquement, je regardais la lame passer devant moi, elle dévia de sa trajectoire pour toucher ma jambe mais je fus plus rapide. Ma propre lame le toucha à l’arrière de la tête, un morceau de peau vola, un morceau de cerveaux fût dénudé, des os volèrent eux aussi. Un crie retentit.
L’homme s’effondra, je souris en voyant se magnifique spectacle, cela me rappelait le jour ou j’avais volé le visage d’une personne. J’embrochais le cerveau d’un seul coup et retirais ma lame juste à temps pour parer les deux attaques qui suivirent. Tournoyant sur moi-même, j’esquivais une attaque et transperçais la gorge d’un de mes adversaires. Ils n’étaient pas forts, c’était si amusant, j’avais l’impression de m’en prendre à un civil s’en arme. Ce n’était qu’une impression. Une estafilada apparue sur mon bras droit. Un coup de katana bien placé désarma un de mes adversaires, un autre l’acheva et je tirais le cadavre à moi afin de parer une autre lame. Oui, l’homme à demi-mort que j’avais transpercé fût achevé par son camarade. Poussant le cadavre de côté, je désarmais ainsi mon adversaire qui tenta de me frapper à main nue. J’éclatais de rire, ma lame fis un arc de cercle et lui découpa profondément la gorge.
Un seul, un dernier adversaire et je pourrais partir. Oui, il fallait que je parte avant que tout l’équipage ne me tombe dessus. J’utilisais mon fruit du démon tranquillement.
Une douleur fulgurante au bras, comme si il était brisé. Je souris, l’homme en face de moi hurla et lâcha son arme. Grossière erreur mais après tout, il ne devait pas s’attendre à quelque chose comme ça. Laissant pendre mon bras contre mon flanc, j’avançais rapidement vers l’homme et le transperçais de par en par Je souris encore plus, un coup de boule bien placé l’envoya en arrière, ma lame sortis du corps et il s’effondra sur le sol. J’interrompais la technique de mon fruit du démon me permettant ainsi d’utiliser à nouveau mon bras droit correctement puis je m’éloignais en courant. Tout cela c’était passé très vite, une trentaine de seconde tout au plus. Les autres hommes n’étaient pas encore arrivés sur la plage ce qui me laissait le temps d’atteindre la ville et de me fondre dans la masse. Avant de se venger, ils allaient sans doute enterrer leurs capitaines.
Ils ne me rattrapèrent pas, c’est en courant, bien essoufflée et assoiffée que j’atteignis la ville que je voulais. Je m’arrêtais devant l’entrée, plier en deux tentant de reprendre mon souffle. J’avais du perdre l’habitude de courir, pourtant il n’était pas rare que je prenne la fuite. Je toussais caressant par réflexe la cicatrice sur mon visage partant de la bouche et remontant vers l’oreille. Ce demi-sourire éternel qui m’avait était offert par un marine. Relevant la tête, je regardais la rue principale. Pleine de marchand, c’était ce que l’on pouvait appeler, un bordel pas possible.
Pénétrant à l’intérieur de la ville, je me décidais à chercher un endroit ou boire. Mais je ne voulais pas de l’eau, ce que je voulais c’était de l’alcool. Oui, un bon verre d’alcool pour dégager les bronches de toutes les saletés de poussière présente sur la route. Mais je ne voulais pas non plus un établissement que tout le monde pouvez trouver au premier coup d’œil. Oui, l’équipage devait sans doute être à ma poursuite et je voulais boire avant de les tuer. Je m’enfonçais donc dans les petites ruelles, pour la plupart déserte et encombré d’objet inutile et la plupart du temps briser. Mon manège dura jusqu’au moment ou je finis par trouver une sorte de petite place ou se trouvait une taverne. J’avançais d’un pas rapide et pousser brutalement les porte battante.
-Haaa enfin à boire.
Alors que je m’apprêtais à avancer, les battants se refermèrent tout aussi brutalement sur moi frappant mon visage. Je grognais en reculant d’un pas et entrer à l’intérieur de l’établissement. Quelques rires retentirent dans la sale. Je els regardais menaçante avant d’aller prendre une bouteille de rhum au bar. Grimaçant légèrement en entendant la somme que je devais débourser, je payer le patron avant d’aller m’assoir à une table ou se trouvait un vieillard. Unique table ou il restait de la place, mon unique demande fût un prompt salut afin de rester un minimum polie. Après tout, je voulais être tranquille pour boire.
Après tout, ce gentil capitaine qui avait maintenant l’apparence d’un cadavre m’avait donné la direction à prendre pour atteindre la ville la plus proche. Cela m’avait couté quelque pièce supplémentaire mais bon, cela n’avait pas d’importance puisque j’avais tout récupéré à l’instant. Je souris et saisi mon katana de la main gauche. Oui, je suis gaucher, une chose qui est plutôt rare surtout pour les combattant. Je sais aussi me battre de la main droite, mais moins bien, de plus cela me confère un certain avantage. Ils étaient cinq à avancer vers moi, des hommes débarquer du navire, ramant de toute leurs force afin d’atteindre la plage et de m’éliminer. Du coin de l’œil j’aperçus l’un des gardes du capitaine m’attaquer. Il voulait me prendre par surprise et c’était rater. Reculant brusquement, je regardais la lame passer devant moi, elle dévia de sa trajectoire pour toucher ma jambe mais je fus plus rapide. Ma propre lame le toucha à l’arrière de la tête, un morceau de peau vola, un morceau de cerveaux fût dénudé, des os volèrent eux aussi. Un crie retentit.
L’homme s’effondra, je souris en voyant se magnifique spectacle, cela me rappelait le jour ou j’avais volé le visage d’une personne. J’embrochais le cerveau d’un seul coup et retirais ma lame juste à temps pour parer les deux attaques qui suivirent. Tournoyant sur moi-même, j’esquivais une attaque et transperçais la gorge d’un de mes adversaires. Ils n’étaient pas forts, c’était si amusant, j’avais l’impression de m’en prendre à un civil s’en arme. Ce n’était qu’une impression. Une estafilada apparue sur mon bras droit. Un coup de katana bien placé désarma un de mes adversaires, un autre l’acheva et je tirais le cadavre à moi afin de parer une autre lame. Oui, l’homme à demi-mort que j’avais transpercé fût achevé par son camarade. Poussant le cadavre de côté, je désarmais ainsi mon adversaire qui tenta de me frapper à main nue. J’éclatais de rire, ma lame fis un arc de cercle et lui découpa profondément la gorge.
Un seul, un dernier adversaire et je pourrais partir. Oui, il fallait que je parte avant que tout l’équipage ne me tombe dessus. J’utilisais mon fruit du démon tranquillement.
Kossetsu
Une douleur fulgurante au bras, comme si il était brisé. Je souris, l’homme en face de moi hurla et lâcha son arme. Grossière erreur mais après tout, il ne devait pas s’attendre à quelque chose comme ça. Laissant pendre mon bras contre mon flanc, j’avançais rapidement vers l’homme et le transperçais de par en par Je souris encore plus, un coup de boule bien placé l’envoya en arrière, ma lame sortis du corps et il s’effondra sur le sol. J’interrompais la technique de mon fruit du démon me permettant ainsi d’utiliser à nouveau mon bras droit correctement puis je m’éloignais en courant. Tout cela c’était passé très vite, une trentaine de seconde tout au plus. Les autres hommes n’étaient pas encore arrivés sur la plage ce qui me laissait le temps d’atteindre la ville et de me fondre dans la masse. Avant de se venger, ils allaient sans doute enterrer leurs capitaines.
Ils ne me rattrapèrent pas, c’est en courant, bien essoufflée et assoiffée que j’atteignis la ville que je voulais. Je m’arrêtais devant l’entrée, plier en deux tentant de reprendre mon souffle. J’avais du perdre l’habitude de courir, pourtant il n’était pas rare que je prenne la fuite. Je toussais caressant par réflexe la cicatrice sur mon visage partant de la bouche et remontant vers l’oreille. Ce demi-sourire éternel qui m’avait était offert par un marine. Relevant la tête, je regardais la rue principale. Pleine de marchand, c’était ce que l’on pouvait appeler, un bordel pas possible.
Pénétrant à l’intérieur de la ville, je me décidais à chercher un endroit ou boire. Mais je ne voulais pas de l’eau, ce que je voulais c’était de l’alcool. Oui, un bon verre d’alcool pour dégager les bronches de toutes les saletés de poussière présente sur la route. Mais je ne voulais pas non plus un établissement que tout le monde pouvez trouver au premier coup d’œil. Oui, l’équipage devait sans doute être à ma poursuite et je voulais boire avant de les tuer. Je m’enfonçais donc dans les petites ruelles, pour la plupart déserte et encombré d’objet inutile et la plupart du temps briser. Mon manège dura jusqu’au moment ou je finis par trouver une sorte de petite place ou se trouvait une taverne. J’avançais d’un pas rapide et pousser brutalement les porte battante.
-Haaa enfin à boire.
Alors que je m’apprêtais à avancer, les battants se refermèrent tout aussi brutalement sur moi frappant mon visage. Je grognais en reculant d’un pas et entrer à l’intérieur de l’établissement. Quelques rires retentirent dans la sale. Je els regardais menaçante avant d’aller prendre une bouteille de rhum au bar. Grimaçant légèrement en entendant la somme que je devais débourser, je payer le patron avant d’aller m’assoir à une table ou se trouvait un vieillard. Unique table ou il restait de la place, mon unique demande fût un prompt salut afin de rester un minimum polie. Après tout, je voulais être tranquille pour boire.