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Métal hurlant - Episode 2.2 : Charles Belhomme & les traqueurs de la nuit

C’est le froid qui me sortit de ma torpeur, j’ouvrais difficilement les yeux pour m’apercevoir que j’étais assis à même le sol, dans un endroit entièrement plongé dans l’obscurité

Mais un effroyable mal de crâne se rappela bien vite à moi, j’avais mon esprit totalement retourné, je n’arrivais pas à me souvenir des derniers évènements et encore moins ce que je foutais ici. En voulant porter ma main à mon front, je me rendis compte que j’étais enchainé comme un vulgaire taulard.

« Putain, je me suis encore fait chopper par la patrouille… C’est bien ma veine... Pas encore aujourd'hui que je vais pouvoir m'envoyer en l'air ! »

Mes yeux s’habituant progressivement à la lumière, je scrutais les alentours pour essayer de me repérer. Mais impossible. Je tentais d’appeler celui ou celle qui m’avait foutu dans cette merde pour avoir des explications :

« Y’a quelqu’un ?! »

Mais les secondes puis les minutes défilèrent et j’étais toujours seul ici, pas même un bruit de pas.

Ma mémoire commença à  me revenir petit à petit, je me souvenais de notre dernière mission avec Olek, sur le bateau. C’était à propos d’un petit coffre appartenant au Gouvernement Mondial mais ensuite c’était le flou total. J’avais tour à tour le visage d’Olek qui apparaissait et celui de ce serpent de Yarrick, le bras droit de Gasby. Mais je n’arrivais toujours pas à recoller tous les morceaux du puzzle.

Dans l’état actuel des choses, je concluais que c’était donc le Gouvernement Mondial qui avait finalement réussi à mettre le grappin sur ma carcasse.

Des bruits de pas résonnèrent jusqu’à mes oreilles… Plusieurs personnes semblaient se diriger tout droit vers moi. Enfin un petit de compagnie, même si, connaissant les loustics j’allais certainement passer un sale quart d’heure à me faire dérouiller la tronche. De quoi soigner mon mal de crâne de la plus belle des façons…

Quelqu’un pénétra une clé dans la serrure, puis la porte s’ouvrit en grand.


Plusieurs hommes entrèrent sans prendre le temps de dire bonjour. Ils étaient cinq à première vue, ils n’avaient pas l’air d’être de la Marine, car aucun d’entre eux ne portait d’uniforme. Grâce à leurs torches, je pouvais enfin avoir une vue sommaire des lieux. J’étais comme il fallait s’y attendre, dans une putain de cellule recouverte de moisissure du sol au plafond.

« Et vous êtes ?! »

Mes paroles restèrent en suspens, aucun de mes interlocuteurs ne prit la peine de me répondre. Au lieu de ça, ils s’écartèrent de part et d’autre pour former un petit couloir afin de  laisser passer un nouvel individu. Il ne fallait pas être devin pour comprendre qu’il s’agissait très certainement de leur chef.

Je ne pouvais qu’entrevoir dans un premier temps, qu’une longue et élancée silhouette. Mais deux yeux rouges traversèrent l’obscurité pour se poser sur moi. Son regard avait quelque chose d’inhumain, impossible à déchiffrer.

« Ah monsieur Skellington enfin réveillé, nous allons enfin pouvoir discuter vous et moi ! »

L’homme avança de quelques mètres et se planta devant moi. Peut être qu’il savait qui j’étais, mais ce n’était pas réciproque  en tout cas. À moins que mon amnésie soit plus forte que prévu, je ne vois pas comment j’aurais pu oublier un visage aussi singulier que le sien.

Je faisais une grimace en tentant de mieux le percevoir.

« Je ne crois pas que je te connaisse l’affreux !  T’es qui ? Et qu’est ce que je fous là ?! »

« Bien, je vois que vous êtes en forme, j'avais peur de récupérer un légume. Qui je suis ?! Très bonne question, je suis connu ici comme Charles Belhomme, chasseur de prime de son état. J’ai eu le loisir d’avoir eu de multiples vies à mon actif. Quant à la raison de ta présence ici, je crois savoir que tu as reçu un violent coup sur la tête, un canon plus exactement. Pas banale de survivre à ce genre de chose, même sur le Grand Line. »

Dans ma tête les souvenirs se bousculaient au portillon, petit à petit ma mémoire me revenait. Je me souvenais de la crique, et de ma discussion avec Yarrick et ensuite… Le trou noir…

« On me dit souvent que j’ai la tête dure ! Les temps doivent être durs pour que vous soyez rendu à gratter des pirates avec des primes aussi faibles… Ou alors, vous n’êtes pas capable de viser la catégorie au-dessus ! »

Charles afficha un sourire carnassier et plongea sa main sous sa tunique puis sortit une feuille qu’il planta devant mon nez

« Ne vous sous-estimez pas ainsi, monsieur Skellington, regardez par vous-même, 73 000 000 est une prime peu commune. »

Je fronçais les sourcils pour voir l’avis de recherche, la dernière fois que j’avais vu ma gueule sur un truc pareil, ma prime se chiffrait alors à 15 000 000. Reculant la tête, je lui adressais un regard de satisfaction. Je n’étais pas peu fier de cette prime pour le coup, obtenu aux prix du sang et de la sueur.

« Ah oui, en effet pas mal, je ne savais pas que j’intéressais autant le Gouvernent Mondial. Vous voulez un autographe peut être ? »

Un flash revient subitement dans mon esprit, c’était une scène de bataille sur un navire. J’affrontais une multitude d’ennemies et je tenais en main un coffre.

« Vous voyez, vous êtes du pain béni pour moi. Ce n’est pas tout les jours qu’on m’apporte sur un plateau d’argent une prime de ce calibre. »

Sa phrase me fit tiquer :

« Comment ça apporter sur un plateau d’argent ?! Et Olek il est où ?!! »

« Oh, j’avais oublié, votre coup sur la tête. De toute façon, vous allez apporter vos secrets dans votre  tombe. C’était un coup prévu depuis plusieurs jours déjà avec un ami proche, un certain Gasby.  Après avoir rempli l’une de ses missions, mes hommes avaient pour ordre de vous tuer et ensuite de vous  remettre aux autorités pour empêcher la prime. Mais pour une raison qui m’échappe encore, vous êtes encore de ce monde. Ce n’est pas le genre de Yarrick de faire dans la dentelle, mais j’ai cru comprendre que vous aviez offert une résistance pour le moins inattendue. Quoiqu’il en soit, j’ai pour consigne de vous garder en vie jusqu’au retour de Gasby. »

Je hurlais ma rage alors que j’avais enfin retrouvé mes esprits :

« ENCULE DE GASBY, JE VAIS TE CREVER ! »

Les chaines d’acier se tendirent subitement, provoquant une immense fissure dans le mur derrière moi. Les gardes se ruèrent sur moi pour me stopper dans mon élan.

« Je n’attendais pas moins d’un pirate possédant une prime de cette envergure ! »

Alors que je m’employais à me défaire de mes liens, Belhomme me frappa violemment à l’aide de son arme derrière la nuque, me plongeant une nouvelle fois dans l’obscurité.
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Combien de temps j’avais rêvassais ? Bonne question, une fois encore je me réveillais avec la tronche en vrac. Décidément, la vie de pirate n’était pas de tout repos ! Et pour couronner le tout je me retrouvais enchainé des pieds à la tête, ficelé tel un rosbif un dimanche midi chez papa et maman.

Outre le mal de chien qui me courait à travers toute la ganache, j’avais ce désagréable gout de sang séché dans la bouche. Les salops ! Non contents de m’avoir assommé, ils avaient dû prendre un malin plaisir à me boxer.

Les salopards ! Ils ne paient rien pour attendre !

Une fois encore, ma seule obsession était de pouvoir foutre le camp d’ici. Depuis combien de  temps je n’avais pas foutu les paluches sur une petite ? Depuis combien de temps je n’avais pas eu en bouche un bon rhum ? Le sort s’acharnait décidément sur ma personne…

Regardant autour de moi, je découvris que j’étais toujours dans la même pièce … Une petite torche éclairée faiblement les lieux. Si seulement…

« OLEK ?! »

Voilà que tout d’un coup me revenait en tête mon partenaire de fortune ! Où pouvait-il bien être ce saligaud ?! J’avais plus que jamais besoin de sa grosse carcasse pour me sortir de ce traquenard ! Mais je n’avais pour le moment d’autres choix que de m’en sortir par mes propres moyens…
Utilisant la seule chose que je savais faire, à savoir la méthode forte, je contractais brutalement mes muscles dans l’espoir de briser mes liens.  Mais mon corps affamé et meurtri n’était pas en mesure de répondre à mes attentes pour le moment.

« Fait chier... »


La torche illuminée un petit baril rempli de divers objets qu’ils mettaient difficile d’identifier à cette distance, mais cela ressemblait vue d’ici à une barre de fer… Quelqu’un là-haut se jouait décidément de moi, pour me mettre juste en face de mon nez l’objet de toutes mes convoitises. Si seulement je pouvais mettre la main sur ça, je serais certainement en mesure de pouvoir briser mes chaines. Dommage que je ne sois pas un géant !

J'enroulais mes chaines autour de mes bras et je tirais de toutes mes forces en me penchant en avant. Du sang coulait le long de mes membres et j'avais l'impression que ma tête allait exploser à tout moment. Les salopards, ils n'avaient pas lésinés sur la taille des chaines, c'était assez costaud pour entraver un éléphant !

L'acier résistait coute que coute, en revanche le mur derrière moi commençait à montrer des signes évidant de faiblesse. De vilaines fissures se formaient ici et là, ce n'était qu'une question de temps avant que cela cède. 

Je fis certainement un barouf des enfers, car rapidement du bruit se fit entendre derrière la porte.

« Manquait plus que ça ! »

Je décidais de stopper ma besogne le temps de pouvoir ce qui allait me tomber dessus.

La porte s’ouvrit avec fracas et un groupe de soldats, torche à la main s’engouffra dans la pièce. Pendant une fraction de seconde, ils restèrent a me fixer, cherchant d'où provenait tout ce tintouin. Ils s'approchaient prudemment de moi, encore quelques pas et j'allais pouvoir envoyer la sauce. Lorsque le chef qui menait sa troupe remarqua l'état du mur, il dégaina son sabre. Alors qu'il s'apprêtait à hurler des ordres à ses hommes, je mobilisais l'ensemble de mes forces pour tirer un ultime coup sur mes chaines qui s'arrachèrent du mur, emportant avec elles d'énormes blocs de béton. Les gravats filèrent tout droit dans la face de mes geôliers qui se transformèrent en un instant, en bouillie de sang et d'os.


Dernière édition par Jack R. Skellington le Dim 16 Avr - 12:24, édité 2 fois
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« Bon… »


Marchant sans aucune vergogne sur ce qu'il restait des malheureux, je me retrouvais devant une grande pièce vide de tout occupant, cela devait être la salle réservée à mes matons. D’un rapide coup d’œil, je remarquai que je n’étais pas le seul à croupir ici ! Mais je n’avais pas le temps pour les autres, j’avais déjà mâché le plus gros du boulot, à eux maintenant de se démerder.


Devant moi, une seule sortie était présente, un escalier en colimaçon extrêmement étroit et mal éclairé me tendait les bras. J’avais à peine la place pour me faufiler, l’architecte n’avait certainement pas pensé à mon genre de gabarit lors de la réalisation de l’édifice. D'autant plus que je trainais toujours derrière moi, les deux blocs de bêton qui dégoulinaient de sang. J'avais fait une croix définitive sur la discrétion. De toute façon je n'avais jamais excellé dans ce domaine. 


A ma grande surprise, je ne croisai aucune résistance, à croire que cet endroit était totalement vide !


Et pourtant au bout d’innombrables marches, je me retrouvais devant une lourde porte en bois renforcé par des arceaux métalliques. Cette saleté allait être une sacrée galère à franchir, même pour un gaillard comme moi. Située en haut de la dernière marche, je n’avais aucune prise pour m’aider à la forcer. Bien évidemment, impossible de l’ouvrir depuis l’extérieur..

Je m'apprêtais à envoyer un des blocs dessus pour la faire voler en éclat, quand subitement, la porte s’ouvrit devant moi. Je me retrouvais devant un un homme en arme, aussi étonné de me voir que je l’étais de le voir !


« Qu’est-ce que ?! »


Alors qu’il allait porter la main à son fourreau, je lui envoyais par réflexe un coup de pied en plein dans le thorax. L’envoyant voler à plusieurs mètres avant de s’écraser dans un fracas de tous les dieux. Pour la discrétion, une fois de plus, on repassera… La pièce devant moi était plongée dans l’obscurité, décidément, ils n’aimaient pas beaucoup les fenêtres par ici…

Je franchissais le pas de la porte sans plus d’appréhension…


Pour me retrouver nez à nez avec une quarantaine de types armés jusqu’aux dents…  

« Et merde…Je dérange ?! »

Vu leurs tronches, ils n’avaient pas vraiment l’air emballés de me voir ici, on allait savoir pourquoi ? Après tout, je n’avais jamais demandé à foutre les pieds ici…

En scrutant rapidement la salle, je découvris qu’il s’agissait de leurs Mess. Cela tombait bien, car j’avais une dalle des enfers.  

Un silence pesant s’installa pendant une fraction de seconde…  

« Coucou, les filles, voilà tonton Jack ! Ne vous bousculez pas, il y en aura pour tous le monde ! »

J'enroulais mes chaines une nouvelle fois autour de mes avant-bras meurtris, pour faire tournoyer les énormes blocs de bétons.  
La vie de toute cette boustifaille m'avait galvanisé !


Dernière édition par Jack R. Skellington le Dim 16 Avr - 12:30, édité 1 fois
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Une fois l’adrénaline redescendue, je me rendais compte que j’avais peut-être un peu trop galvanisé mes adversaires. Ils se ruèrent sur moi, comme un seul homme ! Du haut de mes trois bons mètres, je me sentais tout d’un coup petit …

Place à l’artillerie lourde !  J'envoyais mes deux blocs dans la masse, écrabouillant quantité d'adversaires d'une traite. A présent que j'étais couvert des pieds à la tête de sang, je me jetais
 à corps perdu dans la bataille, je renouais enfin avec une sensation oubliée depuis trop longtemps à mon gout.

Encore un peu rouillé suite à mon incarcération prolongée, je me fis plusieurs fois surprendre par mes adversaires, me laissant en guise de souvenirs de vilaines plaies sur l’ensemble de mon corps. Bientôt je perdis le fil des évènements, j’étais dans un état de transe totale, frappant encore et encore, jusqu'à perdre la tête.

Très vite la salle était recouverte de sang du sol au plafond, mes pieds baignaient dans des vicaires et des membres coupés. Combien d’hommes j’avais tués aujourd’hui ? J’étais incapable de le dire, mais beaucoup. Les survivants voyants que la seule issue possible c’était de finir par trancher en rondelles, décidèrent de fuir, grand bien leur fasse !

Je me retrouvais totalement vidé de toute énergie, je n’avais plus qu’une seule pensé en tête à présent, poser mon cul et surtout manger, manger à en crever.

Je me dirigeais vers la dernière table encore debout, attrapant au passage une chaise en bois qui semblait être en capacité de soutenir mon poids. J’avais tout de même de la chance, l’essentiel de la bouffe présente sur la table avait été épargné des visières et tripes de mes adversaires. Alors que je me préparais à festoyer, un dernier détail se mettait en travers de ma route. Un corps gisait en travers de la table, je le dégageais au sol sans la moindre considération, maintenant, je n’avais qu’un seul et unique désir, qu’on me foute la paix !


J’entendais parmi le paquet de soldats supposés morts, un cadavre encore en vie se trainer vers la sortie. Je jetais un coup d’œil machinalement entre deux bouchers, il pouvait bien aller se faire cuir un œuf en enfer ce pauvre diable, c’était le cadet de mes soucis ! Je mangeais encore et encore, à tel point que la chaise craqua sous mon poids et je me retrouvais le cul par terre… Mais cela ne m’arrêta pas pour autant, je renversais la table sur moi pour engloutir tout ce que je pouvais.

Combien de temps dura ce festin ? Plusieurs heures à n’en point douter. Après avoir fait une petite sieste de rigueur, je décidais de sortir prendre un peu l’air. Je n’avais que trop trainé dans cet endroit humide et puant.

Sur le chemin de la sortie, je ne croisa pas âme qui vive, le cadavre rampant gisait dans son sang avant d’avoir pu atteindre la sortie. Je poussais la porte et une intense lumière m’agressa les yeux sans prévenir.

« Foutu soleil,  toujours là pour faire chier. toi »

Plaquant ma main sur le front, j’avançais dehors sans pouvoir voir plus loin que le bout de mon nez. Il faisait bigrement chaud ici, le soleil était bien haut, il devait être midi ou une connerie comme ça. Petit à petit mes yeux commencèrent à s’adapter à cette soudaine luminosité…

J’étais au milieu d’une place entourée de bâtiments rudimentaires, toutefois face à moi se dressait une sorte de petit palais qui faisait tache avec le reste, et une ombre se tenait pile poil dans mon champ de vision.

« Hum ... »

C’était ce connard de Belhomme qui semblait impatient de me voir.

« Ah enfin vous voilà monsieur Skellington, je commençais à me demander si ... »

« Oh fermes-là toi ! Combien de temps j’ai croupi dans ton trou à rat ?! »

Cette fois-ci j’étais bien décidé à lui éclater la tronche une bonne fois pour toutes, avant même qu’il puisse me répondre je me dirigeais droit vers lui.

« Du calme le sanguinaire ! Je ne vais pas commettre la même erreur deux fois de suite. »

Il claqua des doigts et d’un seul coup la place se changea en une véritable fourmilière ! Un un clin d’œil, plusieurs centaines de types étaient sorties de leur cachette.

« Bordel de merde.. C’est quoi tout ça ?! »

« Bienvenue à Whiskey Peak Skellington ! L’île des chasseurs de prime ! Une prime comme la votre ici, est comment dire, une véritable attraction !  »

« Ah ... »

Ces cons, ils avaient même ramené des putains de canons !!!  Partout où je regardais, je ne voyais que ces putains de chasseurs qui pointaient tout ce qu’il était possible et imaginable dans ma direction. Si seulement j’avais encore Olek et Trembol à mes côtés…
« Et les canons c'est pour ?! »


« Juste une garantie supplémentaire, je vous rappelle que vous venez tout juste de massacrer une quarantaine de types au passage... »

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