Un port sans détails exceptionnel, les vagues de Grand Line caressant avec insistance ses quaies et les planches gardant sec ses habitants. Le vent venait agrémenter de sel et d’odeur océaniques les narines et la peau des passants qui observaient ce qui pouvait être la mer de leur gagne pain ou la plus grande aventure de leur vie. D’autres se contentaient simplement d’apprécier la vue d’une mer s’étirant de chaque côté dans ce qui semblait être un univers infiniment bleu, défiant les logiques du monde, laissant supposer toujours plus sur l’incrédulité des dieux face à leur étrange création.
Sur ce quai, un homme se grattait paresseusement le menton, ses pieds nus goûtant de leurs pores la nature saline des eaux, ses orteils s’agitant à un rythme lent et sans empressement dans les courants éternels. Une ombre des nuages semblait couvrir son visage aux passants, en très grand nombre dans une journée à la température clémente, sans tornades, ouragans ou pluies torrentielles. Son épée, dans un fourreau richement décoré de fils rouge et or, était laissé près de sa cuisse couverte d’un large pantalon de matelot, comme s’il avait négligé sa seule protection face aux terreurs de la mer de tous les périls.
Cela n’échappait bien entendu pas aux yeux du Cornu qui, circulant derrière, ne put s’empêcher de hausser un sourcil avant de hausser les épaules à leur tour, dans un monde de vague, avant qu’un bâillement n’échappe de sa joli bouche orné de dents éternellement souriante. Ses pensées s'entre choquants dans son crâne, il portait un sac de diverses denrées alimentaire qu’il ramenait au grand navire à l’effigie d’un cygne qu’il avait le plaisir d’habiter… continuant sans cesse de se demander s’il allait y rester une journée de plus, sans jamais être capable d’effacer l’attirance de la richesse, de l’espoir et de l’amour étranger qu’il ressentait dans son coeur de casanova.
Assise sur la tête de ce magnifique cygne de bois, observant la ville portuaire accueillant ceux ayant traversé d’une façon ou d’une autre Red Line, Rachel Marco grignotait un bâtonnet de fromage, sculpté par un fromager local. Appréciant le goût singulier et profond, la nature salée venant agrémenter ses papilles, les saveurs entremêlant des accents de champignons à ceux typiques de la fumée, ses yeux n’observaient pas réellement ce qui se déroulait, étant plutôt dans un nuage de réflexion. Iel concentrait son énergie mentale à visualiser le futur. Son avenir, grandiose ou terrible, selon les prochains pas, attentifs, que l’Okama allait devoir franchir. Quels adversaires, probablement plus dangereux les uns que les autres, attendaient de rencontrer son regard charismatique sur le chemin sinueux? Profitant des derniers moments avant le départ, iel observait les passants sur les quaies…
Sur ce quai, un homme se grattait paresseusement le menton, ses pieds nus goûtant de leurs pores la nature saline des eaux, ses orteils s’agitant à un rythme lent et sans empressement dans les courants éternels. Une ombre des nuages semblait couvrir son visage aux passants, en très grand nombre dans une journée à la température clémente, sans tornades, ouragans ou pluies torrentielles. Son épée, dans un fourreau richement décoré de fils rouge et or, était laissé près de sa cuisse couverte d’un large pantalon de matelot, comme s’il avait négligé sa seule protection face aux terreurs de la mer de tous les périls.
Cela n’échappait bien entendu pas aux yeux du Cornu qui, circulant derrière, ne put s’empêcher de hausser un sourcil avant de hausser les épaules à leur tour, dans un monde de vague, avant qu’un bâillement n’échappe de sa joli bouche orné de dents éternellement souriante. Ses pensées s'entre choquants dans son crâne, il portait un sac de diverses denrées alimentaire qu’il ramenait au grand navire à l’effigie d’un cygne qu’il avait le plaisir d’habiter… continuant sans cesse de se demander s’il allait y rester une journée de plus, sans jamais être capable d’effacer l’attirance de la richesse, de l’espoir et de l’amour étranger qu’il ressentait dans son coeur de casanova.
Assise sur la tête de ce magnifique cygne de bois, observant la ville portuaire accueillant ceux ayant traversé d’une façon ou d’une autre Red Line, Rachel Marco grignotait un bâtonnet de fromage, sculpté par un fromager local. Appréciant le goût singulier et profond, la nature salée venant agrémenter ses papilles, les saveurs entremêlant des accents de champignons à ceux typiques de la fumée, ses yeux n’observaient pas réellement ce qui se déroulait, étant plutôt dans un nuage de réflexion. Iel concentrait son énergie mentale à visualiser le futur. Son avenir, grandiose ou terrible, selon les prochains pas, attentifs, que l’Okama allait devoir franchir. Quels adversaires, probablement plus dangereux les uns que les autres, attendaient de rencontrer son regard charismatique sur le chemin sinueux? Profitant des derniers moments avant le départ, iel observait les passants sur les quaies…