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Gyomo Tamura, le Docker de Koneashima - Terminée

Gyomo Tamura

Age : 21 ans
Sexe : Homme
Race : Humain
Métier : Docker
Groupe : Civil
But : Quitter son trou, se bâtir une vie loin du port et de ses odeurs de poisson. Devenir quelqu'un.
Équipement : Un couteau
Parrain : /
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non.
Si oui, quel @ l'a autorisé ? /
Codes du règlement :

Description physique

L'avantage avec moi, c'est que quand on me voit, on sait tout de suite à qui on a affaire. Pas quelqu'un de la noblesse, ça non. Pas même quelqu'un de bourgeois. Ni d'aisé. Il y en a assez dans la ville basse de Koneashima des comme ça, qui marchent la tête haute, les épaules déployées, au milieu du chemin, sans faire attention aux autres. Moi, je n'ai pas beaucoup d'argent. Je n'ai pas de beaux habits, seulement quelques t-shirts trouvés sur les marchés, sans rien de spécial, une veste noire, toujours la même, qui se zippe jusqu'en haut, simple mais j'y suis attaché, depuis le temps.

Moi aussi je marche la tête haute, mais parce que j'observe, je suis toujours sur mes gardes. On sait jamais quelle genre de galère peut nous tomber dessus, alors je regarde devant, derrière, en l'air, sur les côtés, et aussi au sol. Je prends pas beaucoup de place, faut dire que je suis assez maigre. Tous les jours les mêmes repas, du riz et du poisson, du riz et du poisson. Maigre mais musclé, tout de même, à force de porter les caisses dans le port. Je suis bien mieux bâti maintenant que lorsque j'étais pêcheur.

J'ai pas un port de tête très élégant. "Port de tête !" Je sais à peine ce que ça veut dire, ils me font rire à parler comme ça. Ma tête, je la porte pas, elle est sur mon cou et c'est tout. J'ai pas les meilleures manières non plus, dans le sens où je suis pas le plus distingué, mais je ne suis pas crade pour autant. Je suis normal à ce niveau là, pas comme ces noblions qui se laveraient le cul à l'eau de javel s'ils le pouvaient. J'ai un accent qui me vient du haut de la montagne et qu'on a tous là-bas : je parle vite, il m'arrive de mal articuler et qu'on me fasse répéter. Je force pas mal sur les consonnes, les r, les p, et quelques autres. Ah oui, et j'aime dire le fond de ma pensée.

Sinon, mais ça vous avez pas besoin que je vous le dise pour le voir, mais je suis brun, les cheveux mi-longs, dans un style coiffé-décoiffé qui, on ne dirait pas, est particulièrement travaillé. J'ai les yeux clairs, tellement clairs qu'ils prennent la couleur de ce qu'ils regardent. On n'a jamais compris pourquoi dans ma famille, parce que mes deux parents ont les yeux noisette. Mais bon, c'est comme ça, j'aime bien. J'ai un beau sourire, du moins c'est ce que m'ont toujours dit mes oncles et tantes quand ils savaient pas quoi dire d'autre à mes parents. On se sent toujours obligés de complimenter les gosses des autres ; eh bien, dans mon cas, on disait que j'avais un joli sourire. Et je suis assez d'accord.

Description psychologique

J’ai longtemps été résigné sur mon sort. Je pensais que le monde était ainsi fait et que je n’y pouvais rien. Il y avait les faibles et les forts, les pauvres et les riches, les nobles et les gueux. C’est qu’on nous rentre très tôt ces idées-là dans la tête, et qu’il est difficile de se défaire de son éducation.

Quelque chose aurait pourtant dû me mettre la puce à l’oreille, au sujet de ce soi-disant ordre du monde. Vu de l’extérieur, la catégorie à laquelle j’appartiens est assez facile à deviner : je suis pauvre, donc je suis faible. Et pourtant, après toutes ces années à travailler pour des puissants, pour les Yusuké, qui sont tout de même assez nobles, eh bien je ne me suis jamais senti inférieur à eux. Inférieur en richesse et en puissance, ça oui, mais jamais inférieur dans mon essence. J’ai aucun doute sur le fait que je vaux mieux qu’eux. Tous les pauvres, en réalité, valent mieux que les riches. Sans doute parce qu’ils souffrent plus. Mais mon cas à moi, il est encore plus spécial : j’ai cette étrange certitude qui m’habite depuis tout petit, celle que rien ne m’est impossible. Je ne serai pas toute ma vie docker, je le sais. Je vais sortir de mon trou. Et quand ça arrivera, je serai meilleur que tout le monde.

Bien sûr, ça va pas être évident de partir. Je suis trop attaché à mes parents, je veux pas les laisser dans la misère. Dans le fond, peut-être que je suis pas assez égoïste. J'essayerai de l'être davantage à l'avenir. Mais je suis borné, je le sais.

Il y a des choses que je déteste, d'autres que j'aime. Et puis il y a des choses que j'aimais mais que je n'aime plus : j'aimais tendrement Jifu-san, le grand mont de Koneashima, j'aimais sa paix et sa végétation, j'aimais l'élévation qu'il me procurait. Il me rendait un peu moins triste de ne pas vivre en ville, parmi les hommes riches. Mais depuis les éruptions successives, j'ai dû mal à lui accorder mon respect. La nature a été trop violente avec nous, elle doit se faire pardonner. Les choses que j'aime, c'est facile : mes parents, ma terre, malgré tout, et me sentir en vie. Courir, sauter, frapper l'air avec mon couteau, danser. J'aime les mouvements de mon corps et il n'y a rien qui me rende plus heureux que de le contrôler pleinement.

Je pensais qu'il serait facile de dresser une liste de ce que je déteste : en réalité, il n'y a pas tant de choses que cela. J'aime pas le gouvernement, la royauté, la noblesse, toutes ces conneries qui légitiment l'asservissement des autres par une petite élite autoproclamée. Mais en réalité, j'en veux à personne de particulier, c'est le système qui va mal. Alors, à part contre lui, j'ai pas de rancœur. Ah, et aussi, j'aime pas trop le poisson, à cause de l'odeur et de mon travail de docker. Mais bon, il faut bien manger, et c'est souvent le plus facile.

J'ai envie d'être libre, c'est tout.

Biographie

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours senti le poisson.

Déjà quand j’étais gamin, j’accompagnais mon père à la pêche. On partait tôt le matin, dans une brume si épaisse qu’on ne voyait plus le sommet du Jifu-san – en réalité, on ne voyait même plus notre maison, tant celle-ci était éloignée du centre-ville. Je me rappelle encore le froid qui me rongeait jusqu’à l’os tandis qu’il m’apprenait à lancer les filets et à les remonter, puis à reconnaître les poissons pour les trier. On n’avait pas beaucoup de rendement mais on s’accrochait, on restait sur l’eau tout le temps qu’il fallait même si ça me retournait l’estomac, c’était ça ou bien bouffer de la terre au dîner.

Il faut dire que mon père n’était pas un pêcheur dans l’âme. Il n’avait pas choisi son métier car il faisait partie de ces humains qui n’ont pas suffisamment d’argent pour décider de leur vie pour eux-mêmes. Il était mauvais pêcheur, mais il pêchait quand même. C’est la première leçon que j’ai apprise : dans ce monde, on est rarement dans la vie ce qu’on est dans son âme.

On ne gardait que quelques poissons de notre maigre récolte. Le reste, on allait le vendre sur les marchés, en bas, dans la ville. Les mains dans les viscères de poisson à extraire le jus gris et puant qu’ils ont dans le bide, c’est comme ça que j’ai appris à me servir d’un couteau. Et puis j’essayais d’être souriant quand je parlais au client parce qu’on se laisse plus facilement convaincre d’acheter quand c’est un gentil petit garçon qui parle. En réalité, moi, j’avais surtout envie de dégueuler. Je me sentais sale.

J’étais pas vraiment malheureux à l’époque ; c’était ma vie et je ne connaissais que ça. J’étais pas vraiment heureux non plus. Je me rendais bien compte que j’étais moins heureux que d’autres, que ceux qui habitaient la ville basse, ceux des grandes familles, ceux qu’on doit saluer en courbant la tête jusqu’à se faire mal au dos lorsqu’ils passent devant nous. Pour autant, j’avais ma famille et quelques amis, principalement des voisins qui vivaient dans la même pauvreté que nous. Et puis y en avaient qui étaient encore plus pauvres, et eux je les plaignais vachement. Je les plaignais mais en réalité j’étais content de ne pas être eux, content qu’il existe des gens de qui je pouvais me sentir supérieur. Il faut bien ça.

*


Non, la véritable galère, elle est venue après. Certains ont dit qu'elle prenait le nom de Mint Figura, d'autres qu'elle était arrivée encore plus tard, dans les bagages de ce putain d'ambassadeur du gouvernement mondial, Théodore Perry. Puis celui-ci est mort, alors il a fallu accuser quelqu'un d'autre : son remplaçant, Julior Dénégor. Un sale type. Bon, je dis ça, mais je le connais pas vraiment, pour être franc. Tout ce que je sais, c'est que j'ai longtemps été pêcheur et fils de pêcheur, mais qu'avec tous ces événements des dernières années, je suis devenu larbin et fils de larbin. A cause de gens qui connaissent même pas mon nom. Je bosse pour des gens qui savent même pas comment je m'appelle. Monde bousillé.

Il y a 4 ans, en 1625, Jifu-san s’est réveillé une première fois. On n’en a pas beaucoup parlé, car il n’y a pas eu beaucoup de dégâts. Pas beaucoup, ça veut pas dire pas du tout. Mais les pas beaucoup, on n’en parle pas. L’éruption a rapidement été contrôlée et seules les maisons les plus en altitudes ont été touchées. Ces maisons-là, vous l’aurez deviné, appartiennent à ceux qui n’ont pas les moyens de se payer une baraque plus proche de l’eau et de la ville. On a failli avoir de la chance, puisque la lave s’est arrêtée juste avant notre maison. Encore une fois, les personnes plus pauvres que nous nous avaient sauvés, et j’étais bien content. Je comprends pas pourquoi Jifu-san est toujours en colère contre ceux qui n'ont rien et qui vivent au plus près de lui, dans ses bras.

Puis on a appris que parmi les victimes, il y avait la maison de la sœur de ma mère, une femme charmante, qui est morte dans les bras de son mari, moins charmant. Figés par la cendre, c’était beau comme mort. Sauf qu’ils avaient deux enfants et qu’on a dû les récupérer et, c’est logique, les nourrir. Le salaire de mon père n’a plus suffi. Ma mère, qui s’était jusqu’alors occupé de nous et de la maison, est descendue dans la ville et elle a trouvé du travail au port. Ça nous a paru miraculeux, ce travail. C’était peu, mais c’était un revenu fixe. Un salaire. Une porte d’entrée pour moi, puis pour les gosses, quand ils auraient l’âge.

Je savais pas que cette porte d’entrée menait à la cage que j’allais moi-même me fermer dessus. Evidemment, j’avais laissé la clef dehors.

*


L'année d'après, 1626, je suis devenu docker. Tous les matins, je descendais la montagne avec ma mère, et tous les soirs je la remontais. Environ 1 500 mètres de dénivelé dans chaque sens, ça nous prenait des heures. Depuis quelques mois, Maman n'est plus capable de le faire, trop fatigant. Moi, pour m'encourager, je me dis que c'est le meilleur des entraînements : j'ai les jambes solides et le cœur dans ma poitrine qui bat doucement, même quand je cours.

Quand on travaille au port, y a un seul nom à connaître, celui de Yusuké. Tous, là-bas, on bosse pour eux. On se casse le dos et ils récoltent l'argent. Puis ils vont faire des ronds de jambe en souriant à l'ambassadeur. La famille Yusuké est à la traîne dans la course au pouvoir comparé aux Akitsu et aux Figura ; je pense que ça les énerve. Alors ils nous font travailler de plus en plus pour montrer à quel point ils (nous, leurs larbins) sont utiles.

Nous sommes en 1629. Ça fait trois ans que tous les jours je vide les cales des bateaux, je transporte la marchandise, je me baisse, je me blesse, je fais l’inventaire, puis je remplis d’autres bateau. Trois ans sans pause, sans perspective, trois ans avec le même salaire de misère. Ma mère, je l’ai dit, ne peut plus travailler. Mon père continue de pêcher, mais c’est mon père, vous le connaissez, il réussit pas grand-chose. Alors moi je dois pas lâcher. Parfois pourtant j’ai envie de partir, de me cacher à bord d’un des bateaux que je charge et de jamais revenir. Mais j’ose pas imaginer ce que ça voudrait dire pour mes parents. Si un jour je partais, il faudrait que je sois certain qu’ils aient de quoi survivre.

L’année dernière, il s’est passé beaucoup de choses à Koneashima. Y a d’abord eu l’invasion pirate le jour de la fête de la Grixendre. Je me rappelle parfaitement les hurlements, les explosions, les dégâts, tout le sang dans la rue… C’était monstrueux, et tout ça pour quoi ? De l’argent ? Une poudre à canon ? Pour une fois, au moins, le sort nous a épargnés. Les rôles étaient inversés : ce sont ceux d’en bas, de la ville, qui ont souffert. Moi j’ai tout vu depuis le port, j’ai dû aller me cacher, je suis resté des heures enfermé dans un entrepôt parmi des tonnes et des tonnes de poisson cru. Je sentais le cadavre. Mais au moins il m'est ien arrivé, et à mes parents non plus.

Et puis, quelques mois plus tard, à nouveau le chaos près de nous. Jifu-san s’est réveillé. Encore. Et cette fois, il a craché sur notre versant de la montagne, il n’a épargné personne. Dieu merci, nous n’étions pas dans la maison ce jour-là, on s’en est tous sorti saufs. Mais la maison… Quand on y est retourné, quelques jours plus tard, on ne reconnaissait rien. Tout le village a été ravagé par la lave et la cendre. On jurerait que personne n’a jamais habité dans ce coin-là. Et ça aurait été mieux si ça n’avait jamais été le cas, d’ailleurs.

On a été relogé temporairement chez des amis. C’est petit, et on voit bien qu’on dérange. C’est un peu moins loin de la ville, maintenant. Toujours est-il qu’on a besoin de plus d’argent que jamais auparavant, mais qu’on n’en gagne pas. Y a aucune chance, pour nous. Les portes de l’université nous sont fermées, je sais rien faire de mes mains à part porter des caisses et vider des poissons avec la précision d’un chirurgien. Mais j’ai envie de plus.

J’ai un peu réfléchi, puis j’ai fait savoir à mon chef dans le port que j’en avais marre des poissons. Que je voulais gagner un peu plus d’argent, quitte à prendre plus de risques. Il m’a proposé de bosser sur les cargaisons de Grixendre, parce que j’ai de l’ancienneté et qu’il peut me faire confiance – les puissants font toujours confiance aux pauvres, parce qu’ils ont l’impression que le pire qu’on puisse leur faire ne les égratignera même pas. La Grixendre, ça m’enchante pas, parce qu’avec les poudres miraculeuses comme ça il y a toujours des histoires de contrecoup, de maladie ou je sais pas quoi. Je le vois arriver gros comme une montagne. Mais j’ai besoin d’argent, alors j’ai dit oui chef, merci chef. Tu dirais merci aux Yusuké, qu’il m’a répondu. Je risque pas d’oublier.

Ca fait quelques mois que je travaille à charger des bateaux et des bateaux de Grixendre. Feu d'artifice, pétards, poudre à canon, on peut faire plein de choses avec cette substance, alors il y a beaucoup d'acheteurs, on s'arrête jamais. C'est super fatigant, mais je sens aussi que mon corps se développe : de jour en jour, les caisses me paraissent un peu moins lourde. Parfois je pense à faire un gros coup. Je sais pas quoi. Tout voler ou alors me vendre au plus offrant. Peu importe, en réalité, la première chose qui me fera quitter ce port sans mettre mes parents dans la merde fera l'affaire.

Informations IRL

  • Votre prénom / pseudo : Gyomo ira très bien Smile
  • Êtes-vous majeur ? oui
  • Votre personnage préféré (de One Piece) : Difficile comme question... Je vais alors en choisir trois : Luffy, Robin et Law.
  • Vous vous définiriez comme : amateur de livres et de bière...
  • Vous faites du RP depuis : une dizaine d'années, peut-être plus, mais avec de grosses périodes de pause.
  • Vos disponibilités (approximatives) : en semaine pour lire, le week-end plutôt pour écrire.
  • Comment avez-vous connu le forum ? Topsites !


Dernière édition par Tamura Gyomo le Ven 17 Nov 2023 - 14:48, édité 9 fois
  • https://www.onepiece-requiem.net/t27018-ft-de-gyomo-tamura
  • https://www.onepiece-requiem.net/t27004-gyomo-tamura-le-docker-de-koneashima-terminee
Coucou et bienvenue sur OPR !

Je vois que tu as déjà trouvé les codes du règlement et signer la charte ! Il ne te reste donc plus qu'à finir ta présentation pour que nous puissions te valider !
Penses à nous prévenir quand ce sera fait en postant un petit message ici !

Et si jamais tu as besoin d'aide pour construire ton personnage, n'hésite pas à nous solliciter, ici ou sur discord, pour qu'on puisse t'aider au mieux ! Si jamais tu as besoin de plus de temps pour terminer, tu peux aussi le signaler ici !

Peluuuche et bon courage pour terminé cette présentation !


Gyomo Tamura, le Docker de Koneashima - Terminée 1425067977-izya-sflagopr Gyomo Tamura, le Docker de Koneashima - Terminée 1465207581-signizya Gyomo Tamura, le Docker de Koneashima - Terminée 1lmh
  • https://www.onepiece-requiem.net/t3825-
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Hello !

Merci beaucoup pour cet accueil Smile. Ma présentation est terminée, j'espère qu'elle vous plaira ! De mon côté, c'est un vrai plaisir d'arriver sur un forum avec un lore aussi développé, c'est assez impressionnant et ça m'a beaucoup inspiré.

Serait-il possible de changer mon pseudo de Tamura Gyomo à Gyomo Tamura ? J'ai inversé prénom et nom :/.

Merci encore, bon après-midi et à très vite sur les mers !
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Coucou Gyomo ! Encore bienvenue dans le coin !

Tu as du le voir mais je viens de modifier ton pseudo comme tu l'as demandé, et en plus je passe pour ta validation !

Et franchement, c'est une présentation nickel que tu nous as écrit là. Le style est fluide et accrocheur, j'ai vu de trois petites fautes mais c'est vraiment de l'inattention donc ça gène pas, les descriptions sont clairs, l'histoire est à la fois assez simple mais très bien raconté donc on lit le tout sans même se rendre compte que c'est déjà la fin.

Le seul petit bémol c'est que j'ai pas compris ce passage : "Je savais pas que cette porte d’entrée menait à la cage que j’allais moi-même me fermer dessus. Evidemment, j’avais laissé la clef dehors."
Mais je suppose que le travail de ta mère c'est dockers et que tu l'accompagnes dans cette tache ? Rapport que tu dis juste qu'elle travaille au port mais on sait pas ce qu'elle y fait vraiment.

Bref, encore une fois, une belle présentation, avec une belle utilisation de Koneashima et donc de l'univers.

Du coup, sans surprise je te valide au max, soit 800 Dorikis.

Il ne te reste qu'à aller poster ta fiche technique, renseigner les différents liens (présentation, fiche technique et plus tard : récompenses) de ton profil et passer dans le sujet de recensement d'avatar.

Peluuuuche et bon jeu sur OPR !


Gyomo Tamura, le Docker de Koneashima - Terminée 1425067977-izya-sflagopr Gyomo Tamura, le Docker de Koneashima - Terminée 1465207581-signizya Gyomo Tamura, le Docker de Koneashima - Terminée 1lmh
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