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Fashion superstar.

Maria Star, le pnj:



- Oui oui, je prends tout ... Non, mettez tout sur la note de mon futur époux, Alheiri S. Fenyang ... Dit-elle avec un culot qui en ferait trembler plus d'un. Mais Maria Star, elle, ne tremble jamais. Jamais quand elle est sûre que son arnaque va prendre, du moins juste le temps pour ... Pour s'enfuir ou prendre ce qu'elle a envie d'avoir ! De toute façon, avec sa force brute et ses compétences martiale dans le Hassoken, elle est capable. Capable de briser les rêves et espoirs. Capable de voler ce qui lui fait envie.

Elle aime juste foutre le boxon, et semer la zizanie. Elle aurait pu très bien casser la figure à tout ceux qui se seraient mis entre elle et son butin. Seulement voilà ... C'était plus drôle. Drôle de faire croire que Salem, le contre amiral le plus couru du moment, craquait pour elle. Elle se faisait mousser, et on la connaîtrait comme tel, ce qui pourrait enerver le loustique, lui laissant l'occasion d'augmenter sa prime, simplement en mettant les nerfs en pelote du bon gars. Ce qu'elle pouvait être maligne ...

Franchement, personne ne lui arrivait à la cheville....

Pendant ce temps là...

Qu'est-ce que je fous la bordel. Je sais que celle que je recherche est spéciale, pas banal, une vraie cramée du ciboulot. Je sais qu'elle a des accointances avec la révolution, sans jamais y avoir touché vraiment, elle a toujours frisé la correctionnel, et la cause de très près. La Galley-La  a le monopole de l'indépendance, et le contact que je dois rencontrer aujourd'hui est une sommité du dock 1, celui composé uniquement de femme, et qui remporte tous les ans les grandes courses organisées par les charpentiers de la ville. Je me trouve donc dans un centre commercial tout ce qu'il y'a de plus banal, avec pour seul indice une photo de la jeune femme, et un prénom, Viper.

photo:

Bon, elle a pas le physique le plus difficile à reconnaître, mais le monde à l'intérieur du centre, qui se presse et m’oppresse me met particulièrement sur les nerfs. Je stresse pas non plus. Je sais garder mon calme. Mais les foules n'ont jamais été mon dada. Bref, je guette à une intersection, me disant qu'en restant en hauteur, et en ne bougeant pas, j'ai plus de chance de la repérer. Je saute sur un banc, prend appuis, me retrouve rapidement au deuxième étage du Fenyang Mall. Quelle idée aussi, de me donner rendez vous dans un endroit qui porte le nom du pire ennemis de la révolution, ou presque ? Elle essaye de m'impressionner pour négocier son salaire peut être ? De toute façon, depuis le pilonnage d'Aeeden et d'autre incident, les caisses sont presque vides.

Il n'y a pas grand chose à négocier, si ce n'est la passion qui nous anime. Il faut tout reconstruire, et ça commence, pour ma part, en formant une équipe capable de retourner n'importe quelle île, et d'en faire un solide appuis à notre dogme, notre leitmotiv et nos idéaux. Je cherche des gens qui sont animé de la même colère que moi, de la même soif de faire payer le Gouvernement mondial pour ses crimes, pour sa déshumanité, pour ses caprices et ses injustices. Les cinq étoiles en premier lieu. Puis les Dragons Celestes ensuite. On démontera leur fausse justice, et leur faux idéal de paix, pour construire un monde de paix, un monde ou tout le monde nait avec les mêmes chances et qu'ils soient égaux devant le système.

J'en suis persuadé.

Un peu plus tard ...

- Lâche ça, c'est à moi ! Que j'entends, un bruit qui attire mon oreille et me fait tourner le regard.
- Hahaha, tout est à moi ici, je suis la future femme de Fenyang nom d'un p'tit bonhomme ! Que fait une rousse à une autre.

Jamais compris pourquoi les gens réagissent comme ça ? Y'en a pas pour tout le monde ? Partagez ? Faites des concessions ? Je sais pas. Faites autre chose que vous battre comme des chiffonnier pour rien. Je mire la dispute sans avoir l'intention d'y participer. Seulement ... Je reconnais l'une des protagonistes. C'est Viper, j'en suis sûre. Et l'autre commence à s’énerver, a crier de plus en plus fort ses raisons, moi j'ai déjà oublié son visage, mais pas zappé qu'elle arme une frappe puissante contre celle que je dois rencontrer, un peu plus bas, en dessous de moi ou presque.

Je saute, sans réfléchir. Je saute en faisant un demi tour en plein vol. J’atterris juste au moment ou le poing de la femme inconnu va atterrir en pleine pommette de ma cible. A sa grande surprise, quelque chose de plus dur qu'un visage reçoit son coup chargé d'une sorte de fluide. Un art martiaux que je ne connais pas ? Intéressant. Je sens une sorte de vibration me parcourir, tandis que ma main se crampe.


- Viper ?
Lâche-je, à l'intention de la femme que je viens de protéger.  Elle hoche la tête, et ça me suffit.

- Toi, éloigne toi de ma camarade, ou ça va barder pour ton matricule
, que je lâche, mes yeux bleus glace, aussi froid qu'un hiver à Drum, ou bien une contrée lointaine, celle qu'on appelle Winter Island, n'entre en contact avec celui de la rousse. Elle frémit mais sourit.  

Ses yeux s'illuminent, et son poing s'enflamme. Elle vise clairement mon estomac, mais je comprends vite qu'elle cherche surtout à faire d'une pierre deux coups. Derrière moi, la charpentière n'a pas bougée. Elle est comme tétanisé. Eh bah faudra qu'on l'endurcisse ...  

Je bloque détourne le coup avec mon pied, frappant son avant bras. Le poing enflammé bourré de Hassoken rencontre un mur du centre commercial, et le fait s'effondrer, tandis que les vêtements sur le présentoir commencent à prendre feu ...

Dire que je voulais être discret.
 
    Ca y est! Enfin! Ça avait pris des mois et des mois de travail, mais enfin, il était la, prêt a ouvrir ses portes ! Le plus grand cabaret de magie au monde allait bientôt être ouvert au public et rien ne pourrais me gâcher ma joie, plus qu'un lieu, un symbole celui de la renaissance, celui d'une nouvelle ère pour tous les magiciens du monde, un nouvel âge d'or allait enfin voir le jour.

    J'étais satisfait, impatient, personne n'allait gâcher ce moment, ni un Keisuke enrager, ni une Erisa vengeresse, pourtant j'étais traversé par un intense sentiment de perplexité lorsque j'apprenais que deux personnes n'avaient visiblement pas eu le mémo. Un combat venait de s'engager entre une pirate connue du nom de Maria Star et un étrange individu non identifier... Un chasseur de primes? Un révolutionnaire ? Ou encore un autre pirate? Pour le moment, je ne le savais pas, mais je ne tarderais pas a le découvrir et autant dire qu'il n'avait pas intérêt a traîner dans le coin.

    J'étais dans l'enceinte de mon édifice, et pourtant il ne me fallut pas plus d'un instant pour me mettre en marche les mains dans les poches. Keisuke le regard surpris hésitais un instant avant de me suivre, il savait ce que ce calme voulait dire. Il savait dire que j'avais le sang-froid dans les moments ou j'étais prêt a tout embrasé.

    Au loin, de la fumée dans le ciel venait trahir la position des deux récalcitrant qui avait eu le malheur de déclencher une bagarre dans la mauvaise zone. Les mains dans les poches, je voyais certain curieux s'approcher alors que d'autres eux prenait au contraire la fuite. Au fur et a mesure, le visage des combattants se dessinait alors que je devais bien admettre que le visage du second m'étais totalement inconnu et il était assez rare de voir quelqu'un dans ce cas si c'était quelqu'un de redoutable au combat.

    Une courte observation me laissait entrevoir des similitudes avec le style de combat de Keisuke, a ceci prêt que mon apprenti me semblait plus brutal, agressif et surtout dévastateur dans ses mouvements, cela serait un bon test pour lui. Je prenais la parole :

    " Keisuke... Je te laisse l'inconnu, moi, je me charge de calmer la demoiselle."

    Celui-ci souriait a pleine dent avant de se ruer vers l'homme et de l'attaquer avec sa canne en utilisant son pouvoir pour décuplé le poids de celle-ci et provoquer un coup destructeur. La femme d'abord rassurée venait faire moi, elle n'avait même pas le temps d'ouvrir la bouche que je reprenais :

    " Je t'ordonne de dormir"

    Un instant, et la voici tombé comme une pierre... J'allais assister probablement a un combat intéressant entre mon protégé et un illustre inconnu, il n'avait pas intérêt a me décevoir.

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    Le combat se poursuit sans autre forme de procès. La jeune femme enchaine les coups, la panique se met à se créer dans le hall du centre commercial. Les gens crient au loup, les gens se bousculent en voyant le feu prendre peu à peu dans les rayonnage des boutiques. De mon côté, j'essaye de faire bonne figure. Elle frappe. Je contre en évitant ses flammes. Ça l’énerve. Je sens sa passion ardente, son énervement latent, et ses manières létales de combattre. Je suis contrit, forcé de reculer alors que ce n'est pas le mieux à  faire dans un combat, lui donnant de plus en plus d'assurance. On zig-zag, j'use de toute ma vitesse, et de cabrioles pour ne pas me faire brûler.

    - Un vrai singe, arrête ... Fait elle en armant un coup ... de ... continue-t-elle en relâchant le coup ... bouger ! Termine-t-elle par dire en m'envoyant valser dans les petites culottes et autre sous vêtements féminin, de l'autre côté du hall, dans une boutique dont je fracasse la vitre à grand éclat. Les cris et l peur s'intensifie. Une volutes de fumée commence à s’élever au dessus du centre. La marine, et la sécurité du hall ne va pas tarder à arriver, et même si je suis simplement intervenue pour éviter un massacre, ma mission est ruiné, ma réputation va en pâtir sur Water Seven, et je risque gros à rester statique.

    Je dois fuir, mais la rousse s'approche à grand pas de moi, sans doute pour finir le travail. Je me relève avec difficulté et décide de prendre le taureau par les cornes : Avec toute ma vitesse, je fonce sur elle, et comme un amateur de ballon ovale, je la tacle au niveau de abdominal, la faisant s'effondrer et rouler boulé, jusqu'au comptoir de l’accueil, ou elle s'écrase misérablement. Elle se relève doucement quand arrive deux hurluberlus.

    L’un semble bien trop puissant pour être honnête. Il endort sa cible, sans doute grâce à un pouvoir d’hypnose surpuissant, et le spectacle m’empêche de voir arriver le second sur moi. Il me frappe d’un coup de canne lourd, dopé par un pouvoir, sans aucun doute. Je fais quelques mètres en roulant sur moi-même amortissant avec mes mains les chocs les plus puissants, je me relève avec souplesse en prenant appuis, quand mon tonneau se termine enfin. Je regarde la situation : Un centre commercial, des gorilles sortant des entrées de services et nous encerclant tout les trois.

    - Messieurs, fait une femme à l’aplomb et au calme olympien, je vais vous demander de nous suivre, et de ne pas faire de tumulte, sa suffit maintenant … Ce n’est pas bon pour les affaires votre histoire… Dit la directrice de l’établissement –sans aucun doute, qui a un petit air de Fenyang fils, le sous amiral le plus côté du moment. Elle regardait la rousse endormie avec beaucoup  d’animosité.

    Est-ce que ça vaut vraiment le coup de contrarier la famille Fenyang ? Je ne le pense pas, mais Keisuke ronge son frein, ayant l’air de vouloir me casser la figure avec sa cane qui pesait lourd dans le jeu de dupes qui allait se mettre en place. Il ne me connaît pas, mais semble assujettis à celui qui porte des lunettes. Je me demande ce que j'ai bien pu faire pour mériter autant de haine de sa part.

    Je lève les mains au dessus de la tête ; Visper a disparu de toute façon, mon recrutement a foiré.

    - Je me rends, désolé du dérangement … Que je fais derrière mon masque de métal, à travers le vocodeur. Je vous jure que je n’avais pas l’intention de détruire en parti le Fenyang Mall, j’ai juste voulu protéger une camarade peut être mon vocabulaire me trahit un peu, mais elle pouvait être une camarade de jeu, ou bien d’études, que sais-je ce que peut penser quelqu’un comme elle.

    - C’est tout à votre honneur, mais il va falloir rembourser les dégâts, messieurs … Fait l’impitoyable buisness woman, qui a un large sourire sur le visage ; Voit-elle peut être l’occasion de changer quelques petits trucs dans son centre commercial ?

    Je regarde le brun et guette son ami, voir leur réaction. Ils ont attrapé une dangereuse criminelle ; Peut être veulent ils faire valoir leur bon droit, autant celui d'attraper une criminelle, que celui à l’erreur ?

    - Suivez moi au poste de sécurité, nous allons tirer cette histoire au clair ... Les hommes à l'aspect patibulaire approchent de plus en plus, et je garde mes mains en évidence.

    Pas envie de me faire encore casser la gueule, moi.
      Le voila a tout de suite abandonner? Même pas un petit combat? Aucune résistance? J'étais pratiquement aussi curieux que décu. Pour abandonner aussi vite, il devait avoir compris qu'il n'était pas taillé, geste qui trahissait une certaine intelligence, mais en même temps pourquoi un criminel se rendrait aussi vite? Je connais pas mal de chasseur de primes de la région, mais son visage m'était totalement inconnu... Curieux, et a vrai dire mon instinct d'agent qui lui n'avait pas pris sa retraite ne pouvait pas se contenter de ça, je devais en savoir plus.

      Sans vraiment me poser de question, je prenais le mystérieux bagarreur par l'épaule et le faisant me suivre, direction mon établissement, signe que je m'occuperais de son cas, les autres me regarder et je reprenais:

      "Retourner a vos occupations, je m'en occupe."


      Je ne prenais pas vraiment note de leur réaction, je me mettais en marche. pendant que Keisuke lui s'occuper de recuperer la prime de la fashionista, car après tout je n'étais pas un bénévole pour autant, je pouvais empêcher les pirates de foutre le bordel sur mon île, mais j'avais malgré tout besoin de cet argent, mes employer n'allais pas se payer tout seul n'est-ce pas?

      Toujours est-il que nous étions maintenant dans le bureau de mon cabaret et qu'il ne me fallait pas plus que quelques mots pour qu'on me laisse interroger moi-même l'étrange hurluberlu. Nous étions face a face, alors que je prenais enfin la parole, après m'être assis face a lui, sur cette table des plus ordinaire qui dénotait de l'ambiance magique de cet endroit, tout en nettoyant mes lunettes:

      " Tu sais qui je suis? "

      Je remettais mes lunettes sans vraiment avoir cherché a comprendre s'il avait répondu a ma question, tout en reprenant:

      " La seule chose que tu a besoin de savoir et que je pourrais faire cracher au diable ses secrets les plus sombres, alors je vais te donner une chance de me dire qui tu est, pourquoi tu te battais, ce que tu fout sur water seven et surtout si j'ai des raisons de m'arranger pour te faire partir a coup de pied au cul "

      Est-ce que j'avais été un peu trop direct? Certainement, mais mon cabaret allait bientôt ouvrir, qu'il me donne la moindre raison de me faire me méfier de lui et il faudra une loupe pour retrouver les morceaux, je déteste qu'on me prenne pour une poire, alors il avait intérêt d'être convaincant.  
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      Alors ça commence sur un truc style pretty woman, et on finit sur le plus grand cabaret du monde ? Et il est ou Patrick ? On n’attend pas patrick ? Je suis là, me posant plein de question tandis que la poigne de fer de mon nouvel "ami" ne me permet pas de m'échapper. Je ne me suis jamais sentis aussi faible, aussi démunis, aussi ... Bref, j'ai l'impression d'être une poupée de chiffon qu'on a balancé dans une rivière, et qui, ballottée de tous les côtés entre les pierres, ne peut plus rien faire pour arrêter tout ce cirque.

      J’enlève le masque qui me sert d’aide respiratoire sur la route, dévoilant mon jolie minois, et mes lèvres charnues, mon menton volontaire et mes traits gracieux.  

      Nous arrivions donc à la salle de spectacle qui était le QG du mec bizarre qui me tiens à vue depuis tout à l'heure sans dire un mot ... C'est en poseur qu'il m’alpague après un long moment de silence radio.

      - Alors ... Là, comme ça, je connais vaguement ton nom de famille, Minaro non ? T'as un frère dans les corsaires non ? Que je fais en feignant de ne pas savoir que l'homme en face de moi est l'un des chasseurs de primes les plus doués de sa génération. Sans doute un tueur. Seulement, les loups se reconnaissent entre eux, et il passe tout de suite au plat de résistance.

      - Dans cet ordre là ? Je laisse planer le doute et le suspens ... Qu'il se pose des questions sur sa rhétorique.  Bah écoute, mon amie se faisant agresser, j’ai sauté dans le tas sans réfléchir… Que je lui dis, ce qui n’est pas vraiment un mensonge, et même carrément la vérité … Et ce que je fais sur Water ? Je suis là pour venir voir cette amie … Attends, j’ai sa photo dans ma poche … Je sors une image très doucement de ma poche intérieure de Visper que je lui montre … Elle est charpentière, sur un des docks. Et tu n’as aucune raison de me faire partir à coup de botte …. Je partirai calmement, comme je suis arrivé, par transiléenne, quand j’aurais finis de voir mon amie …

      Après tout, il était un touriste lambda. Et personne ne connaissait sa tête sous le masque à gaz, et même avec, ce n’était pas probant. Alors pourquoi se mefier ? Une intuition mérite-t-elle autant d'inimité à mon égard ?

      - Et toi, tu fais quoi dans le coin ? Je crois avoir une petite idée mais bon …
      Je regarde autours de moi, les teintures rouges, le sol capitonné, et la scène qui n'attendait que son artiste, et la salle, son publique...Peut être que je viendrai à la première, qui sait ? Au moins j'aurais vu en avant première l'ouverture de ce bel établissement ... Que je continue en parlant avec les mains... En attendant, c'est bon, je peux partir ?

        Le jeune homme enlevé son masque et laisser apparaître des traits fins, et surtout un visage que j'étais certain de ne pas reconnaître. Celui-ci commençais a parler, alors que je finissais par mettre une cigarette dans mon bec. Je n'étais pas satisfait, car son explication bien que simple était plausible. Difficile de prouver qu'il y avait plus que ça, et je n'avais pas de raison particulière de me méfier ou d'user de mon hypnose, c'étais embêtant, mais c'était dur de ne pas le laisser partir sans être accusé de harceler un pauvre citoyen qui n'avais rien demandé.

        Je continuais ma cigarette, et mon regard se voyait perplexe... Pourtant, une question assez simple subsisté... Pourquoi prendre un tel risque ? Quel civil prend le risque d'affronté une pirate primée a quarante millions de berries? Pour quelqu'un comme moi, cela ne valait pas plus qu'aller chercher une baguette de pain, mais je n'en étais pas pour autant déconnecté de la réalité, au final peu de gens ose faire face, et ceux qui s'en sorte indemne sont encore plus rare. Je soufflais une grande bouffé de fumé avant de reprendre :


        " - Ton explication tiens la route, mais j'ai du mal a croire qu'un civil sois assez fou pour tenir tête a un pirate... "


        Il me répondait assez simplement :

        "L'adrénaline ... Et puis nous sommes dans un monde dangereux, il vaut mieux savoir se défendre"

        Il me prenait pour un idiot ? L'adrénaline ? Ni plus ni moins? Curieux... Il devait avoir certainement suivi une formation militaire, un entraînement au combat tel qu'il puisse être, sans quoi ce genre de gus n'est pas destiné a vivre vieux.... Très bien, il avait refusé d’affronter Keisuke, et j'avais ma petite idée de comment évaluer son niveau:


        " L'adrénaline? .... Tu m'en diras tant. "

        Je marquais une légère pause avant de reprendre:

        " - Et bien je suppose que tu n'a rien contre le fait de me montrer ce que tu vaux n'est-ce pas? "

        Je mettais mon doigt vers lui, avant de tirer une fils invisible qui lui égratigner la joue, de cette façon il voyait que j'étais parfaitement sérieux et il avait intérêt a se défendre parce que je n'hésiterais pas a lui faire ressentir toute l'adrénaline dont il aurait besoin, le mettre ko tout de suite n'apporterais rien, mais je suppose que je pouvais bien me lacher un peu n'est-ce pas?

        Après un rapide combat, je me rendais bien compte qu'il ne tenait pas la distance, et je n'avais pas d'autre choix que d'abrégé... Après tout, je n'avais rien contre lui, aucune preuve qu'il était de la révolution et si lorsque j'étais Cipher Pol la question ne se posais pas, maintenant j"étais soumis a ce qu'on appel la présomption d'innocence, et si j'allais trop loin c'est moi qui risquait de finir avec une prime sur la tête, ce qui serait un comble n'est-ce pas?

        Je laissais l'asthmatique partir, cela dis maintenant je le garderais a l’œil... Perplexe, je le regardais partir, j'avais encore du travail, mon nouveau complexe allait bientôt enfin ouvrir ses portes.


        Dernière édition par Alaaric Minaro le Ven 9 Fév 2024 - 19:46, édité 1 fois
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        Le fil égratigne ma joue, et mon amour propre avec. Le gars se la joue grand seigneur, le gars se la joue même un peu trop. Je me lève d'un bond, attrapant le rebords de la table et l'envoyant valser directement sur Alaaric, sans autre forme de procès. Tu veux voir ce que j'sais faire ? Tu vas être servis ! Que je lâche en même temps. Il découpe sans mal la table à l'aide de ses fils, d'un coup de bras nonchalant. Je fais trois bond en arrière, en saut de main, méfiant.

        C'est quoi ce truc de fil ? Il paraît qu'il est magicien, c'est un tour de passe passe ? Je dois a tout prix savoir. Je dois à tout prix tout savoir et analyser la situation rapidement ; Nous sommes face à face, dans une salle obscure décorée richement mais avec un goût qui, avouons le, est tellement 1627 dirait Balerie Vadido. En face de moi, quelqu'un capable de me contraindre, et de me battre avec un enchainement de trois pichenettes. J'attrape une chaise et la brise comme si elle n'était que fétu de paille ; Après tout la paille et le bois ne sont-ils pas cousins ? Je me sert des bâtons qui faisaient le dossier pour me fabriquer des tonfas de fortune.

        L'autre ne bouge pas et m'attends, l'air goguenard. Je vais lui faire ravaler son air hautain. Alors quoi, tu veux ma photo ? Fit-il en souriant pour me provoquer. Je lui rend sa pokerface, en plus carnassier, et je prends une des tables de la grande salle de spectacle, l'envoyant valser dans un coin, puis une autre, encore une autre ... Je commence à tout casser enfaite. Et bah quoi, tu vas me regarder faire encore longtemps ? Là, j'sens que j'ai son attention, son sourire disparaît.

        Le chasseur envois des câble sur moi, histoire de trancher dans le vif. Mes tonfas de fortune s'entrechoque quand je les positionne devant moi, bloquant l'offensive portée, et croyant m'en être sortie. Sauf que le magicien n'a pas dis son dernier mot, il se sert de ce point d'appuis pour foncer droit sur moi, le genoux en avant. Je lâche les tonfas un peu trop tard, et il percute mon abdomen, me faisant presque rendre mon petit dej -qui date pourtant, mais je l'attrape au vol, son genoux enlacé dans ma poigne d'acier. Je me cambre et l’envoi valser dans une autre direction, vers le mur et les vitrines en verre, qui font comme un petit musée des merveilles de magicien ... Le véritable premier chapeau de Doudini, l’honorable et célèbre baguette de Vida Couperfil, bref, des objets de collections. Je le vois faire une de ses têtes, sa me rend tout heureux moi. Après tout, c'est un chasseur, et je serai peut être sa proie d'ici peu.

        Sauf que voila. La magicien a plus d'un tour dans son sac. de sa main jaillissent des fils, qui viennent s'accrocher à un angle de la pièce, il fait une pirouette, passe derrière les vitrines, et revient vers moi en m'insultant copieusement.

        - Bah quoi, tu m'as dis de te montrer, tous les coups sont permis dans un vrai combat, non ? J'essaye de faire le novice et d'avoir son approbation sur des choses évidentes. Déstabiliser l'adversaire c'est la base. Le faire psychologiquement autant que physiquement ? Moi je travaille sans filet, alors il a pas intérêt à me sous estimer, je lui fonce dessus, utilisant ma grande vitesse, prenant appuis et m'envoyer planer dans les airs ! J'arrive à sa hauteur, un poing chargé de ma force plutôt moyenne, mais qui, couplée à l'élan, devient problématique ... Nos deux corps se rencontres, douloureusement, et mon poing termine dans sa main, faisant un bruit ignoble je sens des trucs se briser en moi.

        C'est le genre de rencontre dont j'me serais bien passé...Trop lent mon vieux, recommence ... Toujours dans les airs grâce à un fil quasiment invisible dans la pièce, il me renvoi valser, sur la scène cette fois;

        Pas sûr qu'elle soit faite pour moi. J'ai rien d'une star, ni d'un acteur principal, ni d'un héro.

        Je suis plutôt le genre de gars de l'ombre.

        Cette fois-ci, j'attrape des débris en courant, et les lance sur le Minaro pour l'obliger à bouger de son perchoir ... Je commencerai presque à m'amuser, merde.
          Je dois admettre que cela n'était pas mal, insuffisant pour affronter un adversaire de mon niveau, mais il était plus fort qu'une majorité de Marine. Peu a peu, alors que les coups s'échanger et que nos regards se croisais une certitude venait en moi... Soit il avait subi un entraînement militaire, soit il avait été formé au combat par quelqu'un qui l'avait fais. Il était précis, et ses attaques étaient loin d'être brouillonnes, j'avais beau ne pas mettre toute ma force dans mes coups, j'en connais un paquet qui serait déjà au sol a se tordre de douleur a sa place.

          Il était sur la scène, et j'avais suffisamment usé de mon pouvoir, je voulais le tester sur ce qui définit la vrai valeur d'un homme, le combat au corps-à-corps, sans faux-semblant ou fioriture. A ce petit jeu, il ne pourrait pas me tromper et usé de stratégie pour me tromper, notre écart de puissance était bien trop important.

          Il perdait du terrain assez vite, mais il avait tout de même le mérite de voir mes attaques venir, et ca n'était pas a la porter de tout le monde. Au fur et a mesure des coups de poids qu'il parvenait a peine a contrer, je confirmer que comme je le pensais, Keisuke était plus fort, plus sauvage, mais dire que cet inconnu était denouer de talent saurait faire preuve d'une certaine mauvaise foi. Un pas d'éloignement, je souriais en mettant mes mains dans mes poches, attaquant uniquement avec mes pieds, de quoi le faire sortir de ses gonds, mais aussi de quoi m'amuser un peu.

          un immense superkick droit dans le nez, le voilà a ce tenir le visage, le nez teinter de sang, alors que de mon côté je souriais:

          " Quoi? Tu a déjà dit ton dernier mot? Non... Je serais bien trop déçu si c'était le cas. "

          Je faisais un signe de la tête pour l'inciter a revenir a la charge, tout en souriant, j'esquivais mes coups en reprenant:



          " D'ailleurs, il est vrai que je ne sais pas toujours ton nom... "

          Une ouverture créée, je mettais un coup de poids droit encore une fois dans son nez:

          " Hé! Je n'ai jamais dit que je n'utiliserais plus mes mains! "

          Disais-je tout en remettant mes mains dans mes poches. Je voulais lui faire perdre patience, et surtout le pousser a se battre a son plein potentiel. Avec un peu de chance, les choses allaient se corser un petit peu, qui sais? J'espérais juste ne pas être déçu... Car c'est décevant d'être déçu, en tout cas, c'est ce qu'on m'a dit.
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          La scèhe improbable de moi qui fait le clown pour le magicien se poursuit. Elle me semble irréelle, presque comme le début d'une farce. Tu la connais, celle du clown révolutionnaire et du Magicien Chasseur de prime sous un chapiteau, mon pote ? Bref, je réussis à le faire descendre de  son perchoir à force de détruire son mobilier déjà, et ensuite parce qu'être passif, n'est définitivement pas son truc ... Il essaye de me faire sortir de mes gonds, de me faire perdre plus que je ne le fais déjà. Je résiste, il porte des coups ravageurs ... Mais mon instinct et mon égo me dictant deux choses contraires, je décide de suivre le plus con des deux, en bon révolutionnaire diraient certain ; Plutôt parce que j'ai de la fierté, je dirai moi. Pas tous auraient acceptés de se battre contre définitivement plus fort qu'eux. Y'a que la haine et mon feu intérieure qui me tiennent encore debout après plus d'une demie heure à me faire latter la tronche...

          Je reprends ma respiration, les deux mains sur les cuisses alors qu'il continue de me harceler. Je comprends mieux certaines femmes qui peuvent même pas souffler tranquille, qu'on leur demande déjà leur numéro de vivre card ...

          - Je m'appelle Mercury ... Mais je sais plus vraiment qui je suis là ... Ha ha ha.


          SI je sais, un gladiateur. Un bonhomme, un gars sûr qui compter. Je commence à me faire ma place dans le monde. "Pouce !" Que je lance, à bout de souffle. Je retourne vers notre point de départ, attrape le masque à gaz que je charge de mon spray dopant. J'inspire. Première bouffée salvatrice, je ne sens plus mon corps perclus de douleur, je ne sens plus que la soif d'en découdre ... J'ai des problèmes respiratoires à cause de l'hyper industrialisation sur mon île d’origine ... Je continue, aspirant une deuxième bouffée. Sentiment de puissance. Dans mes veines coule du feu, du magma ou du métal en fusion ... Je me confie p'tet un peu trop, mais je cache l'essentiel ...

          Avec ma vitesse hors norme, dopé à mort, je fonce sur lui, le pied en devant ... Essaye de l'esquiver, celle là !

          - On y retourne Monsieur Minaro, j'ai bien peur que vous allez devoir réinvestir ... Dans un  nouveau costume de scène.. C'est vrai quoi, nos habits déchirés, nos corps transpirants et nos échangent amicaux que terminent l'entrainement pour passer au plat de résistance ...  Bon maintenant que tu m'as tabassé comme il faut, tu paye ta bière ?

          Bah quoi, c'est comme ça qu'on se fait des copains de manière universelle non ?
            Assez rapidement, et malgré une certaine détermination, mon adversaire ne tenait plus. La raison? Une visible maladie respiratoire, pourtant, je remarque que son produit a un effet étrange... Il semble plus puissant, plus rapide, a tel point que ses vêtements se déchire, a ce moment, je ne sais plus vraiment si toute son histoire de maladie n'était qu'un prétexte pour prendre ce produit dopant ou si il souffre vraiment de maladie, mais qu'importe.

            Je suis sur de moi, je n'hésite à aucun moment. Les coups s'enchaîne, mais mon regard serein ne trahi aucune faille, provocante, je place une main dans mon dos afin de ne reposer toute ma défense uniquement sur mon bras droit. Des mouvements rapide, fluide, martiaux qu'il doit finir par reconnaître dans la sueur qu'il ne peut pas lutter.

            La différence de niveau et trop grande, il subit quelques coups sans grand dégât, un bleu fini par marquer son œil, dans des pichenettes qui n'ont souvent pas d'autre but que celui de tendre encore plus mon adversaire. Je veux qu'il se donne, je veux qu'il me résiste, je veux qu'il me fasse ressentir un frisson que je n'ai plus ressenti depuis bien longtemps.

            Parfois, j'envie l'époque où j'étais faible, ou je me remémore sans une certaine nostalgie mes combats contre clint, contre le démon Hakeem Balor, ou encore contre Ethan. Des combats ou j'avais l'impression d'affronté l'impossible, ou la survie était un enjeu, maintenant tout me semble facile... Je sais que sur terre ce cache des gens bien plus fort que moi, et parfois, j'envie le fait de les chercher, de me mesurer a eux.

            J'ai brûlé toute ma vie de devenir le Joker de la fédération des magiciens, idéalisé ce but, tout mis en œuvre pour l'atteindre. L'atteindre a été le sentiment le plus intense que j'ai jamais ressenti... La quête d'une vie entière... Pourtant, ce sentiment ne me laisse aujourd'hui qu'un grand vide. Mais je me rend compte a ce moment que j'étais bien trop pensif lorsqu'un magistal crochet de mon adversaire me heurte le visage, alors qu'un coup de genou par réflexe.

            Mon adversaire a le souffle coupé, alors qu'il demande a ce que le combat se termine, je vois ca sueur et reprends:

            " Tu a raison, je suppose que c'est bien assez... Cela dit, je préfère toujours un bon rhum qu'une bière. "

            Magie magie, une bouteille de rhum sort littéralement de ma manche, comment j'ai fait? Je viens de le dire, c'est de la magie. Je prends une gorgée avant de tendre la bouteille a mon ancien adversaire, il s'était malgré tout bien débrouillé. Je n'avais pas plus de réponse maintenant qu'au début, mais je suppose qu'il serait dur d'obtenir plus de réponses... Enfin, sans l'hypnose... J'y pensais sérieusement pendant une seconde, puis je me disais qu'au final pour le moment, je n'en avais simplement rien a faire.

            Il n'était pas sorti d'affaire pour autant, cela dis, mais c'était une autre histoire.
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