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Beethoven | Symphonie no 3

Eiji Endo, aka Beethoven

Age : 27 ans
Sexe : Homme
Race : Homme-Poisson
Métier : Chasseur de prime
Groupe : Chasseur de prime
But : Suivre les préceptes de l'OCEAN
Équipement : Katana basique
Parrain : Izya et Red
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? TC de America
Si oui, quel @ l'a autorisé ? Izya
Codes du règlement :

Description physique

Haut de son mètre quatre-vingt-quatre pour un poids de soixante-dix-huit kilos, il arbore une musculature avantageuse. En effet, cet homme-poisson possède un corps très athlétique qui a été forgé par de nombreuses escapades et traques des vils pirates parcourant la mer d’East Blue. Son passe-temps préféré ne lui permettant pas d’écart, il fait attention à son alimentation et pratique régulièrement pompes et abdos pour s’assurer que rien ne dépasse. Après tout, il doit porter son propre poids en plus de la loutre cyan enroulée autour de ses épaules en permanence. Pour autant, son physique lui accorde une bonne liberté de mouvement et une agilité appréciable pour exercer sa maîtrise de la lame. Sa chair roule parfaitement sous sa peau aux tons grisâtres. Une peau lisse, sans écailles mais à la rugosité proche des requins naviguant dans les mers chaudes et s'étendant jusqu'au bout de sa queue épaisse, se rapprochant de la nageoire caudales des squales .

Les traits de son visage sont fins sans qu’il ne soit efféminé. Un nez et une bouche légèrement relevés. Cette dernière laissant entrevoir ses dents nacrées lorsqu’il articule. Elles sont, pour la majorité, bien plus pointus que le commun des êtres peuplant les terres en raison de son hybridation sélachimorphe. Mais cela n’en est pas la seule démonstration. Sous ses yeux saphirs se trouvent des branchies. Souples et parfaitement fondues avec sa peau, s’articulant à chaque respiration. Elles prennent la relève de ses poumons lorsqu’il rentre dans l’eau, dévoilant en s’ouvrant plus largement les évaginations tissulaires rouges chargées de filtrer l’eau. Sur le haut de son crâne se dressent ses cheveux noirs jais, légèrement plus sur les côtés du visage et couvrant la base de ses oreilles pointues. Parfaitement malléables, ils subissent les aléas du vent et de l'eau salée. Adoptant des coiffures rarement semblables à cause du désintérêt fort qu’il porte à sa crinière. Un style dessiné par le passage de sa main pour en ramener la majorité de ses cheveux vers l’arrière.

Si Beethoven a reçu une éducation noble, il n’a pas tout abandonné lors de son début de carrière en tant que chasseur de prime. Il garde un port de tête droit et un visage souvent neutre face aux nombreuses situations qu’il rencontre. Sa voix est claire et masculine et son langage soutenu, bien plus que pourrait laisser présager son apparence de rondeur. En revanche, il a perdu de la prestance dans ses déplacements. Sa démarche reste assurée, où qu’il aille et même quand il ne connaît pas sa destination.  Mais une main à son arme, prête à dégainer, et une autre, glissée entre ses vêtements et soutenue par son kimono lui donne l’air désinvolte qu’a toujours exécré sa mère. Cela, ainsi que cette tenue qu’il ne quitte que pour la laver. Propre, il l’est. Cependant, ses vêtements restent les mêmes au cours du temps car il n’a ni la place, ni le temps de se constituer une garde robe. Alors il a adopté le kimono blanc, tenue traditionnel de l’île de Koneashima, maintenu par une ceinture bleu et violet. Des getas au pied, une veste d’un bleu foncé, l’ensemble dépeignant un portrait caricatural mais confortable pour l’homme-poisson.

Description psychologique

Altruiste ou trop gentil ? Il est particulièrement difficile pour Beethoven de refuser quelque chose. Cela vient sûrement de son éducation noble où affirmer un “non !” avec force était bien souvent synonyme de décevoir sa mère. Tout du moins, cette interdiction d’opposition à une quelconque demande à rapidement fait de lui un homme-poisson vu comme particulièrement altruiste. Il aide, sans poser de questions, n'importe quel inconnu lui demandant. Et si cela l’a bien souvent mis dans des situations inconfortables ou dangereuses, il continue d’assister quiconque sans ménagement ou contrepartie. Puis, comme dit maître Lully : “L’Océan remercie les altruistes avec ses bienfaits, et les égoïstes avec des raz de marée.”

Naïf ou irréfléchi ? Il n’est pas dur de faire croire des choses à Beethoven. Essentiellement parce que toute son éducation a toujours été accompagnée de “écoute moi et tais toi”, mais aussi car il a toujours été comme ça. Il suit les conseils, les remarques, écoute les rumeurs et ne prend que peu de recul sur ce qu’il entend. Il est capable de réfléchir, de penser par lui-même mais de simples paroles vaguement convaincantes peuvent aisément balayer ses réflexions. Car il aime croire en les autres, plus qu’en lui-même. Après tout, il a basé sa nouvelle vie sur les conseils et préceptes de la drôle de loutre bleu occupant ses épaules depuis plusieurs années. Et comme dit maître Lully : “Il est parfois compliqué de réfléchir par soi-même, alors laisse moi le faire pour toi et découpe ce pirate en deux.”

Premier degré ou stupide ? L’humour est bien complexe pour Beethoven. Il n’appréhende ni le sarcasme, ni l’ironie. Il est incapable de cerner la moindre moquerie ni même de comprendre les expressions. Ce qui laisse bien souvent une expression interrogative lorsqu’il tombe sur des adversaires usant de mots et de tournure de phrase, à ses yeux, parfaitement incongrues. Ses réponses sont donc bien souvent décontenançant. Il est alors source de moqueries ridicules mais n’en s’en retrouve jamais blessé. Il n’a que peu faire des colportages d'autres, préférant tracer sa route, une crapule en moins à la fois. Enfin, comme dit maître Lully : “Faut pas pousser mémé dans les orties, car les orties, ça piquent.”

Croyant ou fou ? Suivant les préceptes de maître Lully, le mink dormant sur les épaules de Beethoven la moitié de la journée et dispensant des conseils l’autre moitié, l’homme-poisson croit en l’Océan plus qu’en autre chose. L’Organisme Central et Éternel Associé à la Nature, sobrement renommé Océan, semble être une entité représentée par l’ensemble des mers du monde, les personnifiant au travers d’une volonté commune transmise par les enseignements de la loutre bleu. Et si cela semble étrangement stupide, rappelons nous les points précédents pour comprendre pourquoi Beethoven semble y avoir dédié ses dernières années. Les actions de l’homme-poisson sont donc parfois motivées par la volonté de l’océan, le dédouanant bien souvent de toute forme de réflexion. Pour finir, comme dit maître Lully : “L’Océan est bon guide mais mauvaise mère, sauf si tu es une palourde.”

Biographie

Né à Koneashima et abandonné au pied d’un vieil orphelinat, Beethoven n’eut jamais la chance de connaître sa famille biologique.  Pirate, marine, révolutionnaire ou simple civil, sa vie ne fut pas influencée par les actions passées de ses géniteurs plus que l’abandon dont il n’a gardé aucun souvenir. Son passage auprès des enfants sans parents vu très court, car son jeune âge attira nombreux adoptants. Et ce fut après une généreuse donation qu’une membre de la famille Endo récupéra le bébé, le nommant alors Eiji et le ramenant chez elle, dans un grand verger de pêcher.

Ne réussissant pas à avoir un enfant, et loin de vouloir d’un mariage qui pourrait entraver son indépendance, Aïko Endo saisit l’occasion d’en adopter un le plus jeune possible pour l’éduquer à prendre sa succession du verger. Eiji grandit alors, entouré d’amour, développant une relation presque fusionnelle avec celle qu’il appelait maman sans s’interroger une seule seconde sur les différences inhérentes à leur race. Car si Eiji développa rapidement ses traits d’homme-poisson, Aiko restait une humaine bien incapable de lui expliquer pourquoi il était capable de faire danser la pluie. Il suivit une éducation stricte, où seul Aiko avait raison et avec laquelle elle a aisément fait de son fils un enfant obéissant. Elle avait alors son parfait successeur, répondant au code de la famille et accepté, avec difficulté, par le reste des membres du clan Endo. Et devant les remarques de ses frères et de son père, Aiko n’abandonna pas l’espoir d'avoir un enfant biologique. Si elle avait réussi à faire de Eiji un enfant obéissant, elle y arriverait alors avec son propre enfant.

Bille en tête, elle s’acharna à essayer de procréer, rencontrant de bon partie pour donner des gènes vigoureux à sa descendance mais abandonnant peu à peu Eiji. Le jeune homme-poisson vit la suite de son éducation être accomplie par un précepteur, loin d’être désagréable, mais induisant un changement net pour l’enfant. Continuant les enseignements et l'âge de Eiji le permettant, ce nouveau professeur lui enseigna les bases des arts martiaux mais aussi la maîtrise des sabres et du combat à l’épée si traditionnel au sein de Koneashima. S’il était plus permissif, l’enfant se permit alors plus d'erreurs. Pourtant, son amour pour sa mère le faisait espérer qu’elle s'intéresserait à lui à nouveau. Il essayait tant bien que mal de regagner son attention. D’abord par d'excellents résultats qui déclinaient vers des bêtises de plus en plus grosses. Car s’il y avait une chose à laquelle Aiko donnait tout son temps, s’était à son image de femme et de mère modèle. Alors quand son fils commença à traîner dans les rues de Koneashima, régulièrement lié à des bagarres, rarement de sa volonté, les rumeurs gagnèrent vite les oreilles du patriarche Endo. Et si les remontrances auraient pu être de mise, Aiko fut avant tout sauver par sa grossesse commençante. Elle avait enfin réussi à procréer et les félicitations de la famille balayaient bien vite le quelconque dédain devant les idioties de son fils.

Cependant, rien n’était fini pour Eiji. Et la situation s’améliora même vers ce qu’il souhaitait. L’attention Aiko revint sur son premier fils dont elle reprit l'éducation avec une poigne de fer. Il n’avait à nouveau plus le droit au moindre écart et cela semblait bien mieux lui sied que les enseignement de son percepteur. Jusqu’à que l’enfant naissa. Lorsque son petit frère arrivait, l’attention de sa mère lui était à nouveau retirée. Alors le premier réflexe de Eiji fut en ville mais également au sein du verger. Ce fut à ce moment qu’il fit la rencontre de maître Lully. La petite loutre se montra directement gentille et pleine d’empathie devant la situation de Eiji. Rapidement, une amitié naquit, et l’homme-poisson rejoignait le mink à l’arrière du verger, non loin d’une rivière d’eau douce par laquelle était arrivé Lully. Ils échangèrent jour après jour et si sa mère avait presque abandonné l'éducation de son fils au profit de son nouvel enfant, alors ce fut Lully qui prit le relais. Racontant de folle histoire, inspirant mais étrange, il permettait à Eiji de rêver. Rapidement, il gagna sa confiance et ils furent presque inséparables. Pourtant, si Lully souhaitait avant tout que le jeune homme-poisson quitte sa maison pour accompagner la loutre dans ses aventures, le fils Endo en était bien incapable, car son lien avec sa mère, affaiblit par l’ignorance qu’elle lui faisait subir, restait néanmoins bien présent. Jusqu’à la naissance de l’enfant.

Lully l’avait pourtant dit. Il avait bien dit à Eiji que le nouvel enfant lui prendrait tout. Et si Eiji ne l’avait pas cru, il lui suffit d'un seul mois pour comprendre l'étendue de son erreur. Les pleures de l’enfant passaient avant les blessures d’Eiji. Aiko renvoya le précepteur de son fils pour se concentrer sur l’éducation du nouveau et rapidement, Eiji devient un indésirable dans sa propre maison. Car si jusque-là, Aiko l’avait toujours fait sentir comme son fils, maintenant elle ne ratait pas une occasion de lui rappeler qu’ils ne partageaient pas leur sang. Le temps fit son œuvre et Eiji, âgé d’une vingtaine d'années, décida alors de partir. Après tout, Aiko lui avait toujours interdit de dire non. Alors lorsque Lully lui demanda pour la vingtième fois de le suivre, Eiji arrêta de chercher des moyen détourner de décliner. Le début de leur aventure commença.

Partant avec quelques affaires volées au domaine Endo. Eiji fut renommé Beethoven par la loutre. Un nom bien étrange mais que l’homme-poisson adopta rapidement. Il quitta Koneashima sous les conseils de Lully et prit le large pour n’importe quelle île d’East Blue qui ouvrirait ses perspectives de vie. Et si les débuts étaient simples pour le duo au vu des ressources avec lesquelles Beethoven avait quitté le domaine de sa mère, rapidement l’argent devint un obstacle. Alors Lully, conscient des capacités de Beethoven, lui conseilla de s’associer au gouvernement mondial et de devenir chasseur de prime. Car il y avait là un moyen facile et rapide de se faire beaucoup d’argent pour continuer leur voyage. Loin de chez lui et décontenancé par sa décision de tout quitter pour une loutre bleu, Beethoven écoutait le mink sur parole en obéissant à chacune de ses directives. Utilisant les dernières ressources qu’ils avaient pour obtenir officiellement le titre de chasseur de prime à la base de Tequila Wolf, le duo se mirent alors à traquer les pirates pour les remettre au gouvernement mondial.

Les années se succédèrent et l’influence de Lully sur Beethoven ne se faisait que plus grande. Lui parlant alors de l’Océan, lui racontant que leur rencontre était sa volonté et que ses liens avec la mer découlait tout droit de son lien particulier avec cet entité, comme pour le reste, Beethoven le cru. Pire, il en fut persuadé. Car les années au côté de cette loutre bavarde lui avaient fait oublier beaucoup des douleurs passées et que Lully lui offrait enfin l’attention dont Beethoven avait besoin.

Informations IRL

  • Cf. America
  • https://www.onepiece-requiem.net/t27287-beethoven-fiche-techniqu
  • https://www.onepiece-requiem.net/t27237-beethoven-symphonie-no-3
Yo,

Double post pour dire que c'est terminé !



Merci à vous o/ !
  • https://www.onepiece-requiem.net/t27287-beethoven-fiche-techniqu
  • https://www.onepiece-requiem.net/t27237-beethoven-symphonie-no-3
Coucou Beethov !

Petite validation qui va bien !

La forme
C'est cool, fluide. C'est toujours plaisant de te lire. Quelques redondances de mots, mais rien d'insurmontable, juste moi qui suit trop sensible à ça. Des fautes çà et là, mais rien qu'une relecture n'aurait pu combler.

Les descriptions
On a un bon portrait de Beethov, on sait qui il est, comment il se comporte. Les deux descriptions matchent assez bien ce que dégagent l'avatar.
J'ai particulièrement bien aimé le découpage de la mentalité

L'histoire
J'ai eu un sentiment de frais. Ca ressortait un peu du lot, il y avait des tropes classiques, mais l'agencement était sympa. En tout cas j'ai vraiment bien apprécié. Il me renvoit une impression de Usopp mélangé avec autre chose. Enfin voilà vraiment une histoire courte, mais bien gérer. Bon après, hein, comme toujours, j'aime bien les longueur, mais ca c'est mes gouts personnelles, plus j'ai mieux c'est xD

Bref, je te valide à 650D. Il ne te reste qu'à aller poster ta fiche technique, renseigner les différents liens (présentation, fiche technique et plus tard : récompenses) de ton profil et passer dans le sujet de recensement d'avatar.

Bon jeu et des zoubis !


Moissonneuse et Désespoir/poussière:



  • https://www.onepiece-requiem.net/t26598-la-mort-l-etre-aux-mille
  • https://www.onepiece-requiem.net/t26537-la-mort-est-la-seule-juge-de-la-vie-redoutez-la-comme-vous-me-redoutez-jessica-l-ange-de-la-mort-hellhound#275056