La pièce d’or enjambe habilement chacun des doigts sur son chemin avant d’être soudainement propulsée d’une petite pichenette vers le ciel bleu dépourvu de nuage . Atteignant l’apogée de son vol, elle commence une chute qui finit dans la main de son possesseur. Quand cette main s’ouvre finalement, l'homme retire son borsalino pour découvrir son visage. Le Dandy rentre dans un bâtiment et s'asseoir avec discrétion au comptoir. Le cercle de métal se dépose sur la table. Roulant avec aisance sur le bois luisant de la taverne de luxe où siège actuellement le dangereux criminel. La pièce s'arrête. Les yeux du gentleman se rivent vers les doigts qui se sont empressés d'arrêter le bitoniau qui entamait un chemin à la fin duquel la seule issue était la chute. Noriyaki soulève son chapeau, il voit apparaître un homme à l'apparence bien garnie portant de multiples objets de grande valeur, à commencer par ce qu'il vêtit, qui est un cousu main par un certain Sinstoni de North Blue.
« Vous avez l'air de quelqu'un ayant vécu les plus palpitantes aventures qui soient, alors j'ai un service à vous demander, pourriez vous vous occuper des jeunes enfants qui se trouvent au second ? Vous l'aurez sans doute compris, je possède cette taverne, et vous êtes le seul ici qui à le visage de quelqu'un de sain. Je n'ai pas le temps de me charger d'eux pour la journée, et je sens qu'à mon arrivée, ils seront tous ravis d'avoir passer la journer avec... »
« C'est bizarre... »
« Quoi donc...? »
« Vous avez vraiment la tête d'une personne qui croit qu'on en a quelque chose à faire de ce que vous dîtes ! »
« Q... »
« Mais il semblerait que nous pouvons trouver un terrain d'entente, tout ce qu'il me faudrait pour accepter votre offre serait... La maudique somme de dix pauvres millions ? »
« Dix mil... Mais vous êtes fous ! Savez vous ce que cela représente ? »
« Oh oui, plus que quiconque, croyez moi. »
« Je vous offre cinq millions maintenant, et les cinq autres après uniquement si ils sont satisfait de vos histoires ! »
« Marché conclus. »
Sur une poignée de main ferme, le riche homme glisse les liasses dans la main libre de son interlocuteur et s'éclipse dans la lumière des rayons orangés du soleil. Satoshi sourit. C'est en effet l'occasion ou jamais de se faire un nom en commençant par raconter à des enfants sa plus récente quête, qui la raconteront à leur compatriotes d'école, qui la raconteront eux aussi à leur parent, et enfin, son histoire fera le tour du monde et prendra différente version. Tel est le défaut du bouche à oreille. Le dandy finissant son vers préalablement payé grâce à la pièce qu'il avait sorti, il le repose délicatement sur le comptoir et monte à l'étage, comme indiqué par l'homme qui possédait trois milliards. Devant lui, quatre enfants et un adolescent. Les questions allaient vite partir en sucette et il le sait, pour remédier à cela et ne pas faire d'erreur, il observe avec attention le moindre petit détail de la pièce qui pourrait le mettre sur la voie et découvrir les hobbies des jeunes gens ici présent. Malheureusement pour notre protagoniste, rien dans cette pièce ne semble refléter le moindre loisir d'un enfant ou d'un adolescent, sauf si -même si les chances sont minces- ceux ci sont intrigué par les couverts en argent et les fauteuils en cuir ancien. Attrapant une chaise au passage, le futur conteur se met à son aise avant de commencer son récit, misant tout dans ses talents de bourreurs de crâne pour récolter les cinq millions manquants.
« Bonjour ! »
« Coucou ! »
« Hey ! »
« Salut. »
« Et bien, bonjour les enfants, donc je me présente, je me nomme S... ...»
« S ? »
« Attendez, vous aimez les pirates ? »
« Oui ! Ils sont différents de tous ces riches aristocrate dépourvus de la moindre paire de cacahouètes ! »
« Non, ils puent et ne savent pas s'habiller correctement comme vous, de plus ils sont méchant et ne reçoivent aucune éducation ! »
« ... Cela va sans doute vous choquer, mais je suis un pirate et je me nomme Satoshi Noriyaki. »
« Quoi ?! »
« Hein ? »
« Vraiment ? »
« Kyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa*... »
« Silence, je ne vous veux aucun mal, votre père m'a demandé de vous raconter quelques unes de mes aventures, je n'en ai choisis qu'une mais elle devrait suffir. »
« Owiiii ! »
« Cool ! »
« Trop bieeeeeeeeeeeeen ! »
« Mouais... »
« La nuit est bien entamée, le soleil ne fera de nouveau son apparition que dans quelques heures. La lune semble prendre une taille disproportionnée, je me demande si la planète sur laquelle nous vivons est plate, l'astre qui domine l'obscurité est il aussi gros que celui sur lequel nous nous trouvons ? A ce moment là, sur Golden Island, je ne le sais point. Je suis arrivé là bas par pure dérive, personne n'est au courant de mon arrivée, lorsque l'on se fait coller une étiquette "Dead Or Alive" avec un gain de cinquante millions de berrys à la clé... Oui, ce n'est pas la peine de faire des gros yeux, ça ne change rien au fait que je ne suis pas dangereux. Je continue. Lorsque l'on a notre tête mise à prix à cinquante millions de berrys, il est judicieux de se cacher. Néanmoins, même si se cacher est la meilleure solution pour ne pas attirer les problèmes, ce n'est pas très bénéfique au niveau de l'or. Car en effet, rester pendant des jours à ne rien faire ne fera pas tomber l'argent du ciel. Et le jour où cela arrivera vous verrez ma tête en première page comme quoi j'ai tout raflé en quelque secondes, sans que personne n'ait pu attraper la moindre petite parcelle de billet notre devise.
Je marche donc tranquillement dans les rues de la ville, à la recherche de la moindre étincelle de rumeur qui pourrait m'aiguiller sur la trace d'un quelconque trésor. Sans pour autant avoir à rentrer dans ces tavernes malfamées où règne des hommes à l'odeur insupportable et insoutenable. Mais l'envie d'argent trop grande et mes oreilles bredouilles, je cède à l'appel du matériaux jaune et entre dans une des tavernes les plus réputées de l'endroit. Elle ne ressemble en rien à celle qu'il y a sous vos pieds. A vrai dire, c'est sans doute l'opposé de ce que vous connaissez ici. Dans cette taverne, des ivrognes se donnent à cœur joie dans des jeux de couteaux et des tentatives de viol sur un homme ayant les cheveux trop long pour ne pas pouvoir être considéré comme tel avec un taux pareil d'alcoolémie dans le sang. J'attrape donc une chaise, avec délicatesse, me faisant remarquer par tous ceux qui ont encore les yeux en face des trous. Il est en effet rare que quelqu'un vêtu d'un costume pareil fasse son apparition dans un trou pareil. Partant de là, j'ai toute l'attention des déchets et beaucoup de voie d'ouverte pour atteindre la plus petite des rumeurs qui soit. Malgré ça, il est assez gênant d'être au centre de tous ces pecnots du coin, car voyez vous, certains vous reniflent, d'autre vous toussent dessus, et il y en a même qui, l'alcool coulant dans leurs veines, se font dessus. Arrêtez avec ces yeux, c'est assez embarrassant. Quand je dis qu'ils se font dessus je suis sérieux oui, et ce n'est pas une image pour dire qu'ils sentent mauvais, car ça amplifie l'odeur nauséabonde naturelle de leur corps puant.
Je les écoute donc avec attention, filtrant la moindre inutilité dans leurs dires. Au bout de quelques heures d'écoutes, j'entends quelque chose d'intéressant. L'un d'eux me dit que des pirates de petites envergures rodent dans la ville à la recherche d'un voleur depuis plusieurs semaines maintenant, voire plus. Il les aurait dépouillé d'une carte ayant une valeur inestimable. Ma réaction ne se fait pas attendre, je lui demande qui lui a dit ça et si il a des noms. Tout ce qu'il me dit, c'est que l'équipage est mené par un certain Jenaïz, primé à dix millions de berrys. Remerciant le gaillard pour sa précieuse information, je sors de la taverne. La pêche aux new's est un succès. Ainsi donc je décide de m'appuyer sur l'affluence des rues en journées pour avoir plus de précisions sur cet équipage et sur ce voleur. Je prends donc une chambre dans l'hôtel qui semble avoir celle les plus confortables. »
« Je crois bien que tu es le meilleur raconteur d'histoire que papa nous a jamais ramené ! »
« Vrai qu'il est doué, j'attends avec impatience la suite. »
« Oui mais... Vous auriez de l'alcool ? »
« Vous avez l'air de quelqu'un ayant vécu les plus palpitantes aventures qui soient, alors j'ai un service à vous demander, pourriez vous vous occuper des jeunes enfants qui se trouvent au second ? Vous l'aurez sans doute compris, je possède cette taverne, et vous êtes le seul ici qui à le visage de quelqu'un de sain. Je n'ai pas le temps de me charger d'eux pour la journée, et je sens qu'à mon arrivée, ils seront tous ravis d'avoir passer la journer avec... »
« C'est bizarre... »
« Quoi donc...? »
« Vous avez vraiment la tête d'une personne qui croit qu'on en a quelque chose à faire de ce que vous dîtes ! »
« Q... »
« Mais il semblerait que nous pouvons trouver un terrain d'entente, tout ce qu'il me faudrait pour accepter votre offre serait... La maudique somme de dix pauvres millions ? »
« Dix mil... Mais vous êtes fous ! Savez vous ce que cela représente ? »
« Oh oui, plus que quiconque, croyez moi. »
« Je vous offre cinq millions maintenant, et les cinq autres après uniquement si ils sont satisfait de vos histoires ! »
« Marché conclus. »
Sur une poignée de main ferme, le riche homme glisse les liasses dans la main libre de son interlocuteur et s'éclipse dans la lumière des rayons orangés du soleil. Satoshi sourit. C'est en effet l'occasion ou jamais de se faire un nom en commençant par raconter à des enfants sa plus récente quête, qui la raconteront à leur compatriotes d'école, qui la raconteront eux aussi à leur parent, et enfin, son histoire fera le tour du monde et prendra différente version. Tel est le défaut du bouche à oreille. Le dandy finissant son vers préalablement payé grâce à la pièce qu'il avait sorti, il le repose délicatement sur le comptoir et monte à l'étage, comme indiqué par l'homme qui possédait trois milliards. Devant lui, quatre enfants et un adolescent. Les questions allaient vite partir en sucette et il le sait, pour remédier à cela et ne pas faire d'erreur, il observe avec attention le moindre petit détail de la pièce qui pourrait le mettre sur la voie et découvrir les hobbies des jeunes gens ici présent. Malheureusement pour notre protagoniste, rien dans cette pièce ne semble refléter le moindre loisir d'un enfant ou d'un adolescent, sauf si -même si les chances sont minces- ceux ci sont intrigué par les couverts en argent et les fauteuils en cuir ancien. Attrapant une chaise au passage, le futur conteur se met à son aise avant de commencer son récit, misant tout dans ses talents de bourreurs de crâne pour récolter les cinq millions manquants.
« Bonjour ! »
« Coucou ! »
« Hey ! »
« Salut. »
« Et bien, bonjour les enfants, donc je me présente, je me nomme S... ...»
« S ? »
« Attendez, vous aimez les pirates ? »
« Oui ! Ils sont différents de tous ces riches aristocrate dépourvus de la moindre paire de cacahouètes ! »
« Non, ils puent et ne savent pas s'habiller correctement comme vous, de plus ils sont méchant et ne reçoivent aucune éducation ! »
« ... Cela va sans doute vous choquer, mais je suis un pirate et je me nomme Satoshi Noriyaki. »
« Quoi ?! »
« Hein ? »
« Vraiment ? »
« Kyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa*... »
« Silence, je ne vous veux aucun mal, votre père m'a demandé de vous raconter quelques unes de mes aventures, je n'en ai choisis qu'une mais elle devrait suffir. »
« Owiiii ! »
« Cool ! »
« Trop bieeeeeeeeeeeeen ! »
« Mouais... »
« La nuit est bien entamée, le soleil ne fera de nouveau son apparition que dans quelques heures. La lune semble prendre une taille disproportionnée, je me demande si la planète sur laquelle nous vivons est plate, l'astre qui domine l'obscurité est il aussi gros que celui sur lequel nous nous trouvons ? A ce moment là, sur Golden Island, je ne le sais point. Je suis arrivé là bas par pure dérive, personne n'est au courant de mon arrivée, lorsque l'on se fait coller une étiquette "Dead Or Alive" avec un gain de cinquante millions de berrys à la clé... Oui, ce n'est pas la peine de faire des gros yeux, ça ne change rien au fait que je ne suis pas dangereux. Je continue. Lorsque l'on a notre tête mise à prix à cinquante millions de berrys, il est judicieux de se cacher. Néanmoins, même si se cacher est la meilleure solution pour ne pas attirer les problèmes, ce n'est pas très bénéfique au niveau de l'or. Car en effet, rester pendant des jours à ne rien faire ne fera pas tomber l'argent du ciel. Et le jour où cela arrivera vous verrez ma tête en première page comme quoi j'ai tout raflé en quelque secondes, sans que personne n'ait pu attraper la moindre petite parcelle de billet notre devise.
Je marche donc tranquillement dans les rues de la ville, à la recherche de la moindre étincelle de rumeur qui pourrait m'aiguiller sur la trace d'un quelconque trésor. Sans pour autant avoir à rentrer dans ces tavernes malfamées où règne des hommes à l'odeur insupportable et insoutenable. Mais l'envie d'argent trop grande et mes oreilles bredouilles, je cède à l'appel du matériaux jaune et entre dans une des tavernes les plus réputées de l'endroit. Elle ne ressemble en rien à celle qu'il y a sous vos pieds. A vrai dire, c'est sans doute l'opposé de ce que vous connaissez ici. Dans cette taverne, des ivrognes se donnent à cœur joie dans des jeux de couteaux et des tentatives de viol sur un homme ayant les cheveux trop long pour ne pas pouvoir être considéré comme tel avec un taux pareil d'alcoolémie dans le sang. J'attrape donc une chaise, avec délicatesse, me faisant remarquer par tous ceux qui ont encore les yeux en face des trous. Il est en effet rare que quelqu'un vêtu d'un costume pareil fasse son apparition dans un trou pareil. Partant de là, j'ai toute l'attention des déchets et beaucoup de voie d'ouverte pour atteindre la plus petite des rumeurs qui soit. Malgré ça, il est assez gênant d'être au centre de tous ces pecnots du coin, car voyez vous, certains vous reniflent, d'autre vous toussent dessus, et il y en a même qui, l'alcool coulant dans leurs veines, se font dessus. Arrêtez avec ces yeux, c'est assez embarrassant. Quand je dis qu'ils se font dessus je suis sérieux oui, et ce n'est pas une image pour dire qu'ils sentent mauvais, car ça amplifie l'odeur nauséabonde naturelle de leur corps puant.
Je les écoute donc avec attention, filtrant la moindre inutilité dans leurs dires. Au bout de quelques heures d'écoutes, j'entends quelque chose d'intéressant. L'un d'eux me dit que des pirates de petites envergures rodent dans la ville à la recherche d'un voleur depuis plusieurs semaines maintenant, voire plus. Il les aurait dépouillé d'une carte ayant une valeur inestimable. Ma réaction ne se fait pas attendre, je lui demande qui lui a dit ça et si il a des noms. Tout ce qu'il me dit, c'est que l'équipage est mené par un certain Jenaïz, primé à dix millions de berrys. Remerciant le gaillard pour sa précieuse information, je sors de la taverne. La pêche aux new's est un succès. Ainsi donc je décide de m'appuyer sur l'affluence des rues en journées pour avoir plus de précisions sur cet équipage et sur ce voleur. Je prends donc une chambre dans l'hôtel qui semble avoir celle les plus confortables. »
« Je crois bien que tu es le meilleur raconteur d'histoire que papa nous a jamais ramené ! »
« Vrai qu'il est doué, j'attends avec impatience la suite. »
« Oui mais... Vous auriez de l'alcool ? »
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Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Ven 23 Déc 2011, 04:02, édité 2 fois