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L'or a toujours une odeur, vous ne le saviez pas ?

La pièce d’or enjambe habilement chacun des doigts sur son chemin avant d’être soudainement propulsée d’une petite pichenette vers le ciel bleu dépourvu de nuage . Atteignant l’apogée de son vol, elle commence une chute qui finit dans la main de son possesseur. Quand cette main s’ouvre finalement, l'homme retire son borsalino pour découvrir son visage. Le Dandy rentre dans un bâtiment et s'asseoir avec discrétion au comptoir. Le cercle de métal se dépose sur la table. Roulant avec aisance sur le bois luisant de la taverne de luxe où siège actuellement le dangereux criminel. La pièce s'arrête. Les yeux du gentleman se rivent vers les doigts qui se sont empressés d'arrêter le bitoniau qui entamait un chemin à la fin duquel la seule issue était la chute. Noriyaki soulève son chapeau, il voit apparaître un homme à l'apparence bien garnie portant de multiples objets de grande valeur, à commencer par ce qu'il vêtit, qui est un cousu main par un certain Sinstoni de North Blue.

« Vous avez l'air de quelqu'un ayant vécu les plus palpitantes aventures qui soient, alors j'ai un service à vous demander, pourriez vous vous occuper des jeunes enfants qui se trouvent au second ? Vous l'aurez sans doute compris, je possède cette taverne, et vous êtes le seul ici qui à le visage de quelqu'un de sain. Je n'ai pas le temps de me charger d'eux pour la journée, et je sens qu'à mon arrivée, ils seront tous ravis d'avoir passer la journer avec... »
« C'est bizarre... »
« Quoi donc...? »
« Vous avez vraiment la tête d'une personne qui croit qu'on en a quelque chose à faire de ce que vous dîtes ! »
« Q... »
« Mais il semblerait que nous pouvons trouver un terrain d'entente, tout ce qu'il me faudrait pour accepter votre offre serait... La maudique somme de dix pauvres millions ? »
« Dix mil... Mais vous êtes fous ! Savez vous ce que cela représente ? »
« Oh oui, plus que quiconque, croyez moi. »
« Je vous offre cinq millions maintenant, et les cinq autres après uniquement si ils sont satisfait de vos histoires ! »
« Marché conclus. »

Sur une poignée de main ferme, le riche homme glisse les liasses dans la main libre de son interlocuteur et s'éclipse dans la lumière des rayons orangés du soleil. Satoshi sourit. C'est en effet l'occasion ou jamais de se faire un nom en commençant par raconter à des enfants sa plus récente quête, qui la raconteront à leur compatriotes d'école, qui la raconteront eux aussi à leur parent, et enfin, son histoire fera le tour du monde et prendra différente version. Tel est le défaut du bouche à oreille. Le dandy finissant son vers préalablement payé grâce à la pièce qu'il avait sorti, il le repose délicatement sur le comptoir et monte à l'étage, comme indiqué par l'homme qui possédait trois milliards. Devant lui, quatre enfants et un adolescent. Les questions allaient vite partir en sucette et il le sait, pour remédier à cela et ne pas faire d'erreur, il observe avec attention le moindre petit détail de la pièce qui pourrait le mettre sur la voie et découvrir les hobbies des jeunes gens ici présent. Malheureusement pour notre protagoniste, rien dans cette pièce ne semble refléter le moindre loisir d'un enfant ou d'un adolescent, sauf si -même si les chances sont minces- ceux ci sont intrigué par les couverts en argent et les fauteuils en cuir ancien. Attrapant une chaise au passage, le futur conteur se met à son aise avant de commencer son récit, misant tout dans ses talents de bourreurs de crâne pour récolter les cinq millions manquants.

« Bonjour ! »
« Coucou ! »
« Hey ! »
« Salut. »
« Et bien, bonjour les enfants, donc je me présente, je me nomme S... ...»
« S ? »
« Attendez, vous aimez les pirates ? »
« Oui ! Ils sont différents de tous ces riches aristocrate dépourvus de la moindre paire de cacahouètes ! »
« Non, ils puent et ne savent pas s'habiller correctement comme vous, de plus ils sont méchant et ne reçoivent aucune éducation ! »
« ... Cela va sans doute vous choquer, mais je suis un pirate et je me nomme Satoshi Noriyaki. »
« Quoi ?! »
« Hein ? »
« Vraiment ? »
« Kyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa*... »
« Silence, je ne vous veux aucun mal, votre père m'a demandé de vous raconter quelques unes de mes aventures, je n'en ai choisis qu'une mais elle devrait suffir. »
« Owiiii ! »
« Cool ! »
« Trop bieeeeeeeeeeeeen ! »
« Mouais... »

« La nuit est bien entamée, le soleil ne fera de nouveau son apparition que dans quelques heures. La lune semble prendre une taille disproportionnée, je me demande si la planète sur laquelle nous vivons est plate, l'astre qui domine l'obscurité est il aussi gros que celui sur lequel nous nous trouvons ? A ce moment là, sur Golden Island, je ne le sais point. Je suis arrivé là bas par pure dérive, personne n'est au courant de mon arrivée, lorsque l'on se fait coller une étiquette "Dead Or Alive" avec un gain de cinquante millions de berrys à la clé... Oui, ce n'est pas la peine de faire des gros yeux, ça ne change rien au fait que je ne suis pas dangereux. Je continue. Lorsque l'on a notre tête mise à prix à cinquante millions de berrys, il est judicieux de se cacher. Néanmoins, même si se cacher est la meilleure solution pour ne pas attirer les problèmes, ce n'est pas très bénéfique au niveau de l'or. Car en effet, rester pendant des jours à ne rien faire ne fera pas tomber l'argent du ciel. Et le jour où cela arrivera vous verrez ma tête en première page comme quoi j'ai tout raflé en quelque secondes, sans que personne n'ait pu attraper la moindre petite parcelle de billet notre devise.

Je marche donc tranquillement dans les rues de la ville, à la recherche de la moindre étincelle de rumeur qui pourrait m'aiguiller sur la trace d'un quelconque trésor. Sans pour autant avoir à rentrer dans ces tavernes malfamées où règne des hommes à l'odeur insupportable et insoutenable. Mais l'envie d'argent trop grande et mes oreilles bredouilles, je cède à l'appel du matériaux jaune et entre dans une des tavernes les plus réputées de l'endroit. Elle ne ressemble en rien à celle qu'il y a sous vos pieds. A vrai dire, c'est sans doute l'opposé de ce que vous connaissez ici. Dans cette taverne, des ivrognes se donnent à cœur joie dans des jeux de couteaux et des tentatives de viol sur un homme ayant les cheveux trop long pour ne pas pouvoir être considéré comme tel avec un taux pareil d'alcoolémie dans le sang. J'attrape donc une chaise, avec délicatesse, me faisant remarquer par tous ceux qui ont encore les yeux en face des trous. Il est en effet rare que quelqu'un vêtu d'un costume pareil fasse son apparition dans un trou pareil. Partant de là, j'ai toute l'attention des déchets et beaucoup de voie d'ouverte pour atteindre la plus petite des rumeurs qui soit. Malgré ça, il est assez gênant d'être au centre de tous ces pecnots du coin, car voyez vous, certains vous reniflent, d'autre vous toussent dessus, et il y en a même qui, l'alcool coulant dans leurs veines, se font dessus. Arrêtez avec ces yeux, c'est assez embarrassant. Quand je dis qu'ils se font dessus je suis sérieux oui, et ce n'est pas une image pour dire qu'ils sentent mauvais, car ça amplifie l'odeur nauséabonde naturelle de leur corps puant.

Je les écoute donc avec attention, filtrant la moindre inutilité dans leurs dires. Au bout de quelques heures d'écoutes, j'entends quelque chose d'intéressant. L'un d'eux me dit que des pirates de petites envergures rodent dans la ville à la recherche d'un voleur depuis plusieurs semaines maintenant, voire plus. Il les aurait dépouillé d'une carte ayant une valeur inestimable. Ma réaction ne se fait pas attendre, je lui demande qui lui a dit ça et si il a des noms. Tout ce qu'il me dit, c'est que l'équipage est mené par un certain Jenaïz, primé à dix millions de berrys. Remerciant le gaillard pour sa précieuse information, je sors de la taverne. La pêche aux new's est un succès. Ainsi donc je décide de m'appuyer sur l'affluence des rues en journées pour avoir plus de précisions sur cet équipage et sur ce voleur. Je prends donc une chambre dans l'hôtel qui semble avoir celle les plus confortables. »


« Je crois bien que tu es le meilleur raconteur d'histoire que papa nous a jamais ramené ! »
« Vrai qu'il est doué, j'attends avec impatience la suite. »

« Oui mais... Vous auriez de l'alcool ? »

[...]


Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Ven 23 Déc 2011, 04:02, édité 2 fois
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[...]

« Je reprends. Le matin vite arrivé, le soleil se lève comme à son habitude, une belle journée s'annonce alors que les premiers rayons commencent déjà à filtrer à travers les rideaux de ma chambre. Je m'éveille doucement et me sent réellement apaisé. Je me tourne instinctivement sur mon côté gauche avant de me rendre compte que, la nuit dernière, une jeune femme avait passé la nuit dans ce lit. »

« Chikchikniniiiiiin ! Raconte ! »
« Frimeur. »

« Un véritable gentleman ne discute pas de ses affaires de coeur les enfants. Je me lève donc, simplement vêtu d'un boxer et me dirige vers la salle de bain pour passer sous la douche. Et oui, une salle de bain est faite pour se doucher. Tandis que l'eau ruisselle le long de mon corps, je réfléchis à la manière dont je vais m'y prendre pour interroger les patient. Je m'imaginais faire la court aux dames, les inviter à boire un verre, une manière simple pour que les femmes s'ouvrent à moi. Malheureusement le bruit de la porte me fais revenir à la réalité alors que j'étais plonger dans une torpeur dont l'essence ne peut pas être imaginer par des personnes de votre envergure. C'est donc avec prestance que je coupe l'eau et me sèche avec vigueur. Je me brosse les dents machinalement puis me vêti de mon costume favori. Le classique mais néanmoins élégant costume marron, sous lequel je passe une chemise blanche et une cravate assortie à l'ensemble. Je me chausse rapidement puis court vers la porte. Avant que je ne puisse réaliser que quelqu'un est sur le point de la défoncer, la fine couche de bois qui me sépare des personnes présente de l'autre côté vole en éclat, me projetant avec elle vers le centre de la suite. Soupirant tout en me dégageant, j'aperçois quatre bonshommes, avec un air de pirate sanguinaire. Ils me demandent ce que j'ai fais de la carte, mais je ne comprends pas un mot de ce qu'ils me disent. Malgré cela je fais instinctivement le lien avec le potin dont j'avais ouïe dire hier. Il semble que mes agresseurs soient les pirates du dit "Jenaïz" et qu'ils cherchent la même chose que moi. Je leur explique donc que je ne suis pas le voleur de leur carte, mais que je suis moi aussi un pirate et qui plus est capitaine. Noriyaki Satoshi pour les servir. A partir de là ils commencent à décamper en vitesse sans prendre la peine de s'excuser ou de me dire au revoir. Malpolis. »


« Mais. Si t'es capitaine, il est où ton équipage ? »

« Et bien, il est sur les mers pardi, certains flânent dans la ville mais nombre d'entre eux sont resté sur le pont du rafiot pour vaquer à leurs diverses occupations, pouvant aller de la plus drôle à la plus ennuyeuse. Mais là n'est pas le problème. Si je reprends le fil de mon histoire, je dois aller porter plainte contre piraterie à mon hôtel, sauf qu'il contactera la marine et s'en serait finis de moi. Je suis donc obligé de porter le chapeau et de les prendre moi même en chasse, pour récolter le maximum d'information sur le dit voleur. J'exécute donc mes pensées et me dirige en courant vers ma fenêtre avant d'apercevoir mes ravisseurs s'enfuyant vers la périphérie de la ville. Je prends de l'élan et bondit à travers la vitre, puis retombe dans une vague de verre briser offrant un spectacle de grande envergure aux passants et passantes. Mais l'heure n'est pas au divertissement, je me dois de suivre les quatre curieux personnages pour me faire une idée de l'identité du cambrioleur. Alors que je les poursuis dans les ruelles de la ville, ils s'arrêtent soudainement et rejoignent un groupe d'homme dont l'un, surplombant les autres par son charisme et sa supériorité physique, montre une certaine colère à leurs personnes, balançant toutes sortes d'injures à leurs égards. Étant magnifiquement bien caché derrière l'une des poubelles, ne faisant dépasser qu'un bout de mon chapeau, je semble invisible, sauf que...

Un chat glisse entre mes jambes, me perturbe et me fait faire la plus grosse erreur de la journée. La poubelle glisse, s'écroule, s'ouvre et me dévoile au petit monde. Tous se regardent et montrent un soudain intérêt pour ma personne, en négatif semble-t-il, à en juger par les craquements de leurs doigts. En temps normal, j'aurais couru, mais je me souviens de la rumeur. Seulement dix millions n'est ce pas ? Pas de quoi en faire un drame. Je me rue littéralement sur le plus gros d'entre eux, car lui vaincu, les autres ne s'interposeront surement plus entre moi et... La fuite. Il frappe de son poing dans la terre, soulevant le sol vers ma position alors que je suis en déplacement. Obligé de dévier vers les autres pirates, je leur offre quand même quelques petits tarifs réduit pour leur prouver que je leurs montre un quelconque intérêt, malgré le fait qu'ils ne soient vraiment pas au niveau comparé à mes gus. Un, deux, trois, huit à terre, mais il en reste encore une vingtaine. Leur équipage n'est pas réduit malgré la force de leur capichef, peut être l'ai-je sous estimé ? Retentant un assaut semblant direct au premier abords, je fonce sur Jenaïz avant de me déplacer vers la droite, puis vers la gauche. Le déboussolant, je bondis, passant au dessus de lui avant d'atterrir dans son dos, pour lui donner le "coup de grâce". Une petite réduction de salaire s'impose. Me rapprochant doucement, je suis à une courte distance et commence à lui infliger de nombreux coups de pieds rapide sur toutes les parties de son corps. L'homme recule progressivement et de façon exponentielle. Mes coups augmentent de plus en plus en vitesse et en force. Arrivé face à un bâtiment, je l'achève dans une ultime attaque que j'ai élaborée sur le coup en criant "Dark Heel". Je me baisse, pose la main au sol et prends de l'élan avant de me projeter, talon vers son visage. Mon pied s'écrasant dans son crâne, l'homme traverse tous les murs du bâtiment avant qu'il ne s'écroule sur lui. Technique expérimentale bien sur, donc, naturellement, je trébuche après avoir donné le coup, bras qui flanche. Mh. Je récupère progressivement, mais c'est rien.

Je me retourne et observe les hommes, sourire aux lèvres. Ils ne semblent pas ravis, mais n'osent tout de même pas m'attaquer. Je leur demande donc ce qu'ils savent de leur voleur. Le grand me dit qu'en haut de son crâne se trouvent de long cheveux bruns. L'obèse précise qu'il porte toujours des gants et enfin, un maigrichon cache dans la bande m'offre l'information précieuse que celui que je cherche est de couleur blanche. Malheureusement pour eux, la peur aura eu raison de ces personnes, car derrière moi, les débris se soulèvent et instinctivement je me rue vers un endroit à couvert. Le Capitaine se relève et dégaine son pistolet avant d'achever ses trois coéquipiers. Voyant que je ne suis plus là, il crie de toute ses forces, faisant trembler la terre, mais son équipage me pointe du doigt. Ils m'ont vu me cacher. A ce moment là je me sens tellement ridicule que je balance un cailloux à la tronche de celui qui rigole le plus fort, tout en lui faisant comprendre que si il n'arrête pas, je vais être obliger de lui refaire le portrait. »


Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Jeu 29 Déc 2011, 01:19, édité 3 fois
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« Youpiiiiiiiiii, faites gaffe, Satinet va vous refaire le portrait à coup de papillon rose ! »
« Il y a forcément un mais, il y a toujours un mais... »

« Tu es un garçon beaucoup trop négatif petit, si tu racontes à chaque fois ce qu'il va se passer, comment les autres pourront ils avoir la surprise ? Néanmoins tu as en effet raison, car il y a un mais. Comme je vous l'ai dit, je viens de balancer un cailloux dans la boite crânienne de celui qui rigole grassement pour lui faire comprendre que ce qu'il fait est passible d'une sanction extrêmement violente. MAIS. Il m'est difficilement possible d'être crédible après la dernière situation. Alors que je retrousse mes manches avec un regard sombre et violent, l'homme continue de rire. Ma réflexion ne se fait pas attendre, cet homme se fiche de moi alors que j'ai étalé la moitié de ses compatriotes sans broncher. Alors que je continue ma route vers le gus, une ombre recouvre la totalité de mon corps. Cachant le soleil de part sa carrure massive, je me retourne avec lenteur pour voir apparaître un nouveau personnage dans la partie. Cette fois ci, il dépasse de loin les autres pirates, mais si tous ces pirates ont une entière confiance en cette personne alors que je viens d'ensevelir sous les bâtiments celui qui se nomme Jenaïz, alors peut être que celui que je viens d'ensevelir sous la pierre de l’Édifice n'est pas leur capitaine, et que celui qui se nomme Jenaïz n'est d'autre que le mastoc qui se trouve devant moi ? Ma réflexion trop lente, je n'ai pas le temps d'anticiper le puissant crochet du droit qui arrive vers moi, me projetant sur plusieurs dizaines de mètres et me plongeant dans une profonde torpeur. A ce moment là j'ai honte de moi, pourquoi n'ai je pas vu venir le coup ? Comment puis je être aussi bête ? Ne jamais sous estimer vos adversaires petits... Jamais.
Malheureusement après ça je ne me souviens plus de rien alors l'histoire est finit pour aujourd'hui. »


« Quoi ?! »
« Quoi ?! »
« Quoi ?! »
« Quoi ?! »

« Alors gamin, il me semblait avoir entendu de toi que les pirates n'étaient que de puants mécréants saccageant tout sur leur passage uniquement pour piller, violer et boire ? Mmh ? Mais passons, je blaguais. Je suis donc assommé, allongé bizarrement sous quelques dizaines de briques. Les pirates avancent vers moi et me prennent en sac à patate, puis me saucissonne à l'aide d'une corde. Après cela, il commencent à se déplacer vers le nord de la ville, mais m'étant endormi je ne me souviens pas du trajet. A mon réveil, j'observe ce qui m'entoure. Je suis dans une pièce sombre et totalement fermée, entouré par quatre pirates dont le capitaine et celui étalé plus tôt sous le bâtiment. Au fond de la dite pièce, une cheminé accompagné d'une barre de fer. Légèrement apeurant. Le capitaine voyant mon réveil, il s'approche vers moi et me détache, il me parle d'un malentendu mais m'avoue qu'il ne peut me laisser partir. Il sait pertinemment que je reviendrais le tuer. Malgré ça on me connait bien maintenant, pour cela il tente de m'acheter à l'aide de cent mille berrys. Vous devinerez facilement que j'ai fait un nom de la tête. Après cela il se rassemble avec ses coéquipiers, avant de me proposer tout autre chose. Un million. Là, vous vous douterez que j'accepte sans broncher, et qu'ils me détachent. Encore heureux qu'ils n'aient pas de permis pour vendre des têtes, sinon je n'aurais pas donné cher de ma peau. Ils me détachent, avec la certitude que je ne les attaque pas pour les dépouiller. Et oui, je suis un pirate pas un enfant de cœur, dites donc. J'attends donc que leur capitaine ait le dos tourner avant de lui décocher un coup de jambe dans la nuque. L'homme m'ayant pris par surprise sans m'achever tout à l'heure, moi je ne fais pas la même erreur. Ses coéquipiers tremblotent, je les regarde et embarque le million proposé plus tôt. Je peux aussi embarquer le corps du Cap'tain pour le vendre à un chasseur de primes, mais pour qu'il se démène à ce point pour une carte, c'est qu'elle doit valoir bien plus que ça. Mais en regardant le pirate primé allongé par terre, ma matière grise ne fait qu'un tour, je peux le mettre aux fers dans les geôles du Lady Million pour le vendre au prochain chasseur de primes croisé. Une marchandise moitié prix, cinq million en poche facilement. Je fixe donc les trois personnes restantes, dont le second de l'équipage, qui semble être loin derrière son capitaine en terme de puissance brute. Je le fixe donc avec mépris avant de lui faire une proposition. La dite proposition est qu'il rejoigne mon équipage avec ses hommes, mais à l'unique condition qu'ils ne se rebellent pas, ou le bruit de mon talon rencontrant leur visage sera la dernière chose qu'ils entendront. Ce sont des flippés, ils acceptent sans broncher mon offre alors que leur capitaine croupis par terre. Mort. Dépourvu de volonté, ces hommes sont les plus faciles à recruter vous savez, ce sont ce genre de personnes qui ont besoin d'un leader fort en qui ils puissent avoir une parfaite confiance. Souvenez vous donc, éliminer le plus fort d'un groupe, c'est gagner le respect des plus faibles de celui ci. Voici la morale de l'histoire qui prend fin. »

« Et le voleur ? »

« Je le cherche encore petit, je le cherche encore. »

Toute cette palpitante histoire finit d'être racontée, Noriyaki se lève de sa chaise tout en finissant son verre avant d'entendre le grincement de la porte. Le riche homme est là, finissant sa dure journée par un don d'un montant de cinq millions de berrys. Alors qu'il s'approche du Dandy, il se tourne vers les enfants. Le marché étant celui ci : "Si ils sont content, ton reste tu auras", il suffit que ces petits garnements se jettent un regard vicieux pour que le Gentleman se voit rafler quelques millions sous le nez. Ce qui ne manque pas d'arriver. Indigo regarde Violette, leur sourire en disent long sur la scène qui va se produire. Ils pointent du doigt le conteur, puis disent à leur vieux père qu'il n'est d'autre que l’Illustre Satoshi Noriyaki, dont la prime s'élève à une demie centaine de millions de berrys. A partir de là, le vieux range ses sous et refuse de les offrir au Pirate. Mais pourquoi ces enfants ont ils fait ça ? Pourquoi ont ils trahit celui qui leur a offert une journée sympathique ? Pourquoi le priver de son du ?

« Essayer de se faire de l'argent sur notre dos, c'est mal, surtout lorsque l'on a un primé à 10 millions dans son navire et qu'on est à la recherche du carte au trésor. Je savais bien que tu n'étais qu'un forban comme les autres ! »
« Déguerpissez avant que je ne contacte la marine, mécréant ! »

Et il disparait, se fondant dans la masse de la foule. Vous vous demanderez surement ce qu'il fait sur cette île à flâner alors qu'il est censé rechercher activement ce voleur ? Et bien une rumeur dirait qu'il se trouve actuellement là bas, caché parmi les passants. Il peut être n'importe qui et peut être n'importe où. Et la seule information qu'ai notre protagoniste, c'est sa corpulence, sa coiffure et sa couleur de peau. Mais alors que Noriyaki sort du bâtiment et qu'il rumine dans la rue, se retrouvant bredouille encore une fois, il aperçoit une personne de dos. Chevelure longue et brune, corpulence maigrichonne, et de couleur blanche ! De plus ses vêtements sont sombres et collent à merveille avec un travaille de dépouillement. Bondissant sur l'occasion, tel un aigle se ruant sur sa proie, le Dandy s'élance sur le curieux personnage qui est face à lui avant de le clouer à terre. Devant bon nombre de personne, il retourne l'individu et se rend compte qu'il n'en est rien. C'est une femme apeurée. Celle ci le pousse et commence à courir. Mais à l'intérieur de la boite crânienne du Gentleman, ça tourne. Jamais les pirates de Jenaïz n'avaient précisé le sexe de leur ravisseur. Et si elle n'est pas la voleuse, alors pourquoi court elle à vive allure, donnant l'image d'une jeune damoiselle poursuivie par un monstre. Noriyaki revenant à la réalité, il voit la jeune femme s'éloigner à l'horizon et commence à la poursuivre dans une course effrénée. Dans les rues, le Gentleman se doit de laisser passer les dames, mais il ne se gène pas pour bousculer de toutes ses forces la moindre parcelle d'humanoïde à pénis qui se trouve sur son chemin. Satoshi court vite. Néanmoins celle ci est très agile et commence à grimper de murs en murs pour arriver sur un toit. Elle se retourne promptement et observe le Dandy, qui ne fait pas attention à son regard et continue de la suivre, en essayant de reproduire son parcours extraordinaire.

1er essai : Echec cuisant
2ème essai : Echec humiliant
3e essai : Réussite, mais la fille est maintenant loin devant.



Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Ven 23 Déc 2011, 04:04, édité 2 fois
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Le poursuivant tente tant bien même de rattraper la jeune fille qui demande de l'aide à l'intention des passants. La fourbe ayant prévu de recueillir l'aide de la marine pour se débarrasser du Gentleman, elle peut se sentir soulager de son avance et compte sur la détresse des civils pour l'aider. Noriyaki voulant une entrée discrète, c'est rappé. Il continue néanmoins de poursuivre la damoiselle, ne voulant pas la perdre de vue car sachant pertinemment que la perdre de vue serait perdre toute piste pouvant le mener à la dite carte qu'il recherche activement depuis plusieurs jours maintenant. Alors que les hommes en bleus grimpent sur le toit, s'interposant entre Noriyaki et la jeune fille, notre protagoniste décide de ne pas s'attarder avec eux en combat, il les contourne donc par un salto avant, puis continue sa course. Malheureusement pour lui, une personne fait soudain son apparition. Celle ci, il n'allait pas pouvoir la contourner car sa force dépasse de loin celle des mousse qu'il avait rencontré quelques secondes auparavant. Voyant la personne qui s'est déplacé, la présumée voleuse s'arrête, se pensant sauvée d'affaire. Vous vous demanderez surement quelle est le marine qui est apparu pour réussir à stopper le grand, le magnifique, le stylé, l'illustre Satoshi Noriyaki n'est ce pas ? Et bien cette personne n'est d'autre que le Capitaine rencontré il y a plusieurs mois de ça de cela sur le pont du Soul'n'Blues. L'homme, d'une assez grande taille porte un long manteau blanc sous lequel est dissimulé un sabre attaché à sa ceinture. Ses cheveux grisonnants indiquent un âge assez avancé tandis qu'il se craque les doigts, marchant d'un pas lent mais assuré, le regard pointé sur le pirate.

Le Dandy commence alors à foncer droit sur son adversaire, ne pensant pas que l'homme ait progresser au vu de son âge. Lorsqu'il arrive devant le Capitaine, ne lui laissant pas le temps de dire quoi que ce soit, il donne un violent coup de pied équiper de son unique arme, à savoir son 41. La dureté de son talon vient s'écraser contre le sabre du marine qui l'a dégainé avec rapidité. Noriyaki commence à enchaîner en donnant plusieurs coups de pieds tous contrés par le vieil escrimeur. Derrière le pirate la garnison du Capitaine se rassemble avant de les encercler. Il ne peut s'échapper sans mener un combat dont l'issue est maintenant devenue incertaine. Surveillant la jeune femme de temps à autres pour observer ses actions il continue son combat. Le Capitaine ne semble pas vouloir se laisser faire. Satoshi est bien trop occupé à observer les mouvements de la Fille pour s'occuper d'attaquer le vieil escrimeur qui pourtant mène son combat avec une hargne certainement peu commune chez les combattants de son âge. Chacune de ses estocades vise un point vital qui lui aurait sans doute été fatal s'il avait pu être touché. S'énervant de plus en plus, le Capitaine tire alors son adversaire de ses réflexions en hurlant de sa voix tonitruante :

« Faut-il toujours qu'au début de nos affrontements tu sois déconcentré par une fille ?! »

Reportant son regard sur son ennemi, Satoshi fronce les sourcils et commence à reprendre l'initiative de l'attaque, frappant avec force. Il pare chaque coup avec dextérité alors qu'il semble prendre un réel plaisir à se battre. A peine essoufflé, les capacité physiques du Capitaine ne manque pas d'étonner encore une fois le pirate, qui sourit à l'idée de se souvenir de son premier combat contre celui ci, duquel il était sorti vainqueur. Tout en observant la fille étant maintenant dans les bras d'un marin paraissant au septième ciel, Satoshi porte un coup de pied au vieux bretteur qui ne se laisse pas décontenancer. Celui ci lui lance d'ailleurs, dans un souffle en donnant de puissants coups de sabre qui fendirent l'air :

« Ton niveau s'est encore amélioré, mais le mien aussi ! »

Sur ces mots il donne un très puissant coup d'épée que le Dandy contre de toute sa force. Emporté par la puissance du coup d'estoc, il pose un genou à terre tandis que la Capitaine ne semble pas pouvoir s'arrêter de rire. Il voit le regard du vieil homme qui se lève plus haut puis le rire se stoppe net. La scène semble surréaliste. Le vieil escrimeur tenant son sabre à deux mains sur son adversaire qui lui tient tête un genou à terre. Silence. Un craquement d'os qu'on broie. Un bruit lourd d'un corps s'affaissant à terre. Le pirate avait profité du court laps de temps de déconcentration de son adversaire pour se rouler sur la gauche et lui écraser le crâne contre le sol à l'aide d'un coup de talon bien dosé.



Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Ven 23 Déc 2011, 04:04, édité 2 fois
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Le Gentleman enchaine le reste des marines à l'aide de coup de sabots ses ennemis. Les matelots tombent un à un. Alors qu'il s'apprête à en terminer une bonne fois pour toutes, le Capitaine s'étant relevé, le visage couvert de sang, le nez brisé lui porte une violente estocade au niveau du ventre. Les mains tremblotante tenant la lame, Noriyaki a sous-estimé son adversaire. Le Marine a du profiter du moment où Satoshi se battait avec ses sous fifres pour se relever et se préparer à frapper de toutes ses forces. Le Capitaine retire brutalement sa lame, la sortant en la gigotant dans tous les sens, un jaillissement de sang sort de son ventre, puis de sa bouche, une scène douloureuse pour tout ceux se trouvant à proximité de celui ci. Le Dandy serre les dents et pose sa main sur la blessure pour arrêter le saignement. Il se retourne et s'avance lentement vers le Marine, tanguant vers la gauche, puis la droite tout en allumant une cigarette sans le quitter des yeux.

Le vieil escrimeur s'acharne sur lui, énervé, les mouvement de l'ennemi sont moins fluide, peut être que sa vue est aussi floue que celle de Noriyaki, peut être que le coup de talon de tout à l'heure vient seulement de faire effet ? Une fois arriver tout près de lui, le militaire le saisit à la gorge et entreprend de le soulever. Serrant contre sa glotte, notre protagoniste commence à charger sa force dans son pied, le reculant lentement, pour qu'il s'écrase sur le Capitaine, histoire qu'il le laisse tranquille un moment. Son regard planté dans le sien, son adversaire ne semble pas broncher du coup qu'il lui a envoyé. Toujours étranglé et ne pouvant point se résoudre à mourir ici, Satoshi se rend compte que le sabre du vieil homme est à découvert. Il le prends avec ses pieds, puis donne un assez violent coup de sabre dans l'homme à la grande veste blanche qui le lâche immédiatement. Il ne s'arrête point, et continue de l'enchaîner par des chocs de violents coups de pieds. Le vieil homme, bouche, nez, oreilles, arcades et ventre en sang qui n'avait plus rien d'un combattant murmure à l'agonie, face à un homme qui l'a encore battu :

« Cette fois ... Encore... Tu t'en sors vainqueur... Tu as progressé autant que moi et gardes une .. Keuf... Longueur d'avance... Bien joué ... Keuf.. »
« Non l'ami, cette fois tu m'as salement amoché... »

Mordant dans sa cigarette en laissant paraître une grimasse montrant sa douleur, le Capitaine Pirate prend une bouchée de cigarette et se retourne vers la fille. Disparue. Dans un cri assourdissant, Noriyaki attire toute l'attention de la populace sur lui, qui murmurent tous en pointant un avis de recherche au hasard dans la rue. L'homme, ventre en sang, sera bientôt la cible de tous les puissants chasseurs de primes de la région. Mais alors qu'il est totalement désemparé et désespéré par son état, une voix le sort de son moment de latence :

« Dis moi, qu'as-tu après cette fille ...? »

« Tu dois savoir les... les rumeurs qui courrent à mon...Kof... Propos non ? Je suis et serais éternellement le pirate le plus avare qui existe...Kof... Et cette fille possède quelque chose qui devrait m'appartenir, à savoir une carte... »
« N'as tu pas été ... été aveuglé par la colère ..? Cette fille était morte de peur, je ne pense pas que... ce soit elle... Réfléchis ... »
« ... Si, toutes les descriptions concordent avec cette fille....
Sauf... Merde... Les gants... Elle ne porte pas de gants... »


Revenant à la lucidité, tenant fermement ses blessures, il se penche vers la ruelle où se sont entassé une bonne centaine de personnes. Prenant une grande inspiration et une voix plutôt cristalline, se tournant pour cracher une glaire de sang, il s'adresse aux citadins en leur disant qu'il y a bon nombre de blessés ici, et qu'il fallait un médecin pour les soigner. Une lueur de bonté apparait dans ses pupilles, il se tourne vers son vieux concurrent avec un sourire, avant de se déplacer de toit en toit vers un endroit où il pourrait être en paix. Se cachant dans une maison au hasard, il passe la fenêtre et tombe sur un enfant. Il est évident qu'il lui dit de ne pas crier ni de parler. Et tout en chuchotant il lui demande si il y aurait moyen de lui offrir des soins, car à cette vitesse là il allait bientôt se vider de son sang et mourir.
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Après avoir demandé de l'aide au petit, qui accepta sans broncher, Satoshi s'évanouit.


Son réveil ne se fait pas tout de suite, quelques jours sont passés avant que le Dandy daigne rouvrir les yeux. Le soleil perce difficilement en cette matinée toute de nacre. Le ciel a pris ce délicieux teint laiteux qu'on ne retrouve que dans cette partie du monde. East Blue. Se redressant difficilement, Noriyaki se rend compte que les meubles vibrent. Puis ce sont... Ces suaves morceaux de jazz et de mélancoliques airs de blues... Entraîné par le son déchirant d'un saxophone, le Gentleman se redresse finalement. Son ventre le fait souffrir, il est bandé mais risque de se rouvrir. Il se rallonge donc et repense à la veille, à ce qu'il a raconté à ces enfants...

« Ces pirates sont nuls, capt'ain à dix millions, 'sont là depuis belle lurette ! »
« Rejoignez moi ! Votre capitaine est hors d'état de nuire ! »
« Enfermons le dans les geôles du Lady Million ! »
« Ils recherchent celui qui leur à volé leur carte »
« Cherchez le, il porte des gants, des vêtements noirs, et à les cheveux longs. »

Et là, le blessé exécute un sursaut digne d'un bondissement de félin sur son lit, et se relève. Les pirates sont en effet là depuis plusieurs semaines, voire mois et ne sont pas très futés, malgré ça ils possédaient une carte aux trésor, alors pourquoi ne pas partir tout de suite sans faire d'escale ? No boat. Alors pourquoi avoir une carte ? Et pourquoi chercher le voleur ? No thief. Mettre un pirate sur une fausse piste, tout faire pour le rejoindre et s'introduire dans son navire, avec la carte. A la clé ? Un navire, une carte et un cap. C'est tout un art d'arnaquer. Et Satoshi vient de le comprendre. Il bondit par la fenêtre et ré-ouvre sa plaie, mais il ne peut pas risquer toute sa fine équipe pour un ventre trancher. Il court, court ! Il prend les ruelles en dérapant pour tourner, il ne peut plus s'arrêter. Nul ne peut l'arrêter. Il se dirige vers le port, affolé, le Capitaine Pirate ne s'est douté de rien pendant tout ce temps. Cela fait plusieurs jours qu'ils séjournent à bord de son navire tandis qu'il recherche cette carte. Il arrive au port, il voit son navire. Des coups de feux retentissent sur le pont, nombre civils regardent la scène. Le Dandy attrape une chaloupe et rame, rame. Plus vite, plus fort, plus longtemps. Il se rapproche, il grimpe à bord. Il arrive sur le pont. Plus personne ne bouge. Le silence est irréel. Seul le bruit des mouettes demeurent, Jenaïz pointe son arme vers la tête de Jazz, son second écrase le corps de Jack et tous les autres combattent Blood coute que coute.

Il tombe à pic !

Il s'énerve, court partout, crie, il fracasse les têtes des pirates ennemis contre les rambardes de son navire, les dents volent, le sang gicle, personne n'ose rien faire, la carte, c'est tout ce qui pouvait le calmer. Il leur demande, ils ne comprennent pas, il s'exprime en chinois. Noriyaki est aveuglé par la colère. Il mime une carte, une chasse au trésor. Un des pirates demande si il parle de la carte. Il hoche la tête et le balance par dessus bord. Personne ne bouge, tous sont apeurés par le comportement brutal et flippant de l'homme habituellement calme et posé. Jenaïz pointe son arme vers lui, il ne se doute pas de son châtiment. Satoshi voit un bout de carte dépasser de sa veste, il lui fonce dessus mais est stoppé par sa blessure. Jazz se lève et reprend le combat, mais est bien vite mis au pas. Le Capitaine du Lady Million revoit la carte, il se lève, souffre, mais avance. Il commence à donner de violent coup de pied contre le sabre du primé à 10.000.000 Be avant de profiter du manque d'expérience de son adversaire pour lui dégommer le visage. Il se retourne vers les autres. Ils fuient et sautent par dessus bord. Le Gentleman attrape Jenaïz par le coup et le traine dans les couloirs du navire. Il le rammène dans ses "quartiers". Les géôles à vie. Il croise Blood au passage et lui indique qu'il peut en faire ce qu'il voudra. Un cri de joie et une carte aux trésors. Ca finit plutôt bien, non ?

*Satoshi s'évanouie de douleur*
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