- Merci Shinji, je te vaudrais ça, un de ces jours.
- De rien Wohr, si tu me vois dans les parages et que tu as besoin d'une locomotion, n’hésite pas, hein! Je serais toujours disponible pour t'emmener sur les profondeurs de l'horizon. Ahha-ah. Bon séjour et bonne chance pour ta recherche, au fait.
- Ouais, merci. Bon retour à toi aussi.
Le jeune historien salua de la main son ami avant de lui tourner le dos. Il était là, debout comme un con à regarder le navire quitter le dock d'amarrage. Le bateau s'était chargé de marchandise en provenance de l'île et s'en alla dans le bleu lointain de l'océan.
Le port débordait de monde, les boutiques s'ouvraient les unes derrières les autres, les marchands étendaient leurs stands et les matelots chargeait et déchargeait les produits entre le quai et les navires. Les activités matinales prenaient de plus en plus leur ampleur. Le jeune homme sans soucier même pas. L'air était frais et la brise soufflait avec douceur. Une bonne odeur de sel venait chatouillait les narines de Worhwèlch.
L'historien en quête de nouvelles reliques, avait entendu dire qu'il existait sur l'Archipel Vert un calice de grande valeur abandonné par le temps et l'oublié. Se serait un moyen pour lui s'il le retrouvait de rembourser ses petites dettes qu'il devait. Mais surtout, pour pouvoir être reconnu, un bon archéologue comme il se doit. Il est vrai qu'il en serait assez fière. Wohrwèlch ne pensait même pas comment il allait faire pour rentrer. Il avait d'abord décidé de faire le repérage dans la ville avant de partir dans la campagne. Les villageois des alentours en sauront plus si ici serait plus difficile de tirer les vers du nez pour retrouver cette fameuse calice. Il se dirigea alors vers la grande rue en direction d'un forum ou d'une grande place.
Au bout d'un quart d'heure de marche, il se retrouvait dans une avenue toujours remplis de monde. Quelque chose l'attirait, quelque chose d'agréable. Une douce mélodie venait dans ses oreilles. Il trouva alors son auteur et s’arrêta pour l'écouter davantage. Il lui adressa la parole:
- Salut, c'est sympa ce que tu joues, c'est beau. C'est toi qui l'as composé ?
- De rien Wohr, si tu me vois dans les parages et que tu as besoin d'une locomotion, n’hésite pas, hein! Je serais toujours disponible pour t'emmener sur les profondeurs de l'horizon. Ahha-ah. Bon séjour et bonne chance pour ta recherche, au fait.
- Ouais, merci. Bon retour à toi aussi.
Le jeune historien salua de la main son ami avant de lui tourner le dos. Il était là, debout comme un con à regarder le navire quitter le dock d'amarrage. Le bateau s'était chargé de marchandise en provenance de l'île et s'en alla dans le bleu lointain de l'océan.
Le port débordait de monde, les boutiques s'ouvraient les unes derrières les autres, les marchands étendaient leurs stands et les matelots chargeait et déchargeait les produits entre le quai et les navires. Les activités matinales prenaient de plus en plus leur ampleur. Le jeune homme sans soucier même pas. L'air était frais et la brise soufflait avec douceur. Une bonne odeur de sel venait chatouillait les narines de Worhwèlch.
L'historien en quête de nouvelles reliques, avait entendu dire qu'il existait sur l'Archipel Vert un calice de grande valeur abandonné par le temps et l'oublié. Se serait un moyen pour lui s'il le retrouvait de rembourser ses petites dettes qu'il devait. Mais surtout, pour pouvoir être reconnu, un bon archéologue comme il se doit. Il est vrai qu'il en serait assez fière. Wohrwèlch ne pensait même pas comment il allait faire pour rentrer. Il avait d'abord décidé de faire le repérage dans la ville avant de partir dans la campagne. Les villageois des alentours en sauront plus si ici serait plus difficile de tirer les vers du nez pour retrouver cette fameuse calice. Il se dirigea alors vers la grande rue en direction d'un forum ou d'une grande place.
Au bout d'un quart d'heure de marche, il se retrouvait dans une avenue toujours remplis de monde. Quelque chose l'attirait, quelque chose d'agréable. Une douce mélodie venait dans ses oreilles. Il trouva alors son auteur et s’arrêta pour l'écouter davantage. Il lui adressa la parole:
- Salut, c'est sympa ce que tu joues, c'est beau. C'est toi qui l'as composé ?
Dernière édition par Wohrwèlch le Lun 26 Mar 2012 - 19:07, édité 1 fois