Le Deal du moment :
Blue Lock : où acheter le Tome 22 ...
Voir le deal
12 €

C'est aujourd'hui la rencontre du boss [ Fin 1622 ]

C'est aujourd'hui la rencontre du boss [ Fin 1622 ] 136163G302

上司との出会い
Revenons à l’époque, en 1622. Une année non comme les autres qui a bouleversé la vie de Silvano comme la plus part de celle qu’il a vécue. Voici le récit.

Nous y sommes enfin, à North blue. Il avait attendu ça comme le jour de sa mort. Jamais il n’aurait cru revoir le soleil du jour en tant qu’homme libre ou du moins en partie. Quand bien même il gardait un petit espoir de sortir d’Impel Down un jour, jamais il n’aurait plus croire que son fidèle ami même après sa mort l’aiderait de l’au-delà. Il faut tout de même préciser que lorsque notre ancien prisonnier se trouvait encore en prison, il ne savait rien des relations de son ami avec la Mafia et des quelconques projets qu’ils avaient pour son évasion. Alors je vous laisse imaginer la surprise quand le convoi a été attaqué et que des gens inconnus au bataillon lui dire de sortir de là, qu’il était libre, tout ça de la part de son défunt compagnon. Ce jour fut le jour il versa le plus de larmes après le jour de son arrestation. Revivre de tel moments d’émotions pour un Pirate endurcit tel que lui n’était pas vraiment bon pour son cœur vous savez ? Mais que voulez-vous, ainsi va la vie.

Mais ce jour-là voilà. Cela faisait maintenant une semaine que l’évasion avait eue lieu et personne n’avait décidé de lui adresser la parole. Tout le monde l’avait laissé dans le flou, sans même ne répondre à aucune de ses questions. Et approcher le Capitaine du navire pour lui demander des explications aurait été mission impossible. Alors durant ces 7 longues journées il était resté ainsi assis sans rien dire, avec pour seule certitudes qu’il aurait ses réponses dans 7 jours, jours où il pourrait poser pied à terre sur un ilot sur North blue. Comme dit, ce jour arriva. Comme prévu tout le monde posa le pied à terre. Débarquant tout le matériel à bord nécessaire à la confection d’un camp. Tout le monde travaillait d’arrache-pied, tout le monde sauf Silvano. Lui au contraire des autres s’était mis à l’écart préfèrent prendre ses distances en attendant le moment où il pourrait enfin poser ses questions et avoir ses réponses.

Ainsi donc il était assis là sur un bord de falaise attendant que le temps passe sans réellement se préoccuper du reste. Il ne pouvait s’empêcher d’admirer le soleil couchant au loin sur la mer. Un spectacle magnifique, une chose qu’il avait auparavant l’habitude de faire avec son équipage. Même maintenant libre, il se sentait si seul au monde. Après qui lui restait-il ? Qu’allait-il pouvoir faire maintenant ? Retrouver ce bon vieux grincheux de « Shogun » ? Peut-être … un jour. Il se mit à sourire en repensant à lui. L’époque qui a été selon lui la plus enrichissante. Il ne regrettait rien dans tout ce qu’il avait pu faire dans ce monde. Quelques larmes tombèrent à leur tour sur le sol. Ses souvenirs avaient basculés vers la nostalgie, il était mélancolique à repenser à tout ça. Mais n’était-ce pas normal ? Après tout il avait perdu tout ce qu’il avait au monde, s’était maintenant à lui de passer ce cap et de retrouver un but dans la vie. Bien que notre héros ne fût pas un grand philosophe, toutes ces grandes pensées furent alors coupées par l’arrivée d’une personne. Qui cela pouvait-il bien être ?




Dernière édition par Silvano G. Capone le Dim 29 Avr 2012 - 21:48, édité 1 fois
  • https://www.onepiece-requiem.net/t5659-tetsu-jolly
  • https://www.onepiece-requiem.net/t5375-tetsu-jolly-la-revolution-d-un-nouveau-genre-lecteur-de-poneglyphes
Ils étaient six à le suivre.

Parmis eux, seuls deux seraient encore vivant dans deux ans, lorsqu'il prendrait le contrôle de la mafia. La plupart allait tomber de sa propre main. Mais, pour l'instant, ils étaient tous parmis ses hommes les plus fidèles. Borsalino Tattavia, qui s'était oté la vue par loyauté, Rushianovsky Grichkof, qui avait rejoint la mafia pour lui, Lando Zapa, qui allait servir d'appat aux troupes d'élites de son frère, et trois autres hommes d'élites, qui tous d'une manière ou d'une autre avaient dut montrer leur courage.

Il avait choisit une équipe particulièrement imposante et respectable pour accueillir un des hommes qui avaient la plus grande place dans ses projets.

Il lui avait fallut être très doué pour réussir à convaincre son frère de déployer les hommes qui serviraient à libérer sa future nouvelle recrue. En fait, il n'avait réussit qu'en lui promettant d'envoyer Borsalino Tattavia en prison. Cela ne lui arrangeait pas la vie, mais, il saurait rentabiliser la chose. Il y arrivait toujours.

Il apperçut une silhouette assise là où il s'attendait à trouver l'homme qu'il cherchait. Il alluma un cigare pour l'occasion. Mine de rien, c'était une occasion particulièrement importante. On ne rencontrait pas son sosie tous les jours. Et puis l'homme affichait un tatouage particulièrement viril sur la joue.

Il s'immobilisa tranquillement à quelques mètres en arrière de l'homme. S'il était aussi doué que ce qu'il en avait entendu parlé, nul doute qu'il savait déjà qu'il était là. La question était surtout de savoir s'il avait remarquer les six mafieux qui se tenait à une dizaine de mètres derrière leur patron.

TnT leva une main en l'air.

Le message était clair pour ses hommes, ils ne devaient plus bouger d'un centimètre sans qu'il ne leur demande. Son sens de la mise en scène était encore plus développé que son amour des femmes, et il donnait tout ce qu'il avait pour jouer avec son image de parrain en devenir. On approchait pas un homme comme Silvano G. Capone comme on le faisait avec la plupart des trouffions. Il faisait partie des être que le jeune garçon estimait comme digne de respect. Après tout, il faisait partie de la très rare catégorie de criminel qui avait assez de classe pour ne pas jouer à qui avait la plus grosse, et d'avoir, en pratique, la plus grosse...

Le jeune albinos s'avança tranquillement vers celui qu'il destinait à devenir un autre lui-même. Nul doute que l'homme était prêt à se jeter sur lui au moindre signe d'hostilité, mais il avait la véritable classe mafieuse, qui faisait qu'il ne dégainerait pas son arme en premier.

Tempiesta s'installa juste à côté de l'homme qu'il avait fait libéré quelques jours plus tôt.

Il afficha son sourire provocateur et sadique. L'ironie de la situation lui plaisait énormément. Sa préparation de prise de pouvoir le forçait à recruter des hommes qui n'était plus dans le réseau conventionnel de la mafia, et ironiquement, cela le forcçait à recruter des hommes qui par leurs divers talents étaient bien meilleurs que ceux de son frère.

Il avait toujours énormément apprécié l'ironie.

Je présume que je n'ai pas besoin de me présenter, surtout à un homme aussi malin que toi "G". Et je suis même prêt à parier que tu devineras pourquoi je t'ai fait libérer. Enfin, en plus du fait que j'estime qu'un homme de ta trempe a un avenir bien plus glorieux que simplement pourrir en prison avec pour seul compagnie des pseudos criminels sans ambition.


A ce stade le jeune homme ne prenait pas énormément de risque. Après tout, il était le genre d'homme qui faisait régulièrement la une des journaux, et qui finnissait toujours par tomber dans les conversations des milieux où il évoluait. Qui plus était être le bras droit du seigneur de la mafia à North Blue, ça donnait aussi une certaine notoriété.

Un homme qui savait s'informer aussi bien que le faisait Silvano était forcément au courant de son identité et d'au moins les grandes lignes de son oeuvre.

A partir de là, il aurait largement l'intelligence pour deviner les projets que le jeune Tempiesta avait pour lui. Enfin, les plus évidents du moins. Sur du plus long terme, il avait d'autres projets, plus grandioses encore que ceux qu'il allait essayer de concrétiser dans un avenir proche, mais il n'en était pas encore là. S'il avait apprit une chose de Manuel c'était qu'il ne fallait jamais essayer d'aller trop vite. C'était ce qui vous poussait à faire les plus grosses erreurs.

Il tourna son regard rouge sang vers l'homme tatoué. Manifestement, il attendait une réponse avant de continuer sa petite discussion.