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Bon appétit

Las camp. Une île aux deux visage. Le côté obscure dirigée par les gangs. Le côté lumineux dirigée par la marine. Mais ce n’est pas toujours évident de séparer ces deux mondes différents. Un restaurant du côté marine mais proche des terres obscures est fréquemment sollicité par des gangs. C’est une zone calme où ils peuvent se détendre un peu. Enfin calme… Les seuls lieux vraiment calmes ce sont les zones fréquentées par le terrible Mogaba.

Une belle soirée en perspective. Le restaurant est plein à craquer. Il y a une soixantaine d’individu. Les chefs cuisinier commencent à prendre du retard. Des gros mangeurs sont de sortie. L’ambiance est conviviale. Quelques visages sinistres sont ici mais il semble bien se tenir. Ils sont six et possèdent de gros sacs. C’est surement leur butin du jour. Ils viennent fêter ça. Aucun marine à l’horizon pour leur causer de problème ou créer des tensions. Pas mal de civils sont ici ainsi qu’un individu avec des bandages aux bras.

Cela fait quelque temps qu’Ivan n’était pas retournée à Las camp. Lui qui promit d’en faire une ile lumineuse et juste. Il s’apprête à vivre une péripétie dont beaucoup rêveraient de s’en passé.
Une dizaine de gros bras armée jusqu’aux dents arrivent. Des individus qui risquent de créer pas mal de problèmes. L’un commence à courir après des filles. Puis leur chef, un homme d’une quarantaine d’année avec le visage marqué par de nombreux coups. Il est petit de taille, à peu près un mètre soixante. Il ouvre la bouche et une voix grave qui fait trembler le restaurant sort de ce petit corps.

-Eh eh eh. Mais c’est pas les petites voleuses du cartier Est avec de gros sacs là-bas. Ils sont venu nous remplir les poches en cette période de crise qu’elles sont mignonnes. Descendez-les.

De l’agitation est créée, les civils s’enfuit le plus vite possible. Le pauvre restaurant qui allait faire un bon chiffre n’aura pas un sou.


Dernière édition par Ivan De Cimitiero le Sam 8 Déc 2012 - 21:15, édité 2 fois
    Las Camp, une ile ça ? Plus un dépotoir à mon avis. Assassin, voleur, truand, racaille en tout genre vivait ici. Celui qui cherche un forban de la pire espèce ne pouvait sans doute pas trouver meilleur adresse. Dans le fond, c’est aussi une aubaine, car plus il y a d’ordure plus tu peux passez discrètement. Ici, il y a peu de chance que la marine vienne trop vous cherchez des noises... Je pouvais donc exercer mes petites affaires de vol à l’étalage sans problème. Franchement, le marchant ici avait sans doute déjà tellement de problème que de perdre une pomme et deux bananes était le cadet de ses soucis... Il faut dire que dans chaque quoi de rue tu pouvais te retrouver en pleine guerre de gang. C’était vraiment tout sauf rassurant pour les gens. Pour moi cela ne me fessais ni chaud, ni froid. Qui sais, peut-être que j’ai trop confiance en moi... Toujours est-il que je voyageais de ruelle en ruelle pour gagne quelques berrys... Mais honnêtement, même si je préférais voler seulement quelques berrys pour éviter de trop me faire remarquer. Je me disais qu’il serait pas mal de réussi à voler un peu plus que les quelques milliers de berry qui me permettrais de manger et dormir la nuit. Surtout que cela fessait un petit moment que je voulais devenir pirate pour réaliser mes rêves... Si je ne me fessais pas connaitre par certains actes. Je n’avais aucune chance d’entre dans un équipage. Les bretteurs ne sont pas rare dans le monde et il était encore certains qu’il y en avait plus d’un qui était aussi doué voir plus doué que moi... C’était pour moi claire. Si je voulais me faire remarquer, je devais faire quelques gros coups...

    Justement en parlant de gros coup mon œil discret mais vif remarqua quelques choses d’intéressant. Dans un restaurant créant presque une frontière entre les quartiers malfamés et ceux de la marine se trouve un groupe de personne avec plusieurs gros sacs... Quelques secondes de réflexions pour bien imaginer la possibilité. Mais il ne fallait pas avoir fait de haute étude pour comprendre que c’était un butin. On pouvait facilement imaginer que dans chaque sacs devait se trouver entre 50 000 et 100 000 berry. Sinon, pourquoi faire la fête si c’est juste quelques milliers. Quoi qu’il en soit, je m’installe sur une table commande le plat le moins cher du restaurant avec un verre d’eau et dégustant mon repas attend tranquillement de voir ce qui allait se passé. J’attendais surtout le meilleur moment pour passer à l’action. Attendre le meilleur moment, le moment ou la vigilance se relâche, ou l’euphorie du moment fait oublier qu’on n’est jamais à l’abri de tous les dangers. Mais à ma grande surprise, l’évènement que j’attendais allait être encore plus spectaculaire que je le pensais. Une dizaine de gros bras arrivèrent dans le restaurant et il ne fallut que quelques secondes pour comprendre leurs intentions. En moins d’une minute la panique générale l’installait dans le restaurant. Des coups de pistolet, des coups d’épée et surtout des cris de panique sortait du restaurant... Moi je me disais qu’une seule chose :

    *On dirait que c’est mon jour de chance.*

    Bon le sujet de la dispute était les sacs, mais je misais sur la rapidité, la panique et la chance pour réussir à faire mon coup. C'est-à-dire tuer ce qui se battait avec les sacs et prendre mes jambes à mon coup avant qu’ils ne voient quoi que ce soit et aussi et surtout avant que la marine arrive. C’est donc avec rapidité et dextérité que je passais mon épée dans le dos d’un des hommes qui se battait pour un des sacs et un autre que je poignardais après lui avoir sectionner la main à moitié. En tout et pour tout cela n’avait pris que quelques secondes. Mais entre cette action et l’attente que j’avais prise pour observer le moment et les bonnes cibles à attaquer. Le temps qui c’était écoulé était beaucoup plus long que je ne l’aurais imaginé. En effet, alors que je me faufilais vers la porte observant surtout mes arrières. Un coup de poing d’une force monstrueuse me fit voler à l’autre bout du restaurant. Je finissais ma course en traversant une table à côté d’un homme en chaise roulante. Je me relevais doucement pour voir un homme monstrueux à l’air patibulaire devant la porte et derrière lui quelques soldats de la marine... Cette fois le bordel allait être bien pire que ce que je ne l’aurais imaginé. Je ne pus d’ailleurs pas m’empêcher de dire à voix haute :

    Bordel... J’ai vraiment choisi ma journée pour être un peu plus ambitieux... Voler des voleurs me semblait facile, mais maintenant avec la marine, je risque d’être pris dans un sacrée merdier... Surtout ce type à l’air psychopathe.

    Que devais-je faire ? Me battre, fuir ? Essayer de garder le magot... Tout était devenu beaucoup plus compliquer car ma tentative de faire cela discrètement était définitivement foutu.
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    C’est un vrai bordel qui s’annonce. La bataille de gang cause la mort de plusieurs innocents. C’est insupportable pour l’ange. De multiples coups de couteau accompagnés d’une symphonie de balle… C’est leur seul moyen de communiquer il semblerait. En slow motions cela pourrait être un chef d’œuvre. Oui c’est bien ça. De l’art avec des bêtes assoiffées de trésor. Il suffirait de leur ajouter des cornes, une bonne mâchoire avec de jolis crocs, des griffes et voilà une pure merveille. Sa pourrait être un bon sujet dans le journal. Je vois déjà les gros titres : Une nouvelle espèce d’homme a était découverte ! Pour les capturer une simple canne à pêche suffit. Vous prenez un lingot d’or. Vous l’attachez comme appât. Je suis sûr que vous aurez pas mal de poissons avec ça. Avec un appât vous aurez plusieurs poissons c’est encore plus facile que la vraie pêche !

    Nous nous égarons un peu revenons à ce triste scénario. Les cris des civils ont ameuté la marine avec un bon poids lourd en tête qui cogna fort le jeune au bandage. Celui-ci fut remarqué par Ivan. Il ne semblait pas net dès le départ. Toujours à regarder discrètement une opportunité pour faire on ne sait quoi. Finalement le temps nous a suffi à connaître ses intentions. C’est un voleur de voleur. Concept intéressant. Mais rien ne prouve qu’il ne vole que ce genre d’individu. L’ange se montre prudent à son égard. Il attrape le bras du jeune en effectuant un contact peau contre peau pour qu’une partie de son pouvoir agie. Un homme en contact physique avec le détenteur du fruit de la vérité est obligé de dire la vérité.

    -Un peu plus ambitieux dit tu ? Tu ne vole que les voleurs, les gens indigne ou un peu tout le monde ?

    Cette question est cruciale. Il garde le contacte le temps de la réponse pour avoir directement la vérité. Il pourrait devenir un ennemi comme un allié. Ces quelques secondes changeront considérablement la suite des évènements.
      Une guerre, c’était comme une mini-guerre que j’avais en face de moi. C’était donc pour moi le meilleur moment pour profiter de l’occasion et de foutre le camp avec une partie du magot. Mais la chance ne vous sourit pas toujours, je devais être à deux pas de la porte que je retournais à la casse départ sans même toucher au 2000 berrys... Au moins je n’avais pas atteindre la case prison. Mais maintenant la possibilité de l’atteindre n’était pas loin. Cette droite assez forte pour assommer un bœuf m’avait presque démonté la mâchoire, mais plus que la douleur je réfléchissais avant tout à une solution pour m’échapper d’ici. Niveau discrétion c’était maintenant zéro, la marine m’avait repéré et avec le sac en main, j’allais être mit dans le même paquet que ses truands et d’ailleurs ceux-ci n’allait pas tarder à voir qu’un de leurs sacs était manquant une fois la cohue un peu calmer. Dans ma tête, je réfléchissais à une sortie de secours. Je pensais être capable de battre les hommes de la marine ou les truands, mais les deux, j’étais un peu moins sûr. Je ne voulais pas présumer de mes forces. Grace à l’entrainement de mon professeur j’étais devenu plus fort. Mais j’étais encore loin d’atteindre son niveau. Alors que je commençais à mettre au place un plan limite suicidaire une main toucha la mienne, je me retournais et je fis l’homme en chaise roulante qui se mit à m’adresse la parole. Je n’avais pas remarqué que j’étais juste à côté de lui, ni que j’avais parlé à voix haute d’ailleurs... Mais le plus étrange vu mes paroles :

      Ca dépend, je vole que pour survivre en règle générale. J’ai juste pensé jouer plus gros... Mais je ne vole pas la veuve et l’orphelin si c’est ça que tu veux savoir.

      Je ne comprenais pas mes paroles, logiquement avec mon caractère je lui aurais juste dis « Cela ne t’intéresse pas le vieux ». Bon dire vieux alors que je ne vois pas son visage est peut-être un peu trop avancer. Mais je trouvais que son timbre de voix laissait paraitre une personne plutôt adulte et pour moi une personne qui a plus de 5 années que moi est déjà une personne vieille alors... Toujours est-il que je ne comprenais pas pourquoi je lui avais dit la vérité. Mais dans un sens, je lui avais dit ce que j’avais sur le cœur. Un peu comme si j’étais accuser et que seul la vérité permettait de me libère. Je ne sais pas, c’était une sensation étrange que je ne comprenais pas vraiment. Mais je n’avais pas le temps de trop réfléchir l’a dessus. En effet, je pouvais voir l’homme qui m’avait frappé avancer vers moi rapidement et me tendre à nouveau son poing énorme. Mais cette fois j’étais préparé, j’esquivais son poing assez facilement cette fois. Et profita de sa garde ouverte pour lui placer un coup de pied dans le ventre. Mais avec mes 50 kilos tout mouiller face à un type qui devait faire le triple, on coup de pied ne me permis que de reculer encore plus. En claire, il avait rien qu’avec sa musculature repoussé mon attaque. Je réussi à me relever assez rapidement pour me remettre en garde. Suite à cela un combat acharnée mais à sens unique eu lieu.

      En effet, j’étais petit et rapide et lui massif et puissant. A cause de sa taille imposante, je pouvais facilement me glisse sous sa garde pour le frapper. Mais autant frapper un mur pendant des heures. Mes coups ne semblaient rien lui faire. Même si en nombre de coup j’avais l’avantage, sur la longueur j’allais être bien plus vite épuisé que lui. Si seulement j’avais mon sabre avec moi. D’ailleurs je ne savais pas exactement ou je l’avais perdu et donc durant le combat, je profitais de certain moment de pause pour le chercher. Je finis d’ailleurs par le trouver au pied du type en chaise roulante... Je n’avais pas 36 solutions. Soit je courais la prendre et donc je devais réussi à passe le mur de muscle sans me faire aplatir... ou alors...

      Le mec en chaise... Envois là moi vite.

      Alors que je disais ses quelques mots tout en esquivant les attaques du monstres, je me disais que je devais être soit fou, soit totalement désespérer. Je confiais mais vie en quelques sortes à un type que je ne connaissais pas et qui était en plus diminuer physiquement. Toujours est-il que je ne voyais que cette solution et que s’il refusait, je devrais me battre à main nu... Ce qui signifiait sans doute la défaite pour moi... Mais je savais que dans un sens je lui demandais beaucoup. S’il acceptait, il se rendrait complice et il devait savoir que je ne laisserais pas se marine et tous ceux qui me bloque le chemin en un seul morceau... Tout dépendait de sa décision.
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      La réponse a été établie pendant ce léger contact. C’est une aubaine pour Yumi. Grâce à ces paroles l’handicapé sait que pour le moment ces voles ne sont que la manière dont il a trouvé pour survivre. Ce n’est pas très honorable mais peut-on juger un homme sur une action ? Non, bien évidemment. Ce jeune a besoin d’aide. Il faut l’encadrer pour éviter qu’il tourne mal. Il commence par des petits voles. Ensuite il poursuit avec des agressions pour vols. Pour finir … Il vaut mieux qu’il n’arrive pas jusque-là. Le jeune commence donc un combat contre la brute provenant de la marine. Tandis que des mafieux arrivent sur les lieux. Le garçon est inefficace. Sa défaite est presque assurée si l’ange n’agit pas. Les autres marines qui maitrisaient la situation commencent à subir avec la nouvelle vague de bêtes. Si ça continue il y aura une véritable guerre marine gang. Tout ça pour des misérables sacs avec un contenu inconnu encore. Une action inattendue se produit, le petit aux bandages demande de l’aide au borgne. Il veut son arme qui se trouve aux pieds d’Ivan. Vu comment c’est parti, faire cette action serrait considérai comme complice d’un dangereux individu, de plus avec son arme il risque de tuer des hommes innocents qui viennent protéger des civils. D’un autre côté un si jeune individu ne connait encore rien de la vie. Le laisser pourrir en prison pour des actes de jeunesse.

      *Click*

      L’ange appuie sur un interrupteur de sa chaise roulante qui déclenche un mécanisme. Les deux boîtes en forme de rectangle dans son dos viennent se positionner juste à côté des accoudoirs. Un pistolet à gauche et un sabre ordinaire à droite. Il saisit le pistolet et vise le petit. Puis avec sa douce il s’adresse au marine.

      -Soldat ! T’es collègues ont besoin de toi. Ce n’est plus une menace à présent.

      Cette petite phrase était plus compliquée à dire qu’en réalité. Ne pouvant pas mentir, il aurait été incapable de dire : je le garde en joue jusqu’à ce que vous finissiez avec les autres ou je suis marine ne vous en fait pas. L’homme voyant que ses amis se fessaient massacrée de l’autre côté il court et commence à écraser les adversaires. C’est une réussite. Il ne reste plus qu’à négocier avec le jeune individu. Il lui chuchote donc.

      -Tu devrais passer par la cuisine. Il y a toujours une porte derrière dans un restaurant. Quand tu es sûr que personne te regarde, va s’y et tu m’attendras au port. J’ai d’autres choses à te dire.

      Suite à ces paroles il montre le sac du doigt et lui demande de lui laisser. L’argent ne l’intéresse pas, c’est juste histoire d’être plus crédible l’hors des futures explications avec la marine et aussi pour dédommager les pauvres restaurateurs.
        Le combat était bien à sens unique, il était lent pour moi, mais sans mon arme, cela ne changeait pas grand-chose car sa force brute était bien supérieur à la mienne. Si seulement j’avais mon sabre, il m’aurait fallu que trente seconde pour l’abattre. La chance n’était peut-être pas de mon côté finalement. J’avais demandé une grande faveur à l’homme en chaise roulante, mais sans doute que la demande était trop grande, quand je le vis sortir une arme et la pointé sur moi. Il voulait donc ma mort ? Non, il y avait quelques choses d’étrange dans ses actes et ses paroles. Pourquoi ne pas avoir pointé son arme depuis le début ? Pourquoi demander à ce marine de s’occuper des autres et de lui laisse alors qu’il était en chaise roulante... Mais le plus surprenant était sans doute qu’après quelques secondes de réflexion le soldat accepta la demande de l’handicaper et partit s’occuper des brigands qui se battait entre eux en plus de la marine qui sans doute dans quelques minutes allait avoir le contrôle totale de la situation. Quoi qu’il en soit, je m’avançais vers cet homme plutôt diminué avec les mains à moitié relever comme pour dire que je me rendais. J’écoutais ensuite les paroles à voix basse de ce type qi me conseilla de fuir par la cuisine, il était vrai qu’il y avait sans doute une sortie de secours à l’arrière et que c’était ma seule chance pour fuir sans trop de casse et donc je lui dis à voix basse :

        Ce n’est pas faux, mais je dois reprendre au moins mon sabre... Et pour le sac...

        A peine avais-je pris mon sabre en main, que je fis un coup de pied retourner pour frapper l’arme à feu du l’homme. Je pris rapidement le sac avec ma seule main libre, vu que l’autre avait mon sabre en main et j’ajoutais :

        Désolé, mais je fais ça pour deux raisons. Parce que j’ai besoin de cet argent aussi maigre soit-il. Et pour vous éviter plus d’ennuis.

        Je frappai le pauvre homme avec le plat de ma lame pour le repousser. De cette action, je montrais mon évasion de l’homme et donc j’évité qu’il soit soupçonner de complicité. Mais je ne pouvais pas partir sans cet argent. Il avait beaucoup trop de valeur pour moi... Je ne m’intéresse pas l’argent comme un vulgaire voleur, mais je sais que celui-ci est précieux. Si je voulais m’offrir une lame de qualité et surtout un moyen pour rejoindre un équipage de pirate, l’argent était encore le meilleur moyen de gagne ça. Toujours est-il que je partis vers les cuisines, mais en utilisant les grands moyens, je tranchai le mur en bois à coup de lame avant de sauter par une fenêtre de la cuisine... Ouais par le temps de trouver et d’ouvrir une porte, je passe par le chemin le plus rapide. Mais malgré cela, quelques soldats de la marine sont rapidement à mes trousses. Cette fois j’étais à l’air libre en quelques sortes, j’étais aussi armée et prévenu, les cartes étaient donc différentes. Mais je n’avais pas le temps de me battre, plus je me battrais, plus j’aurais affaire a d’autres soldats de la marine. La solution était la fuite dans le côté sombre de la ville. Une course poursuite eux donc lieux pendant quelques minutes. Mais une fois enfoncé dans les quartiers sombres, la marine décida d’abandonner les poursuites et de partir à des endroits plus sûrs pour eux.

        Dans un sens tout était bien qui finissait bien... Pourtant, non. Ce n’était pas fini, il y avait une chose qui me trottait dans la tête...

        *Pourquoi, pourquoi j’ai dit les choses franchement à cet homme ?*

        Il voulait que je le rejoigne dans le port. Soit, je pris le soin d’attendre quelques heures et d’acheter un nouvel habit plus discret pour passer inaperçu. Accompagner d’une capuche pour masquer mon visage, je dirigeais vers le port marchant pour trouver l’endroit où se trouver le type en chaise roulante. Une fois trouver, je m’installai sur un banc et attendit qu’il me remarque. Même si j’avais le visage masqué, je le regardais avec insistance pour qu’il remarque ma présence. Je n’étais pas spécialement grande, il était donc pas trop difficile pour lui de comprendre. Par contre,il pouvait voir que je n’avais plus le sac sur moi vu que j’avais déjà revendu ses trésors pour en faire du liquide... C’est quand même plus discret à transporter que des pièces d’or et des bijoux...
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        Le jeune ne se plie pas aux ordres mais cela était prévisible. Engager un combat risqué pour le sac et partir sans. Ce n’est pas logique. Mais ce n’est pas la seule incohérence. Comment se fait-il que l’ange a laissé avancer l’individu sans rien faire? Il me semble que c’est la partie la plus louche de cette action. Cela dit, peut être qu’il avait prévu qu’il ne risquait pas la mort. Il venait de lui sauver la vie. Mais les pièces du puzzle son encore incomplet. Il manque encore un indice. Un petit quelque chose qui permettrait au borgne de savoir s’il doit aider le jeune ou le combattre. Pour l’instant la balance penche vers l’aide mais cela ne signifie rien. Un jugement n’est bon qu’avec tous les éléments en main.

        Suite à la fuite de l’homme au bandage la situation sur ce champ de bataille est beaucoup plus simple. Aider les marines c’est ce qui est le plus juste. Ivan va chercher son arme à feu tombé à deux mètres. Une fois en sa possession, il se met à tirer avec une magnifique précision sur des individus situés à une dizaine de mètres. Les balles atteignent les armes à feu des bêtes, les jambes ou les mains. Avec cette précision la situation est vite réglée. Les monstres ne sont plus dans les conditions pour résister. Ils se fond attraper immédiatement suite à l’intervention. Une telle collaboration fut fortement appréciée des marines. Ils crient leur joie tandis que leur chef s’approche de l’handicapé.

        -Merci euh… Il se penche pour voir le visage de qui il a à faire mais sans réussite. Monsieur. Vous avez été d’une grande aide. Si vous voulez vous pouvez avec un des sacs en gage de remerciement. Mais où est passé le gamin?

        -La justice est toujours présente. Sa sentence s’abat sur les coupables. Le sac, donnez le au pauvre commerçant qui a son restaurant complètement ravager. Le gamin s’est enfui. Il est plutôt agile. Mais il ne fait pas partie de ce gang. A vrai dire c’est un voleur de voleur donc pas si dangereux pour la société. J’ai un marché à vous proposer. Il est vrai que le marine se sentait coupable d’avoir confié son adversaire à un inconnu. Si j’arrive à orienter la direction des actes de ce garçon vers le bien vous ne le poursuivrez pas. Dans le cas contraire vous pourrez vous emparer de lui.

        C’est un marché honnête proposer pas une personne honnête. Le marché est accepté, direction le port !
        Un froid commence à tomber. L’ange attendait le jeune. Il scrutait les environs jusqu’à ce qu’il remarque qu’un individu ne le lâché pas du regard. D’après son gabarit et sa taille il est fort probable que c’était notre homme. S’il est toujours ici c’est qu’il n’a pas remarqué le piège mis en place en cas de problème. Une vingtaine de marines en civil étaient ici. S’il voulait s’enfuir, sur la droite il y a sept personnes armées, embusquées. De même pour la droite. Six se trouver sur le bâtiment juste derrière lui et l’avez en joue. Leur chef après longue discussion avec Ivan, se révèle comme un homme d’honneur et digne. Il ne trahira surement pas ça parole. Celui-ci est posté sur le quai et joue l’ivrogne allongé sur un banc pas très loin.
        L’handicapé s’approche de l’homme à la capuche. Oui c’est bien le fuyard.

        -Finalement tu es venue. Tu sais, tu es encore jeune. Tu devrais chercher un travail digne au lieu de commettre des voles. Moi je répands la justice. C’est en quelque sorte mon métier. Enfaite quel est ton objectif?

        Impossible d’établir un contact physique. La réponse ne sera pas forcément la vérité mais… Le pouvoir d’Ivan lui permet de savoir quand il y a mensonge. On peut donc dire que mentir à ce stade est bien futile.
          Le monde est étrange, cet homme m’avait-il vraiment sauvé ou m’attendais-t-il au prochaine tournant. Franchement, je n’en savais rien et je m’en fichais pas mal. Je ne cherchais pas à lui faire confiance ou non, je n’ai pas l’habitude faire confiance au gens et ce n’est pas aujourd’hui pour que je vais faire confiance... Surtout confiance à un inconnu. Mais alors pourquoi j’avais décidé de le suivre, la réponse était simple, je voulais savoir comment, pourquoi, j’avais dit les choses honnêtement sans mentir, sans dévié la réponse ou sans même l’esquiver. J’avais bien entendu ma petite idée la dessus, mais c’était encore trop vague, trop flou dans le fond et je ne pouvais pas miser sur un peut-être. Cela-dis, je pouvais en avoir le cœur net. Cacher et armée, je m’installais au port en essayant d’être le plus discret possible. Je devais faire en sorte qu’aucun soldat de la marine ne me remarque. Que j’ai l’air d’un simple mendiant. De toute façon, cette fois j’étais sur mes gardes et je n’allais pas me laisse faire si facilement. De plus je suis du genre rapide et dans un endroit où il y a de la foule, c’est bien les petites gars rapide comme moi qui ont le plus de chance de s’en sortir.

          Enfin bref, voilà le moment où je retrouve ce type qui s’approche de moi et se met à me parler. Une fois à mon niveau, je le quittais du regarde et me mit à fixer devant moi. Je me tenais les mains de façon à ce que je puisse pose ma tête sur celle-ci. Toujours est-il que j’écoutais l’homme parler. Il ma parlais d’honnêteté, de justice, de travail honnête. Enfin beaucoup de mot bien jolie mais qui dans mon cœur sonnait de façon plutôt creuse. Même si dans un sens je pouvais apprécier la certains compassion dont il fessait par était pour le moins apprécier... Même si elle n’apportait rien dans le fond. Je n’étais pas un monstre, mais je n’étais pas un ange non plus. Trop mal honnête pour devenir juste, pas assez fourbe pour devenir un tueur de sang-froid... Je n’avais pas vraiment ma place dans le bien ou dans le mal. Mais surtout malgré mon jeune âge, je savais que les mots qu’il prononçait n’était dans le fond que des mots et que l’acte n’est jamais vraiment juste, ni vraiment mal...

          Un travail ? Comme si j’avais les compétences nécessaires... De toute façon, la justice n’est qu’un mot dans réel valeur pour moi... Le bien, le mal, ce n’est que des façons de voir les choses. Comme le faite de tuer. C’est peut-être mal pour certaines personne, mais pour d’autre ce n’est que justice... Alors pouvons-nous vraiment dire qu’une personne est mauvaise ou pas ? Qu’elle repend vraiment la justice ? Donc, je doute que tu comprennes mon objectif... Mais en claire, je veux être libre et me débarrassé de tous ses gens qui brise la liberté des autres.

          Tout ça était relativement flou volontairement, il n’avait pas à trop savoir et je ne voulais pas trop lui dire et apparemment cette fois, le résultat était plutôt probant. J’avais réussi à dire ce que j’avais à dire sans que j’aie l’impression d’être forcé à révéler ce que j’avais vraiment dans le cœur. Laissant quelques instants de silence je repris la conversation en disant :

          Dis-moi, tu as un fruit du démon je me trompe ? Quand tu m’as parlé au restaurant, j’ai dit le fond de ma pensé, sans le vouloir... J’ai du mal à croire que c’est autre choses qu’un fruit du démon.

          La messe était dites, comme on dit, je ne savais pas grand-chose encore sur les fruits du démon, mais je savais qu’il donnait des pouvoir extraordinaire et dans un sens cela m’intéressait vraiment beaucoup d’en apprendre d’avantage la dessus.
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          Les réponses vont toujours dans la même direction. Il n’est ni blanc, ni noir. Il est gris. Mais un gris plus proche du blanc pour le moment. Mais le temps peut très bien changer ça. En tout cas, il n’y a plus rien qui intéresse Ivan. Il peut clore cette discussion et partir répandre la justice dans d’autres zones.

          -Parcours le monde. Peut-être un jour tu me comprendras.
          L’ange se retourne. Aujourd’hui je te laisse partir mais n’oublie pas que la justice sera toujours là. Adieu. Il part.

          Le départ sans aucun signe signifié que la capture est annulé.
          Cette rencontre ne signifie pas l’abandon pour l’handicapé. Il est sûr que si des informations négatives lui parvenait sur le jeune, il se verrait obliger d’aller régler le problème lui-même.
            Il pouvait me prendre pour ce qu’il voulait, il pouvait me tenter les pièges qu’il voulait, je n’étais pas stupide, mais surtout, je n’avais pas l’intention de changer. Le monde est dur et cruel et même si les mers ne sont plus aussi mouvement depuis des dizaines d’année, cela ne voulait pas dire que celui-ci se portait mieux. Bien au contraire, pour moi il n’avait pas vraiment changé. Je ne sais pas quel était véritablement les intentions du type en chaise roulante, mais apparemment, il pensait qu’il était capable de m’arrêter et que c’était de son bon vouloir que j’étais toujours en liberté. Cela me permettait de comprendre une chose dont je pouvais soupçonner la possibilité, il n’était pas venu seul. Il avait des hommes, peut-être de soldat de la marine qui se cachait dans les environs. Quand il partit, la seule chose que je pouvais en quelques sorte lui dire c’était un simple soupire voulant dire que ses avis n’avait pas tellement t’importance... Il pouvait croire ce qu’il voulait, mais je n’étais pas qu’un stupide gamin, j’étais un homme prêt à me battre s’il fallait. Mais il est vrai que rester en vie et économiser ses forces autant que possible était une meilleure solution en quelques sortes.

            Je décidais donc de partir du port quelques minutes plus tard. En même temps je réfléchissais et je me disais que je voulais réalisé mes rêves, il était bientôt temps de devenir vraiment plus fort pour pouvoir battre des types comme le marine du restaurant et aussi pour pouvoir vraiment rejoindre un équipage. Si je ne pouvais pas battre cet homme à main nu cela pouvait que j’étais encore bien trop faible. Mais bon, tout cela allait venir avec le temps et les entraînements. Aujourd’hui j’allais pouvoir dormir dans un bon lit et prendre un bon repas avant de partir demain matin à l’aube pour rejoindre l’ile suivante
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