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Obéir ou ne pas Obéir telle est ton futur

Cela faisait quelque temps qu’Aoko n’avait pas repris du service. Elle était encore dans un sal état et on pouvait plus ou moins le remarquer. Son bras était dans le plâtre et il y avait un bandeau sur son œil gauche. En tout cas, les hommes avaient pitié d’elle et ne l’approchaient pas trop. On lui avait confié une mission assez simple, enquête et chasse. Pour l’enquête, ça devrait bien se passer, mais pour la chasse ça serait autre chose.

Saint Urea pouvait être accueillante pour n’importe qui, on trouvait de tout sur l’île. Dans les bas quartiers, il y avait toujours des marchés noirs vendant des matériaux illicites, parfois on pouvait distinguer certain serviteur de haut noble qui allait chercher de quoi les divertir. Heureusement pour Aoko, elle fut accueillie par une petite troupe de Marine. Leur première remarque fut :


« Euh, tout va bien Sous-lieutenant? »

« … Franchement, dois-je répondre à ce genre de remarque Sergent? »

« Ah, désolé. Je venais ici pour vous chercher et vous ramener auprès du commandant de la zone, nous sommes heureux de vous voir, après le coup sur Inu Town… Enfin, euh… »

« Sergent… »

« Oui, oui, tout de suite m’dame »

Aoko suivit le sergent dans des rues qui passèrent au-dessus du quartier des pauvres. Pour tout savoir sur sa venue ici, même si c’était une reprise de fonction, elle la voulait. Ça lui permettrait de s’améliorer sur tout type d’enquête et en apprendre plus sur le commandement d’homme vu ses pertes sur Inu Town. D’ailleurs, elle s’était faite engueulée par son commandant après s’être remis de cette épreuve… Il ne voulait absolument pas perdre un bon élément… C’était comme une engueulade, mais pas vraiment. Comme-ci il tenait à elle… Bizarre, Aoko ne l’avait jamais vu agir de cette manière avec d’autre officier.

La balade à travers la ville ne fut pas vraiment de tout repos, même si elle utilisa un transport commun accompagné d’une dizaine de marine. Le paysage défilait lentement mais sûrement, on pouvait distinguer le commencement des quartiers un peu moins pauvre. Ceux-ci étaient partagés par une muraille pour empêcher les pauvres d’aller chez les riches. C’était assez triste à voir, mais c’était la réalité.

Elle arriva enfin en vue de la première caserne de marine située non loin de la muraille pour envoyer des renforts si la garde de la ville fut dans le besoin. Elle descendit lentement de la carriole vêtue de ses vêtements de marine mettant en valeur son grade. Elle regarda le ciel et se dit :


*Quel temps merdique, pourquoi est-ce qu’il doit commencer à pleuvoir alors que je viens à peine d’arriver*

Elle alla le plus vite possible dans le bâtiment. Elle suivit le sergent jusqu’au bureau du commandant.

« C’est encore loin sergent? Il me tarde d’avoir les détails sur cette enquête, et si cela ne vous embête pas, j’aimerais faire un tour à l’infirmerie par après »

« Oui, m’dame, on y est bientôt »

Le sergent arriva devant une porte avec un écriteau planté dessus. Sur celui-ci, on pouvait lire « Commandant Sergei » ça faisait vraiment bizarre comme nom. Le commandant n’était pas réellement connu sur l’île, était-ce un homme ou une femme? Aoko n’en savait rien. Le sergent toqua à la porte et attendit une réponse.

« Entrez »

Quand la porte s’ouvrit, Aoko vu que c’était une femme normale. Il y avait quelqu’un d’autre dans la pièce en face du bureau, un caporal d’après les galons sur son costume. Le sergent resta à la porte tandis qu’Aoko s’avança et salua la commandante.

« Hmm, Sous-lieutenant Aoko, bienvenu sur Saint Urea, je suis désolée pour le temps qu’il fait, mais c’est la saison et il faudra s’y faire. Je vous présente le caporal Hibiki, il sera sous vos ordres ainsi qu’une petite escouade de 10 hommes. Il semblerait que nous ayons perdu la trace d’une personne que l’on suivait depuis un bout de temps. J’aimerais que vous le retrouviez et que vous l’arrêtiez, nous avons des questions à lui poser. D’ailleurs en avez-vous Sous-lieutenant? »

*Comment est-ce qu’elle sait qui je suis… et zut, encore ce foutu commandant, il accompagne toujours une description physique quand je me rends quelque part… Pas étonnant que les hommes me courent après… Aaahhhh, mon bras me fait mal… Faudrait que je prenne des antidouleurs à l’infirmerie*

« Bien commandant, non commandant, si je puis me permettre, il faudrait que j’aille à l’infirmerie commandant, j’ai besoin d’antidouleur. »

« Allez-y, il semblerait que vous souffriez encore de cet malheureuse expérience dont votre officier supérieur m’a fait part, et bonne chance »

Aoko salua avec sa main libre, puis la remit sur son plâtre, elle souffrit le martyre pendant 5 bonnes minutes le temps de trouver l’infirmerie. Quant au caporal, elle l’eut oublié dans le bureau du commandant. En espérant, qu’elle le retrouve.


Dernière édition par Aoko Longshot le Dim 3 Fév 2013 - 19:23, édité 1 fois
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Depuis son passage au royaume de Bliss les choses n'avait pas vraiment changé pour le caporal. Juste son affectation avait changé en un an. Cela éprouvait quelque peu le jeune homme qui avait de grosse ambition, des ambitions qu'il ne pouvait pas accomplir au grade qu'il occupait. La situation était d'autant plus frustrante qu'il méritait d'être plusieurs grades au dessus du sien que ce soit sur le plan des talents de combattants ou simplement sur les compétences intellectuelles. Il avait vraiment l'impression que quelque chose ou plus vraisemblablement quelqu'un bloquait toutes ces possibles promotions et c'était très frustrant à vivre. Cependant son respect de la hiérarchie et des procédures était plus fort que son égoïsme et il n'avait donc pas encore fait de scène ni simplement interroger ses supérieur sur le pourquoi du commen .

Hibiki prenait simplement son mal en patience, et exécutait ses missions les unes après les autres aussi bien qu'il le pouvait. C'est donc avec la même promptitude qu'il répondit a la convocation ce matin là. Il était une fois de plus convoqué dans le bureau de son commandant afin d'y recevoir son ordre de mission. Son dernier ordre, vérifié le stock de chandelle dans la base, ayant été effectué au cours de la semaine passée. Il se présenta donc comme toujours devant la porte massive conduisant au bureau de sa supérieure. Et oui ça c'était une nouveauté, depuis quelques semaines le jeune homme découvrait ce que c'était d'avoir une femme comme supérieur. Pour le moment cela était agréable, ça permettait au moins d'éviter de se prendre une haleine de rat crevée dans la tronche au réveil.

Enfin bref, il rentra donc dans la bureau du Commandant sans prêter attention aux écritures recouvrant le battant. Toujours le même bureau a la mode militaire. C'est à dire chaque chose à sa place , et surtout rien qui dépasse. Il pénétra donc dans cette pièce et obéit au signe que lui fit la femme face a lui en s'asseyant. Une fois bien installé sur le siège bien confortable qu'on ne trouvait que dans cette pièce Hibiki fit plus attention a sa supérieure, et tout de suite quelque chose clocha. Elle n'avait pas son air enjoué habituel, au contraire elle avait un visage fermé au moment ou elle lui tendit une enveloppe toute simple en lui disant ses simples mots

"Voilà un courrier provenant de plus haut, je ne sait pas ce qu'il contient et je ne veut pas le savoir mais tu ferait mieux de bien le lire. Tous ce que je sais c'est que je doit te confier une mission bien précise aujourd'hui. Mais comme je n'aime pas me répéter on va attendre un peu que celle qui vas diriger de cette mission arrive. En attendant tu devrais prendre connaissance du courrier "


Le caporal était quelque peu perdu, pourquoi il recevait un message ? Après autant de moi sans signe de promotion pourquoi il recevait un tel courrier? Impossible a expliquer, il fit donc la seule chose qu'il pouvait faire et lut le courrier.


À la fin de sa lecture Hibiki avait perdu toute couleur, mais au regard que lui jetait son commandant il savait qu'elle ne voulait pas entendre parler de ce que l'on lui demandait. Il fit donc ce qu'il put pour se retrouver une contenance avant que celle qui allait diriger la mission arrive.

Bien que le résultat de son contrôle de soi ne fût guère brillant le caporal trouva une excuse toute trouvée pour expliquer son air troublé. Dès que le sous lieutenant Aoko rentra dans la pièce il dut faire des efforts pour relever les yeux. Ceux ci était sans cesse attirer par les deux bosse au niveau de la poitrine de la femme, on n’avait pas idée de porter des vêtements aussi près du corps avec des obus pareil. À moins que ce soit le contraire et qu'avec des obus pareil on avait forcement des vêtements près du corps, Enfin là dans l'instant entre la nouvelle qu'il venait de lire et une telle vision Hibiki ne pouvait guère réfléchir pour détermine ce qui était la cause et ce qui était la conséquence.

À cause de la cible de son regard le jeune homme faillit ne pas se rendre compte que la femme était pas mal amoché, elle portait un plâtre ainsi qu'un bandeau. Soit elle n'était pas très doué, soit elle avait pris part a des combats assez violents, et au crédit de son grade on pouvait supposer la deuxième possibilité plus proche de la vérité . Enfin toujours est il que les blessures semblaient la gêner car après une courte description de la mission elle partit, sans même prendre le dossier avec les éléments précis sur la dite mission.

Hibiki se trouva donc de nouveau seule dans le bureau avec sa supérieur sans même avoir put parler avec son chef d'équipe , et en plus il allait devoir parcourir la base a sa recherche. Parce que bon des infirmerie il n'y en avait pas qu'une dans cette base. Cependant le cerveau du caporal sembla se remettre en marche car avant de partir à la recherche de la bimbo il se renseigna d'avantages sur la mission au près du commandant qui lui tendait justement un dossier


" -J'imagine qu'on a quelques infos pour commencer la traque

-En effet, comme toujours vous trouverez tous les petits détails dans le dossier de la mission. mais en résumé voilà ce que ça donne. La cible est un homme dans la quarantaine, officiellement il travaille comme contremaitre dans une usine de fabrique d'armes , mais on le soupçonne fortement d'avoir des contacts avec un ou plusieurs groupes révolutionnaires. On ne sait pas exactement ce que sont les contacts en question ni ce a quoi il peut bien se rendre utile pour leur cause, c'est pour cela qu'on le surveille depuis quelque temps, sans rien apprendre de définitif. Cependant depuis avant hier il a disparu, lui ainsi que sa famille ont disparu du jour au lendemain. Cette disparition nous inquiète un peu voilà pourquoi je lance cette mission. Vous avez besoin de connaitre d'autres détails sur ce que je sait ?

-Non merci. Vôtre résumé comprend tous ce dont on pourrais avoir besoin Commandant. Si vous m'y autorisé je vais maintenant rejoindre le sous lieutenant Aoko afin de la mettre au courant des détails et commencer cette mission


-Allez y alors, et s'il vous plait caporal Kugenin, ne faites rien que vous ne vous sentez pas de faire"

C'est sur cette phrase énigmatique que le jeune homme quitta sa supérieure pour partir à la recherche de la jeune femme à la plastique de rêve. Se doutant que le sergent accompagnant la belle devait bien connaitre la base il se dirigea vers l'infirmerie la plus proche et en fut récompensé. Les obus étaient là...enfin le sous lieutenant Aoko. Elle sortait justement de l’infirmerie, et après un effort pour regarder la femme dans les yeux , il put facilement déduire de l'expression de celle ci que les antidouleurs étaient efficace. Ne lui laissant pas le temps de parler il lui adressa la parole en lui tendant a son tour le dossier

"-Bonjour Sous lieutenant. Voici le dossier de mission ..."

A la suite de cela il lui fit le topo qu'il venait de recevoir lui même mais rajouta une petite partie

"-...Quand au lieu pour débuter les recherche le commandant Sergeï nous conseille de commencer par la une taverne de la ville extérieur. Si je me rappelle bien la taverne répond au nom de Le rendez-vous des rats. On opère comment Madame ?


Hibiki n'attendait plus que la réponse a la question, en espérant que le sous lieutenant l'écouterais sur le lieu ou commencer les recherches. Après tout ce renseignement devait être correct vu d'où il le tirait
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En sortant de l’infirmerie, Aoko reconnu le caporal qui lui donna le dossier de la mission contenant tous les détails. Elle le prit dans sa main libre et commença à le lire. Encore des révolutionnaires, elle eut connaissance de ce qui se passa sur Saint Urea, mais elle pensa que ça ne fut pas aussi atteint. Elle lut parfois des bouquins pour en connaître un peu plus sur les lieux de mission où elle se rendit. Elle sut que sur Saint Urea, il y eut un soulèvement du à la présence des révolutionnaires, mais que ça avait échoué.

Mais de là à penser qu’ils avaient encore des gens dans la populace... D’après les rapports qu’elle lut, elle pensa également qu’ils eurent tous été trouvé, mais cela s’avéra être faux. Maintenant, il fallut poursuivre un informateur pour pouvoir en soutirer quelque chose.
*Ah quel travaille, mais il faut ça pour pouvoir monter en grade, et je ne m'arrêterais pas avant d’avoir le contrôle de la marine sous ma main.* Elle ferma le rapport et regarda directement dans les yeux du caporal.

«suivez moi caporal»

En parcourant la base, elle se renseigna auprès de différent sergent pour savoir où se trouva la salle de réunion cent-vingt B. D’après ce qu’il y avait d’écrit dans le rapport, les dix marine sous son commandement devait se trouver dans cette salle de réunion. Après une dizaine de couloir dans tous les sens, décidément les base des marines étaient grande, elle arriva devant la dite salle. Apparemment, les marines étaient déjà là mais ne faisaient pas attention à ce qu’il y avait dans le couloir. Elle se retourna vers le caporal pour lui parler. Elle afficha une tête relativement sérieuse et n’eut pas de cigarette en bouche à ce moment-là, intérieur de bâtiment oblige.

«D’après le rapport, la dizaine de marines doivent se trouver ici. Ils doivent avoir appris mon arrivée maintenant. Je ne veux pas faire attendre l’enquête même si je suis fatiguée du voyage. Donc vous allez prendre le commandement de ces hommes, je vous en donne l’autorisation en temps qu’officier, vous serez sergent suppléant le temps que je prenne du repos. Et je ne veux pas entendre de mais... Caporal. D’ailleurs, d’après le bruit, ils sont déjà là, entrons.»

Elle entra en premier, poussant un peu plus la porte pour pouvoir se faire voir en entier. Les marines se retournèrent et tout ce qu’ils virent c’est les formes parfaites d’Aoko. Ils étaient presque à en baver par terre de voir une telle femme. Puis en parcourant le corps, ils se rendirent compte du grade de la dite femme et se mirent au garde à vous. En supposant que leur partie inférieur l’était aussi. Aoko parcouru la salle de ses yeux jaunes brillant, elle sourit un moment en remarquant que c’étaient tous des jeunes plus âgés qu’elle et qu’il n’avait aucun mal à reconnaître un grade. Elle commença à parler d’une voix sérieuse, mais si douce que l’on eut du mal à voir si elle donna des ordres ou non.

«Bon, voici la situation, nous avons un fugitif. Enfin, pas réellement, nous surveillions quelqu’un étant agent des révolutionnaires depuis un petit temps. Nous nous devons de le retrouver parce que cette personne a disparu du jour au lendemain avec toute sa famille. D’après le rapport, tout n’a pas disparu. Donc, sur place, vous serez accompagné par le sergent suppléant...»

«QUOI???», Ils dirent ça tous ensemble puis un segnor des marines 1ière classe sorti du lot.

«Mais... Il nettoyait encore les chiottes la semaine dernière, on va pas se mettre sous les ordres d’une merde pareil...»

Aoko Tapa du poing sur la table BAAAAM. La pauvre table en bois avait maintenant une empreinte du poing d’Aoko. Cela fit taire tous les marines qui suèrent et ravalèrent leur salive. Elle les regarda un par un, son sourire carnassier s’afficha et ses yeux jaunes commencèrent à s’enflammer petit à petit. Puis elle hurla sur les marines, son rugissement se fit entendre dans le couloir derrière et à plus de cent mètre. On ne pouvait que ce plier à ce qu’elle disait. Elle dégagea une aura assez impressionnante, alors que ce ne fut qu’une simple femme.

«JE N’ACCEPTE PAS L’INSUBORDINATION MESSIEURS. VOUS ALLEZ LUI OBEIR AU DOIGT ET A L’OEIL. SI J'EN VOIS UN SEUL QUI N'OBEIT PAS, VOUS EN SUBIREZ LES CONSEQUENCES, EST-CE CLAIR?»

Les marines se mirent tous au garde à vous et répondirent à l’unisson: «Oui, Sous-lieutenant». ils avaient clairement compris ce qu’Aoko était capable de leur faire si il ne se pliait pas à ce qu’elle disait. Apparemment, leur sergent-chef ne leur avait jamais gueuler aussi fort dessus. Aoko se calma parce que, malgré les antidouleurs, elle eut de nouveau mal au bras droit rien qu’en frappant sur cette table. Elle mit sa douleur de côté pour l’instant et ne voulu par paraître faible devant ses marines de pacotille. Elle changea de ton pour revenir à une voix douce, mais sérieuse.

« Donc comme je vous le disais, vous allez être sous les ordres du sergent suppléant. Premièrement, et cela devrait vous prendre plusieurs heures, j’aimerais que vous rassembliez les témoignages des voisins, les preuves dans l’habitation et en dehors, ainsi que connaître leur habitude par rapport au témoignage. Prenez note de tout ce qui pourrait vous sembler important. Ne laissez pas même une souris passer. Je serais disponible dans le dortoir des officiers ou dans la cantine dans, hmmm, moins d’un quart de journée. Bonne chance messieurs»

Aoko se retourna et tourna la tête vers le caporal. Elle lui fit un doux sourire et un visage sympathique s’afficha. Elle le faisait rarement, mais dans l’état des choses, elle n’avait pas vraiment le choix. Son bras lui fit de nouveau mal et elle se retint encore de le tenir. Elle posa sa main libre sur l’épaule du Caporal tout en lui disant pour lui seul.

«Bonne chance Caporal, au moindre problème notez le et rapportez le moi par après. Je ferais moi-même un rapport au commandant prenant directement la responsabilité de mes actes. Je serais disponible à la cantine des officiers par après, je vous donne l’autorisation d’entrer pour m’y retrouver. Et aussi, allez vous renseigner à cette taverne, laissez les marines s’occuper du lieu principale. Si apparemment vous obtenez de meilleur renseignement là-bas cela ne peut être que mieux et voici le dossier pour vous y aider.»

Elle quitta la pièce laissant la suite au caporal. Elle ne savait pas réellement si elle pouvait lui faire confiance, mais elle était réellement fatiguée. Elle avait trop forcé sur sa reprise, elle devait réellement prendre du repos. Elle se dirigea de nouveau à l’infirmerie pour reprendre des anti-douleurs, voir carrément la boîte d’anti-douleur. Après l’infirmerie, elle suivit les panneaux pour se rendre aux dortoirs des officiers. Elle eut de la chance, l’une des chambres fut libre du au mission affecté à l’extérieur aux officiers.

Elle entra dans la chambre après avoir reçu l’autorisation. Celle-ci était vraiment propre. Pas de poussière ni quoi que ce soit, il faisait des miracles dans cette caserne. En tout les cas, Aoko ferma la porte et en profita pour s’asseoir sur le rebord du lit. Elle se déshabilla complètement, laissant aux hommes leur imagination travailler, et rentra dans les draps. C’était très revigorant pour elle, elle s’endormait directement et sans difficultés. Elle se réveilla trois à quatre heures plus tard en pleine forme. Elle enleva son plâtre et son bandeau affichant toujours la même cicatrice depuis trois ans et demi et se dirigea ensuite vers la cantine des officiers pour manger un bout.
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Malgré le beau sourire que lui fit le sous lieutenant avant de filé se reposer et la promotion temporaire Hibiki avait encore beaucoup de mal a ne pas laisser jaillir sa colère. Ses hommes, car ils l'étaient déjà à ce moment, avaient osé manquer de respect à leur supérieure directe. Que l'on remette en doute ses capacité faisait déjà mal en soi, mais qu'en plus on ose protester ouvertement à un ordre en insultant un supérieur ça c'était trop pour lui. Du coup malgré le précédent speech de la bimbo, qui lui avait par ailleurs offert un très beau spectacle au jeune homme durant leurs déambulations à travers la base , il décida d'en remettre une couche et de leur faire comprendre le fond de sa pensée.


"Je vous prévient tout de suite, si un seul d'entre vous déroge encore une fois au devoir sacré de la marine ou aux fondements même de celle ci je m'assurerai qu'il se retrouve sans métier dans les heures suivantes. Vos cervelles atrophiée vous permettent peut être pas de comprendre l’intérêt de l’obéissance et du respect de la hiérarchie mais je vous assure que de telles concepts n'existe pas pour rien. Cela même vous devriez pouvoir l'accepter, et je vous demanderai donc qu'une chose: suivez les règles . Je ne vous demande pas de les comprendre, juste de les suivre , ce sera déjà un progrès exceptionnel au vu de votre réaction de tout à l'heure "

À la fin de cette petite intervention faite un ton ferme les 10 marins sous ses ordre avait eu l’intelligence de baisser le regard pour cacher leur honte. En tous cas c'est comme ça qu'Hibiki l’analysa. C'est donc avec un ton beaucoup plus doux qu'il reprit la parole pour organiser la mission

"Maintenant que l'on est sur des bases saines je vais vous répartir vos rôles plus spécifiquement. Je veut que vous répartissiez en 3 équipes de 3. Le dernier d'entre vous viendra avec moi. Alors pour les équipes de 3, l'une d'entre elle se concentrera sur la maison et les alentours directes. Je veut que vous me passiez tout au peigne fin, rien ne doit être laissé aux hasards. Vous devez accomplir votre travail efficacement quoi. Pour les deux autres groupes, en partant de la maison du suspect je veut que vous vous éloigniez de celle ci, chacun en partant d'un côté différent bien entendu . Votre mission sera de recueillir le plus de témoignage utiles possible, donc pas besoin de me sortir un compte rendu des potins du coin , je veut des infos fraiches et utiles sur la vie de cette vermine. Accomplissez ces tâches assidument et vous pourrez être fier de vous. Surtout que je ne serais pas sur vôtre dos durant cette enquête de voisinage donc je compte sur votre sérieux. Vous me ferez un compte rendu détaillez des éléments importants que vous découvrirez dès la fin de la mission. Pour les renseignement qui semble moins intéressant à première vue je les veut par écris ce soir au plus tard. Moi je serais dans un bar du quartier afin de remplir ma partie de la mission , et je ne veut pas vous y voir à moins que vous ne découvriez une piste qui mène tout droit au suspect. Bon maintenant assez parlé, place à l'action. À l'action ordonné bien sur."


Voilà c'était fini, il pouvait enfin respirer normalement et récupérer a la fois son souffle et un peu de salive. être sous officier n'était pas de tout repos pour les cordes vocales. Mais cela était nécessaire donc inutile de traiter de ce sujet pendant trois heures alors qu'ils avaient une mission a accomplir. Hibiki ordonna donc à sa troupe de la suivre et s'élança dans les couloirs suivi par les 10 hommes sous ses ordres.

Pendant la demie heure de marche qui suivit jusqu’à la destination il y eut très peu de paroles échangées ce qui permit a Hibiki de repenser à la lettre, surtout du passage parlant de la taverne

Hibiki......Missions spéciales ......si vous acceptez votre mission commencé votre enquête au rendez-vous des rats vous y trouverez des informations pour le moins utiles......en cas de refus vous reprendrez votre avancement normal dans le corps.... une personne bien placé


Une lettre bien mystérieuse qui laisse entrevoir de grandes choses, le sergent comptait bien en apprendre plus à la fois sur la lettre et sur la mission dans la taverne précisé. Mais les réponse hypothétique ne suffisant pas a calmer sa curiosité et son esprit bouillonna jusqu'à leur arrivé sur place ou les équipes se répartirent . Hibiki se retrouva donc accompagné du plus petit, et plus vieux, d'entre eux. Visiblement celui ci avait été réaffecté depuis peu, normalement quelqu'un de son âge connaissait très bien sa base et ceux qui y en faisait partie, hors la il s'était presque fait pousser vers le sous officier. Autrement dit il n’était pas très populaire au près du reste de la patrouille

Mais bon ça ne changeait pas grand chose, Hibiki après avoir jeté un coup d’œil a la façon de travailler de ses hommes décida de leur faire confiance et partit remplir la mission que lui avait attribué la sous lieutenant. Trouvé la taverne en question ne fut pas bien compliqué, en effet une carte précise, et a priori récente, faisait parti du dossier d'enquête. Le duo se retrouva donc rapidement devant la taverne, qui se trouvait à quelques centaines de mètre du logement du suspect. Le moindre que l'on puisse dire c'est que l’extérieur de la taverne ne faisait pas taches dans les environs, elle était aussi sale que le reste du quartier à l’extérieur.

L’intérieur lui, comme le découvrit le duo, donnait une juste raison au nom de la taverne. Elle était misérable, on voyait à peine le plancher sous le tas de nourriture et autre détritus qui recouvraient le sol. Mais si on ne voyait pas le sol pour une raison toute troué, le manque de visibilité dans le reste de la pièce était lui causé par autre chose, le manque de lumière. Certes il faisait gris dehors, mais a l’intérieur on se serait crut en pleine nuit. Que ce fut a cause de la crassé recouvrant les vitres ou de tout autre chose Hibiki ne s'y intéressait pas grandement, ce qui l’intéressait par contre c'était ce qui pouvait bien poussé une personne avec un minimum de gout à fréquenter cet endroit.

Car à moins que le manque de gout total soit une caractéristique des habitants du quartier il y avait une autre raison à la présence de la dizaine de client qui était présent. 10 clients dans une taverne en milieu de mâtiné c'était tout sauf attendue. il se passait clairement quelque chose de pas très claire dans le coin, et les regards qu'on lui jetait, ainsi qu'a son compagnon, laissaient deviné tous le bien que l'on pensait de sa présence dans les lieux.


Le plus sage a faire dans cette situation était bien sur d'ignorer les regards et de s’intéresser aux personnes. Parmi la dizaine de clients , tous des hommes de ce que l'on pouvait voir, aucun n'avait l'air de pouvoir se montrer plus utile qu'un autre. Cela fit quelque peu douter Hibiki sur le contenu de la lettre, alors que jusqu'à présent il n'avait eu aucune raison de douté de son authenticité et de son origine haute placé il commençait à avoir des doutes. Dans les hautes sphères on ne donnait pas d'informations sure donc si il ne trouvait rien sur place il aurait du mal à considérer cette lettre comme importante et digne de son intérêt et surtout de son investissement. Surtout tel qui lui était demandé dans la lettre.


Mais bon ce n'était pas le moment de s'attarder. Le sergent demanda donc ouvertement a son acolyte de faire le tour des lieux. Certes jusqu'à présent personne n'avait vraiment protesté contre leur présence mais on était jamais trop prudent, et il était donc préférable d’énoncé clairement les ordres simples. Tandis que le 2nd ordre remplissait son rôle, Hibiki lui continuait de surveiller les gens et leurs réactions, celles ci ne furent pas nombreuses, mais il y en eu quand même. Certains crachaient derrière le passage du marin, d'autres semblaient marmonner des insultes dans leurs barbes mais la plus intéressante fut celle de la personne derrière le bar. Celle ci tapait sur son bras, ce qui n'était pas extraordinaire, ce qui l'était pus c'était le sens caché derrière le rythme des tapes. Celui ci se répétait inlassablement tous les 20 coups. Ce rythme, bien audible dans cette salle silencieuse , finit par faire réagir l'oreille et le cerveau du sous officier. Il était trop parfait, trop travaillé pour être du au hasard.

A quoi sevrait ce rythme , cela était évident, il servait visiblement à transmettre un message. le destinataire lui par contre c'était un vrai mystère, car bien bien qu'il connaissais l'existence de certain langue de signes ou de langage codée Hibiki lui n'en maitrisait aucun. Il était donc sur les nerfs, et s'il ne voulait pas faire dégénérer la situation il allait devoir la jouer fine.


Il fit donc ce que l'on s'attendait surement le moins à le voir faire, il s'approcha du bar doucement et commanda une limonade. Limonade qui lui fit servit sous les raillerie de tout la salle, a l'exception du 2nd ordre qui se souvenait encore surement du speech et continuait donc sa tache le plus calmement possible. Bien évidemment le barman dut cesser de transmettre son signal pour le servir mais cela n'entraina aucune réaction ce qui rassura un peu le jeune homme.

Il allait boire une gorgée de sa commande quand il réalisa quelque chose, pourquoi ce bar avait il cette boisson en stock ? visiblement les boissons contenant moins de 10% d'alcool n’intéressait pas les habitué du coin au vu de la magnifique collection de bouteille que l'on pouvait voir dans la pièce. Prit soudain d'un doute le jeune homme exécuta donc une technique apprise lors de sa formation, au lieu de boire il laissa dégouliné la boisson le long de son menton puis cou. C'était froid, c'était sale et c'était collant mais c'était prudent et surement la meilleure chose à faire.

Pendant qu'il reposait son verre en examinant attentivement le barman, un détail attira son regard. Une tache blanche dépassant de la poche du barman .Cette tache blanche était du papier, mais ce qui était vraiment intéressant c'est ce qu'on pouvait voir sur ce papier. Bien que la visibilité soit mauvaise Hibiki pouvait reconnaitre l'encre rouge qui apparaissait, celle ci était trop récente et trop importante pour qu'il ait put l'oublier . C'était la même encre que celle de la lettre . À la vue de ceci le cœur du jeune homme s’emballa, visiblement si la lettre était un piège celui ci était très bien monté . L’excitation faillit le rendre imprudent, il faillit agir par réflexe et sauter au dessus du bar pour attraper l'objet de sa convoitise mais il réussis a se contenir et le seule signe de son excitation fut le tremblement de sa main sur son verre.

N'importe quelle observateur attentif s'en serait rendu compte, mais soit personne ne trouva cela étrange soit plus personne ne lui prêtait attention. Il profita donc de cette opportunité et demanda innocemment et d'une voix faible au barman si celui ci n'avait pas du papier a lui passé, avec comme excuse qu'il en avait besoin pour se rouler une clope. Certes ce n'était pas très futé mais c'est tous ce que le sous officier trouva


Et soit le barman était dans le coup, soit Hibiki devait tenter sa chance immédiatement avec la sous officier Aoko , car le barman lui tendit le papier porteur d'encre , sans oublier de lui réclamer quelques berrie en échange.

Une fois le papier bien en main et l'argent échanger le sergent regarda le papier, il comportait seulement quelques mots écrite de la même main que la lettre. Les mots étaient : vents de terres lointaines. De nouveau le cœur du jeune homme s’accéléra, c'était le nom d'un bateau d'après le dossier qu'il avait feuilleté plus tôt dans la journée. Un bateau ou le suspect avait des contacts hypothétiques avec des révolutionnaires. C'était a la fois trop simple et trop beau, mais visiblement l’expéditeur de la lettre tenait vraiment a ce que le marine réussisse sa mission.


Maintenant que la réponse était trouvé il n'avait plus rien à faire sur place mais partir sans poser une seule question serait dur à justifier au près du second ordre qui l'attendait maintenant près de la porte. D'ailleurs qu'est qu'il fichait la bas celui là, et avec un grand sourire en plus, Hibiki se le demandait bien et se servit de cette excuse pour ce précipité vers celui ci l'attraper par le bras et le trainer dehors.

Dès qu'il claque la porte derrière lui Hibiki se retrouva sur le cul, dans tous les sens du terme. Le second ordre venait de lui faire une prise bizarre qu'il l'avait projeté au sol. Et l'insubordination ne s’arrêta pas là car l’agresseur c'était laissé tomber sur la victime dans le mouvement. Cependant cela était entièrement contrôler car le sous officier se retrouva complètement bloqué au sol avec la bouche de son agresseur collé à l'oreille. Cela était visiblement calculé car le second ordre lui déclara dans un souffle

"La prochaine fois que tu me touche, je te tue p'tit con! Tu ne connais même pas le code de Dorabella et tu fais ton chef. Au passage tu devrais l'apprendre ce code, ça t’éviterais de trouver une excuse de merde pour t'approcher d'une cible. Il te donnait un lieu de rencontre précis avec ce code. Enfin bref maintenant on reprend la mission et soit convaincant sur la façon dont tu diras avoir trouvé la position du suspect"

Sur cette phrase le pseudo second ordre se releva et aida son pseudo supérieur a en faire autant. Ce qui venait de se passé toucha profondément Hibiki. Il ne savait pas dans quoi il avait mit les pieds mais visiblement c’était bien réel. Le choc fut si terrible que le jeune homme se mit a agir automatiquement.

C'est donc sans aucun idée de comment il était arrivé là qu'il reprit ses esprits face au sous lieutenant. Il ne savait pas ce qu'il avait put raconter mais il décida de ne prendre aucun risque et adopta une expression neutre sur son visage tandis que son regard parcourrait à toute allure la cantine des officiers
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Aoko vit Hibiki revenir de sa mission. *Et bien, j'espère qu’il a un rapport à me donner*. Il avait un air bizarre, peut-être qu’il avait vu quelque chose de traumatisant. Ce n’était pas rassurant du tout. En espérant que la mission ne devienne pas un massacre de révolutionnaire en puissance. Il fit un résumé de la situation juste devant Aoko qui l’écouta attentivement le temps de boire son café. Elle s’alluma une cigarette et s’adressa à lui qui afficha un visage neutre après son explication.

« bon vous me dites qu’ils seraient sur un bateau nommé: vents de terre lointaine. Hmm, on peut aller chercher de ce côté-là, et sinon votre équipe de marine il en est devenu quoi?... Bah c’est pas comme-ci, on en avait réellement besoin. Bon, suivez-moi Caporal, on va faire le ménager sur tout ce cirque. Je suis reposée et prête au combat, qu’ils se ramènent. Vous le comprendrez bien Caporal, je suis en manque d’action. Bon, il faut qu’on aille voir le registre des bateaux pour savoir à quel quai se rendre. Venez-avec moi Caporal et arrêtez de vous demander où vous êtes... »

Aoko se leva en affichant un regard des plus sérieux. Elle alla vers la sortie de la cantine accompagnée par le Caporal qui se devait de la suivre partout à partir de maintenant. Sur le chemin vers la salle des registre, elle lui lâchait un ordre sur lequel il se devait d’obéir absolument sous peine de ne plus être apprécié par Aoko.

« A partir de maintenant, vous me laissez faire, si vous avez quelque chose à dire vous me prévenez et j’en prendrais note »

C’était un peu dégueulasse de recevoir un ordre comme celui-ci, mais la chaîne de commandement l’ordonnait. On pouvait observer à chaque porte les noms des gens qui les occupaient. Elle eut un pressentiment dans l’un des couloirs, comme-ci quelqu’un l’observait. Elle se retourna d’un coup mais ne vit que le Caporal qui la suivait comme son subordonné. Il restait silencieux comme une tombe. Quel calme, on pouvait entendre les oiseaux chanter sous la pluie... Ce fut bizarre cette sensation et Aoko sentit des frissons derrière. Le temps c’était radouci. Si cela continuait comme ça, il allait bientôt neiger. En arrivant devant le bureau des registres, Aoko stoppa sa marche. Elle fut stressé un moment puis rentra sans demander son reste. Le sergent responsable de l’accueil lui fit un regard du style interrogatoire en levant un sourcil. *Et oui, qu’est-ce que tu veux, une photo peu être?*

« Bonjour Sergent, je viens pour vérifier des informations concernant un navire en quai, ou peu être, nous n’en sommes pas sûr. Pourriez vous me donner des informations concernant le: vents de terre lointaine? »

« Un instant sous-lieutenant, Lieutenant maurei ? »

« Ouuuiiii ? »

Ce fut alors qu’une pu**** de bimbo apparu à la porte portant quelque documents... Une ennemie jurée pour Aoko qui rivalisait partout avec cette lieutenant. La seule chose, son grade qui était plus élevé. Celle-ci s’avança avec une démarche... Trop mais trop exagéré. Cela ne l’étonnerait pas du tout que les marine passaient par ici juste pour la draguer. Elle arriva au bureau et fit un sourire à Aoko lui demandant ce qu’elle souhaitait mettant en avant... Tout.
Aoko dû se retenir d’ajouter plein de chose dégoutante à ce qu’elle allait dire.


« Oui hum, je cherche le numéro du quai où est amarré le bateau: Vents de terre lointaine. »

« Hmm, et est-ce que vous avez l’autorisation pour cette information sous-lieutenant? »

« Du commandant même pour retrouver une personne que l’on doit interrogée sur des révolutionnaires »

« Bien, dans ce cas un instant, Sergent, allez me chercher le dossier sur ce navire s’il vous plaît »

« Oui lieutenant. »

Après quelque minute, et pendant que la lieutenant Maurei se refaisait une beauté devant son miroir. Ce qui mettait mal à l’aise Aoko qui supportait pas ces... femmes qui cherchaient toujours à plaire aux hommes pour les voir tomber comme des mouches. Le sergent revenait enfin avec l’information qu’il passait au lieutenant. Elle le remerciait avec un clin d’oeil. Elle ouvrait ensuite le dossier pour voir où se trouvait le Vents de terre lointaine.

« Il semblerait que votre bateau se trouve au quai 27 B, y a t’il autre chose sous-lieutenant? »

« Non merci, ça sera tout, venez Caporal »

« Ah attendez, Caporal, On m’a donné ceci pour vous. »

Elle donnait au Caporal une feuille avec une petite note et lui faisait un petit clin d’oeil en la lui donnant. Après toute cette paperasse, elle se dirigeait avec le Caporal et ses marines vers le quai 27B. Le bateau s’y trouvait bien, mais le silence y régnait en maître et Aoko donnait l’ordre à ses marine de se cacher par loin derrière en cas d’attaque. Elle n’aimait pas du tout cette ambiance. Elle se préparait à tout ce qui pourrait se passer dans le coin. Elle fut quand même prise par surprise par une troupe de révolutionnaire qui s’attaquèrent précipitamment au marine le plus haut gradé en premier. Erreur, puisqu’elle avait prévu plus ou moins le coup. En effet, les marines qu’elle avait sous son commandement pour cette enquête sortaient de leur coin et se jetèrent sur les révolutionnaires. Le sang commençait à couler un peu partout. Malheureusement, Aoko était trop occupé à se battre contre le chef de ces révolutionnaires pour faire attention à ce qu’Hibiki pourrait faire. Et vu le faite qu’elle était assez dangereuse, plusieurs révolutionnaires devaient se mettre ensemble pour essayer de la retenir. Sur ce temps-là, le combat allait durer un certain temps.
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Le combat continuait sans relâche. Les révolutionnaires étaient un peu plus nombreux que les marines et se défendaient férocement. Aoko ne ménageait pas ses efforts pour combattre cette peste. Elle en avait déjà assez bavé sur une autre île qu'ici contre eux et ne voulait pas que ça recommence. Le plus soûlant dans l'affaire était que Hibiki avait disparu. Elle ne le voyait plus et se disait intérieurement qu'il avait profité de cette occasion pour se glisser à l'intérieur du bateau. Heureusement qu'il était assez intelligent pour suivre son instinct ou bien c'était l'indice qu'il y avait eu sur le papier qui lui avait donné l'idée d'aller à l'intérieur.

Aoko ne pouvait s'empêcher de penser à finir son enquête. Elle battait les révolutionnaires à plat de couture. Enfin presque tous, les marines qui l'accompagnaient avait pas mal de difficulté contre la piétaille. Elle leur laissa la liberté de continuer à se battre contre eux. Par contre, le chef de bataillon de révolutionnaires apparut devant elle. Il était assez reconnaissable avec son parqua. Aoko en avait déjà vu des semblables durant ces autres confrontation. La seule pensée qu'elle avait pour le moment était que son combat devenait de plus en plus difficile.

Non seulement ces marines commençaient à tomber derrière-elle ce qui faisait que son cul n'était plus protégé, mais l'avant devenait assez méchant. Le chef s'avança d'un pas léger vers Aoko se tenant prête à tout et sur la défensive. L'un des marines réussit à s'enfuir pour aller chercher du renfort, mais elle ne savait pas si elle allait tenir aussi longtemps contre un groupe pareil.

La simple pensée de perdre encore une fois était vraiment folle. Elle ne se le permettait pas, elle en voulait plus que ça. En clair, la réussite devait être à cent pour cent quitte à buter tous les révolutionnaires présent au lieu d'essayer de les faire emprisonner. La situation n'était plus enviable, la totalité des marines avaient été massacré. Il ne restait plus qu'une dizaine de révolutionnaires ainsi que leur chef. Il n'était pas impressionnant, mais on pouvait sentir en lui une puissance impressionnante. Heureusement pour Aoko, celle-ci ne dépassait pas ce qu'elle avait comme expérience de l'art du combat.

Il mesurait approximativement un mètre soixante, avait les cheveux brun foncé et des yeux bruns. Un homme classique en fin de compte. Il ne se laissait pas faire aussi par la beauté éblouissante d'Aoko. Soit-disant passant, les autres révolutionnaires n'étaient pas atteint du tout de la maladie du pervers. Elle essaya par tous les moyens de sortir du cercle qui se formait petit à petit.

Elle sut en sortir avec une blessure assez grave à la jambe. L'un des révolutionnaires dû en payer de sa vie. Ses deux pistolets en main fumaient encore des tirs précédent. Elle se situait maintenant derrière un mur en plaque de métal. Ce qui donnait un bon endroit pour se défendre. Elle les empêchait d'avancer vers elle en les couvrant d'un feu nourri. Elle réussit à en tuer deux autres en les transformant en gruyère. Le chef par contre avait pris une position derrière de solide caisse attendant qu'Aoko recharge.

Malheureusement, le temps était au rechargement de ses armes. Utilisant cette opportunité, le chef se lança premier vers l'endroit où se situait Aoko avec le restant de ses soldats. Des cris furent entendu non loin de là, les renforts de la marine étaient arrivé pour contrecarré les révolutionnaires. Elle était soulagée de les entendre arrivé qu'elle en perdit tout force dans ses jambes et se laissa tombée à terre.

La suite fut extrêmement rapide. Les marine étaient arrivé en nombre, plus d'une cinquantaine. La force de frappe fut telle que les révolutionnaires ne puissent rien faire. Seul le chef tenait encore debout derrière un panneau de fortune tenant ses blessures. Quant à Hibiki Kugenin, Aoko ne savait pas du tout où il se trouvait, il n'était pas encore ressorti du bateau et elle s'inquiétait de son sort.

L’assaut des forces de la marine fut rapide, tous les révolutionnaires furent tué en quelque instant, le chef ne supportant plus de se cacher sorti et fonça sur Aoko, qui continuait à se reposer. Voyant ce qui arrivait sur elle, elle se releva aussi rapidement qu'elle pouvait et bloqua l'épée de justesse. Un centimètre de plus et il perçait le cœur de la jeune donzelle.

Les secondes s'écoulaient et Aoko perdait ses forces petit à petit, elle ne pourrait bientôt plus retenir cette lame. D'un coup, plusieurs autre lame vinrent percer le corps du chef. Il était mort. Avec ce qui lui restait, elle le poussa de côté pour pouvoir se remettre debout et donner les ordres aux marines arrivé en renfort. Trois sergents se trouvaient devant Aoko attendant la suite des événements.


« Fouillez le navire, D'après les renseignements il appartiendrait aux révolutionnaires. »

Elle se tenait le côté du ventre encore blessé. Le sang continuait de couler, mais plus autant qu'avant. Des brancardier arrivèrent sur le site peu après. Aoko fut prise en charge directement avec les premiers secours. Elle fut posée par après sur le brancard et en même temps les trois sergents refirent surface après avec un premier rapport.

« Nous avons fouillé le vaisseau de fond en comble et n'avons trouvé aucune trace de vie, il n'y avait aucun corps également. »

« Bien, mettez le vaisseau et quarantaine et récolez le maximum d'information que vous pouvez, fouillez aussi tous les corps des révolutionnaires et interroger les gens travaillant sur ce quai, envoyez tous les rapports suivant au commandant de la base. »

Ils saluèrent et partirent aussitôt donner les ordres. De son côté, Aoko se laissa aller et perdu conscience. Elle se réveilla un jour plus tard dans le lit d’hôpital de la base militaire. Elle était de nouveau en pleine forme, elle sentait encore des fois la douleur, mais rien de trop grave.

La suite, elle alla voir le commandant pour faire son rapport, mais elle dut le changer parce qu'Hibiki Kugenin était déjà arrivé là. Comment avait il fait? Aoko se demandait réellement quel chemin il avait pris pour revenir. Apparemment, le commandant était très contente des résultats obtenu. Pourtant, Aoko n'avait rien obtenu du tout, à part le sang de révolutionnaires dans les mains. Dans les explications par après, Hibiki avait capturé l'homme recherché sans problème. Les rapports des différents Sergent ont pu rapporté aussi des informations sur les révolutionnaires dont la plupart étaient déjà vérifié.

Après quelque jour de repos, elle fit ses bagages pour retourner sur north blue, elle n'avait pas encore finie sa formation d'officier et elle devait continuer à surveiller les gens sous son commandement.
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