Je foule la terre et j'esquisse d'un pas confiant vers un endroit particulier... Je sais où je vais, je connais cette île par coeur et pourtant il y'a bien des choses qui ont changé ici. La dernière fois que j'ai pas remis les pieds à Inu, c'était y'a plus d'un an où j'ai décidé de faire mes premiers de pirate à East Blue.
Vlà que la pluie commence à tomber, heureusement que j'ai mon long manteau noir, je presse le pas et évite les regards bien intrigués des habitants, le visage caché par ma capuche, je vais faire un tour à la taverne de ''Mae'' C'est bien l'une des rares personnes qui sait qui suis-je réellement. Elle me connait depuis gamin, elle doit sûrement se souvenir de là fois où je me suis bourré la gueule à coup de jus de tomates à mes dix ans. Enfin bref...
Près de la taverne, j'aperçois un énorme clou de la taille d'une baguette, curieux, je m'approche de l'objet et le prend des deux mains, je sens comme une odeur de menthe et tout ceci me plonge dans des souvenirs d'enfance, une terrible époque... Quand j'y repense, tout ceci me parait si loin, contraint à étudier, travailler et surtout s'entraîner sous l'aide du maître Ando Nagasaki à qui je voue une rancoeur depuis que j'ai appris qui l'a été l'auteur de cette mascarade théâtrale, de ce coup de filet qui a visé ma mère et ses frères révolutionnaires, responsable de la mort de ma chère et tendre amie, lui ce vieillard sénile avec des intentions peu louables... Je le cherche depuis que j'ai appris tout de la bouche de mon oncle à Suna Land et si je le recroise un jour, je lui ferai sa fête. Je le promets, le sang sera coulé.
Mais reprenons nos esprits et questionnons nous sur ce clou qui sent la menthe ? Étrange, non ? Je décide de rentrer dans le bar avec l'objet que je dépose sur le comptoir. Mae me regarde interloqué voulant me foutre une rouste parce que j'ai mis ce vieux machin sous ses yeux.
- Sent Mae, c'est de la menthe... Tu sais très bien que j'adore ce parfum.
- Mizu !!!
J'enlève la capuche et lui adresse un franc sourire.
- Tu m'as manqué et je vois que tu conserve ma photo derrière le bar... 70 Millions, ça en fait des litres de rhum.
- T'as de la chance qu'il n'y ai personne à cette heure-ci... T'aurais les chasseurs sur le dos, y'en pas mal qui rôdent dans le coin.
- Je sais me défendre... Sert moi un verre de jus de tomate sans alcool, steuplait.
- Huhu... T'as pas l'air d'aller... Tu repenses toujours à elle, c'est ça ?
- La petite peste que je disais.
Dis-je en baissant la tête en repensant à la seule fille que j'ai aimé.
- Je pense et penserai à elle toute ma misérable vie. Parfois, j'ai l'impression de la voir à chaque coin de rue, j'entend sa voix qui se glisse au creux de mes oreilles. Je suis même allé sur sa tombe pour lui dire au revoir et c'est la raison de ma venue, je vais quitter les Blues pour Grand Line.
- Tu vas te faire tuer ! Humph, d'façon t'en fais qu'à ta tête.
je suis un pirate qui prône la liberté et voue ma vie pour mes nakama's et à la réalisation de leurs rêves. Un pirate comme moi, n'a pas peur de mourir... Mourir ne serait pas une fatalité, je rejoindrai la femme que j'ai tant aimé...
Vlà que la pluie commence à tomber, heureusement que j'ai mon long manteau noir, je presse le pas et évite les regards bien intrigués des habitants, le visage caché par ma capuche, je vais faire un tour à la taverne de ''Mae'' C'est bien l'une des rares personnes qui sait qui suis-je réellement. Elle me connait depuis gamin, elle doit sûrement se souvenir de là fois où je me suis bourré la gueule à coup de jus de tomates à mes dix ans. Enfin bref...
Près de la taverne, j'aperçois un énorme clou de la taille d'une baguette, curieux, je m'approche de l'objet et le prend des deux mains, je sens comme une odeur de menthe et tout ceci me plonge dans des souvenirs d'enfance, une terrible époque... Quand j'y repense, tout ceci me parait si loin, contraint à étudier, travailler et surtout s'entraîner sous l'aide du maître Ando Nagasaki à qui je voue une rancoeur depuis que j'ai appris qui l'a été l'auteur de cette mascarade théâtrale, de ce coup de filet qui a visé ma mère et ses frères révolutionnaires, responsable de la mort de ma chère et tendre amie, lui ce vieillard sénile avec des intentions peu louables... Je le cherche depuis que j'ai appris tout de la bouche de mon oncle à Suna Land et si je le recroise un jour, je lui ferai sa fête. Je le promets, le sang sera coulé.
Mais reprenons nos esprits et questionnons nous sur ce clou qui sent la menthe ? Étrange, non ? Je décide de rentrer dans le bar avec l'objet que je dépose sur le comptoir. Mae me regarde interloqué voulant me foutre une rouste parce que j'ai mis ce vieux machin sous ses yeux.
- Sent Mae, c'est de la menthe... Tu sais très bien que j'adore ce parfum.
- Mizu !!!
J'enlève la capuche et lui adresse un franc sourire.
- Tu m'as manqué et je vois que tu conserve ma photo derrière le bar... 70 Millions, ça en fait des litres de rhum.
- T'as de la chance qu'il n'y ai personne à cette heure-ci... T'aurais les chasseurs sur le dos, y'en pas mal qui rôdent dans le coin.
- Je sais me défendre... Sert moi un verre de jus de tomate sans alcool, steuplait.
- Huhu... T'as pas l'air d'aller... Tu repenses toujours à elle, c'est ça ?
- La petite peste que je disais.
Dis-je en baissant la tête en repensant à la seule fille que j'ai aimé.
- Je pense et penserai à elle toute ma misérable vie. Parfois, j'ai l'impression de la voir à chaque coin de rue, j'entend sa voix qui se glisse au creux de mes oreilles. Je suis même allé sur sa tombe pour lui dire au revoir et c'est la raison de ma venue, je vais quitter les Blues pour Grand Line.
- Tu vas te faire tuer ! Humph, d'façon t'en fais qu'à ta tête.
je suis un pirate qui prône la liberté et voue ma vie pour mes nakama's et à la réalisation de leurs rêves. Un pirate comme moi, n'a pas peur de mourir... Mourir ne serait pas une fatalité, je rejoindrai la femme que j'ai tant aimé...