*Il me faut des nouveaux compagnons. Pour chaque île que je visiterais je trouverais des hommes qui me suivront.*
Voilà ce que pense notre ange. Il ne peut pas changer se monde s’il n’a pas un minimum de mondes avec lui. Le voilà sur Las Camp, après la rencontre d’un jeune du nom de Yumi Matsu, l’handicapé décide de passer en mode recrutement. Après tout, cette île n’est pas un paradis sur terre. Il y a forcément des hommes qui le suivront.
Sur le port, un groupe de jeunes se rassemble. Ils n’ont pas l’air content. Ivan curieux s’approche et voit un homme à terre, bien amoché. Le sang ne coule plus, mais il a dû tellement couler qu’il n’en reste plus beaucoup.
-Les enfoirés ! C’est la guerre qu’ils veulent ben y vont l’avoir.
-Bonjour, que s’est-il passé ?
-Un gang veut qu’on leur fasse un navire mais ils veulent pas avancer l’argent. Du coup on peut rien faire parce qu’il faut payer le matériel au moins. Ces enfoirés ils ont choppé un des nôtres et l’ont tabassé pour nous dire qu’on doit faire leur navire sinon on va tous se faire tuer. Mais on verra qui va creuver !
Ils s’arment de battes, de couteaux et se mettent en route. L’ange essaie de leur parler mais il se fait complètement ignorer. La haine les rangs sourds. Ils n’ont qu’un seul objectif, détruire le gang. L’ange les suit. Au final, dans le repaire des commanditaires il n’y a que cinq hommes. Ils se font éclater par les charpentiers en colère. Puis le lieu est complètement saccagé. Ils y inscrivent leur marque sur le mur. The Warriros. Quelle folie sur cette île. Les charpentiers repartent au port accompagnait par l’ange qui ne semble pas vouloir les lâcher.
-J’ai remarqué que malgré votre haine, vous n’avez pas tué les hommes.
-Eh pour qui tu nous prends toi ! On est charpentiers pas pirates.
-C’est vrai, on veut juste faire notre boulot tranquillement. Mais y’a pas moyen ici, j’croie qu’on va se casser, on est assez grand pour voyageai.
-Pourquoi ne vous joindriez vous pas à moi. Je souhaite créer un nouveau monde. Un monde où la marine protégera réellement le peuple te non ces intérêts. Un monde ou les travailleurs ne craindront pas d’être payé ou non car la justice sera là pour assurer que tout se passe bien. Un m...
-Hep hep hep. C’est bien beau de blablater ça mais comment comptes tu t’y prendre. J’crois pas que des gars comme nous puisse faire quelque chose, sans vouloir t’offenser, je ne vois pas ce qu’un homme comme toi puisse faire.
Un gros groupe arrive sur le port. Enfin, une vingtaine de personnes. Rappelons que les charpentiers sont une dizaine. Ce sont les membres du gang qui ne souhaite pas payer. Ils ont fait vite. En tout cas ils arrivent avec le même niveau d’arme.
-Bon les gars chacun s’en fait deux et c’est réglé.
Un combat éclate sous les yeux de l’ange qui ne peut strictement rien faire. De plus, il est totalement ignoré. D’un côté, qui aurait peur d’un être en chaise roulante ? Le combat fait fureur. Des coups de poing, de battes. Les charpentiers se débrouillent bien. Mais ils finissent par perdre. Les autres ne sont pas des tendres. Mais il leur laisse une dernière chance apparemment. Enfin c’est surement parce que c’est le seul groupe de charpentier qui peut le faire leur fabrication gratuite.
Les corps au sol. Ils sont complètement fracassés. L’ange part rapidement cherché des médecins. Il demande au passant, qui l’amène chez un trio de médecins. Ils les amènent au lieu du massacre. Ils peuvent procurer les premiers soins.
-On passe notre temps à soigner des blessures plutôt qu’à guérir des maladies. Cette île entière qui est malade.
-Cette ile n’a pas besoin d’un médecin pour la guérir mais d’un leadeur. Un homme qui serra l’allier de la justice. Un homme qui n’agit pas pour ses intérêts mais pour les intérêts du peuple.
-Oué oué oué, le jour où tu le trouves fait moi signe.
-Je suis cet homme. Je suis un ange qui a pour but de faire la justice. Je suis née pour ça. C’est ce que je dois faire et je le ferai. Vous passez votre temps à soigner des hommes qui en valent pas la peine. Autant ne pas les soigners.
-T’es marrant toi, on veut pas laisser notre peau.
-En les soignants vous contribuez au massacre de cette île. Pourquoi ? Parce que vous permettez à des monstres de continuer leurs actions. Je vous propose de vous allier à moi comme ces braves charpentiers. Ensemble nous ferons le bien. Nous serrons les alliés de la justice.
-Tu crois qu’on va tous te suivre comme ça. On sait rien de toi.
-Si je vous prouve que je ne suis pas un simple charlatan, vous serez mes hommes ?
-Ça dépend dit toujours.
-Le gang qui vient de les mettre dans cet état-là. Je les arrêterais.
-HA ha ha. Ils étaient dix bons charpentiers et toi t’es un pauvre handicapé. Ma foi, si tu arrives pourquoi pas.
Tout le monde est d’accord. Il ne reste plus qu’une seule chose à faire. Stopper ce gang. Mais comment va-t-il faire ? Après tout ils ne sont pas dans le territoire de la marine. Il doit bien se débrouiller seul pour faire cela. Mais hors de question d’abandonné. Notre homme ne craint pas la mort. Il fait ce qu’il doit faire pour le bien de l’humanité. Avant de se rendre aux repères ennemis, il fait le plein de munitions et remplis ses stocks. L’handicapé achète même un deuxième flingue pour l’occasion.
Une fois sur place, il ne peut constater l’anarchie du lieu. Il faut dire que les charpentiers se sont fait plaisir. Aucun meuble ne peut tenir debout, toutes les fenêtres sont cassés, des tags plein les murs. Tout le reste est sens dessus dessous. Les hommes ont presque tous une blessure. Ils avaient bien reçu eux aussi et la présence de l’ange ne semble pas les enchantée.
-T’était au port toi ! Qu’est-ce que tu veux ?
-Vous voulez faire travailler des hommes sans les payer, vous les massacrez juste pour ça.
-Ben oué hé hé hé
L’ange comprend que c’est la vérité grâce à son fruit du démon. Il sort alors ses deux armes à feu. Il commence à tirer sur les deux jambes de chaque personne, au niveau des cuisses.
-Vous ne pourrez plus faire de mal si vous ne pouvez-vous déplacer. Voilà votre jugement !
Les hommes se cachent derrière ce qu’ils peuvent, d’autres foncent vers l’ange, mais sans grande réussite. Sur la vingtaine de personnes, il en reste douze. L’ange doit recharger ces armes. Mais il a pris la précaution de ne pas vider ces deux armes en même temps pour que les autres ne tentent pas quelques choses pendant qu’il recharge. D’ailleurs trois sortent de leur trou et se font avoir sur une jambe. L’ange fini de recharger et il tire sur les deuxième jambes. Plus que neuf donc dix-huit jambes.
-La justice l’emporte toujours.
L’ange attend que les hommes bougent. Une personne coure et saute dans une deuxième pièce. Il revient l’arme à la main et tire sur l’handicapé. Celui-ci fait basculer sa chaise et se cache derrière. C’était moins une. Il a bien cru qu’il allait y rester, son cœur bas de plus en plus fort. Ses mains étant pris par les armes, il ne peut se déplace. A découvert l’homme armé coure pour ne pas se faire toucher et tire sur Ivan.
L’homme se cache derrière un poteau mais il reste dans le champ d’action de l’ange.
Maintenant l’ange se remet doucement sur sa chaise. Un seul homme a réussis à les écraser, un seul petit handicapé. Il reste huit hommes qui sont mort de peur. Bien cachés, ils ne bougent pas, c’est l’ange du jugement qui va à eux. Un par un, il tire sur chacune des jambes. Certains tentent de négocié, mais en vein. Il a fini ce qu’il a affaire. Il part rejoindre les hommes qui doivent devenir ses compagnons.
Il trouve les charpentiers au port et part chercher les médecins chez eux. Ils les amènent tous au repère ennemie pour qu’ils voient tout ce que la justice a fait. Bien évidemment la question que tout le monde se pose, comment a-t-il réussi à faire ça ?
-Peu importe que je n’ai pas de jambes valides. La justice fait ce qu’elle doit faire. Ils ont était jugé pour leur crime. Maintenant ils ne pourront plus servir de leurs jambes pendant un certain temps si ce n’ait pour toujours. Ils réfléchiront à deux fois avant de vouloir défier la justice.
Un jugement difficile mais l’essentiel c’est qu’il n’y a pas de morts. Les blessures ne risquent pas de causer la mort. Pour des habitants de las camps, le raisonnement de l’ange est correct. L’ange précise bien qu’ils éviteront de tué et qu’il privilège la capture et la mise en prison. Les dix charpentiers ainsi que les trois docteurs cautionnent et respect leur parole. Ils rejoignent donc l’organisation de l’ange du jugement qui se nomme l’ordre des chevaliers blanc.
Voilà ce que pense notre ange. Il ne peut pas changer se monde s’il n’a pas un minimum de mondes avec lui. Le voilà sur Las Camp, après la rencontre d’un jeune du nom de Yumi Matsu, l’handicapé décide de passer en mode recrutement. Après tout, cette île n’est pas un paradis sur terre. Il y a forcément des hommes qui le suivront.
Sur le port, un groupe de jeunes se rassemble. Ils n’ont pas l’air content. Ivan curieux s’approche et voit un homme à terre, bien amoché. Le sang ne coule plus, mais il a dû tellement couler qu’il n’en reste plus beaucoup.
-Les enfoirés ! C’est la guerre qu’ils veulent ben y vont l’avoir.
-Bonjour, que s’est-il passé ?
-Un gang veut qu’on leur fasse un navire mais ils veulent pas avancer l’argent. Du coup on peut rien faire parce qu’il faut payer le matériel au moins. Ces enfoirés ils ont choppé un des nôtres et l’ont tabassé pour nous dire qu’on doit faire leur navire sinon on va tous se faire tuer. Mais on verra qui va creuver !
Ils s’arment de battes, de couteaux et se mettent en route. L’ange essaie de leur parler mais il se fait complètement ignorer. La haine les rangs sourds. Ils n’ont qu’un seul objectif, détruire le gang. L’ange les suit. Au final, dans le repaire des commanditaires il n’y a que cinq hommes. Ils se font éclater par les charpentiers en colère. Puis le lieu est complètement saccagé. Ils y inscrivent leur marque sur le mur. The Warriros. Quelle folie sur cette île. Les charpentiers repartent au port accompagnait par l’ange qui ne semble pas vouloir les lâcher.
-J’ai remarqué que malgré votre haine, vous n’avez pas tué les hommes.
-Eh pour qui tu nous prends toi ! On est charpentiers pas pirates.
-C’est vrai, on veut juste faire notre boulot tranquillement. Mais y’a pas moyen ici, j’croie qu’on va se casser, on est assez grand pour voyageai.
-Pourquoi ne vous joindriez vous pas à moi. Je souhaite créer un nouveau monde. Un monde où la marine protégera réellement le peuple te non ces intérêts. Un monde ou les travailleurs ne craindront pas d’être payé ou non car la justice sera là pour assurer que tout se passe bien. Un m...
-Hep hep hep. C’est bien beau de blablater ça mais comment comptes tu t’y prendre. J’crois pas que des gars comme nous puisse faire quelque chose, sans vouloir t’offenser, je ne vois pas ce qu’un homme comme toi puisse faire.
Un gros groupe arrive sur le port. Enfin, une vingtaine de personnes. Rappelons que les charpentiers sont une dizaine. Ce sont les membres du gang qui ne souhaite pas payer. Ils ont fait vite. En tout cas ils arrivent avec le même niveau d’arme.
-Bon les gars chacun s’en fait deux et c’est réglé.
Un combat éclate sous les yeux de l’ange qui ne peut strictement rien faire. De plus, il est totalement ignoré. D’un côté, qui aurait peur d’un être en chaise roulante ? Le combat fait fureur. Des coups de poing, de battes. Les charpentiers se débrouillent bien. Mais ils finissent par perdre. Les autres ne sont pas des tendres. Mais il leur laisse une dernière chance apparemment. Enfin c’est surement parce que c’est le seul groupe de charpentier qui peut le faire leur fabrication gratuite.
Les corps au sol. Ils sont complètement fracassés. L’ange part rapidement cherché des médecins. Il demande au passant, qui l’amène chez un trio de médecins. Ils les amènent au lieu du massacre. Ils peuvent procurer les premiers soins.
-On passe notre temps à soigner des blessures plutôt qu’à guérir des maladies. Cette île entière qui est malade.
-Cette ile n’a pas besoin d’un médecin pour la guérir mais d’un leadeur. Un homme qui serra l’allier de la justice. Un homme qui n’agit pas pour ses intérêts mais pour les intérêts du peuple.
-Oué oué oué, le jour où tu le trouves fait moi signe.
-Je suis cet homme. Je suis un ange qui a pour but de faire la justice. Je suis née pour ça. C’est ce que je dois faire et je le ferai. Vous passez votre temps à soigner des hommes qui en valent pas la peine. Autant ne pas les soigners.
-T’es marrant toi, on veut pas laisser notre peau.
-En les soignants vous contribuez au massacre de cette île. Pourquoi ? Parce que vous permettez à des monstres de continuer leurs actions. Je vous propose de vous allier à moi comme ces braves charpentiers. Ensemble nous ferons le bien. Nous serrons les alliés de la justice.
-Tu crois qu’on va tous te suivre comme ça. On sait rien de toi.
-Si je vous prouve que je ne suis pas un simple charlatan, vous serez mes hommes ?
-Ça dépend dit toujours.
-Le gang qui vient de les mettre dans cet état-là. Je les arrêterais.
-HA ha ha. Ils étaient dix bons charpentiers et toi t’es un pauvre handicapé. Ma foi, si tu arrives pourquoi pas.
Tout le monde est d’accord. Il ne reste plus qu’une seule chose à faire. Stopper ce gang. Mais comment va-t-il faire ? Après tout ils ne sont pas dans le territoire de la marine. Il doit bien se débrouiller seul pour faire cela. Mais hors de question d’abandonné. Notre homme ne craint pas la mort. Il fait ce qu’il doit faire pour le bien de l’humanité. Avant de se rendre aux repères ennemis, il fait le plein de munitions et remplis ses stocks. L’handicapé achète même un deuxième flingue pour l’occasion.
Une fois sur place, il ne peut constater l’anarchie du lieu. Il faut dire que les charpentiers se sont fait plaisir. Aucun meuble ne peut tenir debout, toutes les fenêtres sont cassés, des tags plein les murs. Tout le reste est sens dessus dessous. Les hommes ont presque tous une blessure. Ils avaient bien reçu eux aussi et la présence de l’ange ne semble pas les enchantée.
-T’était au port toi ! Qu’est-ce que tu veux ?
-Vous voulez faire travailler des hommes sans les payer, vous les massacrez juste pour ça.
-Ben oué hé hé hé
L’ange comprend que c’est la vérité grâce à son fruit du démon. Il sort alors ses deux armes à feu. Il commence à tirer sur les deux jambes de chaque personne, au niveau des cuisses.
-Vous ne pourrez plus faire de mal si vous ne pouvez-vous déplacer. Voilà votre jugement !
Les hommes se cachent derrière ce qu’ils peuvent, d’autres foncent vers l’ange, mais sans grande réussite. Sur la vingtaine de personnes, il en reste douze. L’ange doit recharger ces armes. Mais il a pris la précaution de ne pas vider ces deux armes en même temps pour que les autres ne tentent pas quelques choses pendant qu’il recharge. D’ailleurs trois sortent de leur trou et se font avoir sur une jambe. L’ange fini de recharger et il tire sur les deuxième jambes. Plus que neuf donc dix-huit jambes.
-La justice l’emporte toujours.
L’ange attend que les hommes bougent. Une personne coure et saute dans une deuxième pièce. Il revient l’arme à la main et tire sur l’handicapé. Celui-ci fait basculer sa chaise et se cache derrière. C’était moins une. Il a bien cru qu’il allait y rester, son cœur bas de plus en plus fort. Ses mains étant pris par les armes, il ne peut se déplace. A découvert l’homme armé coure pour ne pas se faire toucher et tire sur Ivan.
Adrénaline
- Spoiler:
- Lorsqu'il est sous pression, Ivan a une poussée d'adrénaline. Son cœur se met à battre de plus en plus rapide. Le temps lui semble ralenti ce qui permet d'effectuer des actions millimétrées.
Pour entrer en état d’Adrénaline, Ivan ou un ami risque de mourir. La mort est imminente
exemple : Un tire de balle où un sabre qui part pour tuer.
Far West
- Spoiler:
- Ivan contre les tirs de balles avec ces balles.
L’homme se cache derrière un poteau mais il reste dans le champ d’action de l’ange.
Shoot Effect
- Spoiler:
- Avec une arme à feu, Ivan peut donner un effet à la balle. Cela permet d’éviter des obstacles ou avoir une cible qui est intouchable en ligne droite.
Maintenant l’ange se remet doucement sur sa chaise. Un seul homme a réussis à les écraser, un seul petit handicapé. Il reste huit hommes qui sont mort de peur. Bien cachés, ils ne bougent pas, c’est l’ange du jugement qui va à eux. Un par un, il tire sur chacune des jambes. Certains tentent de négocié, mais en vein. Il a fini ce qu’il a affaire. Il part rejoindre les hommes qui doivent devenir ses compagnons.
Il trouve les charpentiers au port et part chercher les médecins chez eux. Ils les amènent tous au repère ennemie pour qu’ils voient tout ce que la justice a fait. Bien évidemment la question que tout le monde se pose, comment a-t-il réussi à faire ça ?
-Peu importe que je n’ai pas de jambes valides. La justice fait ce qu’elle doit faire. Ils ont était jugé pour leur crime. Maintenant ils ne pourront plus servir de leurs jambes pendant un certain temps si ce n’ait pour toujours. Ils réfléchiront à deux fois avant de vouloir défier la justice.
Un jugement difficile mais l’essentiel c’est qu’il n’y a pas de morts. Les blessures ne risquent pas de causer la mort. Pour des habitants de las camps, le raisonnement de l’ange est correct. L’ange précise bien qu’ils éviteront de tué et qu’il privilège la capture et la mise en prison. Les dix charpentiers ainsi que les trois docteurs cautionnent et respect leur parole. Ils rejoignent donc l’organisation de l’ange du jugement qui se nomme l’ordre des chevaliers blanc.