Comment changer une île ? Comment changer des comportements implantés dans chaque être ? Une façon de vivre des plus répugnantes. Le profit, l’égoïsme fait vivre de nombreuses personnes de Las Camps si ce n’est pas tous. Pour changer les mœurs il faut faire de grandes choses. Mais les grands projets commencent petit à petit. Ce n’est pas en un jour que l’homme décide de faire un grand projet et l’exécute immédiatement. Un homme peut rêver de pouvoir, ce n’est pas pour autant qu’il en aura dès qu’il le souhaite. Notre homme rêve de justice, ce n’est pas pour autant qu’il arrivera à changer ce monde comme il le souhaite. Néanmoins si l’on veut quelque chose il faut se donner les moyens. Bouger pour son rêve, tomber, se relever, retomber. Peu importe le nombre de chutes, on reconnait la force des convictions d’un homme à la vitesse où il se relève. Une personne peu motivée tombera et ne se relèvera pas. Une personne normal chutera et mettra un certain temps à se relever. Un génie se relèvera immédiatement peu importe le nombre de chute.
Un petit être qui n’a pas la capacité de marché se situe sur une île qui ne fait pas de cadeau. Il souhaite changer ce lieu. Pour cela il a besoin d’aide. Mais qui peut faire confiance à une personne qui ne peut probablement pas se défendre. Personne ne mise sur un handicapé. Mais ce n’est pas le seul problème. Malgré ses beaux discours, les gens pensent que ce n’est qu’un fou. Comme si une personne peut changer ce lieu. La marine n’y arrive pas, un handicapé a probablement un pourcentage de réussite qui tend vers zéro. Mais il n’abandonne pas pour autant. Les échecs ne l’arrêtent pas, cela ne fait que confirmer ses idées. Les Hommes n’ont plus d’espoirs.
-Mes amis, si nous nous serrons les coudes, si nous rassemblons tous nos semblables qui ont marre de cette situation, nous pourrons faire des choses. Nous pourrons agir. *Personne ne m’écoute. Ils entendent les premières paroles et détournent le regard. Je perds mon temps ? Non, je trouverais surement des hommes qui veulent s’en sortir et qui seront prêts à tout pour cela.*
Un cri strident d’une jeune fille agresse les tympans. Il se trame quelque chose. Pourtant, les Hommes continuent leur affaire comme si de rien était. C’est horrible, des êtres qui ont perdu leur âme, voilà ce que pense Ivan. Il ne pensait pas que ça serait si terrible que ça. Le moins fort physiquement des environs se met en route pour voir ce qu’il y a. Un groupe embarque une fillette. La main de l’ange serre son accoudoir. Impuissant, il ne peut rien faire, même s’il tente de lancer une attaque, il se fera probablement tué. C’est une cible statique, il peut en avoir quelques-uns, mais il finira par rendre l’âme. Pas le choix, l’handicapé face au monde, baisse les yeux mais pas les bras. Non, son cerveau se met en action. Il travaille et cherche une manière de stopper ça, une manière de sauver l’enfant. En attendant d’avoir la solution, il joue les espions et arrive jusqu’à la planque. Un lieu dans une ruelle lugubre qui débouche dans une autre tout aussi lugubre. Enfin c’est bien l’endroit où personne risque de s’aventurer. Maintenant que le lieu est connu, l’ange se retire concocter un plan.
Le lendemain le voilà de retour. Il tape à la porte, après une dizaine de secondes un bonhomme l’ouvre. Un homme carré, petite casquette, des petits yeux et une batte à la main posée sur l’épaule.
-Hum ?
-Yosha, alors vieux vous foutez quoi dans c’te baraque ? J’peux me joindre à vous ?
Le langage est volontairement différent de d’habitude, cela fait partie du plan. Avec son discours classique il aurait été mal vu encore plus qui ne l’est. La porte grande ouverte le laisse entrer. Il avance dans la petite salle. Une autre porte franchie et là, de nombreuses cages. Il n’y a que des enfants qui sont emprisonnés. C’est encore pire que ce qu’il imaginait. Mais l’ange lance un sourire aux hommes pour faire croire qu’il est avec eux.
-Yosha, alors j’peux bosser pour vous les gars ?
-Qu’est-ce que tu nous amènes ? C’est qui ce gus ?
-J’sais pas moi.
-Tranquille les gars. J’veux juste travaillé pour vous.
-Qui te fait croire qu’on a besoin de t’es service ? Tu tiens même pas sur t’es jambes. Laisse tomber tu nous sers a rien, par contre vue que t’es là autant qu’on en profite.
Les hommes le saisissent et lui enlève son tissu, il découvre un être brûlé, mais ce n’est pas le plus important, ce qui compte c’est qu’il possède des ailes.
-Les gars sa se vend combien un homme avec des ailes ?
-J’sais pas c’est la première fois que j’vois ça, fout le dans une cage.
Balançé comme un déchet dans une cellule, il se trouve dans la même situation que les prisonniers. Se jetais simplement dans la gueule du loup. Etrange stratégie.
-Bon je vous propose quelque chose. Vous nourrissez tous ces gamins qui meurent de faim. Vous avez une heure.
-Ha ha ha. Le prisonnier qui veut nous donner des conditions. Sinon quoi ?
-Un de tes hommes décèdera.
-Oula qu’est-ce qu’on a peur. Allé tient toi tranquille dans trois jours le navire arrive et on vous vendra. Pendant ce temps tu vas perdre quelques kilos si ça te dérange pas hé hé hé.
Le temps passe. Une heure ordinaire. Absolument pas la moindre action ce qui fait encore rire les hommes qui se moquent de l’ange. Il est vrai que c’est l’heure du repas. Alors un des hommes part cherché de la nourriture. Mais au bout d’une heure il n’est toujours pas revenu. C’est inquiétant. Le chef décide d’envoyer un autre homme, mais c’est seulement sous le pied de la porte qu’il trouve un grand sac noir. Il le porte difficilement et le fait entrer.
-Qu’est ce que ?
-Voilà votre repas que je vous laisse découvrir. Les enfants ne regardez pas.
L’homme de main ouvre pour voir ce qu’il y a. Son regard change directement, les yeux grands ouverts, la peur, le dégout se lie sur son visage. Il se tourne et vomit au sol.
-Au mon dieu, il a tué Kenny ! C’est un enfoiré !
-Comment t’as fait espèce de…
Il prend une arme à feu, avance et la pointe sur l’handicapé qui est assis dans sa cellule. Il a bien sûr de la haine, mais aussi une peur. Comment a-t-il prévu que sa allé se passer ? La peur d’avoir un être qui possède des pouvoirs étranges en face de lui. Mais il prend le temps de se calmer et de réfléchir un peu.
-Qui sont tes hommes ? Que veux-tu ?
-Mes hommes ? Je suis venue seul sur cette île. Ce que je veux ? Je veux que les enfants soient libres.
-Mais… T’as fourré ton nez dans une affaire qui te dépasse. Puis si je te descends maintenant tout s’arrêtera de toute façon.
-Ho non. Si je meurs maintenant tu peux être sûr que vous allez subir le même sort.
-Si je libère ces mômes c’est moi qui vais mourir tu comprends pas !
L’homme se tient la tête pris de panique. Il ne s’arrête pas de marché. L’ange sait que c’est la vérité. L’individu en face de lui est dans une impasse. La seule chose à faire c’est de changer les règles du jeu. De prendre les informations pour compléter le puzzle et jugé dans de bonnes conditions.
-Qui vous menace de mort ?
-FERME LA !
L’homme ne se calme pas. Il donne un coup de pied dans le premier objet qui se trouve proche de lui. Les six autres hommes ne savent pas quoi faire. Ils sont là spectateurs sans trop savoir quoi faire. Ils attendent une illumination de leur leadeur comme toujours. Leur vie est liée à ce marché humain. L’ange du jugement revient à la charge, convaincu que la solution viendra de lui.
-Qui vous menace, pourquoi ?
-La bande à Mano. Ils détiennent nos enfants à nous tous. Chaque fois qu’on leur file dix mômes il nous rand un des nôtres.
-*C’est quoi cette histoire ? Je suis donc coupable du meurtre d’une victime. La victime n’est pas totalement innocente serte, mais il n’est peut-être pas si mauvais que je le pensais. Ils vivent dans un dilemme atroce.* Je vous propose de mettre mes talents, mes pouvoirs à votre service. Si je vous aide à libérer vos enfants, tout rentrera dans l’ordre.
-Non mais FERME LA !
Toujours aussi agressif. La bande à Mano ne doit pas contenir des chochottes. Le plan de sauvetage risque d’être plus compliqué que prévu. L’ange doit annoncer aux hommes qu’il a payé que le plan s’arrête là sinon il risque d’y avoir un carnage. Deux idées, lui viennent. La justice absolue. Supprimé, emprisonné sans pitié chaque être qui a fait du mal avec une certaine gravité, ou être plus gentil, croire en l’Homme, ce que le faisait son père. Aujourd’hui sa réponse est simple, il est de l’avis de son père. L’ange hausse le ton, probablement la première fois qu’il le fait.
-Maintenant tu m’écoutes ! Tu me libères et tu suis mes ordres sinon vous mourrez tous !
-Non tout ce passé bien avant que tu débarques. Plus que trois échanges à faire et tout rentrera dans l’ordre. Tu arrêtes de tuer mes hommes sinon tu meurs ! Voilà c’est simple. Non j’ai mieux. On descend les mômes, comme ça tu auras fait tout ça pour rien. C’est pas les gamins qui manquent ici.
-*Il est fou. Il a vraiment l’intention de tous nous tués.* Vous autres que pensez-vous ? Vous laisserez cet homme faire du mal aux enfants ?
-Il t’a déjà dit de la fermer alors ferme là. Si c’est notre leadeur c’est bien parce qu’il y a une raison.
-*Quelle est la raison ? Pourquoi cet homme est le leadeur. D’après le visage des autres, ils ne sont pas d’accord avec la manière de faire du dirigeant.* Bon, je veux que toi le leadeur, tu sors torse nu sinon… Ca sera une surprise.
-Enfoiré.
Le fait qu'un homme sorte torse nue signifie que les actions de ce jour sont annulé. Il s’exécute et l’ange peut dialoguer avec les autres sans problème. Là une histoire lui est racontée. Le leader c’est fait kidnapper son fils. Ses amis vivant avec leur enfant tranquillement lui conseiller de ne pas faire de connerie mais il ne les a pas écouté. Il a kidnappé les gosses de ses amis et les a livrés au groupe de Mano comme ça ils sont tous dans le même sac. Mais voilà, le leader a passé un marché avec Mano. S’il meurt, tous les gosses doivent mourir aussi. De ce fait, les hommes sont maintenant pris au piège de ce système.
Le ‘leader’ revient et se fait attraper par ‘ses hommes’. Ligoter il ne comprend pas. Il fait son possible pour se libérer mais rien à faire.
- Lorsque le navire sera là, sachant qu’ils vous montrent vos enfants pour vous prouvez qu’ils sont encore vivants. Nous allons simplement libérez vos enfants et nous enfuir. Peu importe la puissance des adversaires, tant que vous suivez le plan à la lettre. Donc voici ce que nous allons faire…
Un petit être qui n’a pas la capacité de marché se situe sur une île qui ne fait pas de cadeau. Il souhaite changer ce lieu. Pour cela il a besoin d’aide. Mais qui peut faire confiance à une personne qui ne peut probablement pas se défendre. Personne ne mise sur un handicapé. Mais ce n’est pas le seul problème. Malgré ses beaux discours, les gens pensent que ce n’est qu’un fou. Comme si une personne peut changer ce lieu. La marine n’y arrive pas, un handicapé a probablement un pourcentage de réussite qui tend vers zéro. Mais il n’abandonne pas pour autant. Les échecs ne l’arrêtent pas, cela ne fait que confirmer ses idées. Les Hommes n’ont plus d’espoirs.
-Mes amis, si nous nous serrons les coudes, si nous rassemblons tous nos semblables qui ont marre de cette situation, nous pourrons faire des choses. Nous pourrons agir. *Personne ne m’écoute. Ils entendent les premières paroles et détournent le regard. Je perds mon temps ? Non, je trouverais surement des hommes qui veulent s’en sortir et qui seront prêts à tout pour cela.*
Un cri strident d’une jeune fille agresse les tympans. Il se trame quelque chose. Pourtant, les Hommes continuent leur affaire comme si de rien était. C’est horrible, des êtres qui ont perdu leur âme, voilà ce que pense Ivan. Il ne pensait pas que ça serait si terrible que ça. Le moins fort physiquement des environs se met en route pour voir ce qu’il y a. Un groupe embarque une fillette. La main de l’ange serre son accoudoir. Impuissant, il ne peut rien faire, même s’il tente de lancer une attaque, il se fera probablement tué. C’est une cible statique, il peut en avoir quelques-uns, mais il finira par rendre l’âme. Pas le choix, l’handicapé face au monde, baisse les yeux mais pas les bras. Non, son cerveau se met en action. Il travaille et cherche une manière de stopper ça, une manière de sauver l’enfant. En attendant d’avoir la solution, il joue les espions et arrive jusqu’à la planque. Un lieu dans une ruelle lugubre qui débouche dans une autre tout aussi lugubre. Enfin c’est bien l’endroit où personne risque de s’aventurer. Maintenant que le lieu est connu, l’ange se retire concocter un plan.
Le lendemain le voilà de retour. Il tape à la porte, après une dizaine de secondes un bonhomme l’ouvre. Un homme carré, petite casquette, des petits yeux et une batte à la main posée sur l’épaule.
-Hum ?
-Yosha, alors vieux vous foutez quoi dans c’te baraque ? J’peux me joindre à vous ?
Le langage est volontairement différent de d’habitude, cela fait partie du plan. Avec son discours classique il aurait été mal vu encore plus qui ne l’est. La porte grande ouverte le laisse entrer. Il avance dans la petite salle. Une autre porte franchie et là, de nombreuses cages. Il n’y a que des enfants qui sont emprisonnés. C’est encore pire que ce qu’il imaginait. Mais l’ange lance un sourire aux hommes pour faire croire qu’il est avec eux.
-Yosha, alors j’peux bosser pour vous les gars ?
-Qu’est-ce que tu nous amènes ? C’est qui ce gus ?
-J’sais pas moi.
-Tranquille les gars. J’veux juste travaillé pour vous.
-Qui te fait croire qu’on a besoin de t’es service ? Tu tiens même pas sur t’es jambes. Laisse tomber tu nous sers a rien, par contre vue que t’es là autant qu’on en profite.
Les hommes le saisissent et lui enlève son tissu, il découvre un être brûlé, mais ce n’est pas le plus important, ce qui compte c’est qu’il possède des ailes.
-Les gars sa se vend combien un homme avec des ailes ?
-J’sais pas c’est la première fois que j’vois ça, fout le dans une cage.
Balançé comme un déchet dans une cellule, il se trouve dans la même situation que les prisonniers. Se jetais simplement dans la gueule du loup. Etrange stratégie.
-Bon je vous propose quelque chose. Vous nourrissez tous ces gamins qui meurent de faim. Vous avez une heure.
-Ha ha ha. Le prisonnier qui veut nous donner des conditions. Sinon quoi ?
-Un de tes hommes décèdera.
-Oula qu’est-ce qu’on a peur. Allé tient toi tranquille dans trois jours le navire arrive et on vous vendra. Pendant ce temps tu vas perdre quelques kilos si ça te dérange pas hé hé hé.
Le temps passe. Une heure ordinaire. Absolument pas la moindre action ce qui fait encore rire les hommes qui se moquent de l’ange. Il est vrai que c’est l’heure du repas. Alors un des hommes part cherché de la nourriture. Mais au bout d’une heure il n’est toujours pas revenu. C’est inquiétant. Le chef décide d’envoyer un autre homme, mais c’est seulement sous le pied de la porte qu’il trouve un grand sac noir. Il le porte difficilement et le fait entrer.
-Qu’est ce que ?
-Voilà votre repas que je vous laisse découvrir. Les enfants ne regardez pas.
L’homme de main ouvre pour voir ce qu’il y a. Son regard change directement, les yeux grands ouverts, la peur, le dégout se lie sur son visage. Il se tourne et vomit au sol.
-Au mon dieu, il a tué Kenny ! C’est un enfoiré !
-Comment t’as fait espèce de…
Il prend une arme à feu, avance et la pointe sur l’handicapé qui est assis dans sa cellule. Il a bien sûr de la haine, mais aussi une peur. Comment a-t-il prévu que sa allé se passer ? La peur d’avoir un être qui possède des pouvoirs étranges en face de lui. Mais il prend le temps de se calmer et de réfléchir un peu.
-Qui sont tes hommes ? Que veux-tu ?
-Mes hommes ? Je suis venue seul sur cette île. Ce que je veux ? Je veux que les enfants soient libres.
-Mais… T’as fourré ton nez dans une affaire qui te dépasse. Puis si je te descends maintenant tout s’arrêtera de toute façon.
-Ho non. Si je meurs maintenant tu peux être sûr que vous allez subir le même sort.
-Si je libère ces mômes c’est moi qui vais mourir tu comprends pas !
L’homme se tient la tête pris de panique. Il ne s’arrête pas de marché. L’ange sait que c’est la vérité. L’individu en face de lui est dans une impasse. La seule chose à faire c’est de changer les règles du jeu. De prendre les informations pour compléter le puzzle et jugé dans de bonnes conditions.
-Qui vous menace de mort ?
-FERME LA !
L’homme ne se calme pas. Il donne un coup de pied dans le premier objet qui se trouve proche de lui. Les six autres hommes ne savent pas quoi faire. Ils sont là spectateurs sans trop savoir quoi faire. Ils attendent une illumination de leur leadeur comme toujours. Leur vie est liée à ce marché humain. L’ange du jugement revient à la charge, convaincu que la solution viendra de lui.
-Qui vous menace, pourquoi ?
-La bande à Mano. Ils détiennent nos enfants à nous tous. Chaque fois qu’on leur file dix mômes il nous rand un des nôtres.
-*C’est quoi cette histoire ? Je suis donc coupable du meurtre d’une victime. La victime n’est pas totalement innocente serte, mais il n’est peut-être pas si mauvais que je le pensais. Ils vivent dans un dilemme atroce.* Je vous propose de mettre mes talents, mes pouvoirs à votre service. Si je vous aide à libérer vos enfants, tout rentrera dans l’ordre.
-Non mais FERME LA !
Toujours aussi agressif. La bande à Mano ne doit pas contenir des chochottes. Le plan de sauvetage risque d’être plus compliqué que prévu. L’ange doit annoncer aux hommes qu’il a payé que le plan s’arrête là sinon il risque d’y avoir un carnage. Deux idées, lui viennent. La justice absolue. Supprimé, emprisonné sans pitié chaque être qui a fait du mal avec une certaine gravité, ou être plus gentil, croire en l’Homme, ce que le faisait son père. Aujourd’hui sa réponse est simple, il est de l’avis de son père. L’ange hausse le ton, probablement la première fois qu’il le fait.
-Maintenant tu m’écoutes ! Tu me libères et tu suis mes ordres sinon vous mourrez tous !
-Non tout ce passé bien avant que tu débarques. Plus que trois échanges à faire et tout rentrera dans l’ordre. Tu arrêtes de tuer mes hommes sinon tu meurs ! Voilà c’est simple. Non j’ai mieux. On descend les mômes, comme ça tu auras fait tout ça pour rien. C’est pas les gamins qui manquent ici.
-*Il est fou. Il a vraiment l’intention de tous nous tués.* Vous autres que pensez-vous ? Vous laisserez cet homme faire du mal aux enfants ?
-Il t’a déjà dit de la fermer alors ferme là. Si c’est notre leadeur c’est bien parce qu’il y a une raison.
-*Quelle est la raison ? Pourquoi cet homme est le leadeur. D’après le visage des autres, ils ne sont pas d’accord avec la manière de faire du dirigeant.* Bon, je veux que toi le leadeur, tu sors torse nu sinon… Ca sera une surprise.
-Enfoiré.
Le fait qu'un homme sorte torse nue signifie que les actions de ce jour sont annulé. Il s’exécute et l’ange peut dialoguer avec les autres sans problème. Là une histoire lui est racontée. Le leader c’est fait kidnapper son fils. Ses amis vivant avec leur enfant tranquillement lui conseiller de ne pas faire de connerie mais il ne les a pas écouté. Il a kidnappé les gosses de ses amis et les a livrés au groupe de Mano comme ça ils sont tous dans le même sac. Mais voilà, le leader a passé un marché avec Mano. S’il meurt, tous les gosses doivent mourir aussi. De ce fait, les hommes sont maintenant pris au piège de ce système.
Le ‘leader’ revient et se fait attraper par ‘ses hommes’. Ligoter il ne comprend pas. Il fait son possible pour se libérer mais rien à faire.
- Lorsque le navire sera là, sachant qu’ils vous montrent vos enfants pour vous prouvez qu’ils sont encore vivants. Nous allons simplement libérez vos enfants et nous enfuir. Peu importe la puissance des adversaires, tant que vous suivez le plan à la lettre. Donc voici ce que nous allons faire…
Dernière édition par Ivan De Cimitiero le Sam 30 Mar 2013 - 23:25, édité 3 fois