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Interrogatoire [FB 1622]

Une mission importante ? Sans aucun doute, mais c’était pour moi une mission des plus stressante... Pourtant je n’étais pas en premier plan, mais je devais l’avoué savoir ce qui risquait de se passé me laisse perplexe. J’étais moi sur une ile voisine à quelques heures de route de Logue Town... Lieu ou devait se dérouler la mission. Mission qui consistait à faire un cout d’état et prendre un le contrôle de l’ile ou au moins une partie... Je n’étais pas une guerrier, même si je savais me défendre et mais surtout je n’aimais pas me battre, je n’aimais pas la violence tout simplement au faite. Je préférais donc attendre ici sur cette ile de savoir comme se passait la situation... Dans le meilleurs des cas, je serais appelé pour venir et dans le pire je devais les attendre pour les soignes ici.

Quelques heures d’attende qui s’avérait une véritable torture... J’attendais anxieuse, mes affaires prête à soigner les blessés dans le pire des cas ou à être ranger dans le meilleur. Je n’aimais pas non plus cette attente et plus le temps passais plus j’étais nerveuse. Je pensais à ce qui devait se passé, je savais qu’il y avait de forte chance que des blessés serait à déploré... Autant dans le camp ami qu’ennemi, mais aussi dans le camp civil... Comme j’aimerais que tout ce règle pacifiquement simplement en discutant. Mais l’homme est souvent très primaire et ne comprend que la force... En claire ils se disent on frappe d’abord et on discute en suite...

Enfin bref, cela fessais des heures que j’aurais dû avoir des nouvelles des hommes partis sur Logue Town, mais aucun information ne filtrait. Le stresse que cela me procurait était trop grand pour rester dans se bâtiment secret. Je sortais donc pour prendre l’air et pour essayer de déstresser un peu. C’est finalement quelques minutes après cette petite sortie que je vis le bateau arriver. A peine il arrivait que je me mettais à panique un peu. On pouvait voir au loin le bateau toucher sans doute par quelques coups de canon venant du port. Ensuite s’ils revenaient cela voulait dire qu’ils avaient échoué et donc je craignais un grand nombre de blesse à soigner...

Je n’avais donc pas le temps de paniquer, je devais me montrer efficace et je criais à tous les hommes présent dans la planque de se préparer au rapatriement des blesses... Sans plus attendre j’enfilais des gants et me dirigeais vers le quai, une chance qu’il n’était pas loin en l’espace d’un instant j’arrivais sur le rivage pour réceptionner les blesses.

Une fois le bateau à quai, je sautais sur le bateau pour trouver le capitaine qu’il me fasse un rapport de la situation niveau blessé, je devais traiter les blessés graves en priorité sans compte qu’il fallait me faire un rapport du nombre de blessé pour savoir comment on devait repartir les équipes médicales... Le nombre de blessé était assez important. Mais par chance rare était les blessés graves... Beaucoup d’entre eux pouvait s’en sortir, mais n’était plus en état de lutter.

A l’intérieur du bâtiment, je commençais par m’occuper du blesses le plus durement touché... Sa blessure était grave sa jambe gauche était pratiquement arracher à cause de l’explosion d’un boulet de canon. Le temps pressais, il avait était soigner mais assez maladroitement, je savais que j’aurais dut être là, mais mes sentiments m’auraient forcé à rester pour soigner aussi les autres blesses... Quoi qu’il en soit, pour cet homme le combat était fini... Sa jambe était trop durement touché pour que la sauvé. Je devais donc lui faire un garrot au niveau du genou, lui donner un bout de bois pour mettre dans la bouche avant de lui dire :

Je suis désolé, mais je dois couper la jambe, si je laisse dans cette état vous risquez de perdre tout votre sang, voire d’avoir une infection.

D’un coup net et aidée par les infirmiers présent, je lui tranchais la jambe... S’il ne tenait pas le bout de bois on aurait pu entendre un cri de douleur sur toute l’ile c’était certaine... Toujours est-il qui venait de perdre connaissance quelques secondes après. Je le confiais ensuite à un assistant après lui avoir fait quelques recommandations... Comme le faite de désinfection la plaie, la refermer et trouver un du sang pour lui en perfuser .... Je devais maintenant m’occuper des autres donc les blessures étaient déjà moins dramatique...

Mais c’est après quelques heures que j’entendais un homme qui venait de l’extérieur dire :

La marine... La marine arrive...

    T'es là, le pied bien écrasé sur la figure de proue, à l'avant du cuirassé taille caravelle qu'on t'a laissé pour faire le sale travail. Leur coup d'état a foiré, y s'ont perdu trop d'hommes, accumulent trop de blessés du même fait. Alors ils sont partis, ils ont filé pleurer les maris et les frères tombés pour une cause pas plus juste que la tienne dans leur trou bien paumé de révo sans budget. Depuis, les autres, ceux de l'autre camp -ceux qui te financent pour répandre mort et justice- t'ont envoyé donner le coup de grâce. S'assurer que les rats qui croyaient, non, ont cru, un instant qu'il avaient une chance de s'opposer à l'état en payent le prix.

    Bien sûr, c'est maintenant qu'ils te sortent, lors de la défense de Logue Town, ils ne te faisaient pas assez confiance pour te mettre à la tête des troupes. Trop imprévisible, qu'ils radotaient. Trop dangereux, qu'ils vociféraient. Alors te voilà, toi, monstrueux sergent Double Face, à l'avant d'un bateau pour une mission de nettoyage. Nettoyage qui implique nécessairement que tu te salisses les mains. Mais ça, c'pas bien grave, j'aime bien quand on se salit les mains. J'apprécie quand tu fais couler le sang pour une cause en laquelle tu ne crois pas plus qu'en celle que tu affrontes. Gouvernement, Révolution. Pourquoi l'un? Pourquoi l'autre? Tu t'en fous. Tu t'en fous parce que je t'ai dicté ainsi de penser. Parce que je t'ai insidieusement obligé de ne croire qu'en toi-même. Qu'en nous même.

    Parce que je suis toi, Oswald. Et que tu es moi, Dark. Et que nous sommes Double Face.

    Alors pourquoi détruire la Révolution au lieu de la Marine. Parce que c'est cette dernière qui t'a sortie la première de cet asile, cette prison pour supposés fous. Parce que le gouvernement est près à tout pour faire assoir son autorité. Même à engager des dangers publics comme toi pour accomplir le boulot. Et c'est justement ce que tu vas faire, et avec brio, accomplir le boulot.

    Pour épicer les choses, ils ont décidé de te balancer une môme dans les pattes. Une donzelle qu'a pas plus de quinze ans armée d'un calepin de notes et d'un grade qui accote le tiens. Le genre de jeune soldate qu'on pourrait qualifier de "génie" ou encore "d'exception" de par la rapidité avec laquelle elle a grimpé l'échelle. T'as pas à lui parler. T'as pas à t'en occuper. Tout ce que t'as à faire, c'est la laisser apprendre du seul art auquel tu t'adonnes; la violence.

    Des prisonniers? Oui, des prisonniers. Mais ça ne t'empêcheras pas d'en laisser un paquet s'en aller rencontrer Dame Fortune. Va seulement falloir néanmoins que tu t'occupes de la trentaine de piétons qu'on t'a obligé à traîné avec toi. Et puis il fallait bien quelqu'un pour faire avancer le navire.
    Île en vue. Tout de suite tes yeux armés d'une vision surhumaine, ma vision, s'accommodent à la distance et brise cette dernière en une tension d'ta rétine. C'est à peine s'ils ont terminé de débarquer les blessés. Tu les plaints déjà. L'croiseur n'est même pas accosté que tu sautes la rambarde avec la gosse qui te suit, cette fois un flingue de bonne taille calé sur l'épaule.

    Là tu te demandes cette bonne vieille question. Cette question qui dramatise toujours ta saleté d'existence, et ça, à chacune de tes rencontres. Qu'est-ce qu'elle pense de toi? Hein mon Oswald? De quel type de jugement peut-elle t'affubler? Combien de temps avant qu'elle ne s'enfuit, ta tronche étant trop effrayante pour elle?

    Peu importe, c'est pas le moment. Déjà, quelques marins se joignent à votre duo pour former une première ligne d'assaut. Toi, tu balances des ordres à la pelleté. Un bled qui sert probablement de planque aux révos se trouve à une centaine de pas d'la plage, c'est vers là qu'tu veux les canons pointés.
    Toi, la gosse au flingue et une dizaine de matelots qui te matent tous avec un regard qui en dit long vous dirigez à la course vers l'amas de maisons. Là bas, ça n'prend pas un inspecteur pour tout de suite comprendre que les révos s'y cachent. C'est la débandade, partout des hommes et des femmes transportent armes, munitions, trousses de premiers soins et autres objets qui ne se trouvent que très rarement tous au même endroit sur une petite île de East Blue. Mais ce qui ne ment pas, ce sont les blessés transportés dans diverses bâtiments , sur des civières.

    Alors tu t'avances au centre du village, partout ça court et sa hurle à ta vue. Et toi, malgré tout, tu arbore le plus sanguinaire des sourires.


    -Tout les membres de la Révolution dans ce village sont en état d'arrestation par décret de l'État Major de la Marine!
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    Aoko avait son petit carnet toujours au niveau de la ceinture. Accompagnée d'une dizaine de marine, elle se dirigea vers un amas de maison semblant avoir pas mal de mouvement et d'après les informations elle appartiendrait aux révolutionnaires. Enfin, certaines d'entre-elle. Ceci dit, Aoko n'était pas réellement sûr de savoir si elle pouvait lancer l'attaque directement ou pas. L'autre personne qui était avec elle n'avait aucun intérêt sur elle. D'ailleurs, le sergent Oswald, faisait un petit discours à la population pour les raisonner et les obliger à remettre les révolutionnaires de l'île sous peine de se faire arrêter par la marine.

    Elle sortit son carnet de note de la ceinture, prit son stylo et s'avança pour vérifier tout ce qu'il y avait autour. Elle nota les mouvements à faire et l'inspection des lieux. Elle détourna ses yeux de son carnet de note pour regarder les marine qui la suivaient juste derrière attentif à chacun des mouvements de son fessier.

    - " Caporal, j'aimerai que vous et vos hommes fouilliez toutes les maisons des lieux et que vous cherchiez des blessés. Apparemment, d'après nos rapports, un vaisseau aurait été bien abîmé et partait en direction de cette île, nous les suspectons d'être des révolutionnaires. Faites moi plaisir, aller les chercher tout de suite. "

    Sans attendre, les marine imaginaient déjà la suite des choses qui se passerait s'il trouvait les révolutionnaires. Ils partirent sans attendre leur reste et commencèrent à fouiller les maisons alentour faisant assez bien peur à tous les civils du coin avec leur yeux complètement fou dû à la traversée périlleuse avec le sergent Oswald. Aoko serait vraiment très contente qu'ils les trouvent mais pas au point de leur faire quoi que ce soit en bien, peu-être qu'une tape sur l'épaule suffirait amplement.

    Le commandant de la base de north blue l'avait envoyé sur l'affaire ici pour deux choses. L'une apprendre comment les révolutionnaires opéraient et leur technique, la seconde était de surveiller le fou furieux sur le navire nommé Oswald Jenkins. Pourquoi fou furieux vous me direz ? Et bien c'est parce que durant toute la traversée en mer, il lui foutu les jetons comme pas possible. Rien qu'à regarder son visage était assez pénible. Comment pouvait on vivre avec ÇA ? Infaisable avec Aoko. D'ailleurs, elle s'inquiétait suffisamment pour voir si ce n'était pas une maladie et si elle n'était pas contagieuse. La jeune fille retournait constamment devant un miroir pour se regarde et observer si il n'y avait pas eu un quelconque changement. Rien, rien n'était apparu durant tout le voyage. Au final, elle comprit que ce devait être héréditaire ou bien... une blessure quelconque... ou un pant de psychologie que personne n'arriverait à comprendre, une sorte de double personnalité qu'Oswald posséderait.

    En revenant à ses moutons, elle remarqua que les marine s'agitaient dans tous les sens. Ils avaient sûrement découvert quelque chose. Même si le paysage semblait paisible, une révolutionnaire pouvait se cacher facilement. Aoko prit du temps pour réagir ne faisant pas attention à ce qui pouvait réellement se passer autour d'elle. La jeune fille revérifiait encore si son fusil était en état de tirer. Elle le nettoyait avec soin faisant attention aux petits détails ici et là, changeant la poudre même si elle n'en avait pas réellement besoin. Par contre, elle fut arrêter par un des marine, le caporal était de retour.


    - " Sergent ? "

    Elle se retourna avec violence.

    - " Oui Quoi ? "

    Le Caporal prit peur et recula un peu ne sachant si il devait continuer. Étant donné qu'Aoko continuait à le dévisager, il prit la sage décision de continuer à parler.


    - " Nous avons trouvé ce qui semblerait être une maison suspecte. Il y a quelque blessé ainsi qu'une madame bleu... euh pardon, une femme poisson à ce qui paraîtrait. "

    - " Merci caporal, entourez la maison et attendez nous. "

    Le caporal salua et retourna vers les marine restant.
    Dans son coin, Aoko souffla d'envie de ne pas bouger. Elle pensait sérieusement à ne pas vouloir finir cette mission avec ce timbré. Même si il était affecté ici avec elle cela ne signifiait pas qu'elle l'appréciait. Mais, elle se bougea quand même le cul pour aller le chercher. Elle ne rencontra aucune résistance sur le chemin si ce n'était que le vent soufflant dans la direction contraire amenant à elle l'odeur d'Oswald. Non, il ne puait pas, mais elle savait reconnaître son odeur.

    En arrivant près de lui, elle lui glissa quand même quelque mots pour qu'il comprenne la situation qu'elle avait découvert.


    - " je crois qu'on a une touche sur cette maison sergent Oswald "

    Elle pointa la maison qui commençait à être entourée de marine.
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    Une planque juste à une ile de l’attaque était peut-être un peu trop juste... Mais avec les blesses qu’il était à prévoir, on comprenait la situation... Je pouvais même dire que le voyage était un peu trop dur pour certains de ses hommes... Déplacé un blesses n’était jamais une bonne chose... Quoi qu’il en soit, la marine les avaient suivi en trains et n’avaient pas tardé à les rattrapés. La majorité de mes compagnon encore valide prenait les armes pour tenter une défense farouche face à l’armée de la marine qui encerclait rapidement la maison ou nous étions caché. Ma tout ce que je voyais moi c’était un massacre et un bain de sang... J’étais sans doute la seule femme-poisson ici, mais cela me faisait de la peine d’imaginer le nombre de mort humain qu’il y allait avoir dans quelques minutes... Non je ne pouvais pas laisse faire ça.

    Rapidement je prenais un des rares draps plus ou moins blanc qu’il me restait et je me dirigeais vers la porte de sortie... Je fis une pause pour observer tous les hommes et les femmes présents avant de dire :

    Mes amis, il est inutile de gaspiller vos vies pour une lutte perdu d’avance... Nous allons changer le monde, mais pour le changer, il faut rester en vie... On a perdu ce combat, mais notre lutte continue et continuera... Tant qu’on est en vie... Alors évité de mourir inutilement je vous en prie... On pourra toujours se battre demain.

    Je disais cela avec le sourire avant d’ouvrir la porte... L’espèce de drapeau blanc en avant et les mains qui se lève, je leurs montrait que je n’opposais aucune résistance. Ce qui ne m’empêchait pas de parler bien entendu :

    Je m’appelle Kagura Natsume et je suis médecin... Avant que vous ne faisiez votre entrez ici. Je tiens à vous signalez que nous avons un grand nombre de blesses et certains sont entre la vie et la mort. Je n’opposerais aucune résistance face à vous, mais je demande votre indulgence. Ses hommes sont pour la majorité dans l’incapacité de bouger, les autres sont des médecins tout ce qu’il y a de plus honnête. Je vous demanderais donc de laissé nos patients ici et les médecins aussi... Sauf si vous voulez leur mort sur la conscience... En échange nous éviterons un bain de sang....

    Je me doutais bien que tout le monde serait fait prisonnier et interroger... Mais en disant tout cela j’espérais au moins préserver la survie de mes patients et peut-être même faire passer quelques révolutionnaires pour des médecins... Mais ce qui m’inquiétait c’était de savoir si oui ou non mes compagnons allaient se rendre gentiment... Choses qui n’allait pas être évident vu que je présentais une entrer en force des soldats de la marine... Apres tout mon apparence et le sang sur mes vêtements pouvait aussi très bien dire que j’avais participé à ce petit coup d’état... Sans compter que certains humains n’aimes toujours pas les hommes-poissons... Je pouvais très bien échoué dans ma tentative de négociation et de faire fusiller d’une seconde à l’autre...
      L'échoppe est crade, un peu. Les habitants l'ont quitté depuis un certains temps, probablement, la laissant aux révos qui, selon la gamine, devraient s'y cacher. C'est comme jouer au démineur, seulement, quand tu trouves une mine, tu gagnes. Assez plaisant dans le genre, si ce n'était des regards apeurés que les villageois autant que tes hommes ne cessent de te larguer.

      -Hm, tiens, tiens, en voilà un.

      Ton flingue surgit soudainement dans ta main à l'approche des planqués. Bah oui, les planqués. Les idiots de révos qui ont cru bon d'affronter la plus puissante organisation du monde. Ils sont planqués, donc ce sont des planqués. Voilà. Du coup, le premier qu'tu vois sortir de son trou, t'hésite pas à lui mettre une balle.

      Ça lui apprendra.

      Au fond, les révos, tu les trouves un peu cons. Pas idéalistes, non, juste cons. Cons de venir foutre le boxon à Logue Town, puis de se carapater pour s'assurer d'obtenir et un nombre de blessés ridicule, et une traque en règle accompagnée d'une arrestation d'masse sur toute la population de l'île. Du coup, lorsque le premier révo digne de se montrer le museau s'écroule au sol, une balle dans l'épaule, les autres hésitent un peu à sortir. L'instinct de survie qui les pousse à pas venir défendre la cause pour laquelle ils viennent d'attaquer la plus grosse île d'East Blue.

      Mais c'est pas grave qu'ils se cachent, parc'que d'un ordre sec et détaché, tu fais signe à tes troupes de les dénicher, de tous les sortir de leurs trous. Et les cris de terreur s'intensifient, et tu ne peux t'empêcher de fendre ton visage dans un sourire diabolique qui laisse comprendre à tout les habitants de l'endroit que t'es pas là que pour ramener des révos au bercail.

      Mais soudainement, ça sort le drapeau blanc, ça vend toute sa petite troupe à l'ennemi. Ouais, Ça, Ça. Ça, parce que c'est à peu près dans les premières fois que t'en vois, de ça. Une femme-poisson. Remarque, toi et moi on est loin d'être du genre discriminatoire, avec notre tronche tant détestée au sein des rangs. Mais sur le coup, ça te fait tout de même un choc de voir sa peau écaillée et bleutée faire contraste avec les autres gris.

      C'pendant, les précautions, en tant que marine, y faut en prendre.

      Alors, par précaution, justement, tu fais crier ton pétoire et une balle se fiche dans la cuisse de la miss poisson.

      -Désolé, j'suis du genre instinctif…

      Tu te rapproches d'elle, Kagura. Parce que de toute façon, tu sais très bien qu'aucun révo d'la place se risquerait à te flinguer, et puis, la stagiaire au sniper doit être à l'affût elle aussi.

      -…Et j'suis pas certain qu'on ait convenu qu'ce soit ton camp qui décide des conditions. que t'enchaînes d'un ton sec en la toisant. Elle qui tâche son drapeau du rouge qui s'échappe de sa cuisse. Non seulement on embarque tous les révos d'la place, mais aussi tous les habitants qui sont arrêtés pour conspiration envers le gouvernement.

      Là, non seulement t'as déjà trouvé comment foutre la panique sur le bled à l'arrivée, mais là c'est littéralement la débandade. Du coup, tu fais signe à la troupe et l'arrestation s'fait. Ça s'enchaîne par ci, ça se fait menotter par là. Ils verront de quoi ils auront le plus peur entre notre tronche et un cachot bien miteux.

      -Sergent Longshot, j'imagine que j'peux laisser l'tout à vos bons soins?
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      « Mouais, ça m’emmerde quand même de le faire… mais bon, je prendrais note en attendant. »

      Elle en profita pour donner un coup de pied dans la face de la miss poisson en passant, « Oh, désolé », puis elle s’en alla vers toute la troupe de marine occupé à arrêter le monde. Elle s’alluma une autre cigarette en attendant pour voir le spectacle, mais pour elle, il y avait de trop. Trop d’habitant sur cette île, trop de blessé, trop… de révolutionnaire du coup, ils n’avaient pas la place sur leur navire pour tous les prendre. En fait, plus des trois quart de l’île ne pouvait les accompagner. S’en était de trop, elle se gratta la tête à la recherche d’une idée… Pourquoi pas les noyer? Hmm, solution simple et rapide mais l’île ne dispose pas d’assez de rocher pour les couler… Faudrait les rassembler en un endroit et pilonner la place… Oh oui, excellent. D’une main à poing fermé, elle frappa son autre paume ouverte.

      « Eureka », disait-elle ayant une ampoule au-dessus de la tête.

      Elle s’approcha d’un autre sergent qui était sous ses ordres alors que son grade devait être le même. Elle retira la cigarette de sa bouche pour parler, c’était plus polie et y avait moins de fumée aussi. D’ailleurs, elle cracha également la fumée de ses poumons pour ne pas en mettre plein la face de l’autre.

      « Scuse, on aura pas assez de place sur les navires pour arrêter tout le monde. Faudrait penser à pilonner la maison où sont les blessés et buter tout ce qu’on peut qui semblerait être une gangrène pour la société. », Elle prit note de ses tactiques également en sortant son petit calepin et son crayon.

      Le sergent de son côté ouvrit grand les yeux, il était subjugué par le comportement de la jeune fille. C’était totalement immoral de faire une chose pareille. Surtout qu’il y avait des enfants dans le tas de civils de l’île. Le problème avec un enfant, c’est que c’était le début de la gangrène. Aoko continuait de noter ses choses alors que le sergent restait la bouche-bée. Après un moment, il secoua la tête pour enfin lui répondre.


      « Se…. Sergent Aoko, vous avez perdu la tête? On ne va pas tuer la population d’une île quand même? Et… Il y a aussi des enfants vous savez, je suis désolé mais il m’est impossible de pouvoir exécuter un tel ordre. », le sergent était bien décidé à rester sur sa décision, malheureusement pour lui ça ne plut pas à Aoko qui du réfléchir d'avantage.

      Elle ferma son carnet de note d’un coup sec. Sa tête se redressait doucement et tranquillement. Elle avait donc un insubordonné dans le tas…. Et peut-être d’autre dans la marine qui se rangerait auprès des révolutionnaires. Il fallait qu’elle réfléchisse et vite. Sa tête pencha d’un côté puis de l’autre. Une idée lui traversa l’esprit. Était-ce bien nécessaire de tous massacrer sur l’île? Peu-être pas finalement… Mais les révolutionnaires en premier.

      Elle avait sa main sous le menton tout en réfléchissant. Elle était au aguet du moindre geste des révolutionnaires qui malheureusement chuchotaient de leur côté. Ils avaient un problème de taille devant eux. Il devait non seulement protéger leur miss-poisson mais en même temps leur blessé. Elle mit un nouveau plan en marche.


      « Ok Sergent, je vois ce que vous voulez dire, Emmenez la femme poisson sur le navire et gardez les autres révolutionnaires en joue. »

      Le sergent accepta quand même cet ordre-là. Elle revint aux côtés du double-face… C’était assez pratique de l’avoir. On pouvait avoir deux avis pour le prix d’un. Elle s’adressa à lui pour lui expliquer la situation.

      « Je ne pense pas que tous les arrêté soit une solution », Elle attendit un moment avant que la miss-poisson soit hors de portée, « Je serai plus d’avis d’en finir avec les blessés et ceux qui ne savent pas bien se déplacer, on va perdre du temps au sinon… »

      Elle se remit correctement attendant le choix du double-face… Sa colle bien finalement, mais elle vit très bien qu’il était totalement fou dans sa tête au vu de ses réactions en chaîne et de tirer sur tout ce qui bouge.
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      Mais quelle folie, je savais que les arrestations n’allaient pas se faire dans la douceur, mais j’étais loin d’imaginer ça. Premièrement, après mon petit discourt pour que tout se passe en douceur, j’avais le droit à une balle en pleine cuisse. Un genou à terre, je me relevais la jambe légèrement lever et donc légèrement boitillant pour voir que l’homme qui semblait être le leader et qui avait une tête assez atypique pour un humain et qui m’avait collé cette balle venir juste en face de moi, je l’écoutais et c’était comme une rage folle qui m’envahissait alors que je l’écoutais parler. Arrête tous les membres révolutionnaires d’accord, je dirais qu’il ne fait que son boulot après tout, mais de pauvre civil innocent, des femmes, des enfants qui ne demandais rien. C’était injuste, il n’avait pas le droit de faire ça. C’était donc dans un pur reflexe que je l’attrapais par le col pour lui dire :

      Vous ne pouvez pas faire ça, c’est inhumain, ses gens ils n’ont rien fait de mal, je vous demande d’arrêter...

      Je me sentais prête à utiliser la force pour lui faire entendre raison, mais un coup de pied en plein visage m’attentait pour me faire mordre la poussière... Quand je me relevais, c’était la panique partout, certains révolutionnaire, ne voulais pas se laisser faire et les civils tentaient de prendre la poudre d’escampette. Sans compter que certain marine n’avait pas peur d’y aller sans gants... Toutes ses violences inutiles, je brisais le cœur et des larmes coulaient de mon visage en voyant se désastre... Surtout que je me disais que tout cela aurait pu être évité...

      J’aurais bien voulu les aidés, mais il était impossible pour moi de faire quoi que ce soit. En effet, j’avais deux soldats de la marine qui me tenait immobile en m’agrippant les bras de façon à ce que je ne puisse pas me relever... A moins de sacrifier mes bras peut-être... Ce qui aurait pu se produire quand j’entendais les propos de la jeune demoiselle... Elle voulait exécuter tous les hommes, femmes et enfant qui ne pouvait venir sur le bateau... J’entendais cela et donc naturellement, je voulais m’interposer, mais c’était peine perdu. Heureusement qu’un marine ne voulait pas lui obéir et que quelques instants après elle passait à une étape qui était peut-être mieux... même si je n’étais toujours pas rassurée. Je résistais donc un peu à ma mise en cellule sur le navire de la marine pour crier :

      Si l’armée révolutionnaire existe ce n’est pas pour crée le chaos, mais pour aider les gens et faire en sorte que nous soyons tous égaux... Si on existe c’est à cause de comportement abusif...

      Je recevais ensuite un coup dans la tête qui venait de la crosse d’un fusil qui m’assommait pendant une partie du voyage, je ne savais pas trop ce qui c’était passé après. Quand je me réveillais j’étais sur le navire de la marine enchainé et façon à ce que je ne puisse pas me bouger... Je ne pouvais pas voir tous les prisonniers, mais j’avais l’impression que j’étais la plus enchaîner, il fallait dire que même si j’étais une femme, j’étais quand même de la race des hommes-poissons, il avait sans doute peur de la force supérieur dont mes confrères pouvait faire preuve... Ce qui n’était d’ailleurs pas mon cas, j’étais une femme force... Plus que les humains normaux, sans aucun doute, mais j’étais loin d’être une femme-poisson puissante.

      Durant le voyage, je ne pouvais prononcer le moindre mot, j’étais trop inquiète car je savais que tous les habitants de l’ile ne pouvais aller sur le bateau, je me demandais donc ce qu’il avait fait... Au mieux, il avait laissé une troupe sur l’ile pour les surveillés, au pire... je ne préférais pas y penser... Au fait, je tentais de ne pensé à rien, la journée avait été horrible et je savais que si certain des blesses dont je m’occupais n’étais pas soigné, il pouvait finir par mourir d’une infection... Je ne pouvais que m’inquiète du sort de ses gens, plus que de mon propre sort, alors le seul moyen que trouvais était de ne pensé à rien... Plus facile à dire qu’à faire.
        Elle est là, la poiscaille. Ligotée et entravée à une chaise, s'faisant roussir les poignets et les chevilles tellement les liens sont serrés. Elle est p't'être endormie? Qui sait? En tout cas, elle le semble bien. Seule au centre de la sombre pièce, ses écailles bien séchés sous l'agressante lumière d'interrogatoire, avachie sur son siège, prête à tomber vers l'avant… Héhé, si ce n'était seulement de ces foutus liens.

        Quand tu la regardes, à travers cet écran teinté pour ne pas qu'elle puisse t'apercevoir, ça t'fais repenser à l'asile. Ce foutu centre d'internement duquel on t'a sorti pour faire un truc envers lequel tu tiens même pas. Un truc qui te fait croire que, peut-être, c'est c'genre de saloperie de différence qui donnent le droit à des humains d'en foutre d'autres en taule.

        Peu import, t'es pas ici pour te plaindre du système, l'asile est bien pire que la Marine. La solitude et la folie valent bien la haine omniprésente des autres.

        À ta gauche, pas trop loin, la jeunotte est là. Armée de son calepin d'notes, elle fixe la femme-poisson à traves la vitrine comme si cette dernière allait lui fournir plus de sujet à coucher sur son papier. Tu repenses à l'arrestation d'y a deux jours, à comment ça s'est terminé. Malgré les problèmes de chargement, t'as réussi à prouver à tes bon à rien d'hommes que c'tait possible de faire entrer tout un village dans l'navire… En les empilant comme du bétail, certes, mais ils sont tous entrés.

        Puis, c'est c'que tu fous ici qui occupe dès lors ton esprit tourmenté. Y parait que les hautes instances d'la place avaient besoin d'un mec capable d'inspirer une assez bonne frousse aux révos pour qu'ils crachent tout ce qu'ils savent. Une belle occasion que d'utiliser le monstre vivant dans les murs du QG! Et puis, quoi de mieux comme modèle de terreur que la créature les ayant capturés?

        Je trouve pas mieux, c'bien pour ça que t'es là, qu'on est là. Tu fais un signe à Longshot, puis t'ouvres une porte. La porte, elle donne sur une autre porte, et c'est la seconde porte sur laquelle ta main s'arrête un moment. Là, tu retournes dans ton rôle, mais en pire, tu redeviens ce salaud de Double Face.

        Ta haine pour le vivant, je la veux en double. Ta colère envers le monde, je la veux en triple. Ta folie et ta solitude si longtemps encaissés, je les veux décuplés jusqu'à c'que t'en sois saturé! C'est bon? Voilà. T'es près à être Double Face, le prédateur, le fléau.

        La porte s'ouvre dans un silence, tu t'engouffres dans la salle et tu te poses devant la poiscaille. Elle est à peine soignée de ses blessures, un moyen assez cruel de la faire perdre graduellement des forces, mais aussi de l'espoir. Ah, sacrée Marine. Tu te cases devant elle, tu t'accroupies pour être à son niveau… Puis tu lui mets une gifle. Une bonne gifle sonore qui a la propension de pouvoir la sortir de sa léthargie.

        Salut. Moi c'est Oswald. Désolé pour y'a deux jours, je devais faire mon devoir.
        -Réveille. 'Fait pas perdre son temps à Double Face. Sinon je te remets la même que y'a deux jours. Maintenant, crache le morceau.

        C'est à peine si ça la tire des vapes. Mais les vapes, t'as pas vraiment le temps ni l'envie de t'en occuper, du coup t'embrailles.

        -Bon, j'passerai pas par quatr' chemins. Tu sais aussi bien qu'moi que ton appartenance à la Révo est plus qu'évidente, donc j'aimerais qu'on ne tourne pas autour du pot, si tu vois où j'veux en venir.

        Ça, tu le dis en tournant autour d'elle comme un fauve, puis soudainement, à la dernière réplique, tu t'approches d'elle vivement, comme près à l'égorger. Une main impérieuse vient lui soulever le menton en lui broyant les joues et les mâchoires.

        -Écoute. On sait tous les deux qu'tu devais pas être là à l'attentat de Logue Town. Et essaies pas de te foutre de moi sur ce point, on a fait passer une quarantaine de témoins pour s'assurer que tu f'sais pas partie du lot. La vraie question c'est plutôt: Y sont où les autres? Bordel. Les autres, z'étiez pas qu'une vingtaine de connards idéalistes, les révolutionnaires s'y prennent mieux que ça. Il y a plus haut, plus fort, plus organisé. Et moi c'est ça que je veux savoir, c'est d'où ils viennent, vos plans foireux.

        Ton sec et glacial, teinté de menaces. Rien de mieux pour faire parler. En tout cas, tu peux t'assurer de jouer le mauvais flic à souhait, mon gars.

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        L'atmosphère de la pièce était assez pesante sur la victime. En y repensant bien, Aoko avait fait une erreur sur l’île en se disant qu'en tuant tout le monde serait une bonne chose. Le monsieur double tape avait réussi un exploit qui était de faire monter tout le monde sur le navire comme du bétail. Bien qu'elle n'appréciait guère la stratégie, elle n'avait guère d'autre choix que d’accepter ce qui ce passait.

        Avec son carnet de note, elle écrivait de temps à autre ce qui se passait prenant exemple sur le double-face. Peu-être avait-il plus d'expérience qu'Aoko dans ce genre de domaine qu'était l'interrogation de suspect. Jusqu'à maintenant, elle n'avait pas encore eu cette expérience par elle-même. C'était un bon exemple devant elle. Elle ne devait surtout pas flancher en plein milieu parce qu'elle allait devoir participer. La théorie du méchant et du bon flic. Ce n'était pas la première fois qu'elle en avait entendu parler. Surtout pendant ses cours d'enquête et interrogation. La théorie était bien mais la pratique semblait bien meilleur par rapport à ce qu'elle pouvait observer.

        De prime abord, la femme poisson allait souffrir grandement. Ne pas avoir d'eau pendant un moment et s'assécher puis devoir endurer les frappe répétitive du double-face. Le méchant flic, il allait clairement le jouer surtout avec ses questions qui piquaient clairement la fille en face de lui. Il avait un talent clair pour se montrer froid envers quiconque. Avait il peut être une double personnalité avec cette double-face.

        Comment Aoko allait elle faire pour se montrer à la hauteur? Elle avait agit assez indifférente par rapport au village et ses habitants. Elle se posait vraiment plein de question sur ce qui faisait qu'on était bon ou méchant, le fait de prendre une vie n'était pas naturelle normalement. La lois du plus fort devrait se faire dans ce cas-ci mais uniquement contre des gens qui se batte contre la justice. Le fait est que le village n'était peu-être pas complice des révolutionnaires. La raison était peu-être autre et qu'ils ont été forcé de les protéger.

        Sur le trajet, pas mal de gens se sont plein du mal de mer et de la fa¸on dont on les traiter. Aoko n'avait pas vraiment été gentille avec eux non plus. Elle ordonna par la suite et ce dans le dos de double-face que l'on libère les enfants et les vieillard. Ceux-ci - pour Aoko - n'avait rien à faire avec les révolutionnaires. Se trompait-elle? Sur le vif en tout cas, ils furent renvoyé sur leur île par ses ordres. Si jamais le double-face avait quelque chose à redire à cela, qu'il vienne.

        Dans la salle d'interrogatoire, la situation allait bientôt changée, Aoko allait devoir mettre un pied devant l'autre pour essayer d'empêcher la situation qu'elle ne s’envenime. De plus, elle savait bien que cette femme poisson ne connaissait rien de ce qu'Aoko avait fait derrière pour libérer tout ces gens. Elle avait encore des cartes en main mais qui pesait peu-être moins que des gens qui ne savaient pas ce défendre.

        Elle continua à simplement gratter des choses dans son calepin pour l'avenir. Cela lui servirait tôt ou tard.
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        Qu’était-il arrivé aux autres ? C’était la question qui me préoccupait le plus Prisonnier ou exécuter ? Je ne le savais pas et je ne pouvais pas le savoir, je ne pouvais être qu’inquiète et imaginé le sort qu’on leur réservait... Ce qui me rendait encore plus inquiète. Mais bon, ça restait la marine je me disais... Même si la corruption, l’inégalité et trop souvent l’injustice y régnait, il y avait des règles que nul ne pouvait enfreindre impunément... Enfin, c’était ce que je me disais pour garder confiance. Mais je savais que certains de ses règles pouvait être évité assez facilement... C’était d’ailleurs pour ce genre de chose que je me battais avec les révolutionnaires...

        Depuis combien de temps j’étais ici, j’aurais bien du mal à le dire... Quelques jours j’imaginais, mais pour le moment j’étais sur une chaise pied et poing lié, j’étais peut-être une femme-poisson, mais cela ne changeait pas le fait qu’il m’était impossible de me libéré de mes liens et même si je le pouvais, je n’avais pas la force suffisante pour lutter contre les gardes et pour fuir, je ne pouvais que subir, subir et attendre patiemment le moment opportun pour m’échapper d’ici...

        Apres quelques minutes d’attente je voyais l’homme qui m’avait arrêté apparaître. Le visage baissé, je l’observais discrètement, j’avais l’impression de voir un fauve prêt à bondir sur sa proie... Je ressentais presque l’envie qu’il avait d’en finir avec cette affaire...

        Apres un moment d’observation, je recevais une gifle qui résonnait dans toute la pièce et qui risquait de me laisse une trace quelques minutes. Mais malgré le coup que j’avais bien sentit, je ne bougeais pratiquement pas d’un centimètre, je poussais juste un grand souffle pour me remettre de cette claque.

        Il commençait alors l’interrogatoire... Mais pas un seul moment je réagissais, il m’agrippait à ma gorge presque comme s’il voulait m’étrangler il me serrait avec force comme s’il voulait me broyer la tête... Il voulait me faire cracher le morceau sur les plans des révolutionnaires, mais malgré mon côté pacifiste, je n’avais pas l’intention de me laisse faire et encore moins de parler de cette façon...

        Alors, même si je ressentais la pression du ce soldat du nom de Oswald. Je ne répondais pas tout de suite. Je levais la tête pour pouvoir l’observer dans les yeux et c’est avec un sourire amical et presque chaleureux que je lui répondais :

        Mon cher monsieur, je crois que vous vous trompez totalement sur moi. Je simplement une femme-poisson, dont la profession et médecin. Si j’étais là, c’était simplement pour soigner ses pauvres bougres qui étaient blessé... A cause de vous d’ailleurs, si je comprends bien.

        Ce que je disais était en majeur partie la vérité, j’étais médecin dont le devoir était de soigner les blessés et les malades... Je n’avais par contre pas répondu que j’étais impliqué ou non à l’armée révolutionnaires... Ce qui était le cas évidemment.

        Je tentais de repositionner ma tête pour voir la jeune femme qui accompagnait cet homme, c’était sans aucun doute sa seconde ou son assistante, c’était donc pour moi une occasion de poser des questions, même si je n’étais pas en position de force :

        Mademoiselle, comment vont les gens l’ile les blessés, les avez-vous soignés ?

        J’étais plus inquiète pour ses pauvres bougres que pour ma propre santé. Mais je savais que ce genre de comportement n’allait pas me facilité la tâche face à cet homme qui allait pouvoir jouer les méchant et me faire payer cet affront comme il se devait. Mais ce n’était pas grave, même affaiblit, je pouvais supporter ses moments de douleur... De toute façon je n’avais pas le choix.


        [Hrp: Dsl, fatigue et pas inspiré]
          Alors qu'Aoko écoutait la victime parler pour ne pas répondre correctement à Oswald, elle se curait les ongles. Cela faisait un moment qu'elle ne s'en était pas occupée. Même si le moment était mal choisi, il fallait le faire. Et puis de toute façon, il n'y avait pas grand chose à noter pour le moment. À part le faite que mister double tape frappait la jeune miss poisson... Bah, les interrogatoires de ce genre ne mène à rien en théorie. Peu-être que ça changerait dans la pratique, avant qu'ils ne finissent de se regarder intensément dans les yeux, Aoko reprit son carnet de note et y griffonna un petit dessin. Elle dessinait un joli petit bateau sur l'eau, ou encore une arme à feu – l'une de ses favorites. Elle ne savait vraiment pas s'en passer.

          L'interrogatoire continuait, mais d'une autre façon et ça vira dans un sens qu'il ne fallait pas vraiment prendre. La femme poisson posa une question à Aoko... Et puis quoi encore, comme-ci elle allait répondre franchement quand double tape la dévisagea... En retour, elle n'apprécia guère son regard et se leva. Elle arriva à côté de la prisonnière et parla directement au sergent Osi Osborn.


          « Hey, lâche là un peu, tu vois pas que tu lui fais mal là... Une belle peau comme elle sa s’entretient que-diable. »

          Elle se tourna ensuite laissant Oswald réfléchir à la connerie qu'Aoko venait de lâcher pour s'approprier la prisonnière. Il fallait un plan pour lui répondre. Tout en jaugeant la femme-poisson de bas en haut, elle mit sa main sous son menton pour lui répondre sans laisser paraître la vérité ni un mensonge. Puis, elle clappa ses mains juste devant la face de la prisonnière tout en lui répondant avec un joli sourire carnassier.

          « ce n'était pas très sympa la façon dont tu avais répondu à mon collègue ici présent »

          Collègue qui ne s'interposait pas pour le moment et qui voulu observer la scène sans rien dire. Toute façon, il n'y avait pas grand chose d'autre d'intéressant dans la pièce à regarder ou observer. Il se posta un peu plus loin dos contre le mur le temps qu'Aoko finisse son entretien avec cette demoiselle.

          « nous aimerions que nous en disent plus sur les révolutionnaires etc... tu vois genre des informations. Si tu réponds correctement, nous nous occuperons d'un blessé, si tu réponds à côté de la plaque tu pourra entendre un coup de feu. Il y a un Den Den Mushi connecté dans la pièce d’à côté relié au gardien de prison. Ils ont pour ordre de tuer un révolutionnaire par mauvaise réponse. Tu en à déjà donné une. Maintenant ce n'est plus qu'une question de minute avant quelqu'un ne meurs. Mais, ne t'inquiète pas pour les gens de l'île, ils passeront après les révolutionnaires. »

          Elle laissa le temps de réflexion à la femme-poisson et retourna avec son sourire vers l’entrée. Elle attendit que double tape reprenne l'interrogation forcé pour que la prisonnière ne regarde pas en direction d'Aoko. Le temps arrivé, Aoko fit signe à l'un des gardien de la prison de venir et chuchota dans son oreille en espérant ne pas être vu.

          « Aller me chercher un Den den mushi et connecter-le à la pièce à côté. Si jamais elle donne une mauvaise réponse je vous le dirais par ' Mauvaise réponse ' et vous abattrez un révolutionnaire par mauvaise réponse. Il y en a déjà eu une de mauvaise réponse alors tue s'en déjà un. Essayez de tuer les plouques en premier. »

          le gardien n'aimait pas réellement l'idée, mais il s’exécuta sans tarder. Un moment plus tard un coup de fusil retentissait et il y avait un den den mushi de l'autre côté pour écouter la conversation.
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          Je pensais que l’homme était le plus monstrueux, mais cette jeune demoiselle était peut-être aussi terrible que lui. Bien qu’elle était plutôt passive au début, elle allait se montrer plus active ensuite. Mais elle commençait par une phrase qui me faisait légèrement sourire malgré moi. Moi une belle peau ? Je suis de la race de homme-poisson et non une sirène, cela voulait dire que j’étais composé écaille. Je prenais alors ça remarque presque comme une signe de compassion. Une façon pour elle d’essayé de faire lâché prise à cet homme.

          Elle trouvait que ma façon n’était pas sympa !? Pourtant, j’avais répondu avec une certaine civilité à cet Oswald... Certes la réponse avait été évité, mais je n’avais pas manqué de respect, ni mentis...

          Quoi qu’il en soit, la suite allait être pour moi insoutenable... Même si une partie de moi ne pouvais pas croire ce que disais cette femme. Elle allait exécuter chaque homme, femme et enfant qui se trouvait sur l’ile juste pour obtenir des réponses de ma part ? Cela me semblait absurde car cela voulait dire qu’ils allaient perdre beaucoup de suspect pouvant répondre à leur question... Je ne croyais donc pas totalement à la parole de la jeune fille...

          Mais le coup de feu me mettais par contre dans un état de tremblement et de stresse atroce... J’imaginais le pire, je voyais un personne dans une pièce à coté se vidé de son sang et rien que d’imaginé ces images j’en avais des sueurs froide.

          Je restais dans cet état pendant un petit moment avant de pouvoir reprendre une respiration normale et enfin pouvoir répondre aux questions :

          Ecoutez, je ne sais pas grand-chose sur les révolutionnaires, juste ce que tout le monde sais. Je suis ici pour apporter mon aide au gens qui en ont besoin rien de plus.

          Plusieurs fois je maintenais cette version mais qui évidemment ne pouvais pas satisfaire mes interrogateurs. Je pouvais alors entendre à chaque fois un coup de fusil provenir du den den mushi qui me faisait répondre avec encore plus de vivacité la même réponse. Je ne pouvais pas supporter le bruit de cette arme, à chaque coup j’avais l’impression de voir la personne abattu... Comme si elle était à côté de moi.

          Mais finalement avec 5 ou 6 coups de fusil, mon corps semblait comme vider de toute énergie, ma tête vers le bas et mon corps totalement immobile. Juste quelques larmes et une respiration un peu irrégulière montrait que j’étais encore consciente... Doucement, avec un moment de silence, je relevais la tête et disais :

          Idiot, vous êtes des idiots. Vous pensez conspirations comme si cela n’était que l’œuvre des révolutionnaires. Mais avec ce genre d’acte barbare c’est tous les gens que vous vous mettez à dos. Au final ce n’est pas les révolutionnaires que vous devriez craindre mais les civils... Car avec des méthodes aussi monstrueuses, c’est une guerre civile qui vous attend.

          Je m’arrêtais un instant pour le dévisagé du regard l’un et l’autre, je n’étais pas du genre à montrer de la colère envers les gens, mais trop de chose horrible c’était produit, je ne pouvais plus rester calme et fermer les yeux... Je devais contre-attaquer, voir les prendre dans leurs propres pièges.

          Vous n’avez pas imaginé un instant que ses pauvres hommes qui vous ont attaqués, serait de simple gens, des gens que vous avez maltraité et torturer injustement... L’avez-vous simplement pensé ? Vous vous prenez pour des justiciers, mais vous vous comportez comme les pires criminels... Sans compte le comportement Ségrégationniste que vous pouvez avoir avec les gens différend...

          Bien sûr vous faites comme si de rien n’était, mais dans le fond vous regardez les autres différemment, avec peur, mépris ou haine...

          Lors de cette dernière phrase j’observais Oswald en particulier car j’étais sûr qu’il avait connu ce genre de sentiment à son égard... Je ne savais pas comment la suite allait se passé, au mieux j’allais toucher un point sensible et les mettre en proie au doute, au pire... Leurs donne plus de raison de me faire souffrir.


          [Hrp: Désolé pour le temps de réponse pas mal de problème Irl entre autres]
            Aoko se demandait vraiment si ça valait la peine de torturer cette doctoresse que ne semblait apparemment rien savoir. Le fait était que la seule solution possible à sa libération serait qu'elle devait être innocente. Le problème qui se posait actuellement pour elle était du faite que l'emprisonnement de ces amis ainsi que celle-ci faisait en sorte de compliquer les choses. La présente torture était psychologique, non seulement il y avait des gens qui mourraient en haut mais de plus il fallait aussi tenir compte que celle-ci ne voulait pas les laisser mourir. D'autre choix à offrir? Malheureusement non, la seule chose sur laquelle la doctoresse pouvait compter était son sens d'énerver les gens. Pourquoi ne craquait-elle pas?

            La tension devenait de plus en plus inquiétante avec le nombre de tir. Pourtant il semblait clair à Aoko qu'elle n'avait pas aussi souvent répéter sa phrase clés. Ça la troublait à un point que celle-ci se demandait réellement ce qui pouvait bien se passait en haut dans les cellules des révolutionnaires. Peut-être qu'un marine avait perdu la tête et fusillait tout le monde à tout va, ce qui ne pouvait pas plaire du tout à Aoko étant donné ce qu'elle avait demandé. Son grade ne lui permettait pas encore beaucoup de liberté et pour cette raison celle-ci prenait la décision de sortir de la pièce et de laisser la doctoresse seule avec notre double tape.


            --------------------------------


            Aoko sortait juste de la pièce qu'Oswald se rapprocha de sa victime d'un pas ferme et décidé, il semblait dans son esprit que la doctoresse était toujours coupable et détenait des informations utile ce qui n'était peu être pas le cas. D'abord il fut gentil en mettant sa main sous son menton. Après ça, il la giffla plusieurs fois d'Affilé. Comme-ci celui-ci ne connaissait que la violence et que sa vie n'était qu'une misérable addition de chose dont il ne voulait pas se rappelait. D'ailleurs Aoko ne connaissait toujours pas la cause de sa double personnalité et de son visage bizarre.

            On va dire que pour l'instant Double tape gagnait contre doctoresse. Un poing après l'autre qui s'écrasait contre la pauvre tête de la femme poisson. Inimaginable comme scène, en tout cas Aoko manquait quelque chose d’excitant.


            --------------------------------


            En arrivant en haut, Aoko se rendit vite compte de la situation, la totalité des Révolutionnaires étaient encore en vie. Mais pourquoi? Son visage commença à se déformer passant par plusieurs expression. Elle vit par la suite le lieutenant responsable de la prison. Il était là et regarda fixement la gente demoiselle qui venait de rentrer par l'escalier à qui revenait la responsabilité des ordres que celle-ci avait donné précédemment à l'un des caporaux de la prison. Son autorité faisait pale figure devant le lieutenant et elle dut prendre le réflexe de le saluer au premier regard.


            « Mon lieutenant, si j'avais su que vous étiez là je serais venue vous voir directement... »

            « Sergent Aoko, vous allez  m'expliquer en détails ce qui se passe en bas et ici même et tout de suite je vous prie »

            « Ou... Oui Lieutenant, nous sommes – le sergent Oswald Jenkins et moi – sur l'interrogation d'une femme poisson nommée Kagura Natsume. D'après nos rapports et ce que l'on a pu constaté, elle est médecin et aide les révolutionnaires en les soignant. Vous allez me dire logique pour un médecin, mais on ne peut laisser ça de côté. Si l'on trouve quelqu'un de coupable on le capture... Ensuite po... »

            « Je suis au regret de vous dire de relâcher cette femme-poisson quelque soit son nom. Nous avons fait une recherche plus poussée sur son passé et ces antérieurs. En tant que médecin, c'est leur devoir de guérir qui que ce soit en danger de vie ou de mort. Nous ne pouvons leur tenir tête à ce niveau là et l'ordre des médecins à appris – par je ne sais quel malheur – qu'un de leur confrère ou consœur est retenue ici-même contre leur gré. Nous dépendons fortement de leur soutien pour la lutte constante. Je vais vous accompagner pour que l'on la relâche. »

            « Euh... oui monsieur... » Elle avait la bouche complètement clouée. Ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas obéie aussi directement à des ordres venant d'un autre supérieur que son commandant. Aoko devait se la jouer fine si elle voulait sortir d'ici sans papier retournant à son île d'origine expliquant ce qui c'était passé en prison. Celle-ci se tenait droite et derrière le lieutenant. Elle n'ouvrit plus du tout la bouche sur le trajet pour la cellule d'interrogation.
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            -Parle! Parle!
            C'est comme une jouissance momentanée à chaque contact. Un instant passager où un intense frisson te traverse le corps d'une seule vague alors que tes jointures épousent violemment les pommettes écailleuses de la prisonnière. Un court espace de temps où, les poings couverts de sang, tu te sens à nouveau aussi bien que cette fois là. Cette fois là. Ce vieux souvenir où tes mains étreignent le cou faible et si fragile de l'étudiant, lorsque ce bon vieil instinct t'avait à nouveau gagné.

            Ce moment où il n'y avait plus que ce monde d'infinie violence s'ouvrant à toi.

            Sa chaise s'est renversée. Tu l'enjambes et tu la mitrailles de coups, comme s'il n'y avait aucun autre moyen de la faire parler. Pourtant, il doit bien rester une façon de la faire souffrir au lieu de l'étouffer sous ta rage et ta violence.

            Mais personne n'est là, personne n'intervient, il y avait bien celui dans le box de surveillance à côté, mais il a prit peur. Ils prennent tous peur. Ils sont tous partis, la sniper, le mec de la surveillance. Il n'y a que toi et elle, elle que le Destin a choisi pour être livrée en pâture à ton courroux.


            -Parle! Parle! Parle!

            Frappe. Frappe. Écrase son visage. Martèle sa volonté. Brise sa force. Soit un monstre. Un monstre comme on en pointe du doigt tous les jours. Un monstre comme Thunder F., un monstre comme Tahgel, un monstre comme toutes ces ordures qu'on voit dans les journaux.

            -Double Face! Bordel!

            Le lieutenant se jette sur toi, te saisit par l'épaule. Te broie l'épaule, plutôt. Sous le choc, tu ploies, tu grognes et t'agenouilles devant l'autorité de l'homme qui te brise l'épaule dans un violent étau. En moins de deux, ton nez va s'plier contre le plancher froid de la salle d'interrogatoire, ton front s'y écrase aussi, tandis que tu injures et que tu argumentes.

            -ELLE ALLAIT PARLER! ÉCARTEZ-VOUS! ELLE ALLAIT PARLER!

            La stagiaire tire la chaise sur laquelle la femme-poisson au visage tuméfié respire fébrilement. Elle l'éloigne de toi! Elle met la proie hors de la portée du prédateur! C'est injuste!

            Alors tu rugis, tu te débats, tends une main crispée vers celle qui a presque la marque de tes jointures imprimée au visage. Elle ne peut pas t'échapper, pas alors qu'elle était à ta merci!


            -Double Face! Laissez tomber!

            Une botte de cuir écrase cette main avide de sang que tu tiens toujours ouverte, comme pour agripper une proie déjà trop loin. Trop tard.

            Trop tard. Stop.

            Tu te calmes, tu laisses tomber. Il pourrait te remettre à l'Asile, te castrer de cette liberté acquise depuis quelques années à peine. Jamais ils ne te reprendront ce droit que tu as si difficilement dû acquérir.

            Pas eux, pas cette femme-poisson, pas Longshot, non. Personne.

            Et autant cette violence passée te laisse un grand vide, sur l'instant où on te pousse à l'extérieur de la salle d'interrogatoire pour t'escorter jusqu'à tes quartiers, autant, à chaque instant, tu te rappelles cette jouissance ressentie à chaque coup…

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            Il avait certainement pété un plomb. Tel un enragé, il voulait absolument frapper encore et encore la pauvre femme-poisson qui était presque devenue méconnaissable.

            « Je vais lui faire cracher le morceau »

            Heureusement, Aoko avait tiré la chaise pour l'empêcher de finir sa tâche et d'envoyer cette pauvre âme dans l'autre monde. La jeune sergente ne savait que faire de plus pour le moment. L'interrogatoire c'était terriblement mal passé et ça allait rester dans les anales de son expérience. Ce n'était pas réellement quelque chose que l'on voudrait avoir dans son propre rapport quand on se présente autre part que dans la marine. Heureusement pour Aoko, c'était sûrement un salaire de moins durant une certaine période ainsi que des travaux d’intérêt généraux pendant un mois. Elle ne savait pas encore comment allait réagir son commandant sur north blue, mais elle pouvait prédire le pire devant elle.

            « ça devait pas se passer comme ça » se disait-elle.

            Elle détacha la femme-poisson, qui allait tomber de sa chaise, et soudainement Oswald Jenkins se libéra de l'emprise du lieutenant pour finir sa tâche. En effet, elle n'avait rien donner comme information concernant les révolutionnaires alors qu'ils avaient été aidé par elle. Il parti de nouveau vers la pauvre médecin qui n'avait rien demandé. Son poing alla à toute allure vers la face de la jeune femme. voyant la menace, Aoko du lâcher la doctoresse et intercepta le violent coup de Double tape. N'ayant pas la force de pouvoir arrêter une telle force, elle fut expulsé vers le mur et où sa tête cogna assez violemment. Ce fut assez pour avoir une petite commotion cérébrale ainsi que de tomber inconsciente. Elle n'avait pas suffisamment mesuré la force du sergent Oswald qui dépassait tout ce qu'elle pouvait imaginer jusqu'à présent.

            Dans la suite des événements, il fallut plusieurs marine pour arrêter le sergent devenu fou de rage, le Lieutenant dû appeler deux sergent aux gros bras pour tenir Jenkins en respect. Ils l'emmenèrent autre part pour le calmer où on pouvait encore entendre de sa voix enragée.


            « LEERRROOOYYY JEEENNKIINNNSSS »

            Aoko quant à elle fut transférer d'urgence à l'infirmerie pour les premiers soins et ensuite à l'hôpital militaire. Grâce à double-tape, elle avait une petit commotion cérébrale. Rien de bien trop grave, mais elle allait devoir rester sous surveillance médicale pendant un mois ou deux. Une punition bien méritée pour avoir autant torturer une femme-poisson qui apparemment n'avait aucun lien avec la révolution. Aoko prit son carnet de note pour commencer à barrer tout ce qui n'était pas nécessaire lors d'un interrogatoire. Quant au sergent Jenkins, elle n'en savait trop rien. Celui-ci avait apparemment été emmené sur une île pour rééducation sous la surveillance d'un colonel sans pitié.

            Il paraîtrait que c'était la seule punition qu'il avait reçu pour avoir autant malmené une personne faisant parti du corps médical. Pour les dernières nouvelles concernant la doctoresse, elle ne semblait pas encore remise de cette malencontreuse expérience. Elle passait son temps dans un hôpital de remise en forme ainsi que d'aide psychologique. Comme quoi, un fou comme Oswald Jenkins pouvait vous atteindre au plus profond de vous-même. La psychologie par un psychopathe, c'était un bon titre à mettre dans ces notes et une chose à bien éviter de faire.

            Par la suite, après deux mois de remise en forme petit à petit, ce malgré quelque mal de crâne ici et là, Aoko était de nouveau en pleine forme. Elle courait joyeusement avec sa petite panthère dans la forêt de son île natale, le Quartier Générale de North Blue. Pour la suite, elle allait devoir affronté pas mal de danger pour continuer sa quête pour retrouver le trésor dont elle détenait la carte.
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