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Un verre en trop?

*Bon sang...Ma tête!*

Fune se réveillait péniblement, les paupières encore lourdes. Machinalement, notre héroïne posait ses mains délicates sur son front, comme pour adoucir la douleur qu'elle ressentait au crâne. C'était à cet instant qu'elle se rendit compte de son sort. Tous ses sens s'éveillèrent alors, petit à petit, pour son plus grand dégoût. Elle se redressa lentement, encore anesthésiée, et s'adossa au mur derrière elle. Elle oscilla alors la tête de droite à gauche tel un radar en quête d'information. De ses magnifiques émeraudes, elle s'aperçut qu'elle était en cage dans une pièce de taille moyenne. Tout autour d'elle, il y avait des barreaux en métal auxquels l'espace permettait de laisser à peine de quoi passer un bras. De ses narines, elle pouvait humer l'odeur infecte des cadavres en décomposition, de quoi vous faire passer l'envie de manger quoi que ce soit. La ravissante Fuyuka, en tout cas, avait l'estomac qui voulait se faire la malle. Ses oreilles, elles, entendaient quelques faibles gémissements, ainsi que des cliquetis si caractéristiques aux chaines de ferrailles. Elle se rendit d'ailleurs compte qu'elle-même était munie de ces imposantes menottes.

-'Qu'est-ce que...'

Un flot d'adrénaline acheva de réveiller complètement notre protagoniste. Ses iris, dilatés au maximum, virent un homme au demeurant charmant, blond et dont le port de lunette lui donnait un air de play boy. Il semblait tellement détendu, malgré les liens dont il était également affublé, que Fune fut assaillie d'un doute. Elle jeta un oeil aux siens, cherchant désespérément quelques bribes de souvenirs de la veille qui l'aurait amené à cette situation cocasse. Elle orienta par la suite son regard vers son compagnon de cellule, curieuse et sordide à la fois. Elle interrogeait son vis-à-vis silencieusement, sceptique au regard de son sort.

-'Par pitié, me dis pas que je verse dans le sadomasochisme maintenant...', maugréa-t-elle dans sa barbe, nauséeuse.
*...Remarque, j'aurai presque bon goût!*
-'Hep! Toi! On l'a pas fait, j'espère...'

Rapidement, cherchant des réponses à l'énigme ou au moins des indices, la belle Fuyuka palpa son propre corps, vérifiant minutieusement si chaque détail était bel et bien à sa place. Une longue robe noire qui lui collait à la peau telle une seconde peau, fendue au niveau des cuisses sur un côté, avec un décolleté ni trop racoleur, ni trop discret, ok. Des escarpins à lanière, dont le port mettait en valeur la chute de rein et le fessier, ok. Un collier en argent serti d'un petit rubis, ok. Et la fine chaîne à la cheville, qui allait parfaitement avec le bijou au cou, ok. Il semblerait que rien n'avait disparut, ce qui excluait d'office le moindre rapport intime avec le compagnon de fortune. Elle soupira d'aise, en oubliant même sa propre situation délicate.

-'Le prend pas mal, hein. Mais bon...', fit-elle, en souriant légèrement.

Fune se leva, puis s'étira en baillant bruyamment. Ses bras se déployaient vers le ciel à s'en démettre les articulations, avant de se rasseoir et d'éplucher le moindre souvenir passé. Car c'était bien cela qui était dramatique, au final. Elle se rappelait avoir fait escale à Inu Town, son passage aux thermes, un certain concert et un verre de rhum bu d'un trait...et puis, plus rien, le black-out complet. Et cela, il n'y avait pas moyen d'avoir la moindre réminiscence.

Et puis, alors que Fune fronçait les sourcils pour retrouver un peu de son passé, un grand gaillard fit son apparition devant la porte de la cellule. C'était un colosse dont le sourire féroce et malsain voulait tout dire. Son uniforme laissait d'ailleurs à penser qu'il appartenait aux marines. La demoiselle était particulièrement dubitative, alors que d'un regard furtif, elle put constater que le blondinet n'était en aucun cas surpris. En réalité, notre protagoniste était de plus en plus perdue. Se pouvait-il qu'elle fut capturée lors d'un rixe entre marines et pirates? Tout ceci était bien peu probablement, la jeune femme n'ayant aucune blessure particulière. Cela étant, ce n'était pas à exclure, dans la mesure où l'alcool pouvait délier bien des langues. Le militaire alla informer ses compères, à l'aide d'un Den Den Mushi, gratifiant toute l'assemblée de prisonniers de sa voix rauque et grasse. Puis, il revint admirer sa nouvelle prise. Peu encline à être observée telle un animal en cage, notre héroïne se leva et le lui fit savoir à l'aide de quelques mots d'une violence inhabituelle.

-'Eh, bonhomme! Je peux savoir ce que vous voulez? Libère-moi de suite, et t'auras certainement la clémence de la nouvelle impératrice des mers.'

Elle n'eut droit en retour qu'un éclat de rire plein de vice de la part du marine.

-'Une fille aussi canon avec du caractère...Tu gagnerais à être ma femme! Réfléchis-y...'

Et le gardien s'éloigna des barreaux tout en explosant de rire. Son comportement énerva plus encore la demoiselle, qui se rasseyait en maudissant le colosse et cette situation embarrassante. Quelques minutes plus tard, bien calmée, elle reprit une certaine clairvoyance. Elle questionna ainsi son compagnon de cellule.

-'Nom d'un serpent...J'ai horreur d'être aussi poisseuse. Il me faut une douche...Pas toi?', fit-elle, avec une voix dont on pouvait ressentir de la fébrilité. 'Faut que je trouve un moyen de sortir d'ici! Au fait, on fait quoi là, en plein milieu de ces...Beurk...ces squelettes?'

La pirate en herbe ne se sentait vraiment pas à sa place, ici. Mais d'un autre côté, qui le serait?


[HRP: Désolé pour le lancement un peu moisi, je ne voulais pas trop faire attendre...Je me reprend au prochain, promis! =)]


Dernière édition par Fune Fuyuka le Jeu 17 Fév 2011 - 2:11, édité 1 fois
    Il faisait sombre dans cette infime cellule de la base marine. Mizukawa Sutero avait réussi son plan, il était maintenant enfermé en prison, il sera bientôt transférer au QG de la marine de North Blue. Tout ce passait pour le mieux, enfin...Presque. Ce qu'il n'avait pas prévu, c'était de se retrouver avec une jolie femme à ses cotés. Il y a un moment, il aurait tué cette femme, mais maintenant, une chose avait changer en lui. Son coeur se remettait à se battre, sa conscience refaisait surface du coma dont il l'avait plongé. Cette fois ci. Mizukawa portant un amour pour le sang et la tuerie ainsi qu'à la technologie est devenue un gentleman qui ne fera aucun mal à une femme même en combat singulier.

    Soudainement, la fille se réveilla et elle se questionna, ce qui était amusant, c'est qu'elle croyait que notre jeune protagoniste l'avait tripoté. Il ne profitera pas d'une femme, c'était hors de ses principes. Et puis, elle se mettait à se toucher la pauvre. Elle n'avait pas l'air d'être dans l'absolue clarté.

    Ecoute.Là regardant de bas en haut.

    Soudain un homme baraqué fit surface. Notre héros avait conscience de qui était la personne. Le gardien qui menait les interrogatoires, dégoutant. Comment traité une femme de la sorte. Mizu eut un air pas commode, on voyait bien qu'il avait là rage en lui, bien qu'il le cachait. C'est que la jeune femme avait du répondant. Impératrice des mers, fort intéressant pour notre jeune pirate.

    *Si je sors de cette pièce, je jure de lui faire la peau à ce gros tas de soupe.*

    La femme se retourna vers lui, et lui dit d'un sourire par derrière, si il voulait prendre une douche. Insinuait elle quelque chose ? En tout cas le dragon des mers a compris qu'elle voulait la prendre avec lui.

    *Non, mais elle se fout de ma gueule !*

    Faut que je trouve un moyen de sortir d'ici! Au fait, on fait quoi là, en plein milieu de ces...Beurk...ces squelettes?

    Bon, c'est pas pour tes beaux yeux. Mais par solidarité que je vais te raconter du comment je suis là. Peut être que ça te soulèvera quelques souvenirs.


    2 jours auparavant !


    "Bon Qu'est ce que je foutais 2 jours avant. Ah oui...Je suis venu ici pour me faire une certaine somme d'argent. En quelque sorte. Je suis allé déposé ma candidature dans le bureau des affaires de la maire. Et avec mon talent de séducteur, on m'a embauché à la mine. D'où l'état un peu crasseux. Me voilà en train de travailler, oh hé, oh hé ! Après des heures interminables de labeurs, j'ai réussis à savoir où se planquait les pierres précieuses, notamment les diamants ! Je suis un inventeur et j'ai besoin de ça pour faire certaines choses.

    Je prend la peine d'aller me faire payer à la mairie. Tout en scrutant, les alentours. C'est là que tout se joue, en un laps de temps, je me cache dans les toilettes et j'attend. Un homme du service technique arrive pour pisser et j'interviens avec ma corde à piano, je m'habille et je le cache dans les W.C. Je suis avec lui dans la cabine, je ferme la porte par l’intérieur et je ressort en grimpant sur la porte. Et ouais, je suis quelqu'un de balèze, mais je n'aime pas trop le dévoilé. Je dis ça pour te faire réalisé qui je suis vraiment.

    Une fois en technicien, j'ai le champ libre et je me dirige vers les bureaux. Je demande à un fonctionnaire avec un beau sourire où se trouve les plans de la mairie sous Prétexte de les donner au maire. Mon déguisement inspire la confiance et c'est là que je les ai eut facilement. Bon je passe vite fait cette partie. Et puis on a le temps avant que le gros bourrin de tout à l'heure ne revienne. Je cherche alors le coffre fort. Evidemment il est dans le bureau du maire. Tâche très compliqué qui s'est avéré trop facile à mon gout. J'ai donc pu récupérer deux sacoches de diamants, en donnant un bon coup de poing dosé. Qui m'avait bouffé toute mon énergie faut le dire. Je m'apprêtais à sortir quand soudain, je vois deux gardes en face des toilettes. Je ne laisse jamais mes habits, ils sont sacrés pour moi.

    Fatigué, j'arrive difficilement à me séparer de deux colosses. Pas assez fort, mais qui ont pu me retenir. Les enfoirés ! Ils avaient suivi tout ce que je faisais par Den Den caméra. Ils m'ont laissé faire sous prétexte de s'en servir pour renforcer la sécurité. Ils s'étaient servi de moi ! Dans une rage stupéfiante, j'arrive à m'échapper du lieu, mais toujours les gardes au train. L'un deux arrive à m'avoir avec son fusil, j'ai beau utiliser toute mon énergie pour les semer, ils arrivaient à reprendre de la distance. Heureusement que la chance était avec moi. Un groupe de fan de je ne sais qui s'étaient interposés et j'ai pu m'enfuir. J'étais dans un champ, là où je m’entraînais souvent. Oui, je suis né ici. Je vois une nouvelle maison à mes yeux et je tombe littéralement sur la porte. Déclenchant un bruit.

    J'avais dormi comme un loire. A mon réveil, je sens comme un mal au bras gauche, ma blessure était recousu. Par qui ? Quelqu'un m'avait guéri. Une jeune femme aussi belle que toi. Elle me raconte son histoire et je prend conscience que c'était celle que j'avais aimé autrefois, je ne sais pas si tu connais ça, quand ton coeur bat aussi fort, que tu te retrouve complètement paralysé. J'ai ressenti ça ! Mais j'ai toujours la haine contre le gouvernement, ça c'est une autre histoire. Je cache donc les diam's chez elle. Et je file avec un mot sur la table dont elle seule en connaîtra le contenu.

    C'était il y'a peu de temps, ça t’étonne que j'ai dormi plus d'un jour. Alors la raison de mon séjour ici, n'est pas un simple vol de diamants, mais autre chose. J'ai apprit qu'une star faisait un concert ici. Quelqu'un du nom de brook. Je crois que mon maître m'en avait parlé de celui là. Un bon bretteur connu pour avoir survécu à plusieurs guerre et membre de l'équipage du légendaire Mugiwara No Luffy ! Alors, j'ai décider de le tuer ! Un squellette comme lui, si on lui met de l'essence et on l'allumait, il allait devenir poussière. Sauf que mes plans n'ont pas été mit en place. Les deux gardes de la veille, m'ont reconnu et ont réussi à m'emmener ici avec quelques coups bien placé, j'avais donné tout ce que j'avais, des coups de poings sur le torse, des coups de pieds sur les bijoux de famille, mais impossible. C'était comme s'ils avaient mangé du lion ! Mais attend une minute, pourquoi je te dis tout ça ? "

    Et sinon, un conseil si tu pouvais inviter le gros à ouvrir la porte comme ça, je l'attaquerais et on pourra sortir d'ici, ça serait sympa. Chuchota Mizukawa.

    J'en oubli la politesse, je m'appelle Mizukawa Sutero et je suis un membre de l'équipage des Gun & Gun's.

    Vous le savez très bien, Mizu était un génie, il était loin de là un idiot en racontant sa vie devant une inconnue enfermée en prison. Elle devait surement avoir fait une chose grave. Et le jeune homme le savait. Il croyait profondément que lorsqu'il était enthousiaste et sincère, il attirait la sympathie des autres. C'est peut être naïf, mais la naïveté était toujours sa meilleure alliée dans les situations critiques ou dangereuses. Il faisait comprendre au gens qu'il croise, qu'il était en confiance. Surtout quand il a peur. Montrer sa peur attise l'agressivité, alors que la confiance donne à l'autre un rôle de protecteur ou d'agresseur. Cela lui a sauvé bien des fois. Il a eu de la chance, bien sûr. Mais s'il avait exprimer de la méfiance et de la peur, cette chance l'aurait quittée. C'est pour cela qu'il était calme devant ce gros plein de soupe, cette jeune femme et en dehors.

      Akane ouvrit petit à petit ses paupière une première fois, cligna des yeux plusieurs fois et les ouvrit entièrement, il se leva légèrement de façon à se retrouver assis. Notre jeune héros ne se sentais vraiment pas bien, il avait des douleurs un peu partout dans le corps comme si on l’avait rué de coups mais pourtant le jeune homme ne se souvenait plus du tout de ce qu’il avait pu faire la veille, il se souvenait juste de certaine chose, un bar, un homme bizarre et de l’alcool beaucoup d’alcool.

      * Oh ma tête *

      Tachibana se mit debout et un grand mal de tête le prit, c’est comme si sa tête était écraser par un troupeau d’éléphant, il regarda tout autour de lui, le jeune bretteur commençât à saisir ou il se trouvait d’abord car il était enchainer. Akane ne l’avait pas encore remarqué mais a sa cheville gauche on pouvait apercevoir une chaine qui y était accrocher, cette chaîne s’enfoncer directement dans le mur. De toute façon l’épéiste ne pouvait pas s’échapper car il se trouvait dans une sorte de cellule qui était vraiment petite, la cellule était sale et puante, son dernier résident ne devait pas être connaitre la propreté.

      Oh, en regardant dans un coin de la cellule Akane apercevait justement l’ancien habitant, on pouvait dire qu’il était en piteuse état, celui-ci devait d’ailleurs être mort et vu l’odeur il l’était depuis un bon moment. A ce moment Tachibana eut comme un mauvais pressentiment il se releva et regarda tout autour de lui mais se doutais que ce qu’il cherchait il n’allait pas le trouver, après tout pourquoi on laisserait une arme a un prisonnier, son katana lui avait été confisqué il commençât à serrer le poing et s’énerva

      Mais bordel ou est-ce que je suis

      Il prononça ces mots en frappant le mur de sa cellule, Tachibana s’adossa au mur et se laissa glisser, le bretteur devait a tout prix trouver un moyen de sortir de là pour retrouver son katana et reprendre la mer. En réfléchissant à un moyen de sortir un homme s’approchait des cellules il portait l’uniforme de la marine, l’homme utilisa un den den mushi pour s’adresser à ses collègue puits il s’adressa a une autre personne qui était dans la cellule en face de celle d’Akane. Celui-ci s’approcha pour écouter la discussion mais à ce qu’il comprit le garde dragua une prisonnière qui venait tout juste de se faire capturer rien d’important, mais notre jeune bretteur eut un sourire lorsqu’il entendit la prisonnière qui disait qu’elle allait devenir la nouvelle impératrice des mers.

      * En voilà une qui a du cran *

      Tachibana devait à présent repenser a un moyen de sortir il savait comment voler les clefs mais que faire pour attirer l’attention du garde.

      Si j’arrive à prendre les clefs je pourrai sortir mais je ne sais pas où aller et surtout il me faudrait une diversion sinon je n’y arriverais pas il me faut de l’aide.
      • https://www.onepiece-requiem.net/t482-fiche-tachibana-akane
      • https://www.onepiece-requiem.net/t440-tachibana-akane-termine
      Cette soirée avait été plutôt haute en couleur pour moi. En effet, mon concert, malgré ma présence sur les blues, avait été un vaste succès. Ici, je tenais plus du mythe, de la légende, tandis que dans le Shin Sekai j’étais certes une légende, mais parmi bien d’autres. J’étais une gloire, un être singulier dont l’existence ne pouvait être conçue par les esprits faibles. Mais pourtant, malgré mes morts, dont une seulement qui était parfaitement connue par le grand public, je trônais encore sur une scène, flamboyant, bien que mon style musique ce soit bien plus axé sur un violon …délicat, profond, empreint de respect à nos morts. J’avais fait un malheur, la salle était bondée, jusqu’à l’extérieur de celle-ci. Mon grand retour sur les mers inférieures avaient intéressés plus d’un, que cela soit pour son amour de la musique, ou pour s’assurer de cette rumeur inquiétante. Alalalala, quelle vie allais-je donc bien mener à présent ? Certes, j’étais né pour être face aux projecteurs, mais, maintenant, mon corps ayant traversé bien des épreuves et bien des âges, j’avais une préférence pour le recul, l’obscurité et observé, sagement, pour pincer les fils avec Maestro.

      Après ma dernière prestation au violon, ce concert rondement mené ; je me suis redirigé vers mon semblant de loge mobile, accompagné de cet horripilant agent qui ne semblait n’avoir que des fleurs à me jeter. Certes, en sa compétence d’agent financier et de publicitaire, il avait un réel don. Je n’avais jamais vu une information aussi rapidement transmise sur les quatre mers qu’avec un pareil homme, et il semblait toujours tiré des subsides d’on ne sait quel organisme comme pour le bateau de croisière qui me sers présentement dans mes déplacements.

      Après, j’avais un semblant de vide, je me rappelais juste le cri de surprise de ce petit homme me suivant comme mon ombre, et ensuite, le noir total, pour moi aussi. Et à présent …

      Cette cellule.

      Elle était plutôt sombre et glauque, mais ce n’était pas encore la pire dans laquelle il m’avait été donné de loger. Je me doutais bien que mon retour de Grand Line ne ferait pas que des heureux, mais je ne pensais pas que dès ma première apparition vraiment publique, on agresserait déjà mon agent et on me capturait de manière aussi …gauche.

      Je tournais légèrement la tête sur le côté, un mal de crâne étreignant mon encéphale, je pouvais voir à ma gauche trois jeunes gens, visiblement pris au piège au même jeu que moi. Ensuite arriva cette ostrogothe, ce marine à l’habit si peu soigné, à la représentation de cette geôle empuantie. Un de mes semblables semblait siéger à ma droite, ses poignets toujours liés par ses chaînes, sans doute plus par obsession, cette âme en peine ayant passé ses dernières heures rivées à ses menottes, bloquées, les bras levés, le torse à découvert. Asthénie, voilà ce qu’il représentait à mes yeux. Je voyais à nouveau, en cet instant clef de mon réveil, la chance qui m’avait été donné par ce fruit maudit.

      Pourtant, je ne pouvais encore que ressentir une certaine rancœur, pourquoi avais-je donc survécus à mes pairs ? Pourquoi aux Mugiwaras ? Pourquoi lorsque l’équipage est mort à petit feu n’ai-je pas disparu ? Pourquoi est-ce donc moi la seule flammèche bien faible ? Car il n’en était pas à douter que je fus le dernier recruté, mais aussi le plus faible d’entre eux. Et maintenant, je commençais à les surpasser, un à un, qui me restait-il donc encore ? Sanji, Zoro, Luffy ? Oui, la liste n’était plus longue. Mais ils étaient ceux qui avaient subis la plus forte évolution au cours des temps, l’un fut le plus puissant, les deux autres l’étaient suffisamment que pour faire de l’ombre à leur capitaine. Chacun aurait pu facilement créer son propre équipage, et y insuffler leur propre puissance, cela ne faisait aucun doute. Mais là était ce qu’il faisait la puissance de ce bateau, chacun avait une force qui lui était propre, mais il la mettait au service de l’ensemble, tout en nourrissant un projet personnel.

      Le retour à la réalité était difficile, mon regard se détacha de cet amas de chair décomposé, mes doigts commençant à se mouvoir d’eux-mêmes, sans le moindre bruit, même de la part des menottes, aucun son, une discrétion pure significative de l’habitude. Une première main de libérée, pendant que la femme et le geôlier se faisaient face, nul ne portait attention à un squelette bien habillé dans le coin enténébré de la cellule.

      Le marine ne tarda pas à partir, tandis qu’un autre homme commença à raconter les événements, ils étaient plus ou moins similaires aux miens, au détail près que nul ne m’avait coursé pour vol, n’en ayant pas commis, et bien sûr, je n’avais aucune envie de m’occire moi-même. La seconde partie de la menotte ne tarda à céder elle aussi, mon geste était habile, sûr, faisant tourné celles-ci autour de mon auriculaire, je ne me lassais pas d’observer le troisième luron hautement perturbé ayant déjà des rêves de libertés.

      N’était-il donc pas à son aise dans cette chambre luxueuse aux frais du gouvernement ?

      Un bon pirate devait pouvoir s’acclimater à tout milieu, même le plus hostile, et surtout partir du principe que tout milieu lui était hostile, par définition. Après tout, c’était la condition sine qua non pour qu’il soit pirate : qu’on ne le tolère pleinement nulle part. Une œillade à ce jeune blond ayant dans l’idée d’attenter à ma vie me suffit pour faire le constat simple : il n’était pas encore ouvert au monde. Certes, là était un noble projet que de vouloir me faire passer de vie à trépas, mais il était utopique en cet instant, la différence de puissance entre nous était flagrante. Du moins, à mon sens. Mon intervention ne pourrait que susciter des sentiments, cela allait sans dire, et j’escomptais que le noble pourfendeur allait savoir maîtriser ses pulsions meurtrières jusqu’à ce que l’on soit sorti tous de cette chambre si luxueuse que cela commençait à me fournir des étranges démangeaisons à mon séant. Mon rire ne tarda à raisonner à cette pensée antique, datant de ces jours où je possédais encore ma chaire, où j’avais encore le déplaisir de sentir les puces élire domicile dans mes vêtements qu’ils avaient semblés préférés à leur biotope premier : un lit malfamé.

      « Loin de moi l’idée de vous voler la vedette, jeune pirate de l’équipage des Gun & Gun’s. Mais je souhaiterais demander à cette jeune damoiselle si le nom de Boa Hancock lui est connu ? »

      Il s’était dressé, relativement grand pour la moyenne des humains, il n’en avait pourtant jamais égalé la grandeur de Barbe Blanche ou des Amiraux d’antan, mais il était grand, face à ses jeunes pousses. S’approchant de la jeune femme, avec son style maniéré de dandy conversant dans l’un des plus grands salons de thé de Skypea, il fit une courbette élégante, allant jusqu’à risque sa coupe afro à proximité du sol poisseux.

      « En espérant que l’énonciation de mon nom n’éveillera pas les aspects les plus belliqueux de l’âme de notre cher ami, je me présente : mon nom est Brook, et si je dois en reprendre la formulation de notre homme, mon dernier équipage fut les Mugiwaras. »

      Ce n’est pas que je voulais vraiment faire mon intéressant, mais l’idée d’exacerber quelque peu l’orgueil de notre Mizukawa m’amusait grandement. Après tout, il se pourrait qu’il soit la base même de cette nouvelle ère. Et dans ce cas-là …

      Mon intérêt serait grand.


      Spoiler:
        La fleur de Cherrytree Island écoutait les péripéties du blondinet sans réellement y faire attention. En effet, tout son esprit était occupé à retrouver les fragments manquant de sa mémoire. Tandis que ses mains jouaient mécaniquement avec un morceau de tibia pendant quelques secondes, les paroles du dit Mizukawa Sutero envahissaient la pièce, rompant le silence de cathédrale qui y régnait, si on excluait le léger et envoûtant bruit des gouttelettes qui se fracassaient sur le sol crasseux. De temps à autre, Fune assimilait certaines informations, telles que '...où se planquait les pierres précieuses...', ou bien 'Je suis avec lui dans la cabine...'. Evidemment, ces phrases n'avaient ni queue, ni tête hors de leur contexte, ou du moins pouvaient-elle être mal comprises. Alors que cette histoire de diamant l'intéressait au plus haut point, ce que la jeune demoiselle interprétait comme l'explication ou l'orientation de la vie sexuelle de son compagnon de fortune ne pouvait qu'avoir un intérêt très limité. Aussi roula-t-elle les yeux, un peu gênée par autant de détails, le laissant toutefois finir son histoire.

        Néanmoins, plus le pirate avançait dans ses aventures, la mémoire lui revenait, plus claire et plus concise. Ses yeux s'illuminaient un peu plus, la frustration disparaissant peu à peu de son visage. Oui, le puzzle prenait forme! Cette arrivée à Inu town, tôt dans la matinée, cette visite invariable et méthodique des nouveaux lieux qu'elle visitait, ce passage dans les thermes de la ville et ce concert dont tout le monde parlait, le fameux Brook, et donc cette envie de se détendre après plus d'un mois en mer...L'alcool coulait à flot, elle s'en souvenait précisément. Habillée avec classe, elle voulait rivaliser avec le violoniste, et éprouver du mieux possible sa condition de créature délicieuse. Enfin, que dis-je, d'impératrice des mers, ou plutôt d'égale à Aphrodite, déesse de l'amour et de la beauté. Et cela avait très bien fonctionné, et certainement trop d'ailleurs, si l'on considère que presque tous les hommes de l'assemblée avaient fondu sous son charme. Il n'y avait nul besoin d'une poitrine opulente pour attirer le regard des mâles, et Fune le savait. Une silhouette harmonieuse et féminine armée d'une tenue échancrée et d'escarpins pouvait venir à bout de n'importe quel célibataire endurci, et cela était d'autant plus vrai quand la démarche soulignait la beauté d'une croupe rebondie et des hanches en parfaite adéquation avec le reste du corps. Et pour le coup, cela lui a causé plus de problème que ça n'en a réglé. La ravissante Fuyuka, en cours de soirée, s'était attirée le regard intéressé de plusieurs marine, dont un qui semblait être leur chef. Evidemment, imbibée de rhum, la pirate en herbe devenait plus cassante envers ses prétendants, ce qui n'était pas au goût du capitaine.

        C'est à cet instant que le play-boy eut finit son discours, tout en se présentant. La femme, encore dans ses pensées, en fut extirpée sans trop le vouloir, probablement à cause du silence qui était revenu. Un sourire naquit au creux de ses lèvres, peinant encore à réaliser ce qu'elle avait pu faire la veille. En effet, elle avait toujours su garder une certaine mesure quand elle envoyait bouler les dragueurs invétérés et trop collants. Mais là, parler de la sorte à un marine, c'était une véritable première dont elle ne serait pas prête à oublier.

        -'Je l'ai...traité de grouillot? Je devrais boire plus souvent, moi...Oh! Moi c'est Fune.'

        Elle continuait à sourire d'un air angélique, comme si elle était fière de ses actes et de ses effets. Dans un sens, elle n'avait pas tord. Sa présence ici-même en est la preuve. L'officier en charge de ce bâtiment semblait corrompu jusqu'à la moelle pour en arriver là avec quelqu'un qui se refusait à lui. En effet, alors que Fune se dirigeât vers son bateau qui mouillait au port, et alors qu'elle empruntât en titubant des ruelles étroites et sombres, on la prît par surprise par derrière avec ce qui ressemblait à un torchon imprégné d'une solution soporifique.

        Et puis, sorti de nulle part, une voix résonna dans la pièce, lugubre et rassurante à la fois. Dans un claquement macabre d'os s'entrechoquant, un squelette chevelu se distingua des autres dépouilles. A vrai dire, il brillait par son originalité, en cela et qu'il était en vie, tout simplement. Tout ceci était franchement étonnant, pour ne pas dire effrayant. Pour autant, il n'en ressortait aucune animosité, contrairement à ce que l'on pouvait entendre dans les comptines pour enfants turbulents. La femme à la longue crinière de jais avait ouï des histoires terrifiantes sur les zombies du Shichibukai Moria. En faisait-il partie? Pour tout dire, La jeune Fuyuka croyait intimement qu'il ne s'agissait que de contes de fées, du moins l'était-ce jusqu'à présent. Mais là, elle était bien obligée de réviser son jugement. Quoi qu'il en fut, cet être étrange se présentait comme étant Brook, ultime rescapé d'une ère que beaucoup présumaient révolu. C'était donc lui, le fameux violoniste dont elle ne put voir le visage durant le spectacle de la veille...

        Elle sursauta d'abord, terrifiée par l'allure singulière de son interlocuteur, avant d'être finalement intriguée par la question pour le moins fascinante de ce dernier. Boa Hancock...Deux mots qui avaient un effet quasiment magique dans l'esprit de notre héroïne. Evidemment que ce nom lui était connu! Ses yeux pétillaient intensément, pendant que l'être étrange ne s'inclinât tel un gentleman aimable et éduqué. Quoi qu'on en dise, ce genre de manière touchait profondément la jeune femme, qui n'avait jusque là eu affaire qu'à des ours mal léchés en guise d’allocutaires. Et il se présenta. Fune comprit que son discours ne lui était pas complètement destinés, dans la mesure où il entendait bien, disons tester le blondinet, dont le but avouer était de lui faire la peau...si tant est que Brook en ait.

        -'Tu l'as connu? Nom d'un serpent, tu l'as réellement connu? Oh bon sang, j'y crois pas! Il faut absolument que tu me racontes! Elle était comment? Est-ce qu'elle était aussi gracieuse qu'on le raconte? Tous les mecs craquaient sur elle, hein? J'en suis sûre, elle était vraiment inimitable! Raaaaaaaanlala!'

        La ravissante fleur de Cherrytree Island gesticulait d'impatience. En fait, elle ne savait pas trop comment structurer son esprit, tellement les questions fusaient dans sa tête ça et là. Elle trépignait littéralement, ne contrôlant plus vraiment le volume de sa voix aiguë mais douce. Elle ne laissait pas le temps aux autres de s'exprimer, elle était vraiment inarrêtable, et on pouvait aisément sentir le bonheur parsemer ses hurlements.

        La belle Fuyuka aux yeux verts s'aperçut en s'agitant qu'elle s'amusait depuis le début avec l'os d'un cadavre, ce qui provoqua chez elle du dégoût. Elle jeta immédiatement au loin le membre blanchâtre, avec un petit hurlement, des nausées et cette irrépressible envie de se nettoyer les doigts...Mais avec quoi? Ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase, d'autant que le marine au physique imposant, assis près d'une table en bois frappa les grilles métalliques avec un bâton en réclamant le silence. Notre protagoniste maugréa qu'elle devait partir d'ici. Et, d'un seul coup, elle eut une idée. Cela lui coûterait, mais se considérant comme une princesse, voire plus, elle estimait ne pas avoir droit à ce type de traitement. Aussi, rapprochant ses bras de sa poitrine afin de les faire paraître plus gros, prenant une expression sensuelle, elle sortit d'une voix mielleuse et délicate:

        -'Eh! Beau gosse! J'ai bien réfléchis...et...Enfin, je veux dire...'

        Agréable surprise s'il en était pour le militaire, qui se rapprocha d'un pas lourd jusqu'à la cellule de la pirate avec un sourire pervers non-dissimulé.

        -'...Je me sens si affreuuuuuuuusement seule, et si serrée dans ma robe...', fit-elle dans un numéro de charme qu'elle semblait maîtriser à la perfection. 'Tu veux pas...?'

        Confiant sur son pseudo sex-appeal, le marine ouvrit la porte, matraque en main et sourire encore plus cruel en bouche. D'ailleurs, on pouvait distinguer l'imperfection de ses dents. Manifestement, le mot 'hygiène dentaire' ne faisait pas partie de son vocabulaire. Et à bien y penser, 'hygiène' tout court était à proscrire, tant l'odeur corporelle qui s'en dégageait était infect. C'était peut-être bien le fait de travailler dans cet endroit qui en était là cause, mais après tout, qui s'en souciait? Et alors qu'elle cherchait à réprimer cette envie de vomir, le bonhomme s'approchait d'elle afin de l'embrasser. C'est alors que, vive et agile telle le chat, elle releva le bassin et coinça ses genoux sur le cou du malheureux. Emporté dans son élan, il se fracassa violemment la figure sur le mur sur lequel était adossé Fune. Après quoi, une fois au sol, la demoiselle enserra très fort son emprise sur la jugulaire du bonhomme se débattant en vain et dont le nez saignait abondamment, jusqu'à ce que l'afflux d'oxygène vers son cerveau s'arrête et qu'il s'évanouisse. Ceci fait, elle s'empara des clefs qui étaient accrochés sur la ceinture du corps gisant au sol, et se libéra de ses liens. Elle fit de même avec le membre des Gun & Gun's, qui pouvait allègrement sentir une fragrance de vanille qui émanait de la jeune femme. Et puis, elle ouvrit la cage de Brook, et jeta un oeil sur les autres prisonniers. Presque tous étaient dans un état second, d'autres réclamaient la liberté. Mais un seul eut droit à l'attention de la pirate en herbe. Elle déverrouilla la porte qui le retenait prisonnier, et lui envoya le trousseau de clef afin que ce dernier puisse parachever son évasion.

        -'Toi, tu sors du lot...Tu pourras nous aider à sortir d'ici. Enfin, j'espère!', fit-elle à l'attention du jusque là discret garçon aux cheveux bruns.

        Ce qu'elle n'avait pas encore remarqué, c'est que plusieurs Den Den Cameras filmait la scène dans un léger mais sourd vrombissement. Fune pesta contre ces moyens de surveillances, avant de les anéantir toutes d'un coup en les pétrifiant.

        -'Mero Mero Mellow!'. Elle se retourna alors vers ses compères de fortune. 'Bon...Je crois qu'il faudra attendre avant que tu me racontes ce que tu sais, Brook! Quelqu'un connait le chemin vers la sortie?'

        Fune avait l'âme d'une chef, cela ne faisait aucun doute. Déjà petite, elle était la chef de son groupe, ou plutôt celle qui prenait les initiatives. Son charisme et son talent au combat faisait d'elle un leader naturel au sein d'une communauté de hors-la-loi. Mais bon, il semblait y avoir plusieurs individualités dans la bande nouvellement improvisée, et rien n'indiquait que tout le monde avait le même objectif. Et puis, accepter les ordres ou au moins les propositions d'une personne comme ça, ce n'était pas donné à tout le monde...
          « En espérant que l’énonciation de mon nom n’éveillera pas les aspects les plus belliqueux de l’âme de notre cher ami, je me présente : mon nom est Brook, et si je dois en reprendre la formulation de notre homme, mon dernier équipage fut les Mugiwaras. »


          Wouaah ! C'est toi brook ! Mes excuses pour hier, c'est pas de ma fautes si j'ai des penchant de meurtres, c'est ce qu'on appelle la folie d'un savant !

          Je pris un air surpris...Enfin...il me semblait, après...la tête que j'avais, je ne pourrais pas dire. Je reprend mon souffle tranquillement et je prête une faible attention à ce que faisait la jeune pirate. Une petite réflexion plus tard, j'ai trouvé que mon raisonnement de la veille était totalement incohérent à mes principes. Mais qu'est ce qu'on m'avait fait ! Était ce la balle qui était empoisonné et qui a fait que j'avais perdu tout contrôle de mon esprit ? Ou bien était ce à cause de l'amour de ma vie ? Impossible !

          Les hormones m'étaient surement montés dans le cerveau. Enfin bref, je n'ai plus aucune raison de le tuer, il était lui aussi enfermer dans la même prison et puis je pourrais jamais satisfaire mes envies, bizarre cette dernière phrase, je l'ai déjà entendu quelque part. Revenons où on était déjà...Ah oui, je suis dans une cellule lugubre, ça on s'en fou, je regarde le haut, poussant ma lèvre inférieur sur la supérieur et en haussant mes sourcils. Fort intéressant ce que je viens de trouver.

          Coupant ma réflexion, la pirate sorti son grand jeu et réussit à amadouer le garde. Bah dit donc, c'est qu'elle avait de la poigne la mignonne. Et il s'avérait qu'elle s’intéressait à Boa Hancock...Encore plus intéressant. Nous sommes quatre à être sorti d'ici, c'était trop facile à mon goût. Un parfum de traître dégageait du lieu. ça sentait vraiment mauvais, et j'allais pas me faire avoir une deuxième fois. J'accélère mes pas et je devance mes camarades de prison. D'une voix grave et après un petit toux, je leur confie une chose qui va surement leur donner un beau sourire.


          Moi, je sais comment sortir d'ici. J'ai le chemin en tête. ça sert d'avoir une bonne mémoire finalement.

          En fait, j'avais tout simplement regardé à la mairie les plans de la prison local. Pas pour m'échapper, mais pour y rentrer, seulement le hasard à fait que j'y sois aller sans le vouloir même si je le voulais. Je les laissais perplexe en cachant mes plans.

          Soudain l'alarme sonna, plus le temps de réfléchir à quoi que ce soit, leur seul moyen pour s'en sortir était de compté sur moi ou de fracasser tout ce qui bouge. On devait atteindre l'étage du dessus pour récupérer la grande clé qui ouvre l'antichambre, le lieu qui se trouve entre la prison et la grande porte.

          C'est parti ! Pour une petite fiesta ! Pour sortir d'ici, faudra récupérer une clé au prochain étage !



          Dernière édition par Mizukawa Sutero le Sam 16 Avr 2011 - 2:30, édité 1 fois
            Un squelette qui parle alors là ça devenait bizarre, les trois personne discutais mais Akane ne pouvait pas entendre ce qu’il disait il était trop loin. Tachibana se laissa tomber pour se retrouver assis en tailleur il soupira un grand coup et fouilla sa mémoire pour savoir comment il avait atterri aussi. Alors tout d’abord le souvenir le plus flagrant était de l’alcool un peu trop d’alcool ensuite un bar, un concert et une bagarre. Akane se souvenait s’être battu contre un groupe de personne et petit à petit son souvenir se remettait en route. Notre jeune bretteur était arriver à Inu town dans la journée, pendant une bonne partie de la journée il visita la ville et appris qu’un concert devait se dérouler le soir même, alors que sa journée se passait bien Tachibana décida d’aller à ce fameux concert joué par la star de la musique Brook, pourquoi ce nom ne lui était pas inconnu, mais avant le concert notre jeune héros décida de boire un verre dans un bar qui était au centre de la ville. D’après ses souvenirs le bar dans lequel il était allez n’avait pas très bonne mine, des murs moisi à cause de l’humidité, des chaises et des tables en très mauvaise état, un barman complètement ivre et peu de personne dans le bar, mais malgré sa Akane se posa au comptoir et commanda un verre de rhum, le barman le-lui donna dans un verre crasseux, mais à peine Akane avait-il prit son verre dans sa main qu’un homme s’installa à côté de lui. L’homme était encapuchonner Tachibana voyait à peine son visage, mais l’autre homme entama la discussion

            Bonjour jeune homme savez-vous que la grande star de la musique Brook vient jouer un concert ce soir.

            Euh oui je suis au courant je comptais y aller d’ailleurs mais pourquoi vous me parler de ça.

            Oh pour rien je voulais tout simplement être sûr.

            L’homme mit la main dans sa poche, Akane ne se sentait pas rassurer et prit dans sa main son katana prêt a le dégainer au moindre mouvement suspect, mais finalement l’homme étrange sortit un papier dans lequel Akane voyait une signature mais l’homme repris la parole.

            Sur ce papier il y a différente signature de star j’espère que je pourrais le faire signer a Brook.

            Tachibana fut soulager son interlocuteur paraissait un peu moins étrange et moins menacent. La discussion entre les deux hommes continuai on aurait dit deux amis qui se connaissait depuis longtemps et les deux hommes enfilais de plus en plus de verre d’alcool, mais alors qu’Akane commençait à être bien saoul, il grimpa sur le bar puis hurla de toutes ses forces.

            JE DEVIENDRAIS LE MEILLEUR EPEISTE DU MONDE, MOI LE PIRATE TACHIBANA AKANE.

            Il est vrai que l’alcool nous rend invincible enfin sa c’est ce que l’on croit, mais l’homme encapuchonner se leva et s’en alla sans un mot ni même un regard vers Akane, celui-ci décida qu’il était enfin temps de partir voir le concert. En sortant du bar il rencontra un groupe de personne il avait tous le même uniforme mais notre pauvre héros saoul voyais pas clair il ne savait pas qu’il avait à faire a des marines et ce qui posa problème c’est que Tachibana avait soudain une très grosse envie après avoir bu tous ces verre. Il déboutonna son pantalon et se relâcha a quelque centimètre du groupe de marine, ceux-ci n’avaient pas apprécié le geste du jeune bretteur et l’un d’eux poussa Akane il eut d’ailleurs du mal à ne pas tomber par terre. Sans réfléchir une seul seconde l’utilisateur du style shigure souen sortit son katana de son fourreau et menaçait le groupe tout en titubant, mais même bourré celui-ci savait se défendre il avait réussi à égratigner chacun des homme bon certes il avait pris plusieurs coup de poing et coups de pied mais il tenait encore debout puits alors que le combat continuait de plus belle Akane vit l’homme encapuchonner arriver , tout le monde c’était arrêter à l’arrivée de l’homme Tachibana s’adressa au groupe de marine.

            Vous allez voi ….. hip …. oir mon pote va …. hip vous botter les fesses.

            L’homme s’approchât tout près de Tachibana. Il retira sa veste et Akane remarqua qu’il portait le même uniforme que ceux contre qui il était en train de se battre et le temps qu’il réagisse il fut assommer par l’homme avec lequel il avait bu plusieurs verres.

            Donc voilà comment il c’était retrouver ici tous sa à cause de l’alcool, il eut un petit rictus c’était tellement bête qu’il décida de ne plus boire sans qu’il ait une personne de confiance pour le surveiller. Enfin bon il était toujours dans sa cellule et à présent la prisonnière faisait du charme au garde, celui-ci en avait de la chance car cette femme était sacrément bien rouler. Alors que le garde succombait aux forme avantageuse de la femme, en un instant celle-ci lui attrapa le cou puis étrangla son adversaire elle prit les clefs libera ses compagnon de cellule et s’approcha ensuite de la cellule d’Akane elle jugea bon d’ouvrir la porte et de lui donner les clefs. Tachibana s’empressa d’enlever cette chaîne puits sorti enfin de cette cellule pourris et nauséabonde. Il remercia d’un signe de tête la jeune femme puits un homme prit la tête du groupe en ouvrant le chemin Akane qui devait absolument retrouver son katana s’adressa a l’homme.

            Je ne sais pas pour toi mais j’ai des affaire à récupérer, sur les plan que tu as vu y avait-il une sorte d’armurerie ou de coffre. Tout en se retournent vers la femme il se présenta

            Ah oui je m’appelle Tachibana Akane ravi de vous rencontrer.

            Notre jeune bretteur devait à présent s’aider des évader qui était avec lui car maintenant il le savait il était dans une prison qui appartenait à la marine ou au gouvernement mondial tout ça n’allait pas être facile.
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            Mon entrée avait été ce qu’on pouvait appelé un succès certain. Certes, j’avais pris l’habitude d’être devant les projecteurs, mais ici, je n’avais ni micro, ni violon pour me distinguer par rapport à un quelconque quidam. Mon aspect cadavérique mis de côté, cela va sans dire. Les trépignassions de la jeune femme me firent quelque peu rire, malgré le contexte plutôt enténébré de l’environnement et l’odeur nauséabonde qui se dégageait de la pièce dont l’épicentre de cette insulte à mon odorat semblait provenir de ce Marine nous veillant d’un air assez vorace, bien que ses appétits soient plus dirigés vers la seule femme de notre groupuscule. Toutes les questions émises par l’Aphrodite en devenir ne m’arrachèrent pourtant nul parole de ma part, il y avait mieux à faire. Plus précisément, ils avaient mieux à faire, moi je me devais de retrouver ma canne épée qui m’avait semble-t-il était confisquée. Je me figeais lorsque le Marine crasseux s’approcha de la cellule de la femme. Je me doutais bien que ce cirque allait rapidement prendre fin lorsque celui-ci fit l’erreur de s’avancer dans la cage occupée par cette Fune Fuyuka.

            Une œillade à la table précédemment occupée par l’homme me renseigna sur l’emplacement de ma canne épée. En effet, l’avidité de cet homme avait fait qu’il s’était intéressé au plus haut point à l’œuvre d’ébénisterie qui était le bois de cette canne et il semblait rester perplexe devant la perfection de cette arme. Après tout, c’était un épéiste hors norme qui était parvenu à créer cette lame, un homme s’apparentant plus à un virtuose de l’art des 3 épées. De fait, en fin de vie, Zoro s’était lancé dans l’art de forger les lames, et il se trouvait que l’une de ses possessions était entre mes mains. Les autres, je n’en avais pas la moindre idée, je supposais qu’elles devaient toujours se trouver dans sa forge. Mais il n’avait que bien trop trafiquer avec Ussop et Franky que pour ne pas être parvenu à dissimuler celle-ci avec le plus grand soin à sa mort.

            La messe fut vite donnée à cet impie, je n’avais porté que peu d’attention à l’échauffourée qui s’était déroulée dans la cage voisine à la mienne. Mais je me voyais plutôt assez heureux de constater que je n’aurais aucun effort à produire pour me sortir de cette geôle qui commençait à me déplaire. Je n’avais jamais fort aimé le service 5 étoiles de la Marine avec en promotion la pendaison haut et courte, bien que pour ce dernier point, je ne risquais pas grand-chose.

            Mon pas était lascive, aussi élégant que possible, ma nature de gentleman et de Pop Star faisait de moi une personne qui se pensait toujours observée, je me devais de montrer que j’étais la perfection. Être au summum de la popularité, être le plus haut pour pouvoir observer plus discrètement, car nombreux sont les hommes qui sont éblouis par les projecteurs rivés sur ma personne. C’est dans le feu de l’action que je peux me montrer le plus discret dans ma tâche.

            Un phénomène attira mon attention au plus haut point : l’utilisation d’un fruit du démon. Et pas n’importe lequel. Cette femme qui semblait vouer un certain culte à Boa Hancock …en possédait le fruit. Ce fruit que j’avais toujours trouvé d’une puissance rare, certes moins offensive que le fruit des Séismes de Edward Newgate, mais il influençait directement les gens, les prenant par le sentiment le plus noble et le plus sincère de tout être : l’amour.

            M’avançant dans la pièce en direction de la table, je ne tardais à prendre un mouchoir de ma poche pour me saisir de mon arme que je nettoyais soigneusement. Une obsession me tiraillait depuis bien des années maintenant : la propreté de cette arme, la perfection de celle-ci. Elle était devenue autant l’extension de mon âme que mon violon, qui, par chance, était resté auprès de mon agent dans ma loge improvisée. Je ne doutais pas un seul instant que ce dernier en avait pris soin, étant mon outil de travail et son gagne pain personnel. Mon attention se porta vers les deux hommes, l’un semblait avoir quelque chose à récupérer. D’après sa musculature dorsale développée et un bras d’arme plus tracé que l’autre ainsi que sa démarche souple, je ne pouvais que noter son appartenance au corps des épéistes, est-ce que c’était donc son arme, pièce sans doute plus fonctionnel que belle qu’il devait récupérer ? J’en avais bien l’impression.

            Cette alarme m’irrita les oreilles, ainsi donc, les festivités commençaient. Jetant un regard au jeune pirate qui semblait être le plus puissant du trio, je compris qu’il fallait que l’on monte d’étage. Une fois mon manche entièrement remis à neuf, ma main s’y serra, chaque doigt me faisant l’effet de s’y coller.

            « Reculez je vous prie. »

            S’ils n’avaient pas pris acte de mon avertissement, sans doute l’aura de puissance qui se dégageait de mon corps les y contraint, mes doigts se serrant sur le manche, je me dressais vers le plafond, mon corps devenant une véritable source d’onde, chacune renforçant cette impression d’autorité provenant de moi. Le mouvement fut vif, ma lame un véritable éclair, je ne bougeais même pas de mes appuis, le coup parti à une vitesse folle avant que la lame ne se rengaine comme dans un automatisme. On pouvait sentir comme un sifflement dans l’air, harmonieux, tandis que je m’avançais vers la jeune femme tout en énonçant clairement ma technique.

            « Hanauta Sanchô, Yahazu Giri. »

            Je levais ma main avec une forme d’autorité certaine, une aspiration subite se fit sentir, chacun pu en sentir la force d’attraction tandis que la lame d’air se jeta contre le plafond, nous ouvrant un passage d’une circonférence empirique.

            « Puis-je me permettre d’accompagner la future Impératrice au niveau supérieur, comme il sied à son rang en devenir ? »

            Ma main était tendue, hypnotique, chacun s’était distingué par des mots, mais nous n’étions encore que deux à avoir vraiment agis. Certes, cette entrée à l’étage ne manquerait pas de panache ni de nous faire remarquer, mais je n’en avais cure. Nul ici n’était vraiment en mesure de stopper mon avancée, car là était ce que j’avais hérité au cours de ce siècle passé à errer : la force de l’âme, l’assurance en ma puissance. Une fois la jeune femme liée tactilement à ma personne, j’enroulais de mon autre bras sa taille avant de faire un bond d’une hauteur saisissante, faisant sortir Fune et ma personne de ce trou à rat puant.
              [Hrp:ça date tout ça, bon je vais clore mon rp, désolé si c'est vaseux, mais obligé vu que Fune à été supprimé malheureusement]

              Je laissais le squelette accompagné de la fille s'élever après avoir fracassé le mur du haut. Phénoménal ! Puis quelque instants plus tard perturbé par le son de l'alarme, je perdit de vue le jeune bretteur. A peine je fît quelques mètres pour trouver un escalier qu'un garde m'interpella. Ce dernier avait prit son courage à deux mains et croyais bien faire en essayant de calmer ce foutoir seul. Pauvre de lui, il espérait sans doute une promotion, en voilà une belle. Va rejoindre la mort ! Elle te montrera le chemin.

              Je cours vers lui pour lui enfoncer un bon coup de pied dans la mâchoire, a peine eut-il le temps de dégainer son arme qu'il fût dégager du round en moins de deux. Bah dit donc, c'est que j'étais véloce sans être imbu de moi même. Je regarde autour de moi, aucun Visio-Escargot. Mais que faisait il de l'argent du peuple ? Bon, pas le temps de se poser ces questions, je vais devoir prendre ces habits et sortir incognito tout en reprenant mes armes.

              Je le traîne vers la cellule à l'abri des possibles regards, voilà ! Arf, je n'aimais pas spécialement cette couleur, un peu trop vivante pour moi. Maintenant il va falloir le tuer d'une manière brutale. Je chope ses cervicales, j'appuie pour élever la pression, je relâche et d'un coup sec, je le frappe à la nuque. Soit il est mort directement ou bien il se réveillera tard le soir. Finalement je le cache sous les nombreux squelettes et je sors tranquillement.

              Un marine m'interpelle pour savoir que c'était il passé, je leur répondit que des prisonniers s'étaient échappés et qu'ils venaient de monter par le haut de ce trou. Puis je lui dis où se trouvaient les armes des prisonniers échappés pour les garder sous contrôle et ainsi ils ne s'en serviront pas...C'est alors qu'il me laissa comme un guide, un matelot troisième classe. En avant l'ami, vers la sortie ! Quelques minutes plus tard, après des Boom et des Baam et toujours cette foutue sonnerie ! J'étais enfin arrivé au lieu, je prit donc mes armes, demanda au matelot de prendre les autres. Tout en lui disant que j'allais sortir prévenir ses supérieur situé à l'extérieur. Gentiment, avec tant de confiance et de naïveté, il me conduisit vers la liberté. Quelques saluts envers les marines postés plus tard, je sortis avec classe...Bon c'est vrai que ce que je portais, c'était pas de la haute couture, au moins je suis bel et bien vivant ! Sentir l'air se caresser sur ma jouer, voir les nuages défiler...ça c'était vivre !

              Maintenant je dois faire quoi ? Ah oui, faut que je les sème pour aller chez ma bien aimée...Ah j'y crois pas, elle est encore en vie ! Cela me fait tellement de bien que je n'ai même plus envie de tuer ni de faire souffrir les gens. Plus que deux pas à faire pour sortir de ce cercle de brique qui entourait l'enceinte. C'était pas aussi grand que ça à vue d'oeil, c'est ce qu'on appelle une mini-prison comparé à des photos d'Impel Down que j'avais vu au marché noir.

              Quelques temps plus tard...''Aux arrêts ! Vous là bas !''

              Oh non malédiction, ils m'ont suivit...Je m'arrête pour regarder leur nombre, ils sont quatre ? Ouais ça passe, j'espère qu'ils pourront rivaliser, ça me donnera de l'exercice. Et en avant pour le premier ! A quoi bon crier, balance juste une petite phrase, du genre...Death Kick Of Water Dragon !
              Je fais tourner majestueusement ma jambe droite, puis je prends du soutien avec ma jambe gauche pour accentuer mon coup ! Mon pied se colle sur sa face qui elle se décolle preque de son visage, sa tête frôle la terre...De la poussière se met en travers ma vision. Vlam un coup de face par deux autres marines ! Dit donc, c'est qu'ils en avaient de la poigne, au point de me faire reculer à deux ? Pas le temps de rigoler, il va bientôt faire nuit. Je sors donc une lame tranchante de ma ceinture, me prenant encore quelques coups au même moment. Enfin j'attrape le bras d'un marin puis je lui coupe les veines, un cri de douleur sortait de sa petite gorge ! Ah que c'était bon ! En plus il y a du sang miam ! Occupé à admirer ce spectacle comme il se doit, je reçoit un coup d'épée sur le bras droit ! Alors ça va pas se passe comme ça ! Je ramène le marine qui saignait vers moi, je me recule légèrement. Je vois les deux autres hésiter puis foncer par peur, c'est là que j'égorgeais devant eux leur camarades. Je sortit mes couteaux de mes souliers grâce à un mécanisme tout bête et je frappais du pied droit tout en me basant sur la stabilité de mon coté opposé. Un coup de pied dans le ventre, je retire ! Un autre dans le cou et s'en était fini ! ! Ah mince j'oubliais le mec au sabre qui n'arrêtais pas de me donner des coups dans le bras droit. C'était peut être beau tout cette effusion de sang ! Mais là y'en a vraiment marre !

              Mizukawa Sutero !

              Pour qu'ils se prenaient à combattre avec des armes surtout à plusieurs et sans la moindre idée de qui ils affrontaient ! Je prit mon katana et le frôla avec son arme...Des crissements de fer résonnaient, quelques coups pour s'échauffer et je le désarme. Pas très fort ce gamin, il mérite pas de vivre, mais c'est pas moi d'en décider. Je sors alors une pièce en or fétiche que je garde précieusement et vous avez pas intérêt à savoir où je la cache. Pile tu meurs, Face tu vis ! Bah mon petit, la chance n'est pas avec toi ! Je lui donne donc le coup de grâce mérité. Me retournant appuyant sur mon bras droit grièvement blessé, j'aperçois le premier marine que j'avais éclater toujours en vie, effrayés par les évènements. Je dirais même, terrorisé. Je m'approche de lui et je lui dit...

              Tu diras à tes supérieurs que la prochaine fois qu'ils m'envoient en taule, Moi ! Mizukwa Sutero ! Qu'ils m'envoient en chambre confort !

              Je marche donc vers l'ouest, en direction de la forêt pour partir vers la droite, puis la gauche et ainsi de suite. Je grimpais aux arbres et je sautais de branches en branches pour brouiller les pistes. Enfin, Je traverse un champ de maïs et c'est là que j'aperçois cette vieille maison en terre cuite...Ah tiens ça sent la soupe...Toc Toc Toc...Voilà que j'aperçois le jolie sourire de Masumi...

              *Salut chérie...Ah si seulement je pouvais la prendre dans mes bras, si seulement elle m'avait reconnu*

              Bonjour, c'est moi, j'ai nulle part où aller ce soir, vous pourriez m'héberger cette nuit, qui plus est je suis extrêmement fatigué.

              *Ou'ais enflure, on va te donner de la bonne soupe pour que tu puisse faire un bon Dodo!*

              Il n'y pas de soucis, j'ai de la soupe en trop si vous voulez...

              Volontiers...

              Un sourire et un Bol de soupe plus tard...Voilà ce qui c'est passé ! [La suite, vous la trouverez sur la fiche technique: Titre Sayonara]