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On boit, on mange et on s'bastonne !

    Fiouf…

    En ouvrant le sac plein de billet, mes yeux furent illuminés comme jamais auparavant, un soulagement énorme sortit de mon gosier, moi, Satoshi Noriyaki, avait commencé fort en détruisant un bateau et en décimant un équipage Pirate, mais bon, j’me demande quand même bien où je vais atterrir cette fois ? Peut être une île bourrée de trésor ou je pourrais pioncé entouré d’or, ouais mais là c’est un rêve, ça m’étonnerais fort bien que ça m’arrive maintenant, dormir dans de l’or, faudrait être pété de thunes et avoir quelques centaines de millions de berrys sous le bras, et d’après mes calculs, un casino coûtera 50 000 000 de Berrys d’investissement, pour une moyenne de 10 000 000 de Berrys de bénéfice par mois, ce qui fait 5 mois d’attente à se la couler douce pour pouvoir reconstruire un casino. Donc c’est rentable hein ? Mais le problème c’est le premier, le premier sera le plus dur, celui pour lequel je vais devoir me salir les mains en volant, arnaquant et vendant. Le plus intéressant serait de croiser un bateau marchant ou un truc dans le genre qui vend des antiquités à des prix exorbitant aux personnes âgées, les petits arnaqueurs des mers quoi, mais ces petits arnaqueurs sont bourrés aux as et ne sont pas protégés, si j’arrivais, par le plus grand des hasard à croiser un de ces bateaux, je me rapprocherais d’un grand pas des 50 000 000 nécessaires à la construction du bâtiment. Mais j’y pense… Les berrys ne sont qu’une partie de la marchandise qu’on trouve sur un bateau itinérant, sur des bateaux comme ça on peut trouvé toutes sortes d’armes, de vêtements, qui se revendront sur le marché à un prix honorable.

    Niak Niak, mon ascension en terme d’argent allait se faire plus vite que prévu après tout non ? Ha… Merde la barre, oh mais c’est quoi ça ? Un bateau ? Barre à Bâbord flibustiers ! Merde je suis tout seul, quelle merde là… Bon ben je la mets à bâbord cette enflure. Bon ben voila, avant d’avoir de l’argent me faut des matelots sinon ça va pas le faire, quelqu’un de mon rang ne devrait pas avoir à faire ça, moi je dois être sur le terrain et faire ce qui me plait, et ça me plait pas ça. Psshhh, j’me rapproche de plus en plus de ce navire ! Euh non, c’est pas vraiment un Navire marchant ça, des hommes en bleu ça se rapprocherait plus de marin, mais moi je veux pas taper de marin, ce que je veux c’est piller des marchants qui ont beaucoup d’argent… Si je fais les poches des marins je vais obtenir quoi ? 1000 berrys à tout chier non ? Ben moi je veux que ça se compte en millions donc ce sera pas pour tout de suite, quoi que…

    - Hé toi là bas ! Pourquoi ce pavillon, serais tu un pirate ?!
    - Attendez… Ah, mais oui, vous êtes perspicace.
    - Arrête toi, baisse les voiles !
    - Bien sûr.

    Je baisse les voiles, le bateau ralentit, et les hommes en bleu peuvent enfin monter à bord, finalement c'est pas si mauvais de faire les poches de marins, peut être qu'ils ont des trésors dans leur bateau non ?…Mais bon, ça me fera un peu d’exercice et de l’argent, qui sait, peut être que ça me servira pour de prochains dur combats. Je les laisse fouiller le bateau, de toute façon, ils ne savent pas que l'argent volé est caché en dessous d'une des planches en bois du bateau, alors j'ai pas de souci à me faire, d'ailleurs, pourquoi il me tourne le dos ? Ce sont des débutants ou quoi ? Mhh... Je cours vers eux, et le pousse à la mer, l'autre se met immédiatement en garde. Mais c'est vachement dangereux un combat sur un bateau ... Tsss, bon, j'ai une idée, leur navire est beauocoup plus grand et ce sera un jeu d'enfants d'y aller, vraiment. Donc, ils sont arrivé en sautant d'en haut, je vais faire la même chose, pendant ces pensées captivantes et compliquées, j'esquivais les différents coups de sabre remplis de mouvements superflus, et l'autre, ayant tout à l'heure été jeté à l'eau, remontais péniblement sur mon bateau. Bref, je donna un coup de pied, avec la pointe de la chaussure dans le talon, un coup qui permet de fuir, mais je n'allais pas fuir. Je monte sur la cabine, saute sur le mât et attrape la rambarde du bateau marin, tout ça... En perdant ma cigarette ! Bowdel ! Bon tant pis j'en grillerais une autre quand ce sera fini. Fin bref, eux ? Ce qu'ils font ? Ils appellent à l'aide, il doit y avoir des gens partout dans ce bateau. Bon ras le bol, je me casse ! Mais je pique quand même les 1200 Berrys qu'il y a dans les poches de ce marin fufufufu Haaa ! plein de monde qui arrive, vite ! Je monte sur le 50 berrys, pour naviguer jusqu'au loin, enfin loin... Pas trop parce que le navire marin fait 10 fois la taille de mon petit bateau... Bon ben là j'ai plus le choix, je prend une bouffée de fumée, je plonge, et j'arrache le gouvernail du bateau marin. Voila une bonne chose de faite ! Bon voila.


    ~~~~ Des heures passent, j'ai réussi à fuir ~~~~

    Ca faisait vraiment du bien un peu de calme quelques fois, vraiment. Je m'arrêtais pas souvent mais quand je m'arrêtais, je frappais fort, assez fort pour que tous les petits marin du menu fretin me craignent. Ca faisait partie de mon rêve, mais pour être vraiment connu, ce qu'il faut c'est une prime ! Mais pour ça il faut faire peur au Gouvernement, et c'est pas en envoyant les menu fretins se plaindre qu'ils vont bouger leur petit doigt ! Ce qu'il me faut c'est un Commandant, voir pire ! Un Colonel, un Ripoux en plus ! Mais je m'enflamme, il faut que j'arrête de penser, parce que je me rapproche du Baratie. Je jette l'encre et saute sur leur bateau, j'entre dans leur majestueux bateau, noir de monde, deux tables qu'il reste ! C'est vraiment ma chance ! Je m'assoie à une table, bien tranquillement et commande un homard. Une bonne nourriture pour un futur Empereur non ? Je regarde les gens autour, une majorité de personne est vêtue d'un costard cravate, et un petit groupe semble louche, un pirate certainement, enfin on verra par la suite.


Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Dim 15 Juil 2012 - 17:22, édité 5 fois
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J'étais dans une sorte de petit bateau ressemblant plus a une barque que autre chose, allongé à l'intérieur, la voile microscopique faisant avancer péniblement la frêle embarcation. Celle-ci semblait être sur le point de se détruire et moi, comme un imbécile, je me retrouvais coincer dans celle-ci avec l'incapacité total de nager. Pourquoi? Tout simplement parce que un peu plus tôt, j'avais mangé un fruit du démon, celui-ci provoquer la douleurs a l'intérieur même de mon corps et, j'avais remarquais qu'il faisait mal à d'autre personne. Malheureusement, j'avais beaucoup de mal à contrôler ce nouveau pouvoirs, un pouvoirs qui pour le moment, en dehors du faite que la douleurs qu'il provoquait sur mon corps me réjouissait, m'indisposer plus que autre chose. Pour le moment ce qui m'indisposais le plus était la faim, mon ventre gargouillait régulièrement réclamant à manger, je possédais un peu d'argent ce qui m'aurais permis d'acheter de quoi me nourrir mais cela ne servait à rien en pleine mer.

Grognant je m'assis lentement pour regarder à l'horizon, j'étais perdue ne possédant aucun talent pour la navigation,je m'étonnais même d'être encore vivant, ma gorge desséchée me gênait particulièrement et, dans le but de remédier à ça, je saisis mon katana et m'ouvris le bras sur une longueur de 10 centimètres avant de porter la plaie à mes lèvres m'abreuvant de mon propre sang. La douleurs se propagea lentement à l'intérieur de mon bras tendit que ma gorge s'abreuvait goulument du breuvage que je lui offrais. Après une dizaine de seconde, je retirais mon bras avant de soupirais, je venais de me rendre compte que cette blessure allait couler encore un bon moment si je ne le refermais pas. Fouillant un peu partout, je fini par trouver un morceau de tissu suffisamment grand, ne sachant pas ce qu'il faisait la, je ne m'en préoccupait d'ailleurs pas, je me fît un bandage sommaire tout juste bon a empêcher le sang de couler, celui-ci se tâcha rapidement de rouge. Une masse sombre apparue à l'horizon, large, cela semblait être un navire, je me dirigeais vers celui-ci, lentement, lorsque je fût plus proche je vis écris en gros dessus qu'il s'agissait d'un restaurant. En réponse à cette lecture mon ventre gargouilla violemment.

Quelques minutes plus tard, j'amarrais mon navire si l'on peut appelé sa comme cela avant de débarqué à l'intérieur, lentement, la porte s'ouvrit sans un bruit, la salle était bondé, des gens était présent partout, plus ou moins richement habillé, heureusement pour eux je n'était pas la pour faire du grabuge sinon il y aurait rapidement eu quelque mort. Je regardais un peu partout, il restait une unique table de livre a coté de certaine personne qui s'habillaient en costard cravate, chose plutôt répugnante d'après moi qui me donnait une énorme envie de tuer. Je me retint avec peine, contrôlant mon fruit du démon afin de ne pas me faire remarquais et je m'assit. L'un des serveur vînt prendre ma commande, il semblait avoir quelque doute sur le faite que je possédais de l'argent et je dus sortir les quelque berry que je possédais afin de le convaincre. Je prit un repas au pif, apparemment il allait s'agir d'un plat de pâte avec de la viande, simple mais qui remplissait le ventre ce qui me convenais parfaitement. Je me balançais doucement sur ma chaise attendant patiemment ma commande. Un groupe de personne se détacher des autre, habillé de façon moins 'classe' ils était armée et ne semblait pas être de gentille personne du monde. Je souris, peut-être qu'il allait y avoir de l'animation dans le coin, peut-être que j'allais m'amuser un peu. En aucun cas je ne pensais à mourir, c'était une chose que je ne pouvais envisager, une chose qui n'existait pas, seul les autres disparaissait, moi, je me situé dans le centre de l'univers, le maître de celui-ci décidant si tel personne allait mourir.


      Mhhh

      Observant avec attention les personnes présentes dans la salle, je buvais tranquillement le divin breuvage que j'aime tant appelé Whisky. Mon plat arrivait, un plat de spaghettis accompagné d'escalope Luvneelienne. Un régal pour les papilles et une envie présente de re-goûté à cette nourriture que je mangeais si souvent dans le temps. Je remercia le serveur poliment, et en ouvrant la bouche tel un goret, j'attaquai la magnifique viande en premier. Tout en regardant les faits et gestes du groupe louche et de l'homme arrivé plus tôt. Sa dégaine et son sabre brillant... Cet homme le nettoie, il n'y a pas longtemps il était tâché de sang, ce qui veut dire que c'est un pirate sanguinaire, comme ceux que je déteste. C'est d'un ridicule de tuer des gens pour rien, pour le plaisir ? Avoir le plaisir de tuer c'est revenir à l'état d'homme préhistorique. Et encore, ils tuaient parce qu'ils en avaient besoin, pas parce qu'ils en avaient envie. Pour moi la vie sur ce globe avait commencé sans l'homme, et il se terminera sans lui. Tout en pensant à diverses choses plus loufoque les unes que les autres, je termine mon assiette et je relève la tête quand je vois ce pirate habillé d'une manière grotesque se lever, pour se diriger vers la sortie. N'empêche que j'aime vraiment pas ça, ces garçons ne trouveront jamais de femmes consentantes, des bougres qui ne méritent pas de vivre ces enflures de première. Là, ce n'est pas par envie que je vais les tuer, mais par nécessité ! Allaient ils sortir ou pas ? La question était là, devais je me lever maintenant pour engager le combat ou devais je rester en retrait et attendre que le maximum de clientes partent ? Je ne savais pas là, il fallait que je prennent une décision. Mais... Que vient il de faire ?! Il a osé renverser le verre d'une gente dame en tapant dans sa chaise ! S'en est trop. J'y vais.

      - Eh vous, le gars habillé comme un clochard là bas ! Excusez vous. Immédiatement.
      - Qui est tu pour me parler sur ce ton civil insolent ?!
      - Je ne suis que la noble personne qui a détruit le Soul'n'Blues à Logue Town. En clair, un pirate. Ai-je répondu à votre question, noble clochard ?
      - Comment oses-tu ...

      Suite à ce court dialogue, l'imbécile aveuglé par la colère venu suite aux mots que j'avais prononcé fonça sur moi tout en dégainant son revolver, mon premier réflexe fut celui de tout autre personne normalement constitué et en bonne santé, celui d'attraper une table et de se protéger avec. Évidemment, une balle passa au dessus de mon épaule qui déchira ma veste et ma chemise, un acte impardonnable selon moi, qui mérite que je lui foute un coup de tatane dans les bistouquettes. Me relevant pour voir ce qu'il faisait, je me rebaissais tout de suite ayant remarqué qu'il avait toujours son arme pointée sur moi. Il tira une rafale qui encore une fois n'épargna pas mon costume. Il fallait que je réfléchisse et vite. Mais je remarquais que toute les personnes dans la salle étaient paniqué, mais qu'en était-t-il de l'homme au sabre propre que j'avais vu entrer tout à l'heure ? Peut importe, j'avais trouvé. Je pris les pieds de la table pour la lancer sur l'ennemi, qui recula d'un bond pour l'esquiver, mais mon jeu de jambe m'avais déjà permis de me rapprocher extrêmement près pour glisser sous la table et lui asséner un puissant coup de talon dans les bijoux de famille. L'homme essayait de faire passer la douleur, je le savais, car j'avais eu moi aussi la mal chance de recevoir un coup dans ce genre. Malgré ça il était encore concentré, je me releva derrière lui mais son temps de réaction avait évidemment diminué suite à la douleur du choc. Le temps qu'il se retourne j'avais déjà plié ma jambe, pour la tendre net et lui casser la mâchoire. Assommer, et en difficulté, tous ses hommes se levèrent. Il y avait du boulot.





    Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Lun 18 Avr 2011 - 17:15, édité 2 fois
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    J’attendais mon repas, patiemment, un repas qui j’espérais serait à la hauteur de mes attente, en effet, j’avais très faim, une faim sans pareille et surtout j’avais soif, le sang que j’avais bu, mon sang ne suffisait plus, il me fallait de l’eau et, au mieux de l’alcool afin d’être tranquille pour un bon moment. Rien ne valait l’alcool pour se sentir bien. Je me balançais donc tranquillement sur ma chaise en attendant mon repas, et celui-ci arriva, rapidement, fumant et dégageant une bonne odeur qui fît gronder mon estomac. Je payais directement afin d’être tranquille, tout mon argent y passa, d’un seul coup ce qui me désespéra légèrement, obtenir de l’argent était difficile dans ce genre d’endroit et cela n’arrangeais pas mes affaires. Je commençais à manger ne faisant plus attention à rien, mon monde ne m’intéressais pas pour le moment, tout ce qui m’intéressais, c’était les pates et ma viande, le reste n’avait aucune importance. Le goût de ses aliments était absolument formidable, travaillé à la perfection, je ne regrettais pas d’avoir déboursé tout mon argent pour se repas, un pichet d’eau me fut servie avec mon repas et je me servis un verre que je vidais en quelque gorgé.

    Il y avait du bruit autours de moi, loin, je n’entendais pas bien, non parce que j’étais sourd mais tout simplement parce que je n’y prêtais pas attention, cela ne m’intéressais pas, ce qui avait autours de moi n’était pas mangeable, sauf les humain mais je n’allais pas manger quelqu’un en plein milieux d’un restaurant. Je fermais les yeux afin d’en apprécier encore plus le goût, autours de moi il y avait des bruit de combat, des gens se levait brusquement, je rouvris les yeux afin de prendre une autre boucher lorsqu’une chaise atterris pile sur mon assiette et me frappa au visage. Je tombais violement en arrière et ma tête cogna sur le sol, la souffrance m’envahit et me fît sourire, je repoussais la chaise qui m’étais tombé dessus avant de me relever et ce que je vis me mît en colère. Quelqu’un avait détruit une partie de mon monde, mon assiette était en pièce et mon repas éparpillé, je poussais un crie de rage en regardant autours de moi pour chercher les responsable, mon regard se posa presque immédiatement sur les pirates qui c’était levé afin de combattre un homme en costard.

    Je dégainais mon katana, lentement, de l’autre main je sortie ma dague avant d’avancer vers les pirates, ils allaient disparaître de ce monde, mon monde, ce monde ou ils avaient violé les règles, des règles importantes qu’il ne faut surtout pas violer. Un homme me remarqua et me fonça dessus, je lançais ma dague qui se planta dans son ventre, celle-ci recouverte de soude fît immédiatement effet, un effet dévastateur puisqu’il hurla de douleurs en retirant la dague, je parcourue la distance qui nous séparais et lui plantais mon katana dans la gorge, il mourut dans un gargouillis de sang lamentable et je léchais ma lame. Enfin on faisait attention à moi et mon pouvoir se déchaîna, néanmoins je parvins à en limiter les effets afin que les douleurs ne touche pas les jambes se qui m’aurait gravement handicapé. La série de douleurs toucha tout le monde, un par un, a un seul endroit, plutôt forte, je les subissais toutes, en souriant, cela me faisait du bien, et les personnes touché criait le plus souvent de surprise puis, immédiatement après de douleurs.

    Je continuais d’avancer, me crispant de temps à autres lorsque la douleur apparaissait dans les lieux moins confortable que d’autre, j’enchaînais la souffrance, mon monde devenais le bonheur total, remplie de souffrance et de crie. Une autre douleur m’atteignit à l’épaule droite, non a cause de mon fruit du démon mais simplement a cause d’une balle qui m’avais touché. Je couru sur le tireur lui rentrant dedans, il ne m’esquiva pas et encaissa le choc avant de me mettre un coup de poing dans le ventre. Mon pouvoirs se mit a agir sur lui, il cria de souffrance et je lui enfonçais mon katana dans le ventre, c’était un jour parfait, un jour ou le chaos régnait et cela me plaisais énormément.
      Partie II : Dégonflement puis soif d'argent





        Rien de rien. Je n'avais rien compris du tout. Ils s'étaient tous levés, puis, dans d'abominables cris, leurs corps tombaient les uns après les autres, si ça n'était pas vite nettoyé, une odeur grotesque de cadavre embaumerait la salle, contribuant ainsi à la chute de leur réputation, et à la fermeture de l'illustre Baratie dont la qualité d'accueil et de nourriture n'aura jamais été égalé. Dans un pivotement rapide de mon corps, j'entendis le dernier cris, celui d'une personne qui, par un Katana, se fit littéralement percé, imbibant l'arme de sang qui, auparavant offrait une propreté et une brillance sans égale. Dans la chute de ce personnage, un autre apparu, celui au Katana. Une chevelure brune, accompagnée d'un visage jeune, et un sourire, un sourire qui représentait avec merveille celui des tueurs en série. Ceux qui prennent un malin plaisir à tuer, ceux qui doivent être rayés de ce monde.

        Un long silence, une vision ralentie sur cet homme, et un corps tombant pour enfin revenir à la réalité. Des cris de douleur, de panique, et de toutes autres raisons emparaient par leur vacarme épouvantable le navire sur lequel j'avais une certaine joie de venir, mais maintenant, une certaine déprime me prend. Mon envie de me battre s'estompe, car j'ai mis au tapis celui que je voulais. Au final, ça ne m'aura rapporté que des malheurs, car je n'aurais aujourd'hui, pas récupéré de Berrys. M'asseyant sur une des rares chaises encore présente et entière, je me rendis compte qu'en déclenchant cet affreuse et sanglante bataille, les nombreuses femmes de qualité que j'avais repéré s'en était allé. Un lourd affront à ma doctrine que j'avais fait là, et un seul moyen pour me pardonner : de l'argent. Je suis un pirate pas un enfant de cœur, il faut que je me reprenne, un pirate pille, cherche des trésors, il ne va pas diner dans un restaurant de qualité.

        Reprenant un brin de courage, je me levais d'une traite de ma chaise en la faisant tomber, et plus rayonnant que jamais, j'enjambais les cadavres laissés par le cruel et sanguinaire homme. J'avais en effet regardé ces hommes tomber les uns après les autres, mais sans avoir forcément le temps d'agir. Un étrange pouvoir était en sa possession... D'un regard il les faisait souffrir, mais en y regardant bien, j'ai pu remarquer qu'il sourcillait à chaque attaques, un peu comme un contre coup. Laissant les cuisiniers qui étaient arrivé il y a peu l'attaquer pour le distraire, je m'éclipsais petit à petit vers la cuisine, partant chercher le coffre dans lequel se trouvait la fortune qu'ils avaient amassé, je slalomais entre les différentes tables, pour arriver dans une pièce, dans le fond. L'ombre d'une silhouette grande et massive se laissait étirer par la lumière, la silhouette du détenteur officiel du Baratie.

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        Satoshi Noriyaki
        Jazz Fitgarad Kintoki...!


      Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Lun 18 Avr 2011 - 17:16, édité 3 fois
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      Mon arme ressortie du ventre de mon adversaire, lentement, le sang giclant sur le sol, rapidement, l’homme que je venais de transpercer blêmit, perdit toute sa couleurs et s’effondra sur le sol et je me préparais à accueillir correctement les autres. J’avais faim, très faim et malheureusement j’étais freiné par ce combat. Heureusement pour eux que combattre me plaisait énormément sinon ils auraient déjà tous était réduit en charpie. Je me baissais rapidement pour éviter un coup horizontal et, d’un coup rapide du pied, je lui fauchais les jambes. Mon pouvoirs s’arrêta d’un seul coup, tout devînt morne autours de moi, sans vraiment d’intérêt, je n’avais plus mal et maintenant une légère tristesse s’emparait de moi. Je m’abandonnais dans celle-ci, la couvrant par le combat et je devins fou furieux. Mon katana s’agita dans tout les sens traversant la chair de mes adversaire qui tomber rapidement sous mes coups. Je continuais de frapper avant de recevoir un énorme coup de pied dans le dos qui me projeta contre une table qui se brisa sous le choc. Je souris, une nouvelle douleur apparaissait en moi, un cadeau magnifique, et je me devais de remercier l’homme qui m’avait frappé en lui offrant la mienne.

      Je me relevais en secouant la tête, un grand sourire sur mes lèvres, et me retourner, un homme était la, les mains dans les poches, portant la tenue des cuisiniers, il avait encore le pied en l’air se qui montrer que c’était bien lui qui m’avais frappé. Mon sourire s’agrandit et je le regardais, ma lame pointé vers le sol je m’approchais lentement de lui, je ne savais as pourquoi le personnel s’attaquer à moi mais ils allaient le payer de leurs vies. Un pas brusque en avant et le pirate qui venait de m’attaquer rata sa cible, je tendis mon pied gauche en arrière et lui fît un croche patte avant de le planter avec mon katana, enfin, en bougeant lentement ma lame, en écoutant ces cries de souffrance, j’ouvris une plaie dans son dos. Le silence ce fît autours de moi, en dehors des cries de souffrance de ma victime il n’y avait plus aucun son et tous me regarder.

      Je me retournais vers celui qui m’avait attaqué un peu plus tôt et il s’avança vers moi assez rapidement, à ma grande surprise, il fît un bond en avant, rattérie sur ses main et fît tournoyer ses pieds. Je reculais brusquement et, utilisais mon pouvoirs, encore incontrôlé, il toucha un peu toute les partie du corps sur un peu tout le monde autours de moi, je vis l’homme sur ses main qui s’effondra tendis que je lâchais mon katana avec l’impression d’avoir les tendons déchiré et le poignet cassé. Tout s’arrêta, je ne pris même pas la peine de ramasser mon arme et sauter sur mon adversaire. Atterrissant sur lui, je le frappais au visage, une fois, deux fois, de toutes mes forces. Son nez se brisa et il cria à nouveau, je dégainais ma dague et la lui plantais dans le ventre, un pirate attaqua un cuisinier et ce fût la panique. Moi qui combattais auparavant seul contre tous, maintenant il s’agissait d’un combat au milieu de tous les autres. Je remontais ma dague lentement éventrant ma victime avant de laisser tomber mon arme sur le côté. Je plongeais mes deux mains dans la plaie béante saisissant les organes alors que la victime était encore en vie. J’attrapais le cœur et je l’arrachais, d’un seul coup avant de le mettre devant les yeux du cuisinier qui cligna une dernière fois des yeux et mourut.

      J’éclatais de rire, un rire claire, un rire un peu fou et quelque personne se retournèrent vers moi, j’étais sur le corps de ma victime, à cheval sur celui-ci en tenant un cœur entre mes mains recouverte de sang. Mon visage levé vers le plafond, je riais, un rire qui faisait froid dans le dos. Je laissais tomber le cœur à coté du corps avant de replonger mes mains dans ce dernier, je saisis les entrailles avant de les attirer vers moi et de plonger ma tête dans celle-ci. Je croquais dedans savourant ce gout sublime que donnait l’être humain. J’avalais tranquillement avant de grimacer de douleurs et de rouler sur le côté emportant mes provision avec moi. J’avais faim et je ne voulais pas laisser partir mon repas comme si de rien n’était. Une lame se posa sur ma gorge et je regardais celui qui la tenait, il s’agissait d’un cuisinier, sans doute un ami de celui que je venais de tuer et de manger, des larmes couler sur son visage et il cria quelque chose que je ne compris pas. Il releva sa lame et, au moment ou il aller la rabaissait pour me tuer, il tomba sur le sol, une balle logé dans la tête. Et je me relevais en regardant autours de moi tout en tenant les entrailles de ma main droite. Il ne rester plus grand monde debout, en grande majorité des cuisiniers. Je comptais, il ne rester que 3 pirates et 5 cuisiniers, c’était un vrai massacre, des cadavres jonchais le sol un peu partout. Je ramassais mon katana un peu plus loin et me préparer à me battre, mais d’abord, je finissais mon repas, lentement, mangeant la poignet d’entrailles qui me restait, le sang coulant sur mon menton, sur mes vêtement, mon visage recouvert de sang. Je souriais encore et encore.
        Partie III : Costaud le cuistot !


        On boit, on mange et on s'bastonne ! Alex-louis-armstrong
        Jazz Kintoki
        Que fais-tu ici gamin ?! Dégage avant que je ne m'énerve !


        On boit, on mange et on s'bastonne ! Reborn10
        Satoshi Noriyaki
        Pour tout vous dire, je cherchais le coffre fort de ce bateau,
        vous savez, là où toute la fortune des personnes ayant du goût va.


          Sans somation, le gérant du Baratie me décocha une droite d'une force rare qui me projeta dans un des murs boisés du navire. Du sang sortant de ma bouche, j'attrapais une serviettes dans la poche de ma veste et essuya le liquide rouge. Me relevant en présentant une ouverture monumentale, j'aperçus le colosse qui n'avait pas attendu une once de temps avant de m'envoyer son uppercut qui m'exila à l'étage supérieur. Ouvrant les yeux après m'être assoupi pendant sans doute quelques minutes, une douleur insoutenable me pris sur le haut du crâne. Assez forte pour que je me tortille sur le sol en me tenant la tête. Roulant de partout, je fus bloqué par encore une fois la même personne que, pour l'instant, je n'avais même pas eu l'occasion d'attaquer. M'attrapant par ma chevelure brune, j'affichais différentes grimaces tandis qu'il souriait en me mettant une ribambelle de claques de force variable.

          Crachant maintenant le sang sur le sol par manque de temps, il me reposa brutalement par terre sans une petite dose d'élégance qui aurait pu rendre ma défaite que plus belle. Lui adressant un regard plus ardent que jamais, je me relevais de toute ma splendeur pour enfin contre-attaquer. Soulevant légèrement un pied pour qu'il frôle à peine le sol, je le posais avec force pour me projeter rapidement vers l'ennemi et lui faire gouter à mon jeu de jambe. Utilisant mon pied droit, je me décala sur la gauche pour arriver à côté de lui, ce qu'il anticipa, mais aujourd'hui j'étais tombé sur un adversaire tellement fort qu'il fallait absolument que je change de technique. Je reculais de sorte à être face à lui, et je posais mes mains par terre pour soulever mes pieds et lui envoyer deux coup de pieds dans le menton, de quoi le projeter en l'air quelques secondes. Je profitais de celles ci en sautant à sa hauteur, et j'effectuais un coup de pied dans le ventre pour le renvoyer net au sol, puis à l'étage du dessous où nous étions plus tôt.

          Descendant à mon tour, j'entrais dans la pièce où était plus tôt Jazz pour enfin tomber sur son bureau. Sur les murs étaient affichés les têtes des différents hommes étant partis du Baratie ainsi que ceux étant décédés. Là, à côté de l'affiche de Sanji, j'aperçus la tête d'un homme s'étant fait une renommée de bon samaritain dans ce monde : Kaetsuro D. Shinji. Je détournais le regard des quatre murs de la pièce pour me diriger vers cette porte, dans le fond à gauche. Cette porte était fermée à clé, mais peu importe, d'un coup de pied magistralement élégant j'envoyai valser cette séparation entre moi et le plus beau des trésors, à savoir l'argent du restaurant le plus renommé de East Blue.


        On boit, on mange et on s'bastonne ! Reborn11
        Satoshi Noriyaki
        Oh, non de ... !


        On boit, on mange et on s'bastonne ! Pieces-d-or_1424_w560


        Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Lun 18 Avr 2011 - 17:17, édité 1 fois
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        J’avalais mon repas, compensant la perte de celui que j’avais payé un peu plus tôt j’étais désormais repus, du moins mon estomac mais, ma soif de sang elle ne serait rompue que lorsqu’il n’y aurait plus personne debout. Prenant ma lame, alors que le dernier pirate s’écrouler une balle dans la tête, je sautais sur les 5 cuisiniers qui c’était parfaitement protéger dans leurs dernier combat, supérieur en nombre, ils avaient l’avantage sur moi. J’avançais tranquillement vers eux, c’est personne qui m’avais attaqué alors que je ne leurs avait rien fait, simplement pour maintenir l’ordre. Quelque chose d’inutile d’ailleurs puisque ducoups il faudrait au capitaine de ce navire restaurant reformer un équipage. Ils m’encerclèrent lentement, en prenant garde au moindre de mes mouvement et m’attaquèrent dans un belle ensemble avec une épée chacun. Attaque dérisoire pour moi, je me baissai d’un seul coup au moment ou les lames de mes adversaire devait me trancher et tournoyais sur moi-même. Mon katana ne fît pas de quartier, s’enfonçant légèrement dans les jambes, créant de nombreuse entaille, deux cuisinier s’écroulèrent sur le sol tendit que les trois autres reculaient précipitamment.

        Je me relevais tranquillement en attendant la suite, rassasier, je n’avais plus qu’une seul envie, en finir et, accessoirement, retrouvé le capitaine et le tué avant de partir. Cette journée qui était tout d’abord bof, était devenue excitante et je comptais bien la vivre jusqu’au bout. Alors que les deux cuisiniers au sol se relevaient, j’achever celui derrière moi avant de me tourner vers l’autre que deux de ses amis tirer en arrière afin de le protéger. Je baillais avant de m’élancer vers eux, parant plusieurs coups comme si de rien était, je transperçais d’un coup vif l’un des cuisiniers puis, me baissant rapidement, je tournoyais sur moi-même et fauchais avec mes jambes les leurs. Ils tombèrent à nouveau sur le sol, je me jetais sur eux, embrochant le premier et, avant que les deux autre ne se relève, je les achevais rapidement, il n’en restait plus qu’un, un seul misérable opposant et qui ne semblait pas être à l’aise en face de moi. Personne ne pouvait vraiment l’être surtout lorsque l’on venait de voir tout ses amis mourir devant soit. Dans un crie de rage il se jeta sur moi abattant sa lame dans un coup frontale, je m’effaçais, esquivant la lame sans vraiment de problème et lui enfonçais profondément la mienne dans le siens, atteignant presque la garde.

        Je retirais ma lame et il mourut, rapidement contrairement à certaine personne dans cette salle ou encore certaine personne suffoquer le ventre ouvert ou transperçais et qui allait mourir dans les prochaine minute. Une détonation retentit et je sentis une balle s’enfonçais dans ma chair au niveau de la hanche, elle passa à travers le gras et ressortie en ne causant que des dommages minime, je me retournais brusquement, je vis un homme s’affaissais, un pistolet à la main encore fumant, il était désormais mort et ne représentait plus aucun danger. Secouant ma lame, je la rengainais tranquillement puis parti à la recherche de ma dague, le sang coulait de ma blessure, j’arrachais rapidement une bande de vêtement d’un cadavre puis me fît un modeste bandage destiné à arrêter le sang. Après plusieurs minute de recherche, je finis par la retrouvé, l’essuyer et la rengainais elle aussi.

        Je partis en exploration, je voulais maintenant trouver le capitaine afin de l’éliminé lui aussi puis, accessoirement récupéré des objets de valeur dans cette endroit, marchand lentement, je visitais chaque pièce que je trouvais, rapidement, ne jetant qu’un coup d’œil dans celle-ci afin de voir si l’homme que je cherchais était présent. Après plusieurs minutes, je finis par apercevoir un homme immense et apparemment bien costaud écrasé au sol, apparemment inconscient, dans la pièce, une porte défoncé et un homme à l’intérieur, je m’approchais discrètement apercevant de l’argent et je dégainais ma lame, cela devait sans aucun doute être lui qui avait démolie cette homme et je me devais de prendre un minimum de précaution. Le tintement de la lame sortant de son fourreau se fît entendre et j’entrais moi aussi dans la pièce.
            Valise pleine de billet, sac remplis de pièce, je ne pouvais contenir mon excitation et ma jouissance face à cette brillance sans pareille égale. Deux valises de certainement quelques millions de berrys en main et un sac de pièce bien fermé sous le bras, je sortis de la pièce en laissant une valise et trois sacs, ne voulant pas détruire l'endroit où j'avais sans doute le mieux mangé depuis bien longtemps. Traversant l'endroit où était précédemment une porte, je me dirigeais tête baissé vers la porte, quand une respiration se fit entendre. D'un coup sec je redressa le haut de mon corps et fit un bond lent en arrière, alourdit par le poids de l'argent. Reconnaissant ce visage, une goute de sueur froide coulait le long de mon visage. Il faut dire que tout à l'heure, il avait massacré tous les pirates sans laisser aucuns survivants.

            L'ayant observé, j'avais aussi remarquer qu'il avait une petite réaction à chaque fois qu'un pirate se blessait sans qu'il ne le touche. Comme un mouvement de paupière et une goute de sueur lorsqu'une douleur nous prends. Observant avec attention sa silhouette maintenant, je remarquais tout de suite le fait qu'il n'était pas très social et, pour cela, je ne pus patienté plus longtemps. J'avais reculé jusqu'au bureau pour une raison précise, et ce n'était pas par peur, il le verra bientôt. Sautant sur le meuble, j'attrapais la lampe et lui jeta à la figure pour enfin me projeter en l'air et arriver derrière lui pour tenter de lui assener un coup unique à la nuque. M'arrêtant sec avant de lui porter le coup, je lui adressa ses paroles sensées.

            « Je t'aurais déjà vaincu si je n'avais pas retenu mon coup. Je sens ton envie de te battre et je ne peux la satisfaire par manque de temps. Pour éviter tout malentendu, je t'autorise à prendre ce qu'il reste dans la salle des trésors. Merci. »

            N'attendant aucune réponse, je contourna l'homme pour retourner là où j'avais mis les valises et le sac. Enfin, je pris une feuille, et mon stylo.

            « Mon nom est Satoshi Noriyaki, je m'adresse aux marins qui liront cela, cachez votre argent devant moi car à compter d'aujourd'hui, vos bourses ne sont plus en sécurité. »

            P
            renant la feuille, les valises et le sacs, je me dirigeais vers l'extérieur, pour enfin coller ce bout de papier sur la porte d'entrée du bateau, laissant ma marque pour gagner en notoriété.
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          Un homme ressorti de la salle, je ne bougeais pas, attendant ce qu’il allait faire. Il m’entendit, sans aucun doute ma respiration puisqu’il s’agissait de la seul chose provenant de moi qui fait du bruit et recula d’un bond. Apeuré. Je souris légèrement en le regardant reculer, il avait quelque chose d’amusant bien que je ne sache pas vraiment quoi. Il sauta sur le bureau et, à ma grande surprise, projeta la lampe vers mon visage. Je me protéger levant les bras, aveuglé, j’entendis à peine 2 secondes plus tard sa voix dans mon dos. Il était fort et, pour je ne savais qu’elle raison, il m’offrait de l’argent. Il partit et je renonçais à le poursuivre. Pénétrant dans la salle du trésor je vis une valise et trois sacs, une petite fortune en quelque sorte qui me serait largement utile pour la suite.

          Souriant, je saisi ce que je venais de gagner prenant la valise d’une main et les trois sacs de l’autre. Il semblait y avoir un bon paquet d’argent à l’intérieur ce qui m’arrangeais grandement. Retournant dans la salle à manger, je regardais le carnage, silencieux, j’entendis un sanglot étouffé. Regardant autours de moi, je posais mon argent sur le sol avant de me diriger vers le bruit. Au fond de la pièce, caché sous une table ce trouvait un petit enfant qui ne devait pas avoir plus de 10 ans. Je m’accroupis et dit de ma voix la plus douce possible.

          -Viens la petit.

          Celui-ci prit encore plus peur et se colla contre le mur, tendant la main, je l’attraper et le trainer en dehors de sa misérable cachette. Le plaquant au sol je souris, mais pas un sourire rassurant destiné à calmer un gosse, un sourire froid à glacer le sang de ceux qui le regarde. Je dégainais ma dague l’essuyant sur mes vêtement afin d’en enlever la soude, pour une fois je n’allais pas utiliser les propriétés magnifique de cette poudre. Immobilisant l’enfant grâce a mes jambes, sans même prêter attention aux coups minable que celui-ci m’envoyer. Je lui mît une main sur la bouche la fermant, l’empêchant d’ouvrir la mâchoire et lui ouvrit les joues. Un gémissement ce fît entendre, le sang coula légèrement malgré les entaille de 6 bon cm de chaque côté de son visage. Gardant ma main droite qui lui fermait la mâchoire, je déplaçais inexorablement mon couteau vers d’autre point sensible de l’enfant. Je voyais la peur dans les yeux de l’enfant, heureusement pour lui, je n’allais pas trop l’amocher, juste suffisamment pour le voir hurler de douleurs. Posant ma dague, je regardais els larme couler des yeux de l’enfant. Cela me fît sourire, il me ressemblait sauf que lui, n’allait pas subir cela tout les jours.

          Attrapant sa main droite, je la tordis légèrement avant d’utiliser mon fruit du démon, impitoyable, il crue immédiatement grâce a ma technique du kossestsu, que je lui avais brisé le poignet ainsi que le bras. Malheureusement, je fût obligé de le lâcher de ma mains droite et, au moment où il hurla, sa bouche s’ouvrant d’un seul coup, les plaies sur ses joues s’ouvrir largement atteignant les lèvres et le bord du visage. Le sourire du diable, c’est le nom de cette magnifique torture, la victime gardait les traces jusqu’à la fin de sa vie et, les cicatrices donnerait l’impression que l’enfant sourit en permanence. Le tout donnant une grosse envie de répulsion, cela donne donc le nom de la technique de torture. Je le lâcher entièrement me relevant, mon bras droit pendant le long de mon corps j’interrompais mon pouvoir qui commencer à se propager partout. Pour une fois j’étais parvenue à localiser sa puissance dans un seul endroit.

          -Ne bouge pas et je ne te ferais plus de mal.

          Cette fois-ci il s’agissait de la vérité, l’enfant pleurer sur le sol, son bras droit ne devait plus lui faire mal mais sans doute que la peur dominer en lui. Normal. A l’aide de mon katana, j’ouvris le vente d’une des victimes, sorties les entrailles du corps, couper els point d’attache avant de jeter le tout vers l’escalier. Celui-ci faisant face à la porte d’entrer serait parfait pour ce que j’avais en tête. Les mains pleines de sang, j’attrapais à nouveau l’enfant et le tirer jusqu'à l’escalier ou je le forcer à se lever. Il se laissa faire, en état de choc, il n’était même plus capable de résister, c’était parfait. Saisissant le tas d’entrailles, j’enroulais celle-ci autours du bras gauche du gamin, fît un nœud afin que cela ne tombe pas et attacher un autre bout à l’escalier le forçant à lever son bras à la verticale. Lorsqu’il remarqua enfin se que je faisais, revenant à la dur réalité, il cria d’horreur. Un cri magnifique mais qui ne dura pas vraiment longtemps. Alors qu’il se débattait, je répéter le même manège pour son autres bras ainsi que pour ses jambes. Je ne le blessais pas plus, je n’en avais pas envie. Ouvrant en deux les autres corps, je rependais les entrailles sur le sol offrant ainsi un spectacle macabres à toute personne qui allait entrer ainsi que pour le gosse. Lorsque ce fût fait, je cherchais la salle de communication. Montant les escaliers, je la trouvais rapidement et grâce à un den den mushi, j’appelais les marines. Lorsque ceux-ci décrochèrent, je déclaré d’une voix grave.

          -Le navire restaurant appelé le Baratie vient d’être détruit, la plupart des gens sont mort venez donc chercher les survivants.

          -Qui êtes vous ?

          -Shippû Kurushimi, celui qui a tout détruit.

          Je raccrochais immédiatement et redescendit les escaliers comme si de rien était, il leurs faudrait un bon moment avant d’arriver, je repris l’argent que j’avais gagné et, laissant l’enfant accroché à l’escalier je sortie. Sur la porte, j’aperçue un morceau de papier que j’arrachais sans même le lire, je retînt uniquement la signature, sans aucun doute celle de l’homme qui m’avait donné l’argent puis je le jetais à la mer ou il allait se décomposer lentement. Jetant mon argent dans un tout petit navire amarré juste à côté, je grimper à l’intérieur. Levant les voiles, je me laissais guider vers ma prochaine destination.