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Panique à Logue Town - Mission

19:47, Mer d'East Blue,

La brise était douce, la mer reflétait parfaitement les éclats lumineux venant des cieux. Dévorant son sac de friandises qu'il s'était lui-même procuré, il avait ce doux sourire lorsqu'il n'était préoccuper que par sa mission. Son regard exprimait aucune défaite, même si on l'avait envoyés de mise à remplis une mission difficile, il s'était promis qu'il n'allait en aucuns cas abandonner et remporter la victoire. Puisqu'il avait été convoqué pour cette mission, c'était qu'il était apte à remplis la demande. Jamais on demanderais à une personne de remplir une mission si on saurais d'avance qu'il puisse échouer. C'est pourquoi qu'il faut avancer petit à petit et s'accorder dans une belle lignée jusqu'à atteindre les plus grand sommets de ce monde. D'une confiance éternel, tout le voyage, malgré les vagues incessante et l'attaque de piranhas carnivores, jamais il n'avait lâché prise et était resté debout, sans même flanché une seule fois.

Quand il était de cette humeur, plus rien ne pouvait lui faire face, c'était comme affronter un ange choisis des Dieu. Tout le long, le seul mouvement effectué était de prendre une poignée de guimauve et ensuite l'avalée. Selon les informations, il devait rejoindre la côte de Logue Town, d'où une patrouille de deux hommes l'attendrait afin de le mener à l'escouade qu'il devras s'occuper. Avec le temps qu'il fait, il atteindras Logue Town d'ici quelques heures. Plus qu'a attendre vers l'entré dont il était concerné.
Mais il se posait une question qui le dérangeais. N'y avait-il pas là des troupes avec un quartier général et un Capitaine de la marine ? Si le cas là-bas était si grave, pourquoi faire appel à Korosu, mais on lui avait dit d'attendre d'atteindre destination afin de connaître les faits.

23:14, Côte de Logue Town,

Il était finalement arrivé à bon port, deux hommes était postés du haut d'une tour. L'un deux descendit afin de confirmer la présence de Korosu, l'autre restas poster en haut pour garder et voir s'il n'y aurais pas des suspects autours. Le jeune soldat, toujours inquiet de la présence d'intrus, demanda les papiers concernant sa venus, tout était remplis à merveille, il pouvait rejoindre le campement d'attaque. Son cœur ne bâtait pas à vive allure, enfaîte, pas encore, son cœur était encore en patience afin de s'activer une fois sur le champ de bataille, de quoi donner des frayeurs à l'ennemi. Cinq minutes avait passé, une marche simpliste, de là, on survoltait les environs et on pouvait voir la ville qui était soit disant, attaqués.

Cette ville, là où le fameux Gol D. Roger avait été exécuter, permettant à la vermine de se rependre et de retrouver le trésor enfouis sur la nouvelle mer. Une fois rentrée dans la tente, on apercevait des visages inquiet, sûrement qu'ils avaient peur de perdre ce qu'il chérissait comme ville. Korosu souris alors, il trouvait intéressant que des hommes pouvaient effrayés autant d'autre personne. Et il avait raison, car cette peur allait se répandre jusqu'au camp adversaire, il allait manigancer un plan à la hauteur des attentes du gouvernement, de quoi faire un peu de ménage sur les ennemis. Il avait à sa disposition une vingtaine d'homme, chacun semblait être de merveilleux soldat, ayant chacun des habilités au combat ou bien de support nécessaire à l'affrontement. Il allait prendre en compte leur force et leurs nombres, ainsi que leur caractéristiques, physiques que mentale. S'il prenait exemple sur un homme, il avait une carrure moyenne, son regard était vide, comme s'il ne pensait qu'a sa propre survie. Il serait sûrement un excellent homme de deuxième ligne. Pour la première ligne, il allait se permettre de place quelque bon fusiller afin de mitrailler les élites des révolutionnaires. De quoi ne pas leur laisser le temps de riposter aux corps à corps. C'est pourquoi, si jamais ils approchent trop, la deuxième ligne, ceux qui composeront la majorité de l'assaut, interviendront afin d'arrêter cette pagaille.

Finalement, il allait crée une troisième ligne, séparés de deux groupes, un qui resterais en retrait avec les deux lignes pour les soigner et où intervenir sur quelques occasions. Pour l'autre groupe, il allait suivre Korosu vers le côté des révolutionnaires, de quoi leur faire mal de haut en bas. Korosu allait se charger personnellement de ceux qui seront, selon lui, les plus féroces sur le champ de bataille. Ils allaient intervenir à l'aube, on lui avait avertis qu'en ce moment même, la guerre se propageait dans les rues, mais bien-sûr, ça lui permettrait d'être plus efficace, car ils seront moins dans les deux camps et de plus, ils seront sûrement presque à bout de souffle après des heures de combat. On lui avait aussi informer, que le reste des marins, disons les plus forts, était en support sur la mer contre d'autre navire, puisqu'on avait avertis que le chef révolutionnaire de cette attaque y était caché.

Bien qu'il sache qu'il ne s'attaquerait pas au plus fort de tous, il était tout de même excité à l'idée de pouvoir aider ceux qu'il doit protéger. Il avait demandé de préparer les effectifs, car cette matinées allait être débordante ! Ça oui, il le savait, car il allait y être impliqué jusqu'au bout. Une fois la cargaison ramassé et toute les paperasses remplis, ils partirent se reposer jusqu'à l'heure d'attaque, de quoi faire un réveil mortel !

6:30, Champ de bataille sur Logue Town,

Korosu avait préparé un escargophone afin de les réveiller à une heure bien précise, de quoi ne leur laisser aucun retard sur le ''planning''. Il s'était précipités hors de son lit une fois le son émit de cet appareil. Il avait alors réveillés les troupes, ne leur laissant qu'une dizaine de minute pour manger quelque chose avant la bataille. Des hommes avaient sans doute péris pendant son absence, mais son attaque n'allait pas laisser de repos à ses assaillants antidémocratique. Il menait la marche vers la bataille, on lui avait transmit un rapport de quoi qu'il restait que soixante-dix marins dans les rues, mais qu'il ne restait que cinquante et un révolutionnaires. Il n'affichait aucun sourire, il continuait de marcher et même son cœur n'était pas encore prêt, bien que se rapport lui disait qu'il ne restait que peu d'entre eux, il n'était pas excités à l'idée de voir qu'ils avaient le dessus même avant qu'il n'agisse. Au moins ça lui salirais moins les mains, mais s'il est médecin c'est justement parce qu'il n'a pas peur de faire le sale boulot.

Ils étaient arrivés à destination, on pouvait voir de ce lieux derrière des bâtiments, que la bataille était concentré devant le lieux d'exécution. Original, mais bon, au moins ça ferait l'affaire. Après constatation, malgré le nombre inférieur de révolutionnaires, ils avaient en quelque sorte le dessus, car ils avançaient alors que les marins ne fessait que rester caché en sûreté derrière des murs. Que des lâches finalement, mais leur santé mentale avait dû être affecté, donc peut-être que son plan leur permettrait de revenir dans la course. Armé de leur petit fusils et sabre de faible qualité, ils avaient quelques blessures, peut-être trois ou même quatre médecins dans les environs, sans le compter. Il avait donc décidé de commencer sa venus dans la plénitude des environs. Il avait d'abord fait signe à deux tireurs d'élite, pour envoyer à des endroits précis des gaz qui permettrait de trancher la vue aux deux camps. Une simple fumigène enfaîte, qui si une personne se retrouve à proximité peur ressentir un léger picotement dans les yeux et les systèmes nasaux.

Une fois envoyé, il demandas à l'équipe de se disperser d'une manière assez spéciale, de quoi laisser les lignes d'attaque reprendre le dessus sur ces criminels. Pendant l'effet de la fumigène, Korosu et le reste de la troupe qui le suivait s'était rendus parfaitement aux lieux indiqués sur la carte. Ils étaient alors au dessus des ennemis et aucun d'entre eux dans les environs. La fumée c'était dispersé par un grand coup de vent, désormais, la bataille pouvait reprendre, la ligne qu'il avait demandé en premier était munis de quelques bon fusils de précisions et deux bazookas, de quoi laisser six hommes en bonnes positions sur ce coup. Une chance qu'on lui avait fournis du matériel, sinon cela aurait été bête. Tout d'abord, il avait demandé l'assaut des fusils de précisions, afin de permettre une attaque qui en éliminerais quatre, mais de plus, qui laisserais l'ennemi s'approcher bêtement dans une folle course. Bien-sûr, seulement les esprits les plus faible et donc ensuite les envoyer valser avec deux bon coup de bazookas. Et pif dans les dents !

Merveilleux, l'ordre qu'il avait donné avait été exécuté à perfections, mais seulement neuf d'entre eux avait péris. Le grand balèze tenant sa hache à deux mains semblait les commander. Sûrement le commandant envoyés par le chef lui-même. Il avait demandé à ses troupes d'envoyer aussi les coups de feu, il semblait avoir emmené avec lui un gros canon qu'on retrouve souvent sur un bateau de guerre. Pour cela, il avait demandé à la petite équipe qui le suivait, d'emmener des filets afin de capturer ces ennemis qui allait faire feu. Le petit groupe l'autre côté sur le toit du bâtiment, avait donc sortie le grand fusil de chasse pour faire une attrapé du tonnerre. Les trois ennemis envoyés pour faire feux venait d'être péniblement capturés. Alors qu'eux voulait savoir d'où cela venait, cette petite attaque surprise qu'il avait demandé à la ligne deux d'accomplir laissa les révolutionnaires surpris d'un tel assaut. En effet, tous les hommes était au combat, y compris les soixante-dix autres avant d'arrivés.

Ils avaient repris le dessus d'eux-même et n'avait plus peur. Alors Korosu fit signe à ceux avec lui d'envoyer le dernier filet, encore plus gros que le précédent, attraper ceux derrières. De quoi laisser dix révolutionnaires de moins sur le terrain. Par la suite, selon le rapport de l'escargophone, on avait constaté que ce n'était qu'un sosie sur les bateaux révolutionnaires et que le vrai chef se trouvait parmi les troupes sur terre. Alors Korosu fit apparaître son doux sourire et son cœur allait de plus en plus vite. Désormais, il pouvait s'en prendre au plus fort et il savait qui cela pouvait être. Mais avant de bondir dans la baston, il ne pouvait combattre un homme d'une telle grandeur avec une si grosse hache alors que lui avait une scalpel. Il chargea alors son fusils de quelque balle, de quoi un peu, égratigner l'adversaire et tout de même, le faire tomber.

Il donna comme dernier ordres à ceux prêt de lui d'envahir par derrières l'ennemi et donc le prendre à revers, tandis que lui allait s'en prendre au dur à cuir. Il bondit alors sur la place marchande jusqu'à atteindre celui qu'il voulait devant lui. Son atterrissage ne laissait pas perplexe, on pouvait y voir qu'il y mettait son cœur et que son acharnement n'était pas vain. Il fixait le grand balaise qui avait déjà armé sa hache pour le trancher. Korosu avait prévus le fait qu'il lui fonce dessus dès le départ, c'est pourquoi il sortie une scalpel, évita le coup féroce, puisqu'il était trop lent et lui découpa la chair de sa main. De quoi un peu le faire saigner et lui donner une mauvaise poigne. Mais étant le chef, il ne pouvait abandonner, c'est pourquoi il donna un autre assaut vers Korosu, mais avant de l'atteindre, il lui tira une balle droit dans la plaie, pour atteindre un nerf importe permettant la ''poigne'' elle-même. Donc l'élan de son arme percuta sur sa propre jambe, par la suite il passa rapidement derrière lui et lui passer les menottes, avant de l'endormir avec une dose efficace contre une grosse bête.

Les derniers survivant on fuit le champ de bataille et malheureusement pour eux, les marins sur la mer était de retour et les avaient capturés captif au moment même où ils avaient été aperçu en pleine course. Korosu avait rendus le calme à cette ville et désormais il pouvait rentrer chez lui en paix. Calmement il partie voguer vers une nouvelle quête, de quoi s'attendre à encore plus que de petite babiole de guerre...