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Un, deux, trois. | Shippû |



Épisode I . Dans un bar
«Un shoot,une charpentière et l'inconnu»



Voyez-vous, il y a beaucoup de chose qu’il faut savoir raconter dans sa vie. J’étais tranquillement en train de déjeuner, car oui, je sais cuisiner, ça peut vous paraître fou, mais je sais cuisiner. Donc, que disais-je, ah oui, j’étais donc en train de manger, et je n’aime pas véritablement que l’on me dérange lorsque je mange, c’est sûrement le seul moment de la journée où je ne veux rien faire à part manger et fumer ma cigarette avec ma tasse de café. Les bateaux ne peuvent pas attendre une petite demi-heure. Je ne leurs demande rien de plus qu’un peu de temps pour moi. Seulement, il faut croire que je ne peux pas avoir un peu de temps pour moi, que déjà les portes du hangar s’ouvrent, je soupirais alors ouvertement, les équipages doivent sûrement penser que nous les charpentiers fonctionnons en fonction des bateaux que l’on répare. Laissez-moi mettre une chose au clair : C’est faux. C’est une idée reçue basée sur le fait que nous aimons les bateaux et surtout ce qu’il y a l’intérieur. Mais là n’est pas la question, j’en étais rendue au bateau, et je ne pense pas devoir vous faire un discours aussi philosophique que très ennuyeux. Alors continuons si vous le voulez bien. Quelqu’un demanda s’il y avait quelqu’un dans un cri très sonore, je descendis de la mezzanine que j’avais installé et me présentait comme la charpentière de ces lieux. Dans un premier temps je pense qu’ils ne m’ont pas cru, je commençais à être habituée à ce genre de réaction. Ils prirent un long moment à me fixer afin d’être sur que j’étais une vraie fille. J’imagine que l’analyse avait été convaincante. Mais bref, passons. Ils me demandèrent alors si je pouvais m’occuper de leur bateau qui avait été tout simplement vandalisé. J’avoue ne pas comprendre le concept, les bateaux sont attaqués, pillés, bombardés, coulés, mais alors vandalisé, on ne me l’avait jamais faite. C’était intéressant. Je les regardais avec un air un peu surpris, et je leur expliquais que je n’occupais des actes de vandalisme tels que de gros dessins sur la coque, je ne suis pas une femme de ménage. Ils m’expliquèrent le principe du vandalisme sur bateau que je ne connaissais que très peu, et qu’un imbécile avait du trouver judicieux de se venger sur leur bateau. Oui, en effet, un sacré crétin. Mais je ne vais pas me plaindre, tout ceci allait me faire gagner de l’argent, je leur demandais donc de faire rentrer le bateau, histoire de voir la quantité de travail que j’allais devoir fournir. Environ un quart d’heure plus tard, le bateau passait les larges portes du hangar. De l’extérieur on ne voyait pas grand-chose, si les dégâts étaient à l’intérieur, je n’osais pas imaginer le carnage. Ils lancèrent les cordes et j’amarrais le bateau. Un nœud assez solide et simple et nous étions quasiment en tête à tête avec le bateau. Le capitaine de l’équipage, négocia avec moi le prix. Je ne négocie pas un prix sans d’abord savoir ce que j’ai à faire. Ils me font tous bien rigoler. Je montais donc sur le bateau, et manquait se tomber dans le trou fait sur le pont. Soit le bois est de mauvaise qualité, soit la personne qui a fait ça n’est qu’une brute sans pitié, et certainement sanguinaire. Très bien, un trou dans le pont, je ne sais pas comment je vais réussir à réparer ça. J’aurais du parier sur les cordes de voiles et les cordes de freins. Il y avait plusieurs de planches de cabines qu’il fallait changer et refaire une barre. Voyez vous, je ne serais pas du genre à régler mes comptes avec celui qui à fait ça, mais voyez vous, je suis convaincue que les propriétaires du bateau ont une bonne raison de lui faire sa fête. Je ne voulais pas d’explications, juste ma réparation, mon argent, et « Hasta la vista baby ». On quitte les lieux et on laisse l’artiste réparer l’œuvre, même si je doute de la qualité du bateau, j’en avais pour au moins quatre bonnes heures. Rien que pour réparer ce pauvre pont, et changer les cordes, j’en avais pour trois heures. Allons, ne nous décourageons, on a toujours ce que l’on veut vraiment. Qu’est ce que ça vient foutre ici, je n’en ai pas la moindre idée. De toute façon, je pense avoir assez parlé maintenant je devais agir.

Quatre heures, douze minutes et quinze secondes plus tard, le bateau pouvait repartir voguer. Il était tard. Et j’avais terriblement envie d’aller boire une petite bière bien fraîche, une amie vint me voir pour me demander si je n’avais rien de prévu pour la soirée et qu’il était temps que je quitte mes bateaux pour le monde civilisé qui à cette heure là se trouvait dans les bars. Ce qui ne me dérangeait pas. J’eus à peine le temps de prendre une douche et d’enfiler un débardeur propre et me voilà entraîner à faire le tour des bars, clope entre les lèvres et les yeux bien plus maquillés qu’habituellement. Je regardais mon amie qui, dans sa petite robe, était très mignonne. Puis, nous rentrions dans un bar, où je retrouvais tous les gros bras de la charpenterie et les experts en poudre du coin. Hommes, femmes. Les bars était chaleureux et fort accueillant, c’était sûrement un des endroits que j’appréciais le plus, mon amie, était bien plus exubérante que moi, et lâcha mon bras afin de se précipiter dans les bancs et les banquettes qui entouraient la table où les gens que nous côtoyons avait l’habitude de s’asseoir, je me dirigeais vers le comptoir traînant ma carcasse, attachant mes cheveux que j’avais détaché le temps qu’ils sèchent, dévoilant ma nuque et mes oreilles percées de nombreuses fois. La jeune femme qui tenait le bar était joyeuse et certainement un peu trop sous influence de l’alcool mais c’était une occasion pour moi de grappiller quelques verres histoires de ne pas payer. N’est pas truand qui veut, et je ne le suis pas véritablement. Mais bref. Elle me servit plusieurs shoots, qu’elle posa sur un plateau et me laissa les emmener, elle doutait de ses capacités à pouvoir apporter un plateau, ce dont je doutais par la même occasion. Je passais pour la serveuse du moment. Mais très vite, je me trouvais une place et commençait à rigoler, enchaînant les shoots. Nous discutions de nos journées tranquillement, buvant cul sec nos tous petits verres plein d’alcool et on vint me poser la question si c’était moi qui avait réparé le bateau vandalisé. Je soupirais, haussais les épaules. Je pris un autre shooter, et je repris le fil de la conversation, posant mon coude sur la table en bois et je commençais à mimer l’ensemble du bateau.

- Oui, et d’ailleurs c’est un sacré CRÉTIN celui qui s’est dit qu’il pouvait faire un trou dans les planches du pont, et je parle pas des cordes de freins de la voile, sans parler des planches en moins au niveau des cabines, un vrai bourrin, plus de muscles que de neurones, et surtout très lâche pour s’attaquer à un bateau plutôt qu’à l’équipage. C’est affligeant.

Alors des cris fusèrent comme quoi j’étais une sacré grande gueule et je devrais ne pas trop l’ouvrir. Oui, c’est vrai. Je me mis à rire tranquillement. Continuant de boire avec passion et folie, très vite les gros bras de la charpente commençaient à sortir le fameux discours misogyne à propos des femmes dans la charpenterie comme quoi il n’y en avait pas beaucoup et qu’elles avaient forcément énormément besoin d’aide. C’était ironique, je le sais, mais je ne m’empêcher de rentrer dans leurs jeux, après tout. On me ressorti mon petit discours sur le crétin qui avait vandalisé un bateau, que les femmes se plaignaient beaucoup trop pour pouvoir faire un travail aussi manuel que la charpenterie.

Voilà longtemps que je n’avais pas profité d’un moment avec mes amis. J’ai été très occupée. Je n’ai pas eu beaucoup le temps pour tout cela. Ce qui m’a terriblement manqué autant se le dire. L’alcool ingurgité très vite, montre très vite. Je croisais mes jambes et posais ma paume sur la table. Que la fête commence.





Dernière édition par Jun F. Thumbs le Sam 5 Mar 2011 - 0:08, édité 2 fois
    Je m'étirais, j'étais maintenant dans les rue d'une ville nommé Logue town, totalement inintéressante de mon point de vue je ne savais même pas ce que je faisais encore dans cette endroit, trop bien gardé pour pouvoir foutre le bordel en solitaire. Je soupirais cherchant quelque chose à faire autre que de tuer ou torturer, c'était pourtant les seul chose ou j'étais vraiment capable de faire quelque chose de bon. L'idée de torture me donna envie de sang, malheureusement je n'en avais pas à proximité, enfin si, il y avait beaucoup de sang disponible mais je ne pouvais prendre le risque de le récupéré. Marchand lentement dans les rues, mes pieds nue foulant doucement les dalles de pierre, je cherchais un bar, j'avais en effet quelque berry's en poche ce qui était toujours pratique et j'avais envie de boire. J'aimais l'alcool, oui, un breuvage si bon avec des effet si amusant. On fait tout lorsque l'on est bourré sans se préoccuper des conséquence, c'était si amusant.

    Rien que à cette idée j'accélérai le pas, après plusieurs dizaine de minute de marche, alors que la nuit tombais, je pénétrais à l'intérieur d'un bar, animé, chaud et accueillant, un endroit rêver ou je pourrais sans doute foutre le bordel un peu plus tard. Je trouvais péniblement une place et commandais un peu de rhum, cette boisson sublime et suffisamment bonne pour réjouir tout un équipage. A peine deux minute plus tard, on m'apporta une bouteille que je payais dépensant presque tout l'argent que je possédais avant d'ouvrir la bouteille et de commencer à boire. Le liquide coula doucement en moi tendit que j'écoutais les bavardage aux alentours, un groupe de charpentier discutais bruyamment racontant leurs journée. C'est affalé dans ma chaise que je saisi la poignet de ma dague avant de la dégainait silencieusement et de regarder la lame, recouverte de soude, elle était parfaite et prête pour le combat. Une jeune femme qui se disait charpentière et qui était apparemment bien amoché par l'alcool parla suffisamment fort traitant un homme de crétin pour avoir démoli un navire. L'insulte me toucha comme si j'étais le responsable de cette acte, pour une quelconque raison, j'avais déjà détruit ou abîmer du moins des navires et le faite qu'elle traite de crétin celui qui l'avais fait m'énerva légèrement. Buvant une grande gorgée d'alcool ce qui me fît parvenir à la moitié de la bouteille, je saisit ma dague par la pointe et la lancer vers la jeune femme. Celle-ci rata sa cible et se planta dans la gorge d'un charpentier sur la même table, je grommelais en regardant la scène, sans pour autant bouger, faisant semblant d'être innocent, juste pour voir comment tout cela allait se passer et comment ils allaient trouver le coupable. Oui, cela allait être amusant. Le corps s'écroula brutalement sur le sol le sang coulant abondamment par la blessure et cela réveilla ma soif de sang, une soif intarissable.


      Épisode II . Étiquettes
      « Crétin,lâche et idiot »



      Le saviez-vous ? L’homme peut être capable de beaucoup choses tout à fait déraisonnables et stupides, en l’occurrence il va s’agir de prouver que j’avais raison et que cet homme avait véritablement tort de faire que je vais continuer de vous conter. Voyez, vous je ne suis pas du genre violente, bien au contraire, je préfère blesser avec les mots. Je suis assez ouverte et sociable, je n’ai donc aucun problème de communication, de plus j’ai l’alcool joyeux et je n’ai pas de problème à engueuler tout le monde ou à essayer de tuer tout le monde. Pour autant, je n’aime pas véritablement ce genre de situation. Me pensant au dessus de la moyenne au niveau de mon intellect, je pense pouvoir mépriser l’idiot du village, le bourré de service, le psychopathe frustré, ou simplement l’imbécile. Voyez vous, je ne suis pas insensible, mais je ne crie pas comme pourra le faire mon amie durant la suite des évènements, je n’aime pas véritablement ça crier pour ne rien dire ou rien faire sous prétexte que nous sommes du « sexe faible ». Crier un moyen de défense inutile car vous portez l’attention sur vous, vous serez donc bien plus en danger que moi. Soyez logique, souffrez psychologiquement en silence. Et essayer de fuir de manière la plus discrète possible. Les évènements qui vont suivre relèvent de ma propre responsabilité, d’une certaine manière, et de la responsabilité de cet homme que l’on nommera Inconnu numéro 1. Ce qu’il faut aussi savoir, c’est que j’ai rien fait. C’est lui qui a commencé en prenant mon insulte pour argent content. Il était plus éméché que moi, je suis donc la victime de l’histoire, la pauvre charpentière martyrisée par un odieux et vil Inconnu numéro 1.

      Nous étions en train de boire, de rigoler, assez fort, de parler de tout de rien, de beaucoup de choses inutiles. C’est évident, que nous ne cherchions personne à part peut être à être foutu dehors car nous étions sûrement les plus bruyants de la salle, ce qui en soit ne devait pas véritablement déranger, il était tard, il faisait bon, nous profitions simplement de notre bon temps, de notre moment de temps libre, car dans quelques heures nous allions retourner à nos passions respectives et commencer une nouvelle journée de travail. Nous ne sommes pas des bêtes de somme, pour autant tout ceci n’était pas prévu au programme. Nous sommes des habitués de l’endroit et j’ai réussi à m’y construire une petite vie, même si la mer m’a toujours manquée énormément. Mais je ne peux rien, je ne peux que regarder. Sous mes yeux tout à complètement dégénéré sous mes yeux, il faut dire que j’ai mis beaucoup de temps à réaliser ce qu’il se passait, tout est allé très vite, pas le temps de réfléchir que la scène à pris un tournent définitivement dramatique, dans le genre tragédie théâtrale d’une banalité au niveau du scénario qui sonnait comme un air de déjà entendu. La dague n’est pas passé loin de ma tête, j’entends que je l’ai sentie passer, et un de mes amis plus grand que moi se prit la lame dans la gorge et commença perdre une quantité énorme de sang, mon débardeur fut très vite tachée par les éclaboussures, mes mains de même alors que cette armoire s’écroulait au sol, convulsant cherchant la respiration. Je ne cherchais pas dans un premier temps l’auteur de pareille idiotie, je veux dire, de pareille immaturité, nous ne jouons pas aux fléchettes sur des cibles humaines d’autant qu’aucun de nous n’avait pas de crimes que l’on pouvait condamner par une blessure à mort, car étant donné les bases nulles de chacun d’entre nous, je pense que nous ne sommes pas capable de sortir ce truc de cette gorge et de sauver l’homme. Prise de panique, mon amie tenta de retirer la dague. Allez zou, mort. Je regardais mon amie qui venait de se rendre compte qu’elle avait réduit les très, très faibles chances de notre ami de survivre au néant. Bien vu la taupe, elle a d’autre des comme ça. Je soupirais et haussais les épaules, j’étais accroupi, à côté du désormais défunt ami, terrassé par la pièce à conviction numéro 1, que je lui pris vivement des mains. Elle était bien gentille, mais elle pleurait comme une gamine et moi je comptais bien trouver qui avait fait le coup. Car étant donné que la dague est venu de cette direction (Celle que je pointe avec mon doigt), il y avait des borgnes, des moches, des femmes très vulgaires, je devais avoir l’air d’une véritable amazone avec ma dague entre les doigts et la quantité de sang que j’avais sur mes jambes nues, sur mon short et sur mon débardeur bien trop grand pour moi. Certains me regardait apeurés, d’autre plus excités qu’autre chose et d’autre juste choqués de ce qu’ils venaient d’avoir vu. Il y a un fou dans la salle, tous à couvert. Je scrutais les salles à la recherche de l’inconnu, mais rien. Il faut croire que certains sont si lâches qu’ils n’assument leurs actes. Je peux aussi vous démontrer la faiblesse de cet ou cette inconnu ou inconnue, en effet, je pense être à l’origine la véritable cible de cette dague, car j’ai traité quelqu’un de lâche, de crétin, d’abruti de tout ce que vous voulez mais la personne a loupé sa cible. Alors je vais vous démontrez que malgré mon insulte, j’ai magnifiquement, irréversiblement raison. Voyez vous, celui qui a lancé cette dague s’est senti touché par les insultes que j’ai pu proliférer, même s’il n’était l’auteur véritable de l’acte de vandalisme dont j’ai du m’occuper, blessé dans on amour propre, cette personne a donc décidé de vouloir me donner un bonne leçon en voulant me tuer, ce qui a foiré de la plus belle des manière, par conséquent, nous pouvons déduire plusieurs choses : Grand un : cette personne est complètement imbibée, c’est un sorte de coton qui est tombé dans un grand verre de whisky. Grand Deux : Cette personne possède un égo surdimensionné et une personnalité féodale, elle pense que son égo l’emporte sur tout. Attention gorille dans la salle. Et Grand trois : cette personne n’aime pas la provocation à l’égard de sa fierté, nous pouvons donc supposer plusieurs choses : Seul un homme peut avoir ce genre de personnalité peu évoluée, et dans un second temps, nous supposerons que cette personne ne voudra pas me donner raison et répondra donc à la provocation que je m’apprête à énoncer, cette personne ne se considérant pas comme lâche. Attention mesdames et messieurs, je vais remettre ma vie en danger, la dague à la main, je posais mon autre main sur ma hanche, et continuais mon silence. Il faut dire qu’un de nos amis étaient morts, beaucoup parmi eux d’ailleurs comment déjà à vociférer des insultes, puis se taire, remarquant que cela n’avait aucun véritable effet à par de tendre un peu plus l’ambiance qui régnait. J’avais les cheveux quelques peu en bataille, et l’air très renfrognée, je soupirais, reprenait mon souffle et mon calme. Dans un premier temps il va surtout s’agir d’éviter une seconde attaque de l’inconnu numéro à la dague pièce à conviction numéro une que je tenais dans ma main.

      - Et sinon, celui ou celle qui vient de nous gratifier de son honorable participation aurait bien un nom, un prénom afin que l’on puisse mettre un visage pour les étiquettes « Crétin, lâche et idiot ? » Allez, ne vous pressez pas, j’ai du temps. Et quitte à choisir, je préfèrerais garder la vie aussi.




        J’avais raté mon tir, surement l’alcool mais bon il fallait si attendre, je ne bougeais donc pas de ma chaise attendant de voir ce qui allait se passer, peut-être que ce groupe de charpentier aurait une réaction intéressant. Le groupe se leva et l’un deux retira la dague du cou de son compagnon l’achevant ainsi rapidement, il n’aurait même pas le temps de souffrir qu’elle dommage. La soude avait dû commencer son effet, pourtant cela ne servirais à rien en dehors de la réaction sur la lame qui commençait à être sérieusement abîmer à force de réagir avec cette substance. Je souris, ce fut la jeune femme qui récupéra la dague et qui chercha qui était le responsable, c’était un spectacle amusant, j’aurais pu rester la pendant des heures à les regarder chercher un responsable. Cela pouvait être n’importe qui autour de moi, il y avait toute sorte de personnage, sans doute des pirates. La salle était silencieuse, beaucoup avait remarqué la mort de l’homme et certain chercher eux aussi le responsable. Une personne cria de peur et courut à l’extérieur sans doute pour appeler la marine ce qui ajouterait du piment à l’histoire. Je posais mes pieds sur la table, tranquillement, la femme se remit à parler insultant à nouveau, cette fois-ci les insultes m’étaient directement adressées mais elle voulait vivre. J’allais exaucée son souhait, oui, elle allait vivre mais d’abord elle allait voir ses compagnons s’effondraient autours d’elle, lentement, puis elle allait souffrir, longtemps, une souffrance qui lui enlèverait tous les effets de l’alcool tellement elle aurait mal, oui, j’allais prendre mon temps.

        J’utilisais donc mon fruit du démon, oui, encore lui, ce magnifique fruit que j’avais obtenue par un simple vol, je fît croire à un homme avec qui elle avait parlé et qui se mettait en mouvement qu’il avait les deux tendons d’Achille déchirée, la douleurs survint au même moment en moi mais je ne lâcher aucun son. Lui par contre cria de souffrance et s’écroula, le corps n’a peut-être pas de blessure, mais la sensation suffit à faire croire au cerveau que c’est réel. Alors qu’il était au sol, je changeais de cible, passant à un homme derrière elle qui s’effondra lui aussi en criant, la panique s’installa et je me levais lentement, j’attendis plusieurs secondes qu’elle me remarque, oui, je voulais qu’elle me voie, l’homme qu’elle avait insulté et je dégainais mon katana lentement. Le bruit de l’arme lorsqu’elle sortit de son fourreau attira l’attention des personnes autour de moi qui me regardèrent avec stupeur avant de s’éloigner. Je me retrouvais donc seul en face de cette femme qui ne semblais pas avoir peur de quoi que ce soit, mais la peur allait la saisir, oui, je possédais des choses dont elle n’avait pas idée et j’allais en profiter. Je levais mon katana et donnait un coup dans le vide en direction de la jeune femme, au même moment je murmurais le nom de ma technique.

        Kizu

        Une technique magnifique qui donnerait ainsi l’impression que j’avais donné un coup à distance, l’impression que cela donnait était celle d’une énorme entaille sur tout le torse, je souris, et avançait lentement vers celle qui était ainsi devenue ma proie. Une proie excitante, je n’avais plus qu’une envie, la torturais longtemps, lentement, au milieu de toutes ces personnes, de plus, la sensation de la blessure me faisait envie, oui, j’aimais cette sensation, dommage que cela n’ajoutais pas le sang qui coulait cela aurait été parfait, cette sensation agréable des blessures, celle que j’affectionnais temps. Arrivé devant mon adversaire, à peine un mètre devant elle, je tendis ma main droite, lentement tout en gardant l’illusion, chose toujours plus amusante et dit.

        -Bon, tu me rend ma dague maintenant ?


        [HRP: voilà j'espère avoir mît une bonne ambiance pour t'aider dans ton prochain message ^_^]