Enry Lee Jr

Kamui [Gintama]

Pseudonyme : Enry Lee Jr Age: 18 ans Sexe : Homme Race : Humain Métier : Recupérateur, bricoleur, inventeur et vendeur de bric-à-brac. Groupe : Civil (Pour l'instant) But : Partir a l'aventure et devenir célèbre. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : La maîtrise du combat a l'ombrelle. Des inventions en tout genres. Équipement : -Une ombrelle. -Une vieille cape élimée. -Ses vêtements. -Un couteau juste assez aiguisé pour couper du pain avec... Codes du règlement : Parrain :// Ce compte est-il un DC ? : Non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : //

Enry est de taille moyenne. Il a une silhouette assez fine et pas vraiment de muscles. Il n'attire donc pas l'apparence par sa stature. Son visage aux traits fins, légèrement efféminé de surcroît. Argumenté par des yeux bleus purs et innocents. Tout comme son sourire d'ailleurs. Ne lui donne pas plus de charisme que sa carrure. Il ne lui donne pas non plus l'air effrayant ou quoique ce soit. Il a juste l'air faible, frêle ou d'une proie facile. Ses cheveux longs et châtains clairs. Donc l'arrière, plus long, est noué en une longue queue de cheval. Symbole de virilité dans son pays natale. Lui donne l'air plus efféminé encore. Beaucoup de personnes étrangères le prennent d'ailleurs pour une femme. Ce qui lui déplaît très fortement. Surtout lorsqu'ils en arrivent à ''touché la marchandise''.
Pourtant, sa démarche est bien masculine, bien que manquant de confiance. Quand à sa voix. Bien qu'elle ne soit pas roque ou cassé. Qu'elle soit au contraire plutôt douce. Elle reste une voix d'homme.
Il porte la plupart du temps des vêtements venant de son pays natale. Un haut très près du corps et un pantalon assez ample qui ne gêne pas ses mouvements. Le tout en tissu léger. En coton ou en soie. Bien sûr. Cela, s'était avant. Aujourd'hui il porte des vêtements normaux en restant dans les standards auquels il est habitué. Légers et confortables et qui ne gênent pas ses mouvements. Mais il n'est plus très regardant sur la qualité de ceux-ci. Il aime aussi porter des capes ou des par-dessus. Mais ce n'est pas par défaut de style ou par envie. Simplement, car il est très frileux.
Il ne se sépare jamais de son ombrelle. Celle-ci est très importante pour lui. Étant très bricoleur, il l'a réparé lui-même assez souvent. Et même amélioré, la rendant plus solide.



Il est quelqu'un d'assez calme. Il n'aime pas se battre. Il préfère évité les combats inutiles. Et étant très faible, il a bien raison. Il ne s'énerve pas facilement. Sauf si on le prend pour une jeune femme. Là, il risque de montrer ses petits crocs. Mais rien de bien grave. Un petit coup sur la tête et c'est fini.
Il est tellement peureux que la dernière fois qu'un chien lui a aboyé dessus, il est parti en courant.
Enry est quelqu'un de très fragile émotionnellement. Il pleure facilement et abandonne tout aussi rapidement lorsqu'il se rend compte que son but est impossible à atteindre. Il n'y a qu'une chose pour laquelle il est prêt à se surpassé. Son amie d'enfance. Qu'il a toujours aimé en secret, mais sans jamais osé lui avouer. Et ses amis. Ceux qui le soutiennent malgré ses faiblesses et qui l'aident lorsqu'il en a besoin. Bien sûr, ceux-ci ne sont pas nombreux. Il n'avait déjà pas beaucoup d'amis dans son village natal. Alors, à l'étranger, ce n'est même pas la peine d'en parler. De plus, Enry est tellement timide et réservé. Qu'il a du mal à aller vers les autres. Ce qui ne l'aide pas vraiment, bien au contraire. Oh bien sûr. Vous me direz qu'il ne fait pas d'effort. Mais bien sûr que si au contraire. Cependant, lorsqu'il essaie de surmonté sa timidité et qu'il va enfin vers les autres. Il s'attire des ennuis. Et sa naïveté à toute épreuve n'arrange rien, bien au contraire. Et pour couronner le tout. Comme si cela n'était pas suffisant. Il est extrêmement maladroit et malchanceux.
Parfois, il semble être dans un autre monde et ne fait plus du tout attention a ceux qui l'entourent. Sa lui arrive surtout lorsqu'il bricole et parfois lorsqu'il réfléchit a quelque chose d'important. C'est un syndrome de concentration excessive. Rien de grave, un bon coup de pied au derrière et il revient a lui en général.
Vous l'aurez compris. C'est un boulet. Mais un gentil boulet plein de bonnes intentions.






Vous voulez que je vous parle de moi ? Heu... Je ne vois pas vraiment quoi dire. Je suis né sur une petite île dont vous n'avez probablement jamais entendu parler. Je suis fils unique. Je n'ai donc ni frère ni soeur. Mes parents sont vivants. Ils m'attendent certainement à la maison à l'heure qu'il est. Mais commençons par le commencement, puisque vous voulez des détails. Enfin, par commencement, j'entends d'aussi loin que je me souvient.
Tout petit déjà, je n'avais pas beaucoup d'amis et je n'allais pas beaucoup vers les autres. J'étais toujours à l'écart. Plus encore de Xiao. La fille dont j'étais amoureux. Oui, déjà tout petit, je ne pouvais croiser son regard sans rougir ou encore lui adresser la parole sans bégayer. Il n'y a pas eu beaucoup d'événements marquants qui ont bercé mon enfance. Je passais mon temps à l'école ou dans le vieil atelier de mon père, où je réparais divers objets. Je regardais mon père faire et je reproduisais ses gestes.
Oui, mon père est réparateur et vendeur de bric-à-brac. Beaucoup de gens viennent le voir pour qu'il répare les objets cassés. Qu'il les améliore ou qu'il leur en vende d'autres. Je travaillais donc beaucoup avec lui. Plus grand, il m'arrivait aussi de tenir le magasin pendant qu'il avait une commande urgente. Je préférais de loin la compagnie des outils et du bric-à-brac à réparé, plutôt que des autres enfants de mon âge. Si bien que je me renfermais de plus en plus sur moi-même.


Une fois la puberté arrivée, je n'étais pas plus dégourdit avec les enfants de mon âge. Et encore moins avec les filles d'ailleurs. Je regardais toujours Xiao de loin. N'osant pas l'approcher. Lorsqu'elle venait vers moi, je rougissais et lorsqu'elle m'adressait la parole, je n'osais même pas répondre. Une fois, je m'étais même mis à pleurer devant elle tellement j'étais timide. J'avais réussi cependant, à vaincre ma timidité une fois. Une seule. Ce jour là, il pleuvait et Xiao avait oublié son parapluie. J'avais vite saisi cette chance. Enfin vite. Façon de parler. J'avais mis dix bonnes minutes à rassembler mon courage. Mais finalement, je lui avais demandé si elle voulait venir avec moi sous mon parapluie. S'était plutôt une ombrelle en fait. Mais assez résistante pour résister à la pluie aussi. Elle avait accepté et nous avions partagé cet espace restreint pendant le trajet jusqu'à chez elle. Oh, elle n'habitait pas très loin. En dix minutes, nous étions devant sa maison et elle me remercié en déposant un baiser sur ma joue. Mais ces dix minutes paraissaient être une éternité. Quand a la récompense, elle valait à mes yeux tout l'or du monde. C'est depuis cette époque que je garde avec moi cette ombrelle. Je ne m'en sépare plus. Après ce passage, je n'ai plus adressé la parole à l'élue de mon coeur.
Je me réfugiais encore et toujours dans l'atelier de mon père. Sauf que je m'étais aussi mis à l'invention. Un jour, j'avais trouvé un vieux pistolet a silex que j'avais démonté pour voir comment cela marchait. J'avais toujours été curieux. Bien sûr, je connaissais le principe de fonctionnement. Mais vu de l'intérieur s'était tellement plus... Intéressant. Je crois que c'est après cela que j'ai commencé a récupéré de vieilles armes à feu et à les réparer. Et même à les améliorer.


Grâce a la vente de ces armes, j'ai économisé un bon paquet de Berrys. J'allais peut-être pouvoir réaliser mon rêve. Mais je ne savais même pas par ou commencer. Je voulais devenir célèbre. En étant un inventeur de génie. Pour cela, il fallait que je trouve des professeurs. Mais avant tout, je devais quitter mon île natale. Mais pour aller ou ? Je trouverais bien en chemin. C'est sur ces simples pensées que je m'étais lancé a l'aventure. J'étais bien idiot de penser à vouloir naviguer à bord d'une simple barque.

Mon embarcation de fortune n'avait pas résisté à la première tempête que j'ai croisé. J'ai repris connaissance sur une plage, en plein soleil, couvert d'algues. Je tenais encore solidement mon ombrelle. Je n'avais par contre plus rien d'autre. à part ma bourse, contenant les quelques Berrys me restants. Ne voyant aucun bâtiment a l'horizon je décidais de marcher le long de la plage. En espérant bien sûr qu'il y avait au moins une habitation sur cette île. Et bien oui, il y en avait une. Il y avait même toute une ville. Je pus rapidement trouver un endroit ou manger.
Là bas, je rencontrais une jeune femme charmante, au décolleté plus qu'impressionnant. Elle me demanda ce que je faisais ici et je lui répondais honnêtement que je cherchais à être célèbre en tant qu'inventeur. C'est à ce moment qu'elle m'assura qu'elle pouvait m'aider et qu'elle connaissait bien un ingénieur de la marine qui recherchait justement un apprenti. Une aubaine pour moi donc. Je lui offris donc un repas et quelques verres d'alcools. Elle me parlait aussi du fait qu'il me faudrait un laissez-passer pour aller voir cet homme et que ça allait me coûter quelques Berrys. Je lui confiais donc naturellement le restant de mes économies. La jeune femme, du nom de Ruby, l'attacha a sa ceinture et me dit qu'elle reviendrait avec la monnaie et le passeport. Je lui fis donc confiance et attendis qu'elle revienne. Une heure... Deux heures... à la fermeture de l'établissement, le serveur m'expliqua que je m'étais fait avoir. Je mis longtemps a accepté la triste vérité. L'homme me fit grâce de la note. Mais je me retrouvais à dormir à la belle étoile. Mon aventure commençait bien...

Tu te balades tranquillement dans la rue, ton ombrelle sous le bras. Tout à coup, une jeune femme arrive en courant, t'arraches ton ombrelle des mains et se barre à toute vitesse ! Évidemment, tu la poursuis pour récupérer ton bien. Après quelques minutes de course, tu aperçois la femme se glisser dans une petite maison et tu rentres à sa suite. Mais là, personne. Pas de voleuse en vue mais un lieu assez... improbable. En effet, tu viens de trouver la tanière de la voleuse et elle est pleine de parapluies et d'ombrelles ! T'as plus qu'à trouver la tienne au milieu de tout ça ! Mais attention aux pépins !

Je vagabondais dans les rues de la ville. Je n'avais plus un sous en poche et j'avais horriblement faim. J'arrivais à peine à marcher, la force m'abandonnait. Alors que je marchais tranquillement, regardant les étales de nourritures, mon ventre grondait a chaque pas que je faisais. Je portais mon ombrelle sous le bras, car un vent venant de la mer s'était levé et je ne voulais pas l’abîmer. Elle était après tout, mon précieux trésor. Celui qui arriverait à me l'arracher n'était pas encore né.

Alors que cette pensée me traversait l'esprit et que je ne pensais plus à la nourriture, je sentis quelque chose s'échapper de mes bras. Hein ? Mon ombrelle ?! Je faisais un mouvement rapide pour la rattraper, pensant qu'elle glissait. Mais rien. Mon regard ne se porta qu'ensuite sur une femme s'échappant en courant avec mon ombrelle à la main. Une voleuse ! Je m'étais fait voler ! Au secours 

-Au voleur ! Au voleur ! Mon ombrelle !

Sans m'en rendre compte, porté par l'énergie du désespoir sans doute, je me mis a courir. Retrouvant instantanément les forces qui me faisaient défaut quelques minutes plus tôt. Je suivis cette silhouette et surtout mon ombrelle tandis qu'elle se faufilait dans la foule avec agilité. Quand a moi, je me recevais des coups de coudes et je me faisais bousculé. Personne ne faisait attention a moi.

-Pardon. Excusez moi. Oups, désolé. Oh ! Pardonnez moi !

Je pus finalement voir la jeune femme entrer dans une petite maison. Je rentre donc, prenant la peine de frapper pour annoncer mon arrivé. Bah oui, la politesse n'a jamais tuer personne. Enfin, je n'avais pas penser que quelqu'un aurait put me frapper ou me tuer car je rentrais par effraction chez lui. De voleur à tueur, il n'y a qu'un pas après tout. Je portais mon attention immédiatement sur l’intérieur de la pièce ou je me trouvais. Aucun signe de la voleuse. Mais des montagnes de parapluies et d'ombrelles. Rangés, empilés, bien présenté. Je n'avais pour ma part jamais vu autant de ces objets réunis au même endroit. Je regardais, presque émerveiller cet pièce. Comme s'il s'agissait d'une salle au trésor.

Après quelques instants à regarder tous ces parapluies. Je me rappelais enfin de la raison de ma présence ici. Mon ombrelle ! Il faut absolument que je la retrouve. Je me mis donc a chercher avec insistance. Elle devait bien être ici. Je l'ai vu rentrer. Elle doit absolument se trouver là ! Tien, c'est vrai ça. Et la voleuse ? Elle est passé ou ? C'est à cet instant que j'entendis le parquet grincer et une autre porte que je n'avais pas vu auparavant s'ouvrit. J’eus juste le temps de me cacher derrière un tonneau, dans lequel étaient fourrés un tas de parapluies. Je regardais la jeune femme en cachette. Elle portait mon ombrelle, qu'elle déposa sur une étagère. J'attendais ensuite qu'elle ai le dos tourné pour aller la récupérer le plus discrètement possible.

J'étais tellement content de récupérer mon bien que je ne faisais pas attention ou je posais les pieds en me dirigeant vers la porte. Ma jambe cogna contre une grande ombrelle. Qui ressemblait du coup plus à un parasol qu'autre chose. Je tombais violemment à la renverse, déséquilibré par le choc. J'avais heurté le parquet en produisant un bruit sourd et je voyais à présent des étoiles. Puis des bruits de pas s’élancèrent vers moi. Je ne comprenais pas tout ce qui se passait autour de moi, mais mon corps bougea tout seul et je brandis mon ombrelle en l'agitant entre moi et l'endroit ou s'était trouver la jeune femme plus tôt. Puis, je me levais sans même regarder ce que je faisais. Je me heurtais alors contre quelque chose de doux et chaud. Hein ? Qu'est ce que c'est ? Comment la voleuse a put se déplacer jusque là ? J'ai mis autant de temps a me relevé ?

-Heu... Excusez moi... Je... Cherche la sortie ?

Je savais que cela n'allait pas marcher. Il aurait fallut être idiot pour penser le contraire. Je m'élançais donc derrière moi et je courrais le plus rapidement possible. La porte d’où la voleuse était sortie plus tôt étant ouverte. Je passais l'embrasure et couru dans un couloir qui me parut interminable. Je saurais ensuite par une fenêtre ouverte et atterri dans une grande benne pleine de déchets de poissons et d'autres morceaux de nourritures. Certainement la poubelle d'un restaurant. Même ce qu'elle contenait me paraissait appétissant tellement j'avais faim. Aie... Non. Je me rappelais de ma faim. Il fallait pourtant que je sorte de là et que je trouve un endroit ou me cacher. Si cette femme me suivait... Est-ce qu'elle me suit ? Peu importe, j'ai trop peur pour rester ici. Je m'élançais donc pour sortir de la benne. Mais je n'y parvenais pas. J'avais horriblement mal au crane. J'avais dut heurté le bord de la poubelle en tombant. Je finis par perdre connaissance.

Lorsque je me réveillais enfin, la nuit était déjà tomber et je me rappela des événements de la veille. Je me rendis aussi compte qu'on m'avait versé des déchets de poissons et d'autres aliments sur le torse et les jambes. Beurk. Et l'odeur mettra certainement des jours a partir.
Je portais finalement mon regard sur mon bien le plus précieux. Afin de trouver un peu de réconfort. Et je m’aperçus qu'il n'était pas indemne. Elle était cassé en trois endroits. J'avais dut l’abîmé dans ma chute. J'enlevais une arrête de poisson qui traversait la toile de l'ombrelle et je soupirais. Comment j'allais la réparé ?
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Le sujet me convient très bien merci. Et j'y ai d'ailleurs répondu !

Et merci pour le commentaire sur mon avatar =3