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C'est la dèche ! Des ennuis !



C'est la dèche !

Des ennuis !



- Mowsieu ! Cria une voix lointaine qui résonnait.
- Mons…r ! Cria la voix qui se rapprochait de plus en plus. *Putain c’est qui qui m’appelle ?*
- Monsieur ! D’un coup j’ouvris les yeux et je vis l’homme qui m’appelait juste devant moi. *L’enfoiré pourquoi il me dérange pendant ma sieste ?!*
- Enfin vous vous réveillez ! Cela fait depuis 5 minutes que je vous appelle !
- Pourquoi vous m’réveillez pendant ma sieste ?! Je regardais autour de moi, je voyais que ce n’était pas l’auberge où j’avais l’habitude de dormir. Celle-ci était beaucoup trop luxueuse, trop bien nettoyé. De plus les personnes fréquentant cet endroit étaient trop bien habillées. Costard cravate. D’ailleurs tout comme mon interlocuteur sauf que lui il lui manquait la cravate. Le carrelage au sol brillait trop. En faîtes celle où je dors il n’y avait pas de carrelage c’est vrai. *C’est quoi ce bordel ?!* je demandai poliment :
- Pardon m’sieur mais où suis-je ?
- Vous vous foutez de ma gueule ?! Vous aviez commandé un verre de saké, je vous ai parlé en attendant pendant le temps que je vous le servais puis je me suis retourné et je vous voyais en train de dormir ! Gueula t-il.
- Ah oui c’vrai ! Gomen ! *Oui c’est vrai ! Je dois vite me barrer !* Je me souvins pourquoi j’étais venus ici. Le serveur me tendit la bouteille de saké en me disant :
- Sa fera dix milles berrys pour ce saké de moyenne gamme.
- D’accord pas d’soucis ! *Tchao !* Soudain j’attrapai la bouteille de saké avec ma main d’une poigne ferme, avec l’élan je fis lâché l’étreinte du barman. C’est alors que je commençai ma course à toute vitesse. *Grouille toi, faut pas que le personnel de sécurité te chope !* A peine j’avais fais deux pas, le serveur hurla :
- Au voleur ! Au voleur ! A peine cela alerté, deux chauves colossales armés de katana sortirent d’un rideau au coin de la taverne.
*Merde merde merde merde ! Je dois courir plus vite !* J’accélérai le pas sans regarder derrière. J’agissais comme si on disait à quelqu’un qui est ambitieux mais qui à du mal à quitter le domicile, part et ne regarde jamais derrière toi ! Certes ce n’était pas le même contexte mais bon ça donnait un peu d’action ! *Il faut que j’assure ma fuite !... Mais oui ! Ma sacoche !*

Vous vous souvenez de la phrase juste au-dessus ? Beh là je lui fis du tort. C’est dans la rue. Je m’arrêtai dans ma course. Je me retournai. J’observai mes adversaires prêt à bondir sur moi à tout moment, eux-mêmes c’étaient arrêtés, grave erreur ! Ils auraient du me sauter dessus. Désormais c’est trop tard. Je les regardai. Ils me regardaient. J’avais ma main dans ma sacoche, cela les stressais de ne pas savoir ce que j’allai en sortir. En fouillant j’arrivai à choper une petite boulette qui m’intéressais. D’un coup je sortis ma main et je lançai cette boulette sur le sol d’un coup sec. Voyant mon action ils décidèrent de m’attaquer. Cependant il était trop tard. La boulette avec l’impact violent au sol explosa. De la fumée en grande quantité en sortie. Oui c’était tout bonnement une bombe fumigène. Grâce à la fumée j’en profitai pour reprendre ma course à travers la ville d’Honnoji !

Sprintant comme un marteau je traversai la ville en bousculant tout le monde toujours avec ma bouteille de saké en main. Ces derniers ne comprenant pas pourquoi étaient mécontents. Après tout c’est vrai que c’est désagréable de se faire bousculer. Mais merde ! C’était pour la bonne cause ! Pour une personne qui voulait boire du saké ! Je me retournai pour voir si j’étais toujours poursuivi, en jetant un coup d’œil je vis personne à part la population de la ville. J’en profitai pour désormais à revenir à mon rythme lent habituel. Reprenant mon souffle en marchand je contemplais toujours les extérieurs de cette ville majestueuse. J’avais un coin particulièrement somptueux avec une vue sur toute la ville.

Une heure plus tard (Ce n’est pas parce que c’est très loin mais c’est surtout parce que Daemon est très lent comme vous pouvez le constater.) j’arrivai enfin tout en haut d’une butte d’herbe sur laquelle il y avait un cerisier. Je m’allongeai au pied de ce cerisier totalement magnifique. Je dégustai alors la fameuse bouteille de saké pour laquelle j’ai fais des pieds et des mains pour l’avoir.  Elle était si whaou ! Sa changeait du saké de d’habitude qui avait un gout plus amer. Celui-là l’était moins. En dégustant cette bouteille je regardai la ville comptant pas loin de cinq mille habitants. Cette ville gigantesque gardait les habitations traditionnelles de cette île, toutes en bois typiquement asiatique. Avec les portes coulissantes. En observant la ville, les morpions qui éclairaient les ruelles à la tombée de la nuit. L’herbe de la butte fraîche et douce au touché. Cet instant qui était si agréable j’aurai voulu qu’il dure encore plus de temps. Quelque chose vint tout gâcher.

Soudain quelqu’un me força à sentir un morceau de tissu sentant fort. J’essayai d’enlever la main qui forçai de plus en plus mais ma force me quittai, le sommeil me gagna. *Putain... merde… .*

J’ouvris les yeux. A peine ouvert, je les fronçai. Quelque chose m’aveuglai. J’étais penché un peu. La lumière m’aveuglant je me redressai pour essayer d’y voir quelque chose. Par la suite un ravisseur enleva le morpion et l’écarta de mon visage.
- Il est réveillé.
J’entendis la voix, elle était assez lointaine et elle s’adressait à une ombre. Je tournai ma tête de gauche à droite. Je vis alors plusieurs ombres, ils étaient 4 ravisseurs. Un ombre s’avança vers moi avec de l’élan et tout à coup je sentis son poing percuter ma mâchoire à gauche. Recevant le coup je fis emporté par le coup. Vu la puissance de cette frappe je crachai un peu de sang. De plus il m’avait aussi ouvert la lèvre. Cela me piquait. Après le coup l’ombre s’éloigna et dit :
- On se réveille la belle au bois dormant ! Bien dormis ?!
Inquiet je demandai :
- Qui êtes-vous ?! Que m’voulez-vous ?! Par la suite je crachai un peu de sang.
Une autre ombre s’avança et fit pareil que la première mais du côté droit cette fois-ci. Et donnant le coup il cria :
- C’est nous qui posons les questions ici !
Ma mâchoire me faisait atrocement souffrir. La douleur était très présente, trop même. Ma vue revenait petit à petit. Désormais les ombres j’apercevais aussi de plus en plus leurs visages. Hélas je ne pu pas trop les voir sauf leurs mentons et leurs bouches. Deux d’entre eux souriaient. Celui debout devant moi avait une expression sérieuse. Alors que le dernier était neutre d’expression. Voyant celui se tenant devant moi préparer un de ses autres coups je grimaçai ce qui me faisais encore plus souffrir jusqu’au moment où le ravisseur d’expression neutre retenu son bras et dit :
- Arrête Zachi. Il a compris la leçon.
- Pourquoi j’ai le droit à ceci ?! Demandais-je.
Un ravisseur se retira, mon « sauveur » s’avança et lança :
- Nous sommes les Yakuzas, chargé de limiter la criminalité dans la ville d’Honnoji ! Nous sommes au courant de beaucoup de choses dans cette ville comme ton vol de la journée. Nous ne t’emmenons pas en prison pour cela mais on voulait juste t’avertir.
Je voulais tout de même le remercier mais tout à coup je reçus son poing qu’il m’enfonça dans le ventre. Le lien qui m’attachait à l’arbre m’empêchait de me tenir le ventre et de me pencher pour apaiser un minimum la douleur. Je crachai de la salive et du sang en même temps. La douleur était horrible. Je ne pouvais rien faire. J’étais dans de beau drap. J’allai passer un mauvais quart d’heure. Je sentis le lien se relâcher, laissant alors l’utilisation de mes poings. Voulant administrer un coup au ravisseur en face de moi je reçus un coup derrière la tête, sans doute un coup de pommeau de katana, cela n’avait pas la taille d’un poing, c’était plus petit et tous les yakuzas présents avaient un katana. Je tombai à genoux au sol et là je pris un autre coup au visage dans la tempe. Avec la force du coup ma tête heurtant le sol rebondissait. A moitié sonné j’essayais de me relever, je fus entouré de tout mes ravisseurs. Là je reçus des coups de tout les côtés, coups de pied, poing tout ! Je me mis en boule et je mis mes bras de sorte qu’ils protègent mon visage et l’arrière de mon crâne. Un sommeil m’attirait peu à peu, à force je ressentais moins en moins la douleur. Le lynchage, j’avais hâte qu’ils se terminent. Je crachai du sang à tout vas.

J’ai passé vingt minutes à me faire lyncher. J’étais totalement sonné. J’avais résisté au sommeil qui m’attirait. Lors de leurs départs, j’ouvris les yeux, je voyais les lumières sans doutes de la ville au loin, tout cela m’apparaissais flou. Jusqu’au moment où je fermai les yeux. Sonné, je rouvris les yeux, quelqu’un était vers moi et gâchais ma vue. Je n’avais plus la force de parler, je ne ressentais plus la douleur. J’avais tellement souffert que les coups ne m’avais plus rien fait à force. Je refermai les yeux,  je partis dans un profond sommeil. Je n’avais plus la force de lutter.

Je me réveillai doucement. J’ouvris les yeux petit à petit. J’aperçus un homme au chevet.
- Qui… qu’êtes-vous ? Juste le fait de parler me faisait atrocement souffrir. Même le fait de respirer, ce qui faisait bouger mon ventre me faisait souffrir. Je voulus bouger mon bras mais je restai immobile après tout. J’avais trop mal. Je regardais mon corps qui était recouvert de bandage et de pansement. L’homme alors me répondit.
- Je suis médecin. Tu n’es pas le premier que je récolte au sol car les Yakuzas les punissent.
Ma vue de moins en moins flou je vis distinctement ses cheveux grisonnant. Sa barbe blanche, ses yeux fatigués, son front ridés tout comme ses joues. Mon nez me démangea, je lui demandai :
- Vous pouvez m’gratter l’nez siouplait ?  
- Pas très bonne idée vu votre état. D’ici quelques jours sa ira mieux. Reposez vous tranquillement.
Je fermai alors les yeux afin de m’endormir ce qui ne loupa pas. Deux secondes et je m’endormis.

Il fallut deux jours pour déjà que je puisse me mettre debout sans trop souffrir. Ensuite il a fallut 6 jours de plus pour que je n’ai plus aucun mal du tout. Grâce à ses plantes miracles et ses élixirs cela calma mes douleurs. Je repris mes activités je n’allai pas laisser passer cela. J’avais décidé de quitter l’île dans quelques jours, pendant ce temps il fallait que je recueille des informations sur les Yakuzas afin d’assouvir cette vengeance et aussi recueillir des informations sur ce fameux colonel.


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