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Le vengeance est une garce, moi un connard, vous des cadavres

Eustach            35.000.000
Shan Zang 20.000.000
Zébékiel
10.000.000

* 27 décembre 1626 *
Je reviens sur Las Camp pour la première fois depuis des mois, mais ça me semble des années. Et cette fois, j'ai les boules. Clairement. Les premiers types que j'ai arrêté en tant que marin se sont évadés suite à la destruction du ponton de Las Camp mis en place par la marine. Des criminels sans grande envergure mais capables de faire pas mal de dégâts vu leur niveau. Quand j'ai vu les annonces, j'ai tout d'abord pensé que c'était une blague, qu'on se payait ma tête. Puis j'ai compris que c'était vrai. Le type m'ayant dit ça n'a pas compris quand je lui ai explosé la tronche sur le bar, répandant sa cervelle un peu partout dans l'établissement. Je me fais un devoir de les arrêter pour de bon cette fois. On ne me tire pas de mes activités sans en payer le prix.

Voilà pourquoi je me dirige droit sur Las Camp sans tenir compte de quoi que ce soit. Les navires sur ma route, je n'en croise aucun. Et tant mieux pour eux, car je ne suis pas spécialement bien luné, au contraire. Devoir revenir terminer le travail que la marine n'a pas été foutu de faire ou que l'autre abruti de Clotho n'a pas eu le courage de faire, ça me gave sérieusement. Je ne suis pas une femme de ménage censée repasser derrière ces abrutis ! Mais juste pour le fun, pour voir à quel point je me suis amélioré, j'y vais. Je sais que je vais les massacrer, mais à quel point ça sera facile, telle est la question.

Malheureusement, une tête comme la mienne ne passe pas inaperçue, surtout placardée sur des affiches de recherche. Alors je vais devoir la jouer fine. C'est pour ça qu'avant d'arriver en vue Las Camp, je trouve un bateau de pêche. Ils sont en train de remonter des filets avec pas mal de poissons dedans. Ils me voient arriver de loin, puisque la mer est plate. Je m'en approche rapidement, m'arrête et interpelle le navire.

« Hey, là haut.
Quoi ?! T'as dit que'que chose Tori ?
Non. Paul ?
Non. Ça doit être l'gars à côté.
Ouais, j'suis à tribord.
T'veux quoi ?
Vous aller à Las Camp ?
Ptet ben. Ça t'fait quoi ?
Vous y aller oui ou non ?
Pou'quoi ?
Parce que si vous me laissez utiliser votre bateau pour débarquer discrètement, j'ai des sous en remerciements.
Combien d'sous ?
Cinq cent trente six mille berrys.
… Pas assez.
Te fou pas d'moi.
Un miyion ou plus.
Sinon, j'peux aussi couler votre navire et en trouver un autre. Ça me prendrait une seconde pour le trancher en deux. »

Je sors mon sabre de son fourreau et tranche l'air vers l'océan. Les hommes sursautent de peur. Ils n'ont jamais vu ça visiblement. Le capitaine blêmit, puis accepte mon offre. Après tout, un demi million de berrys pour déposer quelqu'un discrètement et garder le secret, ça fait pas mal. Ça va rentabiliser sa journée de pêche. Je grimpe à bord du bateau d'un saut, puis récupère ma Terreur. Je précise que je paie après avoir été débarqué, et que s'ils me trompent, ils vont le regretter. Et comme je suis pressé, je file même un coup de main à remonter les filets. Ça va tellement plus vite que les types finissent par me gêner. Quelques minutes plus tard, une fois le filet remonté et de la la flotte sur le rafiot, on prend la direction de l'île. Je me cache dans la soute avec mon invention. Quelques heures plus tard, le capitaine vient me dire qu'on est arrivé à destination, mais qu'une troupe de marine est dans le port pour l'instant. Je lui dit pas grave, le paie et quitte son navire aussi vite que j'y suis monté.

Arrivé à Las Camp, fait. Je me cache dans des recoins sombres pour éviter la marine.Autant elle peut ne pas me voir, mais manquer ma terreur, c'est juste pas possible. Trois mètres de haut, ça a tendance à attirer l'attention. Je vois une auberge juste en face du port, alors je fonce à l'intérieur. Les regards se posent sur ma création. Je prends une chambre pour deux nuits. Mon travail ici ne fait que commencer. Il va falloir que je rassemble des informations sur mes cibles. Que la chasse commence.


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Dernière édition par Clotho le Mar 12 Juil 2016 - 14:15, édité 2 fois
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Je réfléchis et rassemble les informations que j'ai sur les hommes poissons. La première fois que je les ai vu, c'était dans une des propriétés de Malzette, dans un hangar. Puisqu'elle est morte quand le ponton a sombré, sa propriété doit avoir été saisit par le gouvernement. Soit il l'a mis aux enchères, soit personne ne l'utilise officiellement, soit il l'utilise pour son compte. Je me dirige vers l'endroit sus-nommé. Pas besoin de faire attention à ne pas me faire repérer puisque je suis non reconnaissable. J'emprunte donc les rues au nez et à la barbe des marins. La ville a bien changé. Les gens n'ont plus peur de sortir de chez eux et d'en mourir d'une balle perdue. Ils n'ont plus peur de se faire racketter juste devant chez eux en allant faire leur courses. A l'époque, je méprisais ça, je voulais me battre contre. Enfin, Clotho le voulait.

Moi, j'adorais. J'étais pour. Mogaba m'a inspiré. Ouais, j'ai pris exemple sur ce que les autres appellent un monstre. Et je n'en ai pas honte du tout, bien au contraire. J'ai aussi pris exemple sur Toji, Tahar, Red, Aoi et d'autres grands noms de la piraterie et du crime. Parce qu'être pirate, c'est bien, mais ça paie pas beaucoup. Alors que le crime organisé, lui, rapporte un max. Et donc, tandis que je marche dans les rues, une idée me vient. Pourquoi m'arrêter à Rokade ? Pourquoi ne pas gérer South Blue ? C'est éparpillé dans l'Espace, sur les blues, pas forcément les meilleures îles, mais il y a du potentiel pourtant. Puis faut bien commencer quelque part. Clotho, patron de South Blue. Ça sonne bien. Je mets ça dans un coin de ma tête. J'arrive à l'ancienne propriété de la criminelle désormais reconnue. Blanchissement d'argent, vol, menace, chantage, escroquerie … Elle faisait faire pas mal de choses à ses larbins. On dirait que le manoir est abandonné. Il n'a sans doute pas trouvé acquéreur. Je demande à un passant.

« Il n'y a personne qui vit dans ce manoir ?
Ah, non. Pas depuis l'arrestation de l'ancienne propriétaire.
Mais … j'ai entendu dire qu'elle était morte avec le ponton de l'île ?
Oui. Mais nul n'a voulu acquérir cet endroit.
Et le gouvernement ?
C'est sans doute perdu dans tous leurs papiers.
Ok, merci beaucoup. »

La révo m'aura au moins apporter une chose de positif, la capacité à me faire passer pour n'importe qui. J'étais déjà un excellent menteur avant, mais alors maintenant, je suis encore meilleur. Cet endroit fait une planque parfaite si personne n'y vit. Mais les hommes poissons ne sont pas assez stupides pour y vivre. Pourtant, je vais aller jeter un coup d’œil, au cas où. Je pousse la grille mal fermée, traverse l'allée et entre dans le manoir qui autrefois était superbe. Comme quoi le crime, ça paie. Enfin, tant qu'on ne se fait pas arrêter. De la mousse et des arbres ont pris possessions des lieux. Aucune trace que quelqu'un ai vécu ici depuis longtemps. Ça valait le coup de vérifier quand même. Je vais vérifier le hangar, et je ne trouve rien non plus. Ils ont donc changé de planque. Ok, faut que j'y aille à l'ancienne. Je me rends donc dans un bar, m'approche du barman et pose mes questions.

« J'ai entendu dire que des hommes poissons prisonniers s'étaient échappés de la prison qui a coulé.
Pour sûr. On les a vu ya pas longtemps. Z'étaient pas content. Sont retournés dans la flotte.
Vous avez une idée d'où ils pourraient être allé ?
J'sais pas m'sieur. Ma mémoire m'joue des tours.
Ok, je vois. Combien de tours ?
… Cinq zéros.
Quatre et tu restes en vie si ton info vaut quelque chose. Sinon tu me revois bientôt. »

Il me jauge, voir si j'en serais capable ou non. Il se ravise et une fois la bourse dans sa main, il me dit ce que je veux savoir. Plusieurs personnes ont disparu depuis que le ponton a coulé. La marine n'a aucune piste. Mais dans l'underground, ces hommes auraient été affiliés aux hommes poissons dans le passé. Bingo, ça c'est une info utile. Je remercie le gérant du bar puis sors. Il ne me reste plus qu'à trouver leurs anciens partenaires. Ça va être difficile quand même, vu comment ils détestaient les humains. Bon, je me mets à leur place. Je me suis fait chasser de mon île, enfermé en prison. Je viens de m'échapper. Qu'est-ce que je veux faire maintenant ? Me venger ? Mais de qui, de moi ? De Sissy ? Récupérer du pouvoir ? Prendre l'île ? Même s'ils voulaient faire ça, il faut des hommes et des armes. Ils n'ont aucun des deux. Ils ne sont que trois. A moins qu'ils aient recruté. A moins qu'ils recrutent et cherchent un moyen de pouvoir déclencher une guerre. Dans tous les cas, il me suffit de trouver leurs anciens associés/partenaires pour les trouver. Ça va m'occuper un peu au moins.[/color]


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Dernière édition par Clotho le Mar 12 Juil 2016 - 14:17, édité 1 fois
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Après avoir fait la tournée de plusieurs bars clandestins, endroits louches, je rentre avec que dalle. Personne ne connaît d'anciens associés au groupe aquatique. Ça me fait une belle jambe. Alors je décide d'aller voir quelqu'un qui aura sûrement les réponses à mes questions. En graissant la patte à quelques personnes, je finis par avoir l'information que je désire. Je me rends donc chez les usuriers du monsieur en rouge. A l'extérieur de la ville pour être tranquille, dans un espèce de vieux manoir, je passe la porte. Je croise une femme que j'apostrophe.

« Hey ! T'bosses ici ? » Elle me regarde avec un air outré. Ça doit vouloir dire non. J'en rajoute une couche. « Bon bah la grognasse va se bouger le derch et aller me chercher le patron.
C'est quoi ce langage ?
Le mien. Si ça t'va pas, j'peux toujours fourrer ta gueule dans ton gros cul. »

Elle commence à faire une scène. Et voilà, c'est parti. Que le jeu commence. Plusieurs personnes se ramènent dans l'entrée voir ce qui se passe, pourquoi une femme crie comme ça. Une fois que je trouve qu'assez de monde est présent, j'assomme la gonzesse et m'adresse à l'assemblée.

« Je cherche le patron de ce trou. Qu'on aille me le chercher.
Un trou ?! Non mais t'as pas tout compris là mon gars. Tu sais qui l'a payé ce trou comme tu dis ? Tu sais à qui il appartient ?
Bon, ça doit être toi la patronne. Oui je sais, et justement c'est pour affaire avec lui que je suis là. »

Je lui balance le panneau indiquant le nom du bateau que j'ai coulé.

« Ton collègue sur Rokade m'a dit que votre patron payait trente millions par bateau coulé. V'là la preuve du premier. Maintenant tu casques.
T'attends ton tour morveux.
Non. Tu grouilles de dégager le con qui es avec toi et tu t'occupe de moi.
Tu t'prends pour qui ?
Je suis Clotho.
Et moi Shifumi, ça m'fait une belle jambe de connaître ton nom.
T'as pas compris. Alors je vais te faire une démo rapide. »

Je crée un tas de terre. Elle sursaute de peur et recule avant de se ressaisir. Ses yeux s'illuminent car en voyant mon pouvoir, elle me remet. Elle congédie le type avec qui elle discutait pour me faire passer dans son bureau. Pas mal l'endroit. Il a les moyens l'patron.

« Bon, tu paies ou tu crèves ?
Comment j'peux savoir que c'est bien toi qui a fait ça ? Que tu ne l'as pas simplement volé à un autre ?
Tu peux pas. Et t'en as rien à foutre à priori. L'offre concerne les bateaux coulés, pas la manière ou qui.
Comment je peux savoir que tu n'as pas simplement arraché ça au bateau à quai ?

T'as qu'à consulter les registres des bateaux disparu en mer. Y'avait ptet vingt personnes, c'était un p'ti modèle. Sur South Blue, il allait vers Reverse. Ya deux semaines je crois. » Elle part envoyer du monde pour vérifier mes dires.
« Pourquoi faire ça ? Je croyais que les révos ne tuaient pas ?
Vous lisez pas le journal ou quoi ? J'suis plus un révo. J'suis à mon compte désormais, dans la piraterie. Ça rapporte beaucoup plus.
C'est sûr que la révo doit pas payer beaucoup, hein.
Combien de temps pour avoir le fric ? J'suis pas patient. »

L'homme qu'elle a envoyé revient. Il confirme qu'un bateau portant le nom inscrit sur la plaque en face de nous a été porté disparu il y a plusieurs semaines dans South Blue. Elle sort l'argent avec un sourire.

« Au plaisir de faire affaire.
J'suis pas là que pour ça. Je veux des infos sur le gang des Hommes poissons. Leurs anciens partenaires ou associés, en l'occurrence.
Les informations se paient.
Ouais, sauf que là, ça devrait vous aider, vu que eux veulent juste foutre le bordel et tuer les humains à priori et que toi tu veux garder les choses calmes. Donc tu vas pas me faire payer pour vous aider. L'inverse serait plus logique même.
Les hommes poissons, hein ? Il me semble qu'ils avaient une cachette près du port.
Logique. Où ?
J'en sais trop rien, j'me suis jamais intéressé à eux quand ils étaient en prison.
Qui peut m'aider ?
Allez voir Bill le bottier au port. Il connaît pas mal de rumeurs. Il pourra mieux vous aider que moi.
»

Je sors de la boutique content. Non seulement j'ai trente millions en plus sur moi, mais je sais où trouver quelqu'un qui va m'aider à trouver les amphibiens.


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Dernière édition par Clotho le Mar 12 Juil 2016 - 14:18, édité 2 fois
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Arrivé au port, je demande Bill le bottier. Personne ne connait, évidemment. Si jamais elle s'est foutu de moi, protégée par Red ou pas, elle va pas durer longtemps. Je marche tranquillement tout en cherchant quand quelqu'un me tire par le bras dans une petite ruelle et me met un couteau sous la gorge.

« T'es pas cinglé de crier Bill comme ça ? T'as envie que la marine rapplique ?
T'es Bill ?
Ptet ben. Ptet pas.
Ça dépend de combien je veux, c'est ça ?
Ouaip.
Shifumi m'envoie. » Aussitôt, la prise se défait, le couteau se range.
« J'mange pas d'ce pain là.
Attends. T'as ptet peur du grand méchant rouge, pas moi. Dis moi où je peux trouver Bill, sinon je préviens Shifumi que tu veux la tuer.
Quoi ?! M … Mais c'est faux !
On verra qui elle va croire et ce qu'elle va faire après.
… Salop.
Bon, t'accouche ?! J'ai envie de parler moi.
… Au coin à droite.
Impec. Allez, retourne dans ta merde connard. »

Je clôture la conversation sur un ton bien suffisant lui montrant à quel point je vaux mieux que lui. Il n'est qu'une sous-merde. Non, c'est insultant pour les trucs qui étaient mes parents. Roh, on s'en fou après tout. Clamsés pour clamsés … Je suis la direction indiquée jusqu'à me retrouver devant une boutique réparant les chaussures. J'entre, demande Bill, on m'indique l'arrière boutique. Je pousse l'épais rideau de velours, et me retrouve devant un bureau rempli de papiers de toute tailles, formes et couleurs. Je discute avec Bill qui m'indique avoir connu personnellement un des anciens partenaires des hommes poissons. C'est un être de la même espèce qu'eux, mais moins radical que ses congénères, qui gère un commerce illégal dans le centre. Je laisse cette boutique derrière moi pour aller dans la dernière qu'on m'a indiqué. Il s'agit d'une poissonnerie près d'ici, tenue par les anciens collaborateurs de ceux que je recherche. Là bas, on m'accueille comme n'importe quel client. Je demande à voir le patron. On me fait passer dans un bureau. Forcément, ça sent le poisson. Vraiment forte l'odeur en plus. Un homme poulpe violet entre dans la pièce.

« Bonjour. Je suis monsieur Péna, le directeur. Que puis-je pour vous ?
Salut. Vous devez savoir que le gang des hommes poissons s'est échappé de la prison qui a coulé au large de l'île. » Dès que je parle du gang, son attitude change. Il se referme sur lui même. « La rumeur court qu'ils s'en prennent à leurs anciens partenaires. Plusieurs ont déjà été porté disparut. Mais c'est pas la priorité de la marine il semblerait. Je pense qu'ils vont venir s'en prendre à vous.
En quoi ça vous regarde ? Qui êtes-vous d'abord ?
Peu importe qui je suis. La seule chose qui importe, c'est que je peux m'occuper d'eux.
Bah voyons. Un humain capable de battre des hommes poissons entraînés à tuer. J'y crois bien entendu. »

Avec la vitesse extraordinaire d'un soru, je bondis de la chaise sur mon interlocuteur, l'attrape à la gorge et serre un peu. Ses yeux se révulsent. Il se débat, recule, mais je maintiens ma prise.

« Le fait est que je peux les tuer aussi facilement que je respire. Je vous propose de régler pour vous un problème potentiellement mortel. Je suis de bonne humeur pour une fois. Mais ça pourrait changer selon votre réponse. Sachez qu'une négation pourrait vous coûter plus cher que simplement une vie. Je ne vous demande qu'un seule chose, poursuivre votre vie comme si de rien n'était. Vous attirez les criminels, je m'occupe du reste, et vous êtes débarrassé. Plutôt un  bon deal pour vous, non ?
… aa ... aaa … » Il tape ses mains sur les miennes. Je crois que je serre son cou un peu trop. J'en suis sûr quand je le vois devenir blanc.
« Ah oui, c'est vrai. » Je relâche ma prise. Il porte les mains à son cou et a beaucoup de mal à retrouver sa respiration. Il recule jusqu'à toucher le mur, presque en panique. Moi je suis calme, très calme. Trop calme. Ça démontre que j'ai l'habitude de faire ça et que ça ne me gêne absolument pas.
« Je sais que les hommes poissons utilisent votre boutique pour blanchir de l'argent. Mais je m'en fou, j'suis pas là pour ça. Alors je ne vous poserai la question qu'une seule fois. Êtes-vous d'accord ?
… Ou … Oui.
Bien. Parfait. Merci pour votre collaboration. »

Une fois les instructions données, je quitte la boutique de pêche le plus normalement du monde. Le piège est mis en place, plus qu'à attendre que la poiscaille tombe dans le piège.


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Plusieurs jours passent, rien ne se produit. Devoir rester en planque, ça m'agace légèrement. Alors je m'entraîne au haki en essayant de sentir les gens autour de moi. Je capte parfois quelque chose, mais ça disparaît très vite. Je ne maîtrise pas encore assez ça pour l'utiliser couramment. Boarf, j'ai le temps. C'est pas comme si j'avais la marine au cul.


* 31 décembre 1626, 23h45 *

Toujours rien, aucune attaque du gang. Pourtant, monsieur Péna a laissé courir une rumeur disant qu'il n'aimait plus vraiment les criminels désormais primés. Je pensais que ça aurait suffit, mais visiblement non. Étant donné que plusieurs de leurs anciens alliés sont portés disparu, je me disais qu'ils finiraient tôt ou tard par revenir ici. Aurais-je eu tord ? Je ne peux pas aller sous l'eau, alors je dois les forcer à venir sur la terre ferme, là où ils sont le plus vulnérable. Juste quand je commence à perdre espoir, je sens un truc. Quelque chose de pas bon va arriver, mes tripes me préviennent. Quelqu'un frappe à la porte. L'homme poulpe violet va ouvrir. Un cadeau est sur le pas de la porte. Il le ramène à l'intérieur. Pourquoi j'ai cette impression ? Il ouvre le présent. Dès qu'il retire le couvercle de ce qui semble être une boite, ça se produit. Ça explose. Une détonation assez forte pour briser les vitres des maisons aux alentours, détruire et expulser les morceaux des murs et du toit, réduire en cendre les meubles, blesser très gravement les personnes présentes et nous éjecter contre le mur. Plus aucun son ne parvient à nos oreilles. Nos têtes sonnent et résonnent comme si on venait de se cogner à des cloches géantes. Uns silhouette sort de derrière les flammes et s'approche du poulpe.

" Traître à ta race. "

On lui tire une balle dans la tête, et tout est terminé. Je n'ai pas entendu, mais je suis parvenu à comprendre malgré tout. Est-ce que mon ouïe est revenue ? Est-ce que j'ai lu sur les lèvres ? Je ne sais pas, mais j'ai reconnu la silhouette par contre. Un monstre de puissance d'antan qui m'avait donné bien du mal. J'avais du ruser pour le vaincre. Il s'approche de moi. O'Clayne Eustach apparaît, me jette à peine un regard, me traite de déchet, puis me tire une balle dans la tête. Puis il s'en va achever la famille agonisante de l'homme aux huit bras. A ce moment présent, je me retrouve à la place où j'étais avant que ça n'arrive. Tout est normal. Je suis dans la maison, dans mon petit pot en verre, presque invisible. La bâtisse est encore entière, personne n'est brûlé ou mort. C'était quoi ça ? Encore cette saloperie de force, d'empathie ? Mais c'était une vision ? C'est ce qui va arriver ? On frappe à la porte. Monsieur Péna va pour ouvrir. Il ramène un cadeau de noël en retard. Je sors de mon bocal et l'empêche de déchirer l'emballage. Je fais se mettre la famille dans un coin, couchée sur le sol, les recouvre de terre pour les protéger, puis ouvre le présent.

Comme dans ma vision, il explose, la maison est soufflée et répartie dans plusieurs endroits de la ville, je suis brûlé, on entend plus rien. Je suis désorienté. Je rassemble toutes les parties de moi qui sont éparpillées. A travers les flammes, je vois trois ombres avancer. Elle s'approche du corps des membres de la famille poulpe, mon dôme ayant été soufflé dans l'explosion. Heureusement, ils n'ont aucun dommage. Pour l'instant. Je leur ai dit de rester couché quoi qu'il arrive. Même si je n'arrive pas à viser, je n'en ai pas besoin avec mon logia. Je me contente de faire jaillit des pics pour empaler toutes les directions, sans distinction. Je sens qu'on frappe mes créations à un endroit donné et qu'elles sont brisées. C'est donc dans cette direction que je concentre mes assauts. Je répand de la terre sur le sol, fait jaillir d'autres pics qui se font détruire. Mais ça me sert de diversion. Je me fonds dans ma terre, passant de pics en pics comme une ombre, et ressors derrière mes cibles.

" Qu'est-ce que c'est que cette terre ?
Je ne l'avais pas la dernière fois qu'on s'est croisé.
Qui es-tu ?
Tu ne te souviens pas de moi ? Je pensais pourtant que je vous aurais marqué. Après tout, c'est à cause de moi que vous avez été mis en prison. "

Leurs têtes changent quand je retrouve à moitié la mienne. On peut lire sur leurs visage la haine qu'ils éprouvent pour moi en sachant désormais qui je suis.


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O'Clayne Eustach
"Grand Requin Blanc"
Shan Zang "Rousse Lee"
Zébékiel "Le Grand"
Dorikis : 2500
Dorikis : 2000
Dorikis : 1500
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Karaté Aquatique expert
Karaté Aquatique
Karaté aquatique


Ils me remettent. Physiquement, j'ai changé. Mes cheveux sont beaucoup plus courts, rouge et blanc au lieu de bleu. Ils parviennent à mettre un nom sur mon apparence. Mais mentalement aussi j'ai changé. Je ne suis plus le petit matelot, récemment promu sergent tout juste sorti de l'académie qui croyait encore en des choses. Mes principes d'antan, je les ai dégagés pour ne garder que la force et l'argent. Ce sont les deux principes qui régissent le monde après tout, alors autant jouer avec. Ça, ils vont vite s'en apercevoir. Mais pas ici. Trop de monde qui va rappliquer à cause de l'explosion. On doit aller ailleurs.

" Si vous voulez vous venger, donnez moi le lieu et l'heure.
Ici, maintenant.
Soyez pas cons. Du monde va arriver à cause de votre cadeau. On est tous recherchés. Il va se passer quoi quand la marine va rappliquer ?
Tu seras mort d'ici là !
Il a raison. On doit aller ailleurs. A l'entrepôt 32, dans trois heures. "

J'accepte, et ils disparaissent, non sans me jeter des regards mortels. Trois heures, ça en fait du temps. Ils vont pouvoir préparer des pièges. Je vois déjà des silhouettes sortir de chez elles et avancer vers l'endroit de l'explosion. Je me dirige vers la famille que j'ai sauvé. Elle se relève en me remerciant. Pourquoi ils font ça ? Quand le père me prend dans ses bras pour me montrer sa gratitude, des pics sortent de mon corps et le transpercent. La femme et la fille crient et se précipitent vers leur aimé.

" La poiscaille, ça nage, ça marche pas. "

J'attrape un morceaux de bois brûlant et l'enfonce dans l'estomac de la mère, le bout enflammé à l'intérieur de son corps. Puis je m'approche de la gamine qui commence à s'enfuir en appelant à l'aide. D'une tape sur la terre recouvrant le sol un pic jaillit et l'embroche. Elle se fait transpercer le cul, le pic sortant par la bouche et les yeux. Les parents vont mourir sous peu, mais vont avoir eu la chance de voir leur fille mourir sous leurs yeux sans qu'ils ne puissent rien y faire.

" Vous avez cru que j'étais gentil ou quoi ? Je comptais vous laisser vivre jusqu'à ce que vous osiez faire preuve d'émotion à mon égard. Vous vous êtes condamnés vous même. Crevez bien, ordures. "

Ça y est, des gens sont là et me voient. Ils se précipitent vers la famille en détresse. Mais personne ne les atteint. Je fais bouger ma terre de façon à ce qu'elle recule quand ils essaient d'avancer. Aucun humain ou homme poisson ne parvient à retrouver les blessés. Quant à moi, je me propulse d'un soru plus loin et disparaît dans l'ombre. Les témoins de la scène peuvent bien donner ma description aux marins, ça ne changera rien. Ce soir, c'est de la violence gratuite. Les poiscailles vont en faire les frais.


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Quand on se pense supérieur, on se permet des choses pas forcément logiques, comme donner un rendez-vous à un ennemi qu'on haïs. Quand on se sait supérieur, on va à ce rendez-vous sans se préparer à l'avance. Je me pointe donc à l'entrepôt numéro trente deux trois heures plus tard. Pas de soucis pour y accéder, le feu en ville qui commence à se répandre occupe les gens. Je n'ai pensé à rien, rien envisagé, rien prévu. J'y vais en impro totale. De toute façon, avec mon logia, que pourrait-il m'arriver ? A moins qu'ils aient autant progressé que moi, je ne risque pas grand chose. Et vu qu'ils étaient enfermés en prison pendant des mois, sans possibilité de bouger ou s'entraîner, j'en doute. Je suis donc, très logiquement, plus puissant qu'eux.

La porte de l'entrepôt ouvert, celui-ci est grand. Très grand, pour ne pas dire immense. Des caisses aussi grosses que Gura sont entreposées dans des rayons. J'avance vers le milieu. Tout se passe toujours au milieu en principe. Les lumières allumées ne semblent pas trop fonctionner. Une chance que les grandes vitres laissent passer la lumière de la lune, ce qui nous éclaire assez quand même. Sinon, on ne verrait vraiment pas grand chose. Eustass est là, devant moi, en pleine lumière. Il porte sa grande veste noire, chemise blanches, cravate rouge, et son tricorne.

« Je pensais que tu allais te dégonfler.
Et rater la chance de vous écraser ? Tsss. Alors, on me dit pas merci ?
Pour quoi ?
Vous avoir donner du temps pour réfléchir en prison.
Tu feras moins le malin quand ta tête roulera à mes pieds.
Rêves tant que tu veux, c'est tout ce qu'il te reste. »

Le requin fait un signe, et aussitôt une pluie de plomb s'abat sur moi. J'avance droit dessus sans me préoccuper d'être touché. Les poissons sont surpris. Ils ne s'attendaient pas à ça visiblement. Remarque, ils ont passé pas mal de temps en prison et n'ont pas eu les nouvelles. Depuis qu'ils ont retrouvé leur liberté, ils n'ont pas pris le temps d'en apprendre  sur moi. Ils ne connaissent donc pas mes capacités. Dommage pour eux. Ils auraient pu profiter de ces trois heures pour s'enfuir. Les deux acolytes sortent de l'ombre avec des sortent de canons rotatifs.

« Pourquoi ça lui fait rien ?
Il devrait être mort !
Si vous aviez pris le temps de vous renseigner sur moi, vous auriez appris que j'ai mangé un fruit du démon. Et pas l'un des moindres, puisque c'est le logia de la terre. » A leurs têtes, je comprends que ça ne leur dit rien. « Vous ne pouvez pas me toucher, pour faire simple.
On va voir ça. Au corps à corps les gars !
C'est tout vu. »

Ils lâchent leurs armes sur le sol et me foncent dessus. Venir au corps à corps est stupide avec moi. J'ai un nouveau style de combat que je développe depuis peu qui me rend très dangereux au corps à corps. Mes pieds ancrés dans le sol, mes bras ballants, ma respiration contrôlée, mon esprit clair, je les attend de pied ferme. Le boss est le premier à frapper. J'esquive son poing en tournant légèrement sur ma droite, approche ma paume de son ventre et le frappe. Il recule légèrement tandis que les autres avancent. S'en suit un échange de coups. Je contre les leurs facilement. Je n'ai plus du tout le même niveau qu'avant. Ma progression est trop importante pour eux, on le sens dès le départ. Même s'ils parviennent à me toucher parfois, aucun ne me fait de dégât. Alors que lorsque je les repousse, je les frappe. Ils pestent et reviennent à la charge. J'ancre mon pied gauche dans le sol, il me fera office de pivot.

« Je parie que je vais vous repousser sans faire un pas. »


Le vengeance est une garce, moi un connard, vous des cadavres Drapea11
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Ça les énerve encore plus. Ma stratégie fonctionne. Cette fois, ils sont là en même temps. C'est donc trois poings qui viennent vers moi. Pas de soucis. Je pivote sur moi même, esquivant les trois attaques. Mon crochet du droit vient cueillir la grande asperge dans la joue. Avec une force qui le dépasse, il est projeté plus loin et emmène ses camarades avec lui. Ils roulent sur plusieurs mètres. Je repose ma jambe droit sur le sol, même position qu'au départ.

« Je vous l'avais dit. Vous ne pouvez pas me battre les gars. »

Ils se relèvent. Je leur donne un point pour l'entêtement, et le leur retire aussitôt car ça va vite m'agacer. J'ai beau m'amuser à les ridiculiser, c'est vite lassant à force. Le requin et le roux préparent un truc. De l'eau coule de leur corps. Ils tendent le bras vers moi et me balance des gouttes d'eau dessus (Flèche d'eau). La flemme d'esquiver, alors je crée un mur qui vient l'intercepter. Les poissons le contournent et me frappent. On dirait qu'ils utilisent un art spécial, le karaté amphibien peut-être ? Shang frappe l'air de son poing et je le sens se tordre devant lui jusqu'à moi (Poing invisible). Le coup m'atteint malgré mon logia. Leur karaté outre passe mes défenses ? Pas cool ça. Mais mieux vaut l'apprendre maintenant que face à quelqu'un de plus fort que moi. Je vais pour le frapper quand il se met à parer d'une main (Défense totale). Comment c'est possible ?

Il est clairement moins fort que moi, et pourtant il détourne mon coup comme si on avait la même puissance. Mais à bien réfléchir, c'est pas possible. Ce n'est donc pas mon coup qu'il a dévié, mais autre chose. Il a touché mon poignet, et c'est ensuite que j'ai 'dérapé' pour le manquer. Peu importe comment il a fait, tant que je le ne laisse pas me toucher, je pourrai le frapper. Il me suffit d'être plus rapide que lui. Shang et Eustach frappent l'air en même temps juste devant moi tandis que Zébékiel se baisse et frappe ma jambe. Aussitôt, je perds l'équilibre malgré ma posture qui est censée rendre la chose impossible. Je bascule et les ondes viennent me percuter m'envoyant contre le mur. Je me relève en crachant un peu de sang qui me gêne dans ma bouche. Ils ont l'air fiers d'eux. Si seulement ils savaient ce qu'ils venaient de faire …

Je vais leur montrer la différence entre moi et les insectes qu'ils sont. Un sourire carnassier illumine mon visage. Je crée trois lances dans ma main droite. Soru pour apparaître devant chacun des adversaires. Je plante une lance dans la rotule de chacun d'eux. Ils tombent sur le sol en hurlant. L'avantage d'un soru, c'est que ça permet de finir le combat avant même qu'il ne commence. Les hybrides détruisent les lances, mais le mal est fait, leur rotule droite est brisée, éclatée en morceaux. Ils pissent le sang qui se répand rapidement autour de nous. Je m'approche. Ils tentent de me frapper. Avec une rapidité et des réflexes qui les dépassent, j'attrape leur membres qui bougent et assène un violent coup de paume dessus. Résultat, des cris, des os brisés, des insultes. Ils n'arrivent pas à en croire leur yeux. Comment est-ce possible ? Comment ai-je pu autant progresser ?

Je me contente de sourire avant de décapiter le premier. Zébékiel termine ainsi sa vie. Shang me supplie de le laisser en vie. Ce à quoi son boss lui réponds qu'il n'est qu'un lâche, un traître, qu'il ne mérite pas de vivre. Sans un mot, je sépare la tête du roux du reste de son corps. Je ramasse les deux trésors, cherche une caisse à la bonne taille, puis les met dedans.

« Tu restes fidèles à toi même. C'est bien. Je t'offre deux issues. Tu te relèves, essaie de me battre et je te tue. Ou alors tu te relève et fuis. Tu auras honte jusqu'à la fin des temps, mais au moins tu seras en vie. Choisis vite. »

Je le vois regarder la porte qui se trouve à plus d'une dizaine de mètres, droit devant lui. Il se relève, et tente de me frapper. J'utilise son poids contre lui pour le faire basculer en l'air et le balancer droit sur la porte qui sort de ses gongs. Je prends ma boite contenant les têtes des criminels et sors vers Eustach. Il se relève et s'enfuit comme il peut. Bien. Bon choix pour lui. Avec un soru, j'arrive devant lui. Il a juste le temps de me voir que son cœur est hors de son corps, et qu'il tombe mort sur le sol. J'arrache sa tête et la met dans la boite avec les autres. Je suis couvert de sang de la tête aux pieds. Pas très discret tout ça. Je me trimballe avec ma boite pour revenir chez les usuriers. J'évite soigneusement la ville, toujours aux prises avec les flammes mais qui sont désormais contenues. Je me dirige vers le manoir acheté par l'ancien marine. Je pousse la porte, vais directement dans le bureau de Shifumi. Il n'y a personne, c'est bien ma veine. Pourtant, je l'entends rapidement débarqué. Quelqu'un a déjà du lui faire la commission que je suis revenu. Je m'assois avant qu'elle ne me le dise et lui pose la boite sur la table.

« Un petit cadeau pour toi. Je me suis occupé des hommes poissons. Je t'ai empêché d'avoir quelques ennuis. Maintenant, tu craches la thune ou tu ne vois pas le soleil se lever.
Vous savez que menacer un usurier, c'est menacer Red ?
M'en fou. J'ai fait TON taff, je veux une récompense. »

Elle cède à faux contre-coeur. Ça veut dire qu'elle fait style que ça la dérange. Mais en fait, je l'ai débarrassé d'un problème pouvant empirer et gêner son commence, trafic ou toute autre chose qu'elle fabrique ici. Elle me sort une bourse remplie d'or. Je la prends et me barre d'ici. Au moins, cette fois le boulot est bien fait. J'espère ne jamais revenir sur cette île de merde. J'ai bouclé ce qu'il y avait à faire ici, je me sens légèrement apaisé. Je récupère mes affaires et me barre pour South Blue. Je ne suis resté que trop longtemps ici.

Spoiler:


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