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[Fiche d'île] Vertbrume

Vertbrume
Nouveau Monde


Population & Particularités


Vertbrume n'est pas vraiment une île. Il s'agirait plutôt d'un archipel. Un étrange archipel formé de blocs rocheux verticaux qu'on dirait littéralement jaillis de la mer. Au point qu'en voyant leurs sommets couronnés de verdure, on les prend souvent pour de gigantesques arbres, semblable à ceux de Shabondy. Mais quand on s'approche on s'aperçoit  qu'il s'agit bien d’îles. Tout comme on constate rapidement que les courants et les récifs rendent une traversée de l'archipel plutôt dangereuse. Quand on rajoute à cela que tout débarquement semble problématique, et que les logs se rechargent ici a une vitesse anormalement rapide, on comprend que rare sont ceux a être resté suffisamment longtemps dans le coin pour comprendre que l'endroit abrite bien d'autres choses, pour peu qu'on lève les yeux vers la canopée.

  • La Légion perdue de Pizarro :
    Il y a quelques siècles, a l'époque ou le royaume Luvneel était le phare de l'exploration des blues, des centaines d'explorateurs partirent dans toutes les directions. L'un d'eux s’appelait Pizarro. Et il avait fait le serment de ramener au roi un de ses mythiques vestiges des temps oubliés. Un Ponéglyphe. Muni de textes censés indiquer les positions des ponéglyphes, Pizarro se fit successivement repousser d'Alabasta et de l’île des hommes poissons, et ne réussit jamais à trouver la pierre de Jaya. Ayant perdu la moitié de sa flotte, miné par le scorbut, la fièvre et une terrible infection, Pizarro finit par s'échouer dans le coin, siège d'un autre ponéglyphe, et sur son lit de mort il fit promettre a ses hommes qu'ils ne quitteraient jamais le coin sans ramener la pierre avec eux. Puis il mourut. Et pour être sur de tenir leur promesse et n’être pas tenté d'abandonner, ses hommes sabordèrent les bateaux et partirent en quête du Ponéglyphe.

  • Le Fort de la Légion :
    Mais au lieu de l'ile déserte qu'ils s'attendaient à trouver, les hommes de la Légion constatèrent rapidement que l'archipel était habité. Loin au dessus de la mer, un peuple local avait patiemment colonisé les sommets de l’île, et s'opposait obstinément a ce que les hommes de la Légion aillent se promener dans leur lieu sacré au cœur de l'archipel. Déterminé à respecter leur promesse, les colons s'intallèrent donc pour durer, bâtissant un fort massif sur deux îlots isolés a proximité de l'archipel. Qu'ils finiront par abandonner un siècle plus tard pour fonder Railway City.

    Le fort désaffecté deviendra beaucoup plus tard une base de la 404ème Division à partir de laquelle Anurodha Nilofar lancera ses raids contre la cité placée sous la protection de l'Impératrice Pirate Kiyori.

  • Railway City :
    Grâce au savoir-faire Luvneelois, les plus gros rochers se dressant entre l'océan et la Canopée ont pu être aménagés pour accueillir une population un peu plus civilisée, sans empiéter sur les terres des natifs. Rapidement les colons ont pu remarquer que les gigantesques piliers rocheux contenaient eux aussi d'immenses quantités de matières premières : de l'or, de l'argent, du cuivre, du zinc... Assez de métaux pour progressivement transformer Railway City en une mine gargantuesque, traversée par un vaste et performant réseau ferroviaire circulant dans des voies souterraines ou bien au-dessus du vide. Effectuant des boucles, grimpant à la verticale ou bien atteignant des pics avant de faire plonger instantanément les mineurs sur une pente démentielle, Railway City peut se vanter de posséder non pas un réseau de chemin de fer, mais plutôt de gigantesques montagnes russes s'étendant ainsi sur une bonne trentaine de rochers. Ce qui a invariablement fini par attirer l'attention d'un Empereur Pirate, ou plutôt d'une Impératrice Pirate avec une âme d'enfant, qui s'est aussitôt appropriée l'endroit.

    Aujourd'hui Vertbrume est donc officiellement sous la protection de Kiyori pour ses minerais extraits au sein de Railway City, mais plus officieusement pour son attraction ferroviaire. Et la Déesse Enfant vient généralement sur l'île pour uniquement passer ses journées à bord du train qui a été confectionné rien que pour elle et qui peut l'emmener n'importe où dans la mine : le Highlight Crew. Du reste, elle ne semble pas préoccupée par les habitants de la Canopée et n'agira pas contre les indigènes tant que ceux-ci ne viendront pas casser son nouveau jouet.

  • La Canopée et le peuple sylvestre :
    Car si vu du sol l'archipel parait parfaitement impropre à la survie. Quand on prend de l'altitude, on découvre tout autre chose. La haut, dans les forêts qui grignotent les sommets des piliers de pierre, un peuple a su s'installer et prospérer, parsemant les cimes d'une multitudes de villages à la légèreté aérienne. Ceux qui se nomment les Canopéens se prétendent les descendants d'un peuple venu du ciel sur un grand oiseau de feu, contraint de se poser ici car pourchassés par de puissants ennemis. Ce qui explique le coté inaccessible de l'ile choisie. Bien qu'il soit difficile de déterminer avec précision d'ou venait "l'oiseau de feu" et qui le pourchassait, il est aisé de relier ce genre de légendes au flou qui entoure le siècle oublié. Ce qui permet d’expliquer facilement la source de l'étonnante technologie dont dispose ceux que la légion traite de simples sauvages.

  • Les villages flottants :
    Habitant des lieux depuis toujours, le peuple Sylvestre est parfaitement adapté à la vie dans les espaces étroits que lui laisse l'archipel. Ses villages sont posés au dessus des sommets forestiers, suspendues a des ballons gonflés du gaz d'une plante locale, et reliés entre eux par de long ponts de lianes eux aussi suspendus, poue épargner au maximum la fragile végétation des sommets. Adaptant la technologie des ballons de soutien de leurs villages, les Canopéens ont aussi créés des navires volants pour rallier les îlots trop éloignés pour les simples ponts de lianes. Navires qui permettent aussi de transporter des charges nettement plus importantes que les insectes volants.  

  • L'épave et le Ponéglyphe :
    Au centre de l'archipel se trouverait une antique épave, dernier vestige du navire volant de l'ancien temps qui aurait amené les canopéens sur l'ile. Une épave qui d’après les notes de Pizarro, contiendrait un des légendaires Ponéglyphe. Légende difficile à vérifier, les locaux considérant ce lieu comme hautement sacré, et interdisant à tout le monde de s'en approcher.


Forces de l'ordre et respect de la loi


L'allégance de Railway City à la Déesse Enfant a permis la mobilisation de la onzième de l'impératrice sur l'île, servant principalement à repousser les assauts du régiment d'Anurodha Nilofar ayant récemment réhabilité le Fort de la Légion pour mener des raids sur la cité. Bien qu'une grande partie des Railwayens ne s'intéresse plus à la Canopée mais seulement aux minerais que les mines contiennent, il existe cependant un héritage Luvneelois pour les petits-enfants de la Légion qui demeurent à la recherche du ponéglyphe se trouvant sur l'île. Et qui ne trouveront pas le repos tant que la promesse de leurs ancêtre envers Pizzaro n'aura pas été exaucée.

Coté Canopée c'est nettement plus diffus. Les étrangers n'y sont pas mal accueillis mais plutôt globalement ignorés. Après tout, l'environnement limite assez vite les mouvements de ceux qui ne sont pas d'ici. Les lois sont celles d'une société humaine plutôt calme et tournée vers une symbiose importante avec la nature. Un calme qui ne veut pas dire pacifisme, les guerriers locaux sont féroces, leurs armes efficaces et leurs poisons violents. Et les rares pirates a venir si haut comme en terrain conquis s'en aperçoivent très vite.

Historique & Évènements récents


 ► [1525] La promesse de la Légion :
Après s'être échoués sur Vertbrume et avoir vu leur capitaine dépérir lentement, la Légion envisage de tenir la promesse faite à Pizzaro et retrouver le ponéglyphe dissimulé sur l'île. Bâtissant le Fort de la Légion pour pouvoir idéalement lancer des assauts contre les Canopéens qui défendent l'endroit, les Luvneelois se rendent compte de la richesse des piliers rocheux et finissent par abandonner le fort pour établir une ville au creux de la roche qui deviendra un siècle plus tard la florissante Railway City.

 ► [1625] L'arrivée de Kiyori :
Désireuse de mettre la main sur les montagnes russes de Railway, Kiyori apporte son soutien militaire à la colonie Luvneeloise désormais devenue une gigantesque ville minière s'étendant entre plusieurs îles rocheuses reliées par un complexe réseau de chemins de fer. Au même moment, le Commandant Nilofar réhabilité le Fort de la Légion pour y loger son bataillon et répéter des raids sur la ville. Les petits enfants de la Légion continuent quant à eux à tenir le flambeau de leurs ancêtres et à partir à la chasse au ponéglyphe.

Personnalités importantes


Les industriels de Railway City

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Commandant Nilofar, Raideur de Railway
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Dernière édition par Annabella Sweetsong le Dim 17 Juil 2016 - 4:58, édité 3 fois
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Archiviste a écrit:

Les industriels de Railway City



Railway City est le plus simplement décrite comme étant une mine gargantuesque, exploitée par les hommes depuis des siècles et des siècles, au point de s’être progressivement transformée en un gigantesque gruyère ponctué de fosses abritant des villes, des ports et des cités souterraines. Et traversée par ce qui est le plus vaste réseau ferroviaire de la planète, utilisé tant pour le transport de personnes que de marchandises. Le plus vaste, mais aussi le plus performant : ici, un train capable de circuler à la verticale, des rails installés au plafond d’une caverne, sont des choses courantes et on ne peut plus banales. Certaines lignes de rails se trouvent également à l’air libre, tantôt suspendus au dessus du vide, tantôt simplement à la surface du roc.




Archiviste a écrit:
Shin & Kujura
Administrateurs de l'ile



-Qu’est-ce qu’elle veut, cette fois?
-Qu’on aménage le train pour y faire rentrer un Cachalion.

Shin à droite, et Kujura à gauche, mais ça sonnait mieux dans l’autre sens. Ce couple de plus-si-jeunes tourtereaux est également le duo d’administrateurs de Tashahari sur Railway, parce que l’île ne l’intéressait pas tant que ça non plus. Autrefois forts écoutés dans le cercle réduit des conseillers de la Déesse-Enfant, ils se contentent aujourd’hui de superviser l’exploitation du caillou, ce qui n’est pas plus mal, et infiniment plus paisible. De manière assez paradoxale, leur tempérament casanier et leur zone de compétence les rend beaucoup plus appréciés au sein des populaces locales que dans les rangs de la piraterie. A moins qu’il ne s’agisse de leur réputation de bienfaiteurs de longue date, qui savent servir leurs intérêts en conjonction de ceux d’autrui, et qui corroborent l’excellente réputation de leur meneuse.

Mais qu’à cela ne tienne. Tant que leur retraite paisible restera assurée, ils ne s’en soucieront pas le moins du monde. Et quand la marine ou d’autres ennuis frappent aux portes de l’île, tout le monde se rend rapidement à l’évidence : vu leurs talents, ils sont vraiment irremplaçables.
Niveau évalué :
Dorikis : 126 chacun.
PP : +742
PI : 297
PRIME : 150 millions de berries chacun, mais seulement vifs (et en bonne santé).
Localisation : Railway City
Créateur du PNJ : Sigurd. Et Atlus.

Habiletés/Pouvoirs :

Le pouvoir de l’amour : Triomphe toujours. Surtout contre les effets d’hypnose, d’intimidation, d’empoisonnement, de génocide clanique multi-séculaire, et de tout ce qui a la fâcheuse tendance à transformer des gens heureux en héros tragiques.

Multi-Mass-Melee : Des quantités absolument ineffables de sbires en tous genres qu’ils dirigent et coordonnent au-delà du concevable.

Oracle : Deux haki empathiques dépassant de très loin la majorité des plafonds envisageables, ce qui les hausse tous deux au rang de prophètes accomplis et reconnus. Ils peuvent aisément concevoir et décrypter la multitude de futurs possibles, déterminer les points de pivot dans la succession des nombreux évènements éventuels, et découvrir comment faire basculer les trames dans le sens qui les arrange. Pour autant, savoir ne fait pas toujours tout, loin de là. Et puis, il y a toujours les mauvaises surprises insoupçonnables. Et c’est bien pour ça que le fait d’être deux sur l’affaire les rend si redoutables.
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Archiviste a écrit:
Anurodha Nilofar
Commandant d’élite, Raideur de Railway



Jolie photo, mais j’ai pas ces yeux là en vrai, moi.

Natif d’un royaume parmi tant d’autres de West Blue, il a fait ses premières armes en devant composer continuellement avec les raids pirates qui assaillaient ses terres. Aujourd’hui, il affirme tout simplement vouloir leur rendre la pareille, et s’en donne très clairement à cœur joie. Avec le temps et l’expérience, il a fini par découvrir un certain nombre de « recettes » tactiques et opérationnelles qu’il considère à la limite de l’infaillible, ce que la pratique donne l’air de confirmer. Ce qui a pour conséquences directes une audace et une prise de risque démesurées dans la moindre des opérations qu’il dirige. Et lorsqu’il s’agit de cette île, il les dirige pratiquement toutes. Loin d’opérer seul, en effet, il opère toujours en mobilisant toutes les forces qui relèvent de ses ordres.

Au fil des années, il est devenu l’homme ayant effectué le plus de raids sur Railway Citywork, au point d’être devenu un genre de référence en la matière. Un titre tout à fait honorable, quand on sait à quel point une entrevue avec les forces d’un empereur peut mal tourner lorsqu’on s’y prend mal. Quand bien même le chef des armées lui-même déciderait de lancer l’attaque sur la ville rocheuse, il serait mal avisé de ne pas écouter les conseils de ce spécialiste.

Niveau évalué :
Dorikis : 6724
PP : + 99 (sacqué à la récomp’ parce qu’il n’a pas justifié son récit)
PI : 121
Localisation : Fort de la Légion, Vertbrume
Créateur du PNJ : Sigurd.

Habiletés/Pouvoirs :
Color Trap : particulièrement sous forme de tatouages corporels, qui peuvent aussi bien être faciaux que divers. Capable de se barbouiller en un tour de manche pour adapter ses hypnoses à la situation, il est tout à fait susceptible d’influencer mortellement les attitudes ou stratégies d’adversaires bien plus puissants que lui. Rien ne l’empêche d’en faire de même sur ses propres compagnons, ce qui donne des résultats assez intéressants quand il vous incite à attaquer systématiquement le fuyard de l’équipe, ou à ignorer définitivement le plus dangereux membre de sa bande. Et ça, c’est sans parler de ses techniques avancées.

Strictement Increvable : ne fatigue pas. Jamais. Quoi qu’il fasse. Peu importe la durée. Littéralement. Oui. Vraiment.

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L'idée de base de Vertbrume c'est de proposer aux joueurs une ile relativement inexplorée par les touristes, et ou se joue le classique remake du conquistador face aux aborigènes. On peut y prendre parti pour la modernité, et se lancer dans une guerre de conquête, une exploration en territoire hostile avec un ponéglyphe a la clé, ou jouer le protecteur de la culture locale par les armes ou en tentant de désamorcer le conflit.

Du coup, mixer cette zone avec une ile minière surpeuplée, exploitée depuis des siècles et dont la particularité la plus flagrante est d’être entièrement recouverte d'un intense réseau ferroviaire et protégée par un empereur, ça n'a à mon avis pas de sens.

En fait, le seul point commun entre les deux iles c'est une vague ressemblance au niveau de la forme du terrain.

En mélangeant les deux on tue complétement le concept de vertbrume, et on se retrouve avec plein de trucs qui ne se marient pas du tout ensemble et qui du coup rendent vachement peu crédible, le coté "terre inviolée" des aborigénes et du ponéglyphe qu'ils protègent alors qu'un train passe devant leur porte, la "possession" de l'impératrice, pas fichue de posséder une ile entière, les mecs de luvnel qui n'ont plus de contact avec leur ile d'origine alors qu'ils sont sur une ile qu'un régiment de la marine attaque régulièrement...



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C'est pas faux. J'ai principalement basé cette fusion sur la formation géologique de l'île que j'accorderais davantage comme un archipel.

Si le problème ne vient pas nécessairement de Vertbrume, il vient plutôt de Railway Citywork qui est une île-cité-mine (posée par Sig, l'homme anti-îles-avec-une-seule-ville-dessus par définition) bâtie sur une météorite qui permet de faire un métal aux propriétés étranges et qui sert aussi de montagnes russes personnelles pour l'impératrice. Du coup j'ai essayé de l'intégrer dans ce paysage mais oui, visiblement ça dénature trop.

Peut-être y-a-t-il une autre option pour cette seconde île qui te vient à l'esprit ? Et donc laisser Vertbrume dans son état actuel, je consens.
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Moi ça me va, cette bouture. Mais j'aimais beaucoup Vertbrume avant vu que c'est taillé pour moi, et ça n'a pas changé. Vous faîtes ce que vous voulez.

Et j'ai écrit Railway, ouais. Même que j'ai pris du temps et du plaisir à le faire en essayant de proposer un truc chouette et soigné pour le forum, alors ton sous-entendu, je le discerne mal. Mais tu vas certainement m'expliquer, hein?

J'ai pas de prob avec un retrait de Railway si ça n'inspire personne, je précise. C'est pas ça, mon problème.
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J'ai pas de prob avec un retrait de Railway si ça n'inspire personne, je précise

Moi j'aime beaucoup Railway. Dans le sens ou c'est une ile parfaitement typée pour coller avec le coté "enfant" de Kiyori. La ou les deux autres iles en sa possession rappellent le coté "déesse"

Je trouve qu'il est important sur le nouveau monde de montrer que les empereurs ont quelque part façonnés le coin a leur image, et c'est le truc qui a le plus manqué au concours, l'exercice de création d'iles vraiment différentes/originales/démentes/loufoque, n'étant pas évident du tout.

Comme pour les iles nourritures de Big Mom, ou l'asile de Teach sur le forum, Railway symbolise vachement bien la miss Kiyori. La voir disparaitre serait carrément dommage.

Personnellement je ne comprends toujours pas pourquoi on ne peut pas la laisser exister telle qu'elle est, ou comment elle a pu se retrouver dans une liste d'ile "ou il manquerait du contenu".


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Et je finis par ici pour répondre à Sigurd.

Mon sous-entendu n'était qu'une boutade basée sur des trucs que j'ai entendu (je peux te dire de qui), comme quoi tu détestais les îles avec juste une ville dessus et rien d'autre, ce qui t'amenait souvent à faire des ajouts pour meubler le machin. C'est pour ça que j'ai trouvé cocasse Railway Citywork qui est une île-cité-mine, mais ça n'a rien de critique ou de méchant, hein.

J'ai jamais voulu que Railway disparaisse non-plus, sinon je me serais pas fait chier à faire tout ça, mais je me suis simplement dit que cette ville pourrait se greffer quasiment n'importe où. Que l'on reprenne le concept d'acier de météorite ou non. les mines et l'influence de Kiyori n'est pas un problème, c'est plus une question de support. D'aller à un endroit et de trouver Railway, mais pas que. D'où cette proposition.
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Merci pour ta réponse, ça me convient très bien. Juste pour info de l'humeur du moment, je commence à avoir un brin de nerfs au niveau des boutades, on me fait plus assez de compliments pour qu'elles passent sans soucis. Et je concevais Railway comme clairsemée de villes-cités champignons reliées par le système de rails, peut être que c'est mal indiqué.

Pour les deux îles, perso ça me convient ou ensemble ou séparé. Juste pour info, c'est O-BLI-GE que je me pointe un jour sur Vertbrume en mode rapprochement avec l'ancienne colonie Luvneeloise, peu importe le reste du contexte. Vous mettez Kiyori dessus, ça me donnera simplement l'occasion d'éjecter son empire au moment de la reconquête. Foutre un coup de dague dans les yeux d'un dragon c'est toujours très marrant au niveau réactions. Ca me ferait faire d'une pierre deux coups en récupérant une colonie et en récupérant un gros tas de ressources. Ca me donnerait même un prétexte pour revenir à la charge, en mode libération du territoire envahi par Kiyo'. Mais je peux pop tout ça sans que y'ait la fusion.

Dans le cas contraire, partir à la conquête de Railway pour le fun et les ressources, ça peut aussi très bien se faire. J'voyais plus l'île comme un cadeau pour les marines en quête de zone de guerre potentielle à chopper pour le GM, mais voilà.

Si vous voulez que je propose des machins comme rajouts à une île ou une autre même en dehors de celles-ci parce que leur mariage vous convient pas mais qu'elles sont pas full en elles mêmes, j'peux aider sans souci. Donnez juste des pistes. De quel genre, et pour quel public.
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A la limite ce que je propose, c'est de garder l'idée de Vertbrume comme d'un archipel avec deux fiches d'îles. Avec d'un côté Vertbrume comme il l'est actuellement, avec sa multitude de petits cailloux qui sortent de la mer et de l'autre de plus gros cailloux qui sortent d'une île sur lesquels est construite Railway ?

Genre comme ça :
[Fiche d'île] Vertbrume Sans-titre-1-4ffdd3a

Après tout si le machin est bâti sur une météorite, ça peut expliquer l'étrange formation géologique de Vertbrume aussi. Et du coup sur les deux fiches, seulement Railway reste sous le contrôle de Kiyori, un peu comme pour Boyn et Turpitude.

On gagne un sous-forum et tout le monde est content. ^^
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Mon sous-entendu n'était qu'une boutade basée sur des trucs que j'ai entendu (je peux te dire de qui), comme quoi tu détestais les îles avec juste une ville dessus et rien d'autre, ce qui t'amenait souvent à faire des ajouts pour meubler le machin. C'est pour ça que j'ai trouvé cocasse Railway Citywork qui est une île-cité-mine, mais ça n'a rien de critique ou de méchant, hein.

Inutile de faire des sous-entendus, ou des parenthèses. C'est moi qui ai dit que tu n'aimais pas les iles avec une seule grosse ville de teubé plantée au milieu, Sig. Après, avant de faire de ce simple constat une boutade, faut chercher à en savoir plus. Et c'est là où tu pèches, Anna.

Sig et moi avons le même genre de jeu, ce qui nous pousse à faire des ajouts pour satisfaire nos scénarios. Tel qu'il est maintenant, Railway est peut être posé sur un pic mais le fond est complet, bourré de ressources et apte à un certain types de jeu. Le genre que nous jouons lui et moi. Que jouent certains pirates aussi. Chaque ile n'est pas obligatoirement censée comporter le background pour que tous les groupes s'y retrouvent. Donc, vide, c'est une question de point de vue. De même que certains apprécient la beauté sauvage de Vertbrume sans vouloir y mettre des colons parce qu'une autre ile a vaguement la même forme qu'elle.

Donc mon avis de membre est négatif.
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Loth, on a un peu évolué dans le débat et pour le coup j'évoque deux fiches d'iles séparées réunies dans un même coin à la place de la fusion des deux.

Cf ma dernière image.

Et pour tout ce qui est boutade, j'ai pas cherché à être sérieux, j'essayais de détendre l'atmosphère même si ça a capoté. J'ai pas non plus envie de faire des recherches sur google et lire l'encyclopedia universalis dès que je dis le moindre truc à caractère facultatif. Descends d'un ton un peu.

Merci pour ton avis.
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Si on en est a mettre deux iles séparées, moi j'ai une idée pas mauvaise, ce serait faire deux fiches. Et comme ça on est bon. Et ceux qui voudront ajouter des trucs parce qu'ils trouvent qu'il manque des choses, il leur suffira de passer par la section "ajouts"

Au final, les fiches "vides" sont nettement plus porteuses pour tout le monde. Suffit de voir l'engouement dément pour Boréa ou il n'y avait finalement pas grand chose au début.

Il faut laisser les joueurs s'approprier les iles ou ils vont jouer, et pour ça, leur laisser de la marge. ça a toujours été l'un des atouts phare du forum, tout le monde peut mettre la main à la pâte et apporter son truc.

Bref. Pour la fin de la fusion.


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C'est ce que j'ai évoqué dans mon précédent message...

Deux fiches d'iles pour Vertbrume et Railway Citywork, mais indiquer que les deux se trouve l'une à côté de l'autre et les mettre toutes les deux dans le même sous-forum. Donc au final traduire ça en un ajout avec l'image de la carte pour illustrer.
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