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RX-Nobusada - Cyborg de la Marine

RX NOBUSADA
Pseudonyme : Le Flambant Neuf
Age : 36 ans
Sexe : -
Race : Cyborg[/url]

Métier : Soldat (grade à définir à la présentation)
Groupe : Marine régulière

But : En toute modestie, gouverner le monde. Du reste, plus sérieusement, le Flambant Neuf mène sa vie au gré des aléas, faisant au mieux pour réussir.

Équipement : Robotisation (armes et outils intégrés, canaux à combustion), traîne avec lui une bouteille de gaz à roulettes.

Parrain : Personne. Son nom est Personne.

Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Négatif.
Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...

Codes du règlement :


Description Physique
Derrière les apparences, il y a toujours un homme. On peut se tromper en se focalisant sur le bruit des cliquetis qu’entraîne le mouvement des plaques collées les unes contre les autres – parfois, à cause des frottements répétés, l’armure du cyborg se dégrade et grince. Mais il y a toujours un homme, comme il y en a qui grincent des dents. Hormis que le squelette de ce dernier est pourvu de câbles et d’alliage lui permettant de garder – et même améliorer – sa motricité. Hormis qu’à la place des bras et des jambes, ce sont des prothèses authentiques de la manufacture de la R&D de la Marine qui achèvent de compléter sa silhouette. Hormis qu’à la place de l’œil gauche, c’est un radar qu’il possède. Hormis que, en conclusion, tout son corps a été robotisé pour pourvoir à ses fonctions vitales et militaires. Seuls restent, pour sa partie organique, son torse, ses organes vitaux, sa colonne, son cerveau et une partie de son visage.

On pourrait croire, dès lors, que la machine est froide. En vous approchant pourtant, vous aurez comme la sensation d’être collé au radiateur. Si un système de ventilation interne assure le thermostat de l’organisme, de sorte à préserver son homéostasie, il n’en demeure pas moins que, chauffé au gaz, le Flambant Neuf porte bien son nom. Flambant. Tout un réseau de combustion complète son système pour le nourrir en énergie ; provoquant chaleur et dégradation de l’environnement, renforçant l’effet de serre. L’empreinte écologique de cette machine est tout ce qu’il y a de plus mauvais, qu’on se le dise, puisqu’elle est en outre très énergivore. Ce qui explique, dès lors, pour revenir à nos moutons, cette petite bonbonne de gaz qu’il traîne au bout d’une corde, et qui se déplace avec lui grâce à des roulettes qu’il a astucieusement fabriquées. Du bric-à-brac. Il faut avoir de l’ingéniosité quand on est un morceau de ferraille, et faire preuve d’adaptation.

Passons. Voyez comme ce regard malsain dévisage tous les lecteurs du Flambant Neuf. S’il est aussi bouillant qu’un radiateur parfois, son expression reste toujours très froide. Stricte. Soutenues par une mâchoire de métal qui remonte jusqu’aux oreilles (ou, du moins, ce qu’il en reste).  A moitié camouflée (l’expression) par un bandeau qui descend sur ce qu’il reste de son œil gauche : une orbite remplacée par un faux œil, qui s’avère être en fait un outil secret du cyborg. Un outil qui, une fois retiré, permet d’accéder aux fonctions cérébrales de la machine. De la désactiver d’un clic. Mais que cela reste entre nous.

En descendant, il est aisé de remarquer que derrière ce métal noir qui recouvre la majeure partie de son corps, il reste des bouts de chair qui attestent d’un passé d’être humain. Ces derniers sont recouverts par du linge tissé à même l’armure du Flambant Neuf, au-dessus d’une surface de cuir qui aide à l’étanchéité du tout. Il bénéficie d’une large gamme de ce genre de vêtements en fibres maillées, qui reproduit quelques standards du néoprène (ou de quelque chose qui y ressemble). Différents coloris lui permettent de customiser ces accessoires. Souvent, la couleur est d’un ton olive, comme sur votre palette de couleur qui, du reste, pourrait profiter d’un petit coup de modernité, elle aussi. Les attaches permettant de racoler ces morceaux du reste d’humanité qui l’habille sont de simples boutons qu’il a bricolé pour y loger un système de vissage permettant d’assurer une meilleure stabilité du tissu. Ras-le-bol de finir à poil après chaque combat.  

Enfin, après avoir sillonné ce squelette cybernétique dépassant les deux mètres, après avoir visualisé l’ensemble ténébreux du Flambant Neuf, ténébreux puisque couvert d’un alliage noir ; après avoir parcouru, ici et là, les vis, les gonds, les attaches, les écrous, les disques, les cavités, les câbles, les plaques, les rouages, les mandrins, les arbres de jonction, les poutrelles, et tout le tintouin ; après avoir fait le tour de l’usinage en somme, concentrons-nous sur d’autres sens. A commencer par l’odeur. Parce qu’un cyborg, ça schlingue. Ca sent le gaz, façon de parler. Divers trous d’évacuation permettent d’évacuer le fruit de la combustion des gaz au sein de l’appareil, si bien qu’il dégage constamment un parfum « industriel ». Il a beau recycler sans cesse ses pièces, huiler ses parties et mettre un arbre à fraise dans son stockage dorsal, il n’en demeure pas moins que ces odeurs liées à son activité interne polluent l’atmosphère. La légende raconte que, parfois, il pourrait même devenir toxique, comme tout radiateur qui se respecte : il arrive qu’il dégage du monoxyde de carbone, ce qui malheureusement étouffe les bipèdes. Il s’excusera. Il s’excusera, oui. Avec une voix grésillante, aigue, stridente parfois. Une voix profitant des échos de la cybernétique, pouvant être modelé grâce à un simple bouton de volume, intégré sous son appareil auditif. Une voix assurée toutefois, tranchante comme une lame. Une voix qui ne cherche pas ses mots, mais qui rencontre parfois des ratés, comme lorsqu’on passe un micro trop vite. Le sifflement aigu qui s’en suit n’est guère agréable à l’écoute. Une voix parfois accompagnée, nous l’avons dit plus haut, de grincements, de petits chocs de métal, de petits bruits de vis, notamment lorsque Nobusada emploie ses roues (chose fréquente et pratique pour se déplacer). Vous ne l’entendrez peut-être pas au demeurant, car le son est couvert par le bruit de moteur ; mais, quand on l’entend de l’intérieur, c’est une autre histoire. Une histoire à en faire des cauchemars, puisque le Flambant Neuf est bien incapable de retrouver cette maudite vis qu’il a perdu dans son squelette et qui hante ses nuits. Un coup à faire résonner sa meuleuse, qui découpe tout sur son passage, dans un bruit de rotation typique du disque tranchant. Pour achever l’orchestre, vous entendrez parfois le bruit de flammes typique du cyborg utilisant ses propulseurs pour prendre les airs, durant le bref instant que cela lui accorde, au risque de finir à court d’énergie.

Vous observerez sans doute, après avoir fait ce détour, cette chevelure neigeuse qui colle si bien au personnage. Mi-longues, les mèches font naufrage sur un visage inconsistant et stérile. Un visage qui trône sur un corps à l’allure nonchalante mais agile, comme si l’homme cybernétique avait été inspiré par la panthère. Cette attitude féline résonne bien avec l’esprit du Flambant Neuf : une âme de prédateur habite ce tas de ferraille. Je m’en vais vous la décrire de ce pas.


Description Psychologique
Le goût du luxe. C’est la première chose qui caractérise ce personnage haut en couleurs. Son surnom de Flambant Neuf n’a rien d’un hasard : il troque régulièrement ses pièces pour s’en acheter de nouvelles. Négociateur en puissance, il sait vendre ses outils au prix fort, et aime se pavaner en haut de gamme. S’il accepte difficilement son statut d’homme-machine, il n’en demeure pas moins qu’il est cupide et qu’il aime afficher ses breloques scintillantes quand elles sont neuves : c’est du « m’as-tu vu » narcissique et primaire. Plutôt coquet, donc, RX-Nobusada n’en demeure moins quelqu’un de rustique qui a su changer son mode de vie pour apprendre à vivre avec la robotisation. Son hygiène, en l’occurrence, n’accorde que peu de place au lavage en règle : il vidanger, huiler, nettoyer avec des lingettes propres.

Mais au fond de lui se cache l’âme d’un enfant qui aime les choses simples, les plaisirs faciles de la vie. Il mange son goûter tous les jours à la même heure, au risque parfois de compromettre sa mission. Manger ses cinq fruits et légumes par jour, c’est important. C’est moins bon que les biscuits, mais ça compte quand même. Il profite généralement de ce petit moment de répit pour refaire le plein, piochant dans sa bonbonne de gaz personnelle les ressources nécessaires à sa survie. C’est pas facile, la vie d’un cyborg qui marche au gaz.
C’est pas facile tout court, la vie d’un cyborg. Conscient de sa différence, Nobusada a parfois du mal à accepter sa condition. Du mal à se dire qu’il n’ira plus jamais aux toilettes comme tout le monde, que tout ce qu’il ingurgite n’a plus son goût véritable, mais une composante chimique qui fait partie malheureusement de sa ferraille, bien que la saveur lui plaise, ses papilles ayant évolué en même temps que son corps. Du mal à se dire qu’il ne fondera pas de famille, qu’il ne connaîtra pas la même fatigue que les autres. Des choses simples comme bonjour, mais sur lesquelles il a dû tirer un trait.

La normalité.  Voilà ce qu’il voudrait retrouver, parfois.

Mais la grandeur d’âme du Flambant Neuf luit toujours de mille feux et il ne s’attarde pas bien longtemps sur ces petits instants de mélancolie, voyant toujours plus loin, toujours plus haut, toujours plus fort. Ambitieux, il ne l’est pas vraiment, et pourtant il a ce goût prononcé pour la réussite. Chaque fois qu’une prime tombe, il se tarde de rajouter quelques chiffres à son compteur, s’évaluant à la faveur du nombre inscrit sur les rouleaux de son petit cadenas. Un cadenas qui, pour revenir à son aspect physique, verrouille son stockage interne, placé à la place de ses lombaires. Un cadenas qu’il déverrouille en faisant un 360 avec la tête, ce qui peut incommoder les âmes sensibles, parfois.

Outre ce caractère épique, Nobusada est un grand admirateur des légendes vivantes. Cette admiration est si forte qu’elle peut conduire à des comportements étranges de sa part, comme demander un autographe à un pirate qu’il doit pourchasser. Et pour cela, ce n’est pas la force de l’idole qui compte : c’est l’aura qui entoure sa légende. C’est pourquoi il arrive que son entourage enclenche le mode « Terminus, j’descends tout l’monde », au gré duquel les fonctions automatiques de la machine entament le travail de sape contre la criminalité. Un bien étrange dispositif que la Marine a tenu à intégrer en lui, permettant non seulement d’activer les armes du cyborg contre sa volonté, mais aussi de le rendre toujours efficace même lorsqu’il est en veille.

Autre détail qui néanmoins a son importance : il a une fâcheuse addiction pour les bijoux.


Biographie


- Chapitre I -
Il fallait bien que ça arrive.

Il avait sillonné les mers de longues années sous le drapeau sanglant d’un équipage de pirates. Moussaillon émérite, il était aussi têtu qu’intrépide, et bien des fois il avait mis sa vie en péril pour parvenir à ses fins ; ou du moins, à celles des autres. Valeureux ambassadeur d’un équipage de pilleurs égoïstes et répugnants, il faisait tout pour se faire remarquer par le monstrueux renard qu’il nommait mon Capitaine, un espiègle forban dont il ne connaissait somme toutes que peu de chose. Peu de choses, mais assez pour savoir que plus il était violent et avare, mieux il était considéré par son boss. Un clin d’œil de ce dernier valait mieux qu’une pièce d’or pour bien des membres de l’équipage. Ce regard-là apportait plus de chances de survie qu’un simple bout de métal sonnant et trébuchant.

Il fallait bien que ça arrive.

Pour gagner sa place dans cette meute de chiens cupides, il fallait être plus culotté que les autres, plus vorace qu’eux. La piraterie prônait un système méritocratique sournois mais pragmatique : il motivait les hors-la-loi à se dépasser, à prendre toujours plus de risques, pour obtenir toujours de meilleurs butins. A la mort du pirate Kraabs, en 1623, les assauts redoublèrent d’intensité, poussant les pilleurs à convoiter des trésors de plus en plus riches, à s’enfoncer de plus en plus loin sur les territoires inconnus ou sur d’autres îles, réputées dangereuses. Parfois, ils furent à ce point assurés de leur force qu’ils provoquèrent la Marine sur son propre sol.

Ce fut la fois de trop pour Nobusada.

Peut-être n’avait-il pas les épaules pour cette voie. Peut-être qu’un signe lui avait été envoyé pour qu’il réajuste le cours de sa vie, et qu’il emprunte une destinée plus proche de la justice, de la vertu. Peut-être, en fait, qu’il s’agissait d’une simple punition. Il n’avait au demeurant aucun argument pour solutionner ces hypothèses. Tout juste avait-il la chance de pouvoir continuer à penser, à respirer, à vivre tout simplement. C’était aussi bête que cela, au fond : il avait une miette de chance dans un ouragan de tragédie.

Un ouragan de tragédie.

Quand il s’était réveillé, il avait constaté avec épouvante ce qu’il ne pouvait plus voir. Ses jambes. Ses bras. C’était l’assaut de trop. Ses idées étaient brouillonnes, confuses, vagabondes, nombreuses, trop nombreuses. Dans un état proche de la fin, il respirait par des râles douloureux et rauques. Un réflexe naturel qu’il ne contrôlait plus. Il lui était impossible de réfléchir, de se remémorer ses derniers instants. La tempête sous le crâne. Son deuxième œil, infiniment lancinant, refusait de s’ouvrir. Il ne savait s’il devait associer cela, à cet instant, à la perte de l’organe visuel, ou à son âme gisante. Il reniflait un arrière-goût de confusion dans des narines baignées d’hémoglobine. Réduit à un tronc couronné d’une tête sanguinolente et méconnaissable, il avait été cueilli malgré lui comme on traîne une charogne. Il se laissa embrasser par la mort tandis qu’on renversait sa carcasse dans un fossé, où tous ceux qui avaient imité sa défaite se retrouvaient. Comme s’il faisait partie d’une grande famille macabre.


- Chapitre II -

<< Prenez celui-là, celui-ci… putain, ça pue la charogne ici. Tiens, celui-là aussi, je le reconnais. Vous en voyez d’autres ?
- Chef ! Il y en a un qui respire encore !
- Sacrebleu ! Un mort-vivant !
- Vous croyez qu’on peut toucher des bonus pour des manchots ?
- Pardi, oui ! Faut juste s’assurer qu’il ne crève pas sur la route ! S’il a encore sa langue, c’est qu’il peut parler, espèce d’imbécile ! Bon, on fait vite. On en a assez pour les primes. On reviendra plus tard pour les organes ! >>


Il se sentît traîné, happé hors de cette fosse par une force considérable. Sa conscience s’éveillait par sursauts. De gros doigts s’invitèrent dans sa bouche. On attrapa sa langue, puis on la relâcha. Comme pour vérifier qu’elle était bien là. Un mauvais goût de terre resta sur son palais. Il constata que son cœur pompait toujours. Tant mieux. Ou tant pis. Il se vidait de son sang. Il préférait mourir. Il discerna un visage difforme. Une bouche édentée. Un nez grossier. Des yeux malins et pourtant dépourvus d’intelligence. On le jeta dans un chariot, entassé avec d’autres carcasses.

Puis il sombra de nouveau dans les ténèbres.


- Chapitre III -

Le scientifique observait son sujet dans un long silence. Quelle chance inouïe. Le découpage était parfait, comme si un confrère lui avait préparé le terrain. On avait cautérisé les plaies, recousu les tissus. On avait renforcé les articulations, en les remplaçant par des gonds en ferraille - si tenté qu’on puisse considérer les alliages utilisés comme de la vulgaire ferraille : anti-corrosifs, inoxydables, waterproofs, particulièrement solides… il n’employait que du haut de gamme. Mais l’ampleur de la tâche était encore considérable et l’ouvrage n’en était qu’à ses balbutiements.
Cela faisait plus d’un an, pourtant. Un an d’attente. Un an de patience face à un vulgaire manchot. Un an à regarder cet homme dormir sans connaître ni son identité, ni sa personnalité. Sans savoir si tout le travail qui avait été amorcé sur lui serait consenti ou non.

Un an à attendre que cette masse de chair et de clous se réveille.

Ca arrivait, pourtant. Parfois, il se réveillait en sursaut, comme s’il sortait d’un cauchemar. Il prononçait quelques mots confus, remuait sa tête, regardait autour de lui. Des gouttes d’espoir. Mais cet espoir se tarissait aussitôt qu’il émergeait. Il se rendormait, comme un enfant tranquille. La tension du scientifique montait d’un bloc l’espace d’une fraction de seconde ; elle redescendait aussi vite.

Le problème n’était pas tant l’attente mais les promesses qu’il avait faites. Il était hors délais, pour plusieurs articles du genre. Il avait tout misé sur celui-ci, et il lui faisait défaut. Il avait l’impression que son propre fils allait causer sa faillite. Comme s’il l’avait mal éduqué, et qu’il sombrait dans la délinquance pour se venger de lui. On lui mettait une pression monstrueuse pour qu’il lance l’opération finale, censée éveiller les fonctions de cet homme de la nouvelle génération. Le misérable cul-de-jatte était promis à devenir un formidable mâle robotisé. Serait-il encore un homme, seulement ?

Plus important, il risquait la banqueroute. Sans résultats, on lui refusait les subventions qui lui permettaient de financer son projet. Sans ces subventions, non seulement il ne pourrait plus se permettre de compléter son invention - mais en plus, il ne pourrait plus l’alimenter. Cet homme s’enfoncerait encore plus profondément dans son sommeil, glissant peu à peu de l’inconscience partielle à l’inconscience totale. Passant du coma à la mort.


- Chapitre IV -

<< Vous êtes chanceux, Docteur. Face aux nouvelles réformes du gouvernement pour renforcer sa puissance militaire, le budget alloué à la R&D est augmenté. Par ailleurs, vous avez maintenant carte blanche. Consentant ou non, terminez-le, votre bout de métal. >>

1625 est une année en or pour les scientifiques. Suite à la réforme, le docteur Vegapunk obtient carte blanche. Le gouvernement est prêt à tout pour éradiquer la piraterie. Des mesures expéditives sont prises : trois nouvelles prisons sont construites et même les profondeurs sous-marines sont désormais protégées. De nouvelles escouades spécialisées naissent dans ce contexte d’innovations. La nouvelle sauve le père du cyborg, il intensifie son labeur avec une redoutable ardeur. Le sujet est disséqué vivant : il faut tout reconnecter. Le cœur, les poumons, les organes vitaux, les récepteurs neurologiques, la moelle épinière. Il y ajoute les câbles électriques, les plaques de métal, relie l’ensemble, vérifie les réponses aux stimuli, ôte la chair inutile, intègre le système d’énergie. Les améliorations arriveront plus tard. Il remplit le réservoir de gaz, verrouille la plaque permettant d’accéder aux fonctionnalités principales de la machine. À tout moment, il pourra sublimer son chef d’œuvre. Mais avant, il faut qu’il fonctionne.

Puis il appuie sur l’interrupteur. Un puissant signal électrique court le long d’un câble jusqu’à la prise de l’appareil.


- Chapitre V -

Quand il avait ouvert les yeux, il avait cherché à comprendre. Au départ, c’était difficile. Etrange. Il ne sentait plus ses membres, mais il était comme relié à un vaste réseau de cordes : il les tirait comme s’il jonglait avec les voiles d’un navire, en même temps qu’il tenait le gouvernail. L’exercice était complexe. Assez pour que, dans les premiers temps, il chute directement du lit, se décrochant de son système d’alimentation. L’air avait une nouvelle odeur. Un parfum de gaz qui ne le dérangeait guère. Il avait tout reconnecté au fur et à mesure. On avait ajusté les paramètres, à deux, avec son créateur. Il lui fallut plusieurs semaines pour trouver son équilibre et apprendre à marcher.

Il lui fallut autant de temps pour réapprendre à vivre. Difficile pour lui, une fois transformé en machine, d’accepter son existence, avec tout ce que cela implique : un nouveau mode d’alimentation, un nouveau regard sur le monde. Et un nouveau regard du monde sur lui-même.

Mais le destin lui avait offert cette deuxième chance. Une chance qu’il était prêt à saisir. Une chance de remettre les compteurs à zéro.

Et de les remplir avec des primes.


Test RP

Myosotis De Ville a écrit:Alors que tu chasses un pirate se trouvant sur la même île que tu toi, tu arrives à débusquer sa demeure. Là-bas, tu ne trouves qu'un enfant, son enfant...qui s'avère posséder une jambe et un bras cybernétique. Raconte nous la suite.

PS : tu peux te trouver sur la Blue et l'île de ton choix. Attention d'en respecter le background.


>> Ton père ? <<

Il avait défoncé la porte dans un grand bruit de fracas, et été tombé nez-à-nez avec le quidam aux deux prothèses. Rares étaient les fois où il pouvait faire face directement à l'un de ses semblables. Il l'inspecta de haut en bas, remarquant que l'appareillage du fils laissait à désirer : un matos de fortune fixé par des bouts de ficelles usées, chose peu recommandable. Comme si on avait ramassé ce gamin à la déchetterie, et qu'un mécano de seconde main l'avait rafistolé. Un travail bâclé. Regrettable en soi. Mais ce n'était pas son intérêt du reste. 150 000 berrys pour une crapule responsable de quelques vols à l'étalage, voilà ce qui le préoccupait. On était bien loin des collectionneurs multi-millionnaires qu'un bon marin se devait de convoiter, mais cela restait fort intéressant, surtout pour changer la plaque de son épaulette gauche qui, après inspection, souffrait de quelques égratignures, ternissant de fait sa réputation. Le Flambant Neuf se devait de rester neuf.

Il fixa le mioche un long moment, avant que, spontanément, sa montre ne se mette à sonner. Il lâcha la sangle qui le reliait à cette bouteille de gaz qu'il traînait nonchalamment derrière lui, et s'assît sur place. Sa tête fit un demi-tour net - s'il avait été un homme, sa nuque aurait été rompue par ce simple mouvement. Ses bras firent de même pour passer dans son dos, et il déverrouilla derechef son stock arrière, gardé par un cadenas codé. 8, 6, 3, 1, 0, 0, 0.
8 631 000. Le nombre correspondait au cumul des primes qu'il avait collectionné, arrêtant de petits malfrats comme celui-ci. Du menu fretin, mais qui faisait néanmoins grossir les chiffres. S'il parvenait à réaliser sa mission, il passerait à un nouveau code : 8 781 000. Ce n'était pas suffisant pour s'offrir les outils derniers cris, mais c'était plus que ce qu'il fallait pour remplacer les pièces usagées.

Il extirpa une pomme et un paquet de biscuits de son mini entrepôt, dont il s'empiffra goulument. Puis il entendit des sanglots et songea que non, ce n'est pas bien, je dois partager. Le gamin pleurnichait derrière, terrifié à l'idée de voir sa dernière heure arrivée. Il retourna sa tête à nouveau, après avoir reverrouillé son petit stock. Il contempla son semblable avec une pointe de compassion, puis lui tendît son paquet de biscuits.

>> Tiens. Il en reste trois. Je te les offre. <<

Mais ce n'était pas la faim qui poussait le mioche à pleurer. Il était surtout intrigué par l'aura meurtrière qui se dégageait naturellement de la machine à tuer. Nobusada avait beau vouloir se montrer sympathique : son oeil cybernétique criait "crève !". Il insista pour que le gamin aux deux prothèses prenne son paquet. Terrifié, son interlocuteur accepta et, fébrilement, il se dressa sur ses jambes. Dans un équilibre précaire, il avança jusqu'au cyborg, tremblant, hésitant. Finalement, c'est le Flambant Neuf qui se releva et s'approcha de lui. Chose incroyable, il lui offrit un sourire...

... avant de lui foutre une grosse beigne et de l'acculer contre le fond de la pièce. Emporté par la violence du coup, le quidam trébucha et se retrouva dos au mur, incapable de s'enfuir. La machine laissa tomber le bout de son bras, à la hauteur du poignet précisément : une meuleuse à disque en sortît aussitôt. Il activa le système de l'outillage et le disque se mit à tournoyer à une vitesse folle, dans un bruit digne d'une véritable tronçonneuse.

Un cauchemar.

C'est ce que l'enfant vivait à présent. Les yeux écarquillés et larmoyants, il observait le monstre s'approchant de lui avec la volonté ferme de le découper pièces par pièces. De l'autre main, le cyborg fit jaillir un chalumeau : la flamme bleutée irradiait une chaleur dense, capable de carboniser vivant le fils du pirate.
Le tranchant ou la flamme. La victime avait le choix, mais pas forcément l'intention de choisir.

>> Arrêtez ça. Je me rends. <<

Un escalier de bois en colimaçon habillait l'autre côté de la pièce. L'homme se tenait à son pied, contemplant l'énergumène en train de traumatiser son rejeton. Il avait cru, certainement, que la carte des sentiments fonctionnerait avec le cyborg. Qu'il parviendrait à le calmer, une fois que ce dernier verrait son semblable. Mais le Flambant Neuf ne faisait guère dans la sentimentalité. C'était un marin, pas un héros. Il faisait son travail avec une absence totale de scrupule.

Fier de sa réussite, il stoppa le chalumeau et la meuleuse tranchante. Finalement, c'était mieux ainsi. On avait voulu jouer aux sentiments, mais il avait retourné l'arme du pirate contre lui : il n'aurait rien fait à ce gosse. Il était bien incapable de faire le moindre mal à un enfant. Il ligota le pirate et quitta la demeure, laissant le gamin seul à son désarroi. Il embarqua le père et sa bouteille de gaz, qu'il traîna jusqu'au navire de la Marine. Son armure d'acier brillait au soleil, comme s'il apportait la lumière à son équipage : il rentrait triomphant et majestueux.

Le gamin l'observa partir sans bouger. Son père l'avait utilisé et il avait vu de près l'ombre de la mort, à travers l'oeil froid d'une machine. Il ne voulait plus jamais vivre le même cauchemar. Que faire à présent ? Confus, il ne savait s'il devait se sentir trahi ou chanceux. Il se redressa péniblement et, frustré, il donna un coup de pied dans le paquet de biscuit. Ce dernier roula au sol dans un bruit étrange de cliquetis. Il trouva cela étrange. Prenant son courage à deux mains, il avança pour l'inspecter.

Il réalisa que le paquet était rempli de berrys.



 
Informations IRL

• Prénom : Jessy
• Age : 26
• Aime : manger, jouer, dormir... le reste peut heurter la sensibilité des jeunes téléspectateurs !
• N'aime pas : La techno (beurk). Les pertes de temps inutiles. Les problèmes inutiles.
• Personnage préféré de One Piece : Hmmmm... Sanji. Et le gros poisson qui fait du karaté, aussi. Ah, et puis Ace. Et puis Shanks. Et le méchant amiral volcanique. Et puis... bref, j'arrête.
• Caractère : Facile à vivre. Abordable. Tranquille. Curieux. Confiant. Un petit peu prétentieux, aussi.
• Fait du RP depuis : Une bonne dizaine d'années.
• Disponibilité approximative : Variable selon l'emploi du temps et la fatigue, mais plutôt élevée.
• Comment avez-vous connu le forum ? Partenariat et topsites.


ONE PIECE REQUIEM ©️



PS : en relisant, je remarque qu'on pourrait croire que le cyborg est de la fabrique du Docteur Vegapunk. J'insiste pour dire que je n'ai pas précisé l'identité du créateur, et qu'il ne s'agît pas de Vegapunk. Je fais juste mention à la carte blanche qu'il a reçu en 1625, selon le contexte, en supposant que d'autres scientifiques ont pu en profiter aussi Smile.


Dernière édition par R1-Nobusada le Jeu 28 Déc 2017 - 14:43, édité 5 fois
  • https://www.onepiece-requiem.net/t20725-r1-nobusada-cyborg-de-la-
  • https://www.onepiece-requiem.net/t20709-rx-nobusada-cyborg-de-la-marine
Salut bienvenue, je passe donc pour ton test.

Le sujet est :

Alors que tu chasses un pirate se trouvant sur la même île que tu toi, tu arrives à débusquer sa demeure. Là-bas, tu ne trouves qu'un enfant, son enfant...qui s'avère posséder une jambe et un bras cybernétique. Raconte nous la suite.

PS : tu peux te trouver sur la Blue et l'île de ton choix. Attention d'en respecter le background.

Tu as 10 jours pour le traiter. Tu peux changer si tu veux !

Voilou !
  • https://www.onepiece-requiem.net/t16409-fiche-technique-de-myoso
  • https://www.onepiece-requiem.net/t15222-
Voilà qui est fait. Merci pour le passage Smile.
  • https://www.onepiece-requiem.net/t20725-r1-nobusada-cyborg-de-la-
  • https://www.onepiece-requiem.net/t20709-rx-nobusada-cyborg-de-la-marine
Coucou, je serai ton premier avis ! Empressons-nous ! Aller suis-moi jusqu'au Physique !

Physique :

Je vois que tu maîtrises le sujet, tu as une plume qui se lit bien, tu t'y connais un peu en technologie bien que tu dis ne pas aimer ça eheh !

Mis à part ça, façon originale de présenter un cyborg, un vrai de vrai ! Description plutôt réaliste, il pue l'huile, l'essence et le gaz pouah ! Saleté boîte de conserve tu embaumes tout le monde !

Eh beh, tout ça est plutôt bien réussit, niveau faute j'en ai pas décelé des énormes, très bonnes écritures et je suis impatient de lire la suite !

Sautons jusqu'au Mental !

Mental :

Original encore une fois !

J'ai trouvé des fautes ! Surtout avec les terminaisons à l'infinitif ! Le meilleur conseille est de te relire mais bon ce n'est pas grave en soit eheh.

J'avoue qu'elle est bien cette description mais je reste un peu sur ma faim, je m'attendais à voir une vision de sa justice, bien que le fait qu'il s'intéresse aux légendes à en demander des autographes soit marrant mais ça ne veut pas dire comment il est en soit, bien qu'il soit cupide etc... on doit en déduire qu'il est plutôt corrompu ? Avec son âme d'enfant on doit voir qu'il est naïf ? Dommage, je pense que tu aurais pu un peu plus nous en dire sur sa psychologie bien qu'elle reste totalement appréciée et correcte !

Entamons la biographie !

Biographie :

Intéressante ! J'ai bien aimé ! Je n'ai pas grand-chose à redire à part chipoter que rester autant de temps inconscient y'a pas eu de séquelle ? Genre difficulté à parler voire même impossibilité de parler ? Boah après c'est du chipotage, après tout on est dans un univers manga !

L'histoire de ton personnage je la trouve bien mais cette fois de trop, il s'est passé quoi ? Il s'est reçu un obus ? Un ennemi trop puissant ? Puis certes, c'est l'occasion de remettre les compteurs à zéro mais ça ne le gêne pas de servir la marine après avoir été pirate ? M'enfin, j'attends de voir ça !

Rampons jusqu'au test RP !

Test RP :

Hmm pas mal ! Test RP respecté !

Intéressant, vraiment ! Car ton personnage au début je le pensais plus comme une machine comment il réagissait avec le gamin et je m'attendais à ce qu'il fasse du mal au deux et tu as réussi à me surprendre, bravo ! Énorme potentiel que tu as là ! Au final, ton personnage n'est pas devenu une pure machine sans âme mais bien un gars qui applique sa justice !

Là, j'arrive à un peu mieux cerner le type de Justice que sert ton personnage ! Le genre de pas faire de mal à la veuve et l'orphelin mais à mettre derrière les barreaux tous les criminels.

J'avoue que j'étais tendu pour le gamin, point de vue personnel, j'ai vécu la scène totalement, comment tu l'as décris etc.. j'étais totalement dedans, j'étais tendu à la place du gamin ! Bien joué !

Sans attendre je te refourgue ta note qui sera pour moi à 700 Dorikis !

Sur ce, si problème/questions, me mp ou encore viens me chercher sur la CB.

Et comme pour tous, je vais te le dire aussi. BIENVENUE SUR LE FORUM ET ÉCLATES-TOI !

Ton second avis ne devrait pas tarder à arriver !

Ma foi, des bisous et à la prochaine !
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Merci pour ces retours Daemon, et très heureux que cette présentation te plaise Smile.

Pour les choses que j'aurais pu approfondir, je te rejoins sur la négligence que j'ai accordé au réveil du personnage. En effet, j'aurais pu davantage détailler ses problèmes d'élocution, de remise en condition, etc. Pour être franc, je n'ai pensé qu'à la partie "réadaptation motrice" ;). Mélange de précipitation et de négligence. Je te rejoins tout à fait d'ailleurs sur les détails que j'aurais pu ajouter sur sa psychologie. Son affiliation à la Marine, son dégoût de devenir une machine, etc... tant pis et tant mieux, puisque quelque part j'aurais le loisir de développer tout ça au cours du Rp !

Il y a d'autres choses encore auxquelles je songe que je devrais développer de toute manière Very Happy. Je dois travailler tout cela et, après avoir pris un peu de recul par rapport à cette présentation, je vois qu'il y a plein de choses que je peux sonder et je n'en suis que plus motivé !

Merci !

PS : après coup, je regrette aussi le nom du personnage. Dans la perspective de le voir évoluer, peut-on remplacer RX-Nobusada par R1-Nobusada ?
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Yo l'ami ! On veut bien changer ton pseudo y'a pas de soucis mes en revanches tous tes édits après mon avis tu peux les enlever ? Car une fois le premier avis reçu tu ne peux plus éditer ta présentation ! Tu risques de perdre vachement de points pour ça eheh !


La bise Daemon !
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Sorry Smile j'ai corrigé. Merci pour la modification.
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Yop la machine What a Face comment ça va ?
En vrai j'm'en fous, on a pas le temps ! J'viens pour l'deuxième avis... C'EST PARTI !

Physique :

   C'est complet.

   On enchaî... quoi ? Plus de détails ?! Tsss...
Bon, j'ai bien aimé cette partie. J'aurais bien dit j'aime ta plume, j'aime tes tournures de phrase etc mais ça serait plagier Daemon et cette andouille me l'aurait fait remarquer ( surtout qu'il tape fort le bougre ).
  A part ça j'ai pas noté énormément de fautes ( en comptant l'ensemble de la présentation, les mots manquants et tout le tralala ). Elles sont extrêmement rares pour pas dire quasi inexistantes donc c'est du très bon. Y a un souci du détail qui me plaît bien.

Psychologie :

   Là encore du très bon. Un détail me fait grimacer cependant :

Spoiler:

   D'abord parce que je suis une âme sensible ( si si c'est vrai j'te jure RX-Nobusada - Cyborg de la Marine 2723460352 ) et aussi parce que t'as dit avant qu'il avait toujours sa colonne vertébrale... Comment il fait ?
   M'enfin c'est le seul truc que j'ai trouvé à redire donc bon ! J'ai même été touché par sa condition : être un cyborg en effet c'est dur, c'est triste et ça fait chier tout le monde, y compris soi-même.

Biographie :

   Y a pas grand chose qui me perturbe là-dedans. Daemon a dit à peu près tout ce qu'il y avait à dire. Finalement on s'en fout un peu de sa vie d'avant, bien que j'imagine qu'elle aura un rôle plus tard qui sait ? La biographie raconte l'histoire de ce que tu es : un cyborg. Tu as bien dit que ta vie d'humain n'était plus. En soit c'est une naissance. Ça passe.
   T'as tenté d'expliquer par des images comment tu es passé de pirate à marine ( même si faut admettre que dire à ceux qui t'ont requinqué "j'suis un pirate bitches" est pas la meilleure idée qui soit ) mais je rejoins l'idée d'approfondir ce sentiment et cet état de fait par la suite.

Test RP :

   Le test est respecté avec brio pour moi. Tu éludes la partie "découverte de la demeure" pour te concentrer sur l'intrigue principale qui est : que faire de cet enfant ?
   J'ai pas respiré d'un bout à l'autre de la lecture. J'ai dévoré l'histoire sans m'arrêter, trop pressé d'arriver à la conclusion gourmande de tout cela. Et je n'ai pas été déçu : si tu avais terminé avec l'image du robot hyper froid et dénué d'âme, j'aurai crié au cliché et, surtout, au scandale ( j'aurais même souhaité choper la prime à ta place ) mais la phrase de fin m'a fait applaudir...

   Jusqu'à ce que je me rende compte que j'étais tout seul chez moi et que c'était totalement stupide.

Conclusion :

    Un personnage très bien travaillé ; une plume qui n'appartient qu'à toi et qui a le mérite d'être appréciable ; un style quasi impeccable avec juste ce qu'il faut en garniture ; peut-être un manque de repères spatiaux ? Quoique vu l'ambiance générale de cette présentation, y avait peu de place pour situer des lieux précis donc osef ; je suis conquis.

   J'opte personnellement pour 760 dorikis.
   Daemon le radin a dit 700.

  Te voilà soldat avec une moyenne de 730 dorikis ! Je te laisse créer ta fiche technique et ainsi réclamer ton grade en vérifiant ici auxquels tu as droit ( lieutenant max. pour l'instant si je dis pas de bêtise ) et également recenser ton avatar !
  Et évidemment tu peux commencer à RP parmi nous !

  Au plaisir de te lire ! Bonne continuation et bon jeu RX-Nobusada - Cyborg de la Marine 2043749267
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