No, alias Zero
Sexe : Homme mystère.
Race : Humain.Métier : Agent dissident.
Groupe : Civil.
But : Renverser les pouvoirs en place, dans tout les camps. Donner le One piece au peuple. Changer de gouvernement, faire évoluer les mentalités, cavalier noir au cœur blanc.
Équipement : un chapeau rond, un costume trois pièces, des chaussures pourvues de lames, des couteaux de lancer.Parrain : Rafaelo.
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Reroll de Korrigan.
Si oui, quel @ l'a autorisé ? @Jeska
Codes du règlement :
Description physique
Long cheveux couleurs corbeau, il manque un oeil à ce visage pourtant guère vilain. Il respire pas l'honnêteté non plus, malice dans le regard, calice à la main. Chapeau rond et chaussure de cuir, il est un homme de goût qui sait comment s'habiller avec classe. Il fait rêver les ménagères de plus de trente ans, clinquant dans ses habits choisi avec soin. Son unique oeil, à l'iris si pourpre qu'il en devient presque violacé, vous regarde et vous scrute depuis les ombres, sont terrain de jeu préféré. Opérant depuis sa toile, l'araignée tisse ses relations comme d'autres font des puzzle, juste par jeu. Discret, il sait faire une filature, et ne jamais être remarqué par personne. Vivre dans l'ombre lui a donné des mimiques, des façons d'être de faire de ceux qui savent disparaître à tout moment. Multiple identité, nouvelle façon de s'habiller, nouvelle coiffure ... Tout est susceptible de changer chez Zero, et il sait que le caractère mobile et éphémère de sa garde robe, comme de ses abattis, et la clef de sa survie dans le monde d'aujourd'hui.
Nez fin, visage passe partout, c'est surtout ce qu'il manque qui se remarque. Un foulard noir pourvue d'engrenage et parfois de tête de mort, fait son oeuvre pour planquer la vilaine cicatrice à l'oeil gauche. Seule preuve concrète de ce qu'il avance, cette cicatrice est importante pour lui.
Une tripotée de couteaux se planque dans sa veste, ses chaussures et mêmes ses manches. Il est un vrai arsenal à lui tout seul, tout simplement parce que le monde est dangereux, et qu'il faut bien survivre. Sa démarche banale et tranquille, parfois remplacée par des gestes calculés et si vifs qu'on ne les voit pas, lui donne l'air d'un badot sans intérêt. Plutôt de taille moyenne, près d'un mètre quatre vingt cinq et quatre vingt dix kilos ne le font guère devenir plus remarquable. Cependant, pour l'observateur aguerris, sa façon de bouger quand on ne le regarde pas, est presque animale, hypnotique et irréelle.
Tout ça avant de disparaître, ultime tour du magicien sans baguette. Du chevalier sans armes ni armures, ni boucliers.
Description psychologique
L'agent déclaré instable et démissionnaire de son Cipher est devenu, par la force des choses, un sacré paranoïaque. Il cache son identité, ses signes distinctifs, n'utilise plus du tout le compte en banque d'agent qu'on lui a donné, et ses plaques d'agents sont au fond de l'océan ou au minimum sciée pour ne pas donner d'informations à l'ennemis, bien mieux armé, équipé et informé que lui. Criminel par obligation, c'est amère qu'il enfreint toutes les lois, les règles et les codes, pour servir son interêt. Avant, il était plutôt altruiste, pensait qu'il combattait pour la justice et le peuple, endoctriné et impliqué. Depuis qu'il a essayé d'avoir des idéaux plus personnels, et faire passer sa vie et ses avis, avant ceux de ses supérieurs, il voit bien qu'il n'était qu'un chien tenu en laisse, à la solde d'un gouvernement pourris de l'intérieur.
Il sait donc faire la différence entre ce qui est moral et ne l'est pas, et choisis sciemment parfois d'enfreindre l'éhtique, la morale et les lois, pour satisfaire ses desirs personnels. Sa façon à lui de reprendre en main sa vie, est parfois de mettre fin à celle d'un autre. Il fait ce qu'il veut, conscient que tout ce qu'on lui a appris, et tout ce qu'on lui a fait croire depuis l'enfance n'est que conneries, faux semblants et doctrines sorties d'un club de sadiques, manipulateurs à sang froid.
Après des années à leur service, et la perte d'un oeil, il aurait pensé avoir le droit à plus qu'une vie d'anonyme, d'antagoniste et de secrets. Prêt à tout pour découvrir la vérité, et mettre en branle toutes les institutions de chaque camp du monde, Zero est un antihéros, un genre de chevalier noir au coeur blanc, sachant que l'enfer est pavé de bonnes intentions, et d'erreurs de jugement.
Sans armes et sans armures, ni bouclier, il défendra les valeurs auquel il croit, et sera téméraire. N'ayant pas froid au yeux et surtout compétent dans ses domaines de prédilection, il est prêt à tout pour renverser l'ordre établis, qu'il soit pirate, révolutionnaire, ou bien gouvernemental. L'injustice l'a toujours débecté, alors c'est pas aujourd'hui que ça va commencer à le chatouiller de rendre la sienne, juge juré et bourreau oui…. Et alors ?
Au moins il agit pour rendre le monde un peu meilleur, et il tente d'être la meilleure version de lui même chaque lune passant. Il est acteur de sa propre justice, et puisqu’il peut encore la rendre jusqu’à son dernier souffle, il ne s’en empêchera pas.
Biographie
Premier souvenir, l’orphelinat des pupilles des cinq étoiles. Un endroit froid, et austère. J’ai vécu la bas des jours avec la panse bien remplie. J’ai aussi connu la violence autant psychique que physique que l’on peut rencontrer dans notre monde, la première fois, là bas aussi. Il y’a un gars qui dit que « l’enfer c’est les autres » et il n’a pas si tords que ça selon moi. Déjà différent, pas très intégré et marginalisé, je suis solitaire par obligation plus que par choix. De toute façon, vu ce que l’on nous destine plus tard dans les années à venir, se lier à un autre enfant de ma génération à ce moment là eut été pure perte.
10 avril 1610.
Le programme « d’éducation », un vrai lavage de cerveau à la mode du Gouvernement, est testé sur nos chers têtes blondes – enfin noir corbeau pour ma part. J’apprends la grandeur des cinq étoiles, la servitude, la docilité, et comment l’on peut briser un être humain dès le départ pour le faire entrer dans le moule. Le pire dans tout ça, c’est que j’aime tout particulièrement le fait de voir souffrir mes anciens détracteurs, qui ne comprennent pas ce qui se passe. Vous croyiez quoi ? Qu’on nous nourrit pour le plaisir de l’altruisme ? Il faut bien que l’on serve à quelque chose un jour, et ce jour arrivera plus vite que prévu …
12 juin 1612.
On nous apprend notre destin : Servir et protéger les cinq étoiles, comme elles l’ont fait durant nos jeunes années avec nous. Sur les trente enfants recueillis, plus que dix sont encore en lice de ma génération. Ce qui est plutôt un bon score, se félicite l’agent chargé de la formation, dont je ne retiendrai jamais le nom. Nous, ça nous semble normal de protéger les vieux pépères à l’origine de notre survie, on signe tous plus ou moins consciemment, plus ou moins reconnaissant, plus ou moins quoi. Le consentement c’est facile à avoir quand on manipule les masses depuis des années, on sait comment faire avec des préadolescents qui se cherchent une utilité, un but, un devenir.
En gros faire son trou et prendre sa place dans le monde.
11 aout 1615.
Aujourd’hui, je suis proche de devenir un véritable agent du Cipher Pol. En formation depuis trois ans, je me suis découvert un talent dans le métier. En adéquation avec mon âme solitaire, mais également comblant mes besoins de meute. L’entraînement, me donne les armes nécessaire pour m’imposer dans ce monde, et à prendre ma part du gâteau. Bénis soit les cinq étoiles, les grands patrons. Je les défendrai coûte que coûte, jusqu’à mon dernier souffle.
12 octobre 1618.
J’accède au rang tant convoité d’agent de terrain. Je tue mon premier homme de sang froid le jour de mes dix huit ans. Cadeau d’anniversaire assez spéciale, mais je pense pouvoir gérer le traumatisme. Si je dois tuer pour préserver la vie et la survie du Gouvernement, alors je le ferai. Sans joie mais avec efficacité. Je ne suis qu’un outil à cette époque, un arme maniée par mes supérieurs qui sait frapper dans toutes les directions, sauf vers la main qui me porte. Je ne suis pas un chien sauvage et enragés, je ne mors pas la main qui me nourrit.
Pas encore.
24 décembre 1620.
Ma première mission en solo, sans surveillance ni aînés pour faire le garde chiourmes. Mission d’infiltration, et d’élimination d’objectifs. Ici, on ne parle pas d’humains, mais « d’unité dissidente », et on fait tout pour que je ne me rende pas compte que mon métier, c’est donner la mort. Pourtant le poids des années se fera sentir, a force de tuer, on commence par se faire rattraper par des fantômes. Je ne suis plus que l’ombre de moi-même, et il me faudra des années pour connaître le remède à l’étrange mal qui me rongeait alors.
En attendant je me noie dans l’éthanol liquoreux, et les paradis artificiels.
10 fevrier 1622.
Mon alcoolisme découvert suite à une bourde –je me trompe de cible ou un truc comme ça, l’histoire retiendra l’erreur plus que le geste – je suis surveillé de près par les services du CP0. Mes découvertes sur le siècle oublié, et les ponéglyphes de la route de tous les périls, seraient-ils à la source de tout ce tintamarre. On m’avait prévenu de ne pas creuser trop profonds, de ne pas m’impliquer dans mon dernier job comme si j’étais un membre à part entière de l’organisation que j’infiltrais.
11 avril 1625
(les pages des journal semblent déchirées, incomplètes, détruites…)
Informations IRL
- Votre prénom / pseudo :
- Êtes-vous majeur ? oui
- Vous aimez / n'aimez pas :
- Votre personnage préféré (de One Piece) : Shanks, Luffy, Sanji, Rorona
- Vous vous définiriez comme : fêtard scribouilleur.
- Vous faites du RP depuis : Longtemps
- Vos disponibilités (approximatives) : Dépends du taff
- Comment avez-vous connu le forum ? Mh.
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