1627, retour sur Grand Line après avoir pris le contrôle de Rokade. On a traversé Reverse sans soucis. J'suis plus un débutant. Je relis le parchemin que j'ai reçu grâce à ma boutique sur mon île.
Je ne sais pas s'ils ont manqué l'école souvent, mais ils sont fâchés avec la bonne éducation on dirait. Je ne sais pas où est cette Banaro, ni qui sont ces mineurs ou ces rataupes. Ça pourrait être un piège de la marine ou d'un chasseur de prime stupide. Dans tous les cas, ya de l'argent à la clé, donc on va aller voir. On suit la vivre card. Après quelques jours de navigation, la vigie annonce enfin une île. A première vue, elle n'a pas l'air très grande, civilisée ou boisée. On voit des montagnes en forme de banane qui, je suppose, doivent entourer la ville. On souhaite accoster, mais certains récifs nous dissuadent. Pas de soucis. Soru, geppous, et pouf, me voilà flottant au dessus de la mer pour me poser dans le ''port'' comme un pro. Quand je dit port, j'entends trois bouts de bois collés ensemble pour faire un ponton. Personne ne surveille l'endroit, personne ne le protège. Ça ressemble à un piège, vraiment. J'entends des bruits au loin. Je décide d'utiliser mon logia pour me fondre dans la terre que je créé, formant une petite vague et me déplaçant ainsi jusqu'à la source des bruits. Je contourne donc la banane de pierre pour arriver devant une … ville ? Ils n'ont pas la technologie ici on dirait. Maisons en bois pas très solides, pas de den den dans les rues, pas de haut parleurs, rien. A part des gens criant, des traces de sang, des trous dans le sol, et des espèces de … rats bizarres en train de traîner une femme dans l'un des trous. J'ai envie de ne rien faire, de laisser couler pour voir ce qui va se passer, mais je me souviens du message. Dommage collatéraux égal moins d'argent. Morts égal dommage collatéraux. Donc on va éviter des morts. Et puisqu'ils m'ont engagé, autant leur donner le spectacle de leur vie.
Ma vague avance d'un seul coup à grande vitesse vers les rongeurs. Les gens la voit arriver sans comprendre ce qui se passe. Sans crier gare, je bouche le tunnel des créatures, leur coupant leur échappatoire. D'un coup de lame, je tranche les bras des bestioles qui tiennent la femme. Cette dernière essaie de se relever, sans succès. Alors je la fait se déplacer sur ma terre comme on avance sur des marches automatiques. Les créatures sont affolées, elles ne comprennent pas. Je me matérialise lentement, prenant ma forme humaine, et pendant qu'elles essaient de s'enfuir en creusant d'autres trous, je les emprisonne et solidifie ma terre pour les en empêcher. Je serre, elles couinent jusqu'à finir par exploser dans une gerbe de sang. Les autres animaux plus loin voient la scène, et décident de laisser leur butin et de rentrer chez eux sans demander leur reste. Je finis de me matérialiser, me tenant sur un rocher à un mètre du sol. Soigner son entrée, ça fait toujours un impact.
« Clo … Clotho !
Oui. Vous m'avez demandé, me voici. Je suppose que ce sont ça les rataupes.
Oui. Merci ! Merci de nous avoir sauvé.
Dîtes moi la situation et ce que vous attendez de moi précisément.
On ne sait pas pourquoi, mais ces bestioles ont émergés de terre il y a quelques années, et elles nous attaquent depuis. Avant on avait Hal pour nous défendre, mais des pirates l'ont détruit lors de leur passage. Depuis, on subit les assauts. On est que des mineurs, des chercheurs ici, pas des combattants émérites. On est là pour trouver des tréso*/ » Il se mord la langue, mais c'est trop tard. Il a craché le mot, et mes yeux s'illuminent. Il n'a plus le choix, il doit aller jusqu'au bout.
« Des trésors, hein ? Quel types ?
Le dernier qui a été trouvé date d'il y a quelques années, c'était un coffre rempli de berry. Votre rôle est de tuer les rataupes, de sécuriser la ville.
Sécuriser la ville … Voilà un terme bien trop large. Si vous voulez que je vous protège, ça va vous coûter beaucoup plus cher.
Mais on a que nos 60 millions mis en commun, on a rien d'autre. Alors éliminez les rataupes. C'est votre priorité.
Ok. Montrez moi vos millions.
Pour … Pourquoi ?
Pour être sûr que vous avez bien de quoi me payer.
Ils sont cachés.
Ils sont derrière le bar du saloon là bas.
Co ! Comment vous savez ça ?!
Mon petit doigt me l'a dit. »
Le chef du coin est médusé, et les habitants aussi. Certains se sont enfuis en me voyant. Mais en m'apercevant discuter avec leur chef, ils sont sortir de chez eux. Ils soignent les blessés. Deux personnes s'insurgent en voyant le reste des cadavres des rataupes que j'ai tué.
Monsieur Tas'Natak,
Au nom de l'équipe des mineurs de Banaro, nous souétons engager vaux qualités de mercenaires. Votre mission est de nous débarrasser des rataupes de merde qui nous attaquent et réduisent notre nombre avant de disparètre à nouveau ter. Vous avez une vivre card pointant vers l'un de nous. En échange, un somme allant jusqu'à soixante millions de berry vous sera versée, selon votre efficacité et les dommages collatéraux.
En attante de voir votre drapeau s'élever près de notre île,
le commité des mineurs de Banaro qui en marre de se faire bouffer par des rataupes de merde.
Je ne sais pas s'ils ont manqué l'école souvent, mais ils sont fâchés avec la bonne éducation on dirait. Je ne sais pas où est cette Banaro, ni qui sont ces mineurs ou ces rataupes. Ça pourrait être un piège de la marine ou d'un chasseur de prime stupide. Dans tous les cas, ya de l'argent à la clé, donc on va aller voir. On suit la vivre card. Après quelques jours de navigation, la vigie annonce enfin une île. A première vue, elle n'a pas l'air très grande, civilisée ou boisée. On voit des montagnes en forme de banane qui, je suppose, doivent entourer la ville. On souhaite accoster, mais certains récifs nous dissuadent. Pas de soucis. Soru, geppous, et pouf, me voilà flottant au dessus de la mer pour me poser dans le ''port'' comme un pro. Quand je dit port, j'entends trois bouts de bois collés ensemble pour faire un ponton. Personne ne surveille l'endroit, personne ne le protège. Ça ressemble à un piège, vraiment. J'entends des bruits au loin. Je décide d'utiliser mon logia pour me fondre dans la terre que je créé, formant une petite vague et me déplaçant ainsi jusqu'à la source des bruits. Je contourne donc la banane de pierre pour arriver devant une … ville ? Ils n'ont pas la technologie ici on dirait. Maisons en bois pas très solides, pas de den den dans les rues, pas de haut parleurs, rien. A part des gens criant, des traces de sang, des trous dans le sol, et des espèces de … rats bizarres en train de traîner une femme dans l'un des trous. J'ai envie de ne rien faire, de laisser couler pour voir ce qui va se passer, mais je me souviens du message. Dommage collatéraux égal moins d'argent. Morts égal dommage collatéraux. Donc on va éviter des morts. Et puisqu'ils m'ont engagé, autant leur donner le spectacle de leur vie.
Ma vague avance d'un seul coup à grande vitesse vers les rongeurs. Les gens la voit arriver sans comprendre ce qui se passe. Sans crier gare, je bouche le tunnel des créatures, leur coupant leur échappatoire. D'un coup de lame, je tranche les bras des bestioles qui tiennent la femme. Cette dernière essaie de se relever, sans succès. Alors je la fait se déplacer sur ma terre comme on avance sur des marches automatiques. Les créatures sont affolées, elles ne comprennent pas. Je me matérialise lentement, prenant ma forme humaine, et pendant qu'elles essaient de s'enfuir en creusant d'autres trous, je les emprisonne et solidifie ma terre pour les en empêcher. Je serre, elles couinent jusqu'à finir par exploser dans une gerbe de sang. Les autres animaux plus loin voient la scène, et décident de laisser leur butin et de rentrer chez eux sans demander leur reste. Je finis de me matérialiser, me tenant sur un rocher à un mètre du sol. Soigner son entrée, ça fait toujours un impact.
« Clo … Clotho !
Oui. Vous m'avez demandé, me voici. Je suppose que ce sont ça les rataupes.
Oui. Merci ! Merci de nous avoir sauvé.
Dîtes moi la situation et ce que vous attendez de moi précisément.
On ne sait pas pourquoi, mais ces bestioles ont émergés de terre il y a quelques années, et elles nous attaquent depuis. Avant on avait Hal pour nous défendre, mais des pirates l'ont détruit lors de leur passage. Depuis, on subit les assauts. On est que des mineurs, des chercheurs ici, pas des combattants émérites. On est là pour trouver des tréso*/ » Il se mord la langue, mais c'est trop tard. Il a craché le mot, et mes yeux s'illuminent. Il n'a plus le choix, il doit aller jusqu'au bout.
« Des trésors, hein ? Quel types ?
Le dernier qui a été trouvé date d'il y a quelques années, c'était un coffre rempli de berry. Votre rôle est de tuer les rataupes, de sécuriser la ville.
Sécuriser la ville … Voilà un terme bien trop large. Si vous voulez que je vous protège, ça va vous coûter beaucoup plus cher.
Mais on a que nos 60 millions mis en commun, on a rien d'autre. Alors éliminez les rataupes. C'est votre priorité.
Ok. Montrez moi vos millions.
Pour … Pourquoi ?
Pour être sûr que vous avez bien de quoi me payer.
Ils sont cachés.
Ils sont derrière le bar du saloon là bas.
Co ! Comment vous savez ça ?!
Mon petit doigt me l'a dit. »
Le chef du coin est médusé, et les habitants aussi. Certains se sont enfuis en me voyant. Mais en m'apercevant discuter avec leur chef, ils sont sortir de chez eux. Ils soignent les blessés. Deux personnes s'insurgent en voyant le reste des cadavres des rataupes que j'ai tué.