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L'apprentissage

Un bateau en forme de Banane navigue sur la mer de Grand Line, ses propriétaires ne sont autres que des révolutionnaires indépendantistes. Le capitaine de l'équipage s'appelle Seki Han, plus communément appelé Han. Cet ancien agent du Cipher Pol Number Five sort à peine de convalescence, il est encore recouvert de bandage, ses blessures se sont renfermées, il y a peu. Normalement, il devrait garder le lit, mais ce n'est pas dans le caractère de ce leader d'homme, malgré son état, il tient personnellement à diriger l'avancée en mer. Pour le moment, tout se passe bien. Han prend appuis contre le bord d'une rambarde devant sa cabine, son bras droit remarque qu'il en fait des tonnes, ce qui le fait soupirer.


- Rhalala... Quel idiot, il va se tuer à la tâche.


Le bras gauche de Han, Tanpan, rejoint son homologue.


- Yo, Abo Cado. Toi aussi, tu as remarqué ?


Le Mink chat regarde le jeune épéiste.


- Bien sûr, il faudrait être aveugle pour ne pas remarquer que le capitaine souffre encore des séquelles de son combat contre les agents du Cipher Pol.


Han arbore un sourire devant son équipage sur le pont, tentant de masquer sa souffrance. Cependant, malgré ses efforts, son corps trahit sa douleur. Le bras gauche de Han tremble, le capitaine transpire. Ses deux commandants s'approchent de Han, ils lui demandent de venir dans sa cabine. Le capitaine se déplace jusqu'à sa cabine, une fois à l'intérieur, il s'écroule sur son lit comme une masse. Le Mink et l'épéiste s'assoient sur une chaise.


- Capitaine, tu as besoin de repos.


- Mais non, je vais bien.


- Non, tu dois dormir.


- Mais, l'équipage a besoin de moi.


- L'équipage a surtout besoin d'un capitaine en pleine forme, et pas d'un leader qui ne peut plus bouger.


- Vous allez voir, je peux encore bouger.


Han tente de se lever, cependant il n'y arrive pas.


- Alors, capitaine ?


- Je n'ai pas envie de me lever, pas maintenant.


- J'ai une idée, comme tu as besoin de repos, et comme on n'a pas grand-chose à faire pour le moment, tu vas aller te reposer sur une île tranquille.


- Je peux très bien rester sur le rafiot et me reposer.


- Non, tu ne peux pas. Tu seras sur le dos de tout le monde, tu vas t'occuper de tout sauf de ton repos.


- Han, c'est la meilleure chose à faire.


- Nous prendrons soin de l'équipage en attendant ton retour.


Han n'a pas le choix, il admet qu'il n'est plus en grande forme, et il va donc partir se reposer. Il annonce à son équipage qu'il prend une semaine de repos sur l'île des vignerons, une île réputée pour sa science de l'œnologie et ses nombreuses vignes. Le navire accoste sur l'île, il dépose Han, mais ils partent afin de ne pas tenter Han de faire du zèle. Le révolutionnaire regarde son bateau s'éloigner, il est avec son baluchon sur la côte.


- Bon, je les reverrai dans une semaine.


Han s'aventure sur l'île, il arrive dans une ville, il prend du bon temps en allant au marché. Han prend une chambre d'hôtel, il pose ses affaires, puis il s'allonge sur le lit, oubliant tous ses soucis, il s'endort.
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Après avoir dormi pendant trois jours et trois nuits, Han se sent en pleine forme. Il sort faire une petite balade, il ne reste plus que quatre jours avant que son équipage ne revienne. Han visite le marché, il regarde les fruits et les légumes. Un vieil homme arrive au marché, il se tient avec une canne en bois. Il fait son petit marché, il achète des légumes, de la viande, des fruits. Il passe à côté de Han, le révolutionnaire regarde le petit bonhomme porter ses courses. Le grand-père semble avoir mal au dos, le rebelle lui propose de l'aider à ramener ses courses.


L'apprentissage R5bg

- C'est très généreux de votre part, jeune homme.


Le rebelle porte ses courses, ce qui soulage l'ancêtre. Han suit le senior à travers la ville, il le conduit jusqu'à l'extérieur de la ville, il vit à la campagne. Sur le chemin, trois bandits surgissent de nulle part, ils sont armés. Le plus costaud des trois menaces l'ancien de le tuer s'il ne lui donne pas son argent et sa nourriture. Han, qui porte les courses, commence à les poser par terre. Mais, l'ancien réagit avant. Il saute sur place, surplombant les trois hommes armés de poignard. Il étend sa jambe droite, il frappe le menton du mastoc. Le petit vieux retombe sur place, les deux bandits envoient un coup de poignard en direction du papy. Le vieux se fait poignarder le torse, Han est sous le choc, il s'énerve.


- Bande d'enfoiré, vous allez le pa... Oh ?!


Le petit vieux n'a rien, les lames des couteaux sont brisés. Les bandits reçoivent un coup de poing sauté dans le ventre simultanément, les deux hommes tombent dans les vapes avant de s'écrouler au sol. Le révolutionnaire est sous le choc.


- Comment pouvez-vous être encore vivant ?


- Tututu… On ne rechigne pas, nous continuons notre marche, jeune homme.


Han et le vieux marchent jusqu'à la maison de l'ancien. Han rentre dans la modeste demeure, il pose les courses sur la table de cuisine du petit bonhomme. Han lui demande comment a-t-il fait pour survivre lors de la précédente attaque. Le vieux se pose au fond de son fauteuil, il sort une pipe, l'allume, et la fume.


- Le Haki de l'armement.


Le rebelle est surpris.


- Vous rigolez, vous connaissez le Haki de l'armement ?!


Le petit vieux relâche de la fumée par ses narines.


- Je vois que vous savez ce qu'est le Haki de l'armement, mais est-ce que vous le maîtrisez ?


Le Seki croise les bras.


- J'ai connu des personnes qui le maîtrisaient, mais je ne l'ai jamais appris.


Le vieux regarde Han.


- Je pourrais vous l'apprendre, si vous le désirez ? Vous m'avez rendu service, c'est la moindre des choses.


Han décroise les bras avec un air enthousiasmé.


- Super, je suis prêt !


Le vieux se lève, puis il sort devant la maison. Han le rejoint, le papy se met en position de combat.


- Avant de vous l'enseigner, je veux vérifier votre niveau de combat. Envoyez-moi un coup de poing, je vais analyser votre force.


- Non, je ne vais pas vous frapper.


- Allez-y.


- Mais non, je ne vais pas vous frapper.


- Mais allez-y, je vous dis !


- Non !


- Allez !


Han soupire.


- Bon, si je vous blesse, n'allez pas vous plaindre ?


- Me blesser, comme si vous po...


Han lui envoie un direct du droit dans le visage, le vieux recule en titubant avant de s'écraser contre sa boite aux lettres.


- Aie... J'ai frappé trop fort.


Le vieux se relève, il constate que le rebelle a une grande force.


- Pas mal. Dis donc, vous avez cassé ma boite aux lettres, il va falloir la réparer.


- Quoi, mais vous êtes tombé dessus.


- Oublions cela, pour l'instant. J'ai constaté que tu as une énorme poigne, j'estime que tu as une force suffisante pour que je t'apprenne le Haki de l'armement.


Le vieux va apprendre le Haki de l'armement à son élève.


Dernière édition par Han le Sam 18 Nov - 2:32, édité 1 fois
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Le vieux affirme qu'il va apprendre le Haki de l'armement au Seki. Le regard du rebelle s'illumine, mêlé de curiosité et d'anticipation.


- Vous voulez dire... ?


- Oui.


Répond le vieux avec un hochement de tête affirmatif.


- Le Haki de l'armement. Tu as la force nécessaire pour le maîtriser. Mais ne te méprends pas, cela va demander un entraînement rigoureux et une discipline de fer. Le Haki n'est pas une simple technique, c'est une extension de ton être, une manifestation de ta volonté. Ça ne te dérange pas, si on se tutoie ?


Le Seki lui répond que non. Le rebelle écoute attentivement, chaque mot du vieux forgeant une nouvelle détermination en lui. Il sait que l'apprentissage du Haki de l'armement pourrait changer sa façon de combattre, lui offrant une nouvelle puissance et une plus grande maîtrise de lui-même. Il repense à son précédent combat contre le chef d'équipe du Cipher Pol Number 0, il a failli mourir, sans sa capacité Berserker qui s'est activé au bon moment. Mais, si elle ne s'était pas activée, Han serait sans doute mort.


- Avec le Haki de l'armement, je pourrai être plus fort, plus compétent, éviter de frôler la mort à chaque combat. Je suis prêt, maître.


Dit-il finalement, sa voix trahissant son excitation. Le vieux sourit, un sourire qui en dit long sur les défis à venir.


- Très bien. Nous commençons dès demain à l'aube. Sois prêt à tout donner. Mais, avant tout, tu peux m'appeler par mon nom. Je me prénomme Oshi Inari.


En entendant l'identité de son maître, Han ravale sa salive, il est impressionné.


- V...Vous êtes...


Inari est aussi étonné.


- Oh, mais je vois que tu me connais. Et, par quel prodige ?


Han affiche un petit sourire en coin.


- J'ai connu un Oshi Inari, un chef d'équipe travaillant dans le Cipher Pol Number 5. J'ai servi sous vos ordres lors d'une mission, je crois que c'était avant que vous ne preniez votre retraite, c'était il y a plus de cinq ans. Vous ne vous souvenez sans doute pas de moi, Seki Han. À l'époque, j'étais un agent de catégorie III.


L'ancien se gratte le menton.


- Tu es un agent du Cipher Pol ? Eh non, je ne me souviens pas de toi.


Han regarde le Oshi.


- Je... J'ai pris ma retraite, moi aussi. Je me repose sur cette île, j'ai pas trop envie de parler de boulot.


Inari sourcil.


- Si jeune ? Roooh, la jeunesse, vous êtes si impatient. Bref, nous allons pouvoir dîner.


Alors que le soleil se couche, le rebelle sent en lui une flamme s'allumer, l'espoir et l'anticipation de l'apprentissage à venir. Il sait que les jours suivants seront épuisants, mais l'idée de maîtriser le Haki de l'armement l'excite plus que tout. Une nouvelle étape de sa formation commence, une étape qui le rapprochera de la maîtrise de soi et de la puissance véritable. Han et le Oshi mangent une bonne soupe aux choux, cela faisait un bail que le révolutionnaire n'avait pas mangé de plat aussi bon. Après le repas, Han s'installe sur le canapé du bonhomme, puis le petit vieux va se coucher. Han passe une bonne nuit, il n'avait pas dormi aussi bien depuis des mois. Le matin, le rebelle se réveille au chant du coq. Han se lève, il se brosse les dents, répond à l'appel de la nature en se rendant aux toilettes, bois son petit café. Puis, il prend sa douche, s'habille avec une tenue décontractée pour l'entraînement. Il porte uniquement son futon orange, son maillot bleu, ses protèges-poignet de la même couleur, tout en étant pieds nus. Il sort rejoindre son maître qui l'attend depuis tout ce temps, il médite actuellement sur une souche d'arbre.


- Mon jeune élève, tu vas commencer par faire une profonde méditation. Rejoins-moi.


Han s'assit à côté de son vénérable senseï, il met ses jambes en tailleurs, joint ses paumes ouvertes, il les pose au niveau de son bas ventre. Il prend une profonde respiration, l'entraînement commence.


Dernière édition par Han le Sam 18 Nov - 2:40, édité 1 fois
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Han médite pendant une journée entière, il arrive à faire le vide dans son esprit. Le maître ouvre les yeux, il se lève, puis marche avec sa canne. La nuit est déjà tombée, il demande à son apprenti de rester en méditation durant la nuit, et s'il parvient à méditer durant toute une nuit. Ils passeront à l'étape suivante. Han, grâce à sa formation dans le Cipher Pol Number 5, parvient à tenir une nuit sans broncher. Ce n'est pas un exploit, un agent en mission doit savoir ignorer le sommeil, s'il veut réussir sa mission. Le record de l'ancien agent est d'avoir tenu trois jours et deux nuits sans dormir, restant constamment en alerte, lors d'une mission d'espionnage. Une fois la nuit passé, le maître sort pour voir si son apprenti à réussi. Han n'a pas bougé depuis hier matin, le vieux lui demande de se lever, le rebelle se lève.


- Tu as faim, je suppose ?


- J'ai une faim de loup !


- Le repas est prêt, tu peux aller manger.


Han mange dehors avec Inari assis sur une chaise autour d'une table en bois. Han dévore tout ce qui se trouve devant lui, le Oshi est impressionné, lui qui mange lentement et léger. À la fin du repas, le vieux propose de passer aux choses sérieuses.


- Si je t'ai demandé de méditer pendant une journée entière, c'était pour t'aider à faire le vide dans ton esprit, et aiguisé ta concentration. Je vois que cela a fonctionné, tu sembles plus vif, plus concentré. Maintenant que tu es en condition, je vais t'enseigner le Haki de l'armement. Tu vas sans doute y arriver sans peine, tu as les prédispositions adéquates, il ne reste plus qu'a éveillé ton Haki. Pour ce faire, tu vas t'exercer à répéter mille fois le même enchaînement en frappant dans le vide.


Han se met en position de combat.


- Je suis partant. Cela me donnera le Haki de l'armement ?


Le Oshi ricane légèrement.


- Ohohohoho, assurément, assurément.


Han lui fait confiance. Il envoie un direct du droit, puis il charge son avant-bras droit au niveau de son rein du même côté, simultanément qu'il envoie un direct du gauche. Il fait le même mouvement que pour le bras droit, il place son avant-bras gauche de son rein du même côté, pendant qu'il envoie un direct du droit. Il répète le même mouvement inlassablement, en augmentant la vitesse à chaque centaine qu'il dépasse. Son maître se pose au fond de son hamac entre deux arbres, il fait un petit roupillon. Voilà des heures que Han exécute les mêmes mouvements, il commence à transpirer, mais il a encore de l'endurance. Han commence à sentir un changement, il sent une énergie entourer ses poings, quelque chose qui le démange. Plus il avance dans son entraînement, plus la sensation de démangeaison grandit. Cela fait une demi-journée que le révolutionnaire frappe dans le vide, il commence à avoir des crampes. Il halète, il est épuisé, mais il continue en poussant des cris d'encouragement.


- Ha ! Ha ! Ha ! Ya !


Les cris réveillent légèrement le vieux, il regarde son apprenti faire son enchaînement.


- Il est sur la bonne voie.


Il se rendort. Le soleil se couche, Han tient à peine debout. Le Oshi descend de son hamac, il bâille. Il regarde Han qui souffre, son corps est courbaturé. Il reste droit comme un piquet, même si son dos le fait souffrir. Il halète, ses yeux sont à moitié fermés, il commence à tituber sur place. Il se rattrape de peu, il envoie des directs avec le reste de ses forces. Il donne un dernier coup de poing, son poing est recouvert par une armure noire. Le Oshi est bouche-bée, il n'aurait jamais pensé qu'un homme puisse apprendre le Haki de l'armement en seulement deux jours.


- Il est doué... Trop doué.


L'apprenti s'écroule de fatigue sur le dos, il s'endort en ronflant. Le Oshi s'allonge à côté de son élève, il fait bon ce soir, il s'endort à côté de lui.
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Pendant que le révolutionnaire reprend ses forces en dormant, de l'autre côté de l'île, les trois bandits qui se sont fait vaincre par Inari rentrent dans leur camp. Dans une forêt verdoyante se trouve un camp de bandit, les trois idiots qui sont amochés se plaignent à leur chef. Ils expliquent ce qu'il s'est passé, sans forcément parler du fait qu'ils se sont fait éclater par un vieux, il accuse Han de l'avoir fait. Le chef, Papu, un homme-poisson de type murène, est intéressé par cette histoire. Il écoute ce que ses hommes ont à lui dire, pendant qu'il est assis sur son trône en bois, en compagnie de deux jeunes fermières à peine majeur qu'il a réduit en esclavage. Les pauvres femme ont vu leur ferme brûlé, leur famille assassinée, et tout ça à cause des bandits. Papu aime soumettre et humilier ses adversaires, c'est pour ça que les deux fermières sont à moitié nues, avec un collier relié par une chaîne autour de leur cou. Papu, tient fermement les deux chaînes des pauvres esclaves.


- Hm... Vous vous êtes fait battre par un paysan, c'est ce que vous êtes en train de dire, n'est-ce pas ?


Les trois hommes prennent peur, ils reculent de quelques pas, en affichant un air terrifié.


- Poufffff... Vous avez jeté la honte sur notre clan, vous auriez dû vaincre ce péquenot ou mourir. C'était la moindre des choses que de revenir ici la queue entre les jambes avec des excuses à la con. Mais, je suis connu pour être indulgent. Je ne vous tuerai pas à condition que vous gagniez contre Ikaika, mon champion.


À la simple prononciation de ce nom, la centaine de larbins ravalent leur salive. Ikaika, qui est en train de manger une tonne de viande dans sa tente, est convié par son chef. Il mâchouille sa bidoche, lorsqu'un larbin vient lui demander de venir auprès du chef, la brute lui attrape la tête et la serre entre ses doigts puissants. Il finit par lui broyer le crâne, il balance le corps devant une esclave nue et enchaînée, tétanisé devant le corps du bandit. La brute arrive devant la tente de son chef, ce dernier lui ordonne de tuer ses trois adversaires. Les gars tremblent de peur, Ikaika en tue un avec une mandale dans le visage, le sang du bougre reste sur la main de la montagne de muscles faisant trois fois la taille de ses ennemis. Le second meurt en se faisant écraser la tête avec un coup de poing marteau, le bonhomme à la tête écrabouillée, il tombe sur le ventre. Le dernier sort son poignard, il fonce avec désespoir sur la brute pour le tuer. Le champion envoie un coup de poing dans le ventre de son adversaire, son poing fait la taille du buste de son ennemi. Le dernier adversaire meurt dans d'atroces souffrances. Les bandits acclament leur champion, Papu fait de même, il applaudit sobrement. Un troisième personnage fait son apparition, il s'agit de Hanau, c'est le conseiller de Papu et le grand frère de Ikaika.


- Chef Papu, nous commençons à manquer de vivre, et nos hommes s'impatientent.


- Hm... Que suggères-tu ?


- Nous devrions aller en ville pour voler leurs provisions et leurs femmes, nous manquons d'esclaves.


- Hm... Si ça peut faire plaisir aux hommes, nous allons attaquer la ville aujourd'hui. Préparez vos armes, nous partons !


Les bandits acclament leur chef en brandissant leur sabre et leur pistolet. Les bandits se dirigent en ville, en compagnie de leur chef Papu.


Dernière édition par Han le Sam 18 Nov - 2:44, édité 2 fois
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Les bandits pillent la ville, ils détruisent, ils volent, ils enlèvent les femmes, tuent les hommes, brûlent tout ce qui peut l'être. C'est un massacre. Un survivant du pillage parvient à arriver jusqu'à la maison du vieux Oshi. L'ancien le recueille, Han l'aide. Il est soigné, il explique ce qui est arrivé. Apparemment, les bandits auraient décidé de s'installer en ville. Le maître se propose d'aller régler le problème, sauf qu'il a un violent mal de dos, ce qui l'empêche de bouger. Han tient à s'en occuper, Inari laisse son disciple s'en charger, pendant qu'il dort au fond de son hamac. Han descend en ville le plus rapidement possible, la ville n'a plus rien à voir avec celle qu'il a connue au début de son séjour. Il n'y a plus personne, c'est une ville fantôme, des corps gisent sur le sol, des débris de maisons décorent la ville, et une ambiance sinistre règne en maître. Han s'avance dans la ville, il tombe sur des brigands qui veulent le tuer, il s'en débarrasse sans peine à coups de Karaté Aquatique. L'un des hommes fuit, il prévient son chef. Ce dernier envoie ses hommes le chercher. La centaine de brigands tombent sur le révolutionnaire, ils veulent l'attraper. Han n'a aucun problème à vaincre cent adversaires de ce niveau. Il esquive les coups de sabre, les balles, et il contre-attaque juste après. Derrière le tas de soldats gisants au sol se trouve Ikaika, il dégaine son immense sabre courbé, puis il fonce sur Han. L'affrontement entre Han et son nouvel adversaire, un combattant réputé pour sa force brute, se déroule dans une atmosphère électrique. Chacun s'échange des coups, chaque mouvement est un éclair de compétence martiale de la part de Han. Ikaika résiste plutôt bien, il a une bonne résistance.

Dès le début, Han impose sa présence. Il est immédiatement sur l'offensive, utilisant sa vitesse et sa détermination pour prendre le dessus. Ses mouvements sont précis et rapides, chaque coup porté avec une intention claire et une maîtrise parfaite. L'adversaire, habitué à dominer ses combats grâce à sa force, est pris au dépourvu par l'assaut implacable de Han. Il tente de réagir, de contre-attaquer, mais Han est partout à la fois, anticipant et parant chaque tentative avec une aisance surprenante. La force et la nature protectrice de Han se manifestent dans chaque attaque. Il n'est pas seulement rapide, il est implacable, attaquant avec une vigueur qui semble inépuisable. Sa détermination et son impulsivité sont canalisées, lui donnant un avantage psychologique sur son adversaire, qui commence à montrer des signes de frustration et d'étonnement. L'adversaire, désormais sur la défensive, est clairement déstabilisé. Il n'a jamais affronté quelqu'un d'aussi rapide et puissant que Han. Chaque esquive, chaque riposte de Han est une démonstration de sa supériorité dans ce duel. Ikaika lui envoie des dizaines de coups de sabre à la verticale et à l'horizontale. Han esquive sans peine, il va jusqu'à briser sa lame avec un coup de paume défensive. Puis, d'un coup de coude sauté à la gorge, Han tue la brute en lui brisant la nuque à cause du choc. Ikaika est mort.


Han ne tarde pas à dénicher le chef qui trône au milieu de la ville, assis dans son trône en bois. Han regarde les dégâts qu'ils ont faits, des esclaves sont entreposés dans un bâtiment. En voyant cela, le révolutionnaire ne cherche pas à ouvrir un dialogue avec Papu et Hanau, il fonce sur eux. Hanau sort une mitraillette, il tire sur son adversaire.  Dans un face-à-face rapide et décisif, Han se retrouve confronté à Hanau, le brigand chétif connu pour sa ruse. Dès le début, il est clair que Hanau est largement surpassé en termes de force physique. Il tente d'utiliser sa ruse, se déplaçant rapidement et essayant de surprendre Han avec ses tirs de fusil automatique. Cependant, Han, avec sa détermination et son expérience au combat, n'est pas dupe. Hanau continue de tirer sur son adversaire, mais Han esquive facilement, ses mouvements et sa fulgurance témoignent de sa grande expérience du combat. Il analyse rapidement le style de son adversaire. Avec une rapidité impressionnante, Han saisit le moment opportun. Il crée une balle d'eau dans sa main droite grâce à sa sueur. Puis il envoie la goutte au moment opportun, l'attaque transperce la tête du brigand, mettant fin au combat en quelques secondes. Hanau, surpris et impuissant, meurt avec énormément de regret sous le regard indifférent de Papu. L'homme-poisson s'énerve, il prend son trône et le jette sur son ennemi, celui-ci esquive le projectile. Dans les décombres d'une ville autrefois prospère, le combat entre Han et Papu, l'homme-poisson murène, va commencer. Han, avec sa détermination inébranlable, affronte Papu malgré l'écart flagrant de puissance physique entre eux. La ville silencieuse sert de témoignage inaudible à cette bataille féroce. Papu, arrogant et sûr de lui, utilise son Karaté Aquatique pour déchaîner une série de coups puissants. Ses mouvements sont rapides et brutaux, exploitant sa force naturelle d'homme-poisson. Il se moque de Han, le provocant avec des railleries, pensant que la victoire lui est acquise.


Han, cependant, n'est pas du genre à reculer. Il doit vaincre pour sauver les blessés, sa détermination se renforce à chaque coup qu'il reçoit. Il sait qu'il doit tenir bon, non seulement pour lui-même, mais aussi pour ceux qui comptent sur lui. Son courage est palpable, même face à l'adversaire redoutable qu'est Papu. L'homme-poisson lance une rafale de coups, mais Han, bien qu'impulsif, esquive avec agilité. Sa colère, alimentée par l'arrogance de Papu, le rend plus déterminé. Cependant, cette impulsivité le met en danger plusieurs fois, le poussant à prendre des risques inutiles. Le combat s'intensifie, et Han, sans pitié envers son adversaire, riposte avec une série de contre-attaques en utilisant son Karaté Aquatique. Chaque coup qu'il porte est guidé par sa rancune contre ceux qui ont fait du mal à des innocents, chaque frappe est un message clair : il ne laissera personne blesser les civils. La bataille atteint son apogée lorsque Han parvient à surprendre Papu avec un coup bien placé, utilisant sa colère et son impulsivité à son avantage. Papu, surpris par la résilience et la force de Han, commence à perdre son assurance. Papu envoie une multitude de coups, Han les parents facilement. Il envoie un coup de pied sauté dans le menton du bandit, celui-ci recule en titubant. Il se ressaisit, il s'essuie la lèvre inférieure qui saigne.


- Tu vas me le payer, sale enfoir... !


Han arrive une fois de plus au corps-à-corps avec sa vitesse fulgurante, et il enchaîne violemment Papu qui est impuissant devant la vitesse et la force du rebelle. Après une minute d'enchaînement de coups variés, Papu est projeté violemment dans une ruine par un crochet, le mur dans lequel il a atterri s'effondre et lui tombe dessus. Han pense en avoir terminé avec les brigands, il constate qu'il a incroyablement développé ses forces. Il y a quelques mois sur East Blue, un adversaire de la trempe de Papu aurait été un adversaire redoutable, mais aujourd'hui, ce n'est plus qu'un vulgaire insecte. Papu se relève, il est en sang. Il s'étire le cou et fait apparaître des dents tranchantes grâce à sa nature de murène. Han esquive son coup de dents qui brise la roche, le rebelle ne fait que fuir, il teste ses réflexes. Il décide de contre-attaquer, il se concentre, Han parvient à enduire son poing droit de Haki de l'armement. La murène lui fonce dessus avec l'intention de le mordre jusqu'à la mort, mais le révolutionnaire contre-attaque avec un crochet enduit de Haki. Le brigand se fait battre, sa tête s'encastre dans le sol. Les bandits sont vaincus, et Han commence à maîtriser son nouveau pouvoir. Les civils emprisonnés sont libérés par le révolutionnaire, ils viennent secourir les blessés qui gisent dans les rues. Le révolutionnaire revient chez son maître, il lui raconte ce qu'il s'est passé. Il passe ses derniers jours sur l'île pour se reposer, il finit par réparer la boite aux lettres de son vieux maître. À la fin de la semaine, Han reçoit la visite de son équipage, il dit au revoir à son maître avant de repartir en mer avec son équipage.
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