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Coalition ! Destruction !

Bliss, Bliss, Bliss. Comment en étions-nous arrivé là. Après avoir été séparé de mon équipage, j’avais aidé Izya sur Eoleria à combattre Glutony. Mon équipage lui était parti à ma recherche après avoir appliqué mes consignes et s’être fait discret un temps. Mais comme moi, ils ne pouvaient pas éternellement vivre caché. Ils avaient donc entrepris de venir me retrouver grâce à ma Vivre Card. Ils avaient une telle carte, car je partais souvent de mon côté et qu’ils devaient régulièrement me courir après.

J’avais eu la surprise de découvrir que Viktor l’ingénieur de mon équipage était resté sur Weatheria pour apprendre l’art climatique. Nous fîmes donc le trajet depuis le nouveau monde pour aller le rechercher. Ayant enfin compris que nous avions dans la révolution des gens mieux informé que moi prêt à m‘aider, je fis appel à eux pour qu’ils m’aident à rejoindre Viktor. Heureusement que je le fis, car Weatheria était une ile nomade et ils durent calculer le temps de mon trajet pour que j’aille au bon endroit. Ensuite, ils me donnèrent les étapes du trajet. Ils m’envoyèrent même par mouette postale deux moyens de navigation que j’étais apparemment en droit d’avoir vu mon grade.

Le voyage fut long comme toujours. Nous fîmes surface à Suna Land, au-dessus de laquelle se trouvait l’ile météorologique. Nous avions fait une grande partie du trajet dans les blues sous l’eau. En réalité à chaque danger nous avions plongé. Les blues étant majoritairement sous l’emprise du GM, nous avions préféré nous faire discret. Ha oui, surtout que nous nous étions séparés à la base, car des agents du Cipher Pole me traquaient. Et, il est vrai que le Divergence, mon sous-marin était facilement identifiable au milieu des navires traditionnels. Pourquoi, je précise qu’on était sous l’eau une grande partie du temps, car sous l’eau les Den Den ne captent pas les transmissions longues portées. Donc, je n’eus jamais l’appel de Nush.

Viktor lui eut l’appel de Nush, Dieu seul sait comment d’ailleurs. Il avait donc une bien vilaine nouvelle à nous annoncer. Cette nouvel gâcha totalement les retrouvailles et même la fierté de Viktor vis-à-vis de ces nouvelles connaissances. Il m’apprit donc que CW25, la base sous-marine que j’avais construite, c’était fait attaquer et détruire par la marine. Il n’avait que peu de détails. De ce que Nush lui avait raconté, lui et le Manta, un autre submersible, était en mission de transport lors de l’attaque. Ils avaient découvert les portes sous-marines éventrées et la base sous eau. En capitaine prudent, il n’avait pas laissé ses hommes fouiller la base et avait mis les voiles de peur que la marine soit encore présente.

Voilà donc ce qui nous amenait à Bliss, la vengeance, la loi du talion. Œil pour œil dent pour dent. Animé d’une rage froide, je m’étais enquis de la cible marine la plus proche. La réponse de nos informateurs fut Bliss et son chantier naval. Un chantier naval pour un chantier naval de sous-marin, cela me semblait bien. Ils allaient découvrir ce qu’était l’échange équivalent. Qu’on ne nous attaquait pas impunément.


Dernière édition par Yukikurai le Mar 27 Fév 2024 - 20:14, édité 1 fois
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« Bordel ! Mais pourquoi est-ce qu’il y a un blocus de la marine autour de cette ile. Auraient-ils eu vent de notre venue ? »
« C’est impossible, on s’est décidé hier. Comment pourrait-il être au courant. »
« Allez, passez-moi la longue vue ! Je veux voir. »
« On continu comme si on ne faisait que passer au large et on observe. »

A la longue vue nous avions pu voir de petits bateaux, à peine plus gros que des points noirs. Le hic, ils étaient uniformément espacés et semblaient faire le tour de l’ile. Ça voulait dire qu’on avait affaire à un blocus. Toutes les iles étaient-elles protégée de la sorte ? Mais, non on venait de passer par Suna Land et tout était normal. Quelle était la situation sur cette ile pour justifier de tel mesure ? Au fond, je n’avais pas le temps de m’en soucier. Nous allions agir et réagir à la situation avec comme seul objectif la destruction.

Je tendis mon mantra vers les navires histoires d’essayer de glaner des informations. Ce n’est pas un pouvoir magique, mais je pus constater plusieurs choses. D’abord, il y avait pas mal de lassitude dans le chef des marins en faction. Ensuite ce qui restait de leur attention était à moitié tourné vers l’ile et moitié vers la mer. Avec ces maigres informations, je fis les hypothèses suivantes. Ils étaient là pour empêcher les gens de partir. Ils étaient en poste depuis plusieurs jours et rien ne se passait. Et finalement ils devaient empêcher de potentielles renforts pour les truands. Il devait malgré tout y avoir moyen de rentrer discrètement … en sous-marin.

« On sort de leur champ de vision et on plonge. »
« Tu n’as pas peur qu’ils aient gens possédant les mêmes dons de perception que toi ? »
« Sur les blues c’est assez peu probable. Et en plus, on a très peu tendance à sonder vers le bas. Il n’y a généralement rien que des poissons. C’est relativement safe de passer sous une personne possédant l’empathie. Et par-dessus aussi, en fait. Enfin seulement si c’est un novice.  Huhu ! »
« Vraiment rassurant. »

Nous fîmes le plein d’un maximum d’air et nous plongeâmes. Nous voguâmes au plus profond pour éviter d’être détecté. Sous l’eau nous passâmes entre deux navires du blocus. Comme ils ne nous virent pas passer, ils ne purent pas nous arrêter. Ha, il n’y avait pas à dire c’était quand même vachement pratique les sous-marins.

A mi-distance entre le blocus et l’ile nous fîmes surface. Affleurant l’eau pour pouvoir observer via le périscope. La perception du Haki c’est pratique, mais sur une ile dense et peuplée comme Bliss, faire la différence entre le port, le chantier naval, la capitale, les faubourgs ou encore les bases marines était compliqué. Alors que bien que l’image ne soit pas folle et un peu petite au périscope, la distinction était aisée.

Nous fîmes tranquillement le tour de l’ile pour repérer notre cible. Je n’étais pas le plus doué pour observer via cette petite fenêtre, mais une chose était clair un gros combat avait eu lieu récemment et avait fait pas mal de dégâts dans les différents quartiers. Cela devait être en lien avec le blocus en place.

Le chantier naval était attenant au port et à la ville. Comme tout chantier qui se respecte il y avait un accès via la mer. Ce serait notre porte d’entrée. Nous retournâmes-nous planquer dans un coin tranquille et attendîmes la nuit sous l’eau avec un tuyau permettant d’avoir de l’air frais qui sortait de l’eau.


Dernière édition par Yukikurai le Mar 27 Fév 2024 - 20:19, édité 1 fois
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Les consignes avaient été assez simple, voir simpliste.
« Bon les gars, c’est une vengeance, mais on fait ça mieux que la marine. Pas de morts inutiles. On assomme, si possible. Dès la première détonation, on plie bagage en faisant un maximum de dégâts. Cinq minutes plus tard on met les voiles. »
« J’ai prévu quelques bombes incendiaires avec des mèches longues. Elles exploseront environ une minute après allumage. C’est bon pour vous ? »
« Oui! »

Lorsque la nuit tomba nous nous mîmes en route, direction le port. A mi-distance, nous fîmes surface à moitié, juste de quoi permettre à Viktor de sortir sur le pont. Avec de l’eau jusqu’au cuisse, j’assistai aux nouveaux pouvoirs de mon ingénieur. Même s’il m’avait dit que c’était de la science, pour moi ça ressemblait un peu à de la magie. Du brouillard commença à se former à partir de ces mains. Les conditions climatiques étaient propices, car la nappe s’étendit et se densifia rapidement. Fog Tempo !

Nous fîmes alors surface et route jusqu’au bord du chantier. Du point de vue des gardes, ils virent le brouillard se lever. S’il était bizarre et semblait mu de sa propre volonté, cela ne les alarma pas plus que ça. Ils ne nous virent pas arriver.

D’un coup de Haki je repérai les quelques groupes en patrouille ou en vigies. Je les indiquai à la petite équipe d’assaut et puis lançai les hostilités.

« Non Wolfy, toi tu restes à côté du navire. Tu n’es pas doué pour la discrétion. »

Ce n’était pas peu dire, Wolfy était un monstre marin loup de la taille d’un petit éléphant. Pour la destruction il est au top, mais sur la discrétion, ça non. Viktor, quant à lui, continuait à produire du brouillard. Gerard ne pouvant nager, prit sa forme de sapajou et je le balançai sur la vigie la plus proche. Avant même qu’elle ne comprenne ce qui se passait, le quartier maitre prit sa forme hybride et l’assomma.

Le rôle de Krishna, Bouly et Viktor était de placer les charges incendiaires. Shiro, Gerard et moi qui étions de loin les plus agiles, on les couvrait. Shiro, le Mandrill qui se prenait pour un Ninja était d’une efficacité redoutable dans ce genre de situation. Déjà, car lui, il pouvait localiser les ennemis à l’odeur. Ensuite, car je lui avais laissé Mira, mon Kusarigama. Il attaquait à distance avec la longue chaine de l’arme, balançant avec précision la masse sur les crânes des marines. Ou alors, il les capturait dans la chaine et avec sa force, il les attirait à lui pour les assommer. Dans tous les cas, ils avaient à peine de temps de laisser s’échapper un soupire.

Avec leur capacité simiesque, ils courraient sur les remparts comme personne. Enfin, si je faisais bien sûr encore mieux qu’eux, j’étais le chef après tout. En réalité, j’allais juste plus vite et je sautai plus haut, mais il devait être un peu plus agile que moi encore.

Me laissant porter par la haine qui m’avait animé quand j’avais appris qu’ils avaient détruit ma base, je fonçai comme une tornade. Apparaissant comme un fantôme au milieu des patrouilles, je les mettais tous au tapis avant que mon image ait finie de s’imprimer sur leurs rétines. Je crois d’ailleurs que je me laissai un peu trop emporter. J’eus l’impression que le crâne de la première personne que je frappai se fendit sous l’impact. Mais je n’étais pas là pour me soucier de ce genre de chose.

J’assommai bien plus de gardes que les autres réunis et bien plus que ce que j’aurais cru trouver dans un chantier naval. Mais, en même temps c’était celui qui fournissait la marine. Avec mon empathie, je repérai tous mes acolytes. Première bonne chose, Wolfy était toujours en mer. Ensuite Viktor, Krishna et Bouly s’étaient considérablement dispersés. Le chantier était vraiment immense.

J’étais en train de me dire que ça commençait à être long avant la première explosion quand un « Bang » retentit. Un coup de feu, une détonation. Merde, qui a tiré au fusil ? Nous étions repérés. Le temps que je dégaine Yuking, mon Naginata, une première explosion retentit. Elle souffla un peu le brouillard et je vis une des grues s’enflammer. Haaa! C’était l’heure de la destruction.

Je sautai de mon perchoir et abattit violemment mon arme sur le sol. Hasshoquake ! Une fissure se propagea dans le sol et vint éventrer un cuirassé en construction. Dans la minute qui suivit je continuai à balancer des lames d’air, tranchant mâts, coques, grues, entrepôt, détruisant un maximum. Je repoussai aussi sans doute un groupe de marin assez intelligent pour ne rien tenter seul. Je continuai la destruction tout en me repliant vers notre sous-marin. En même temps, je couvrais mes alliés.

Krishna fut le premier à passer en courant. Mon médecin était de loin le moins porté sur les combats et en même temps ce n’était pas ce qu’on attendait de lui en priorité.

Un bout de muraille s’effondra sur ma droite et Shiro apparut dans la poussière. Bien qu’étant un animal, il respectait presque mieux les consignes que les humains.

Ensuite à ma gauche une grue tomba sur le navire qu’il surplombait. L’ombre du sapajou fila alors rejoindre le point de retraite. Il était plus âgé que nous et survivre était ancré en lui comme nulle autre chose. Il ne fallait pas s‘attendre à ce qu’il fasse des folies. Pas comme Bouly. Il était où d’ailleurs ce crétin congénital? Un petit coup de Haki m’apprit qu’il était avec Viktor. Il devait encore se faire tirer les oreilles par l’ingénieur.

Quelle ne fut pas ma surprise quand je vis Viktor arriver en courant avec au-dessus de sa tête une montagne de bois. Bouly courait à côté de lui et tirait de temps en temps pour tenir en respect un groupe de poursuivant. Soudain le géant aux cheveux mauve se retourna vers les assaillants.

« Fonce Bouly. Je m’en charge! Breathing Burst! »

Avant même que j’aie pu venir à leur rescousse, un jet d’air comprimé sorti de sa bouche. L’impact envoya voler l’escadron qui nous coursait et laissa un cratère sur environ cinq mètres de diamètre. Ho putain, c’était encore nouveau ça. Niveau destruction c’était pas mal.

« Krishna, un… Shiro, deux… Gerrard, trois… Bouly et Viktor, quatre et cinq… Moi, ça fait six le compte est bon. On décolle ! »
« Bordel tu veux faire quoi de tout ce bois ? »
« J’allais quand même pas faire cramer du si bon bois. Il servira pour un navire ou autre. Ce ne sera pas perdu. »
« Mais ça ne rentrera pas ! »
« Bien sûr que non ! Ça va rester sur le pont. »
« On va donc fuir comme de vrais pirates, en surface. »
« Oui ! Hihihi ! »


Dernière édition par Yukikurai le Mar 27 Fév 2024 - 20:26, édité 1 fois
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On avait fait le plus facile entrer discrètement et repartir en vitesse en faisant un maximum de dégâts. Le tout pour éviter que les renforts et les gradés des différentes bases aient le temps de venir nous intercepter. Jusqu’ici tout c’était bien passé, tout le monde était en train de nager vers le Divergence. Enfin sauf Gerard qui ne savait plus nager. Il monta sur ma tête sous la forme de son petit singe pour parcourir la dizaine de mètre.

De ce que j’avais vu, la destruction avait été au rendez-vous. Plusieurs grues et navires détruits, les flammes étaient visibles, ils se souviendraient de notre passage. Au moins le temps qu’ils nettoient et reconstruisent tout.

Je ne sais pas comment mais Viktor avait chargé le bois sur le pont du navire. C’était encombrant, mais ça rentrait. J’ordonnai de mettre les voiles. Pendant qu’on s’activait, Viktor lui produisit à nouveau du brouillard pour nous couvrir. Je n’étais pas utopiste, je savais que le stratagème marcherait deux fois. Les informations allaient circuler et ils allaient converger vers le banc de brouillard.

Nous n’étions qu’à quelques encablures de Bliss quand les navires de la marine arrivèrent. Les bateaux étant stationné pour le blocus, ils arrivèrent en nombre. Trois d’entre eux se mirent en arc de cercle devant nous pour nous bloquer. Deux autres arrivaient respectivement par bâbord et tribord arrière.

« Préparez-vous ! Il y a un blocus devant et des navires arrivent pour nous prendre en tenaille. »
« J’arrête le brouillard et je leur prépare une surprise ? »
« Oui, bien sûr ! Moi je m’occupe des poursuivants. »

Je portai mes doigts à la bouche et sifflai. La tête de Mr Wolfy apparut. Je lui fis comprendre autant avec mes émotions qu’avec mes paroles que c’était l’heure de détruire du navires. Je plongeai et il me suivit. Je lui pointai l’autre navire et il se détourna.

Je nageai presque comme un homme poisson. Je fus donc sur eux assez rapidement. Je bondis hors de l’eau et atterris au milieu du pont. Je balançai les gouttes d’eau qui dégoulinaient de mon corps comme des balles. Uchimizu ! Les soldats s’effondrèrent avant même d’avoir compris ce qu’il se passait. J’enchaînai rapidement avant que l’effet de surprise se dissipe. Je bandai mes muscles et envoyai un violent coup de poing qui sectionna le mât à sa base. Je filai vers la poupe alors que les soldats encore debout regardait leur mât s’effondrer. Je plongeai par-dessus bord et avant de toucher l’eau j'agrippai le gouvernail de la main droite. Puis d’une vrille je l’arrachai. Soshark ! Finalement, je plongeai sous le navire, pris appuis sur ce dernier et reparti comme une torpille vers le Divergence.

Pourquoi est-ce que je continuais à faire ça ? Sans mât et sans gouvernail ce navire n’était plus une menace. J’aurais pu, peut-être dû me contenter de détruire le navire sans même me montrer. Mais non, j’avais frimé pour utiliser mes nouvelles techniques apprises auprès des homme-poisson. Et le pire c’était que je m’étais encore retenu de tuer les marines. Je n’arrivais pas, même après tout ce temps, à me défaire de cette naïveté, de cette candeur qui m’empêchait de tuer mes adversaires. Pourquoi est-ce que je continuais à faire preuve de merci, alors que nous n’en recevions pas de leur part ? Je suppose que je voulais continuer à être l’utopiste héro du peuple qui ne fait pas couler le sang pour rien.

Pendant ce temps, Mr Wolfy était arrivé sur le navire que je lui avais désigné. Avec lui pas de demi-mesure, il fonça dans le navire, le fit vibrer et tanguer. Il ouvrit sa mâchoire et vint cisailler la quille d’un gros coup de dent. Il fit ensuite une culbute et envoya sa queue fouetter la coque du navire. Elle commença à se fendre. Pour faire bonne mesure, le monstre marin fit demi-tour et fonça comme une torpille. Il traversa le bâtiment qui se fendit totalement.

Il revint ensuite me chercher. Certes, je nageais bien, mais je restais quand même lent sur de longue distance en comparaison de la créature marine. Accroché à son cou, on rattrapa sans difficulté le Divergence qui faisait face au blocus des trois navires. Je vis la scène alors que je reprenais ma respiration encore à une encablure de mon navire. Viktor était debout sur le pont du navire, imperturbable, à faire des trucs bizarres, alors qu’ils commençaient le tire barrage. Bouly intercepta un boulet avec un autre boulet. Gerrard, lui, dévia d’un coup de poing au Haki, le projectile le mieux tirer.

Un nuage noir s’était amoncelé au-dessus des navires. Je connaissais ce tour, pour l’avoir vu plusieurs fois exécuté par Izya ou d’autres. Viktor parvint néanmoins à me surprendre. Lorsqu’il frappa dans ses mains un éclair en jaillit pour venir frapper un mât. Un deuxième éclair tomba du nuage au même endroit et embrasa le mât et la voile. Le feu se répandit. Le mât chuta sur le navire qui se trouvait à côté de lui. En une attaque, deux navires étaient plus occupés à essayer de ne pas sombrer que de nous poursuivre.

Naturellement, le Divergence contourna le blocus du côté du navire en flamme. Le troisième bâtiment de la marine, se dégagea et se lança à la poursuite du Divergence. Malheureusement pour lui, j’arrivais juste derrière lui avec Mr Wolfy. Je le sentais d’humeur jouette et je me laissai influencer par ses émotions. Nous surgîmes alors de l’eau pour atterrir sur leur château arrière. Ils ne s’attendaient pas à se faire attaquer de la sorte et encore moins par un monstre marin.

En soldat bien entraîné, ils se reprirent rapidement et se mirent en formation. Mr Wolfy n’attendait que ça. Il fonça dans le tas. D’un coup de nageoire ils les envoya valser. Ensuite il fit face à d’autres soldats et dans un rugissement qui ressemblait à un rire, je vis un canon sortir de son épaule. Il balança de l’eau sous pression qui les envoya par-dessus la rambarde.

« Mais putain, j’avais dit à Krishna de ne pas faire n’importe quoi ! »

Après le combat sur Eoleria, il avait été salement blessé. Krishna, notre cybernéticien, médecin de bord l’avait soigné. Je lui avais dit de ne pas faire n’importe quoi. Certes, il l’avait sauvé, mais il lui avait rajouter deux pattes arrière pour qu’il puisse marcher sur la terre ferme. Apparemment, il avait également inclus également un canon. Ha autant pour moi, deux canons. Du deuxième canon sortit un boulet d’eau qui fit exploser la proue.

Je sentis alors une vague de colère et de rage qui venait de Bliss. Un gradé, ou quelqu’un qui pourrait nous ennuyer réellement venait de se mettre en route pour nous arrêter. Cela me ramena à la réalité. Il n’était plus le temps de jouer. Je sautai dans les airs fit un salto et abattit mon talon sur le pont. Hasshoquake ! Le navire se fendit en deux. Je plongeai ensuite à la mer.

« On y va ! »

Nous rattrapâmes le navire et nous disparûmes en mer. Notre forfait était accompli. Est-ce qu’on avait porté un coût décisif à la marine ? Bien sûr que non. Ce n‘était qu’une petite vengeance personnelle. Une manière de leur dire ne faites pas n’importe quoi. On avait détruit pas mal de navires. Pour plusieurs centaines de million de Berry, peut-être un milliard. Une bagatelle pour le GM.

Un peu déprimant, je préférai donc retenir qu’on venait de leur roulé dessus.
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Au petit matin, quelle ne fut pas la surprise de Lin Rivest. Elle qui surveillait le chantier naval de Bliss pour le compte de la révolution. Voilà des jours, voir des mois qu'ils avaient planifier d'aller faire un tour dans le chantier naval, aujourd'hui. Ils devaient essayer de voir si il y avait de nouveau prototype, voler ou copier des plans si possible. Mais voilà que de la fumée s'élevait de leur cible. Quelqu'un avait attaquer pendant la nuit, réduisant à néant tout les préparatifs. Tous les pots vins payés pour connaître les horaires des rondes, que l'un ou l'autre ferment les yeux. Tout ça pour rien.

Si elle tenait l'idiot qui avait fait ça.

Haaa, l'ironie du destin.
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