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∑ Amusement et Destruction › Seiko-Ajito-Shippû

Une nouvelle journée, un nouveau jour. On dit toujours que chaque jour, tout est possible. C'est faux, pas tout. Mais ce qui va se passer maintenant, est possible. Mais vous allez bien voir, chaque évènement est fruit du destin. Chaque évènement bouleversa au moins une personne, mais commençons. Tout a commencé donc en matinée, comme toute journée. Je suis sortis du bateau, tranquillement. On pouvait lire sur mon visage une nouvelle soif d'aventure, une soif d'amusement. Il est vrai qu'après deux jours passés en mer sur un petit raffiot, accompagné d'une personne qui ne parle pas des masses... J'ai connu mieux. Mais cette personne, à chaque fois qu'elle parlait, disait vrai, et semblait vraiment maître de ses mots. J'étais fier d'être à côté de cette personne, qui semblait plus fort que moi, et très sage aussi. Dans le sens de la sagesse.

Mais quoi qu'il en soit, nous étions donc arrivés à bon port. Oui, un très bon port même, où nous purent bien ranger notre raffiot à l'abri des voleurs pour quelques piécettes seulement. En continuant, nous sommes chacun partit de notre côté. Je l'ai tout de suite perdu de vue, mais cela ne m'avait pas dérangé. Nous nous étions donné rendez-vous dans deux heures dans une auberge connue dans cette ville pour ses bons repas. Un rendez-vous à l'heure de midi pile, quand les cloches sonneront.

Et me voilà partit, allant chercher un peu d'argent pour ce repas, et pour aussi nettoyer mes habits. Il faudra que je sois présentable pour ce midi. J'espère qu'Ajito en fera de même.

~

J'entre dans une ruelle, c'est souvent là qu'il y a des malfaiteurs, et qu'on peut prendre de l'argent à ceux-là, sans avoir de problème. Et justement, en voilà deux qui s'approchent de moi. Je sens la tension monter. Une de me veines se crispe. Je devais faire semblant d'avoir peur, mais ces deux hommes sont armés, espérons qu'ils ne savent pas s'en servir. Mais leurs paroles me tirent de ma réflexion.

-Et toi, le mongole aux cheveux bleus, passe nous ton fric ou on te tue.

Ils ne pouvaient pas faire on ne peut plus simple, ils connaissaient bien leur texte. Mais peu importe, je décide de prendre l'initiative. Un petit Demon Slash va me permettre de les tuer, sans vraiment me fatiguer. Je sors lentement mes sabres de leurs fourreaux. Un bruit de fer se fait entendre. Un bruit sec. Je tire mes lames, je sens en moi monter la puissance, la sûreté. Les deux hommes devant moi pensent l'inverse. Ensuite, je m'incline, tout en inspirant. Je sens le pouvoir monter en moi. Je vois ce que je vais faire. Je SAIS ce que je vais faire, et je SAIS que ça va marcher. Et d'un coup, tel un faucon miroitant sa proie, je tranche.

Demon Slash.

Deux têtes tombent, un bruit. Celui de la mort. Je sens en moi le sentiment de puissance, et le sentiment de tueur diminuer. Le calme de la rue m'apaise. Maintenant, il va falloir fouiller les corps. C'est très délicat, et peu sympa, mais je suis bien obligé. Obliger n'est pas le mot mais peu importe, cela m'horripile vraiment, mais j'y vais, en essayant de n'avoir aucune pensée.

~

Quelques objets trouvés (et revendus) plus tard, avec un peu d'argent dans les poches, je peux enfin m'assurer de pouvoir payer mon repas de midi. Mais en fait, pourquoi payer le repas, alors que fuir est tellement plus drôle ? C'est que les gardes du restaurant sont aussi connus. Mais pas pour leur cuisine. Je décide donc d'aller tout d'abord repasser mes vêtements. Cela fait, je me sens mieux maintenant. Ensuite, je décide de me rendre au rendez-vous. Je n'ai aucune idée de l'heure, et n'ayant pas envie de la demander aux passants, je cherche mon chemin pour le restaurant très connu. J'arrive sur une grande place. Cette place est connue pour être l'entrée du restaurant. Et l'entrée du clocher aussi. J'entre. Le restaurant est magnifique. Remplis d'aquariums, c'est presque un aquarium géant. Avec des centaines d'espèces de poissons sûrement, et des plantes multicolores. J'attends. Je n'ai que ça à faire.

Tum Tum Tum.


La cloche sonne. Mais que fait mon nouveau nakama ? Arrivera-t-il à la bonne heure prévue ? Je l'espère...
    Loin de son attentat envers une ville, loin de son acte barbare, loin de sa prise d’otage, Alucard se promène doucement dans la ville de Maze town. Il avait fait escale dans un petit port non loin de l’entrée de la ville. Il n’avait pas eu directement le courage d’aller se mêler à la foule. Il préféra se rendre aux alentours de la ville, vers la végétation, la nature. Observant le va et vient des navires, il passa plusieurs heures à admirer la beauté de la mer et surtout d’un soleil miroitant. L’écume et l’odeur du sel embellissait cette fin de matinée. L’air était frais et le froid s’installait dans ses poumons à chacune de ses inhalations. Un frisson parcourait l’échine de son dos pour finir sa course de sa nuque. Le vent caressait sa douce peau qui rougissait à la chaleur du soleil. Son corps était inerte, couché dans l’herbe, se reposant des longues heures de son voyage. Ses lourdes paupières l’emmenaient souvent dans des contrées lointaines, là où l’imagination et les rêves étaient rois. Durant ce laps de temps de repos, les heures défilèrent telles des secondes et notre jeune pirate ne vit pas le temps passé.

    Un son de cloche résonna soudainement. Les volatiles aux alentours, s’envolèrent dans une nuée de piaillements et de plumes. Cela eut pour effet de réveiller notre dormeur du dimanche. Al’ ouvrit tout d’abords un œil, puis l’autre et remarqua que le soleil était déjà passé à l’est. Il devait surement être en retard pour son premier rendez-vous. L’imbécile s’était assoupis et était sur le point de manquer son rencard. Il se leva rapidement et partit en direction de l’entrée Sud de la ville. Durant cette petite chevauchée printanière, notre jeune héros en profita pour rectifier sa tenue. D’un coup rapide et vivace du revers de la main, il chassa les quelques herbes qui étaient encore accrochées à sa veste longue. Puis il fit de même pour son pantalon, tacheté de grains de poussière. Ce fut à grande enjambée que notre jeune dormeur arriva aux portes de la ville. Une fois passé le seuil, une pression s’installa sur ses épaules. Il y avait des marines dans le coin, il se devait d’être discret. Il prit donc à travers des ruelles et des sentiers égarés pour rejoindre son point de rencontre. La chose ne fut pas aisée, certaines de ses ruelles étaient en travaux et il lui fallut constamment reboucher chemin. Puis il déboucha sur une grande place marchande, il y avait foule. S’était surement le jour du marché, ou s’était tout simplement le fait qu’Alucard n’avait plus mit les pieds depuis déjà des lustres dans une grande ville.

    La population urbaine était diversifier, il y avait de toutes les races sur cette place. Le seul détail, dont il se serait bien passé, était le fait que la race des hommes poisson était la marchandise disponible à certaine étale. L’esclavage était la chose la plus absurde du monde et cette culture avait pour habitude de mettre Alucard en rage. Hélas pour ses pauvres gens, il se devait tout d’abords d’aller rencontrer son future nakama. Il viendrait plus tard pour voir de quoi il en retournait. Si les individus seraient encore présents à son retour, cette place deviendrait un vrai bain de sang. Un autre son de cloche retentit dans l’espace et le vent. Il était midi passé, Al’ était en retard. Il sortit donc de sa réflexion et repartit vers l’endroit indiqué sur sa carte. Il ne lui restait plus qu’un centaine de mètres à faire et il serait arrivé. Le point de rendez-vous était un restaurant gargantuesque. Il recouvrait la majeure partie d’une place et on n’en voyait presque pas la fin. Al’ entra à l’intérieur. Une fois passé le seuil, il put observer la beauté des lieux. L’intérieur du restaurant était un aquarium géant. D’innombrables poissons nageaient à l’intérieur. Il y avait tant de races que l’on pouvait s’y perdre. Les couleurs des reflets de chacun d’entre eux, rendaient la chose encore plus féérique. Puis soudainement une silhouette se distingua du lot, Alucard venait d’entré en contacte avec son nouveau partenaire.

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    Je m'étirais, me levais, me cognais la tête contre une branche, reculais, glissais, tombais, m'écroulant 2 mètres plus bas sur le sol. Un grognement sourd s'échappa de ma bouche et je pestais contre cette branche trop basse. J'avais dormis la haut, sur une énorme branche qui m'avais bien plus, malheureusement au réveil, je m'étais levé trop brusquement et maintenant, je me retrouvais au sol. Heureusement pour moi, le sol était plutôt moue et je m'en sortais seulement avec un mal de dos, me relevant je regardais au loin, une ville, mon objectif, l'endroit qui m'intéresser et surtout, la ou j'allais pouvoir manger. Bien que le but principal de cette endroit était, pour moi, de rencontrer une personne me proposant de rejoindre son équipage, cela m'intéressait, oui, ce serait sans doute amusant et, si cela ne me plaisait plus, je n'aurais cas tuer le capitaine ainsi que le reste de l'équipage avant de partir.

    M'étirant une dernière fois je me remis en route, cela n'étais pas long, la ville n'étais plus très loin et, j'avais bien dormis. Je marchais dans l'herbe, d'un pas rapide, fouillant mes poches afin de trouver un peu d'argent, il m'en fallait pour pouvoirs payer le repas du midi. Après plusieurs minutes de fouille, je constatais que je n'avais plus un rond, pour changer de d'habitude, il allait falloir que je trouve un moyen pour récupéré rapidement l'argent suffisant pour ce repas. Levant les yeux au ciel, je savais ce que j'allais faire, attraper quelqu'un, le tuer et le voler, aucune trace, aucune preuve et de quoi payer un repas, résultat garantie. Ce serait si facile, comme toujours d'ailleurs pour ce genre de chose. Pénétrant dans la ville je regardais autours de moi, il fallait que je trouve une ruelle approprié, sans personne dedans, attirante et facile d'accès. Je me mît en route, faisant mon touriste, regardant chacune des rue, des ruelle, cherchant une cible, ce ne fût pas si facile, il y avait des gens presque partout et cela me dérangeait, ma main gauche posé sur la garde de mon katana me démangeait, j'avais envie de tuer et rapidement. Je pénétrait dans une ruelle, sombre, parfaite pour ce que je voulais faire. Je me posais contre un mur et attendis patiemment, je voulais une cible dont j'étais sur qu'elle me rapporterais. Un homme pauvre passa et me demanda de l'argent, mon regard froid et menaçant lui fît sans doute peur, il détala à l'autre bout de la ruelle et disparût dans un virage.

    Quelque minutes plus tard, une autre personne pénétra dans la ruelle, rien qu'à ses habits, je devinais immédiatement qu'elle était riche, lorsque cette personne passa devant moi je passais à l'action. D'un geste brusque je lui envoyer un coup de poing au visage, il ne l'esquiva pas, fût projeter sur le coter et se cogna contre le mur, avant qu'il ne puisse criait je lui en collait un deuxième en plein visage. Il s'effondra au sol et je l'étranglait méthodiquement, malgré le faite qu'il tenta de se débattre, je n'eut aucun problème. Il mourut en silence, sans que personne ne remarque la scène et je le trainé dans un coin afin de pouvoirs le fouiller. La fouille fût rapide, découvrant une bourse bien remplie qui suffirait largement pour le repas, je la fourrait dans ma poche, me relevais tranquillement avant de me remettre en route.

    Ma soif de mort apaisait, l'argent en poche, je me mît à la recherche du lieu de rendez-vous, il allait bientôt être l'heure convenue et pour une fois, je ne voulais pas être en retard, je trouvais facilement le bâtiment, immense, visible de loin, je remarquais un homme qui entra juste devant moi, il avait les cheveux noir mais resta a l'entré, comme si il cherchait quelque chose. Je passais à coter de lui, cherchant celui qui m'avais parler, je ne fît pas attention aux aquarium et remarquais presque immédiatement la silhouette de celui que je cherchais. Je m'approchais avant de dire en baillant.

    -Salut.
        Quelques minutes déjà, quelques minutes. Et merde, Ajito devait s'être perdu. Il semblait bien aimer la solitude, le premier sentiment qui m'envahit à l'idée de savoir que l'autre prendrait trop de temps, ou qu'il ne viendrait même pas, m'embêtait tout simplement. J'avais prévu quelques petites choses pour cette après-midi, dont le recrutement de deux nouveaux pirates. Leurs histoires m'ont été racontées, et je pense qu'ils sont parfaits pour me rejoindre, toit simplement. Être en présence de mon second m'aurait permis de mieux me faire respecter en tant que capitaine, mais peu importe. Le destin déciderait bien, il avait même déjà décidé. Mais peu importe, ce serait fait en fonction. Je me retourne, avance un peu dans le restaurant. Une atmosphère très tendue et très calme dans ce restaurant. Sûrement mes cheveux bleus, peut-être suis-je connu ? Non, je l'aurais su.

        Je n'ai plus qu'à attendre, assis sera mieux encore. Et là, je sens un frisson. Dans mon dos, quelqu'un me regarde. Quelqu'un sait que je dois le rencontrer, cette personne sera sûrement un de mes nakamas, et je me retourne. Je regarde dans le visage de celui qui s'est arrêté à l'entrée du restaurant. Dans son regard, une chose. De la détermination. Aucune hésitation dans ses buts, sûr de lui. Sa carrure était plutôt imposante aussi, j'espère qu'il ne voudra pas me buter... J'espère qu'il s'entendra bien avec nous. Et là, alors que j'allais me diriger vers ce nouveau venu, un autre s'approche de moi. Il arrive le plus simplement du monde, et me lance un bonjour des plus simples. Lui, il semble également sûr de lui. Mais dans un sentiment différent. Vrai, il a confiance en son destin, en ce qui va se passer. Il ira vite, et saura quoi faire. Parfaits, ils sont parfaits. Deux gars de la même trempe que moi, je sens de la puissance monter en moi, je sens mon aura de capitaine affluer. Je sens que j'ai maintenant l'air d'un capitaine.

        Et je décide de prendre les choses en main. Je parle d'une vois neutre, un ordre, sans en être un.

        -Hey les gars, je vous propose de venir vous assoir avec moi. J'ai de quoi nous payer un petit repas agréable. Pendant celui-ci, on pourra parler de nous, et de notre avenir.


        Simple, direct, en se retournant, sans attendant de réponse, je vais vers quelqu'un, lui commande une table, et va m'y installer. Je vais m'installer, et regarde les trois autres chaises de la table. Qui viendra ? Déjà, il n'y en aura que deux, mon second n'arrivera pas tout de suite. Occupons des deux nouveaux, et quand ils s'installeront, s'ils s'installent, que diront-ils ? Je n'attends plus qu'une chose, qu'ils parlent, qu'il osent venir à moi, pour qu'on forme un équipage soudé, pas formé que d'un capitaine et de ses membres. Mais plutôt de nakamas, qui s'amusent à tout détruire ensembles.

        Dernière pensée en moi. Ces gars-là, ils ont l'air fort. Et pas normaux. Faudrait déjà les calmer, les amuser. Leur montrer que nous, on est pas là pour rigoler. Réfléchissons déjà à un quelconque plan. Peut-être ce restaurant ? Ou les esclaves sur la place ? Ou encore ce marchand d'armes marines ? Ces trois chosees pourraient être très drôles, mais chacune à son ordre de dangerosité. Ils ne sont pas là pour mourir, mais le risque leur permettrait de bien s'amuser... Je leur proposerais ces trois choses, on verra bien. Laissons leur le choix.
        Alucard se trouvait dans le restaurant, juste après le seuil d’entrée de celui-ci. Les couleurs rayonnantes des poissons l’éblouissaient chaleureusement. Sa pupille était légèrement refermée, essayant tant bien que mal d’atténuer cet effet d’optique. Un homme passa soudainement devant lui, il ne fit pas attention à son identité ni à quoi il ressemblait. L’inconnu se déplaça directement vers son commanditaire et prit la parole. Ils semblaient déjà bien se connaitre, mais une chose le faisait doucement rire. L’aura de notre jeune pirate était supérieure à ses deux gaillards. Il savait pertinemment que son nouveau capitaine était l’un des deux, mais Al’ n’avait pas de mal à suivre des ordres. Bien au contraire s’était quelqu’un de loyale et très dévoué envers ses compatriotes. Soudainement son ventre se mit à gargouiller. Alucard mourait de faim, cela faisait bientôt plusieurs jours qu’il n’avait pas peu goûté à un plat chaud. Heureusement pour lui, il était actuellement dans l’endroit rêvé pour subvenir à se besoin. Les deux se mirent alors en marche pour rejoindre notre jeune pirate. L’un d’eux prit la parole et accueillit à bras ouverts notre jeune Al’. Il lui proposa d’aller prendre place pour se restaurer et de discuter entre nouveaux compagnons de bords. Al’ sourit et alla s’installer avec ses nakamas.

        Les minutes défilaient et Alucard commençait à s’impatienter. Les serveuses étaient toutes occupées par la foule qui occupait actuellement le restaurant. Al’ se leva alors d’un bout et siffla un grand coup. Un serveur affalé sur le comptoir s’empressa par la suite de le rejoindre. Il put enfin prendre commande et surtout un apéritif. Il prit tout d’abords un bon digestif pour se gargariser la bouche avant de commencer son festin. Il avait pris la super formule comprenant une entrée bien garnis, un repas chaud et un désert. La tablé s’était également empressée de faire par au serveur de leurs envies du jour. Alucard s’était rabattu sur un simple plateau de fruits de mer en entrée et une énorme escalope de viande comme plat de résistance. La faim lui tiraillait les entrailles. Plusieurs minutes passèrent avant que les convives soient enfin servis. Après quelques bouchées bien méritées, Al’ se pencha vers ses compagnons et entama la discussion
        .

        Je me nomme Yukiji Alucard, je suis un génie dans le domaine de la navigation. Certes je ne suis pas un excellent combattant, mais je me débrouille tout de même. Je suis ravi de pouvoir faire route avec vous. Mais je demandais quel était vos objectifs pour l’instant ?

        Al’ souria doucement et se remit à manger.

        hrp: désolé pas beaucoup d'inspiration sur ce coup.
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        L'endroit était plutôt pas mal, bien décoré, il semblait riche et surtout bien gardé, les garde m'ennuyais légèrement, ils allaient constituer une gène si jamais je voulais m'amuser avec quelqu'un, bien que je pouvais toujours faire souffrir une personne sans même la toucher grâce a mon fruit du démon. Ce même fruit qui m'empêchais de nager d'ailleurs ce qui était parfois gênant pour faire certaine chose. Je regardais la personne en face de moi, avec des cheveux bleu, il semblait assez fort et résistant, l'homme que j'avais dépassé juste avant lui ne bougeait pas, il semblait attendre quelque chose de précis mais cela ne m'intéressais pas. Il parla, nous invitant a le suivre jusqu'à une table, il parlait à moi et, sans aucun doute, à la personne derrière moi. Ayant plutôt faim, je le suivie, je n'allais pas laisser passer cette chance de manger quelque chose de bon alors que ce n'était pas moi qui allais payer, en plus, j'avais tuer une personne un peu plus tôt spécialement pour cette occasion. Je le suivis jusqu'à la table et m'installais, tranquillement près du mur, m'affalant contre celui-ci attendant qu'il parle, un serveur vînt prendre la commande. Viande et alcool allait être mon repas, du bœuf ainsi que du rhum, tout ce qu'il y avait de plus parfait, bien entendue je commandais une énorme pièce de bœuf et pour accompagner la viande, oui, il faut un accompagnement sinon ce n'est pas vraiment un repas, je commandais aussi des frites. Un repas consistant, bon et qui me donnerais des force pour la fin de la journée, cette fin de journée qui je sentais, aller être mouvementé.

        Enfin nous fument servis, chacun avec notre repas, je commençait à manger tranquillement attendant que quelqu'un parle, le repas était bon, ce restaurant méritait son renom, j'ouvris la bouteille d'alcool et commençait à boire au goulot, le goût de l'alcool et bien meilleurs lorsqu'il n'est pas rentré en contact avec le verre. Personne ne parler, et, au moment ou j'allais le faire le grand homme se présent. Ainsi, il s'appelait Alucard, un nom intéressant, il se présentait de lui même comme un génie mais, au moins il ne se présentait pas comme un professionnel du combat. Je décidais de me présentais à mon tour, après avoir bue une gorgée d'alcool, tranquillement, d'une voix plutôt monocorde annonçant simplement la stricte vérité.

        -Moi c'est Shippû Kurushimi, contrairement à lui, je ne suis pas spécialement intelligent, plutôt doué au combat, j'attends la suite tu veux quoi de moi.


        En effet, je ne savais toujours pas ce que cette homme aux cheveux bleu nous voulez, je ne me rappelez même plus de son nom ce qui n'était pas spécialement pratique pour parler, peut-être même qu'il ne me l'avais jamais donné je ne me souvenais plus. Je recommençais à manger tranquillement, attendant la suite.

            Il ne viendrait donc pas. Et sûrement serait-il retourné au bateau. Je pensais alors à Ajito, mais nous étions à table, et après quelques longes minutes d'attente nous fumes servis, enfin, grâce à celui que je nommerais maintenant Alucard. Je commandis de la viande, aussi, mais moins en masse. Je ne voulais pas que ça me tombe sur l'estomac, mais il fallait que je prenne quand même des forces. Je vais leur parler de mes petits plans... Mais d'abord, ils se présentent. Le premier, que je nommerais Alucard, semble plus fort que moi. Mais il a l'air totalement sincère quand il parla. Il demanda les objectifs de l'équipage. Lui, il se sentait déjà dedans. Un gars qui serait fort et loyal, jusqu'à la fin. Parfait. Le deuxième s'appelle Shippû. Doué aussi au combat. Il faudrait que celui-là soit charpentier, ce serait parfait pour l'équipage, mais bon.

            Je me tire de mes réflexions, ça va être à mon tour de parler, et c'est ce que je fais.

            -Okey les gars. Moi c'est Seiko Sanzashi. Les buts de l'équipage, y'en a pas beaucoup. Y'a une charte sur le bateau, mais le plus important pour nous, c'est de nous amuser en détruisant la marine, pour pouvoir enfin être libres sur ces mers. Pouvoir faire ce qu'on l'on veut, quand on veut. Je vous ai recruté, car j'ai entendu parler de vous. Paraît que vous aimez bien voir souffrir vos ennemis, et c'est ce que je veux que l'on voie de nous. Je veux qu'on aie peur de nous, et que nous devenions renommés mondialement.

            Je leur laisse un petit temps de réflexion, et recommence à parler. Je sens de l'excitation en moi monter. Ces gars, sont déjà prêt à faire tout. Tout, comprend au moins détruire quelques trucs. Et c'est ce qui va se passer.

            -On termine de manger, on paye, et après, j'ai plusieurs plans. Si vous voulez, sur la place, j'ai vu des esclaves, si on allait les libérer pour foutre la merde sur cette belle place ? Ou autre, on peut attaquer ce vendeur d'armes. Et prendre quelques trucs intéressant si on en voit. Ou dès maintenant, sortir sans payer, et dégommer ce restaurant. A vous de voir, je donnerais rarement des ordres, mais je voudrais qu'ils soient respectés. Sinon, feu vert pour tout détruire. Vous avez des préférences ? Sinon, y'a un autre gars qui devrait être avec nous pour le moment, mais je pense qu'il s'est égaré...

            Simple, direct. Je venais de parler beaucoup, mais je venais d'instaurer une grande base pour notre équipage. Cette première escapade entre nous signerait notre force de pouvoir aller de l'avant. J'entendis leurs réponses, et termina mon repas.
            Al' dégustait tranquillement son repas, tout en écoutant d'une oreille les dires de ses compagnons. Alucard se voyait déjà dans leur compartiment. S'était sa manière d'être ! Il était tout simplement loyale et dévoué. Personne ne pouvait lui reprocher d'être un traitre, car personne au monde ne pouvait l'égalé dans ses sentiments. Il était un monstre pour certains, alors que pour d'autres s'était un des meilleurs éléments à leur disposition. Les minutes passèrent rapidement et Al' prit longuement le temps de finir son repas. Il fallait manger sereinement pour pouvoir apprécier chaque bouchée. Ses deux nakamas faisaient de même et ils finirent quasiment en même temps leur dîner. Leur commandant qui semblait être un vrai chef jusqu'à la moelle. Ses plans étaient très simpliste et Al' le dévorait des yeux. Il était plus qu'impatient de quitter cet endroit pour mettre la ville à feu et à sang. Seiko proposa trois plans et Al' fit rapidement un plan globale de chaque une des actions. Il serait aisé dans tous les cas, d'obtenir gain de cause sur chaque escapade. En d'autre terme, à eut trois ils arriveraient à exécuter les trois plans avec brio. Il avait vu les esclaves sur la place et leur disposition, il connaissait l'emplacement de l'armurier, mais il ne désirait point détruire cet établissement. La beauté des aquariums ne devait en aucun cas être anéantie. Al' n'avait jamais vus plus beau spectacle marin depuis sa naissance, il s'opposerait donc à un affront contre celui-ci. On pourrait certes le traiter de fou pour cet élan de gentillesse, mais cela lui passerait largement au dessus. Il était certes loyale et dévoué, mais rien ne pouvait aller contre ses convictions. Un non, resterait négatif qu'importe la personne qui le pousse à transgresser ses principes. Ainsi le temps passa et Al' déposa une petite bourse sur la table. Puis il s'approcha de ses compagnons et leurs dit doucement.

            Je suis pour mettre la ville à feu et à sang ! Mais personne ne touche cet établissement sinon je le tue sur place ...


            Puis il se rassit et souria légèrement du coin des lèvres, avant de reprendre la parole en chuchotant.


            Je ne suis pas votre commandant, mais commencé par attaquer le marché d'esclave serait plus astucieux. Cet acte serait la flammèche qui met le feu à la poudre. Puis nous pourrions nous diriger vers le marchand à l'abri des regards grâce au chaos de la grande place. Puis la cerise sur la gâteau, nous n'aurions qu'à anéantir le plus de civils et autres bâtiments se trouvant dans notre angle de vision.

            Al' s'adossa contre le dossier de sa chaise et attendit la réponse de ses interlocuteurs. Il frémissait déjà d'impatience pour la suite des événements.
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            Je continuais de manger, ce qu'il proposer était intéressant, très intéressant, rien de tel qu'un digestif de ce genre pour passer une bonne journée, des gens aller souffrir, moi aussi, je sentais que j'allais apprécier cette journée jusqu'au bout. Je ne répondit pas, pesant le pour et le contre, si l'on commençait par détruire l'établissement puis allait libéré les esclave, se serait amusant, d'abord les gardes puis directement la marine. Oui, j'aimais faire souffrir mes ennemis, sur ce point Seiko était bien informé, après tout, même mon fruit du démon servait a faire souffrir les autres. Être connu ne m'intéressais pas vraiment, mais, tant que je pouvais m'amuser un maximum, cela me convenais parfaitement, bien sur, le meurtre attirait la justice et donc, pour finir, une prime ce qui faisait d'un homme quelqu'un de connu. Tout allais ensemble et cela ne me dérangeais pas, je finis de manger tranquillement comme si de rien était lorsque mon voisin parla. Il ne voulait pas détruire cette établissement pour une quelconque raison, sans doute appréciait-il le décore, je fini ma bouteille de rhum avant de m'étirer et de jeter l'argent que j'avais voler sur la table, il y avait largement de quoi payer ce que je venais de manger.

            Le plan de Alucard semblait astucieux, personnellement pour moi cela n'avais aucune importance, tant que je pouvais tuer quelqu'un, le faire souffrir jusqu'au bout sans aucune pitié cela me convenais. Je m'étirais, j'étais déjà prêt à l'action, paré a faire un massacre en compagnie de ce que la plupart des gens appel des nakamas. Je décidais d'intervenir dans la conversation afin de donner mon avis.

            -Aucune importance pour moi, tant que je peux m'amuser on peut détruire tout ce que vous voulez.

            Recevoir des ordres ne me dérangeais pas, tant que ceux-ci n'étais pas trop contraignant et permettez d'atteindre l'objectif que le capitaine venait de donner ce n'était même plus important, cette journée était décidément prometteuse, enfin, j'allais pouvoirs m'amuser, cette fois on serait plusieurs pour tout détruire, ceux qui allait m'aider semblait compétant et cela m'arrangeais, trainer des boulet au combat n'était jamais une partie de plaisir et ceux-ci mourraient vite.

            -Pour ce qui est de détruire, le vendeur d'arme doit bien avoir quelque réserve de poudre que l'ont pourraient faire exploser afin de faire plus de dégâts.
              Je les adore déjà. Ces deux-là, sont parfait. Plus parfaits que n'importe qui. Dans leurs esprits, ils n'ont même pas pensé à dire non aux objectifs, ils ont tout simplement les mêmes idées que moi. Ils veulent faire les mêmes choses, et c'est ce qui va vite nous pousser dans les hauteurs, pour faire de nous de très grands pirates. Parfait était vraiment le mot. On pouvait lire dans leur regard la même confiance que moi, la même détermination, et presque la même force. Ces deux gens, devant moi, seraient de très grands pirates, comme moi. Dehors, il fait un temps parfait. Pas trop lumineux, pas trop chaud, pas trop froid. Je pose ce que j'ai trouvé sur le pirate sur la table. Ensuite, nous continuons de manger, et à la fin du repas, les deux autres parlent et payent aussi leur repas.

              Le premier a parlé. Tout de suite, ce gars semble très intelligent. Il sait ce qu'il veut, il sait ce qu'il va faire. Il décida de dire qu'il ne voulait pas détruire cet établissement. Très bien, respectueux le gars, et intelligent. C'est bien qu'ils osent dire leurs avis, qu'ils ne restent pas confinés dans l'espace que je leur donne. Encore une fois, le même mot revient. Celui-là, est parfait. En plus, il s'est levé, ose faire. Il a également un plan. Et pas si bête, et plutôt amusant. Le restaurant, on ne s'en occupe pas. De toute façon, il est trop bien gardé. Et son plan, serait de d'abord s'occuper des esclaves, puis s'occuper du marchand.

              Et c'est là que l'idée sublime du deuxième apparaît. Bien vu, des explosifs, serait le meilleur moyen pour pouvoir ensuite s'enfuir en toute tranquillité de la place. Enfin, je veux dire par s'enfuir, partir après avoir détruit un bâtiment, et avoir libéré une quinzaine d'esclaves de la marine... Des anciens pirates sûrement. Libres à leur tour, s'ils réussissaient. Mais revenons sur ce deuxième, lui aussi intelligent avec son plan. Il semble un peu timbré, comme moi. Encore ce mot, parfait ! Ce gars aussi aime voir les gens souffrir. Ma façon préférée de tuer les gens, c'est de couper leur tête, car ils voient encore quelques secondes, et sentent leur tête tomber sur le sol. C'est prouvé, et ça doit être horrible...

              Je sens l'excitation monter en moi, ça va être un petit bain de sang, mêlé à la poudre, à l'explosion, et à l'amusement général. Je décide de prendre la parole.

              -Partons, et allons tout de suite sur la place, je vous donnerais mon plan là-bas, merci pour vos idées, on va faire ce que vous avez dis, on ne s'occupera pas de ce restaurant donc, on respecte la parole de chacun, mais les désirs aussi. Allons-y !

              Ils me suivirent. Arrivés sur la place, un bien joli spectacle s'offrit à nous. Maintenant que nous regardions la place, nous voyions un superbe parc, des fontaines, et tout le basard. Ma seule pensée, fut alors "Et bientôt ici, régnera le chaos, héhéhéhé." Je décide de dire le plan. Simple, et efficace, ce que nous avons prévu avant.

              -On va d'abord donc s'occuper des esclaves. Je propose que nous nous mettions dans la file des tués. Normalement, c'est le bourreau qui a les clés. Le gars sur l'estrade. Au moment venu, sur l'estrade, quelqu'un l'attaquera, et prendra les clés. Et là, on attaque, et on crée la cohue comme prévu. Ensuite, on se retrouve tous devant le magasin d'armes marines, et là, on verra bien ce qu'on fera, mais normalement on entre dans le bâtiment, on trouve les explosifs, tu t'en chargeras Shippû si tu veux bien, et on fait tout péter. Ensuite, on se barre. Je pense que ça va pour tout le monde. Alors pour moi, c'est partit !

              Et là j'avance. Je m'approche des gars qui vont monter sur l'estrade. J'entends des bousculements derrière moi. Sûrement mes deux compagnons. Où ont-ils fait un autre plan ? Je n'espère pas, à part s'il réussit. Enfin bon, que vont-ils faire ? Je monte sur l'estrade, et voit devant une bonne centaine de personnes. Bientôt, ce sera le carnage, bientôt...
                Je me levais lentement et suivi l'homme au cheveux bleu, Seiko, celui qui venait de me recruter dans son équipage, je le suivis à l'extérieur allant sur la place, à l'endroit ou était les esclave. J'écoutais tranquillement ce qui était prévue, oui, le plan m'allais très bien, il y avait un peu de tout au programme ce qui m'arrangeais parfaitement et j'allais pouvoirs faire souffrir des gens. Un sourire mauvais apparue sur mon visage, de mauvaise augure, s'étirant lentement au fur et à mesure que j'écoutais le plan. Je répondis directement, on me réservais une place de choix au milieu des explosif qui permettront de raser le bâtiment.

                -Sa me va parfaitement captaine.

                Le mot captaine était ironique, non, je ne considérais pas encore réellement cette homme comme mon capitaine, pour le moment il me permettais simplement de m'amuser et de passer le temps en faisant des choses intéressantes. Je me positionnais juste devant Seiko, histoire d'avoir l'honneur de tuer le bourreau, oui, j'allais m'amuser, faire exploser la souffrance, lentement mais surement, sans aucune pitié comme à mon habitude. Je montais sur l'estrade suivit de mon capitaine, devant des centaine de personne, d'ailleurs absolument personne n'avait remarquais que j'étais armé et que mes mains n'étaient pas attaché ce qui m'arrangeais beaucoup, il faut dire que personne ne devait s'attendre à ce que des gens se faufile dans la queue afin d'être tué.

                L'homme devant moi s'agenouilla, le bourreau qui était quelqu'un de plutôt grand et qui semblais fort leva lentement sa hache, je ne comprenais jamais pourquoi les esclave ne tentaient pas de fuir au lieu de se laisser tranquillement couper la tête, je regardais le bourreau, souriant, contrairement à tout les condamnés. Juste avant que la hache ne se baisse brusquement se qui couperais au passage la tête de l'homme condamné j'utilisai le pouvoir que j'avais reçu grâce à mon fruit du démon.

                kin'niku
                kossetsu

                La douleurs apparu, d'un seul coup, comme prévue, j'avais l'impression que mon poignet droit ainsi que le biceps, le bourreau ressenti la même chose, il lâcha un crie de douleur lâchant par la même occasion la hache qui tomba sur son pied. D'un geste vif de la main gauche, je dégainais mon katana est bondit sur lui, ma lame fendit l'air et le bourreau se protégea grâce a son bras gauche, réflexe qui lui sauva la vie puisque ma lame dérapa sur l'os avant de ressortir, un morceau de chair tomba sur le sol, long de 10 cm et le sang gicla. Tournant sur moi même, je lui enfonçait ma lame dans le ventre avant de faire disparaître la souffrance. L'homme s'écroula dans un hoquet de surprise, il tenta de se relever et, plantant a nouveau mon sabre dans son ventre, je l'éventrais lentement avant qu'il ne se relève. Je saisit rapidement les clef attaché a la ceinture de l'homme et les lançait à Seiko avant de plonger ma main droite dans la blessure saisissant les boyaux de l'homme avant de les sortir lentement du corps. Le sang coula, le bourreau lâcha un hoquet et s'évanouit, portant un boyau a ma bouche je croquais dedans avant de mâcher le morceau et de l'avaler, du sang coula a la commissure de mes lèvres tendit que je lâchais un soupire de contentement. Le gout était absolument sublime est c'est lorsque je croquais une deuxième fois que j'entendis les cries du publique. Je n'avais pas fait attention a eux trop concentrer sur ma victime puis sur mon repas. Quelques gardes arrivaient afin de m'arrêter, le premier grimpa et je le cueillis d'un coup de genoux en plein visage, la foule recula et je sautais en bas de l'estrade parant les coup que l'on me portait, utilisant mon pouvoirs, je désarmais un par un les garde. Le premier qui me fonça dessus poussa un crie et lâcha son arme, il ne renonça cependant pas tentant de me porter un coup au visage, j'esquivais habilement avant de lui plantais mon katana dans le corps et de le retirer rapidement, je me baissai brusquement annulant tout pouvoirs et dégainait ma dague afin de pouvoir me battre plus facilement.
                  Un long chemin se dressait devant moi. Il ne fut pas très long, mais quand j'arrivais sur l'estrade, je vis un grand nombre de personnes qui se dressaient devant moi. L'estrade devait être connue. Dans le ciel, on pouvait voir les nuages arriver. Il faisait beau il y a quelques temps, mais là, on pouvait sentir le vent. Le vent qui se rapprochait peu à peu, qui amenait avec lui un lot de problèmes. Mais il fallait plus s'occuper du moment présent, car l'autre, Shippû, semblait déjà partit au combat. Il se débrouillait bien, et avait bien en sa possession le pouvoir qu'on m'avait dit qu'il avait. M'enfin.

                  Moi aussi je devais bien faire quelque chose, Ship' venait de me lancer les clés, et semblait s'amuser à torturer tout le monde. Quel malade. Mais il se débrouille assez bien. Il est rapide aussi, et sait se servir de son katana. Arrêtons de rêver. Je prends les clés, et libère les anciens prisonniers. Sans aucun mot, ils comprendront, et certains s'enfuient déjà. Les autres comprennent. Les personnes qui les contrôlaient essayent de les arrêter. Je saute de l'estrade, et dans mon élan, je sors mes trois sabres, et frappe de toute mes forces chaque ennemi que je vois.

                  Un coup par-ci, un coup par-là. Quelques morts. La foule ne sait plus bien où aller, des cris se font entendre. Peu importe ce que font les autres, car maintenant mon objectif est accompli, les esclaves sont mêlés à la foule, ça, ce sera au moins quelque chose que j'aurais fait. Encore un coup de sabre. Cette personne m'avait bousculé. Je suis dans un accès de folie, je veux tout buter. Tout marchait parfaitement pour le moment. Je range mes armes et les essuye sur le corps que je viens de tuer. Je ne l'ai pas fait souffrir. On le voit sur son visage, qui se trouve un peu plus loin...

                  Maintenant, je cours, on entend l'alarme, la marine a été vite, il faut se dépêcher. La première vague de marines va arriver, ils ne seront pas forts, mais la deuxième ferait sûrement plus mal. Je cours. Je n'ai pas le choix, avec mes fils j'écarte les gens de mon chemin. Pratique ce pouvoir quand même. Et je cours encore. J'arrive au magasin. J'entends du bruit dans le magasin. Je suis au bon endroit, mais Shippû n'est pas encore arrivé, ni Alucard. Je décide d'entrer. Quelqu'un est apeuré derrière le comptoir, je le prends par le cou.

                  Je l'amène sur la place, il n'ose même pas faire de résistance. Je lui dis tout simplement ces mots :

                  - Cours, va, et regarde cette cohue. Elle a été faite par moi, Seiko Sanzashi, et Shippû et Alucard, des pirates qui deviendront bientôt les maîtres de ce monde. Aie peur de nous, et fait transmettre nos noms, les Karu Shunjuu.

                  Je me sens bien, tel un maître, tel un tout puissant. Je me prendrais pour Dieu ? Héhéhé, et si j'étais Dieu ? Pourquoi pas, le destin m'aurait choisit... Je lâche l'homme, qui s'enfuit sans demander son reste. Je rentre dans le magasin et prépare les explosifs. Il y a des gardes sur la place, espérons que Shippû ou Alucard puisse passer. Mais de nombreux cris se font entendre, sûrement eux... Enfin bon. Les explosifs semblent être prêts. Ce n'est pas vraiment bien fait, mais il suffira de jeter une allumette sur cette languette.

                  Je sors, une silhouette s'approche.

                    Ma dague dans la main droite, mon katana dans la main gauche, c'est ainsi armé que je fît face au quelque garde, des gardes qui semblaient méfiant ce qui m'amusa beaucoup, le sang coulait lentement au bord de ma bouche, du sang qui ne m'appartenais pas. Je léchais la lame de mon katana et je remarquais un frisson de dégout parcourant les homme devant moi, l'un d'eux me sauta dessus, une attaque frontal si facile à esquiver, je fît un pas de coter et mon coude le cueillis en plein dans la figure, il tomba sur le sol et je lui plantais ma dague dans le dos, violemment, trois fois d'affiler. L'effet de la soude se rependit lentement dans le corps de la victime et celle-ci hurla de souffrance. Les brûlures interne n'étais jamais très agréable à subir, du moins pour le commun des mortel, de toute façon cette homme allait mourir très bientôt, vidé de son sang, tout comme le bourreau, à moins que quelqu'un lui vienne en aide bien entendue. Je bondis en arrière esquivant un coup qui m'étais destiné, je me cognais contre un autre garde qui tenta de me retenir mais, utilisant à nouveau mon fruit du démon, je lui donné l'impression d'avoir le bras brisé. Je failli lâcher ma dague en faisant cela, le garde lui me lâcha directement et je le transperçais avec mon katana d'un geste rapide et fluide. Je ne me préoccupais pas d'achever mes adversaire, il y avait des chance pour que ceux-ci meure et les tuer serait une perte de temps.

                    kizu


                    C'est la technique que j'utilisais sur celui qui allait m'attaquer, ainsi, il cru qu'il avait était transpercé, la sensation désagréable de perdre son sang, la douleurs du coup de katana, il s'immobilisa se palpant le corps, il ne comprenais rien, je ressentez exactement la même chose et cela étira mon sourire, j'y prenez plaisir, j'aimais cette souffrance, cette sensation si agréable, du moins pour moi. Je n'hésitais pas et lui tranchais la gorge, il mourut, montrant un visage étonné remplis d'incompréhension.

                    Je me mît à avancer, la foule était encore dense par endroit et mon katana, ainsi que ma dague n'hésitèrent pas, je tranchais la gorge d'une jeune femme qui s'écroula, puis je me mît à courir. Je voulais du sang, beaucoup de sang, encore et encore, remplir cette place de sang, que ce soit celui des civiles ou des marine ou bien encore des gardes. Un réflexe me sauva, je me baissai d'un seul coup tournoyant sur moi même évitant ainsi un coup de sabre qui m'aurais décapité et je fauchais les jambes aux alentour, les entaillant, légèrement mais suffisamment pour que les personne s'écroule. Je repéré ainsi celui qui m'avais attaquer, désormais à terre, il avait lâcher son arme et, ainsi, sans défense, il reçu ma propre lame en pleine tête ce qui le tua sur le coup.

                    Je me relavais souplement et couru jusqu'au magasin d'arme, oui, le lieu de rendez-vous, l'endroit ou je pourrai utiliser des explosifs pour tout faire sauter, un endroit très amusant, j'arrivais au moment ou mon capitaine ressortait pour une raison quelconque. Je le regardais, passais à coter de lui pénétrant ainsi dans le bâtiment, une pile d'explosif était déjà prête mais, j'avais d'autre projet, je fouillai un peu partout avant de repérer d'autre explosif, cela s'appelait de la dynamite, je prit 5 bâtons que j'accrochais rapidement à ma ceinture avant de fouiller le comptoir, ce n'était pas l'argent qui m'intéressais mais tout simplement un briquer., fouillant dans les tiroir, je fini par en dénicher un que je rangeais dans ma poche. Essuyant ma dague sur mes vêtement, je rangeais celle-ci dans son fourreau avant de regarder les armes, peut-être que au milieu de tout ce bazarre il y aurait quelque chose d'intéressant. Mon regard ce posa presque immédiatement sur un sabre, un peu plus grand que mon katana, possédant plusieurs dent revenant légèrement en arrière, une arme comme cela faisait beaucoup de dégât lors des blessure et celle-ci possédait un coté coupant, sans aucun dent, et l'autre coté, coupant lui aussi mais avec des dents revenant en arrière, parfaite, cette armes était génial. Je me mît sur la pointe des pied et décrochais l'arme de son support, elle était dans son fourreau avec le baudrier que j'accrochais dans mon dos. Souriant je lançais au capitaine sans même le regarder.

                    -Quand tu veux pour la suite.

                    La marine n'allait pas tarder, oui, sans doute était-elle juste devant mais cela ne m'importais pas, il y avait sans doute un accé au toit et je pensais passer par la pour la suite des événements.
                      Je l'entendis farfouiller un peu partout, il cherchait quelque chose. Je e me retournais pas, je regardais le désastre que nous venions de créer. La première vague de marines semblaient être à bout. Ce Shippû leur avait fait mal, et peut-être Alucard aussi... Peut-être était-il déjà dans le bateau, avec Ajito... Mais peu importe, je lance une petite phrase à Shippû :

                      -Ok, fais tout péter, je te fais confiance. Si tu vois Alucard dis lui que maintenant on se rejoint au bateau, et vite on a plus beaucoup de temps.

                      Et je sortis par l'avant. Lui était sûrement encore à ses petites affaires. Il sortirait par autre part. La place était maintenant presque vide, les civils s'étaient enfuis. La marine était donc en petit nombre maintenant. La seconde vague arriverait d'ici peu. Avec qui ? Avec quoi ? Espérons quelque chose de pas trop puissant, car sinon, moi, je serais mal. Je sens une menace venir du nord. Des marines, à coup sûr. Le vent venait aussi de là-bas, me signifiant qu'ils étaient bien accompagnés. Toute forme de vie sur la place dut se tourner vers cette ruelle, de laquelle sortit un grand nombre de soldats.

                      Même trop. Ma seule chance était de courir, et peut-être il n'y avait pas que de simples soldats... Espérons que l'explosion fasse diversion. Je sors mes katanas, avance, cours, me baisse, et frappe. Je tue un homme d'un coup de sabre bien placé. Enfin, en tout cas, il n'est peut-être pas mort, mais il ne survivra pas longtemps dans cet état... Personne d'autre n'ose s'interposer dans les trois marines qui sont restés debout. Je cours. Je n'ai plus de temps à perdre, même pas une seconde. En ce moment même, je pouvais sentir quelque chose d'assez bizarre. Le vent venait de changer. Mais pourquoi ?

                      Maintenant, le vent était de face. Un nouvel ennemi, pas comme les autres devait se trouver dans la ruelle que je voulais emprunter. Et espérons qu'il ne soit pas à mon bateau, s'il y touche, j'en ferais de la chair à saucisse. Si pas, il suffira que je cours. Mon honneur n'en sera pas moindre, j'aurais de toute façon sauvé ces esclaves. Cela me redonne du courage. Oui, je ne suis pas n'importe qui enfin. Ce n'est pas une personne dans mon chemin qui va m'embêter. Sur la place j'entends des bruits. Je les ai coursé. Ils ne sont pas trop loins, mais j'ai le temps d'un peu me reposer.

                      Je sors mes trois sabres. Un dans ma bouche, que je tiens fermement. Je sens de la force monter en moi... Si mon ennemi me voyait, il ne comprendrait pas pourquoi j'ai un sabre dans la bouche... Mais il comprendrait assez vite. Une petite pensée pour mes autres camarades. Où étaient-ils ? Espérons sain et saufs. En tout cas, moi, je le suis. Je marche, essayant d'être le plus calme et le plus sûr de moi possible. J'essaye que mon ennemi aie peur de moi juste en un regard. Sans savoir que je suis un tueur sanguinaire... Et il le saura bien assez tôt s'il veut se confronter à moi.

                      J'avance... J'arrive à la fin de la ruelle. Un petit claquement derrière moi. Mes poils s'hérissent. Il y avait donc bien quelqu'un. Je me retourne d'un demi-tour vif. Plus personne. Quoi ? Ai-je rêvé ? Non. Pas possible. Seul façon de savoir si je suis seul, parler. Il me répondra sûrement...

                      -Il y a un dicton sur les gens comme toi. "Il est triste de jouer à cache-cache dans ce monde où l'on devrait se serrer les uns contre les autres." Tu ne trouves pas que c'est vrai ?

                      Pas de réponse. Le gars n'est pas con. Il ne dévoilera pas sa position. Ça va être drôle alors. Je me prépare mentalement. Ça va chier. S'il croît qu'il peut me battre, mais gnumffff ?! C'était quoi ça. Je me retrouve à terre. Je ne l'ai pas vu venir. Un de ces CP9 qui maîtriserait la rapidité avancée ? Ils sauraient se téléporter ? Merde, je ne suis pas de face. En plus, je n'ai pas le temps de le voir pour l'analyser et voir si mon pouvoir sera efficace contre lui. Shit, je ne suis pas assez puissant, pas de taille. Va me falloir un autre plan. La fausse fuite... Oui. J'y pense tout de suite, c'est tellement évident qu'il croira que je ne le fais pas exprès, enfin, espérons.

                      Je cours, encore une fois, quelque chose s'approche de moi, quelque chose de pointu, je frappe avec mon katana qui était dans ma bouche. Le choc est rude, mais je tiens. Je peux voir son visage. Il ne porte pas d'uniforme. Mais à qui appartient-il ? Qui est-il ? Je le repousse par la force, mais je ne sais pas pourquoi, je ne continue pas le combat. Je suis désavantagé dans cette petite ruelle, il faut que je sorte. Je cours donc encore et toujours. Je vois la lumière, ne pas se déconcentrer. Je me retourne, sans avoir entendu de bruit, je me dis juste que s'il voulait m'attaquer, la fin de la ruelle serait parfaite.

                      Et oui, elle l'était, même par l'arrière. Je me prends un coup dans le dos, qui me fait m'affaler par terre. Dire que mes coéquipiers sont sûrement à une vingtaine de mètres. Je me relève. Je ne peux plus fuir, pour mon honneur. Cette fois-ci, je me retourne pour regarder vers l'arrière, vers la ruelle. Il n'est plus là. Mais qui est ce salopard ? Pas le temps de penser plus à ça, j'entends des trompettes de la marine, ils nous cherchent. Je n'ai plus beaucoup de temps.

                      Je cours vers le bateau, plus personne ne m'attaque ni me suis. Mais qui était-ce ? Arrivé au bateau, je crie l'ordre que l'on va partir. Je ne regarde pas beaucoup le bateau, ni qui s'y trouve, car je regarde celui qui vient de la ruelle que je viens d'emprunter. Je ne vois pas bien qui c'est ? Shippû ? Al' ? Un ennemi ? Il se rapproche. Ça va être serré pour le timing, mais j'entends du bruit sur le bateau, sûrement mon second qui doit préparer le bateau. Il avait vraiment rien foutu lui aujourd'hui...

                      Mais ce n'est pas le moment de penser à ça. Je me retourne, et voit enfin celui qui se déplace vers nous.
                        Je souris, c’était à moi de tout faire exploser, chose amusante, j’allais m’amuser, encore et encore, je sentais que la marine n’allait pas tarder mais pourtant je ne m’affolais pas, il n’y avait aucune raison de s’affoler, tout aller exploser, tout le monde allait mourir, sauf moi. Oui, je ne peux pas mourir, ceci est mon monde, je suis le centre de ce monde, son chef, son créateur, si je disparais le monde disparaîtra avec moi et lorsque quelqu’un meure, il doit s’agir de ma volonté sinon, l’auteur de ce crime mourra. Apparemment, d’après les ordres de mon capitaine, je devais prévenir cette Alucard que nous devions nous rendre au navire, le plus rapidement possible, en effet, pour un départ il vaut mieux le faire sans se faire tirer dessus.

                        Je regardais mon cap’taine sortir, il ne se retournait même pas pour vérifier que j’allais bien accomplir ces ordres, je regardais la mèche d’explosif et rangeais mes armes, je devais maintenant courir vite, j’avais en effet un plan pour mettre un peu plus de bordel dans cette ville mais, pour cela, il fallait que je passe par les toits. Je refermais la porte et la bloquais afin de retenir les marines a l’extérieur puis, avec mon briquet, j’allumais la mèche qui mettrait une bonne minute avant de tout faire exploser avant de courir vers l’arrière boutique, un escalier permettait de monter à l’étage et je l’emprunter en courant, le temps passait rapidement, il devait me rester à peine 40 secondes pour sortir de cette endroit sinon je mourrais, et le monde entier avec moi. Au deuxième étage, me situant juste en dessous du toit, je cherchais une trappe me permettant d’accéder à celui-ci, je n’en vit aucune ce qui me dérangea dans mon plan. Brisant une fenêtre d’un seul coup de pied, je passais par celle-ci afin d’accéder au toit, il était juste au dessus de moi, j’attrapais celui-ci et me pendit dans le vide, il ne restait que 25 secondes. J’entendis des coups contre la porte juste un peu en dessous de moi, les marines était la et, tirant sur mes bras, je montais lentement sur le toit, 15 secondes. Une détonation et une balle siffla juste à coté de moi, dans un effort extrême, de la sueur perlant sur mon front, je me hissais sur le toit avant de me mettre à courir, 5 secondes. Je courus, le plus vite que je pus et, arrivé au bord du toit, tout explosa.
                        Je sauter au même moment, réflex étrange, sentant une balle passer a coté de moi, j’entendis des crie puis, le silence, la chaleur et la souffrance. Projeté par le souffle de l’explosion, c’est sans doute grâce à un miracle que j’en réchappais et je ratterris brutalement contre une cheminé, sonné, plutôt bien secoué et l’avant bras droit avec la main ainsi qu’une partie de mes vêtements brûlé. J’éteignis précipitamment les quelque flammes qui se propageais en frappant dessus avant de sourire, la douleur était sublime mais malheureusement je n’avais pas le temps de l’apprécier. Saisissant péniblement un bâton de dynamite, je repris mon briquer, l’allumais et balançais la dynamite dans la cheminé, je courus à nouveau et, 20 secondes plus tard, j’entendis une nouvelle explosion et une nouvelle série de crie, distant, mes oreille était douloureuse, au bord de la faillite comme on pourrait dire. Un homme grimpa sur le toit devant moi, un marines, il n’était pas encore sur le toit et se tenait au bord de celui-ci en se hissant, je dégainais mon sabre denté et, en passant, lui portait un magnifique coup sur la tête, le sang gicla. Secouant mon sabre, je le rangeais tranquillement, avant de saisir un autre bâton de dynamite toujours de la main droite avant de l’allumer et de le lancer dans une autre cheminé, je continuais de courir sur les toits, une longue rue magnifique qui me permettait de longer la rue menant au port.

                        L’explosion retentis a nouveau, de nouveau crie, mes oreilles allait de mieux en mieux, afin de ralentir les marines qui semblait se précipité vers le port, je saisis un troisième bâton de dynamite et l’allumais tout en continuant à courir, je le gardais dans la main donnant l’impression au quelque spectateur que je comptais exploser avec, j’attendis que la mèche soit presque terminé avant de lancer le bâton dans la rue, pile sur le groupe de marines. A peine sur le sol, l’explosion retentit au milieu des cries de souffrance, des décombres gênant leurs progression à cette endroit, cela me donna une certaine longueur d’avance sur ce groupe. Un homme apparue sur le toit une trentaine de mètre devant moi et me visa avec un fusil, juste avant qu’il ne tire, je sauté sur le toit, en rouler boulet et tomber lamentablement dans la rue, une chut de 6 mètres de haut freiner par un linge étendue et qui se termina dans une charrette qui se brisa sur le coup. Je gémit de bonheur sous la souffrance qui se propageais dans mon corps, un homme apparue, un simple citoyen et me tendit la main afin de m’aider à me relever.

                        -ça va ?

                        Ce fût sa dernière phrase, je saisis mon katana, simple et, après mettre relevé le lui enfoncé dans le corps, il eut un hoquet de surprise et il s’effondra répandant son sang, alors qu’il tombait, je lui répondis avec un sourire.

                        -ça va très bien merci.

                        Je me remis à courir en secouant mon katana, l’homme sur le toit réapparue en me visant, rengainant mon katana, je prit un bâton de dynamite et l’allumais avant de le lancer dans une fenêtre la brisant sur le coup, il tira et me loupa de peu, heureusement pour moi, j’accélérais et entendit l’explosion, tout trembla et l’homme tomba du toit sous les secousses. Saisissant mon dernier explosif, je l’allumais et le jetais derrière moi, je devais maintenant rejoindre le navire le plus rapidement possible. Tournant dans la première ruelle que je vis, je courus comme un dérater, un civil passa devant moi et j’utilisais mon sabre pour le transperçais, en retirant ma lame, les boyaux suivirent, retenue par les dents recourbé de la lame, un spectacle magnifique, coupant un boyau, je le gardais dans la main droite que j’avais de plus en plus de mal à fermer, je croquais dedans avec un grand sourire, le sang coulant sur mon mentons.

                        Enfin j’étais en vue du port, avec le navire que je devais rejoindre sauf que je ne savais pas lequel c’était, chose problématique d’après moi mais je ferais avec, j’avais toujours agis sans rien prévoir ou presque et je ne voulais surtout pas changer de méthode, de toute façon j’oubliais toujours mes plan ou alors rien ne se passait comme prévue. J’arrêtais de courir et aperçue le cap’taine me dirigeant tranquillement vers lui.

                        -Ayez près a partir.
                          Au moment où Shippu annonça qu'il était préparé à son capitaine, ils entendirent un cri.
                          Plutôt, un appel à l'aide. Le son trahissait une peur extrême, la terreur que ressent un homme à l'approche de la mort.
                          De la ruelle où était passé Seiko, un homme surgit dos au navire, en rampant sur le sol comme un cloporte. Il passait sa main sur le visage comme pour se protéger de quelque chose qui s'approchait de lui à pas lents et assurés. Comme si cet individu sentait la Faucheuse elle-même venir la chercher...

                          Cette Faucheuse était Zero.
                          Il était là, impassible, avançant petit à petit vers cet homme qui était horrifié de ses yeux qui trahissaient une profonde et froide détermination à tuer. Il n'avait aucune arme, juste ses poings serrés. Il jeta un coup d'oeil rapide au bateau avant de revenir sur sa cible.


                          "Bien, bien, bien. Je hais les petits merdeux dans ton genre qui veulent faire leur intéressant, tu voulais j'imagine le capturer pour contenter ta pitoyable vie ?"

                          Sans réponses, le fuyard se releva et sortit deux dagues de ses poches. Il savait qu'il n'avait plus aucune échappatoire pour s'enfuir que de tuer cet homme qui avait fait rater son plan... bordel, il avait eu l'effet de surprise pour capturer ce pirate, et il avait fallu que ce taré s'interpose et veuille le tuer ! Il n'avait jamais eu aussi peur de sa vie devant une telle aura !

                          "E-Enflure... je t'aurais avant que tu me butes !"
                          "J'ai peur. Tu as trois secondes."

                          Il plaça sa main gauche en face lui et leva trois doigts. Il commença lentement le compte à rebours avec un certain plaisir sadique. Son adversaire, tremblant de tout son corps, se mit en position d'attaque. Deux secondes restantes. Il prépara une de ses armes. Une seconde restante.

                          "Lightning Strike !"

                          Il hurla et en moins de temps qu'il n'en fut pour le dire, il avait planté dans la poitrine de Zero un couteau. Il poussa un grognement et resta immobile, mais la panique de son ennemi ne fit que s'agrandir lorsqu'il vit que son arme au lieu de transpercer totalement sa cible s'était arrêté à peine après avoir pénétré la peau.

                          "De quoi est-ce que tu es fait ?"
                          "T'auras le temps d'y réfléchir en enfer, petit con."

                          Sans rien dire, Zero se mit à étrangler le combattant, ce fameux personnage qui poursuivait Seiko depuis le début. Sa main serrait avec force sa gorge tandis que l'autre retenait le bras qui l'avait attaqué. Le chasseur ne put que commencer à s'agiter, bougeant ses jambes, essayant de sortir de la prise, en vain.
                          Il se passa une minute, deux au maximum, avant que la victime du cyborg laisse échapper un filet de bave et devienne inerte. Le prototype le laisse tomber au sol et s'approcha du bateau en s'allumant une cigarette. Il parla à voix haute à Seiko.


                          "Quel cloporte... j'imagine que c'était un chasseur de primes qui voulait des bons points auprès de la Marine, mais je l'ai arrêté et poursuivi jusqu'ici... il ne fera plus de mal à personne. J'ai observé ce que vous avez fait, culotté, mais efficace... assez pour attirer mon intérêt."

                          Il laissa échapper un filet de fumée avant de reprendre.

                          "Je n'ai pas de nom, mais je t'autorise à m'appeler Zero. Je te propose de me recruter comme membre de ton équipage, mes capacités de médeçin vous aideront et nous recherchons tous le même objectif, le Chaos. La Destinée, cette farceuse, nous a mis sur le même chemin pour une raison... accepte."

                          Ce n'était absolument pas une question, il savait que seuls ces mecs seraient capable de l'emmener à Grand Line et de l'aider à accomplir son objectif. Il irait avec eux, qu'ils hésitent ou non.
                            Al' était rester assez passif sur ce coup. Il était rare de le voir aussi calme et ses moments n'étaient pas à prendre à la légère. Il était sortit en même temps que ses deux compatriotes du restaurant, mais la rage et la haine ne l'animait point à cet instant précis. Shippû partit directement devant suivit de Seiko, Al' lui grimpa sur le toit afin d'admirer le futur spectacle. Sa veste posée sur son dos et le colle de sa chemise ouvert, il était assis et décontracter sur le toit du restaurant. Le vent soufflait doucement sur son visage et son cou, cela avait pour effet de lui rafraichir le corps sous cette chaleur étouffante. Son regard était perçant et concentré sur l'objectif tant attendu: la couleur du sang. Ship' fut le premier à le verser en découpant de part en part le bourreau se trouvant sur l'estrade. Mais il ne s'arrêta point là, il découpa de nombreuses personnes et à chaque fois elles avaient toutes le même regard d'incompréhension. Al' l'observait et le décortiquait fibre par fibre, morceau par morceau, cellule après cellule. Son pouvoir était vraiment terrifiant, enfin surtout pour Alucard. Il était non point terrifiant dans l'esprit de puissance, mais plus tôt dans celui de l'optique psychologique. Oui, car son pouvoir lui offrait la possibilité de faire croire à sa victime une blessure mortelle, alors que le coup ne parvenait que quelques minutes plus tard. Ses proies étaient donc toutes à chaque fois impuissantes devant de telles prouesses. Tortionnaire et cannibale cet individus était vraiment quelqu'un de mystérieux. Seiko quant à lui s'amusait avec son style de sabre à trois lames. Il n'avait pour l'instant dévoilé aucune capacité démoniaque, pourtant Al' était déjà au courant de son fruit du démon. Une aptitude qui lui permettait de créer des fil aussi tranchant qu'une lame de rasoir et qui pouvait manipuler les gens. Al' était donc entouré d'un cannibale et d'un marionnettiste. Une alarme résonna au loin, la marine entrait enfin sur le champ de bataille. Al' ne tarderait pas à passer à l'action. Puis soudainement il perdit de vue ses deux compagnons. Il eut beau chercher aux quatre coins de la place, rien à faire disparut ! Il se mit alors debout, et scruta du regard une dernière fois. Shippu était à nouveau dans les parages et il put voir Seiko se diriger vers le port. Pas besoin de parole dans de pareil circonstance, l'objectif était simpliste: Direction le port ! On se casse de là !

                            Al' descendit de sa position, faisant tomber avec lui quelques tuiles du bâtiment. Plusieurs bleu de la marine était déjà au sol et ses deux compères avaient déjà pris la route vers leur embarcation. La deuxième vague était en train de prendre position sur la grande place, Al' se dirigea alors vers le magasin d'armes. Il y prit de nombreux couteaux et du fil d'acier. Quand il émergea de celui-ci, deux marines se trouvaient en son front. L'un d'eux prit directement la mouche et l'autre resta sur place tremblant de tous ses membres. Ses tremblements finirent alors par s'arrêter lorsque Alucard retira sa lame de son front. La cavalerie était en route, il ne pouvait pas partir en direction du bateau, car il conduirait la marine à leur embarcation. Il devait rester sur place et en massacré le plus possible. Il retourna alors vite à l'intérieur de l'armurie et se saisit d'une bombe à fumigène. Puis il prit la poudre d'escampette, direction les ruelles de la ville. Les marines étaient à ses trousses, ce qui donnait du baume au cœur. Il souriait doucement des bouts des lèvres et attendait patiemment le moment où il croiserait le chemin d'une de ses vermines. Aussi vite dis que fait ! Au coin d'une ruelle, il tomba directement nez à nez avec un marine. Al' ne chercha pas très longtemps et planta directement dans le plexus de celui-ci l'un de ses couteaux. Il ne lui en restait plus que neuf. Chemin après chemin, ruelle après ruelle, le nombre de ses victimes augmentait et le nombre de ses armes s'estompait. Il ne lui restait que deux pauvres couteaux, du fil d'acier et une bombe fumigène. Puis à l'embouchure d'un coin sombre de la ville, Al' tomba sur un peloton de marins. Il pouvait, à vue d'œil, en compter une bonne dizaine. Il ne pouvait plus faire marche arrière, le temps lui était à présent compter. Les autres étaient surement déjà arrivé au bateau. Il devait de ce faite se dépêcher au risque qu'ils ne partent sans lui. Les soldats dégainèrent tous leurs épées et se jetèrent sur Alucard. Al' prit alors ses deux derniers couteaux et les lança sur ses deux premiers ennemis. La précision de son lancer fut chirurgicale, car les deux lames vinrent finir leur course dans le cœur des deux soldats. Puis d'un mouvement de poignet et une rotation rapide, Al' fit tournoyer ses lames pour qu'elles lassèrent la gorge de deux autres ennemis. Le fil d'acier était une bonne astuce pour ne pas gâcher ses dernières munitions. Les soldats commencèrent à reculer, jusqu'à qu'une voix puissante viennent les interpelés. A cet instant toute la troupe sauta sur Alucard. Il n'eut d'autre choix que de lancer ses dernier couteaux et d'opter pour la fuite. Grâce à sa technique "Impulsion", il n'eut aucune difficulté à rejoindre l'entrée de l'embouchure. Deux autres victimes s'étaient rajoutées au compteur. Les quatre derniers marins sortirent quelques secondes plus tard de leur embuscade. Al' les attendaient sur le toit de l'édifice, ses pistolets en mains. Les quatre individus passèrent devant lui et furent directement accueillit par des tirs. Ils s'effondrèrent comme des mouches chacun touché de plusieurs balles dans le dos. Al' venait de se débarrasser du peloton de marin, mais il se demandait toujours à qui avait bien put appartenir cette voix.

                            Ainsi il partit de nouveau en direction du port de la ville. Hélas une gène était palpable, il se sentait observé. Soudainement le sol se déroba sous ses pieds et il tomba lourdement au sol. Les pieds prient dans un piège, il ne pouvait plus se mouvoir pour l'instant. Il se mit sur les fesses et dégaina son katana. Il coupa les liens qui l'attachait et écouta le vent. Un bruit aigu apparut et le seul réflexe qu'il eut, fut celui de se coucher. Un bruit sourd déchira alors le mur qui se trouvait à sa gauche et il vit un javelot le transpercer. Il se releva alors rapidement afin d'éviter une autre attaque. Un homme gisait debout de l'autre côté de la ruelle. Al' s'approcha de lui afin de voir son visage. Puis à bonne distance de l'homme, la seule chose qu'il remarqua fut son nombre de bras. L'individu était munis de six bras et quatre jambes. Al' n'avait pas le temps de jouer avec un membre d'élite de la marine. On les qualifiaient ainsi, car cette faction était garnie que d'utilisateur du fruit du démon. Al' rangea son arme dans son fourreau et d'un geste rapide fit imploser au sol sa bombe fumigène. Le marine ne vut pas le coup venir et se mis directement de dos pour voir surgir son adversaire par dessus lui et continuer à fuir en direction du port. Mais une anticipation mal exécutée pouvait être fatale. Alucard n'avait pas bougé de sa position, il porta alors un puissant coup à son adversaire. "Hammer Choc" son coup de poing surpuissant vint directement finir sa course dans la colonne vertébrale de son adversaire. L'individu s'écroula au sol avec plusieurs os fracturé. Paralyser par ce puissant choc, la marine gémissait au sol en essayant tant bien que mal de se relevé. Al' dégaina son arme et lui embrocha le cœur pour mettre fin à ses souffrances. Puis un bruit de pas attira son attention, un marine se trouvait à quelques mètres de là. "Impulsion", Alucard était déjà sur l'individu. Il le tenait fermement par la cou, le soulevant facilement du sol.


                            Je me nomme Yukiji Alucard ! Je suis l'un des visages de la mort ! Ces actes ont été commis par l'équipage du Karu Shunjuu, tâche de transmettre se message à tes supérieurs et de ne pas oublié notre nom ...

                            Il lâcha l'individu qui partit directement vers le centre de la ville. Al' arriva quelques minutes plus tard au port. Il fit un geste de la main à ses compères et embarqua à bords du navire.
                            • http://oprannexe.onepiece-forum.com/t773-yukiji-alucard-pride
                            • https://www.onepiece-requiem.net/t118-yukiji-alucard-une-vie-un-but-un-hommetermine
                            Enfin, Alucard était arrivé. Le vent commençait à augmenter d'intensité, comme s'il voulait porter les pirates vers l'avant. Comme si un accord avait été trouvé. Ces pirates s'enfuiraient, et deviendraient célèbres et puissant à travers le monde. Ils venaient de se faire connaître, et en voyant les traces de sang sur le corps de Yukiji, on pouvait comprendre qu'il s'était lui aussi amusé. C'était un joli carnage. Simple, mais efficace. Ils avaient fait ce qui était prévu, mais mes pensées y reviendront plus tard. Car là, ma seule pensée est tournée vers cet homme, qui vient de se prendre un couteau dans le corps, et qui, pourtant, ne simple qu'à peine égratigné.

                            Comment savait-il que nous voulions le chaos ? Cet homme, qui semblait se nommer Zero, en tout cas, sûrement un surnom, venait de mettre à terre le gars qui venait de me poursuivre. Il semblait plus que douer, lui aussi. Encore une fois, j'étais tombé sur quelqu'un de très fort. Peut-être un peu malade lui aussi... Quoi qu'il en soit, le physique de cet homme, si l'on pouvait le qualifier comme ça, m'étonnais. Je ne savais pas vraiment le qualifier sur son apparence. Aux premiers abords, ce gars semblait quand même avoir la même soif de tuer que tout l'équipage. Je m'étais décidé, je dirais oui.

                            Mais en attendant, pendant ces quelques secondes de pensées, Alucard était monté sur le bateau. Shippû était juste à côté de moi, et était prêt à partir. Je leur lance chacun un regard, qu'ils me rendent. Je pense qu'ils sont d'accord. Un de plus, un de moins... Et de toute façon, nous verrions bien de quel bois il est fait... C'est maintenant que je vais lui répondre. Je prends une voix à la fois de chef, mais en même temps, une voix calme. Il ne sera pas facile à dompter, lui. Un imprévisible. Ça peut toujours être pratique, surtout dans les combats. Ma décision est certaine maintenant.

                            -Ok. Je pense que notre équipage est d'accord de t'embarquer. J'espère qu'on pourra te faire confiance. Bienvenue à toi. Nous t'expliquerions plus en détail les idéaux et buts de notre équipage. Il faudra que tu nous dises le tiens, pour qu'on t'aide à l'accomplir. C'est notre seul objectif "sympa". Les autres, c'est surtout pour s'amuser, à notre sauce...

                            Un petit rire salace. Qui ne l'était pas tellement en fait. Juste, de quoi prendre confiance. Ils venaient tous de réagir à mes ordres, et ils les avaient fait. Cela me donna une confiance. Je savais qu'avec ces hommes, notre puissance pourrait faire plus que mal à cette marine qui à tous le pouvoir. Et également à tous ceux qui se mettront en travers de nous, ils en payeront le prix fort, leur vie. Nous n'aurons sûrement pas d'alliés. J'avais déjà des plans, mais je leur dirais quand je serais sur le bateau. Mais pendant ce temps là, un petit feu s'était déclaré dans la ville.

                            Cela avait retardé les marines, mais cette fois-ci, ils arrivaient. Le port était grand, mais il fallait quand même partir tout de suite pour être sur de n'avoir aucun dégats. Je lançais un petit "Tous a bord, je vous explique nos nouveaux plans sur le bateau !" et tout le monde embarqua. Nous n'avions pas encore de grands rôles respectifs sur le bateau, mais presque tout le monde prit une place, et le bateau commença à avancer. Tout doucement au début, mais après quelques minutes, nous pouvions voir le port se défiler, et quelques marines tirant en notre direction. Un navire marine fut apprêté, mais finalement, personne ne nous suivit.

                            Nous étions déjà trop loin. La vitesse de croisière atteinte, tout le monde entra dans la petite cabine du bateau. Un tout petit bateau volé il n'y a pas longtemps... Il en faudrait un meilleur. Personne ne parlait, et c'était à moi de parler. Maintenant, le plan.

                            -Bien joué les gars, je suis fier de vous. Je pense qu'on va pouvoir faire de grandes chose.
                            Temps d'arrêt.

                            -Je vous fait un topo de la suite. On va aller sur East Blue, j'ai entendu dire que là-bas, y'aurait un bateau qui aurait un log pose intégré dedans, et qui serait assez solide pour allez sur Grand Line. Je pense que nous sommes tous pressés d'y aller. Ensuite, j'ai pensé qu'après avoir fait quelques sorties comme ça, on pourrait tuer des pirates pour devenir alliés de la marine. Nous serions des capitaines corsaires. Et à partir de là, nous pourrons faire un coup d'état sur la marine. Qu'en dites-vous ? J'aimerais que chacun me dise s'il est d'accord, et s'il y a des objections, n'hésitez pas. Alors, qui est partant ?

                            [Hrp = C'était mon dernier post, vous aussi faites s'en un. Le prochain se fait à East Blue, et l'ordre sera comme d'habitude. On va voir pour Ajito qui est toujours pas revenu... Mais pour l'instant, on s'en occupe pas. Je rappelle ça dans la fiche de notre équipage sinon. Je commence celui à East Blue quand on a finit celui-ci.]
                              Un homme pour le moins étrange était là, il se proposait pour rejoindre l’équipage ce qui m’importait peu, tant que je pouvais tuer et m’amuser cela ne me dérangeais pas et ci cette homme voulait m’empêcher de faire ce que je voulais, je le tuerais, lentement, quelque soit sa force. Peut m’importait qui nous accompagner tant que l’équipage gardait ce but qui était vraiment parfait et le regard que je jetais à mon capitaine le lui fît comprendre immédiatement. A la suite de Alucard qui ne semblait pas être blessé je montais dans le navire, il était plutôt petit mais de toute façon l’équipage était encore restreint. Regardant le pont j’allais à la proue en attendant que le navire quitte le port, je n’avais aucune compétence particulière dans tout ce qui concernait la navigation je laissais donc les autre membres de l’équipage. C’est donc comme cela que nous quittâmes le port, des marines nous tirèrent dessus, aucune balle ne nous touchèrent, peut-être qu’un navire de la marine aller nous poursuivre mais je m’en fichais, il suffirait de le détruire pour être tranquille.

                              Je m’étirais et j’entendis des craquements ressentant une certaine douleur dans tout mon corps, les effets de la chute que je n’avais pas sentit sous le feu de l’action refaisait maintenant surface et me firent sourirent, qu’elle effet agréable d’avoir mal partout dans son corps tout sa en ayant tué des gens. Je me dirigeais vers la cabine avant de pénétrer à l’intérieur, elle était plutôt petite mais maintenant tout l’équipage était réuni. Le capitaine commença à parler et je restais silencieux, Grand line, un endroit dangereux qui serait sans aucun doute amusant à visiter, cela m’allais parfaitement et lorsque qu’il finit de parler je répondis immédiatement.

                              -Moi je suis partant, tant que tu me laisse m’amuser.

                              N’ayant plus rien à dire, la discussion étant close, sans écouter les autres, j’ouvris à nouveau la porte avant d’aller jusqu’à la proue, le vent souffler sur mon visage faisant voler mes cheveux et je finis par m’allonger avant de fermer les yeux et de m’endormir brusquement malgré la douleur.
                                Il était parfait !
                                Ils étaient parfaits. Il le savait, il l'avait su dès le premier regard qu'il avait posé sur eux, le moment où ils avaient foutu le bordel lorsque le bourreau allait décapiter ses esclaves. Chier sur l'ordre établi pour le seul plaisir de l'ordre établi, c'était à des années lumières de l'hypocrisie puante dans laquelle s'empêtrait l'humanité. Cet équipage, ces pirates de grand chemin, en plus avaient un QI relativement élevé. Ce capitaine avait déjà prévu le long terme, il avait un plan. Il l'écouta avec attention. Un bateau. East Blue. Log Pose. Grand Line... il fronça les sourcils, se pourrait-il que ce bateau soit le Leviathan ? Peut-être... il se pourrait qu'il retrouve cet idéaliste de Ruken là-bas, pire, ce merdeux arrogant qu'était Hiro Shima. Il aurait l'occasion de rendre des comptes à coup de balles dans la tête. Une fois le bateau volé, ils iraient sur Grand Line afin de devenir des corsaires, et profiter de cette position pour déclencher un coup d'état.

                                Tiens tiens... il avait déjà entendu parler de ça, il y a très longtemps, il y a des dizaines d'années. Un homme avait fait le même projet complètement cinglé et était devenu une menace pour l'ordre du monde lui-même. Ha ! Il n'avait aucune idée de ce nom mais l'idée du chaos qui se propagerait sur la planète le fit sourire. Oui... ces sanguinaires seraient d'excellents partenaires à sa cause. Le moyen pour lui d'accéder à l'homme qui lui avait volé sa vie, son avenir, sa destinée, son existence. Il tuerait Vegapunk et cet équipage sera celui qui l'amènera à lui. Il redressa ses lunettes et sentit le picotement du glaive dans son torse devenir vraiment lourdingue. Il l'arracha, du sang coulait de la blessure, et le jeta par terre en un geste fluide. Il prit une chaise, s'assit et lança juste un :


                                « Ca me va... à la condition que vous m'obteniez un équipement de médecin. Mon scalpel seul ne suffira pas. »

                                Pas que le sort de ces nakama l'intéressait. Il avait juste besoin d'eux, le temps qu'il arrive à son objectif final.
                                Il afficha un sourire mauvais sur son visage avant de s'installer confortablement, les mains derrière la nuque. Oui... les roues de son destin se mettaient en marche, et elles seraient impossible à stopper !
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