Gallena Scorone
 | Pseudonyme : Age: 18 Sexe : Femme Race : Humain Groupe : Marine (d'élite) But : Retrouver son grand frère, découvrir ce qui lui est arrivé pendant toutes ces années, Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Une "seconde paire de mains fantomatiques". A part augmenter son allonge d'un mètre, et sans doute être un peu plus costaudes et un peu moins douillettes ... ah, et pouvoir foutre des pains avec des mains invisibles, c'est le plus important ça. Équipement : Gants spéciaux (entre gants de boxes et poings américains, un peu) Codes du règlement : Parrain : Ivan De Cimitiero Ce compte est-il un DC ? : Non |
>> Physique & Psychologie
Elle est pleine d'enthousiasme, cette fille qui vient de débarquer, avec ses cheveux roses pointant un peu n'importe où. Coiffée à la garçonne, si on veut.
Lorsqu'elle ne crie pas de joie, ou ne boude pas, elle fredonne dans sa tête. Régulièrement, elle oublie qu'elle n'est pas seule, et tout le monde peut l'entendre "fredonner". L'existence des autres êtres humains et leur présence à ses côtés est un fait qu'elle a tendance à négliger. S'ils étaient si importants que ça, ils seraient plus intéressants que ça. C'est tout de même évident.
Elle peut être très affectueuse, et s'attacher à quelqu'un, s'y accrocher comme une mouette à son repas. Ou passer à côté de sa meilleure amie du moment sans la remarquer.
Elle est comme ça. Le monde devrait tourner autour d'elle, et si ce n'est pas le cas aujourd'hui, elle compte bien y remédier un jour.
En attendant, elle fait comme si, marchant la tête haute, toujours en forme. Plutôt grande, elle court bien plus souvent qu'elle ne se muscle les bras, et ça se voit. Lorsqu'elle se bagarre, ce sont les poings qui parlent, elle est impulsive et impatiente. Elle porte des gants spéciaux pour limiter les risques de blessure et mieux frapper ses adversaires, et les rouer de coups. Et d'un autre côté, elle se jette dans les pires situations, faisant fi de sa sécurité ou de celle des autres. Lorsqu'elle n'est pas absolument effrayée, elle charge. La stratégie, la prudence, la ruse, elle ne leur prête pas plus d'attention qu'au bon sens ou aux personnes autour d'elle.
Sa vie est simple, droite et sans détour, comme ses réflexions. Toujours aller de l'avant, peu importe ce qu'il se passe à droite, ce qu'il se passe à gauche.
On ne fait pas d'omelette sans casser des œufs, et si ces œufs étaient importants, ils ne se trouveraient pas là pour qu'elle les casse. La seule personne d'importance dans sa vie est son frère, son grand frère. Qui n'est plus là.
Elle porte généralement, pour ne pas dire toujours, des habits confortables, ne dérangeant pas ses mouvements. Et d'un autre côté, elle a accroché à ses oreilles deux gros anneaux, absolument pas raisonnables. Elle ne se résigne à les enlever que lorsque les choses deviennent sérieuses. Vraiment sérieux.
Sportive, heureuse, agile, rapide, généralement obéissante aux ordres, et même parfois intelligente, la rosée aux yeux violets. Mais également voire surtout fonceuse, bagarreuse, téméraire sans restriction, impulsive, dure à intimider et qui n'hésite presque jamais à affronter bien plus costaud qu'elle. Incapable de prendre soin d'autres qu'elle, ne poussant pas la réflexion bien loin avant de la jeter par la fenêtre et se mettre à courir.
N'est-ce pas déjà dit ? Elle s'attire des ennuis.
Réfléchir, c'est se fatiguer pour pas grand chose. Combattre, c'est se fatiguer bien plus. Mais là, c'est justifié.
>> Biographie
Dans une charmante chaumière vivaient ... non.
Il était une fois ... non plus.
Le saviez ... surtout pas.
Une personne au parcours aussi banal ne devrait pas poser de problème à décrire. Ou peut-être que le problème réside en ce manque d'événements. Dans cette banalité, justement.
Mais s'en plaindre ne mène nulle part, il faut faire du mieux avec le peu qui existe. Car, n'en déplaise à ceux qui s'en préoccupent, Gallena Scorone n'est pas sans passé. Elle existe aujourd'hui, et depuis plus de dix et huit années. Il s'est produit des choses en ces temps, évidemment. Des tas de choses.
Pour commencer, elle est née, sur une île de North Blue. Une certaine Inu Town, si vous en avez déjà entendu parler. Sûrement hein. Elle est quand même décemment peuplée. Son nom doit vous avoir frotté les oreilles un jour ou l'autre. Si ce n'est pas le cas, voici des détails sur le coin, inculte. Inu Town est une cité fondée en 1426 par le grand explorateur Val Buena, à la tête d'une expédition pour le roi du royaume perdu de Kalamar. Si ce nom ne vous évoque rien, il n'y a rien d'anormal, le royaume est perdu et son souvenir disparu. Hum, quoi ?
Ah mais, qui raconte ici ? Taisez-vous donc au lieu de dire des sottises. Béotien.
Gallena naquit donc à Inu Town et y grandit pendant des années. Elle n'a jamais fugué, n'a jamais fini perdue dans un puits, n'a jamais volé de mouton ou de pomme et jusqu'à ses quatorze ans, n'a jamais goûté l'alcool. L'alcool, source d'addiction, de déchéance, irresponsabilité incarnée et pourvoyeur d'un oubli bienheureux, quoique temporaire. Le rhum, bien sûr, la plus noble des boissons après toutes les autres boissons plus nobles et plus délicieux, qui nous mettent le palais en moi et précipitent nos papilles dans des sensations extatiques. L'alcool c'est l'éclate, et le rhum en est un des plus dignes représentant.
Comment ça, une tentative de gagner du temps ? Mais pas du tout voyons, l'alcool a son importance ici qu'il convient d'explorer avec la plus grande attention. Mais si mais si, très clairement ... bon bon d'accord, j'abrège.
En effet, Gallena avait quatorze ans lorsque son frère Acceril [Akeyrileu] en avait seize. Et lui, il buvait, tant et plus et si bien qu'à la fin il ne se souvenait plus de son prénom.
Gallena, elle, était encore une petite fille. Sage ? Non, pas sage. Son caractère n'a pas évolué en quatre ans. Elle était, est, butée, égoïste, cherchant la bagarre sans jamais envisager les risques encourus. Gallena, à cette époque, était une masse de longs cheveux roses, soit en train de se battre avec des jeunes de son âge, soit en train de se battre avec des jeunes plus âgés, ou plus jeunes. Pas qu'elle se battait tout le temps, il lui fallait parfois se reposer et puis il n'y avait pas toujours d'affrontement de rue. Mais lorsque les esprits commençaient à s'échauffer entre les gamins, Gallena ne tardait pas à se rappliquer.
Le reste du temps, la rosée accompagnait son frère. Elle le suivait partout où il allait. Sauf lorsqu'il y avait plus important ailleurs, bien sûr.
Mais il demeurait l'une de ses obsessions, l'un des piliers de sa vie. Leurs parents, boulangers sans histoires, ne méritaient même pas le temps de s'attarder sur eux. Alors que son frère, il était grand, il était beau, il était courageux, malin, rusé, il était son chevalier et elle était sa princesse. C'était ainsi qu'elle se voyait, en tout cas.
Une obsession peu saine, pour son esprit encore peu aguerri. Une obsession légèrement, puis de plus en plus dérangeante pour Acceril. Lequel finit, il y a deux ans, par prendre le large. Il voulait voir le monde, en découvrir les mystères et affronter les dangers de l'existence. Il s'embarqua sur un navire marchand avec la bénédiction de leurs parents et ce malgré les torrents de larmes et de cris de Gallena. Si elle avait su comment faire, elle n'aurait pas hésité à surjouer ou se mettre en danger pour le faire rester, mais elle n'était pas assez sournoise pour ça. Au lieu de ça, son frère parti, la jeune fille déprima sévérement.
Elle ne se battait plus, elle ne sortait plus, elle aidait ses parents à vendre le pain et eux se disaient qu'elle grandissait enfin.
Mais surtout, elle ne souriait plus. Et ça, pour Gallena, c'était vraiment inhabituel.
Mais sa déprime, basée sur une idéalisation obsessionnelle d'un frère, se guérit doucement. Les premiers signes de son rétablissement consistait en promenades, en ville, hors de la ville.
Et un jour, alors qu'elle se baladait, un bruit familier atteignit son oreille.
Des cris, des coups, des insultes.
Vaguement attirée par la cohue, elle obliqua dans la rue de droite, puis tourna à gauche. Une bagarre. Il y avait une bagarre. Elle sourit vaguement. Reprit sa marche, passant à côté des combattants, tous plus jeunes qu'elle, fredonnant un refrain qu'elle avait entendu un jour.
Et une pierre, petite, rien qu'un caillou, frappa son crâne.
Elle se retourna, portant la main sur l'emplacement endolori, qui ne manquerait pas de lui laisser une trace.
Elle baissa les yeux, regarda son autre main, nue. Ramena devant son visage la première. Les consulta toutes deux.
Un autre caillou l'atteignit.
Gallena chargea dans le tas.
Elle n'avait pas ses gants, elle n'avait pas enlevé ses anneaux, mais elle était plus grande, plus excitée et plus brutale que les autres. Enfin, c'est ce qu'elle aurait aimé dire. À la fin, elle avait mangé autant de pains qu'elle en avait distribué, peut-être plus. Mais elle riait, elle criait avec les autres. Et, le plus important, elle avait gagné.
Elle avait surmonté sa déprime, elle avait trouvé un nouveau but. Si son frère était parti, c'est qu'il en avait marre de veiller sur elle. Elle pouvait se défendre, mais elle ne pouvait pas se battre. Si elle s'améliorait ... si elle devenait forte, plus forte qu'Acceril, il n'aurait plus besoin de la protéger.
La cadette devait dépasser l’aîné, c'était évident.
Quelques jours plus tard, sans avoir suffisamment réfléchi, elle entrait au bureau de la marine pour s'y faire recruter.
Et dès qu'elle put, elle affronta les mois de tests pour intégrer la marine d'élite. Des mois qu'elle affronta par la seule force de sa volonté et ... honnêtement, la volonté ne suffit pas. Sa bonne forme physique n'avait pas tellement pâti de son manque de sport d'une certaine époque où sa vie n'avait plus de sens et que rien, non rien n'avait d'importance. Sa volonté de bourrique et son corps raisonnablement résistant, son habitude à prendre des coups et en recevoir, voilà ce qui l'aida à tenir. Donc la volonté joua, mais pas uniquement la volonté.
Gallena, la personne la plus importante de son monde, se sentait prête. Elle allait suivre les ordres, faire ce qu'on lui demandait. Elle avait signé pour les possibilités de voyage et de se battre et elle savait (ou pensait) qu'elle serait exaucée.
Et si elle devait trouver des informations sur le devenir d'Acceril, rétrogradé au rang de seconde personne la plus importante de son monde, pourquoi pas. Mais elle devait d'abord, avant tout, devenir plus forte. Encore plus forte.
Il était une fois ... non plus.
Le saviez ... surtout pas.
Une personne au parcours aussi banal ne devrait pas poser de problème à décrire. Ou peut-être que le problème réside en ce manque d'événements. Dans cette banalité, justement.
Mais s'en plaindre ne mène nulle part, il faut faire du mieux avec le peu qui existe. Car, n'en déplaise à ceux qui s'en préoccupent, Gallena Scorone n'est pas sans passé. Elle existe aujourd'hui, et depuis plus de dix et huit années. Il s'est produit des choses en ces temps, évidemment. Des tas de choses.
Pour commencer, elle est née, sur une île de North Blue. Une certaine Inu Town, si vous en avez déjà entendu parler. Sûrement hein. Elle est quand même décemment peuplée. Son nom doit vous avoir frotté les oreilles un jour ou l'autre. Si ce n'est pas le cas, voici des détails sur le coin, inculte. Inu Town est une cité fondée en 1426 par le grand explorateur Val Buena, à la tête d'une expédition pour le roi du royaume perdu de Kalamar. Si ce nom ne vous évoque rien, il n'y a rien d'anormal, le royaume est perdu et son souvenir disparu. Hum, quoi ?
Ah mais, qui raconte ici ? Taisez-vous donc au lieu de dire des sottises. Béotien.
Gallena naquit donc à Inu Town et y grandit pendant des années. Elle n'a jamais fugué, n'a jamais fini perdue dans un puits, n'a jamais volé de mouton ou de pomme et jusqu'à ses quatorze ans, n'a jamais goûté l'alcool. L'alcool, source d'addiction, de déchéance, irresponsabilité incarnée et pourvoyeur d'un oubli bienheureux, quoique temporaire. Le rhum, bien sûr, la plus noble des boissons après toutes les autres boissons plus nobles et plus délicieux, qui nous mettent le palais en moi et précipitent nos papilles dans des sensations extatiques. L'alcool c'est l'éclate, et le rhum en est un des plus dignes représentant.
Comment ça, une tentative de gagner du temps ? Mais pas du tout voyons, l'alcool a son importance ici qu'il convient d'explorer avec la plus grande attention. Mais si mais si, très clairement ... bon bon d'accord, j'abrège.
En effet, Gallena avait quatorze ans lorsque son frère Acceril [Akeyrileu] en avait seize. Et lui, il buvait, tant et plus et si bien qu'à la fin il ne se souvenait plus de son prénom.
Gallena, elle, était encore une petite fille. Sage ? Non, pas sage. Son caractère n'a pas évolué en quatre ans. Elle était, est, butée, égoïste, cherchant la bagarre sans jamais envisager les risques encourus. Gallena, à cette époque, était une masse de longs cheveux roses, soit en train de se battre avec des jeunes de son âge, soit en train de se battre avec des jeunes plus âgés, ou plus jeunes. Pas qu'elle se battait tout le temps, il lui fallait parfois se reposer et puis il n'y avait pas toujours d'affrontement de rue. Mais lorsque les esprits commençaient à s'échauffer entre les gamins, Gallena ne tardait pas à se rappliquer.
Le reste du temps, la rosée accompagnait son frère. Elle le suivait partout où il allait. Sauf lorsqu'il y avait plus important ailleurs, bien sûr.
Mais il demeurait l'une de ses obsessions, l'un des piliers de sa vie. Leurs parents, boulangers sans histoires, ne méritaient même pas le temps de s'attarder sur eux. Alors que son frère, il était grand, il était beau, il était courageux, malin, rusé, il était son chevalier et elle était sa princesse. C'était ainsi qu'elle se voyait, en tout cas.
Une obsession peu saine, pour son esprit encore peu aguerri. Une obsession légèrement, puis de plus en plus dérangeante pour Acceril. Lequel finit, il y a deux ans, par prendre le large. Il voulait voir le monde, en découvrir les mystères et affronter les dangers de l'existence. Il s'embarqua sur un navire marchand avec la bénédiction de leurs parents et ce malgré les torrents de larmes et de cris de Gallena. Si elle avait su comment faire, elle n'aurait pas hésité à surjouer ou se mettre en danger pour le faire rester, mais elle n'était pas assez sournoise pour ça. Au lieu de ça, son frère parti, la jeune fille déprima sévérement.
Elle ne se battait plus, elle ne sortait plus, elle aidait ses parents à vendre le pain et eux se disaient qu'elle grandissait enfin.
Mais surtout, elle ne souriait plus. Et ça, pour Gallena, c'était vraiment inhabituel.
Mais sa déprime, basée sur une idéalisation obsessionnelle d'un frère, se guérit doucement. Les premiers signes de son rétablissement consistait en promenades, en ville, hors de la ville.
Et un jour, alors qu'elle se baladait, un bruit familier atteignit son oreille.
Des cris, des coups, des insultes.
Vaguement attirée par la cohue, elle obliqua dans la rue de droite, puis tourna à gauche. Une bagarre. Il y avait une bagarre. Elle sourit vaguement. Reprit sa marche, passant à côté des combattants, tous plus jeunes qu'elle, fredonnant un refrain qu'elle avait entendu un jour.
Et une pierre, petite, rien qu'un caillou, frappa son crâne.
Elle se retourna, portant la main sur l'emplacement endolori, qui ne manquerait pas de lui laisser une trace.
Elle baissa les yeux, regarda son autre main, nue. Ramena devant son visage la première. Les consulta toutes deux.
Un autre caillou l'atteignit.
Gallena chargea dans le tas.
Elle n'avait pas ses gants, elle n'avait pas enlevé ses anneaux, mais elle était plus grande, plus excitée et plus brutale que les autres. Enfin, c'est ce qu'elle aurait aimé dire. À la fin, elle avait mangé autant de pains qu'elle en avait distribué, peut-être plus. Mais elle riait, elle criait avec les autres. Et, le plus important, elle avait gagné.
Elle avait surmonté sa déprime, elle avait trouvé un nouveau but. Si son frère était parti, c'est qu'il en avait marre de veiller sur elle. Elle pouvait se défendre, mais elle ne pouvait pas se battre. Si elle s'améliorait ... si elle devenait forte, plus forte qu'Acceril, il n'aurait plus besoin de la protéger.
La cadette devait dépasser l’aîné, c'était évident.
Quelques jours plus tard, sans avoir suffisamment réfléchi, elle entrait au bureau de la marine pour s'y faire recruter.
Et dès qu'elle put, elle affronta les mois de tests pour intégrer la marine d'élite. Des mois qu'elle affronta par la seule force de sa volonté et ... honnêtement, la volonté ne suffit pas. Sa bonne forme physique n'avait pas tellement pâti de son manque de sport d'une certaine époque où sa vie n'avait plus de sens et que rien, non rien n'avait d'importance. Sa volonté de bourrique et son corps raisonnablement résistant, son habitude à prendre des coups et en recevoir, voilà ce qui l'aida à tenir. Donc la volonté joua, mais pas uniquement la volonté.
Gallena, la personne la plus importante de son monde, se sentait prête. Elle allait suivre les ordres, faire ce qu'on lui demandait. Elle avait signé pour les possibilités de voyage et de se battre et elle savait (ou pensait) qu'elle serait exaucée.
Et si elle devait trouver des informations sur le devenir d'Acceril, rétrogradé au rang de seconde personne la plus importante de son monde, pourquoi pas. Mais elle devait d'abord, avant tout, devenir plus forte. Encore plus forte.
>> Test RP
Le Test RP est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation une fois achevées les étapes précédentes. Faire un test RP avant cette intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________Informations IRL
Prénom : Si ça ne vous dérange pas, je préfère le garder pour moi.
Age : 21
Aime : Nourriture, Lecture, Jeux, Dormir, et bien d'autres choses encore.
N'aime pas : Fausse nourriture pas bonne et le poisson et les fruits de mers et tout ce qu'est pas bon à manger de mon point de vue personnel et vachement important pour moi.
Personnage préféré de One Piece : Après bien des hésitations, Karoo remporte la place.
Caractère : Mou. Non, enfin, ça se dit pas. Souvent de bonne humeur (ou plutôt, elle remonte facilement), avec l'attention et la concentration d'un ... oh ça brille là-bas au loin allons voir vite ! Je parle beaucoup, même si je peux aussi être très calme. Ça, c'est pas moi qui décide, c'est mes humeurs. Mais je reste constant, et si jamais je dois un jour arrêter quelque chose, je préviens les concernés. C'est la moindre des choses.
Fait du RP depuis : Depuis au moins des années. Une dizaine, je dirais. Depuis trois ans, surtout du jdr par forum, mais ne vous y trompez pas, le roleplay est fort en ces lieux.
Disponibilité approximative : Excepté événements indépendants de ma volonté et vacances, à peu près tous les jours.
Comment avez-vous connu le forum ? Longue discussion avec Ivanses camarades De Cimitiero IRL, qui m'a donné envie de jeter un œil. Un mois plus tard, ayant le temps libre nécessaire pour envisager d'en passer à créer un personnage et une idée en tête, me voilà. C'est souvent plus prenant le temps de se lancer qu'une fois parti, vous ne trouvez pas ? Le temps de régler tous les détails, est-ce qu'il a des lunettes, pourquoi mon personnage n'aime pas les chats, pourquoi utilise t-il un troupeau de hamsters pour se battre, ce genre de choses.
Prénom : Si ça ne vous dérange pas, je préfère le garder pour moi.
Age : 21
Aime : Nourriture, Lecture, Jeux, Dormir, et bien d'autres choses encore.
N'aime pas : Fausse nourriture pas bonne et le poisson et les fruits de mers et tout ce qu'est pas bon à manger de mon point de vue personnel et vachement important pour moi.
Personnage préféré de One Piece : Après bien des hésitations, Karoo remporte la place.
Caractère : Mou. Non, enfin, ça se dit pas. Souvent de bonne humeur (ou plutôt, elle remonte facilement), avec l'attention et la concentration d'un ... oh ça brille là-bas au loin allons voir vite ! Je parle beaucoup, même si je peux aussi être très calme. Ça, c'est pas moi qui décide, c'est mes humeurs. Mais je reste constant, et si jamais je dois un jour arrêter quelque chose, je préviens les concernés. C'est la moindre des choses.
Fait du RP depuis : Depuis au moins des années. Une dizaine, je dirais. Depuis trois ans, surtout du jdr par forum, mais ne vous y trompez pas, le roleplay est fort en ces lieux.
Disponibilité approximative : Excepté événements indépendants de ma volonté et vacances, à peu près tous les jours.
Comment avez-vous connu le forum ? Longue discussion avec Ivan
Dernière édition par Gallena Scorone le Dim 18 Jan 2015 - 19:58, édité 2 fois
