Mon cœur s'est arrêté la première fois que je t'ai aperçu. Au fond de moi, une criante vérité qui m'appelle comme l'océan. Parfois, j'aimerais comprendre pourquoi, je suis tombé amoureux de toi. Pourquoi toi, si inaccessible, à mes yeux. La bonté de ton âme interromps mes battements. Tu m'es destiné pour l'éternité et je saurais attendre ton retour dans la candeur paisible.
O combien, je voudrais rester auprès de toi pour toujours et à jamais.
Je suis tendresse à tes côtés, tu es caramel quand je frôle le souvenir de tes baisers. Chaque jour, je pense plus à toi, ton sourire aimant qui a le don d'éclaircir les parois de mon existence. Tu disperse mes doutes dans la nuit sombre. Tu es mon tout, mon soleil. J'aimerai prendre ta main et la serrer contre moi.
Déambulent au hasard dans le noir, dans mon cœur, dans la peur de ne plus te revoir. Je ne souffre que de ton absence, dans ce gouffre. Ce mélange de sentiments qui s'étend à l'infini. Je t'aime et rien ne m'empêchera de continuer à t'aimer, même si toi tu ne ressens rien pour moi, je continuerai inlassablement à être fou de toi.
Je t'aime avec tendresse et caramel ♥
Anatara
La solitude, c’est quand tu te tiens face à la mer un soir d’automne.
Plus rien ne te chagrine et plus rien ne t’étonne.
Je porte en moi des souffrances que je ne peux exprimer, le soupir de la créature asthénique lassée des incessants ressacs qui bombent le dos des surfaces blêmes.
Et si je parle aux nuages, je parle encore à moi-même.
Sursaut du cœur.
Malgré leurs sourires paresseux qui se prélassent dans la pénombre accablée, je ne peux me réconforter de ton absence.
Soulèvement de l’âme avide qui ne veut que trop persister dans une erreur fatidique et cherche un sens.
Pour mon malheur.
Et puisqu’il faut partir, tenons-nous par la main pour ne pas oublier ceux que tu as aimés, pars ! trouve ta liberté ! Vole à la recherche de l’idéal dans la richesse infinie des étoiles.
Mais le monde est si grand que je m’y suis perdue.
Mon corps se fige dans une étendue.
Mais qui que tu sois, ne m’entends-tu pas ?
N’entends-tu pas ma voix porter par-delà les rivières et les océans, voler voler au fil du vent ?
Parce que moi, je t’entends.
J’entends ton doux murmure effleurer mon visage, me frôler les sourcils parcourir le rivage ; je le sens accoster sur la rive endormie, chevaucher un bateau d’embruns et de mirages et sautiller sur la plage pour me rencontrer.
Je respire une odeur me murmurer des secrets, me chatouiller la nuque et frissonner sur mon front.
Vois, sens. Respire, entends. Parle, je t’attends.
Sous couvert de la nuit un déchu roi du ciel vers qui vont mes pensées.
Plus rien ne te chagrine et plus rien ne t’étonne.
Je porte en moi des souffrances que je ne peux exprimer, le soupir de la créature asthénique lassée des incessants ressacs qui bombent le dos des surfaces blêmes.
Et si je parle aux nuages, je parle encore à moi-même.
Sursaut du cœur.
Malgré leurs sourires paresseux qui se prélassent dans la pénombre accablée, je ne peux me réconforter de ton absence.
Soulèvement de l’âme avide qui ne veut que trop persister dans une erreur fatidique et cherche un sens.
Pour mon malheur.
Et puisqu’il faut partir, tenons-nous par la main pour ne pas oublier ceux que tu as aimés, pars ! trouve ta liberté ! Vole à la recherche de l’idéal dans la richesse infinie des étoiles.
Mais le monde est si grand que je m’y suis perdue.
Mon corps se fige dans une étendue.
Mais qui que tu sois, ne m’entends-tu pas ?
N’entends-tu pas ma voix porter par-delà les rivières et les océans, voler voler au fil du vent ?
Parce que moi, je t’entends.
J’entends ton doux murmure effleurer mon visage, me frôler les sourcils parcourir le rivage ; je le sens accoster sur la rive endormie, chevaucher un bateau d’embruns et de mirages et sautiller sur la plage pour me rencontrer.
Je respire une odeur me murmurer des secrets, me chatouiller la nuque et frissonner sur mon front.
Vois, sens. Respire, entends. Parle, je t’attends.
Sous couvert de la nuit un déchu roi du ciel vers qui vont mes pensées.
Alors que le vacarme de nos talons sur le macadam raisonne dans la nuit, alors il faut rattraper le temps perdu, le temps passé loin de l'un de l'autre. J'ai cet air un peu songeur, le visage engourdi par le froid. J'entends ta voix et le bruit de tes lèvres que je connais par cœur. Nos mots sont rares et le silence doux à une odeur d'amandes sucrées de nos haleines.
J'expire à raison et j'inspire enfin pour te parler de nous. Ta tendresse me manque, tu es resté, je suis parti, on a changé. On s'est construit chacun de notre côté et j'ose pas trop le dire mais souvent tu me manques. Je suis heureux de sentir le souffle de l'air qui se métamorphose en toi.
Tu me trouveras toujours dans ton sillon, dans les sales moments comme dans les bons. Et si le ciel s'écroule, si les continents plongent, je te suivrai même jusque dans tes songes. Tu me trouveras toujours dans ton sillage, dans les lignes droites et les virages.
J'aime toujours ce que tu es, en fait même plus qu'avant je crois maintenant que t'es plus là. Et plus y'a quelque chose de plus lumineux, de coloré, de plus vivant je trouve ça séduisant.
Tu seras toujours dans mon cœur.
Et comme le maudit Davy Jones, s'il faut passer dix années en mer et une journée sur la terre ferme, je passerai ce temps à tes côtés. Saches, mon amour pour toi est infini.
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