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La pêche au trésor


La pêche au trésor Terreu11


Poiscaille … Malgré le temps que j'ai vécu sur West Blue, je n'ai jamais mis les pieds sur cette île. Je sais qu'elle vit grâce aux poissons et leur commerce, qu'il y a une petite caserne de marins, mais c'est tout. Du coup, quand j'aperçois l'île, je ne sais pas trop quoi faire, ni où aller. Il y a un port, logique. Mais est-ce que je vais dedans ? On me reconnaîtra forcément. Est-ce que j'accoste près du port de la marine pour bien les narguer ? Est-ce que je vais me frotter à eux ? Non, c'est pas ça. La vraie question c'est, qu'est-ce que je fou de ma Terreur pendant le temps que je passe sur l'île ? Je vais pas me la trimballer partout à travers la forêt et tout. Mais je ne peux pas la laisser sur la mer ou elle va se faire emporter. Si je la pose sur la terre, quelqu'un risque de la trouver. Alors j'ai une idée sympatoche. L'infiltration discrète et subtile. Tout le contraire de moi quoi. J'suis un bourrin qui tape en fait, mais je peux jouer discret quand il le faut. Selon mon humeur. Enfin ... je peux essayer quoi. Mais si ! J'te dis que je peux. D'abord, tu la ferme espèce de sous-merde ! T'es enfermé, alors fais comme tout bon chien et à la niche où j'te castre !

Mmm, désolé, je parlais à l'autre faible de Clotho. Bon, je disais que j'avais trouvé un plan infaillible reposant sur la crainte que ma prime inspire. Il y a plein de bateaux en train de pêcher au loin, je me dirige vers eux. Forcément, on me voit arriver. J'accoste un bateau et saute à bord.

« Hey, tu te prends pour qui ?!
Pour le patron. »

Le soleil éclaire mon visage. Là, ils commencent à mettre un nom dessus. Ça se voit aux gouttes de sueur qui apparaissent sur leur visage et à leur recul.

« Rassurez-vous, si vous coopérez, tout se passera bien pour tout le monde. Aucune mort, aucune torture n'est nécessaire. Je vais même vous aider à pêcher. En échange, vous aurez la générosité de m'amener sur l'île, de me faire passer incognito, et de garder mon vaisseau à bord. J'ai des affaires à régler dans la forêt, puis je repasse chercher mon navire plus tard dans la journée. Pendant ce temps, vous n'aurez dit à personne que je suis sur l'île, vous n'aurez pas averti la marine et vous aurez caché mon vaisseau sur le vôtre. Si une seule de ces règles est brisée, j'anéantis la ville, vos familles et vous avec. Si vous avez compris, levez la main. Si vous acceptez, faites oui de la tête.  »

Tout le monde lève la main. Bien, tant mieux. C'est toujours dommage de commencer la journée par un massacre. Ils font également tous oui de la tête. Le capitaine ose ouvrir la bouche.

« Qu … Qu'est-ce qui nous garantit la vie ?
Rien. Rien du tout. Mais si je voulais vous tuer, ça serait déjà fait. Si je voulais vraiment aller sur l'île, j'y irai comme ça, au nez de la marine, et la massacrerai. Mais je perdrais du temps, ça alerterait le QG, et je perdrais encore plus de temps. Sans comptez que vous seriez responsables de toutes ces morts. Je vous propose un deal gagnant-gagnant. C'est pas à tout le monde que j'offre ça. J'vous conseille de le prendre avant que je coule le bateau et aille sur le suivant.
On … On accepte.
Bien. Alors, expliquez moi comment on  pêche.  »


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Dernière édition par Clotho le Dim 21 Aoû 2016 - 14:22, édité 1 fois
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J'ai été chasseur, marin, garde forestier, éleveur, gardien de bétail, vendu. Mais je n'ai jamais été pêcheur. Je sais vaguement qu'on doit balancer un fil avec un truc au bout pour attirer, et qu'on lève quand ça tire. Voilà à quoi se résument mes connaissances dans le domaine. Alors forcément, les pêcheurs habitués ont un peu envie de se foutre de moi quand je me retrouve emmêlé dans les filets. Pourquoi ils ne le font pas ? Mon regard méchant et la menace de mort qui plane au dessus d'eux les en dissuadent. Ils se mordent les lèvres, se retournent et toussent/s’étouffent, tout pour que je ne le remarque pas. J'ai envie de les tuer, simplement parce qu'il se moquent de moi. Mais je ne le fais pas car ils essaient de se retenir, et ça doit être dur, je le concède. Puis aussi parce que sinon je dois trouver un autre bateau et recommencer mes menaces, et j'ai la flemme. Quand le filet m'agace bien, après qu'on m'ait aidé pour en sortir, je grimpe sur le bord du bateau. Je pointe mes doigts vers la mer.

« Hasta la vista, connards. »

Et je lâche un déluge de balles de terre qui perforent tout ce qu'il y a en dessous. Les marins sursautent et se mettent à m hurler d'arrêter. Je les regarde surpris.

« Bah quoi ? Ça va plus vite.
Ça va pas malheureux ! Faut pas les faire saigner, sinon ça va attirer les prédateurs et tous les poissons vont partir ailleurs.
Ah … Alors si je les assomme sans les faire saigner, ça va ?
… … Heu … je suppose.
Parfait. »

Je garde la même technique, sauf que cette fois, ce sont des poings que j'envoie dans l'eau. Leur force est supérieure, mais ils perdent rapidement en vitesse. Au lieu d'exploser les poissons, ils les frappent, les mettent KO, et il suffit de ramasser ceux qui flottent. Je fais ça pendant dix minutes avant de devoir arrêter. La cause ? On est encerclé par des poissons flottants sur le côté. Les gars lancent le filet, et quand ils le remontent, ils ramènent des centaines de poissons. Je vous raconte pas comment ils sont content. D'un seul coup, je deviens leur meilleur pote et ils oublient que je pourrais les tuer en me curant le nez. En un sixième d'heure je viens de faire un boulot qui leur aurait pris des heures. Le gain de temps est donc énorme.

Ils sont surpris, mais me remercient. Le rafiot, de petite taille, se fait vite remplir de poiscaille. Les cales étant remplies plus qu'à ras bord, il est décidé de rentrer plus tôt que prévu. Je rappelle aux gars le marché avant qu'on arrive en vue de l'île. Ils me rassurent en disant qu'ils ne diront rien, mais que si je veux revenir demain recommencer, ya pas de problème. Je souris intérieurement car ils n'ont aucune idée de ce que j'ai prévu. Et ils ne le sauront que trop tard. Arrivé au port, on accoste. Le type s'occupant du retour des navires de poissons est surpris. Le capitaine lui raconte que la prise a été exceptionnelle dans son coin aujourd'hui. L'homme me voit et me pointe.

« Ah lui ? Un naufragé qu'on a recueillit. Son bateau a été pris dans une tempête, seul survivant. Je l'amène à la maison qu'il se restaure avant de rentrer chez lui. »

Le type ne pose pas plus de questions que ça. On décharge tout le poisson. Je fais un signe au capitaine pour signaler que je veux partir. Il m'accompagne donc, après s'être changé, pour rendre l'histoire crédible. On traverse une grande partie de la ville, et il m'amène au bord de la forêt. Je lui redis une nouvelle fois la menace qui plane si son équipage ou lui même parle, puis je le quitte et m'enfonce dans la forêt. Je regarde cette foutue carte. Un gros rocher rouge au milieu de la forêt, ça doit pas être dur à trouver.




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La forêt n'a rien de commun avec celles de Troop Erdu. Chez nous, ils faisait jour, même en plein milieu. Là, à peine dedans qu'il fait noir, sombre. Et ça ne s'arrange pas au fil de mes pas. Il y a beaucoup d'arbres. Tous très petits niveau diamètre, mais extrêmement haut, trop serrés d'après moi. Un arbre a besoin de place pour grandir, là ils sont les uns sur les autres, espacés d'à peine un mètre. Putain, plus j'avance et plus c'est pareil. Rien ne change dans le paysage. Après plusieurs dizaines de minutes de marche, le décor est toujours le même. J'en ai marre de cette merde. D'un coup de lame circulaire, je tranche quelques arbres qui tombent sur le sol. Bon, ça défoule un peu. J'peux pas y aller trop fort sinon je vais risquer d'attirer la marine. Maintenant, je comprends mieux la tête qu'on fait les hommes quand je leur ai dit vouloir aller dans la forêt.

Pas âme qui vive, pas d'animaux, peu de lumière naturelle, un paysage identique peu importe l'endroit et la distance parcourue, c'est pas folichon cette forêt. Mais du coup, ça fait une planque parfaite … Ça permet d'éviter les curieux et la marine au moins. Personne ne vient ici, pas même elle. Je garde ça dans un coin de ma tête tout en continuant mon exploration. Impossible de me guider au soleil pour connaître l'heure ou le temps depuis lequel je marche. Mais ça me semble faire des jours vu la répétition du paysage morose. Puis d'un seul coup, je vois un truc étrange devant. On dirait … de la lumière … et du vert ! Je presse un peu le pas et je tombe sur le cul. D'un seul coup, le décor change.

Les arbres sont verts, il y a quelques feuilles à hauteur d'homme, plus de lumière et une bonne odeur. On dirait presque une vraie forêt ordinaire. Pour le coup, je suis surpris. Je ne m'attendais vraiment pas à trouver ça ici. C'est presque … joli. Je cherche à savoir d'où vient la fragrance que j'hume. Malgré mes recherches, je ne trouve pas. Je vois un truc sur le sol que je ramasse. C'est gros comme une tête humaine, aussi lourd, et ça suinte. Un liquide visqueux sort du truc. Un fruit ? En tout cas, l'odeur est plus forte. J'approche mon nez et confirme que l'odeur vient de ça. Je passe mon doigt dedans. La texture est dégueulasse. Mais le goût est extra. Il y a de quoi faire des desserts avec ça.


D'un seul coup, j'entends un bruit bizarre. Ça bourdonne, ça grésille autour de moi. Un courant d'air me touche. C'est bizarre, car jusque là, je n'ai jamais senti d'air dans la forêt. Le bruit se rapproche. Je tourne sur moi même. En tombant face à face avec un truc auquel je ne m'attends pas, je hurle. Et je lâche le fruit qui s'écrase, giclant sur moi.




Une espèce de mouche me regarde de tous ces yeux. Mais une de la taille d'un humain. La machine fait plus d'un mètre de haut. Ils ont bouffé un truc mutant ou quoi ?! Elle me regarde, continue à battre des ailes, puis me fonce dessus. Je riposte en administrant un crochet qui l'envoie rouler bouler plus loin. Elle se relève, visiblement pas contente. Elle bat des ailes plus fort. Pourquoi ? Oh, bah tiens, j'ai ma réponse. C'est pour appeler des copines. Une dizaine de mouches géantes m'encercle, puis me fonce dessus. Je les accueille toute avec mes poings. En voilà d'autres qui rappliquent. Là, je me dis que le combat est pas forcément la meilleure des options qui s'offrent à moi.


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Je me transforme aussitôt en un tas de terre et j'avance comme je peux à travers les arbres. J'étends ma terre pour avoir une vision, puisque elle fonctionne comme un sonar. J'esquive donc les obstacles facilement et rapidement. Mais les insectes géants me poursuivent. Comment ? L'odeur. Je me suis fait giclé dessus par le jus. Si seulement c'était la première fois que je disais ça … Mais tout homme mentirai en disant le contraire. Les grosses mouches me suivent donc à la trace. Je tente bien de les semer en allant plus vite qu'elles, mais c'est qu'elles vont vite ces saloperies. Plus vite que moi en fait. Et elles sont assez vives pour éviter les arbres. Donc je me retrouve rapidement avec un essaim à mes fesses. Bon, bah plan L. L comme les lances que je crée et qui percutent violemment mes adversaires.

Cette fois, on dirait qu'elles ont compris et arrêtent de me poursuivre. Elles grimpent dans la cime des arbres, emmenant le raffut qu'elles font avec elles. Je suis enfin tranquille. Sauf que je ne sais pas du tout où je suis. Ayant fuit, je n'ai pas fait attention où j'allais et d'où je venais. Je suis toujours au centre de l'île vu la végétation. En temps normal, j'utiliserai le geppou pour grimper en haut et obtenir ma localisation. Mais vu que les bestioles dominent les hauteurs, je vais éviter. Alors je marche droit devant. Je cherche ma grosse pierre rouge verticale où est censé être enterré le dernier trésor des pirates. Après ce qui me semble être une heure de marche, je finit par trouver la roche. Je pose un genou sur le sol et frappe ce dernier en envoyant les ondes du hasshoken en mode sonar. Je sonde la zone autour de moi jusqu'à deux mètres de profondeur. Les voleurs n'ont pas pu cacher le trésor plus loin dans la terre, car déjà deux mètres, ça fait très long à creuser.

L'or ne se trouverait donc pas là ? Mais alors où ? J'examine les alentours, puis le caillou. Dessus, je finit par trouver un relief étrange, abîmé avec le temps mais qui attire quand même l'attention. J'utilise mon élément pour obtenir une empreinte. Il s'agit d'une flèche. Une direction à suivre sans doute. Hop, je reprends la marche en tenant compte de la gravure. Les pirates qui ont planqué l'argent ont du avoir du mal à le faire et penser que personne à part eux ne pourrait trouver leur or. Manque de pot pour eux, je suis balaise et j'ai un logia. Les mouches, si elles arrêtent 99,99% des gens, ne m'arrêtent pas et ne peuvent pas me blesser. La forêt ne m'effraie pas, l'appât du gain surpasse cette désagréable impression. Je tombe sur une autre pierre rouge de grosse taille. J'examine le minéral et trouve une flèche. Je la suis une nouvelle fois.

Le temps semble long. C'est répétitif. C'est pas marrant. C'est chiant de marcher dans cette forêt. Surtout que je me dirige maintenant vers la zone pas cool du tout, celle toute sombre, sans verdure, sans couleur, sans vie. J'avance, plus avec l'envie d'en finir qu'autre chose. Finalement, la chasse au trésor, c'est pas mon truc. Je préfère tabasser des gens et les voler que de devoir me casser le cul à chercher et réfléchir. C'est bien plus facile de prendre de l'argent sur quelqu'un de mort. Un nouveau caillou en vue. J'ai beau chercher partout, le recouvrir de terre, aucune flèche cette fois-ci. Serait-ce le dernier ? Hasshoken mode sonar. Je détecte quelque chose enfouit à un mètre. A l'aide d'un tekkaï partiel, je creuse le sol avec une facilité consternante. Je touche enfin ce qui ressembler à une boite en métal. Je la sors du sol, nettoie mes mains sur mes affaires et ouvre l'objet. Là, je découvre enfin le trésor pour qui j'ai fait tout ce chemin.

Moi qui m'attendais à un truc énorme, je suis carrément déçu. Remarque, vu la taille de la caisse, à savoir un attaché-caisse, j'aurais du m'en douter. La majorité du trésor a été retrouvé par la marine, ce qu'il manque est ridicule en comparaison. J'aurais du voler la famille carrément, j'aurais bien plus gagné de sous. Je ramasse mon butin, le mets dans mes poches, et quitte l'endroit, laissant le trou et la caisse tels quels. Je rebrousse chemin vers ce que j'espère être la sortie. La luminosité a bien diminué depuis que je suis arrivé sur l'île. La journée à donc du se voir réduite. Je traverse la zone pas agréable, et suis pas spécialement enchanté de ma trouvaille. Elle me laisse carrément un goût amer. J'ai besoin de me détendre. Et comment je vais faire ? Je vais me défouler. Je vous laisse deviner où. Ouaip, la caserne de la marine.

Je ne comptais pas forcément la raser, mais là … c'est un peu obligatoire quoi. Puisqu'il n'y a pas de mouches dans cette partie de la forêt, j'utilise le geppou jusqu'à être au dessus des arbres. Utilisant cette vision, je me repère à peu près. Je trouve la direction du port de la marine, pas trop dur à rater vu sa taille, et je m'y rends via le ciel. Arrivant côté terre, je ne suis pas repéré rapidement, puisqu'ils surveillent l'extérieur de l'île, les côtes. Je me laisse tomber en plein milieu de leur cour. Là, on me voit, mais savoir ce qu'est ce tas de terre tombé du ciel. Puis je prends forme humaine. Les hommes, pas habitué à subir une attaque mettent du temps à réaliser ce qui se passent. L'île est plutôt tranquille, mais les soldats savent quand même se défendre. Chacun récupère rapidement ses armes et se met en position. Une fois qu'ils sont tous prêt, je termine de me former. J'ai pris plusieurs minutes pour leur laisser le temps et soigner ma mise en scène. C'est important après tout.

Avant qu'ils ne comprennent, je lance une vague de terre en tapant du pied. Elle les recouvre entièrement. Puis je compresse ma terre afin de les écraser. Sur les cinq cent soldats de l'île, il y en a deux cents dans la caserne, deux cents dans le port, et une centaine sur les bateaux autour de l'île. Là, sur les présents, une bonne cinquantaine voit sa vie se terminer en moins de trois secondes. Ceux qui sont derrière échappent à ma technique car je ne souhaite pas tous les tuer. Je vois le commandant local, je le jauge. Il n'a pas l'air bon à grand chose. Je lui envoie une balle de terre juste à côté de sa tête, voir s'il esquive ou pas. Il ne fait aucun mouvement. Il tourne la tête, voir ce qui s'est écrasé dans le mur derrière lui. Il blêmit. Ok, ça veut tout dire. Les soldats me tirent dessus depuis tout à l'heure, sans que ça ne me fasse aucun effet évidemment. Le commandant lance un appel au secours. J'avance vers les bâtiments, pose ma main dessus, concentre ma puissance puis délivre une puissante onde de choc qui parcourt la bâtisse et la fait s'effondrer en grande partie. La zone immédiate est réduite en poussière, le reste forme des tas de gravas.

« Toute construction marine que je croiserai subira le même sort. Vous n'avez pas votre place en ce monde. »

D'un seul coup, je me sens mieux. Soru et je quitte la zone pour aller au port civil. J'y arrive rapidement avec la technique du cipher pol. Je trouve le bateau sur lequel est mon navire. Je l'attrape, le balance à l'eau, monte dessus et quitte l'île. Mes poches sont pleines de joyaux en or, je me suis détendu en détruisant gratuitement un bâtiment de la marine, et maintenant je m'en vais sans regret. C'était une journée ordinaire. Le soleil me fait dire qu'il doit être dans les seize heures, quelque chose comme ça. Je vais donc devoir m'arrêter en route avant de retourner sur Rokade. Qui aurait cru que finalement, une chasse au trésor était aussi frustrante ? Les bateaux marins essaient bien de me rattraper, mais non seulement je suis trop rapide pour eux, mais en plus je contre leurs boulets de canons avant qu'ils ne me touchent.


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