Putain de Grand Line. Saloperie de courants de merde. Chierie de champs magnétiques qui changent d'île en île. Enfoirés de log pose qui doivent se charger pour passer à l'île suivante. Connards de marins qui pensent que Grand Line leur appartient et essaient de la sécuriser. Bâtards de monstres qui s'amusent à détruire les navires. Mais le pire, quand t'as un navire à voile, ça reste de s'approcher de Calm Belt. C'est la mort assurée. Et c'est bien pour ça que je suis remonté comme une horloge. Notre abruti de navigateur s'est endormit, et on a frôlé calm belt. Il s'est réveillé juste à temps pour nous éviter le pire. Si on était allé dedans … pas sûr qu'on soient ressorti vivants ou/et entier. Les légendes relatives à cet endroit sont légions, et toutes rapportent la même choses, des rois des mers. Quand on voit que j'ai parfois du mal à repousser un simple monstre marin, je ne me vois pas affronter un truc qui a cent fois sa puissance. Les hommes disent aussi que c'est ma faute parce que je ne leur laisse pas la vivre card d'Armada. Mais j'ai pas envie que ces abrutis la perde. Mais bordel, c'est moi le capitaine. C'est moi qui donne les ordres, pas l'inverse. Alors si je veux garder ma carte, je la garde, point.
« Bateau en vue !
Cool. C'est quoi ?
On s'en fou, on fonce dessus.
Capitaine ?!
Z'avez entendu ? Si c'est des mouettes, on les plume. Si c'est autre chose, on les dépouille. Exécution ! »
La sommation n'importe aucune discussion, les ordres sont clairs. Le quartier-maître beugle ce qu'il faut pour qu'on s'approche du navire qui est encore trèèèèèèèèèèèèèèèèèès loin. On arrive même pas à voir les voiles, le drapeau, la figure de proue … Mais on s'en fou, on y va. On a besoin d'action après plusieurs jours sans rien. Le bateau nous voit et nous fonce dessus. Il doit avoir la même idée. Une fois qu'on est assez proche, on peut enfin voir les drapeau. Ils remarquent les voiles noires et le symbole pirate, nous on remarque les voiles blanches et l'ancre bleue dessus. Marins vs pirates, le plus vieux conflit du monde. Le cuirassé s'approche de nous, bientôt, il nous dominera de sa taille.
« Chargez les canons mais laissez les sabords fermés. Brad, fait nous arriver à tribord. Libérez les voiles, délivrez les. Préparez-vous à larguer l'ancre. »
Malgré mes ordres contradictoires, personne ne semble surpris. Ils ont tous appris à me faire confiance et à s'adapter à mes manœuvres tordues. Le gros bateau ouvre le feu sans sommation. Je contre les boulets avec des lames d'air. On fonce droit sur leur bâbord/proue. Puis une fois assez près, l'ancre est lâchée. Avec la vitesse actuelle, le bateau tangue un peu puis se fait attirer violemment sur le côté. Pour faire simple, on dérive sur l'eau, passant de bâbord/proue à tribord/proue. Cette tactique surprend la marine qui doit réajuster ses canons et tourelles. Ces dernières sont trop grosses pour nous toucher à cause de la distance. Il ne reste que les canons traditionnels. Mais puisqu'on était à bâbord, ils n'ont ouverts que les sabord de ce côté. Pas celui où nous sommes actuellement. Une fois le dérapage finit, on libère l'ancre, on ouvre les sabords et on tire en plein sur leur tribord.
On détruit une partie de leur sabords. Mais leur canons sont trop haut, on a du mal à viser. Alors je fais changer de cible, on vise désormais la grosse roue à aube. Son centre surtout pour la faire mal-fonctionner. Elle est solide, résistante, alors je m'en, charge personnellement. Avec quelques geppous j'arrive à hauteur et tranche dans le tas avec mon sabre. Je sabote le mécanisme puis me laisse retomber sur mon bateau. On s'éloigne pendant que la roue tangue, puis tombe dans l'océan en morceaux, créant plusieurs grosses vagues. Les marins décident de venir au corps à corps. Ils lancent des grappins pour nous aborder. Erreur fatale les gars. Si vous nous attraper, ça veut dire qu'on vous a également attrapé. Et ça, c'est mortel. Pendant ce temps, au loin, un autre navire approche.
« Bateau en vue !
Cool. C'est quoi ?
On s'en fou, on fonce dessus.
Capitaine ?!
Z'avez entendu ? Si c'est des mouettes, on les plume. Si c'est autre chose, on les dépouille. Exécution ! »
La sommation n'importe aucune discussion, les ordres sont clairs. Le quartier-maître beugle ce qu'il faut pour qu'on s'approche du navire qui est encore trèèèèèèèèèèèèèèèèèès loin. On arrive même pas à voir les voiles, le drapeau, la figure de proue … Mais on s'en fou, on y va. On a besoin d'action après plusieurs jours sans rien. Le bateau nous voit et nous fonce dessus. Il doit avoir la même idée. Une fois qu'on est assez proche, on peut enfin voir les drapeau. Ils remarquent les voiles noires et le symbole pirate, nous on remarque les voiles blanches et l'ancre bleue dessus. Marins vs pirates, le plus vieux conflit du monde. Le cuirassé s'approche de nous, bientôt, il nous dominera de sa taille.
« Chargez les canons mais laissez les sabords fermés. Brad, fait nous arriver à tribord. Libérez les voiles, délivrez les. Préparez-vous à larguer l'ancre. »
Malgré mes ordres contradictoires, personne ne semble surpris. Ils ont tous appris à me faire confiance et à s'adapter à mes manœuvres tordues. Le gros bateau ouvre le feu sans sommation. Je contre les boulets avec des lames d'air. On fonce droit sur leur bâbord/proue. Puis une fois assez près, l'ancre est lâchée. Avec la vitesse actuelle, le bateau tangue un peu puis se fait attirer violemment sur le côté. Pour faire simple, on dérive sur l'eau, passant de bâbord/proue à tribord/proue. Cette tactique surprend la marine qui doit réajuster ses canons et tourelles. Ces dernières sont trop grosses pour nous toucher à cause de la distance. Il ne reste que les canons traditionnels. Mais puisqu'on était à bâbord, ils n'ont ouverts que les sabord de ce côté. Pas celui où nous sommes actuellement. Une fois le dérapage finit, on libère l'ancre, on ouvre les sabords et on tire en plein sur leur tribord.
On détruit une partie de leur sabords. Mais leur canons sont trop haut, on a du mal à viser. Alors je fais changer de cible, on vise désormais la grosse roue à aube. Son centre surtout pour la faire mal-fonctionner. Elle est solide, résistante, alors je m'en, charge personnellement. Avec quelques geppous j'arrive à hauteur et tranche dans le tas avec mon sabre. Je sabote le mécanisme puis me laisse retomber sur mon bateau. On s'éloigne pendant que la roue tangue, puis tombe dans l'océan en morceaux, créant plusieurs grosses vagues. Les marins décident de venir au corps à corps. Ils lancent des grappins pour nous aborder. Erreur fatale les gars. Si vous nous attraper, ça veut dire qu'on vous a également attrapé. Et ça, c'est mortel. Pendant ce temps, au loin, un autre navire approche.