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Canaille Rogers

Canaille Rogers
Pseudonyme : Canaille suffira.
Age : 34 ans.
Sexe : Femme jusqu'à preuve du contraire.
Race : Humaine.

Métier : Navigatrice et redresseuse de tords.
Groupe : Révolutionnaire.

But : Retrouver sa petite sœur, rendre le monde un peu plus égalitaire.

Équipement : Un blouson de cuir, des cigarettes et un briquet, quelques armes dont un canon scié et un sabre de qualité moyenne.

Parrain : Google.

Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non.
Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...

Codes du règlement :


Thème de Canaille ♫

Description Physique
Canaille aurait pû être belle. Un visage symétrique et oblong, tout de méplats et de formes aguicheuses. Des formes mais pas trop, juste ce qu'il faut pour être catégorisée comme une donzelle, mais pas assez pour attirer tout les chiens de la casse du coin. Des cuisses musclées, un ventre plat, des petites fesses bombées, rien que du velours pour le regard. Deux yeux marrons vous jugent de manière ironique derrière ses longs cils en bataille. Une bouche pulpeuse et souvent moqueuse vous parle et sa voix rocailleuse lui donne un charme brut de décoffrage comme on en fait plus sur ce genre de modèle.  Ses sourcils sont fins et bien dessinés, sans qu'aucune intervention extérieur ne soit à déplorer. Son petit nez fin lui donne un petit air de fouine bienvenue. Canaille aurait pût être belle, mais à la place, c'est une crasseuse de première.
Elle crache par terre à la moindre occasion, et on ne la verra jamais se départir de son paquet de clope. Parait même qu'elle chiquait du tabac à un moment de sa vie, et que c'est pour ça qu'elle se retrouve avec des dents jaunâtres pas du tout réglementaires. Elle porte inlassablement toujours le même manteau de cuir noir qui la recouvre jusqu'au fessier, dans lequel des os d'oiseaux on été passés pour faire les boutons. Une preuve de puissance qu'elle dit, un vrai massacre dirons nous. Le vrai massacre est capillaire, car la donzelle porte une crête qui commence assez  bas pour se terminer sur des mèches plus longues et en ordre de bataille. Qu'on se le dise, celle là est toujours prête pour la baston, et c'est pas ce qu'il reste sur les côté de son crâne qui vont gêner ses déplacements et ses coups plus ou moins bien placés. Canaille est percé au niveau des oreilles, environ un piercing tout les centimètres, a vue de nez. De lourd piercing en argent qui marquent le nombre de propriétaires qu'elle a eut. Ancienne esclave, elle compte nombre cicatrices sur le dos, zébrures lui rappelant à chaque instant à quel point le monde est rude.
Une épaisse couche de crasse lui donne une peau mat qu'elle ne lave qu'une fois toutes les deux semaines, parce que l'hygiène, c'est pour les bien pensants et les bourgeois. Du haut de son mètre soixante quinze, elle n'a rien de bourgeois, qu'on se le tienne pour dit. Elle porte des pantalons et de solides bottes de cuir, parce que ça tient la distance et que c'est encore le mieux pour botter des culs. Elle sent mauvais, et ne se rase pas les gambettes, comme d'autre avant elle, non, elle, elle est sauvage, brute et sans chichis. Seul coquetterie de sa part c'est les aisselle dont elle se biseaute la longueur à coup de sabre, avant d'enlever ce qui reste à la pince à épiler. Canaille porte toujours sur elle tout ce qu'il faut pour l'aventure, comme son fidèle canon scié à manivelle qui reluit dans un holster de mauvaise qualité, ou son sabre toujours propre qu'elle traîne dans son sillage à l'intérieur de son fidèle étui. Un briquet en acier inoxydable l'accompagne bien évidemment, et un sac de couchage roulé en boule complète l'ensemble, parce qu'une fille du vent n'a jamais de point d'attache, et qu'on se gèle les rognons pendant la nuit. C'est le seul confort dont elle ne peut se séparer. Avec sa démarche de bonhomme, elle aurait pût être belle, mais reste sauvage.      


Description Psychologique
Si je devais nuancer mon propos, je dirais que madame à du caractère. Il en faut pour supporter la condition qui lui était attribuée le jour de sa naissance. Sans réelle éducation, elle s'est forgé toute seule à coup de pompe dans le derrière et de coups de fouet dans le dos. Canaille crache au monde toute la haine qu'elle porte rien qu'en ouvrant une porte de sa solide godasse, et en disant bonjour quand elle est dans ses bons jours. Madame jure comme un charretier à la moindre occasion, et l'on ne peut décemment pas l'inviter quelque part sans la flopée de « putain de bordel de cul » qui va de paire avec Canaille. C'est un mélange entre le plus misogyne des hommes, et la plus sauvage des gonzesses. Canaille déteste la gente féminine autant que le plus entreprenant des hommes, les jugeant tout deux du haut de son mètre soixante quinze. Elle est cependant bonne vivante, et ce sera rare de la voir attablée sans un bon rhum ou une bonne bière, ainsi qu'un repas complet devant elle. Canaille boit, bouffe et baise. C'est connu.
Sa haine pour l'autorité, ainsi que son caractère brutal lui valent d'être mal vue partout où elle passe. Et c'est pas rare qu'elle  s'arrête  que pour botter quelques culs. La baston, elle adore ça, elle dit que ça lui donne l'impression d'être vivante. De pouvoir rendre les coups, pour une fois.
Canaille souffre d'un syndrome d'abandon chronique, elle qui passa de mains en mains avant de se reprendre en main. On lui a laissé sa chance, elle l'a prise et ça lui a sourit ; La seule chose qui la sauve est un maigre espoir. Un tout petit espoir. Pourtant il porte en lui tout ce qu'il y'a de meilleur en elle : Sa sœur. Une douillette comme elle l'appelait souvent avant de devoir la quitter pour une autre île. Depuis, elle la recherche sans discontinuer dans tous les recoins de la planète, écumant bars et tripots clandestins comme la plus cossue des demeures sans faillir. Parce qu'elle est comme ça Canaille, elle n'abandonne jamais quand elle a une idée en tête impossible de l'arrêter, elle tient plus de la fusée que de la bonne femme, c'est moi qui vous le dit. Madame à ses faiblesses, comme tout le monde. Elle ne supporte pas l'injustice et la combat avec toute la puissance de son âme ainsi que de son artillerie. Ironique, elle rêve pourtant d'un monde meilleur, ou l'égalité aurait sa place au côté de la force physique et des buster call. Terre à terre, elle n'en reste pas moins une rêveuse, une idéaliste qui sait se sacrifier à une cause plus noble qu'elle. Et elle à le sens de la famille en plus. Une meuf en or, c'est connu. Un peu vindicative mais que voulez vous, pour survivre dans ce monde de brute, il faut avoir un minimum de répondant.
Et du répondant, la donzelle en a par paquet de douze, ne se laissant jamais marcher sur les pieds, sûrement le reliquat d'une vie où on lui a apprit à avoir le regard tourner vers le sol plutôt que le nez dans les nuages. Rien n'a jamais été simple pour elle, alors elle le fait payer au premier qui viendra marcher sur ses plates bandes. Ironique, elle possède un sens de l'humour alambiqué, un mix entre le plus vil des hommes et la plus caractérielle des femmes. Toujours dans cette dualité homme-femme, elle essaye de tracer son sillon dans le champ des possible, et ne rêve que de pouvoir se reposer sur ses lauriers, une fois le sale boulot achevé. Et du boulot, elle en a revendre dans ce monde sombre et lubrique, qui ne laisse pas de place à la faiblesse d'une femme, et condamne l'homme le plus cruel en même temps.    


Biographie
Canaille est née orpheline. Participante sans le vouloir d'un programme de natalité à la demande, élevée pour devenir une esclave des cruels Dragons Célestes, un point c'est tout. Elle ne connaîtra jamais ses géniteurs, sûrement esclaves eux même, et cette blessure, cette fêlure, restera ancrée en elle à tout moment de sa vie. Elle gagna sa première cicatrice en voulant s'enfuir de son sombre destin, malgré les avertissements de tout les autres, elle n'en faisait déjà qu'à sa tête. Dix coups de fouet. Cela est à la fois si long et si court à la fois, qu'elle fut marqué à vie par ce traitement horrible. Elle trouvait déjà l'injustice horripilante, et sa situation lui paraissait carrément dégueulasse. A quoi bon naître dans un monde pareille, elle n'avait rien demandé, elle. Alors entre deux travail aux champs, elle rêvait d'un monde meilleur, d'un ailleurs plus verdoyant. Si elle travaillait au champ c'était que pour travailler dans la maison d'un Tenryubito, il fallait le mériter, et que la petite n'avait pas la gueule de l'emploi. Elle crachait déjà par terre, et ne savait pas porter un plateau. On a pas besoin d'un plateau pour semer sur les terres immenses d'un des rois du monde, ou bien pour dégager un terrain encombré de débris.
Elle gagna ainsi son premier piercing, premier d'une longue lignée. Un lourd anneau de métal qui la destinait aux corvées les plus ingrates, et à une vie qui était moindre que celle d'un meuble. On traitait même les chaises avec plus d'égard que la gamine, qui se muscla et gagna des galons sur la voie du bottage de fesse en travaillant les mains dans la merde, le dos courbé et le moral en berne. Elle aurait pu accepter, elle aurait pu vendre son âme au diable et laisser son corps à l'un de ses dragons, mais le souffle de l'hydre n’atteignait pas la blanche ouaille qu'était Canaille, elle qui s'était nommée ainsi comme un pied de nez à ses propriétaire, pour qui elle n'était que le matricule 13-28. Chiffre qu'elle se fera tatouer des années plus tard dans le creux de la main, pour ne jamais oublier d’où elle vient, ni là où elle doit aller. C'était à cette période qu'elle rencontra celle qu'elle considère comme sa sœur, Naomita Rogers. Tout les opposaient, et pourtant, les difficultés et les sombres périodes peuvent souvent rapprocher deux être qui n'ont rien à voir l'une avec l'autre. Naomita était gentille, douce, attentionnée, soumise et parfaitement sociable. Tout l'inverse de Canaille, qui passait plus de séjour au trou que de temps à travailler. Quand on a le verbe facile et aucune envie de se soumettre, c'est la triste réalité et le risque que l'on doit accepter. Ne pas avoir pitance également. Pas de nourriture pour qui ne travaille pas hardiment et ne fait que remettre l'autorité en question.

En 1605 une décision fut prise, on ne voulait plus d'une pareille tête brûlée qui exhortait ses camarades à la rébellion et la fuite. Vendue sur un marché aux esclaves, ce fut un pirate de Rokade qui tira le gros lot et acheta la jeune demoiselle a peine âgée de douze ans. On perça son oreille pour conclure le deal, et le changement de propriétaire fut une grande réussite pour tous, tous sauf la Canaille bien évidemment, qui se sortait d'une situation médiocre pour une autre. Le pirate s'appelait Mederik Jones, et n'avait rien d'un enfant de cœur. Il devina instinctivement qu'elle était ce qu'il fallait pour son ami mercenaire et usurier Jido Bryant, à qui les fortes têtes ne résistaient jamais très longtemps. Entre temps il la fit bosser sur le navire, surtout pour récurer le sol et faire quelques manœuvres simples. C'est à ce moment là qu'elle fut gagnée d'une passion pour l'océan et sur l'art de naviguer sur ceux-ci. Bizarrement plus obéissante, alors qu'elle avait faillit lui mordre le doigt quand il avait contrôlé sa dentition la première fois qu'ils se virent, Mederik se demanda si elle avait le profil. Il lui fallait une femme forte, capable de suivre le programme que Jido imposerait.

***

- Moi c'est Jido Bwahahahaha, mon boulot c'est un truc simple, je récupère des trucs. Des trucs que j'ai prêté, ou des trucs qui m'appartiennent même pas, tant que ça à de la valeur je suis sur le coup ! Vous allez vous demandez en quoi j'ai besoin de vous cher tous ! Et bien c'est simple, je suis le berger et vous mes fidèles toutous : Votre mission c'est de presser le mouton pour qu'on y tonde toute la laine ! Et pour ça je vais vous faire vivre un enfer. Pour que le reste de votre vie soit une promenade de santé !


Ils étaient une dizaine à se tasser sur les bancs disposés en arc de cercle tout autours du fameux Jido, tous différents et pourtant tous pareils : Des esclaves qui ne valaient pas encore grand chose. Des vécus différents, entre celui qui avait servit dans une maison toute sa vie, ou ceux, comme Canaille, qui avaient vogués à travers champs et marées. Le programme de domestication, comme l’appelait lui même Jido, était un vraie plaie pour ses participants. On y faisait des courses de survie, des parcours du combattant plus tordus les uns que les autres, on se tapait dessus avec des armes souvent coupantes et jamais agréable à vous mordre au moindre écart. On y apprenait à tirer dans le tas, à se battre de la meilleur façon qu'il soit, pour faire mal, très mal. Une torture pour nombre des participants, qui avait un but préventif. Plus ils étaient prêt à tuer, et meilleur serait le bizness de Jido. C'est dans cet enfer qu'elle gagna sa troisième piqûre de rappel, un anneau d'argent qui valait tout les discours : Tu m'appartiens et tu n'as rien à redire. Sauf que la gamine était retorse, et n'acceptait pas d'être la chienne, de personne. Personne. Au début elle s'était laissé séduire par le côté pratique de l'entraînement, de pouvoir rendre les coups qu'on lui donnerait était tentant, mais elle fit rapidement le tour de la question et cela n'avait rien de différent que lorsqu'on lui avait apprit à ensemencer les champs ; Elle valait toujours moins que le banc sur lequel elle s'asseyait tout les matins pour recevoir une solide formation des nœuds les plus utiles dans leur métier : Le nœud coulant entre autre. Après un an dans le programme, on renouvelait les effectif. Les plus anciens, fatigués par tant de combat, étaient remplacés par des plus frais qui gambadaient comme des lapins. Ce fut la seule fois où Canaille finissait première dans n'importe quel domaine que ce soit. Major de sa promo sans le vouloir, c'était à elle que l'on donnait les ordres de missions et la charge de responsabilités qui allaient avec : Surveillez ses petits camarades d'abords, pour qu'aucun ne finisse dans l'arène, ce qui aurait été du gâchis ; Veillez au grain ensuite, qu'aucun ne finisse avec dans la poche le pactole destiné au patron ; Assumer enfin, quand des échecs pleuvaient c'était forcément sur elle que sa retombait. Rapidement devenue indispensable, la haine et la violence qui l'animait pouvaient enfin prendre formes dans un tout plus grand qu'elle-même. C'était sûrement ce qui expliquait qu'elle devint une docile gardienne du patrimoine de Jido, qui avait des connexions avec les Pikas de l'île de Rokade. C'était sa plus grande force, savoir se placer suffisamment haut dans la hiérarchie pour ne pas être emmerder, et suffisamment bas pour avoir les coudées franche. Et dans ce rouage bien huilé, Canaille s'adaptait parfaitement, devenant ce qu'elle détestait auparavant : Une bonne troupe. Trois ans de sa vie durant, contre une années en règle générale, où elle cassa des arcades ou des clavicules, extorqua de l'argent à la force du poignet, et ne fit aucun cadeau à personne. Personne. Rien ne semblait pouvoir contrer sa juste violence et ses coups pire encore. Elle tua, elle pressa, elle fit des choses horribles qu'elle regrette amèrement aujourd'hui. Elle était devenue mauvaise. Plus la frustration du boulot se faisait sentir, plus elle cognait fort. Elle était tombé dans un cercle vicieux qui se refermait sur elle sans aucune chance d'échappatoire. Après trois ans passées dans la rue, elle fut nommé instructrice du programme d'enfer de Jido. Ce fut le moment où elle fit une bourde qui la sauva. Entiché d'un jeune homme qui s'appelait  Tsuyomori, elle l'attira un jour dans un petit coin du centre d'entraînement, pour coucher avec lui. Il devait avoir dix sept ans et aucune expérience, mais elle s'en moquait. Elle n'était pas vraiment plus expérimenté, n'ayant couché que deux trois fois depuis les dix neuf dernières années.
- Enlève ton pantalon bordel, qu'elle fit, défaisant la boucle de ceinture du jeune homme.
- Tu voudrais pas te doucher av- VLAM, elle lui fit manger ses phalanges d'un coup bien placé entre les dents, la crasseuse avait sa fierté elle aussi. Et quoi de mieux qu'une bonne chtouille pour commencer sa vie, sérieusement ! Malheureusement elle fut surprise avec un jeune homme au dents cassées et le pantalon en bas des jambes par un autre instructeur, qui rapporta le tout à Jido, qui piqua une juste colère qui s'abattis sur la Canaille.
- Pour qui tu t'prends ! Je t'ai sortis de la merde pour faire de toi un membre important de mon organisation et c'est comme ça que tu me remercie ?    Il continua à déverser son fiel, prouvant qu'il y'avait anguille sous roche, pourquoi être autant colère à part si lui ne se sentait pas vexé qu'aucune avance ne lui soient jamais proposées ? Ce fut ainsi qu'on la vendit une nouvelle fois. Pour pas cher en plus.

***

- Moi c'est "Big" Joe,
fit l'homme à la barbe tressée qui lui faisait face. Mon boulot c'est de construire des navires pour tout et n'importe qui. Tant qu'on me paye à la fin, j'en suis ! Et toi tu vas m'aider dans mon entreprise en poste de testeuse du matos. Quand on finit un bateau, on l'essaye une ou deux fois avant de le vendre, histoire de s'assurer qu'il prendra pas la flotte en moins de deux. Et toi tu seras dans l'équipe qui teste les navires, j'en ai décidé ainsi, et je te prie de croire que c'est pas une sinécure... On sait jamais ce que nous réserve les océans.
- Moué moué moué, bordel de cul, j'en suis m'sieur !

A la manœuvre sur un vrai navire. Voilà un boulot qui la bottait bien. Enfin boulot, façon de parler parce qu'elle était pas payée un clou pour ce qu'elle faisait. On la nourrissait et on la logeait sur le chantier, elle n'en demandait pas tant de toute façon. Résigné à passé sa vie comme esclave, à passer d'une main à une autre, elle acceptait son destin et faisait face. Et là, elle faisait face à l'océan, ce géant mutin et mutique qui avait toujours eu le don de la calmer. Quand elle avait le cafard, il lui suffisait des embruns de la mer pour que tout s'éclaire, quand elle était énervée il suffisait qu'elle plonge son regard dans l'étendue bleu pour que ça passe. Quand elle était seul, et bah, elle ne l'était pas vraiment. Alors si elle devait tirer et faire des noeuds pour pouvoir se balader sur l'eau,  elle était on ne peut plus heureuse, si on peut parler de bonheur face à l'esclavagisme. Elle y gagna son quatrième piercing, un autre anneau de fer cette fois, qui disait tout d'elle au premier regard. Qu'elle était captive. Qu'elle ne s'appartenait pas. Qu'elle n'aurait jamais la belle vie qu'on pouvait promettre au rejeton chiard qui traînait dans les pattes de ses parents. De toute façon elle aurait peut être jamais pu s'adapter à une vie pareille. Elle était faite pour qu'on l'exploite ? Ainsi soit-il, alors elle ferait de son mieux pour exister et briller au regard de ses propriétaires. Elle était fatigué de se battre, fatigué de se rebeller contre des moulins à vent, et de ne jamais avoir cause gagnante. Au lieu de cela, elle s'éclatait sur les plus beaux navires de l'île, grimpant dans les échelons comme un homme escalade les cordages, et se hissant au poste de navigatrice. Elle connaissait les bateaux par cœur au bout de deux ans, et savait manier la barre comme une troisième main au bout de la troisième. Elle avait toujours appris très vite, c'était l'une de ses nombreuse qualités. L'un de ses pires défauts aussi, car faute de comprendre l'apprentissage, on se perdait facilement dans un bordel de questionnement interne. Pourquoi apprendre quand on pouvait refuser la main tendue ? C'était la première question qu'elle s'était posé. Pourquoi apprendre quand on était pas libre de ses mouvement, fut la deuxième. C'était finit maintenant, elle était résigné, elle avait comprit que jamais elle ne gagnerait contre ce système corrompu. Enfin, c'était ce qu'elle pensait. Et comme souvent, Canaille pensait mal.

***

- Canaille Rogers ?
- Ouai, qui la demande ?
- Liberté.
- Hahaha triste blague qu'vous me faites là, en vrai c'est quoi vot'nom ?
- On me nomme Liberté.
- Et qu'est ce que j'peux faire pour vous "Liberté" ?
- C'est plus ce que je peux faire moi, pour vous ... J'ai une proposition à vous soumettre et j'espère que vous accepterez ...
- Dites toujours ?
- Et bien j'ai des accords avec "Big" Joe, et dans ses accords, j'ai le droit de libérer ses esclaves quand bon me semble...Vous n'avez jamais remarqué que sur ses chantiers, il n'y avait que très peu d'esclaves ? En échange j'aurais une faveur à vous demander...
- Et qu'est-ce que j'y gagne ?
- La Liberté mademoiselle, la liberté bien sûr.
- Et qu'est-ce que j'dois faire pour ça ?
- Simplement me mener à Goa avec mon navire personnel, et infiltrer un groupe d'esclave pour quelques semaines, dans le but de les mener à se rebeller ... Rien qui ne soit pas dans vos cordes si je ne m'abuse.
- Bordel, Oh que oui !


Ce fut ainsi qu'on démarcha Canaille dans la révolution de Goa, et dans l'organisation en elle même. Pas qu'elle ne se plaisait plus sur les docks, mais une raison personnelle la poussait à vouloir être libre. Une idée fixe qui ne la quittait plus depuis des années, et qui parfois, l'empêchait de dormir la nuit : Retrouver Naomita. C'était son seul et unique but, être libre avec elle. Sans elle, elle pouvait accepter d'être exploitée, cela ne faisait pas trop de différence entre les deux. Mais si elle avait les coudées franches et qu'elle pouvait entrer au service d'une cause, cause qui supposait l'abolition de l'esclavagisme et surtout de ses maudit Tenryubitos, chez qui Naomita devait toujours servir, alors elle en était. La révolution eut beau mal tourné, elle réussit à s'enfuir avec le gros des troupes pour continuer à servir la cause. Elle avait trouvé un chez elle. Elle ne risquerait pas de le quitter de si tôt.


Test RP

Un léger clapotis se faisait entendre dans la cabine, lui donnant une ambiance calme et feutrée. Deux corps reposaient l'un sur l'autre dans un enchevêtrement compliqué et pourtant bien simple à dénouer : Ils venaient de pratiquer le coït ininterrompu et reposaient l'un dans les bras de l'autre... Une cigarette à la bouche, Canaille profitait de la chaleur de son compagnon, avec qui elle venait de pratiquer le plus si affinité. Elle avait profité de sa jeunesse et de sa fougue pour se faire usiner bien correctement, ça plus l'océan sur lequel ils naviguaient la ravissait au plus haut point. Il régnait un parfum capiteux dans la cabine, que la cigarette éloignait de tout ses feux depuis la couchette de son voisin de chambré. Elle ne se souvenait plus en détail de comment ils en étaient arrivés là, mais les quelques bouteilles trônant sur le sol et la table qui les séparaient habituellement retraçait un historique bien simple à comprendre : Ils avaient picoler, puis ils avaient consommé. Consumé même. Elle n'aurait jamais fait ça dans un jour de clarté émotionnel, mais maintenant que c'était foutu (leur amitié ndlr), alors autant bien le foutre jusqu'au bout. Ce fut à ce moment là qu'il la sidéra d'une déclaration dont elle n'avait pas écouté le début : … Et m'engager dans la marine mondiale, pour aider mon prochain.  
- Putain t'es sérieux dans ce que tu dis ? Fit-elle en se relevant sur un coude.
- Extrêmement sérieux, je veux pouvoir faire quelque chose pour ce monde malade.
- Et tu crois qu'en t'engageant dans la marine tu vas pouvoir y faire quoi que ce soit ? Répondit-elle, laconique.
- J'espère bien oui, que faire d'autre sinon, s'engager dans la révolution? Se battre contre des moulins à vent ?
- C'est toujours mieux que de se mettre au service d'un système corrompu qui laisse le faible être étouffé par le fort !
- Justement c'est tout l'inverse Canaille, je veux rendre le monde un peu plus juste, et je vois pas de meilleur façon.
-Je sais pas fais des crêpes, c'est bon les crêpes, ça ne fait de mal à personne et tout le monde les aimes ! Fit-elle en récupérant sa culotte, et en chaussant son pantalon noir.
- Voyons, soit raisonnable, tu sais que c'est pour le mieux que je m'engage, et même s'il y'a du pire là dedans, j'aurais qu'a l'éliminer !
- C'est ce que tu dis pour l'instant... Mais tu vas finir comme tout les autres, blasé et grisé par le pouvoir de l'uniforme, pourris de l'intérieur par les épreuves. Enfin, la marine mondial bordel mon gars, ce gentil petit toutou au service du Gouvernement le plus pourris de notre ère ! Tu peux pas penser que c'est la meilleur des perspectives en soit !
- C'est ma décision et je m'y tiendrai, il y'a trop d'injustice dans ce monde, et la marine sera l'outil avec lequel j'officierai pour corriger le tir.
- Ce que tu peux être naïf mon pauvre vieux, tu vas te faire manger tout crû par le rouleau compresseur qu'est la marine, t'es trop jeune pour t'en rendre compte c'est tout ! Fit-elle en tirant une enième fois sur sa cigarette qui avait un goût amer.
- Et voilà tu tombe dans la facilité et sur mon âge, bravo de tes encouragements....
- Comment encourager une folie et une stupidité pareille ? Tu crois que tu pourras changer quoi que ce soit en infiltrant une armée injuste et ingérante  ?
- C'est toujours mieux que de ne rien faire non ? J'ai une chance de monter assez haut pour faire changer les choses, alors je la prends …. Fit-il en se rhabillant de son côté, tandis que Canaille enfilait ses godasse.
- La roue va t'écraser et tu seras obligé de plier l'échine sous elle, tu ne sais pas de quoi tu parles …. T'y connais rien Jon Sno.
- Parce que c'est mieux ce que tu fais ? Et tu fais quoi d'ailleurs, pour te permettre de me parler sur ce ton ?!
- J'fais avancer le monde à coup de pompe dans le derrière, t'en veux un pour voir ?
- Tu parles comme une re …
- … Une rebelle ? P'tet bien que oui bordel !
- Non, comme une révolutionnaire j'allais dire.
- Qu'est ce que tu crois savoir de moi, Jon ?
- Tu es pleine de haine, ça se voit. Tu fais l'amour comme tu ferais la guerre … Avec précipitation et beaucoup de colère...
- Tu mériterais que je te frappe, tu critique alors qu'on vient juste de s'envoyer en l'air, t'es le pire Mr. Bonne intentions.
- Ah ouai ?! Alors t'attends quoi pour me corrig-
VLAM, une baffe vola et fit son atterrissage dans la bouche du jeune homme qui ne s'y attendait pas. Une trace cuisante sur le visage,il se leva de son siège pour attraper les poignets de Canaille, voulant éviter un retour bien mérité. Me touche pas bordel ! Qu'elle fit, lui envoyant un bon coup de botte dans les parties, direct à l'envoyeur. Ce fut à ce moment là que tout dégénéra. Il voulut répondre d'un coup de poing, mais fut bloqué par la main marquée de la jeune femme, qui enserra son poing de toutes ses forces, le faisant plier instantanément un genou. Elle en profita pour lui envoyer un direct dans le menton, qui le sonna rien que ce qu'il faut pour ne pas pouvoir réagir, mais pas trop pour qu'il sente bien la douloureuse qui arrivait d'un coup de genoux dans le nez. Quand deux personne aux forts idéaux se rencontrent, ils doivent se battre, c'est connu. Surtout quand ils sont diamétralement opposés. La colère que venait de piquer Canaille était inébranlable, imprévisible et invitait à une réponse toute aussi colérique ; Le jeune homme se releva rapidement, attrapant au passage l'un de ses couteaux, lui qui était cuisinier de profession ne s'en séparait jamais ; Un pugilat venait de naître dans les profondeurs du bâtiment nautique, sans qu'aucun ne s'en doute ou n'en ait cure. Il tailla verticalement vers Canaille, qui sortis dix centimètres de son sabre pour contrer le coup, ainsi que le suivant, qui venait horizontalement.
- Tes lames sont aussi courte que ta queue bonhomme, cherche pas les ennuis avec plus grand que toi, on te l'a jamais dis ?

Pour toute réponse il continua son geste, fit un tour sur lui même, et piqua de son couteau, qui rencontra le fourreau de Canaille, qui désarma le petit père d'une torsion calculé au millimètre. Elle sortis son sabre dans la foulée, et le posa sur le cou de son adversaire et ancien amant. Le geste était clair, les paroles inutiles. S'il voulait vivre il allait devoir admettre sa défaite.
- C'est bon t'as gagné, mais je m'engagerai quand même ! Qu'il fit tandis qu'elle rangeait son arme et allait prendre l'air sur le pont, sa légendaire clope en bouche.
- Grand bien te fasse, Jon sno



    
Informations IRL

• Prénom : Canaille
• Age : 27
• Aime :
• N'aime pas :
• Personnage préféré de One Piece : Shanks
• Caractère : Quelques mots pour vous décrire ? C’est toujours plus agréable de savoir avec qui on écrit...
• Fait du RP depuis : Quelques temps ...
• Disponibilité approximative : Souvent.
• Comment avez-vous connu le forum ? Top site via google


ONE PIECE REQUIEM ©️



Dernière édition par Canaille Rogers le Dim 2 Sep 2018 - 21:19, édité 22 fois
  • https://www.onepiece-requiem.net/t21394-p-tit-livret-des-famille
Salut, bienvenue.

Tu as 10 jours pour terminer ta fiche. Lorsque tu auras terminé tu pourras demander un test RP.

Si tu as des questions on est là.

Voilou bonne rédaction!
  • https://www.onepiece-requiem.net/t16409-fiche-technique-de-myoso
  • https://www.onepiece-requiem.net/t15222-
Rappel ! Plus que 4 jours pour finir ta fiche !
  • https://www.onepiece-requiem.net/t16409-fiche-technique-de-myoso
  • https://www.onepiece-requiem.net/t15222-
Salut et merci de la bienvenue déjà.

J'galère un peu sur la bio, j'aurais sûrement besoin d'une rallonge si c'est pas trop demandé (enfaite l'inspi me fuit) ! En sachant que si ça se trouve j'aurais finis dans les temps hein, c'est juste préventif.

Merci !
  • https://www.onepiece-requiem.net/t21394-p-tit-livret-des-famille
Oké oké, délai d'une semaine accordé dans ce cas !
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  • https://www.onepiece-requiem.net/t15222-
Yo !

J'ai fini la bio et j'attends donc le test rp !

Merci.
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Bien bien alors voici ton sujet de test :

Tu te retrouves sur un bateau qui navigue sur une Blue de ton choix. Le bateau est un simple navire de transit et vous n'êtes qu'une cinquantaine à bord. Tu dois partager ta cabine avec un jeune garçon avec qui tu sembles t'entendre relativement bien. Il est très sympathique, amical, vous jouez aux cartes ensemble, buvez un coup, riez... Bref, vous vous entendez comme larrons en foire. Il t'apprend cependant qu'il admire le Gouvernement Mondial, compte s'engager dans la Marine et devenir un vrai parangon de la justice.
Raconte nous la suite.

Tu as 10 jours pour le traiter, tu peux changer si tu veux.

Voilou !
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Yo !

Voilà c'est terminé. Merci d'avance (:
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Salut Canaillou, je viens avec Myo pour ton avis co-rédigé.

Point forme  :

Spoiler:

Quelques inattentions au niveau des accords (j'imagine que tu es un joueur masculin, donc parfois on a tendance à être moins vigilant quand on accorde au féminin quand il s'agit de son perso), quelques carences du côté du participe passé quand celui-ci est lié à l'auxiliaire être (on accorde toujours en genre et en nombre) et avoir (on n'accorde qu'avec le COD ci de dernier est placé davant l'auxiliaire).
Si tu connais pas la terminaison d'un participe passé à la deuxième ou troisième personne du singulier, essaie de le mettre au féminin.

Exemples :
- Il a « participé passé du verbe prendre » → Il a pris (parce qu'on peut dire prise ) → ces choses qu'elle (qui est le COD placé avant l'auxiiliaire avoir) a prise.
- Il a « participe passé du verbe finir » → Il a fini (parte qu'on peut pas dire finite ou finise) → ces choses qu'elle (qui est le COD placé avant l'auxiliaire avoir) a fini.
- Il a « participe passé du verbe dire » → Il a dit (on peut dire « dite ») → ces choses qu'elle (qui est le COD placé avant l'auxiliaire avoir) a dite.

Pense à te relire pour éviter les inattentions, notamment au niveau des accords.

Aussi, Myo et moi avons trouvé un peu désagréable à l'œil le fait que les paragraphes soient si compacts. Pense à aérer un peu ton texte, il y a des moments où on se retrouve avec des blocs de plus de vingt lignes, c'est pas très esthétique ou agréable à la lecture.

Point fond  :

Description physique parfaite. Détaillée, très bien rédigée, vocabulaire riche, allant au-delà de la stricte apparence... rien à rajouter, très bon travail. Même constant pour Myo.

Il en va de même pour la description psychologique, le personnage est non seulement décrit comme ayant du caractère – ce qui est à la portée de tous – mais il est établi point par point en quoi et comment s'exprime ledit caractère dans la moindre de ses facettes. Un personnage facile à cerner tout en restant complet de par le large panel qu'offre sa personnalité, riche et cohérente. Encore un bon point.

Là, Myo a eu l'impression que tu te répétais beaucoup pour établir à quel point ton personnage avait du caractère. Lorsque tu as mentionné sa sœur, tu es trop vite passé à autre chose, il aurait aimé que tu insistes davantage sur cette facette de sa personnalité.
En dehors de ces considérations, il a trouvé que c'était remarquablement bien écrit.


En 1605 une décision fut prise, on ne voulait plus d'une pareille tête brûlée qui exhortait ses camarades à la rébellion et la fuite. Vendue sur un marché aux esclaves

Généralement, ce genre de mauvaise graine, ça s'éradique plus que ça se vend. Je le sais, mon perso est marchand d'esclaves Laughing
Les éléments séditieux sont généralement éliminés car nuisibles et contre-productifs.

Ta biographie est relativement complète, toutefois, je décèle un certain nombre de défauts communs à bon nombre de biographies.

D'abord, les PNJ : il y en a très peu et ils ne sont que trop peu exploités. Même s'il s'agit de la biographie de ton personnage, il faut savoir laisser la place à des personnages secondaires. Lorsque le tout est trop auto-centré, on perd un peu en intérêt et surtout, le scénario a tendance à être un long fleuve tranquille sans tumulte.

L'arrivée du révolutionaire en fin de RP est très abrupte. Ça donne l'impression que tu ne savais pas comment aboutir à cette conclusion par un cheminement long et continu, alors.... « *** » no jutsu, révo providentiel, on rejoint la révolution et basta. L'implication dans le mouvement révolutionnaire est en principe suffisamment important pour mériter d'être approfondi en plus d'un paragraphe récapitulatif.

Myo me rejoint sur ce point, ça tombe comme un cheveu dans la soupe. D'autant plus qu'il estime qu'avec la révolte à Goa de 1625, tu aurais pu épiloguer sur ce point qui est loin d'être anodin.

En dehors de ça, c'était correct. Pas très original dans l'idée, plutôt linéaire sans trop de remous (je n'ai pas ressenti énormément la détresse que pourrait en principe ressentir un esclave) et la quête de la retrouvaille de Naomita a été mise en sourdine trop longtemps pour qu'on y voit un réel enjeu. Difficile de ressentir un intérêt pour ce personnage dont on ne sait rien.

Test RP à présent :

maintenant que c'était foutu (leur amitié ndlr)

Ouuuh que c'est vilain la parenthèse inutile. Il eut été aussi pertinent d'écrire « maintenant que leur amitié était compromise/foutue en l'air/pour le moins malmenée/.... j'en passe et des meilleures » que d'ajouter des parenthèses dans le récit, ce qui n'est... que très peu apprécié par chez nous.

Pour ce test RP, je n'ai pas vraiment été emballé. Au niveau des dialogues, on retrouve quelques platitudes adolescentes propre au registre « Nan mais t'peux pas t'engager dans la marine quoâ ! Allô, t'es pour la Justice et tu veux t'engager dans la marine ? Mais allô quoi !».
Je force le trait évidemment, mais tu saisis l'idée. La discussion aurait pu être un peu plus subtile tout en respectant le caractère brut de ton personnage je pense. Plutôt que de discerter justice, par exemple, parler du fait qu'ils sont favorables à l'esclavage dans certaines enclaves et lui dire que ton personnage l'a elle-même été (là il aurait eu du mal à contre-argumenter sans bégayer je pense Laughing), qu'ils pratiquent l'assassinat politique avec le Cipher Pol et sont les chiens des Dragons Célestes, auraient pu être des angles d'approche pour remettre en cause la légitimité d'un engagement dans la marine.

Ça se conclu comme pour la biographie de manière abrupte : un coup de pied au cul, une remarque vexante sur la taille de son anatomie (mais elle ne respecte dont rien ?!Sad ), et c'est expédié.

Trop court et dialogues trop maladroits sont les principaux reproches à faire à ce test RP.

Aussi, Jon Sno est plutôt insipide comme PNJ. Tu as choisi d'introduire le test par une discussion post-coïtale, mais Myo avait suggéré les cartes pour que vos personnages fassent connaissance et que tu puisses en profiter pour développer la personnalité de son camarade de jeu.

Myo me rejoint pour ce constat concernant le test RP

Pour moi, 680 dorikis, pour lui 650, donc une validation à 665 dorikis (on a frôlé le nombre de la bête).

Validé à 665 dorikis.

Bonne continuation et bon jeu.
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