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Il était une fois dans Shell Town






Il était une fois dans Shell Town

With Lucy Emerald


On y racontait beaucoup de choses à Shell Town. Comme l’histoire d’un officier de la marine portant une hache à la place de la main. Ou encore d’un pirate élastique détenant un chapeau de paille. Pour Jaina Rosenberg, le conte qui l’intéressa particulièrement fut les chapitres d’un homme réputé pour être un excellent tireur. Ses folles aventures se transmettaient de personne en personne pour arriver dans les oreilles d’une demoiselle désireuse d’être la meilleure tireuse au monde.

Bien assise sur un banc de la ville, à fumer tranquillement sa cibiche, elle écouta attentivement deux gamins jouant à la balle. Les marmots qui se donnaient corps et âmes à taper dans le ballon avec leurs pieds, hurlaient les aventures de Carlos Snake. Un prétendu tireur vivant dans la ville, agissant la nuit comme un super-héros pour défendre la veuve et l’orphelin. Il fallait croire que la Marine n’était pas assez compétente sur cette île pour effectuer ce boulot.

Un môme formait deux pistolets avec chacune de ses mains et tirait sur son ami. Les bruits des coups de feu furent incroyablement mal interprétés par les sons de la bouche du garçon. Cela fit sourire Jaina qui ne bougea pas de sa place. Bizarrement, elle se revoyait à son enfance à imiter son père qui était du mauvais côté de la loi. Lawrence Rosenberg lançait des couteaux contrairement à sa fille qui préférait les armes à feu.

« N’oublie pas de recharger ton arme. » prévint la cow-girl au petit tireur. Pinçant sa clope entre ses lèvres, elle bougea ses mains pour imiter un rechargement lorsque le petiot l’observa. « Fait comme ça. »

L’enfant recopia les gestes de Jaina puis surprit son ami en gueulant un gros "boom". Son copain s’écroula sur le sol d’une façon très théâtral en agrippant la zone où battait son petit palpitant. L’albinos échappa un petit rire discret en remontant en même temps ses lunettes de soleil sur son nez. Après cela, les gamins s’assirent à la droite et à la gauche de l’albinos. L’un des deux osa toucher le revolver la cow-girl. Une regrettable erreur, d’un môme se piquant sur une des pointes de la rose.

« On demande avant de toucher ! » gronda la hors-la-loi qui tapa la main du curieux puis rangea le reste de son mégot dans une maigre boîte en métal. « Et ce n’est pas un jouet pour les enfants. »

« Vous êtes de la Marine ? Vous savez tirer ? Vous êtes une super-héroïne comme Carlos Snake ? »

Jaina soupira, roula des yeux et se rappela pourquoi elle ne voulait pas être mère. Bien que ce soit déjà mal barré depuis plusieurs années.

« Non, non et non. Où je peux trouver ce Carlos Snake ? Il ressemble à quoi ? »

« Personne ne le sait, mais c’est toujours Miguel avec sa coupe afro qui raconte ses histoires dans la taverne. »

Plissant ses iris sanguines, l’albinos sentait gros comme une maison que les histoires sur ce fameux Carlos étaient une pure invention. C’était coutume à Hat Island de balancer des bobards pour épater la galerie. De ses mains gantées de mitaines, elle caressa les cheveux des garçons et se dirigea à ladite taverne.

Les pouces entre le ceinturon et le pantalon, le regard de prédateur et les éperons s’amusant à couiner à chaque pas, Jaina ne passa pas inaperçu sur son chemin. Elle entra dans le bâtiment, visualisa le monde à l’intérieur et se mordit la lèvre inférieure en découvrant son homme. Sans lui demander la permission, elle prit une chaise et posa ses santiags sur la table.

« Miguel c’est ça ? Je cherche Carlos Snake. »

« On le cherche pas, c’est lui qui nous trouve. » se vanta Miguel. Il tournait le vin dans son verre et but une petite gorgée. « Une fan de Carlos ? Je peux lui transmettre qu’une demoiselle souhaite le rencontrer. »

Jaina tapa sa langue sur son palais dans un bruit d’agacement. Elle retira ses pieds de la table, se leva puis attrapa violemment le col de Miguel.

« Un super-héros avec des armes à feu ? Qui tue les personnes pour sauver la veuve et l’orphelin ? Dans une ville fréquentée par la marine ? Sans avis de recherche pour ses nombreuses tueries ? » questionna l’albinos à l’homme. Elle dégaina dans un éclair un de ses revolvers et colla le canon sous le menton de Miguel. « Une histoire charmante pour faire rêver les enfants, mais totalement énervante pour mes oreilles. Je viens de très loin pour abattre ce type et j’ai comme l’impression que tu as inventé cette histoire. » Jaina actionna le chien de son arme pendant que sa proie s’excusait de sa grosse boutade. « Un dernier mot avant de crever ?! »


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« Si vous le tuez maintenant il ne risque pas de vous révéler grand-chose. »

Les mains solidement fermées autour d’un long fusil pointé sur le dos de cette inconnue aux cheveux blancs, je prenais mon rôle d’agente de la paix très au sérieux. Après tout c’était là la mission première de chaque marin non ? Protéger la population.
Mais avant d’en arriver à ce point de l’histoire, il s’agirait de commencer par le début. Et le début commençait comme tous les autres ici-bas : le tour de garde.
Comme un roulement bien huilé sans être trop graisseux, l’organisation militaire sur l’île tournait comme sur des roulettes. Chacun son tour, chacun son poste et tout allait bien dans le meilleur des mondes. Certes il y avait toujours des petits écarts, des nuisances ici ou là, du vol à la tire, des course-poursuites louches et toutes ces façons de contourner la loi. C’était d’ailleurs pour cela que j’étais de patrouille dans les rues cette fois-ci, afin de garantir au mieux la tranquillité de la population et de permettre aux gens de mener à bien leurs activités sans encombre.

Vêtue de l’uniforme réglementaire et d’un fusil homologué dans le dos tenu par une magnifique sangle de cuir et de broderies que m’avait offerte mes grands-parents. Plusieurs de mes camarades m’enviaient d’ailleurs ce magnifique présent que j’étais si fière d’afficher durant mes longues heures de travail.
Par groupe de trois donc, nous patrouillons à travers la ville et les petits patelins que comportaient l’île, saluant les braves commerçants et les marins dans leur labeur, rappelant à l’ordre éventuellement certains écarts au règlement mais autant que possible par la voie de la diplomatie plutôt que la répression. Après tout nous étions là pour assurer leur sécurité. C’était nous les gentils.

Des enfants jouaient aux pirates dans une rue moins fréquentée, je me surpris à esquisser un sourire devant leur jeu de théâtre si mauvais. Mais ce n’était pas important, ils s’amusaient. Par contre l’exclamation de la femme assise sur le banc non loin lorsque ces mêmes-gosses vinrent à son contact, ce n’était plus du tout du jeu.
C’est à ce moment précis que je me séparai de mon trio militaire, leur demandant de poursuivre comme si de rien n’était tandis que je restai à bonne distance de cette femme aux allures de cowgirl fatale bien armée. Difficile de voir clairement son visage sous son grand chapeau et à cette distance mais jusqu’à présent elle ne me disait rien, et plutôt que de faire des conclusions trop hâtives je me contentai de la suivre à bonne distance. Si vous n’aviez encore jamais vu une cyborg jouer la carte de la furtivité c’était l’occasion.

La femme entra dans un établissement de type bar et restauration rapide, sombrement appelé bar par les uns et taverne par les autres, et accosta immédiatement un homme à la chevelure particulièrement généreuse. Elle cherchait un certain Carlos Snake ? Mais c’était une légende ce type, tout le monde en avait entendu parlé à la caserne, un bon vieux canular bien grossier pour se créer facilement un peu de notoriété sur une soi-disante célébrité qui n’avait de réel que les rumeurs à son sujet.
Mais la femme ne l’entendit pas de cette oreille et décida immédiatement d’ouvrir les hostilités.

« Vous allez gentiment poser cette arme à feu sur le bar devant vous, sans geste brusque et me suivre dehors. Suis-je clair ? » Demandai-je en chargeant une balle dans le canon, le geste rapide produisant un son très caractéristique et reconnaissable. « Qu’on soit clair, la question est purement rhétorique madame. Soit on fait ça dans le calme et sans bobos, soit je vous colle aux arrêts jusqu’à la fin de la semaine. Tout ça pour une chimère, ça ne vaut pas vraiment le coup vous ne trouvez pas ? »
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Il était une fois dans Shell Town

With Lucy Emerald


La louve blanche demanda à sa proie si elle avait un dernier mot avant de rendre l’âme, car oui Jaina était prête à appuyer sur la détente. Ce Miguel s’ajoutera à la longue liste des victimes de la pistolera. Le seul défaut de son prochain meurtre ? Nettoyer le sang sur ses vêtements et gaspiller une balle pour rien. Il y avait de grandes chances que son revolver se dégrade un peu plus pour ce prochain coup de feu inutile. Jaina pouvait épargner le charlatan, le laisser filer et mettre un terme à cette histoire de pacotille. Cependant, lui donner une chance de s’enfuir gâcherait la réputation de la desperada.

Pas le choix, la mort devait accueillir dans son royaume un menteur, un faible au foie blanc. Jaina ne réfléchit aucunement à la manière de s’évader une fois son meurtre accomplit. Il était clair et net que les forces de la marine traqueraient la renégate qui souhaitait simplement punir ce Miguel. Elle fronça ses sourcils, s’apprêta à appuyer sur la détente, mais une voix féminine l’interrompit.

L’aura meurtrière de Jaina s’estompa pendant que son visage se tourna légèrement pour observer son émettrice détenant une taille presque similaire à la tireuse. Ses iris sanguines cachées par ses lunettes de soleil devaient s’abaisser légèrement pour regarder et non reluquer la femme. Une soldate, une représentante de la justice, une gardienne de la paix. Elle souhaitait que Jaina pose Pearl sur le bar, sans geste brusque pour éviter un début de conflit. Ensuite ? La suivre gentiment, à l’extérieur de l’établissement pour calmer le jeu. Un simple refus d’obtempéré l’emmènerait tout droit dans les geôles, en garde-à-vue le temps d’être jugé sur ses actes.

Allait-elle abaisser ses babines ? Libérer son morceau de viande d’aujourd’hui ? Dire non à son appétit sanguinaire ? Le son de chargement du mousquet fut une douce mélodie aux oreilles de l’amoureuse des armes à feu. Elle n’avait jamais eu de véritables occasions pour expérimenter ce fusil typique de la marine. Jaina leva les mains en l’air, relâcha sa proie qui prit la poudre d’escampette.

« Vous êtes heureuse à présent soldate ? » grogna mécontente l’albinos qui fit un pas en avant pour s’approcher du bar.

Elle repéra un lustre au plafond qui devait être assez proche de la nuisance. D’une manière brusque, elle posa son flingue sur le bar et appuya malencontreusement sur la détente. Un simple accident, c’est du moins ce que faisait croire Jaina en levant ses mains en l’air tout en faisant face à la fusilière.

La balle projetée hors du canon à cause du premier travail du percuteur, fila sur une surface plane. Le projectile ricocha et effectua une trajectoire haute pour couper la chaîne tenant le lustre. L’objet servant à éclairer la pièce tomba de sa hauteur pour s’écraser en direction de Lucy. Tout en même temps, les clients du bar paniquèrent et s’empressèrent de quitter les lieux. Le chaos à l’état pur.

Ce fut un moyen pour Jaina de s’enfuir à son tour des griffes de son agresseur en récupérant au passage son fidèle revolver.

Son nouvel objectif ? Retrouver Miguel avant qu’il se vante d’avoir échappé à Jaina Rosenberg. Elle bifurqua dans une venelle, espérant ne pas être rattrapée par la soldate.

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Si durant quelques secondes chaque tête pensante présente dans l’établissement garda le silence avec une attention entière et intense sur l’agresseuse, ignorant sa réaction et les conséquences, il fut possible de sentir un brusque apaisement lorsqu’elle accepta de coopérer, levant les mains sans manquer d’exprimer son mécontentement par une petite pique salée. Sa victime n’attendit pas l’autorisation pour s’enfuir à toute jambe, manquant presque de déraper avant de passer la porte, que j’ignorai proprement. Je ne voulais pas quitter cette femme des yeux, je lui avais demandé à de poser son arme et elle obtempéra quand soudainement un coup de feu partit. En moins d’une seconde la balle crachée par le revolver tout juste couché sur le bar ricocha dieu sait où et avec un angle si improbable qu’elle parvint à percuter par la suite à percuter et couper la chaine retenant en suspension l’un des luminaires de la pièce. Et pour rendre la situation encore plus improbable, celui touché fut justement celui sous lequel je me tenais ! Comment ne pas crier au complot à ce niveau !?

Je me jetai immédiatement sur le côté avant que la structure métallique ne se fracasse au sol. Un moment où je ne tenais plus en joue la délinquante qui en profita tout naturellement pour se faire la malle.

« Bordel de c… »

Le dernier mot mourut dans ma gorge, remplacé par un soupire long et puissant preuve d’une intense exaspération.
Immédiatement de nouveau debout je vérifiai d’un regard ce qui était évident, elle avait fuit avec son arme. Bien évidemment !
C’est avec les dents serrées que je filai à la poursuite de la jeune femme. Qui était ce Miguel qu’elle semblait vouloir retrouver et arrêter à tout prix ? Et cette histoire de Carlos Snake ? Cela n’avait aucun sens. Heureusement mes jambes mécaniques m’offraient une vitesse de course bien supérieure à celle d’un humain normal, me permettant de rapidement rattraper la femme :

« Arrêtez-vous ! Vous êtes en état d’arrestation !! »

Ce qu’elle ne fit pas, classique pour quelqu’un qui a quelque chose à se reprocher. Ou alors elle n’avait pas entendu. Dans le doute je fis feu à deux reprises de chaque côté de ses pieds, d’ordinaire le vacarme de la détonation suffisait à remettre les idées en place.
Un instant de perturbation dans la course que j’utilisai pour lui sauter dessus, remerciant la puissance de ces nouveaux mollets montés sur une combinaison de ressorts et de piston. Un petit bijou de technologie de mon papa ! Mais bref, en plein air je jetais le fusil dans mon dos, la sangle lui permettant de glisser efficacement sans disparaitre dans le décor, et sorti ma paire de menottes.

« J’ai dit ARRÊTEZ-VOUS ! » Aboyai-je en lui retombant dessus, du haut de mes presque 130kg plus la force due à ma vitesse peut-être un peu excessive. « Vous êtes en état d’arrestation et ce n’est pas une question ! Vous avez intérêt à avoir une excellente excuse pour ne pas vous retrouver derrière les barreaux madame, pour agression dans un lieu public et tentative d’agression sur une agente de la Marine durant son service ! »

Le clic des menottes se refermant sur ses poignets retentit.

« Qu’avez-vous à dire pour votre défense ? »
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Il était une fois dans Shell Town

With Lucy Emerald


Dans la venelle qu’elle venait d’emprunter, la rose entendit la plainte d’une grand-mère qui venait d’être bousculée. La vieille marchant désormais avec trois pattes n’arrivaient plus à se relever. Dans ses plaintes, elle mentionnait un sacripant porteur d’une coupe de cheveux extrêmement voyante. Sûrement le type que l’albinos recherchait. La hors-la-loi s’approcha de la mamie et l’aida à se relever. Un geste de gentillesse plutôt rare chez la Rosenberg qui possédait désormais une très longue liste de meurtre qu’elle avait commise. Cependant, Jaina garda au fond de son âme une part de bonté. Normalement, cette chose était seulement réservée à sa famille.

« Merci jeune fille. » fit la grand-mère qui tremblait comme une feuille. Honnêtement, Jaina se demanda si l’ancêtre allait arriver à poursuivre sa promenade sans tomber une nouvelle fois. Elle haussa ses épaules et songea qu’il ne s’agissait pas de son problème.

« Le type dont tu parles la vieille, il avait une coupe afro ? » Jaina effectua une représentation grâce aux gestes de ses mains. La femme âgée hocha positivement la tête et pointa faiblement son index dans la direction où le fuyard s’était enfuit.

La cow-girl tira son chapeau pour remercier la mémé et se précipita au pas de course, ou plutôt au galop pour respecter le langage des habitants d’Hat Island. Hélas, lors de sa précipitation, une nuisance revint ennuyer Jaina. La soldate qui cachait des compétences de cyborg réduisit considérablement la distance qui la sépara de l’albinos. Elle souhaitait que Jaina s’arrête, un ordre que la rebelle préférait ne pas obéir.

« Comment elle a fait pour me rattraper aussi vite ?! » rouspéta elle-même la renégate qui jeta en arrière un regard à sa poursuivante. « Va jouer dans le bac à sable, tu ne m’intéresses pas ! » fit Jaina qui écarquilla soudainement ses iris rubis en découvrant que la soldate lui tira dessus.

Les balles ricochèrent près de ses pieds et la prétendante au titre de Reine du tir jugea que les coups de feu de la demoiselle étaient considérablement lamentables. Sortant son revolver porteur du prénom de Pearl, la même arme ayant permis à Jaina de s’échapper des griffes de sa nouvelle ennemie, la cow-girl s’apprêta à riposter. Seulement, la cyborg posséda plus d’un tour dans son sac. Elle bondit comme une gazelle ou un kangourou pour mettre à terre la hors-la-loi.

Durant sa vie, Jaina avait connu bons nombres d’aventures. Une seule fois avec un jeune-homme qui la fit tomber enceinte et d’autres péripéties luxuriantes avec des donzelles. Mais jamais ô grand jamais une femme lui avait sauté dessus par cette façon pour la menotter à la suite d’une grande rapidité.

Impossible pour Jaina de se dégager surtout avec ses menottes. De plus, cette femme détenait un poids impressionnant. Fort heureusement son revolver était à portée de mains. Il lui suffisait simplement de basculer ses mains jointes en haut de sa tête pour saisir l’arme à feu. Alors, pour distraire la femme de la loi, Jaina se redressa comme pour vouloir effectuer un mouvement d’abdos et joignit ses lèvres contre la soldate. Son action effectuée qui normalement devrait surprendre la cyborg, Jaina attrapa son flingue et tira contre le mur. La balle ricocha et coupa la chaîne entre les menottes. Les mains de la tireuse se retrouvaient libre avec en plus les bracelets des pinces autour des poignets.

« Désolé chérie, j’ai rendez-vous avec un menteur aujourd’hui et les femmes de loi ne m’ont jamais attiré. » Par sa vitesse de son Fast Draw, elle sortit de son ceinturon son mini fusil à canon scié et tira derrière soi. Pour une position couchée qui fut actuellement le cas pour la rose, le tir vint partir du haut de la tête. La force du tir poussa Jaina pour ne plus être entre les jambes de son opposante.

Se relevant, faisant face à la soldate, Jaina pointa son revolver Pearl et son fusil à canon scié Hutch sur la jeune femme.

« Les mains en l’air, sinon… » commença à menacer la cow-girl à la cyborg. Elle dévia son fusil en direction de la mamie qui vint rejoindre les demoiselles. « …je fume l’ancêtre. » Sa bonté pour la vieille branche disparue aussi vite qu'une balle propulsée par le percuteur...

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