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Ojom - Oeil des Profondeurs [Terminée]

OjomL'Oeil des Profondeurs

Age : 31 ans
Sexe : Homme
Race : Homme-Poisson
Métier : Médecin itinérant / Fugitif
Groupe : Civil
But : Percer les secrets de ce monde
Équipement : Trousse de soin, un carnet de croquis, un kimono noir
Parrain : /
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Codes du règlement :

Description physique

Ojom est un Homme-Poisson de type requin-lézard, un prédateur qui évolue d'ordinaire dans les abysses les plus sombres de l'océan, loin de toute lumière. Et en parlant d'obscurité, il vaudrait probablement mieux qu'Ojom y reste autant que faire se peut. En effet, même selon les critères esthétiques plus que souples de ses congénères, Ojom est... moche. Ou peut-être serait-il plus exact de dire que son apparence a quelque chose de dérangeant, pour ne pas dire d'angoissant. Sa mâchoire, figée en un éternel rictus, peut se disloquer pour s'ouvrir à la manière de celle d'un serpent, dévoilant des rangées de dents fines comme des aiguilles. Sa peau noirâtre, presque translucide, expose nerfs et veines pulsant sous ses écailles. Mais ces petites bizarreries physiques ne sont rien à côté du malaise qui étreint le cœur lorsque l'on croise son regard. Ses yeux globuleux sont deux perles noires sans éclat, des orbes de vide cernées qui semblent aspirer l'âme autant que la lumière. On ne peut y lire aucune émotion, aucun indice sur les pensées de leur propriétaire, juste l'obscurité glacée des abysses qui sans cesse épient les malheureux assez fous pour s'y plonger. Sans même des paupières à cligner pour offrir ne serait-ce qu'un instant de répit à ses interlocuteurs, Ojom paraît toujours fixer intensément ceux devant lui comme un chat dévisageant une souris captive, prêt à bondir pour les saisir de ses longs doigts griffus. Même sa voix est un entre-deux désagréable entre un sifflement et un raclement. Qui peut-on blâmer d'être mal à l'aise en pareille compagnie ? Si d’autres hommes-poissons peuvent passer outre la majorité de ces étrangetés, du point du vue d’un humain, Ojom est une chose alien, un monstre que l’instinct de survie hurle d’éviter à tout prix. Au grand dam du concerné.
Et cette étrange impression qu'il dégage n'est en rien aidée par sa grande stature, dominant nombre de ses congénères du haut de ses presque trois mètres. Pourtant, il n'a guère l'air robuste, c'est même tout le contraire. Des bras bien trop longs ballottent de part et d'autre d'une silhouette serpentine filiforme et son dos malingre peine à supporter le poids de la grande nageoire à l'arrière de son crâne. Sa posture voûtée et sa démarche ondulante laissent penser que son corps est plus adapté pour se faufiler dans d'étroits tunnels que pour arpenter la terre ferme... Et c'est plus ou moins le cas en fait. Ojom a passé le plus gros de sa vie sous l'eau et s'il est une véritable anguille dans son environnement, son équilibre sur le plancher des vaches est encore assez approximatif. Les mouvements à la surface lui viennent peu naturellement et ses muscles peinent encore à compenser le confort que lui apportaient les profondeurs. Il suffirait d'une bousculade un peu violente pour renverser ce grand dadet à l'air souffreteux... Enfin, pas tout à fait. Car si Ojom n'a rien d'un chêne solide, il emprunte volontiers au roseau et ses membres souples sont capables de détentes fulgurantes, contrastant avec ses mouvements placides. Il a peut-être du mal à courir sans se prendre les pieds, mais est tout à fait à son aise quand il s'agit de se contorsionner dans d'improbables postures après une chute.
Dans une veine similaire à ses difficultés à se déplacer hors de l'eau, Ojom peine en pleine lumière. Ses yeux luminescents, habitués aux profondeurs, réagissent mal à la lumière agressive du soleil et sa peau est trop fine pour en absorber pleinement les rayons. Et si les vêtements offriraient une protection bienvenue, ils lui paraissent inconfortables, le frottement du tissu irritant facilement ses écailles fragiles. Il se contente ainsi du strict minimum pour éviter l'indécence. Un pagne fait le plus souvent l'affaire, mais un kimono léger vient compléter la garde-robe lorsque cela s'avère nécessaire.

Description psychologique

S'il a l'air d'une créature alien intimidante, la personnalité d'Ojom est au diapason de la menace qu'il inspire. Loin d'être un prédateur prêt à bondir depuis l'obscurité, l'Homme-Poisson est de ceux qui préfèrent rester tapi dans l'ombre. Pas par couardise non, ce n'est pas là une question de peur. Le requin-lézard a simplement toujours été plus à son aise sur le banc de touche qu'en pleine lumière, dans tous les sens du terme. Aussi loin que remontent ses souvenirs d'alevin, Ojom a toujours préféré observer qu'agir. Déjà petit, il regardait les autres jouer depuis sa cachette sans jamais ressentir le besoin de prendre part à l'action, parfaitement comblé par le rôle passif de spectateur. Et c'est ainsi qu'il a vécu depuis lors, expérimentant les plaisirs de cette terre au travers des autres, se plaçant hors du monde qu'il l'a vu naître, témoin silencieux des merveilles de l’océan. Lui qui est vu comme si laid est tombé éperdument  amoureux de toute la beauté que renferme cet univers.
Cette curiosité dévorante pour tout ce qui est et tout ce qui pourrait être est de loin le plus gros moteur de son existence. Lorsqu’il se passionne pour un sujet, il cherche à absorber la moindre bribe d’informations, quitte à délaisser tout le reste jusqu’à ce que sa soif soit enfin étanchée. Plus d’une fois cela l’a amené à négliger sa propre santé alors qu’il laissait défiler des jours entiers, le museau enterré dans les livres. La seule action d’apprendre quelque chose de nouveau emplit son cœur d’un incomparable sentiment de sérénité. C’est hélas aussi un défaut. S’il est plutôt passif de nature, Ojom ne laisse que peu de choses entraver cet unique désir qui le dévore. S’il doit faire preuve d'égoïsme pour satisfaire sa curiosité alors ainsi soit-il. Il n’y a pas de grande justification morale derrière tout ça, pas de prétention à rendre le monde meilleur avec son savoir. Il n’y a qu’une volonté presque immature de comprendre et puis c’est tout.

L’un des sujets qui occupe le plus ses pensées est sans aucun doute les humains. Si le monde de la surface en général est sujet à toutes ses convoitises, c’est bien l’espèce qui le domine qui l'intéresse le plus. Leurs moeurs, leurs systèmes politiques, leurs cuisines, leur anatomie… Tout est si… Vibrant. Physiquement ils sont certes moins variés que les Hommes-Poissons. Généralement moins puissants aussi. Mais tout le reste de leur identité est faite de contrastes, d’incohérences et de merveilles tout à la fois, formant un somptueux chaos qu’il faudrait plus d’une vie pour pleinement comprendre. Ojom n’a d’ailleurs appris la médecine que par envie de comprendre leur fonctionnement, comme un enfant qui se prend de passion pour la mécanique de ses jouets. Le racisme qui anime nombre des siens lui passe complètement au-dessus de la tête. Après tout, il n'y a finalement pas de si grande différence entre la manière dont les hommes et ses congénères le traitent alors pourquoi haïr l’un et pas l’autre ? Il n’a jamais été très doué pour former des connexions émotionnelles avec qui que ce soit, fussent-ils poisson ou primate.


Hélas il n’est pas facile pour Ojom de les observer autant qu’il le voudrait. Il ignore si son apparence peu orthodoxe n’est qu’un exemple de plus de la grande diversité au sein de son espèce ou s’il s’agit de réelles difformités, mais il ne fait guère d’illusions quant aux sentiments qu'il inspire aux autres, en particulier les humains. Et si effrayer les humains qu'il chérit tant ne lui procure aucune forme de joie, Ojom ne s'est jamais senti particulièrement complexé par celui qu'il était. Ce corps est le sien et s'il vient avec son lot de challenges quotidiens, il n'a jamais représenté une source de honte à ses yeux. Éprouver de la rancœur envers son enveloppe charnelle lui paraît un exercice bien futile, alors pourquoi s'en encombrer ? Sa vie serait-elle plus confortable sans ces constants rejets ? Peut être. Surement. Mais cette existence-là, ce ne serait plus la sienne. Ojom est en paix avec le fait d'être Ojom, quand bien même d'autres préféreraient sûrement qu'il fut autre chose.



Biographie

C'est dans les abysses, parmi les ruelles pauvres du Quartier des Hommes-Poissons, que commence l'histoire d'Ojom. Une épopée qui, il faut le dire, n'avait que peu de chances d'avoir plusieurs chapitres. La vérité crue est que ses parents étaient pauvres. Pas assez pour ne pas avoir un toit au-dessus de leur tête, mais suffisamment pour voir approcher chaque fin de mois avec la boule au ventre. Son père travaillait dans un grand atelier de dépeçage et passait ses journées à voir défiler les carcasses encore remuantes de la poiscaille du jour tandis que sa mère complétait leurs revenus à coups de petits boulots ici et là. Des existences insipides comme il en existe une infinité, tant sur que sous les océans.
Hélas, Ojom ne fut pas le rayon de soleil qu'espéraient ses parents pour illuminer leurs vies sordides. Et si les grimaces gênées des sages-femmes devant cet alevin disgracieux n'étaient qu'un prélude, la suite ne tarderait pas à confirmer leurs craintes. Pour ses parents, le requin-lézard était un gosse... bizarre. Trop silencieux, trop calme, il donnait sans cesse l'impression de n'être pas tout à fait là. Il mangeait normalement, grandissait normalement (bien que son apparence ne s'améliorait guère avec le temps), n'était ni violent ni pleurnicheur, mais c'était comme si une connexion ne s'était pas faite dans son cerveau. Même entouré d'amour, il restait placide et ne témoignait que rarement d'affection en retour. Il se contentait d'être là, avec ses yeux globuleux et vides. Ils comprirent bien vite qu’ils n’obtiendraient pas de lui la dynamique familiale qu’ils convoitaient. Un fossé émotionnel se creusa et n'eut de cesse de s'élargir d'année en année.
Mais le problème n'était pas là où ils le pensaient. Ojom les aimait tous les deux; dans son petit cœur de bambin, brûlait une flamme qui n'avait rien de si différent de celles des autres. Son apparente froideur n'était que la face émergée d'une incapacité à communiquer ses émotions. Pleurer, rire, hurler, ces choses qui viennent d'ordinaire si naturellement durant le développement étaient pour lui des obstacles à franchir. Son amour était silencieux, invisible... Malheureusement, aux yeux du monde, une tendresse non exprimée pourrait aussi bien ne pas exister. Et cela finit par avoir raison du lien qui unissait ses parents. La pression quotidienne de vivre dans la pauvreté, jumelée au fardeau que représente l'éducation d'un enfant qui ne correspondait pas à ce qu'ils avaient tant espéré, étaient un poids trop lourd. La mère d’Ojom partit du jour au lendemain, ne laissant derrière elle qu’un mot dont le requin-lézard ne sut jamais le contenu.
Le reste de l’enfance d’Ojom fut rude, mais bizarrement plutôt bien adaptée à sa personnalité. Incapable de se faire des amis, il se complaisait dans le rôle de spectateur, regardant les autres jouer depuis un recoin sombre près du terrain de jeu. Lorsqu’il était repéré, il prenait la poudre d’escampette sans dire un mot. Son père, quant à lui, n'avait guère plus de temps à lui consacrer et c’est ainsi que le jeune garçon se retrouva à passer le plus clair de son temps à arpenter seul le Quartier des Hommes-Poissons et ses environs. Et dehors, loin de cette maison où il avait bien senti qu’il n’était plus vraiment le bienvenu, c’était justement là où il voulait être.
Ce monde étrange qui l’entourait éveilla rapidement sa curiosité pour tout un tas de sujets. Les bêtes improbables qui arpentaient les profondeurs. Les habitudes farfelues des habitants et surtout… Les humains et les bizarreries de la surface qu’ils amenaient. La bulle d’air encore présente rendait leur observation aisée, et Ojom tomba amoureux de ces drôles de primates et de leurs merveilles. Marchands et pirates comportaient une grande portion de weirdos, tous avec des histoires fascinantes à raconter, chacune peignant la fresque d’un univers entier de choses à découvrir.
Ojom passait ses journées près des points d’approches des navires étrangers. Il y aurait passé ses nuits s’il l’avait pu. Il n'avait jamais vraiment assez d'argent pour s’offrir leurs produits, mais il était suffisamment fouineur pour mettre la main sur tout ce qui était laissé à l’abandon. Ordures, matériel obsolète et même effets personnels des morts, tout était un trésor à récupérer, à observer, à comprendre. Et si rien n’avait la bonté de se présenter à lui, l’hideux petit poisson n’était pas au-dessus du chapardage. C’est ainsi qu'un jour, complètement par hasard, il s’empara de la trousse d’un docteur de passage et commença à en dévorer les ouvrages. Veines et artères, os et nerfs, autant de chemins et de routes à explorer, c’était grisant!
C’est toujours tapi dans la pénombre que l’enfant devint un adolescent. Puis un adulte. Il était comblé par cette existence que beaucoup auraient décriée comme mortellement ennuyeuse. Et puis un jour, il y a 5 ans de cela, les ambitions politiques de certains vinrent ruiner son plaisir. Le putsch de Toji fut un spectacle fantastique à observer, un événement historique fascinant!... Mais ses conséquences furent tragiques pour le grand fan des humains qu'était Ojom. La ville fut noyée, la zone accessible à ceux de la surface réduite à peau de chagrin et le passage des voyageurs réduit à son strict minimum. Les tensions entre les espèces étaient à leur paroxysme. Le flot des nouveautés était en train de se tarir et ça lui était insupportable. Malheureusement, le poisson des profondeurs était trop faible pour franchir les abysses habitées par les rois des océans. Et trop pauvre pour se payer un billet à bord d’un navire digne de ce nom. Rejoindre l'Espérance? Autant attendre un miracle. Alors il fit ce qu’il faisait de mieux : Il se cacha dans les recoins obscurs d’une cale choisie au hasard, plaquant tout derrière lui pour se lancer à l’aveugle dans une aventure.
Le navire dans lequel il avait embarqué leva l’ancre pour West Blue. Pour la première fois de sa vie, la créature des profondeurs put voir le véritable soleil, si brillant, si majestueux… Et retourna aussitôt se planquer dans le noir. C’est que c’est sublime, mais ça brûle ce truc. Dans un monde parfait, Ojom aurait pu finir par se dévoiler à ses “hôtes”, les rejoindre et vivre de glorieuses aventures à l’air libre. Dans la réalité cependant, la chance n'étant pas la première qualité de l’Homme-Poisson, son statut de passager clandestin fut découvert peu de temps après avoir atteint la surface. Et le pauvre marin qui tomba sur cette créature terrifiante sur le chemin des toilettes n’eut pas la réaction la plus accueillante. Malgré ses efforts pour fuir dans les bras accueillants de l’océan, le requin fut capturé et mis aux fers. Les marchands pensaient avoir attrapé un genre de monstre, un mutant encore plus laid que les autres membres de son espèce. Sûrement que quelqu’un trouverait un intérêt à cette… chose. Et justement ils connaissaient un territoire friand de remèdes étranges…
A peine quelques jours plus tard, il fut vendu sur un marché sur l’île de Kanokuni, un territoire humain déchiré par des guerres intestines constantes. Son nouveau “propriétaire” était un homme de science, un médecin de la cour de l’empereur qui espérait tirer quelques précieuses données des organes de cet être étrange. À défaut, il pourrait toujours le découper en morceaux et le vendre comme médicament contre l’impuissance. Mais Ojom put mettre ses propres connaissances à profit pour prolonger sa vie. La terre où il avait échoué n’était pas si différente de la sienne: les contacts avec l'extérieur étaient limités, la culture isolée et les connaissances jalousement gardées. L’Homme-Poisson avait lu des ouvrages venant des quatre océans et plus encore, et il en avait mémorisé chaque ligne. Le maître comprit bien vite que cette créature pouvait faire avancer ses recherches autrement qu’au travers d’une dissection. Tout hideux qu’elle soit, cette nouvelle acquisition était plus utile vivante que morte… Du moins jusqu’au jour où elle n’aurait plus rien d'intéressant à partager.
Le monde d’Ojom était limité par les barreaux de sa cage. Si son propriétaire était assez magnanime pour le laisser vivre, il était hors de question qu’un monstre soit autorisé à arpenter les couloirs du palais. Pas plus qu’il n'avait envie qu’on apprenne que le mérite de ses brillantes découvertes revenait en partie à une abomination. Mais vivre caché dans une cave comme un secret honteux était une vie déjà familière à l’amphibien captif. Il attendrait. Guettant. Observant. Comme toujours. Et ce sont les flammes de la révolte qui vinrent faire fondre ses chaînes. Combien de temps avait-il passé ici ? Des mois ? Des années ? Il n’en avait pas la moindre idée. Il s’était délecté des rares avantages de sa captivité. Avait dévoré la moindre miette d'information qu’il obtenait de son geôlier. Des détails sur les pratiques des gens de cette île, sur leurs manières, leur façon de parler, de se vêtir, de penser, d’aimer. Le monstre en cage était devenu le confident silencieux de son bourreau, le spectateur forcé de ses frustrations et de ses colères. C’est à travers lui qu’Ojom entendit gonfler la tempête à venir. Et lorsque le chaos envahit les couloirs du palais, le monstre saisit l’opportunité de se dérober à sa prison. Il avait jadis parcouru des ouvrages sur les arts martiaux de son peuple, plus par curiosité que par réel désir d’apprendre à se défendre. Mais cette vie enfermée dans le noir lui avait laissé tout le temps nécessaire à un peu de mise en pratique. Il n’avait pas la force de rompre l’acier, mais écarter légèrement ses barreaux pour se faufiler entre les mailles du filet? Rien de bien compliqué pour quelqu’un de son anatomie. Comme un serpent qui se glisse dans l'herbe, il s'enfuit dans l’obscurité, trouvant refuge dans la vase des douves jusqu’à atteindre la liberté.
Et maintenant qu’il est libre… Quelle nouvelle découverte le monde a-t-il encore en réserve pour lui?

Informations IRL

  • Votre prénom / pseudo : Adrix / Viyers
  • Êtes-vous majeur ? Oui
  • Vous aimez / n'aimez pas : Le rp, les trucs bizarres / faire tout le temps la même chose
  • Votre personnage préféré (de One Piece) : Mr 2
  • Vous vous définiriez comme : Un stéréotype de geek jeune papa
  • Vous faites du RP depuis : Ca va faire 18 ans, avec un niveau d’activité variables
  • Vos disponibilités (approximatives) : Très variable
  • Comment avez-vous connu le forum ? J’étais déjà venu ici il y a 8 ans!
  • https://www.onepiece-requiem.net/t27334-ft-ojom#282015
  • https://www.onepiece-requiem.net/t27313-ojom-oeil-des-profondeurs-terminee
Re-bienvenue sur OPR !


Pour la forme:
J'ai été un peu dérangé par le fait que tout donne le sentiment d'être un bloc compact, mais en dehors de ça, vraiment rien à dire. Belle plume, très peu de fautes, c'était agréable à lire.

Pour les descriptions:
Du très bon, on visualise parfaitement bien le personnage et on comprend qui il est. J'ai personnellement du mal à le voir comme effrayant, au vu de ton avatar, mais je peux comprendre ce que tu veux dire par là. Sa curiosité dévorante le rend très intéressant, et vu la quantité de choses à apprendre et découvrir sur un monde pareil, c'est un très bon axe à explorer. Pas grand chose de plus à dire, le personnage est cohérent physiquement et mentalement.

Pour l'histoire:
L'intégration au lore est appréciable et saluée, c'est toujours bien de faire cet effort. Pour le reste, y'a le coup classique de l'homme-poisson qui devient esclave, mais là ça dure, et surtout, il tire clairement tous les avantages possibles de la situation. J'ai trouvé que c'était une approche intéressante et très cohérente avec le personnage.


Tout ça pour dire que je te valide donc à 750 dorikis en tant que civil.


Pour la suite: direction la confection de ta FT et le recensement de ton avatar.


Bon jeu et amuse toi bien sur OPR.
  • https://www.onepiece-requiem.net/t23698-fiche-technique-ambrosia
  • https://www.onepiece-requiem.net/t23692-ambrosias-proteger-servir-et-traquer#250544