>> Samuzora Kogarashi
 | Pseudonyme : Zora pour les intimes Age: 21 Sexe : Homme Race : Humain Rang : Au bas de l'échelle Métier : Il est incompétent dans à peu près tout Groupe : Révolution s'ils veulent de moi Déjà un équipage : On m'en a pas informé But : Renverser le gouvernement (Désolé pour le cliché) Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Un Meitou, le Shuusui ce serait bien.. Oh ouais Équipements : Un sabre basique qui peut peut-être démembrer quelqu'un Codes du règlement (2) : Parrain : Même pas |
>> Physique Pour ceux qui auront à se frotter à lui, Zora mesure dans les 1 mètre 75, c'est sûr c'est pas très grand, mais ça permet de se fondre dans la masse. Le poids, très important, environ 80 kilos et que du muscle. Bon.. pour les détails superflus, des yeux bruns assez impertinents, pareil pour les cheveux qui sont également assez longs pour lui tomber jusqu'au milieu du dos. Sans pour autant en prendre soin chaque jour, il a une chevelure plutôt bien entretenue. Il la complète parfois en enfilant un bandeau d'un blanc immaculé pour éviter d'être privé de sa vue. Elle met en valeur son visage lisse couleur sable, les femmes adorent. Un peu plus bas il y a ses épaules, pas très larges, mais plutôt solides et souples pour lui permettre ses grands mouvements de bretteur. Car il faut préciser que ces 80 kilos de muscle lui donnent un physique athlétique des plus enviables. Ses mains sont relativement grandes, pour une emprise impeccable sur la plupart des sabres qui lui sont passés entre les doigts. Il ne porte jamais de gants pour la même raison. Son habillement se résume à un habit de samouraï classique, sans armure superflue, des bottes qui fournissent le nécessaire et un fourreau pour y fourrer son sabre. Ses expressions faciales se résument pour la plupart du temps à l'indifférence, son regard n'attire donc que très rarement les inconnus qui ont envie de raconter leur vie. >> Psychologie Zora est un homme très distant et n'a que très peu de relations, seulement quelques amis et le peu de famille qu'il lui reste. Il adopte pour la plupart du temps une attitude d'indifférence envers les autres et ne cherche pas à développer des liens avec ceux qu'il croise. Il n'est pas très habile pour entretenir des relations avec les autres et à du mal à obtenir la confiance, même de ses proches. Ses sorties se résument au strict minimum et se déroulent pour la majeure partie en solitaire, pas qu'il aime particulièrement se retrouver seul, mais il n'apprécie pas les gens en général. Ce n'est pas non plus une personne des plus généreuses et il ne tend pas à partager ses biens avec le premier venu, ce qui lui vaut également un soutien négligé de la part du petit peuple. Bien que Samuzora soit une personne bien instruite et éduquée, il ne parle pas beaucoup et se tient dans des places mal famées. Son tempérament instable et son manque de patience causent parfois chez lui des sauts d'émotions et il lui est facile de faire une montagne avec un rien. Ce n'est finalement pas le genre de personne que l'on souhaite avoir comme ami. Il n'est cependant que très peu rancunier et il peut facilement entretenir des relations avec un ancien rival, si bien qu'il est difficile de dire si ses connaissances sont ses amis ou ses ennemis. Ce jeune homme n'a pas de véritable but bien motivé dans la vie si ce n'est que de semer le trouble au sein du gouvernement. Il n'y cherche pas non plus de sens particulier et vie au jour le jour. >> Biographie Pour la petite histoire, Zora est né sur une île de Grand Line, une grande. Il ne se rappelle rien, mais cela demeure pour lui une origine d'une grande valeur. Il n'y est pourtant pas resté longtemps, son père ayant régulièrement des démêlés avec les trafiquants du coin. Il fallut rapidement changer d'endroit au risque de voir sa famille séparée. Peu après que ses parents se soient posé sur leur nouveau lieu de résidence, le jeune Kogarashi se trouvait déjà à l'étroit et n'appréciait aucunement la petite vie rangée qu'il menait avec sa mère. Le rôle d'homme de maison qu'il dut jouer plus tard et qui lui avait été imposé par le départ prématuré de son père ne lui plaisait guère davantage. De plus, les tentatives désespérées que faisait le jeune homme pour obtenir un emploi convenable menaient inévitablement à l'échec. Il ne s'ouvrait pas beaucoup aux autres et se contentait de gérer ses affaires, ce qui lui coûtait bon nombre de ses relations qui étaient pour la plupart éphémères. Lorsqu'il décida de prendre les choses en mains, âgé alors de quinze petites années, il entreprit de se présenter comme homme à tout faire dans la marine pour éventuellement gravir les échelons et obtenir un statut respectable.. Ce qui ne ferait pas de tort à sa vie misérable. Malheureusement pour lui, ce qui l'attendait dans ces QG était loin de ce que lui permettait normalement son attitude de fainéant et il eut du mal à s'y faire. En fait il ne s'y fit jamais. Ce séjour prématuré dans la Marine qui avait au départ pour but de renforcer son caractère et lui permettre de s'affirmer ne fournit finalement à Zora que plus de raisons de se refermer sur lui-même. Ses relations avec les autres hommes à tout faire n'étaient pas excellentes et elles étaient pires avec les hauts-gradés. Ces hommes qui se trouvaient tout en haut de l'échelle se permettaient des choses qu'il jugeait déplacées. Kogarashi n'était aucunement habitué à ce genre de routine et se lassa très rapidement de répondre aux exigences de ses supérieurs. Lorsqu'il obtint finalement un grade plus important que celui de journalier, il tenta de faire une demande au gouvernement, pour un travail plus gratifiant. Il se vit refuser cette demande car on demandait de lui une famille respectable et une éducation dans un milieu plus valorisé. Cette dernière nouvelle mit fin à sa patience maintenue durant deux années durant et il remis son uniforme. Suite à ce parcours peu convainquant chez la Marine, il utilisa ses deux années d'apprentissage pour perfectionner ses techniques au sabre, ce qui n'était jusque là pas la chose la plus importante qu'il avait à accomplir. Pour la première fois, il ressentait une certaine motivation à faire quelque chose de sa peau et utilisait son temps à bon escient. L'entraînement fourni par la Marine durant ces deux années de travaux n'était certes pas des plus rigoureux, mais lui offraient une base de technique convenable pour son niveau. Maintenant devenu un homme, il savait utiliser un sabre assez bien pour se défendre dans les situations qui le demandaient, malgré le fait qu'il n'ait pas pu garder sa fonction plus de deux ans. Il n'était maintenant plus question de retourner vivre dans son lieu d'enfance et il était clair qu'il n'avait aucun avenir dessiné devant lui, se contentant pour les mois à venir d'errer dans les petits villages et de chercher de quoi manger. Ne faisant que rarement du socialisme avec les gens qu'il croisait ici et là. Pour le peu qu'il rencontra durant ces quelques années suivants son retrait de la Marine, ceux-ci n'étaient généralement pas ouverts à rendre service et le traitaient pour la plupart comme un moins que rien. Ce comportement de la part des officiers contribua à nourrir une haine envers chaque individu portant un uniforme, membre du gouvernement ou de l'institution pour laquelle il avait tout de même donné les deux années les plus éprouvantes de sa jeune vie. ..To continue >> Test RP Prisonnier de cette ville depuis maintenant quatre jours, entouré de nobles et privé d'air frais, c'était déjà mal parti. Si on ajoute à ça l'absence totale de personnes susceptibles de vouloir engager la conversation, le séjour à Goa sera long. Quatre jours et ça sans compter les deux nuits à chercher un endroit par lequel on veut bien laisser entrer un jeune itinérant vêtu de vert décoloré. Si on laisse de côté tous les nobles qui se prennent trop au sérieux au milieu de cette ville, il reste au moins une centaine de candidats pour le rôle de recruteur. Zora savait pourtant très bien qu'avec ses comportements distants et son regard saturé d'indifférence, il risquait plutôt d'attirer les trafiquants et tous les pas nets qui traînent dans les mauvais quartiers. Ce qui, a priori, n'est peut-être pas une si mauvaise idée. Après tout, qui serait assez fou pour se montrer au milieu de la foule composée de nobles et de qui sait quoi d'autre. Sur ces réflexions solitaires, le dénommé Samuzora pris le chemin des bas quartier, des ruelles sombres et des chiens boiteux, endroit propice pour de potentielles réunions des ennemis du gouvernement. C'est effectivement une fois les pieds mis sur ce sol humide que le jeune homme compris qu'il n'était plus possible de faire marche arrière. Une fois ce trajet parcouru, c'est qu'on a quelque chose à cacher. Ou bien à chercher, pour ce cas précis. Les regards sombres s'enchaînant les uns après les autres en direction du pauvre ex-Marine, celui-ci fit son chemin au travers des nobles déchus et des trafiquants d'armes, cherchant désespérément un regard moins douteux pour y fixer le sien. Seulement trois minutes s'étaient écoulées depuis son apparition dans l'ombre du premier immeuble de la rue que déjà l'impression d'être un intrus ne laissait plus place au doute. Des bouteilles cassées jonchaient le sol de tuile mouillée, des barils vides, des caisses de bois en quantité plus que suffisante, mais il n'y avait toujours aucun signe de ces mystérieux membres de la révolution. C'est finalement en tournant son troisième coin de rue, sueur au front, que l'itinérant compris que sa présence avait été remarquée. Une main charnue couverte de cicatrices se déposa sur son épaule. Déposer pour être poétique, car elle l'agrippa davantage, avec tout son vêtement en prime. Il n'eut pas à se donner le mal de regarder le visage de son agresseur, car celui-ci se retrouva devant lui la seconde qui suivi, le plaqua au mur de briques rouges sang sans avoir l'intention de laisser échapper sa prise. Face au regard épouvanté de Kogarashi, la grosse tête chauve se décida finalement de laisser passer quelques murmures entre ses lèvres blanches ; Écoute bien mon gars, d'habitude on liquide les mecs dans ton genre avant même qu'ils aient le temps d'ouvrir la bouche. Mais on s'est dit qu'aucun foutu ancien marine serait assez crétin pour venir jouer les taupes chez nous sans même chercher à se planquer. A moins que tu ne veuilles vraiment servir la cause...Alors on a décidé de te donner ta chance. Demain matin sur la jetée quatorze y'a un transport d'esclaves qui débarque sa cargaison. Débrouille toi pour foutre le bordel et occuper les gardes. Et si tu te démerdes bien il se pourrait qu'on se revoit pour parler de tes projets... L'homme relâcha son emprise et retourna aussitôt sur ses pas, laissant le jeunot seul avec ses pensées. Inutile de se demander comment cet ogre su qu'il avait affaire à un ex-Marine alors qu'il avait devant lui un jeune homme vêtu à la mode des samouraï. Disons seulement que les révolutionnaires savent obtenir leur information quand ils en ont besoin. Le jeune su au moins comment il pouvait faire ses preuves pour démontrer sa haine envers ces personnages hideux. Il ne lui resta qu'à trouver cette fameuse jetée quatorze, sortir de ce trou pouvait être un bon départ. À peine échappé de ces ruelles puantes, Zora tomba face à face avec un membre de la classe supérieure. Chapeau haut de forme, gants blanc, pantalons repassés, la marque de classe. Autant profiter de l'occasion et ne pas avoir à perdre une minute de plus dans cette ville déjantée. Le garçon s'empressa donc de demander son chemin à l'homme timide qui ne semblait guère assumer sa noblesse; Pardonnez moi, auriez vous la gentillesse, par hasard, permettez, de m'indiquer l'emplacement de la jetée quatorze. L'air étonné, avec raison, il pointa derrière lui la plus grande porte qui perçait les murailles de la citée. Il fit alors un geste de la main pour retirer une poussière de son veston parfaitement propre, puis leva les talons. Se doutant qu'il en avait peut-être trop fait, l'apprenti bretteur se dirigea immédiatement dans la direction indiquée par l'inconnu. Le portail était alors gardé par trois hommes habillés de façon identique à l'attitude solennelle. Bien qu'il ne semblait pas être à sa place, personne ne sembla éprouver de difficulté à sortir de la ville, entrer y était toute autre chose. Kogarashi parvint donc à se libérer de Goa et poursuivit son itinéraire en direction du lieu du débarcadère. La nuit ne tardant pas à faire tomber son voile noir sur l'île, Zora s'empressa de trouver une cabane pour passer la nuit, pas trop éloignée des limites de la ville, ce qui lui permettrait d'arriver à l'heure au débarquement du lendemain matin. Une fois son coin préparé, il ne lui restait plus qu'à attendre le lever de soleil.. -------------------------------------- Une fois la grande lumière revenue, Zora remit son fourreau, vérifia son sabre et sorti de sa cabane pour finalement partir faire ses preuves, prouver qu'on hait quelqu'un devrait être chose aisée. Seulement quelques mètres devant ce qui restait de la porte de sa grotte faite de planches on pouvait déjà apercevoir les quelques dizaines de jetées qui s'enfonçaient dans la blue. Celle qui intéressait le jeune était la quatorzième, complètement à l'opposée de sa position. Le trajet pour s'y rendre se déroula sans problème, quelques vingts minutes de marche qui ne lui permirent pas pour autant de réfléchir à son plan d'attaque, son esprit étant déjà trop occupé par l'excitation du moment. Elle apparue enfin devant lui, la jetée quatorze. Le navire fut plutôt facile à repérer, il était seul. L'ex-Marine s'approcha à pas rapides en direction de celui-ci, tentant désespérément de trouver de quoi l'aider dans son opération, mais rien ne semblait pouvoir servir, sauf peut-être les cordages et les cages à homard. Rien permettant de faire de gros dommages en un court laps de temps. Ce qui se révéla être sa meilleure chance était le navire lui-même et l'eau qui l'entourait. Tout autour du navire se trouvaient au moins six gardes, bien armés, mais pas stressés pour un sous. Plus loin étaient disposés les esclaves, prêts à descendre de leur vaisseau. Zora arriva pile au bon moment il faut dire. Ce dernier se décida donc à tenter l'offensive sur les gardes pour commencer; Un premier s'avança vers lui, sceptique et tenta de savoir ce qui amenait ce jeune homme sur ce quai. La seule réponse qu'il réussit à obtenir fut un coup dans les côtes de la part du manche du sabre de l'ex-Marine. Cette agression ne suffit pas à le faire tomber et le bretteur renchérit en lui assénant un coup de sabre que le garde ne parvint pas à parer. Aussitôt l'homme tombé à l'eau, cinq autres foncèrent sur leur ennemi sans aucune intention de le laisser partir vivant. Les esclaves, assistant à la scène, profitèrent du moment pour se précipiter hors du navire, ce qui provoqua la réaction des gardes et amena bientôt trois d'entre eux à leur trousse. Cette poursuite déclencha vite la pagaille sur le quai, des dizaines d'esclaves se jetaient à l'eau pour échapper à leur poursuivant, pendant que d'un côté se tenait toujours Zora, face aux deux gardes, fusils en main. En sautant un mètre derrière lui, il réussit à couper des cordages auxquels étaient attachés des barils. Malheureusement, ils n'étaient pas remplis de poudre et cela ne permit qu'au bretteur de gagner du temps, mais tout de même suffisamment pour agripper des cages à homard et les jeter aux gardes, qui elles aussi, étaient reliées à d'épaisses cordes. Celles-ci se mêlèrent facilement aux jambes des gardes qui tentèrent de se débattre, en vain. Après avoir déconcentré ces deux garde, Zora se contenta d'éviter les balles qui sifflaient autour de lui et fonça sur eux pour les jeter à l'eau d'un coup de sabre comme le premier. Les esclaves s'esclaffèrent de joie, même s'ils étaient toujours victimes des démêlés avec les trois autres, qui rechargeaient maintenant leurs armes. Lorsque que le jeune épéiste tenta de neutraliser l'un d'entre eux, il se retrouva stoppé par sa lame. Cet homme n'entendait pas à rire et il le fit savoir assez tôt, il agrippa le bras de Zora et lui fit échapper son sabre, ce qui l'obligea à attraper les mains du garde pour éviter de se faire empaler. Maintenant tous jetés à l'eau, les esclaves se contentaient de regarder, quelques uns tentaient déjà de se sauver à la nage en direction de la plage la plus près. Ceux qui avaient tenté de résister aux gardes gisaient désormais sur le sol. L'ex-marine était donc seul pour faire face à ces trois esprits chauffés. Il essayait toujours de récupérer le sabre dans les mains de son adversaire lorsqu'un deuxième pointa son arme à feu vers lui. Manoeuvre risquée et de raison, Kogarashi se planqua derrière la fine-lame qui prit le projectile à sa place. Une fois son sabre de nouveau entre ses mains, il se dirigea en un éclair sur le navire. Les deux gardes le suivirent pour terminer avec un affrontement à l'épée. Poursuivit par les deux hommes, le jeunot entreprit l'ascension du mat dans le but de rejoindre le nid-de-pie, ce qu'il n'eut pas le temps de faire. L'un d'entre eux se débattait pour faire tomber le bretteur de son perchoir, mais il ne reçu qu'un coup de botte bien placé au visage qui le mit au tapis. Le second tenta pour sa part de nouveau le coup de feu, qui traversa l'épaule du perché, trop occupé par son escalade. Il n'eut pas d'autre choix que de lâcher sa prise et se contenta de planter sa lame dans la toile du navire dans l'espoir de ralentir sa chute. Surpris par le réflexe de Zora, le garde ne parvint pas à l'esquiver et reçu comme son confrère un coup au visage. Sa tâche était maintenant terminée, le trouble avait été semé, les esclaves libérés pour la plupart et les gardes tous dans l'au-delà. Le jeune homme utilisa un morceau de tissu provenant de la toile pour se faire un bandage improvisé à l'épaule droit. Cette blessure bien que douloureuse ne lui nuirait pas trop étant donné qu'il manie sa lame de la main gauche. Saluant de sa main toujours amovible les dizaines d'esclaves à la flotte, il se dirigea vers le quai voisin pour y trouver une barque qui lui permettrait de quitter cette rive. Il est sage en effet de ne pas trainer près du lieu de son crime pour les quelques jours qui suivent. Il entreprit donc la rame en direction du large pour se faire oublier un moment, le temps de prendre conscience de l'accomplissement de son premier service au profit de la Révolution. |
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Informations IRL
- Prénom : C'est même pas important
Age : 16 ans
Aime : Pas grand chose
N'aime pas : Beaucoup de chose
Personnage préféré de One Piece : Zorro (Désolé pour le cliché)
Caractère : Impatient, poli, impatient, ponctuel, pas très organisé, disponible.. Peut-être trop
Fais du RP depuis : Euhm, en fait y'a un tas de pauses au milieu donc je sais pas trop.
Disponibilité : Au moins chaque jour
Comment avez vous connu le forum ? Quelqu'un m'en a parlé je crois, me rappelle plus.
Dernière édition par Samuzora Kogarashi le Dim 19 Aoû 2012 - 19:34, édité 14 fois
