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À la recherche d'un forgeron.

Inu Town ... À ce qui parait, le capitaine a fait de sacré grabuge ici par le passé ! Mieux vaut ne pas crier sur le toit que je suis un pirate de son équipage ... Faisons profil bas jusqu'à ce que Tamashii Maria soit réparé, au minimum ! Cela dit ... Je ne suis pas contre laisser une marque de mon passage ! Mais ce n'était pour le moment, pas d'actualité.

La première ville que je visitais se nommait Chom. C'était une ville assez classe et calme, les gens s'y promenaient calmement, faisant leur shopping ou prenant un bain de soleil. Les enfants jouissaient de l'innocence pure et de l'inconscience, sans penser au futur. Bref, cette ville était calme et paisible. Pour moi aussi d'ailleurs ! Les mains dans les poches, le dos légèrement courbé, j'avançais lentement parmi les gens au regardant les enseignes afin de détecter une boutique pouvant m'aider dans mes désirs.

Par chance, le soleil brillait aujourd'hui, rendant les sourire des gens encore plus agréables et chauffant ma tête de manière à ce que je puisse sentir chacun des rayons envoyés par cette énorme boule de feu. Le ciel était d'un bleu écarlate régulier. Aucun nuage ne venait gâcher cette vue qui allait de par l'atmosphère. Je gardais la tête levée avec le sourire jusqu'à ce que je bouscule, involontairement un vieil homme.


-Oups, excusez-moi !

Celui-ci me fit un sourire et continua son chemin. Cette si petite marque de compréhension et de bonheur ne fit qu'augmenter mon appréciation d'un moment de paix après la mini-guerre qui s'était passé dans cette ville avec Nakimura et son équipage.

Cela dit, quelque chose avait faillit me gâcher ce moment de pur plaisir. En effet, une garnison de marine passa par là. Ne désirant pas me hâter vers une ruelle, trop suspect, je décidais de secouer et baisser légèrement ma tête, cachant ainsi mon visage par mes cheveux, ce qui me permit de passer inaperçu. Je relevais donc ma boite crânienne, passais ma main dans mes cheveux afin de les remettre en place et continuais mon paisible chemin dans cette douce ville.

Après avoir fait le tour de la ville et ne pas avoir trouvé de forge à proprement parler, je décidais de retourner sur mes pas, quand je vis une personne, avec une pioche de cassée dans les mains, se diriger vers une bijouterie et y entra. Ne savant pas exactement ce qu'il allait y faire, je décidais de m'asseoir non-loin et d'attendre que l'homme ressorte de la boutique.

Lorsqu'il en ressorti, un quart d'heure plus tard, il avait dans ses mains la même pioche, mais réparée cette fois ! Comment savais-je que c'était bien la même ? Car le manche ressemblait à un gourdin, autrement dit, le manche n'était pas d'origine à la pioche, il avait été fait manuellement. Je me secouais tout en douceur afin de faire partir les pigeons avec lesquels je m'étais occupé durant ces 15 minutes et avança vers cette bijouterie. J'entrais et je déposais mon sabre cassé sur le comptoir.


-Bonjour, je viens pour faire réparer mon sabre. Comme vous le voyez, il a été brisé à cinq centimètres du manche. J'ai eu de la chance, il n'a été brisé qu'en deux morceaux. Vous pouvez y faire quelque chose ? S'il faut un certain matériau, je suis prêt à aller le chercher, pour vous ! Je tiens vraiment à le faire réparer !
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Yukikurai était en train de travailler dans l’arrière-boutique quand il entendit une vendeuse lui crier qu’il avait du boulot qui lui arrivait. C’était le Paul, une vraie tête de pioche ce type, ça faisait au moins la millième fois qu’il venait faire réparer une de ses pioches et à chaque fois on lui disait de passer par derrière pour ça. C’était quand même une bijouterie à l’avant, il pouvait faire fuir des clients avec sa dégaine et sa pioche. Heureusement pour lui, le Jack avait pris trois jours de congé pour aller rendre visite à quelqu’un. Ça ne lui arrivait pas souvent, mais il avait dit que là c’était nécessaire. Il avait assez confiance en Yuki pour lui laisser l’arrière-boutique pour ce temps-là.

« Ha Paul, comment tu vas ? Tu as encore cassé ta pioche, on va croire qu’on travaille mal pour te la réparer, alors que c’est toi qui travaille trop. »
« Oh et Paul, regard tu fous de la terre partout. Tu as de la chance que Jack ne soit pas là sinon il t’aurait soufflé dans les bronches pour avoir sali la boutique. »
« Bon allez file-moi ton machin que je change la tête. J’aurai recoulé celui-ci pour la prochaine fois et on changera de nouveau. »


Le vieux Paul était pas très causant, il se contente de bougonner un oui ou un non de temps à autre. Bakasaru prit la pioche et se mit au boulot. En examinant l’outil, la cause du décès était la même que d’habitude. Il avait trouvé un diamant et il avait tapé tellement fort dessus que c’est la partie métallique qui a lâché. Il avait vraiment l’art de tomber sur les pierres les plus dures et avec ça délicatesse, ça ne pardonnait pas. Enfin soit, il démonta et remonta l’outil en plus ou moins un quart d’heure. Après quoi Paul repartit par où il était venu, provoquant les cris d’une des vendeuses qui venait de finir de nettoyer la terre.

Yukikurai allait commencer à mettre fondre l’outil pour le recouler dans un moule et qu’il soit comme neuf, quand la vendeuse l’appela de nouveau. Cette fois, elle lui intimait de venir dans la boutique qu’on avait du boulot pour lui. Lorsqu’il arriva, il y avait un homme assez grand et à l’air plus louche que les gens de l’ile, surement un voyageur de passage. Il y avait sur le comptoir un sabre cassé en deux. Sans prêter plus que cela attention au client, Yukikurai se pencha sur l’arme et commença à l’examiner. Il prit les deux parties du sabre dans ses mains, il l’observa d’abord dans son entièreté avant de s’attarder sur la partie brisée.

« C’est une belle lame que vous avez-là, je comprends que vous veuillez la réparer, mais ça ne se recolle pas ces machins-là. Je peux vous la refaire presqu’à l’identique, mais ça vous coutera juste un peu moins chère qu’un nouveau katana. Comptez 100 000B pour la réparation et 150 000B pour un autre sabre, vous en pensez quoi ? »

Le bonhomme lui répondit plein de motivation à l’idée de récupérer son arme qu’il était prêt à donner un coup de main s’il le fallait. Ça tombait bien, en observant de nouveau l’endroit où l’arme avait cassé, il faudrait qu’il se procure un alliage en plus.

« Ok, ça marche. Alors, je vous explique. Vous voyez l’aspect un peu poudreux au niveau de la cassure ? C’est signe que le carbone est resté pulvérulent et que la trempe ne s’est pas fait jusqu’au centre. Et un grand gaillard comme vous, vous avez utilisé trop de force brute et il n’a pas tenu le choc. On va rajouter un élément d’alliage à votre arme pour que la trempe ça fasse mieux. Cependant, je n’ai plus de chrome, faudra que j’aille en chercher dans la mine voisine. Si vous voulez m’aider, attendez-moi derrière. Dans deux heures j’ai fini de travailler et on ira à la mine, je connais les gens ça ne posera pas de problème. Je commencerai votre sabre demain, là j’ai du boulot à terminer. Vous pouvez le garder jusque-là. »

Yuki repartit dans l’atelier finir ce qu’il avait à faire. Laissant son client en plan, il ressortirait quand il aurait fini ce que Jack lui avait dit de faire.


À la recherche d'un forgeron. 229f206b0ad68563dc50c5d95741feb2À la recherche d'un forgeron. Kuroko.no.Basuke.600.1903798 À la recherche d'un forgeron. Steamp10
"C'est en forgeant que l'on devient forgeron, c'est en voyageant que l'on se forge un nom"
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Le monde est vaste qu’on dit et c’est sans nul doute vrai. Je ne sais pas combien d’ile j’ai faite, mais je sais que j’en ai fait qu’une petite partie et pourtant je voyage déjà depuis un pratiquement une année. Je ne sais pas ce qui m’attendait en voyageant d’ile en ile, mais c’était le coté excitant de mon aventure. L’autre aspect était la vengeance évidemment, mais pour ça je savais que je n’étais pas prêt ou plutôt que j’étais un peu trop seul pour pouvoir vraiment espérer réaliser mes projets... Sauf peut-être un. Un projet qui me tiens beaucoup à cœur mais que généralement je passe en arrière-plan. Ce projet c’est de découvrir le secret de mes origines... Je ne savais que peu de chose sur mes origines et j’avais trop peur d’exposer ma pierre n’importe comment. Affronter un homme ou deux, ce n’est pas un problème, mais affronter une armée de brigand et de voleur c’est autre chose. Quoi qu’il en soit, si j’étais venu sur Inu Town c’est pour cette raison. J’avais entendu sur une ile voisine qu’a Inu Town, il y avait quelques mines, mais surtout ses mines étaient faites de pierre précieuse. Je n’avais pas montré la pierre au gens qui m’avait fournis ses informations, mais d’après leurs explications, cela semblait plutôt plausible... Je devais donc évidemment en avoir le cœur net. Voilà pourquoi je me retrouve sur cette ile du nom d’Inu Town.

Une fois arrivé encore clandestinement, je commençais le travail par deux choses, le matin opération pickpocket. Il me fallait de l’argent pour me nourrir et pour trouve un endroit où dormir. Mais aussi pour récolter quelques informations sur la meilleure mine à visiter. Apres quelques vole de portefeuille je pouvais maintenant me paye un repas convenable dans une auberge en plus d’un lit pour la nuit. Je pris donc l’argent et je jetais les portefeuilles dans une poubelle. Il n’y avait pas une fortune mais assez pour mes projets de la journée avec sans doute un rabe pour demain. Une fois à l’auberge, je pris un petit repas sur le bar et je me mis à discuter avec l’aubergiste. Je glanais quelques informations sur les mines et je lui fis croire que je voulais me convertir au métier de mineur. Si je pouvais éviter de débourser mon argent pour ce genre d’information, c’était tant mieux. Je lui mis quand même un petit pourboire en guise de remerciement. Maintenant que j’étais rassasié et que j’avais une chambre pour dormir la nuit. Je n’avais plus qu’à me rendre à la mine qu’on m’avait indiquée. Mais j’avoue qu’il y avait un problème. Je n’étais pas de l’ile et je n’avais pas le temps de joué les mineurs pour pouvoir savoir si oui ou non, la pierre précieuse que je porte autour de mon coup viens bien de cette mine. Bon la solution était plutôt claire. Pour entrer dans la mine j’allais devoir le faire de la façon la plus discrète possible.

Par chance je suis plutôt petit et rapide et apparemment, le nombre de mineur aujourd’hui n’est pas très nombreux. C’est donc sans trop de problème que je me faufilais dans la mine en voyant que la majorité prenait leur pause déjeuner. Une chance dans le fond, car en plus de ça une pioche se trouvait dans la mine et avait semble-il été oublié. Je me servis évidemment et continua mon chemin dans cette mine. C’était certes un peu hasardeux, mais je n’avais pas vraiment d’autre solution. Mais bon, la chance ne sourire pas toujours. A mi-chemin de la mine, un homme se trouvait là, il était surpris de me voir et moi plutôt embêter. Il tenta de m’arrête, mais avant qu’il ne puisse dire ou vrai quoi que ce soit, je sortis mon sabre et frappa avec le pommeau sur sa tête. Il allait être Ko pour un petit moment j’étais donc logiquement tranquille vu que les autres ne semblait pas être prêt à revenir d’après le festin que j’avais vu. Toujours est-il que je fini par arriver à l’endroit où les mineurs semblait travaille et donc ou je pensais avoir le plus de chance de trouver ce que je cherchais, c'est-à-dire une pierre comme la mienne. Même si elle était de couleur diffèrent, d’une forme diffèrent, ce n’était pas important. La pierre que je portais semblait avoir des formes et des reflets bien spécifiques et si je pouvais le voir, n’importe qui le pouvaient.

Alors, je fis la seule chose que j’avais à faire pour le moment, je fouillais dans les pierres, métaux et autre trésors qu’avaient trouvé ses mineurs... Cela dura un petit moment car il y avait quelques chariots et le fouiller tout complètement ce n’était pas évident... Ce qui fit que finalement quelqu’un arriva, mais cet homme n’avait pas vraiment la tête d’un mineur, cela ne m’empêcha pas de me dire à moi-même :

Merde !
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-Désolé, mais je ne veux pas changer de sabre ! Je veux qu'il soit recollé et non remplacé ! se serait long à vous expliquer ... Peut-être en aurais-je l'occasion plus tard ! En tout cas, je veux qu'il soit recollé et j'en payerais le prix !

Le prix, je n'en n'avais que faire ! Suite à cette discussion l'homme commença à m'expliquer comment était fait mon sabre et comment le réparer. Bien que je n'y comprenne pas grand-chose, je savais qu'il fallait un minerai spécial pour le réparer et que l'on pouvait le trouver dans la mine de la ville. C'est alors qu'il me donna rendez-vous dans deux heures derrière sa boutique. Je récupérais donc mon sabre en deux parties et j'allais me reposer sur le même banc avec les mêmes oiseaux sur lequel je m'étais posé auparavant.

Mais vous allez me dire, qu'ai-je fait durent ces deux heures ? Et bien je suis resté sur ce banc, à regarder les oiseaux, les passants qui de plus en plus s'estompaient au fur-et-à-mesure que le soleil commençait à descendre, au fur-et-à-mesure que les heures passèrent. Mais après une heure et demie d'attente, quelque chose me poussa à aller plus tôt derrière la boutique de ce forgeron. Les rues commençant à devenir vide, les seuls marcheurs réguliers étaient les marines. Je dus donc aller plus tôt que prévu me cacher. Je sais bien que ma prime n'est pas excessivement haute, mais elle suffisait pour que je me mette le QG de cette ville à dos. Ce que je ne voulais en aucun cas.

Je patientais donc une petite demi-heure avant que l'homme revint me voir et ne m'indique la direction de la mine, devant laquelle nous avons fini par arriver. L'endroit était sale et ne sentais pas très bon. Le soleil avait dorénavant une teinte orangé qui reflétait sur les nuages avant de se répercuter directement sur mon visage. L'endroit était assez bien éclairé, pas besoin de lampe, donc ! Peu de mineurs étaient présents, la journée étant très proche de se finir, tous quasiment avaient pris congé pour la soirée ... Ce qui me laisserait surement l'occasion de ramener une ou deux pierres précieuses ... Il fallait voir !

Nous entrâmes dans ladite mine, mais cet endroit était un vrai labyrinthe ! De partout partaient les galeries, les tunnels, les souterrains, les passages, les percées, … Comment allons-nous nous retrouver dans toutes ces possibilités de découvertes ? Je comptais sur mon guide pour me le dire …


-Euh … Et maintenant ?


Dernière édition par Zarechi Ozuka le Sam 15 Déc 2012 - 18:16, édité 1 fois
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Il fallait bien que la boutique tourne, Yuki s’appliqua donc à sa tâche et lorsqu’il eut enfin fini, il sortit voir si son client l’avait attendu. Il n’eut pas à chercher beaucoup, le jeune homme l’attendait tranquillement dans cette fin journée de printemps. L’air commençait à être frisquet, mais c’était agréable car il était chargé de l’odeur du printemps, de la nature qui se réveille.

« Je vois que vous m’avez, attendu. Tant mieux, je n’ai pas souvent l’occasion de faire des sabres dans cette bijouterie. Je m’appelle Yukikurai et vous? Suivez-moi ! »

Yuki se mit en route suivi de son client. Ils passèrent près de l’unique arbre du terrain vague qui composait l’arrière-boutique. Ils arrivèrent au niveau de la cabane qui servait à stocker les outils et où dormait Yuki accessoirement. Un peu plus loin, les mineurs étaient regroupés pour manger un dernier bout avant le soir. Après certains, rentreraient chez eux et d’autre, les accrocs au boulot, retourneraient casser quelques cailloux. Bakasaru salua l’ensemble de mineur et s’enquit de la position de la veine de nickel. Une fois cela fait, ils entrèrent dans la mine.

-Euh … Et maintenant ?
« Ben, tu me suis. Ne t’inquiètes pas je travaille à temps partielle ici. Je connais bien la mine. »

Ils prirent alors une succession de gauche, de droite, tout droit et il est vrai qu’il aurait été facile de se perdre. Cependant, la nature des cristaux de la mine variait assez bien d’un endroit à l’autre, cela servait de repère pour se déplacer. Au reste de cristaux bleus, c’était à gauche et l’on arrivait à l’endroit où les mineurs bossait pour le moment. C’était là qu’il y avait du minerai. En arrivant sur les lieux, ils virent qu’il y avait un mineur présent. C’était bizarre, ils n’avaient croisé personne en chemin. Ils n’étaient pas tombés sur le mineur assommé, sans doute était-il dans une galerie qui fait un détour. Yuki n’étant pas vraiment physionomiste, il ne savait pas que ce n’était pas un vrai mineur.

« Salut, je viens chercher un peu de minerai. Tu ne manges pas avec les autres ?
Ah, oui, au passage tu n’aurais pas sorti du minerai de chrome aujourd’hui ? Ça m’éviterait de devoir chercher partout. C’est pas que c’est mal ranger, mais c’est tout comme. »


Le mineur semblait nerveux, mais cela importait peu à notre forgeron. Lui ce qu’il voulait s’était prendre du minerai et rentrer chez lui.

« Yo, mec, si tu veux te rendre utile, le minerai qu’on cherche, c’est une pierre grisâtre avec de reflet qui brille par endroit. Au touché, c’est pas pareille qu’un cailloux ordinaire, ça sent pas vraiment pareille non plus. »


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Quelques pierres précieuses, des matériaux sans doute utile pour certaine forgerons, mais nulle trace d’une pierre similaire à la mienne. Ce n’était pas de chance en claire, j’allais donc sans doute devoir chercher autre part, mais avant cela, un homme assez étrange apparu. Au premier coup d’œil, je ne vis qu’un seul homme et c’est seulement l’instant d’après que je vis le second. L’endroit était plutôt sombre et il était donc pas toujours évident de se repéré... Toujours est-il que j’étais maintenant repéré, mais j’avais une chance inouï c’est que ses types semblait être plutôt simple d’esprit. Sans compte qu’il ne devait surement pas être de la mine... Mais malgré ce moment de chance, il y avait un détail d’importance qui m’embêtait plutôt... Comment faire pour sortir sans attirer d’autre gens. Battre un simple mineur furtivement ça passe, mais si je m’attaquais à un de ses types, l’autre risquait de donner l’alerte... Si je le tuais, peut-être que j’aurais de meilleurs chance, mais je n’allais pas tuer de pauvre type qui n’avait rien demande ou même fait quelques choses de mal. Je n’ai pas appris à tuer pour le plaisir moi... En clair, la situation était des plus compliquer et même si je pouvais tenter le bluff, je n’étais pas certains que cela marcherais... je ne suis pas un spécialiste du mensonge et même si je l’étais cela ne risquait que de durer qu’un moment. Me parler de minerais était la même chose que de me parler dans une autre langue... je ne suis pas mineur et même loin de là.

Apres quelques secondes de réflexions, je tentais de les esquives discrètement... En espérant qu’il ne repère ni ma pierre précieuse que je porte autour du cou ou mon sabre que je n’avais pas eu le temps de cacher. Essayant d’être le plus naturel possible, je dis :

Bien sûr, il y en a sans doute un peu dans ce chariot, vous n’avez qu’à chercher servez-vous... Moi je vais rejoindre les autres.

Instinctivement je baissai la tête pour éviter que ses types puisse voir mon visage et comprenne à mon regarde que je disais pour ainsi dire n’importe quoi. Discrètement et aussi instinctivement, je glissai ma main sur mon sabre. Je ne savais pas ce qui allait se passé. Si mon plan allait marcher et donc peut-être à tort, je me mis dans une position défensive. Je devais être prêt à me battre si quoi que ce soit se passait. Apres tout, j’étais un intrus ici. Pire avec la pierre au tour du cou et même si elle ne provenait pas de la mine, je pouvais facilement passer pour un voleur... Ce qui était le cas dans un sens au faite. Apres tout, je vole pour manger, pour vivre et aussi de temps en temps pour voyager... Toujours est-il qu’au premier abord, le plan semblait marcher à merveille... Dans la légère obscurité qu’offrait cette mine les visages n’était pas facile à repérer correctement. Donc lire dans celui-ci était un peu plus difficile et puis peut-être qu’avec de la chance, je leurs avait indiqué un bon chariot. Ce qui m’enlèverait une bonne épine du pied...

Mais la chance n’est pas toujours au rendez-vous et comme il faut toujours un juste équilibre... je fini par me perdre dans cette maudite mine... Pour finalement retrouver les deux types au même endroit où je les avais abandonnés... Cette mine est une vraie galerie remplie de chemin se croisant dans tous les sens peuvent facilement donner le tournis à celui qui n’est pas habituer. Ce qui était mon cas, je fini pas revenir dans la mine, mais de l’autre côté de celle-ci... Revoyant les autres types, j’étais complètement muet ne sachant cette fois pas quoi dire ou même faire...M’avait-il repéré, c’était certains, mais avait-il compris ce qui se passait ? Si ce n’était pas le cas, cela n’allait pas tarder... je n’avais plus vraiment de solution, fuir pour me perdre ne servais à rien et attaquer directement n’était peut-être pas la meilleure solution... Voilà un vrai problème dont je ne savais vraiment pas comment faire pour m’en sortir... Même si je ne sais pas pourquoi, je sentais que ses types allaient me dire quoi faire... Même si je n’étais pas sûr que cela allait me plaire.
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-Yo, mec, si tu veux te rendre utile, le minerai qu'on cherche, c'est une pierre grisâtre avec des reflets qui brillent par endroit. Au touché, c'est pas pareille qu'un caillou ordinaire, ça sent pas vraiment pareille non plus.

Euh ... J'suis médecin, moi, pas mineur ! 'Fin bref ... Je me mis à chercher dans les tunnels assez sombres, éclairés par une malheureuse petite loupiotte. Je marchais et marchais et marchais et marchais encore, jusqu'à ce qu'un petit bout de machin brillant dépassant le mur n'attire mon regard. Ne sachant pas ce que c'était, je ne pus dire si c'était le métal tant recherché afin de réparer mon sabre.

Je sortis donc mon sabre restant de son fourreau pris un bel appui et commença à taillader tout autour du minerai. J'arrêtais, je rangeais mon sabre, puis le bout de paroi du tunnel vola en morceau. Morceaux parmi lesquels je récupérais ce que j'avais vu. Une pierre grisâtre avec des reflets qui brillent par endroit, il m'avait dit !


-Bon, ba c'est pas ça ...

Je ne jetais pas la pierre, mais je le mis au contraire dans l'une de mes poches. Après tout, ça pourrait certainement servir ! Cette pierre là avait, outre les morceaux de terre et pierre encore collés dessus, une teinte bleue écarlate, à travers laquelle on pouvait voir tel à travers de l'eau de roche. Sa surface était lisse et douce et à l'odeur ... Ba ça avait l'odeur de terre, quoi ...

N'ayant toujours pas trouvé mon bonheur, je continuais mon voyage dans les ténèbres insondables de cette maudite galerie tout en évitant de tourner afin de ne pas me perdre. C'est donc un chemin droit que je parcourais dans ce tunnel. Mais il semblerait que les mineurs aient épuisés le filon de ce côté, car hormis la pierre que je venais de trouver, il n'y avait rien sur, facilement, 500 mètres ! J'espère que mon forgeron aura été plus chanceux que moi ...
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Boh, la réponse du type qui se trouvait encore dans la mine était plus qu’évasive, mais cela ne choqua pas plus que ça le jeune homme. Il savait bien, pour les côtoyer régulièrement, que pour certains la seule chose qui compte ce sont les émeraudes et les diamants. Ils trouveraient une pépite d’or qu’ils la taperaient dans le chariot avec les autres cailloux. Y a vraiment de drôle gars par ici. Mais on peut bien parler, notre jeune héros est pas mal dans son genre, un coup tu le vois, un coup tu le vois plus, alors qu’il n’a pas bougé d’un pouce. Mais vous me direz qu’on s’en fout un peu de ces considérations philanthropiques. Heu ouais pas philanthropique, plutôt pseudo philosophique. Revenons à nos moutons.

Yukikurai chercha un peu dans les chariots, mais ce n’était pas pratique, il y avait trop de pierre et on ne voyait rien. Il préférait se fier à ses sens et trouver le filon qu’il avait vu, il y a peu. Il ferma les yeux et se concentra sur le souvenir de l’endroit où il avait vu ce qu’il cherchait. Il se rappela l’odeur spécifique du minerai, le son qu’émettait la caverne à cet endroit. Au plus les bruits des pas de son client s’éloignait, plus Yuki se perdait dans ces pensées et sa méditation. Il s’était toujours sentit bien à proximité de la terre et il avait presque oublié pourquoi il était à la base. Soudain, des bruits de pas qui se rapprochaient le tirèrent de sa rêverie.

C’était le mineur de tout à l’heure qui revenait par un conduit différent. Cette fois-ci, cela parut étrange au forgeron, les mineurs connaissent la mine comme leurs poches, alors soit il avait oublié quelque chose et revenait le chercher, soit il était déjà complètement bourré et c’était perdu. C’était la seule explication. A moins que ? Quand Yuki sortait de méditation, ses sens étaient plus aiguisés, il ressentait mieux les choses. C’est comme cela, qu’il avait découvert cette aptitude qu’il utilise pour la chasse et le combat. Enfin, soit, Ce coup-ci l’homme avait l’air mal à l’aise comme s’il n’avait rien à faire là ou qu’il ne voulait plus les recroiser. Une idée germa dans l’esprit de Bakasaru, peut-être était-ce un voleur. La mine et ses richesses attiraient de temps à autre des voleurs, mais il y avait longtemps qu’on en avait plus vu. Faut dire qu’après la leçon qu’avaient reçues les deux précédents forbans qui avaient été retrouvés, errant, perdu au milieu de la mine, les rumeurs servaient à dissuader les moins téméraires.

Yuki préférait tout de même tirer les choses aux claires avant de tirer des conclusions. L’homme semblait plutôt tendu et mal à l’aise autant l’asticoter un petit peu et voir ce qui se passerait.

« Tu as oublié quelque chose ? »
Pas de réponse, Yuki se rapprochait de plus en plus sur ses gardes. Il n’avait pas la mémoire des têtes et des noms, mais cette tête-là ne lui disait quand même vraiment rien. Au moindre mouvement trop suspect, Yuki utiliserait la force, s’il le fallait.
« Hé quoi, ils avaient déjà tout bu ? Du coup tu reviens m’aider à retrouver mon minerai de chrome. C’est vraiment très urbain de ta part.
…. Je parie que le contremaitre est encore plein comme la Pologne ? »

Yuki lui avait tendu un petit piège. Le contremaitre était un gars très sérieux. Il buvait bien un verre, mais savait s’arrêter à temps, car ses cuites duraient trois jours.
Spoiler:


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Mentir, c’est sans doute la seule chose que jamais je ne saurais faire. Cela pouvait sembler étrange, mais l’une des choses que ma mère m’avait appris c’était d’être honnête avec le gens. Du coup raconter des mensonges était plutôt compliquer chez moi. Je pouvais garder un secret, mais dire un mensonge était des plus difficiles. Pourtant, je pouvais mentir, mais c’est comme demander à une personne qui aurait mangé un fruit du démon de nager. Il pourrait essayer autant qu’il le voudrait, sa destination serai toujours le fond de l’eau. C’était un peu pareil pour moi et le mensonge. Je pouvais dire un mensonge, mais cela sonnait toujours faux. Si on me demandait, si j’étais un esclave et que je disais non, cela sonnerait tellement mal que les gens comprendraient tout de suite que je mentais. Enfin bref, voilà en grand partie la raison de mon stresse face à ses gens que je retrouvais à nouveau à cause d’un égarement dans cette maudite mine... Que pouvais-je faire ? je voyais l’un des types s’approcher, j’étais sur mes gardes et doucement, je dirigeais ma main vers mon sabre pour progressivement le sortir de son fourreau. Il me parlait mais qu’importe ses questions, je savais que d’une façon ou d’une autre j’allais être découvert. Je tentais donc de tempère mes émotions pour lui répondre... Même si je savais que la réponse que je donnerais n’aurait que pour effet de me rendre encore plus coupable.

A quoi bon joué ce jeu plus longtemps. Je me suis tout simplement perdu ses mines sont de vrai labyrinthe...

Je n’avais pas le temps de discuter plus. Je risquais de rameuter du monde, mais les possibilités devenaient trop limitées. Je décidais donc de tout miser sur la chance. Je me disais qu’avec mes maigres talent au combat et mon côté discret je pouvais battre ses deux types et rester dans l’ombre tout en cherchant la sortie. Je ne voyais pas d’autre solution et donc j’attaquais l’homme en face de mon avec mon sabre. Je prenais soin frappe avec le plat de la lame. Je ne connaissais pas ce type et je ne voulais pas tuer une personne innocente... J’étais peut-être un voleur et un criminel qui a tué son maitre durant ma vie d’esclave. Mais je n’étais pas un monstre et je ne le saurais sans doute jamais. J’attaquais donc le premier gars avant de faire un bond en arrière. Je ne voulais pas prendre de risque, il était sans doute sur ses gardes et même s’il ne l’était pas, l’autre allait le devenir très vite vu que je venais d’attaquer son ami. Durant mon saut qui suivait mon attaque, la perle que j’avais autour du cou sortait de mes vêtements et sous la lumière des lampes se mettaient à briller de quelques éclats... Vu qu’elle était sous mon coup, je ne pouvais pas vraiment la voir briller, mais mes probable adversaire eux le pouvait et c’est donc dans cette ignorance que je leurs disais :

Désolé, mais je ne suis pas un très bon menteur. Alors autant crever l’abcès tout de suite, je ne suis pas un mineur... Je vous demanderais bien de me laisser passer, mais j’ai le pressentiment que je vais devoir utiliser la force.

En garde, j’attendais la réaction des deux hommes. Je savais déjà que je n’allais pas m’en sortir avec des belles paroles, je me préparais donc au combat, mais j’espérais autant que possible les épargner. Même si je savais que par moment, le meurtre est le seul moyen pour avancer.
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-Bon ! Bon ba ... Bon ba tant pis ...

Il faut croire que la chance n'était pas avec moi, aujourd'hui ! Je ne suis tombé que sur trois pierres précieuses, mais aucunes ne correspondaient à la description que m'avait fait le forgeron. Peut-être avait-il eu plus de chance que moi, qui sait ! Je repris donc le chemin retour afin de retrouver mon « collègue ». Mais lorsque je le revis, il était aux prises avec un homme qui semblait porter une grande attention au sabre qu'il avait à la ceinture. Jusqu'à ce qu'il s'élance sur le forgeron qui esquiva avec une facilité déconcertante le coup plus qu'hésitant de l'intrus, qui recula ensuite. Le mouvement qu'il avait exécuté avait fait sortir quelque chose de sa veste ... Un collier, mais plus précisément, un collier auquel pendait une perle. Mais ce n'est pas le genre de perle que l'on croise dans toutes les petites bijouteries.

Cette perle était assez imposante, qui miroitait de plein feu au reflet des faibles torches qui éclairaient le tunnel. Cela ne voulait rien dire pour moi, mais il semblerait qu'elle attire l'oeil du forgeron. Enfin, n'empêche qu'il commençait à être agressif, le bestiau ! Je dégainai donc mes sabres afin de contrer une quelconque attaque. Bien sûr, par réflèxe, je dégainai les deux.


-Ah ouais, merde ... C'est vrai ...

Je rangeai donc mon second sabre et pris mon premier à deux mains.


-Ouah ! C'est bizarre !

Le type son regard vers moi.


-Je t'ai vu donner ton coup, tout à l'heure. Pourquoi as-tu tourné ton sabre au dernier moment ? Lorsque l'on frappe quelqu'un, on ne le fait pas à moitié ! Si l'ennemi ressent que tu hésites dans tes frappes, il en tirera profit et te descendras dès qu'il en aura l'occasion. Un combat n'est pas une chose que l'on peut négliger, même un entrainement doit se faire comme si ta vie en dépendait !

Son regard resta inchangé, mais après quelques secondes de blanc, celui-ci sur moi, sabre en l'air. Je parai son coup, prévisible, et enchaînai directement avec coup de pied au niveau des hanches qui balança notre invité surprise sur la paroi du tunnel dans lequel nous nous trouvons.

-Ah oui, et ... Ne sous-estime jamais tes adversaires !
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Yukikurai se tenait sur ses gardes, mais l’homme qui lui faisait face était fourbe. D’abord, il éluda la question comme si de rien était. Puis, en plein milieu d’une phrase, il avait attaqué. Si ça c’était un procédé fourbe digne d’un pirate, qu’est-ce que cela pouvait bien être alors. Enfin, son adversaire fit quand même preuve de clémence, car il frappa avec le plat de la lame. Était-ce un coup de semonce ? Ou ne voulait-il juste pas blesser les gens pour le plaisir ? C’était une colle ça, mais Bakasaru allait lui rendre la pareille, parce que ça faisait mal non d’une pipe. Yuki avait d’instinct placé son bras pour bloquer l’assaut, par contre il avait complétement oublié qu’il n’avait pas mis ses protèges avant-bras. Pourquoi l’aurait-il fait, il allait juste travailler à la bijouterie et à la mine aujourd’hui. Il n’avait pas besoin de cette protection. Heureusement, son wakizashi, lui, ne le quittait jamais, sinon il aurait eu de réel problème.

Pendant qu’il faisait la danse de l’imbécile en sautillant d’un pied sur l’autre en massant son avant-bras et en soufflant dessus, monsieur épée cassée vint à sa rescousse. Lorsque reporta son regard son assaillant, une belle pierre brillait à son cou. Dans un premier temps, il pensa qu’il venait de volait une pierre dans la mine, mais si ça avait été le cas comment aurait-il fait pour l’accrocher à un collier. Puis, de toute manière pour qu’elle brille de cette manière, il fallait qu’un spécialiste l’ait taillé et polie. D’ailleurs cette couleur, cet éclat Yuki ne les avait jamais observés dans cette mine. La pierre devait provenir d’une autre ile.

Une fois qu’il eut fini de rêvasser, il s’élança en direction des combattants. Cependant, une galerie de mine n’est pas prévue pour que les gens se battent à l’intérieur. La place n’est pas assez grande. Alors que le forgeron allait passer à côté de Zarechi, celui-ci se décala légèrement lui faisant un croche pied. Yuki perdit l’équilibre et alla se vautré à plat ventre dans le tunnel. Il se releva passablement énervé et marcha vers collier man qui dans une esquive lui colla son poing gauche sur le museau. Bakasaru se tint le nez pendant qu’il commençait à voir de plus en plus rouge. Il courut en direction de Zarechi et lui fit éviter un coup de lame grâce à un coup de pied dans le ventre. Il enchaina dès que son pied toucha le sol il le renvoya sur le torse de collier man. Voilà, comme ça pas de jaloux. Bon, il y avait été un peu fort quand même. Pas tant pour son adversaire, mais plus pour son client et surtout pour le tunnel. Si un choc ou deux n’était pas grave, s’ils continuaient comme ça, le ciel allait leur tomber sur la tête.


À la recherche d'un forgeron. 229f206b0ad68563dc50c5d95741feb2À la recherche d'un forgeron. Kuroko.no.Basuke.600.1903798 À la recherche d'un forgeron. Steamp10
"C'est en forgeant que l'on devient forgeron, c'est en voyageant que l'on se forge un nom"
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Je savais que mon action me forçais à me mettre encore plus dans le pétrin, mais je préférais attaquer le premier plutôt que de laisse l’avantage à l’ennemi. Evidemment, je ne plaçais pas le tranchant de ma lame, je ne voulais pas tuer ses types. Je ne le connaissais pas à jusqu’as preuve du contraire, il ne méritait pas la mort à mes yeux. Toujours est-il que j’étais surpris lors de mon assaut de plusieurs choses. La première était que ce type avait réussi à bloquer mon attaque. Bon pas forcement intelligemment, mais il avait eu assez de reflexe pour se protéger... Même si heureusement pour lui ne n’avait pas utilisé le tranchant de mon sabre car là il risquait d’avoir le bras sévèrement sectionner. Cela ne fessais comprendre que ce type n’était pas un amateur, même si sa parade lui aurait couté un bras, si c’était un véritable tueur. Entre temps, l’autre type s’avançai en quelques sortes pour me présenter deux sabre... Enfin plutôt un vu que l’autre semblait dans un mauvais état.

Ce jeune homme se mit à me parler de mon comportement ou plutôt du faite qu’il avait vu que j’avais pris soin d’attaquer avec le plat de la lame. Son discours me faisait ni chaud, ni froid mais je ne sais pour quel raison, j’avais envie de lui répondre... Peut-être comme beaucoup de tuer, je dois trouver un justificatif pour ceux que je tue ou pas...

Et alors ? Si je ne trouve pas la nécessité de tuer, je ne vois pas pourquoi je tuerais. Mais je ne vois pas en quoi cela pourrais t’intéresser.

Rapidement je partis à l’assaut, je ne pouvais pas rester immobile trop longtemps, attendre voulait dire donner une chance à l’autre de revenir et de me poser plus de problème. Si je voulais m’en sortir sans trop de bobo, je devais en finir rapidement. Je lançais un assaut en espérant en finir rapidement, mais mon adversaire était doué et réussi à faire échouer mon attaque, il profitait même de l’occasion pour lancer un coup de pied au niveau du flan. Je ne pouvais pas esquiver ni même bloquer l’attaque et le seul reflexe que je pouvais avoir était donc de faire un saut en arrière pour minimiser l’impact. Mais n’empêche que le coup était là et que je pouvais facilement juger avec ce simple coup de pied que ce type avait plus de force que moi... Je devais donc me montrer méfiant alors que je me remettais de ce coup de pied.

A nouveau debout, je crachais un petit coup sans cette fois répondre à sa provocation. Rapidement je me mettais à réfléchir à une stratégie. L’autre semblait enfin revenir à l’instant présent, je veux dire par là qu’il oubliait sa petite douleur au bras. Je partis à nouveau à l’assaut. Mais cette fois je tentais de la joué malin. Il était plutôt grand et moi petit... La différence se voyais sur plus d’une tête je décidais de les forces donc à se baisser, mais aussi tenter de leurs donné le tournis avec ma vitesse. L’endroit était plutôt étroit et avec un peu de chance j’allais faire en sorte qu’il se marche sur les pieds. Ce qui semblait plutôt bien marcher vu que celui qui était armé aussi d’une lame briser fit tomber l’autre pour ensuite m’attaquer. J’esquivais de justesse en restant bien bas d’un pur réflexe je trouvais mon équilibre sur le visage de l’autre type. Ce n’était pas vraiment un coup de poing, mais plus ma main qui s’appuyait un peu violemment sur le visage de celui-ci. Dans une acrobatie astucieuse et aussi avec pas mal de chance, je retombais de l’autre côté. Je tentais alors un nouvelle assaut mais sur celui qui était encore debout, mais celui-ci fut poussé par son compagnon qui était déjà debout. J’avais porté mon attaque en sautant pour avoir plus de puissance dans mon attaque et cela allait me coûter chère. Déstabilisé et ne pouvant plus contrôler ses mouvements en l’air, je n’avais pas moyen d’esquiver l’attaque ennemi. Celle-ci me fit vraiment morde la poussière avant de frapper un pilier de pierre.

Le pilier était encore en un seul morceau, mais il était grandement fragilisé. Quoi qu’il en soit, malgré le coup, je me relevai prêt à reprendre le combat. Je n’étais pas du genre à abandonner ni à me préoccuper d’élément extérieur... Comme le fait qu’il ne faudrait sans doute encore qu’un coup ou deux sur ce pauvre pilier pour tomber et peut-être même faire écrouler la galerie
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Oh mon dieu, que cet endroit était étroit ! C'était la première fois que je me battais dans un endroit offrant si peu de possibilité ! Cela a été illustré lorsque le voleur tenta de passer derrière nous. Lorsque je me préparai à le bloquer, mais une fois que je fis mon mouvement, le plat de mon sabre vint percuter le creux du genou du forgeron qui se retrouva soulevé et au sol. Le chapardeur en profita, se baissa et prit appui avec sa main sur le visage du pauvre forgeron qui tentait de se relever. Une fois debout, il se tourna vers moi et me shoota dans les pieds en me disant :

-Tu peux pas faire un peu gaffe quand tu te bats ?

Cela dit, cet acte n'eu pas de mauvaises répercussions, car il me permit d'esquiver un coup de saton bien placé de la part du voleur !

-Merci ! Disais-je à l'homme m'ayant fait tomber, avant de me relever rapidement.

Je me suis relevé à mon tour et aie foncé droit en direction de l'homme ayant essayé de m'attaquer. Une fois à proximité de lui, je donnai un grand coup de sabre dans le but de lui trancher l'épaule, mais celui-ci se baissa et mon sabre alla traverser de part et d'autre le pilier qu'auparavant, notre « ami » venait d'amocher. Je sentis le tunnel vibrer, je baissai la tête vers mon adversaire et lui dit :

-J'ai fait une gaffe, là, non ?

-Je crois, oui !

Suite à cela, il m'enchaîna un coup de pied aux abdos, que j'eus le réflexe de contracter pour limiter les dégâts, et courus pour se mettre à l'abri. Moi, il fallut que je me prenne un caillou sur la tête pour me rendre compte que mon coup avait eu une conséquence désastreuse. Le plafond du tunnel que nous étions, était en train de s'effondrer. Je m'écartais de justesse et, après avoir longtemps dévisagé le pan de mur écroulé, je rangeai mon sabre et dit :

-Bon … Ba on est coincé ! Il m’est impossible de libérer le passage, je saurais lancer des courants d’air tranchant, je dis pas, mais là ! Nous sommes bel et bien coincés ! Le forgeron, tu ne saurais pas par où est-ce que l’on pourrait sortir ?
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Un combat dans un tunnel de mine, mais quelle bonne idée que cela. A peine deux mètres de hauteurs et de largeur, avec des piliers qui soutiennent la caverne artificielle régulièrement espacé, l’endroit rêvé pour se marcher dessus.

Yuki se rendit compte qu’il venait de frapper un peu fort son adversaire. Ce qui l’ennuyait ce n’était pas tant la puissance du coup, mais l’endroit où il avait fait se cogner son adversaire. Il l’avait envoyé volé en plein sur un des piliers. Bakasaru se rendit compte de son erreur et s’arrêta tendu. Il leva la tête pour vérifier que le plafond ne bougeait pas. Quand il redescendit le regard, il commença une phrase, mais son allier était déjà repartit à l’assaut.

« Heu, faudrait voir à faire attention quand même. Si on détruit un des piliers on risque de… » POC… « Ben non pas POC, que ça s’effondre oui. » POC ! « Mais, comment ça POC ? Ho merde ! »

Levant les yeux, il comprit ce qu’il se passait. De petites pierres commençaient à tomber à cause du coup de sabre porté par épée cassée. Il venait de planter son sabre dans le pilier fragiliser. Yukikurai voulut lui dire de retirer son arme délicatement de la pillasse, mais trop tard.

–J’ai fait une gaffe, là, non ?
« Ben, oui crétin, tu ne peux pas faire gaffe un peu. Déjà que tu me fais tomber… » SBLAM !

Maintenant qu’il avait retiré son arme de la structure, celle-ci s’effondrait réellement. Yuki allait partir d’un côté quand il vit les deux autres partir de l’autre. Il fit alors demi-tour et tâcha de les rattraper. Il s’en suivit une course folle de quelques mètres pour Yukikurai. Il courait les yeux levé, la tête rentrée dans les épaules et les mains au-dessus de sa tête. Il courait en zigzaguant entre les pierres qui s’éboulaient. Et ce qui devait arriver, arriva. Il trébucha sur morceaux de plafond qui se trouvait sol. Se sentant tomber, il réussit quand même à pousser sur ses jambes pour transformer sa chute en plongeon. Bakasaru atterrit à plat ventre dans un nuage de poussière. Il resta un petit temps couché les mains sur la tête. Puis, quand la poussière retomba, il se leva en toussant. Il vérifia qu’il était bien en un seul morceau. Après ce tcheking aussi rapide qu’inutile, il engueula les deux autres.

« C’est malin, je vous avais prévenu de faire attention ! Bordel, quoi ! Et puis, pourquoi vous êtes partis de ce côté-ci. On est du mauvais côté maintenant. La sortie la plus courte c’était de l’autre côté. Mon d’une pipe. » Paf !« Aïe ! »

De dépit, le forgeron venait de shooter dans l’éboulis, mais c’était nettement plus dur que son pied. Alors qu’il massait pied endolorit, on l’interpella.

Le forgeron, tu ne saurais pas par où est-ce que l’on pourrait sortir ?
« Si, je connais un chemin pour sortir ? Bien sûr que j’en connais un, mais tu l’as bouché comique. Il y a bien moyen de sortir en partant par là, puis faudra que je m’y… retrouve. »

Alors qu’il pointait du doigt le côté dégagé du tunnel, il remarqua un rocher rond d’une vingtaine de centimètre qui avait roulé plus loin. Ignorant les deux autres, il alla voir de plus prêt et bingo, cette pierre devait contenir assez de minerais de chrome pour ce qu’il avait à faire. Il la ramassa et la lança sans ménagement à son client.

« Tiens attrape, c’est ce qu’on était venu chercher. Allez en route, faut qu’on retrouve le bon chemin. »

Yuki se mit en route en oubliant complètement qu’ils venaient de se faire attaquer.


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Je me réveillais à peine conscient et avec un mal de crane faramineux. Il me fallait quelques secondes pour comprendre et me rappeler de ce qui c’était passé il y a juste une minutes au pare avant. Mais en claire, le combat n’allait pas durée très longtemps. L’avantage de ma taille m’avait donné les moyens de leurs tenir tête. Mais leur nombre et leur force était bien supérieur. Frappant un pilier, j’avais eu toutes les peines du monde à esquiver la dernière attaque du sabreur. D’ailleurs j’y avais laissé quelques cheveux. Mais le problème n’était pas là. Le pilier fendu était un pilier de soutien. Mon adversaire avait repris une distance de sécurité, mais moi je préférais rester à ma place et c’était ce qui allait me couter cher. Quelques cailloux commençaient à tomber et c’est un peu tard que je comprenais la situation alarmante. Une partie de la mine s’écroulait et je devais courir pour sauver ma peau. Courir vers mes ennemis car faire demi-tour me prendrais trop de temps. La course ne dura d’une poigner de seconde. Un rocher presque aussi gros de ma tête venait de m’atterrir sur le haut du crâne. Déjà un peu assommer et ralenti. D’autre rocher tombais sur ma pomme.

Je n’étais pas totalement enseveli, il restait encore une bonne partie de mon corps hors des débris. Mais alors le choc et le poids de ses gros cailloux, je ne pouvais espère que de l’aide de ses deux hommes que j’avais attaqué. De toute façon pendant l’attaque j’avais perdu pendant au moins une bonne minute connaissance. Une fois réveillé, je remarquais que j’étais hors des décombres et que j’étais toujours en un seul morceau. Qui m’avait sortir de là ? Le type à l’aire maladroit ou le sabreur au sabre cassé ? A moins que ce soit les deux !? Je n’en savais rien et dans le fond je m’en fichais, que ce soit l’un ou l’autre n’avait pas d’importance. Ce qui était important pour moi c’était pourquoi. Donc une fois que j’avais la force de parler je dis :

Pourquoi m’avoir sorti de là ? Je vous ai attaqué et je n’ai nullement besoin de votre pitié...

La question pouvait sembler stupide, mais je trouvais cette question pertinente, je n’ai jamais vraiment eu d’ami... Enfin si peut-être deux ou trois, mais jamais de véritable ami et encore moi donc de gens qui me vienne en aide. Mon professeur et mon ami d’enfance avait été les seuls qui avaient fait un geste pour moi et encore aujourd’hui, je ne le comprenais pas. Pourquoi m’aider ? La question me taraudait. J’avais le pressentiment que je n’aurais aucune réponse, mais je ne pouvais m’empêcher de poser la question. Si j’ai une réponse tant mieux, sinon ce n’est pas grave. De toute façon j’étais certains que s’il y avait une réponse elle ne me conviendrait pas. Peut-être parce que je suis trop sévère avec moi-même. Enfant sans véritable origine. Ayant vécu esclave, pourchasser par des soldats de la marine et devenu voleur. Je ne pouvais une haute estime de moi-même.


Quoi qu’il en soit, une fois mes esprits totalement remis en place, je me rappelais d’une chose que je devais vérifier. Quelques choses de tellement important que j’en oubliais même pendant un instant la présence des deux autres personnages. Ma pierre précieuse, je me tapotais alors pour pouvoir le retrouver. Si ses deux types me l’avait volé je l’ai aurait tué sans hésiter, s’il était tombé dans les débris, j’aurais creusé un passage... Même si cela pouvait provoquer un autre éboulement. S’il y avait une chose que je chérissais plus que tout c’était bien cette pierre... J’étais prêt à mettre le monde à feu et à sang pour cette petite chose en apparence si insignifiante. Une fois retrouvé, je la glissais sous mes vêtements, même si je pouvais supposer que les deux autres l’avaient remarqué et je tentais de faire comme si de rien n’étais... Je me contentais de simplement leur dire :

Je crois qu’il faudrait mieux faire une trêve jusqu’as ce qu’on trouve une sortie non ?

Clairement j’avais l’intention de les suivre. J’étais pratiquement sûr qu’il ne ferait rien, si on avait une chance de s’en sortir avec un petit éboulement, d’autre rendrais la tache beaucoup plus ardu. Donc même s’ils n’étaient pas d’accord, il allait devoir accepter ma compagnie jusqu’à la sortie. L’un deux semblait connaitre un chemin éventuelle pour sortir, moi je ne pouvais que me perdre, je devais donc les gardes à l’œil et essayer de fuir une fois dehors.
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Ouf, nous en étions ressorti vivant. Mais ... Pas tout à fait. Le corps inanimé de l'homme qui nous avait attaqués jonchait, à moitié enseveli sous les roches. Je ne vous cache pas que l'idée de le laisser ici m'a effleuré l'esprit en premier. Mais mon métier de médecin me rappela à l'ordre et j'allais donc en direction de ce pauvre homme, enlevant les roches de son corps, en espérant qu'il ne soit pas mort sur le coup ! Une fois tous les décombres enlevés, je tirais le corps de notre assaillant en lieu sur avant de lui tâter le pouls. Son cœur battait encore. N'écoutant que mon métier, je sortis de mon sac des bandages et commençais à soigner mon client. Une fois mes soins terminés, celui-ci se réveilla.

-Pourquoi m'avoir sorti de là ? Je vous ai attaqué et je n'ai nullement besoin de votre pitié...

-Tais-toi ! Quand quelqu'un est blessé, j'en fais mon affaire. Je n'allais quand même pas te laisser crever sous les décombres. Oups !

Voilà maintenant que le forgeron me balançait des pierres en pleines tronches. Je la ramassais et regardais ensuite le lanceur.

-Tiens attrape, c'est ce qu'on était venu chercher. Allez en route, faut qu'on retrouve le bon chemin.

-Aaaah ! BA tu vois que j'ai bien fait de faire écrouler cette galerie. *Regard très très très noir du forgeron* ... Ok ! Disais-je d'une voix aiguë.

-Je crois qu'il faudrait mieux faire une trêve jusqu'à ce qu'on trouve une sortie non ?

-Tout à fait d'accord ! Et puis ... Je n'ai plus trop envie de me battre ! J'ai ce que je suis venu chercher et rien ne pourra m'empêcher de sourire. Attention, un, deux, trois et HIIIII !


Tout d'un coup j'affichais un gigantesque sourire forcé, voulant montrer à quel point j'étais heureux d'avoir trouvé de quoi réparer mon sabre ! C'est donc avec un magnifique rictus que je suivais mon forgeron.

-Vous chavez quoi ? Che vais garder che chourire jusqu'à che que mon chabre choit réparer ! Pourquoi vous avez l'air déprimé ?
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Bakasaru avait été tellement obnubilé par la pierre qu’il avait remarquée en se relevant qu’il n’avait même pas remarqué que leur assaillant s’était retrouvé à moitié coincé sous les décombres. Il râlait tellement sur son imbécile de client qui venait de faire s’effondrer la galerie qu’il ne se donna pas la peine de venir l’aider à dégager le malheureux. En même temps, il avait l’air de s’en sortir très bien tout seul. Il avait même commencé à panser ses plaies. Sans doute avait-il quelque qualification de médecin. Quand Bakasaru jugea qu’il pourrait marcher et surtout quand il en eut marre d’attendre il lança le caillou au docteur de circonstance.

Voilà que l’autre faisait un grand sourire pour marquer la fin des hostilités. Il avait l’air tellement niais comme ça que notre forgeron l’aurait bien perdu dans la mine juste pour lui faire les pieds. Yukikurai se mit en route suivi par les deux énergumènes.

« Allez les guignols, on s’active ! J’aimerais bien être ressortit de la mine avant qu’ils ne se rendent compte qu’une galerie s’est effondrée. Si je pouvais dire que c’est pas ma faute ça m’arrangerait fortement. Sinon, ils vont retenir ça de ma paie et me forcer à aider à dégager le chemin. Et pire que tout je vais me faire engueuler comme du poisson pourri. Alors, quand on sort, on fera semblant de rien. Compris ? Et moi je rentrerai chez moi. Toi tu reviens demain à la première heure avec ton sabre et le minerais. »

Ils durent marcher un bon moment avant de croiser un embranchement qui donnait sur leur gauche. Ils le prirent et continuèrent à marcher dix bonnes minutes avant l’intersection suivante. Yukikurai n’avait pas dit un mot pendant le trajet. Il était passablement de mauvais de poile sur ce coup là. Il était venu pour chercher un minerai et le voilà qui servait de guide à deux clampins. Il y avait des jours comme ça où rien n’allait droit. Mais c’était bientôt fini. Il reconnut au carrefour des restes de lazurites. Il savait maintenant où il était avec précision. Il ne restait plus qu’à suivre les rails des wagons en prenant à gauche à chaque aiguillage et nous serions dehors.

« C’est bon, j’ai retrouvé le bon chemin, dans une bonne dizaine de minutes on sentira l’air frais de dehors. »
« Ho ! Allez tant qu’on a quand même rien à faire d’autre que marcher, si tu me réexpliquais en détails ce que tu veux que je fasse comme réparation à ton sabre. Je le recoule à l’identique, tu veux des motifs en plus ? »

*Rhooh, j’espère qu’il va bien me payer et ne pas essayer de m’entuber sinon son sabre je sens que je vais lui faire manger par le fondement. Restons calme, ça va me rapporter pas mal pour deux jours de travail seulement.*


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Je ne savais pas pourquoi, mais se sourire m’agaçais. Moi qui n’ai jamais appris à sourire, je ne pouvais pas supporter une personne sourire, même si c’était forcer. Bon, il m’arrivait de sourire, mais généralement c’est bien malgré moi... Ou alors c’est quand j’arrive enfin à réaliser un de mes rêves... Chose qui actuellement était assez rare. Quoi qu’il en soit, une trêve était mis en place et j’allais tente de conserver cette trêve pour le moment. Déjà perdu au début je n’avais pas envie de mourir dans cette mine. Mais je me demandais vraiment pourquoi ce type souriait surtout qu’il paraissait totalement ridicule. D’ailleurs je ne pouvais pas m’empêcher de lui faire une petite remarque la dessus.

Pourtant du devrais, tu as l’air ridicule avec cette tête.

L’autre type qui semblait connaitre la mine et donc nous permettre de sortir, semblait lui presser de quitter les lieux. Moi je ne l’étais qu’à moitié... Il faut dire qu’après je risquais d’avoir quelques problèmes. Déjà je ne savais pas s’il allait eux me laisse partir, mais si les mineurs étaient présent à l’entrée de la mine je risquais d’avoir encore plus de problème... Je marchais donc avec un peu de recul moins pressé qu’eux de sortir, mais obliger de les suivre pour pouvoir sortir un jour... La marche semblait longue sans doute parce qu’il y avait aussi beaucoup de silence... Je ne savais pas quoi dire et d’ailleurs devais-je dire quelques choses !? Je me posais beaucoup de question, je me demandais si je devais parler pour plaider ma cause ou juste tenter de fuir une fois à l’air libre...

Quoi qu’il en soit, le gars qui nous guidais semblait avoir retrouvé le chemin, il restait donc encore environs 10 minutes avant de retrouver la lumière du soleil. C’est à ce moment-là que mon cerveau se mit à travailler à 100 à l’heure. Je devais trouver un moyen de partir sans rencontre de problème entre temps... Je savais déjà que j’allais ne pas rester très longtemps sur l’ile, mais surtout que si je ne faisais pas tout pour quitter les lieux sans êtres suivit je risquais d’avoir des problèmes avec la marine ensuite... Enfin si ses deux types se mettent à parler.

Bien que cela n’était pas dans ma nature je me mis à parler, je n’avais pratiquement pas dit un mot depuis que j’étais sortir des débris, mais pour la première fois je pris la parole pour dire :

C’est pour ça que vous vous êtes enfoncé dans cette mine ? Vous n’auriez pas pu trouver une méthode plus simple ? Ou simplement demander au mineur à l’extérieur ?

Je n’avais que 10 minutes et pendant ce cours laps de temps, je devais au possible m’attirer leurs faveurs. C’était cours mais si j’arrivais à les comprendre, je me disais que peut-être je pourrais sortir d’ici dans provoquer d’autre problème. Apres tout, au finale, je partais sans rien, je n’avais rien volé et je n’avais pas l’intention de voler quoi que ce soit ici.
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Voilà bien une demi-heure que nous marchions dans ce foutu tunnel et je dois bien vous avouer que je commençais à avoir de sacrés crampes aux zygomatiques ! Ce qui me fit finir par lâcher mon sourire niais de mes lèvres. Durant notre ... « Ballade », on va dire, le forgeron me posa cette question :

-Ho ! Allez tant qu'on a quand même rien à faire d'autre que marcher, si tu me réexpliquais en détails ce que tu veux que je fasse comme réparation à ton sabre. Je le recoule à l'identique, tu veux des motifs en plus

-Seulement le ressouder ! Cela dit, je ne suis pas contre quelques motifs ! Mais rien de bien compliqué ! Je vais te filer mon autre sabre et tu marqueras sur le bout du pommeau « TM » pour celui de cassé et « KS » pour celui qui ne l'est pas avec en dessous de chaque, une croix chrétienne, s'il te plait. Pour tout te dire, mon sabre cassé s'appelle Tamashii Maria et l'autre, Keradot no seishin. Ce sont les noms de mes deux parents, tués il y a quelques années lors d'une attaque de bandit. Ses sabres sont, en quelque sorte, leur pierre tombale qu'ils n'ont pas eue ... Je ne sais pas si c'est vrai, si leur âme sont vraiment là-dedans, mais pour moi, ces sabres sont ce que j'ai de plus cher au monde ! Je suis près à ramener tout l'or du monde rien que pour eux !

Après cette séquence d'émotion, il y eut un blanc. Puis, après encore 10 bonnes minutes de marche, nous étions enfin sortis de ce tunnel de malheurs ! Enfin la lumière du so ... De la lune ...

-Ouah ! On y est resté si longtemps dans cette mine ?! Ouais, d'un côté on y est rentré en fin de journée, aussi ... Enfin bref, forgeron, à demain ! Et toi, le voleur ... Ba ... À je sais pas quand !

Et se fut sur ces mots que je parti passer la nuit. Tout d'abord, je fis un petit tour dans la nuit fraiche. Il n'y avait pas un seul nuage et les étoiles et la lune brillaient d'une sombre brillance ! Elle prodiguait suffisamment de lumière pour y voir clairement dans la ville. Je parcourais donc les boutiques fermées et les maisons cloîtrée. Un air lugubre se dégageait de chaque coin de rue, comme si quelqu'un vous fixait des yeux depuis un moment. Un frisson me parcourra l'échine avant que je ne décide de retrouver mon banc favori, devant la boutique du forgeron. De toute façon, j'avais l'habitude de dormir sur le pont du bateau, alors pioncer à la bonne étoile, ce n'est pas un problème pour moi !

Je fus donc réveillé le matin par les commerçant levant les grilles de leur boutique, il faisait jour et un oiseau était en train de me piétiner l'épaule. Celui-ci s'envola dès que je me mis assis, me frottant l'oeil droit. Je posais mes coudes sur les genoux et joignais mes mains en regardant la ville se réveiller. Les volets et les portes s'ouvrent, quelques téméraires partent faire un jogging du matin, les vendeurs clandestins commencent à se cacher, car les marines commencent leurs rondes, ... Et se fut donc au tour de mon forgeron d'ouvrir boutique.


-Yo ! Bien dormi ?

Il ouvra sa boutique et j'entrais. J'étais le tout premier client et, d'un air légèrement endormis, je donnais au forgeron mes deux sabres ainsi que le caillou qu'il m'avait filé.

-Voilà, chef ! À toi de jouer, je viens les chercher dans combien de temps ?


Suite à sa réponse, je sorti en faisant un signe de la main gauche, main droite dans la poche. Et c'est reparti pour un tour de ville ! Rien de super spécial ne se passa, juste deux ou trois marines ayant cru me reconnaitre, deux ou trois bousculades, quelque peu de lèche vitrine, puis se fut le retour à la boutique.

-Re-Yo ! Je viens chercher mes sabres !

On me les redonna.

-Wouha ! Ça a de la gueule, merci ! Tient et garde la monnaie, je te dois bien ça pour tout le malheur que je t'ai fait !

Je sortis de mon sac la pierre précieuse que j'avais trouvé hier en cherchant le chrome nécessaire pour mon sabre. Je me suis ensuite retourné et ai foulé pour la dernière fois le pavé de cette ville, partant pour de nouvelles aventures avec un sabre tout neuf !

-À une prochaine fois !
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Heureusement qu’il avait redemandé à son client ce qu’il voulait pour la réparation, parce que dans sa tête le plus simple c’était de faire fondre le tout et de le couler à l’identique. Mais là ce n’est pas pareil, il fallait juste souder les deux extrémités. Ce serait une première pour le forgeron, car c’est rare qu’on chipote comme ça pour une épée brisée. Cependant, son client semblait croire que l’âme de ses parents résidait dans ses lames. Qui était-il, lui simple forgeron pour se moquer des croyances d’autrui, surtout que lui-même avait été éduqué avec la croyance des esprits de la nature. Quelque part ça lui parlait des esprits liés à des objets, des lieux. Ça le motivait à faire de son mieux le lendemain.

Sur la fin du trajet, ce fut l’assaillant qui essaya de faire la conversation. Il n’était pas très doué, mais paradoxalement c’est ce qui détendit un peu le jeune homme. Il sentait la maladresse et la volonté de bien faire derrière chaque mot. Donc après avoir répondu de manière un peu bourrue à la première question répondit normalement à la suite de la conversation.

« Ha tu l’es connais pas toi, les mineurs. Des radins qui savent reconnaitre que des pierres précieuses. Le minerai pour eux c’est des cailloux comme les autres. Et puis s’il n’y avait pas eu l’intervention d’un guignol, je connais la mine assez bien et ça ne nous aurait pas pris plus d’une heure. »

Quand ils arrivèrent à l’extérieur la fête battait son plein, la plupart des mineurs avaient déjà bien bu et avaient dû faire assez de bruit pour couvrir le bruit de l’éboulement de la mine. Yuki fila directement sans s’attarder plus longtemps. Une fois un peu plus loin, l’homme aux sabres présenta ses salutations et partit pour la nuit. Le voleur allait faire de même quand Yuki l’attrapa par le col.

« Hopopop ! Tu crois aller où comme ça. C’est pas ton attitude mielleuse des dix dernières minutes qui vont te sauver la mise. Maintenant qu’on est seul, tu vas… »Petit silence dramatique, pour jouer avec ses pieds. « Me vider tes poches, que je vérifie que tu n’as rien chapardé à l’intérieur. »
« Ok, c’est bon. Ton collier ne vient pas d’ici sinon je me souviendrais d’avoir vu passer une pierre pareille. Oui, oui tu peux te barrer maintenant. La mine t’a déjà mis assez sévère comme ça pour que j’en rajoute. La marine m’en parle pas, je leur fais pas confiance à ces jojos-là. »


Yuki alla se coucher dans son hamac vidé par cette journée riche en surprise. Il dormit comme un loir, content de la décision qu’il avait prise pour le voleur qu’avait rien volé. Le lendemain matin, il se réveilla à la première heure et quand il ouvrit la boutique, le jeune homme aux sabres l’attendait déjà, à croire qu’il avait dormi devant.

-Yo ! Bien dormi ?
« Oui, ça va j’ai pas à me plaindre. Allez, entres qu’on en finisse. »
-Voilà, chef ! À toi de jouer, je viens les chercher dans combien de temps ?
« Oh à mon avis ça va bien me prendre plus de la matinée, reviens vers 16h ça devrait être bon. »

Une fois qu’il lui eut remis ses deux sabres et la pierre de chrome, il repartit. Yuki put alors se mettre au travail. Il commença par allumer le feu de la forge et bien vite la fraicheur du matin fut balayée par la chaleur du four. Pendant qu’il montait en température, Yukikurai nettoya la pierre. Il restait dessus de grosses impuretés qu’il était facile de retirer à la main. Quand il eut fini, il plaça les différents morceaux dans un creuset de taille moyenne qu’il déposa dans le four. Une fois ce dernier refermé, il laissa la chaleur travailler. Il activait régulièrement le feu pour que la chaleur monte et que le minerai fonde. Entre temps, il mit à fondre un peu d’acier normal pour constituer son alliage. Ensuite, il étudia le moyen de réparer cette lame, qui, maintenant qu’il en connaissait l’histoire, lui semblait en effet spéciale. Le problème qu’il devait résoudre c’était comment maintenir les deux partir lorsqu’il coulerait le joint. C’est pour ça qu’on ne fait généralement pas ce genre de réparation et qu’on coule dans un moule. Ben oui, un moule voilà la solution, le moule maintiendrait la lame.

Il prépara le sable et les planches pour le moule. Ensuite, il disposa l’épée au milieu du sable avec un petit centimètre entre les deux morceaux. Il se servit d’une deuxième planche pour venir compresser le sable autour de la lame. Il compressait le sable manuellement grâce à son Kyomei. Quand il retira la lame, il restait une emprunte bien nette.

Une fois cela fait, il était près de dix heures et il sortit le chrome du four. Il y avait maintenant deux phases présentes dans le creuset. Au-dessus surnageait toutes les impuretés, il élimina donc la partie supérieure. Une fois cela fait, il ne restait qu’un quart du volume. Il alla donc l’ajouté à l’acier fondu pour obtenir une nuance plus trempante. Ne passant pas obtenir autant de chrome, il dut rajouter un peu d’acier pour que les proportions soient bonnes. Une fois que tout fut bien fondu, il mit à chauffer les deux parties à souder sur le fourneau et il mélangea avec une longue tige en acier, le temps que les extrémités soient chauffées à rouge. Quand le métal fut bien rouge, il plaça les deux moitiés dans sa gangue de sable, puis il prit le creuset contenant son acier et alla le couler. Il versa délicatement à l’endroit à réparer. Les parties chauffées au rouge réagir avec l’acier en fusion, créant des liens solides entre les deux parties. Yuki ne versa pas tout, il y en avait bien trop, mais il versa le reste dans une lingotière qu’il laissa refroidir tranquillement.

Après avoir laissé refroidir la lame à l’air pendant quelques minutes, le temps de vider le creuset, le jeune forgeron prit un seau d’eau qu’il versa en partie pour effectuer la trempe. Une fois le liquide évaporé, il sortit l’épée de nouveau unie et la plongea dans l’eau pour finir convenablement la trempe. Une fois cela fait, il remit la lame au feu pour effectuer un revenu qui permettra de libérer les contraintes due à la soudure et diminuer sa fragilité. Par la même occasion, il en profiterait pour redonner une belle forme à l’aide de son marteau.

Heureusement qu’il y avait des temps morts dans l’art de la forge, car la chaleur n’était pas de tout repos. Quand il sortit l’arme du feu, un truc étrange se produisit une flamme bleue resta accrochée au niveau de la soudure. Cela n’arrivait jamais, surtout que les flammes de la force sont orange. Cette petite flammèche dansa comme heureuse jusqu’au moment où il abattit son marteau pour refaire le tranchant de l’arme. Il aurait juré que lors du premier coup de marteau, la lame avait vibré produisant un son semblable à un petit merci cristallin. Troublé, Yukikurai marqua une pause avant le prochain coup. Il tendit l’oreille après, mais plus rien ne se produisit. Une dernière petite chauffe et un plongeon dans l’eau et le plus dure était fait. Il était grand temps, car il était déjà près d’une heure de l’après-midi et il était trempé de sueur. Juste le temps de se sécher un coup et de manger un bout et il s’attaquerait à la finition.

Après une demi-heure d’air frais et de tartines, il retourna à l’atelier. Il lui restait pas mal à faire et il le fit avec passion, persuadé que l’esprit de lame l’avait remercié pour ce qu’il faisait. Il commença par nettoyer la lame, car la chaleur l’avait noircie. Ensuite, il grava ce que le client lui avait demandé. Jamais il n’avait aussi bien gravé, le résultat était magnifique. Il était touché par la grâce aujourd’hui. Il finit le boulot en aiguisant le tranchant et en repassant sur le joint pour qu’il soit beau et propre. Il eut fini à trois heures. L’arme était comme neuve, on voyait juste un trait plus clair au niveau de la réparation, mais ça donnait du style en plus à la lame.

Le jeune homme arriva un peu à l’avance, surement excité à l’idée de récupérer ses précieux sabres. Quand Yuki lui présenta son travail, il parut satisfait et lança une bourse pleine pour payer. Il quitta ensuite la boutique. Sentant le poids de la bourse, Yukikurai répondit poliment.
« Ce fut un plaisir de travailler pour vous. Au plaisir de vous revoir. »
Notre forgeron était lessivé par cette journée de dure labeur, mais réellement content, car il n’avait pas souvent l’occasion de s’occuper d’arme par ici. C’est donc tout heureux qu’il défit le cordon de la bourse. Il découvrit à l’intérieur une belle pierre précieuse qui devait valoir facilement le prix qu’avait été fixé. En l’examinant de plus près pour estimer sa valeur, il se rendit compte qu’elle provenait de leur mine. Bakasaru sortit dans la rue pour tenter de le rattraper, mais il avait déjà disparu dans la foule.
« Oh, le petit trou du cul ! Il ose me payer avec une pierre précieuse qu’il a trouvé la mine et qui nous appartient déjà. Quel culot ! Si je le retrouve un jour, il va m’entendre. »


À la recherche d'un forgeron. 229f206b0ad68563dc50c5d95741feb2À la recherche d'un forgeron. Kuroko.no.Basuke.600.1903798 À la recherche d'un forgeron. Steamp10
"C'est en forgeant que l'on devient forgeron, c'est en voyageant que l'on se forge un nom"
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