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One Piece !

Precendtly

Alastor Marvolo, je me souviendrai toujours de ce nom, de ce vendeur d'alcool à la mine forte sympathique. J'espère qu'il va bien... Mais qui suis-je pour m'inquiéter des autres ? Me voilà sur East Blue et c'est aujourd'hui que je vais annoncer au monde entier mon entrée dans la piraterie... Il n'est plus question de frapper des gens sans raison, bien que ce soit plaisant, je vais suivre le conseil de Minos. Pourquoi pirate ? Une envie ? Le pouvoir ? J'en ai que faire ! La gloire ? A quoi bon ? La fortune... Je m'en fous du fric... Je lance un regard sur mon katana... C'est pour le challenge... Première étape vers le renforcement de soi, l'amélioration de mes techniques au sabre. Quand j'y réfléchis, va falloir me battre avec tous ceux qui auront un katana à la main. Mais d'abord, je vais m'altérer le gosier dans une taverne...


Tiens un chouette nom pour un bar, Gold Roger ? Le bonjour à tout ce beau monde, mes salutations au barman, je vais me prendre...Hum... Un verre de lait ! M'ouais, j'attaque fort ce matin, tellement que tous les regards se braquent sur ma gueule d'ange. Quoi, vous avez jamais vu un blond ? Je demande au Barman les dernières rumeurs qui courent, mais il semble pas déterminer à me répondre, surtout pas quand il voit qu'un de ses clients me menace à coup de chope de bière à la gueule... Mais voilà que je suis trempé maintenant, bien joué petit ! Je me retourne avec le sourire, je l'observe... Un barbu pas très commode qui tire une tronche de déterré, une marque de bague sur sa main...

- Hey ! C'est pas du lait... Bonhomme, je sais que les femmes sont durs avec nous les hommes, elle t'a quitté pour un autre ? C'est vraiment triste.


Je me fous de sa gueule ? Non ! J'ai un coeur, voyons... A peine a t-il voulu parler que je dégaine mon katana. Je fais reculer mon tabouret du pied gauche, j'attrape sa tête et la frappe contre le comptoir, à maintes reprises, puis l'envoie valser à coup de pied dans le derrière au fond de la salle, ensuite je ramène vers moi le tabouret, m'assoie convenablement et re-demande mon verre de lait.

- Avec deux glaçons, s'il vous plait.

- T'es Quiiiiiiiii pour te foutre de ma trogne, cognez le les gars !

Bon, j'avoue, je suis personne pour l'instant. Je me permettrai pas de me foutre de ta trogne, c'est sincère ce que je t'ai dis, je suis navré pour ta femme. Ils ont décidé de se mettre à trois contre moi, je me lève et je me reçois une beigne dans le ventre, et encore une autre et un coup dans les jambes, je me mets à genoux, puis relève avec ma main droite, je dégaine avec mon bras gauche, mon sabre se coince dans son fourreau, le cocu se ramène et me prend pour son puching ball. Je recule, épée toujours coincée, c'est la loose, ça doit pas être ma journée... Le gus à ma droite me frappe violemment le visage, le second en rajoute une couche dans mon bide... Les gars, j'ai pas mangé, soyez cléments.... Et avant même de pouvoir l'ouvrir, le troisième s'apprête à prendre mon katana, l'imbécile, il réussit à le décoincer, mais trop con pour croire qu'il peut prendre ce bijou aussi facilement, c'est pas un bonbon que l'on peut voler à un gosse. Je tranche le meneur de groupe, les trois restants se ramènent, un petit kick pour envoyer l'un d'entre eux à l'extérieur, puis je matraque les deux à coup de claque dans la gueule, je préfère boire mon lait avant de tuer...


- Mon nom est Mizukawa Sutero, Pirate ! L'homme qui ne trouvera pas le One Piece, mais qui vous bottera le train-train pour avoir gâché ma journée et à moins qu'il n'y ai Gold Roger en personne pour vous sauver les miches et m'empêcher de savourer ma commande, je resterai dans ce bar !
    L’ile du seigneur des pirates hein ? Hé hé hé. Le plus grand anarchiste du monde. Un homme qui c’est bien amusé. Il a satisfait tous ces désirs. Ça c’est la vie. Faut que je passe sur l’échafaud et créer un bon bordel. Moué, par contre c’est rempli de marine, me faut un plan pour me sortir de cette future situation. Enfin le plus important c’est qu’il y a plus rien dans ma gourde ! Non, non ,non. C’est pas humain de faire une aventure sans une goutte d’alcool. Puis dans le secteur il y a un truc qui s’appelle Gold Roger.

    C’est quoi ça ? Ah un bar ! Sauver. Ça doit être des nostalgiques qui se sont donner ce nom. Bon le barman me sert un verre et me remplis ma gourde de ma liqueur préférée. Une place libre dans un coin c’est bien ma veine. L’endroit est animé pour une matinée. Une dizaine de personnes s’amusent. Certains picolent de bon matin, eux ils ont tout compris à la vie. Puis d’autres joue aux cartes. Bon c’est un peu calme, faut que je mette de l’ambiance avant de partir.

    Coup de chance. Une altercation entre deux hommes. Un blond qui vient de rentrer contre un qui en est probablement à sa cinquième chope. Les renforts arrivent. Ils mettent à terre le blond sans la moindre pitié, HA HA HA. Belle journée en perspective. Mais, houla le blond a du répondant, il finit par remporter la victoire qu’il l’aurait crue ? C’est un vrai monstre.

    - Mon nom est Mizukawa Sutero, Pirate ! L'homme qui ne trouvera pas le One Piece, mais qui vous bottera le train-train pour avoir gâché ma journée et à moins qu'il n'y ai Gold Roger en personne pour vous sauver les miches et m'empêcher de savourer ma commande, je resterai dans ce bar !

    Il me fait rire, je rigole tellement fort que tout le monde se met à me regarder. Qui voudrait sauver les niches de déchets ? Tout le monde s’en fout de ces hommes. Je mets mon chapeau de loubard et m’approche du blond avec la chemise ouverte pour bien faire le voyou.

    -Eh salut Michel le pirate. Alors t’es un dur à cuire toi. Tu dois avoir une petite prime sur la tête non ? On peut devenir associé si tu veux. J’suis un pirate qui cherche des compagnons.

    J’ai dit tout cela d’un ton sérieux. Mais en réalité j’ai pas l’intention d’en faire un allier. Faut juste que je le manipule histoire de m’amuser un peu. S’il a une prime sur la tête sa serra encore plus drôle. Une fois que j’aurai foutu un petit bordel dans la ville, je le laisserai derrière histoire que les marines le choppent. Petit plan sympa. Sinon je peux le vendre. Oué j’en fais mon esclave tranquillement. Hé hé hé.
      Apparemment j'en fais rire un, c'est bon je me retire, j'ai fais ma B.A. Bon maintenant savourons notre bon petit lait, tout en ignorant les paroles de cet homme qui m'a appelé Michel, il doit avoir les oreilles bien dures. Je termine ma dernière gorgée et je rétorque enfin à ce monsieur.

      - Une prime ? Pourquoi ça t’intéresse, t'es chasseur ? Ah non, un pirate ? T'es sûr ? T'as l'air déboussolé, t'as peut être besoin d'aide ?


      Je commande une tasse de thé et je repense à ce qui m'a vraiment amené ici.La recherche de bons adversaires, et rajouter à cela, j'ai bien envie de me faire baptisé à l'échafaud, on dit de cette île que c'était le début et la fin, on le dit tellement de fois que s'en est gavant et c'est quoi le petit nom à ce jeune homme ? Suffit peut-être de lui demander...

      GOLD ROGER ! Je recrache ma gorgée par dessus le comptoir et tousse fortement... Décidément, le destin a décidé que ça ne sera pas ma journée. Et je pense qu'il est de mon devoir de remettre les pendules à ce petit gaillard, il est perdu le pauvre... Gold Roger... Ahahahahaha

      Je me lève et sort mon katana... Je suis prêt à le trancher en petits morceaux... J'en salive d'avance...

      - Je pense à un truc, ce qui me ferait marrer, c'est de te voir sur l'échafaud en train de crier que t'as retrouvé le trésor, le One Piece et après je déciderai oui ou non de te couper la tête... On fait comme ça ?


      Mais, je vas sans doute lui laisser la vie sauve, ça à l'air d'un comique et puis c'est un pirate après tout, de quoi on aurait l'air, si on se tapait sur la tronche, de vulgaires animaux ?
        Hahaha. Ça fait toujours autant d’effets de dire que je me nomme Gold Roger. D’ailleurs tout le monde a recraché sa gorgée dans le bar. Ce n’est que le début pourtant. Ce blondinet continue de parler. Quelle arrogance. Il pense vraiment qu’il peut me couper la tête comme ça ? Bon de toute façon il veut aller voir l’échafaud. Ça m’arrange. Puis si j’ai bien retenu, son nom est Mizukawa. Je le crierai haut est fort, histoire qu’il a autant de problème que moi. Puis je lui prépare un sale coup il verra qui décidera de la mort d’autrui.

        -Bon Zorette on y va ?

        Zorette pour faire allusion à Zoro le célèbre pirates de l’équipage de chapeau de paille, tout en le rabaissant. Petite provocation histoire de le mettre en rogne. J’ai le poing qui me démange mais il faut que je me retienne. La violence en ce lieu ne m’apportera rien.

        Je pars en volant une bourse d’un homme assied, ni vu ni connu. Puis, pas question que je paye ce que je viens de consommer. Alors le barman prend son courage à deux mains et me hurle dessus. Je fais la sourde oreille histoire qu’il s’énerve encore plus. Il vient me saisir par le col. Je me retourne et lui décoche une droite dans l’estomac. Je le regard s’écrouler et lui lance un léger sourire. Je l’attrape et le relève.

        -T’es sourd ? Je viens de dire que je suis Gold Roger. Alors là tu me cherches. Mais je peux décidai de te donner une histoire à raconter à ta famille. Je peux aussi faire en sorte que tu ne puisses plus jamais raconter quoi que ce soit. Encore ce n’est qu’un commencement. Quand j’étais petit, mon père m’attrapait et me pendez par les pieds. Puis il me murmurait, que je suis faible, qu’une sous merde. Le fort a tous les droits sur le faible. Mais aujourd’hui c’est toi le faible. Donc que vais-je te faire ?

        Je le lâche, lui fait une belle grimace et je lui fous un bon coup de pied. Bon, direction l’échafaud !


        C’est donc ici. Oua ! Elle est grande. Je commence à escalader en vitesse. J’attire pas mal de regard. Puis des marines sont déjà sur place. Il hurle des trucs mais je m’en fous complètement. J’arrive tout en haut et là, une vue magnifique de l’allée. Je reste planté là quelques secondes. Allé c’est parti. Grande inspiration.

        -JE SUIS GOLD ROGER ! J’AI TROUVE LE ONE PIECE ! JE SUIS DE RETOUR HA HA HA HA ! Regardé le blond là ! C’est Mizukawa ! Le pirate sanguinaire qui a tué de nombreux nobles et qui as tué des familles entières justes pour le plaisir ! Les bébés, ils les mangent !

        Voilà voilà ! Maintenant faut fuir !! Les marines tirent sans hésitation. Je pars par derrière, hors de question de resté sur l’allée centrale. De plus des groupes de marines arrivent en masse.
          Petit présomptueux bien sûr de lui pour ce qu'il est. A part un nom pompé de l'histoire, et je vais parler de ses dires et ses manières qui ont la même mimique que les faux mugiwaras de l'époque, je me souviens bien de cette histoire, légende qu'on nous racontait étant gamins. Je vais lui effacer ce sourire et rira bien qui rira le dernier. Et bien que je presse le pas pour ne pas assister à la scène où il se défoule avec le barman, profitant de cette altercation pour ne pas payer ma part, je m'en vais à ces côtés quelques instants plus tard en direction même de l'échafaud.

          Comme un gosse, je le vois monter et crier haut et fort devant la foule civils et les quelques marines présents sur place... Ahahahaha J'explose de rire, tuer des nobles, des familles, et manger les bébés, ce sont de sacrées rumeurs... Putain, j'ai la marine à mes fesses, le temps d'une seconde d’inattention. A tous les coups, on va se faire arrêter pour trouble de l'ordre public... Je dégaine mon arme et me crée un passage vers l'endroit d'exécution, moi aussi je veux aller là haut, j'ai quelque chose à dire... Dégage morveux ! Un coup dans le bide, ça t'apprendra à me retenir, et bam ! Un coup de pied dans ta tronche, laisse moi monter !


          - GOLD ROGER est le plus grand salopard que la terre n'ai jamais porté ! En mon nom... Moi Mizukawa Sutero, pirate de North Blue, je déclare cette île sous mon contrôle et je tuerai les enfoirés qui m'empêcheront d'assouvir ce but !

          Ouais, je suis fou, et peut être un peu maso, mais je me suis promis du challenge et j'ai besoin de créer l'état de panique afin que les gros bonhommes arrivent, pour me battre comme il le faut et croiser le fer des plus grands ! J'ai pas de temps à perdre avec des petits gold roger à la noix... Quoi qu'il pourrait m'être utile...

          - Pirates du Monde entier ! Allions-nous et faisons de cette île, l'endroit le plus saccagé, le plus malpropre qu'il soit après Jaya !

          ça va saigner, cogner, trancher... Une belle journée pour mourir, c'est moi qui vous le dit !
            Pendant ma course, j’entends le pirate crier. Il déclare que l’ile est sous son contrôle Ha ha ha. Quelle comique celui-là. C’est bien le genre d’ile remplie de puissant marine. Mais faut pas qu’il me vol la vedette l’enflure. Je me redirige vers l’échafaud. Je l’entends demander de l’aide aux pirates pour renverser l’ile ou je sais trop quoi. Il est inconscient ma parole. Voilà que nous somme côte à côte.

            -Zorette. Personne ne va t’aider. Les pirates sont pas fous pour lancer un combat perdu d’avance. Pas la peine de me menacer, sans mon aide tu sortiras jamais d’ici vivant. Puis. JE SUIS BIEN GOLD ROGER L’HOMME LE PLUS CRUEL DE CE MONDE TREMBLER DEVANT MOI !

            Bon j’me suis laissé emporté, j’aurais dû fuir pendant qu’il était encore temps. Cela dit, j’ai une solution pour me sortir de là. Mais avant d’appliquer mon plan il faut engager le combat. Il faut montrer que je ne suis pas un comique, un fou sorti de l’asile. Je prends ma gourde et bois un coup. Juste pour avoir le goût. Puis je fais le saut de l’ange. Je tombe sur un marine, enfin je l’écrase plutôt.

            -Hey salut les fifilles. On m’a dit que la marine contient beaucoup d’hommes est peu de femmes. Du coup beaucoup d’entre vous joue au travelo. Vous êtes charmantes.

            Une petite insulte gratuite alors qu’ils m’entourent. J’suis accroupie et je me bats comme un singe. Je saute sur un et lui met un grand coup de poing dans la tête. Mes jambes sur son torse me permettent de faire un salto arrière et d’esquiver un coup qui vient de dos. Je retombe au sol et je leur fais des grimaces. Ma posture basse semble les gêner. C’est pas tous les jours qu’on affronte une personne qui reste accroupie.

            J’enchaine les roulades, les sauts. Je donne des coups entre les jambes, dans les yeux sans pitié. Au final je m’en sors bien. C’est qu’un ramassis de sous gradé. Un coup de chance. Les puissants ne vont pas tardais. J’empile les corps et je monte dessus. Je regarde les nouvelles troupes qui arrivent en buvant un coup. Puis j’enchaine les gorgées. J’ai peut-être trop bue. Mais j’voulais boire donc je bois. Je fais ce que je veux non mais.

            -Hey ! Les marinettes ! Je viens d’étaler vos compagnonnes. *hic* Vous savez quoi ? J’suis Gold Roger. Mais le pire dans tout ça c’est que mon bras droit c’est votre chef ! Oui celui qui est en train de vous donner des ordres. C’est juste un pirate. Allez Salut.

            Faut l’avoué j’suis complètement saoul. Sur la pile de corps je finis par trébucher. Les marines ont regardé pendant quelques secondes leur chef et ont finalement repris leur esprit. Boaf, qui ne tente rien ne risque rien. Je leur tourne le dos et je commence à partir en marchant pas tellement droit.
              A peine redescendu qu'une escouade marine vient me faire chier avec leurs sabres à deux berrys, l'unité... Sérieux, les gars, vous avez rien de plus costaud ? Soudain derrière eux, un gus assez sûr de lui veut régler mon compte, il s'occupe de dire aux autres de le laisser me fendre la poire, les marines s'exécutent, avec un oui mon Commandant à la bouche. Commandant ? C'est de plus en plus intéressant cette histoire. Encore plus que là fois où y'avait Mamie Gâteau qui n'arrêtait pas de séduire Papy Old School, mais ça c'est une autre histoire que je vous raconterai taleur après avoir fermé la grande gueule de... ?

              - C'est quoi ton nom le rigolo ?

              Michel ? C'est un prénom que j'ai déjà entendu quelque part, je me frotte les cheveux et pointe ma lame en l'air en disant...

              - Regardez y'a des pigeons là bas...

              Aussitôt je presse le pas vers la fuite avant que les marines ne s'aperçoivent de l'énormité de la supercherie pour me courser après. Qu'est ce que je fais ? Je freine ma course et leur ordonne d'arrêter.

              - Arrêtez de me courir après... Y'a Gold Roger, juste à côté, je vous ordonne d'aller le capturer ! Comment ça, des bobards ?

              Essoufflé, je reprends ma course droit sur une foule de civils qui s'écarte aussitôt, au loin, j'aperçois Roger en train de tituber... Le vendu ! Il est allé se désaltéré pendant que je me tapais un sprint...

              - oH Roger ! Faut se sortir de là, y'a un Commandant qui va pas tarder à jouer avec nous à chasse pirate... Hein, le malin, t'avais une gourde ! Fait passer...


              Glurp ! Du rhum ! ça passe crème... T'sais je t'aime bien toi. J'affiche un sourire franc avant de retrousser mes manches et de revenir sur mes pas, katana à la main... Bon, maintenant, j'ai assez couru. Le premier matelot s'avance pour me donner un coup, je me désaxe et lui fout un kick entre les côtes. Il finit par s'écrouler...

              On t'as jamais dis que foncer tête baissé, c'mal, Forest ?

              La troupe arrive forcé de constater que l'affront est lancé. Quelques hommes viennent au secours du petit et t'as le Commandant qui veut me tester au sabre. T'as pas l'once d'une âme de Jedai mec, ça va finir mal cette histoire, mon vieux. Par la barbe de Wakam le rouge, c'moi qui te le dit, puis emporté par mes pensées, il me porte un coup direct et m'esquinte le bras droit d'un tranchant... Le bougre, il vient de me blesser.... Arrgh !

              - Roger ! Passe moi la fiole steuplait !

              Une gorgée de nectar et je vais finir essuyer le filet de sang qui s'écoule le long de mon bras dans ta gorge, enflure de marine !
                La la la la, je chante tranquillement, j’m’amuse bien ici, puis j’entends en joue. J’me retourne pour voir ce qu’il prépare. FEUX ! Surpris, je tombe sur le dos. J’ai tout esquivé par chance. J’me relève tranquillement.

                -Vous êtes fou ! J’aurais pu mourir ! C’est quoi ce délire ? La marine doit servir et protéger ! Alors servez moi et protégez moi ! ‘foiré.

                Commence à me gonfler ceux-là, puis y’a l’autre qui se la ramène. Il me sort qu’il veut de mon alcool. MON ALCOOL. Le mien a moi. J’vois pas pourquoi j’lui en donnerais. C’est moi qui l’ai volé c’est à moi, pour moi, pour mon plaisir à moi.

                -Zorette qu’est-ce que j’y gagne à t’en donner hein ? Allé si t’arrive à me convaincre je te laisse la vider. Mais dépêche-toi je sais pas pourquoi j’ai de nouveau soif d’un coup oulala quelle chaleur tu trouves pas ? J’ai bien fait d’avoir un peu de liquide. En plus c’est de la bonne qualité, ben oué j’bois pas n’importe quoi.

                Je secoue la bouteille en l’air pour lui donner encore plus envie. Quand soudain un bon gradé arrive avec son sabre pour me trancher le bras qui comporte ma gourde. J’ai le réflexe de jeter rapidement la gourde sur le côté et comme par hasard elle va vers zorette.

                -Attrape Mizu !

                Quoi je l’ai appelais par son prénom ? Même pas fait exprès, la situation a fait que.. Puis voilà j’ai même pas le temps de me trouver des excuses car j’suis en train d’esquiver des attaques. J’ai déjà une légère coupure au bras gauche.

                -Mizounette t’as pas un deuxième sabre sous la main parce que là j’en ai besoin !

                Je détale comme un singe-lapin. Je saute de partout, j’me fais chasser. Le mec maitrise assez bien l’art du sabre et avec ce genre d’individu il me faut une arme peut importe laquelle, mais il m’en faut une pour pouvoir rivaliser. Il a plus de portées que moi et ça fait la différence. Mais touché un bon petit singe n’est pas donné à tout le monde. Il me lance une attaque du haut vers le bas, j’effectue un salto avant avec la lame juste derrière la tête. Il me touche légèrement et le sang se met derrière mon crane. Mais le salto me permet de tomber sur le dos de la lame. L’autre essai de la retirer, mais rien à faire. Je saute pendant qu’il force ce qui le déséquilibre, il effectue quelque pas en arrière pour se remettre droit mais pendant mon saut je lui donne un coup dans la tête. BIM !

                -Tu te fais passer pour Gold Roger… hé hé hé. T’es qu’une chochotte.

                -Moi j'suis une chochotte, toi t'es la fille de la chochotte. Ben oui LUC JE SUIS TON PERE !

                Oué j’avoue que la force brute c’est pas trop moi ça. Le mec a rien du tout. Visuellement il est tout propre comme si je l’ai pas touché. J’ai bien envie de mettre les voiles, mais la marine nous encercle déjà, ‘tin ils sont rapides. Puis un deuxième vient m’attaquer, celui-ci est plus vif et semble aussi fort que le premier, voire plus fort. J’esquive come je peux les deux attaques.

                Harlem Shake
                Spoiler:

                Je subit quelques coupures légères malgré ma maîtrise de l'esquive.

                -Mizu on devrait combattre côte à côte pour augmenter nos chances de réussite. Rang moi ma bibine t’en a eu assez.
                  Glouglouglou... Mm, c'est de la bonne, tiens ta bibine Roger ! Il t'as bien amoché le guignol, désolé pour le sabre mon vieux, je te donnerai pas le mien, elle t'irai pas. Tiens, prend celle du marine que je viens de mettre à terre.

                  Nous nous retrouvons côte à côte, encerclé par quelques marines de base et un Commandant qui se la pète un poil trop pour qu'on le considère vraiment comme un rival. Je crois bien que l'alcool me monte au cerveau, parce que je commence à distinguer une vingtaine de marine avec leur supérieur.

                  - Mon vieux, on se fait une attaque combiné, par le flanc, le principe c'est comme le bowling, un bon petit strike, on évince les gros malins et on s'occupe du petit kiki. Mm... Comment ça, t'es trop ivre pour faire ça... Tant pis. Je t'ouvre la voie, tu fonces te mettre à l'abris, je te rejoins là où on s'est croisé la première fois.

                  Je fonce vers deux marines, à coup de poing, une esquive, un tranchant qui amène l'un à se reculer et l'autre à se ruer sur moi à coup de sabre au niveau du bras gauche, mais merde mon bras ! Je prends ce dernier et le balance en mode furie sur les autres... Quatre qui tombent à la renverse, je m'empresse, je saute et applique un tranchant horizontale sur le groupe... Mizukawa Sutero ! Enflammant ainsi leur blessure.

                  - ROGER, voilà ton ouverture ! Fonce, je m'occupe du commandant !

                  Je m'avance vers lui, je pointe mon katana à terre, laissant l'officier opérer comme bon lui semble et reçoit de sa part un violent coup de poing dans l'estomac, puis un autre au niveau du visage, le sang glisse sur mes lèvres et je commence à sourire. Il s'énerve, ces coups deviennent de plus en plus violent, il baisse sa garde.... Slash ! Une belle blessure diagonale au niveau de son torse se dessine légèrement, enfin il recule.


                  Pensant que leur chef me maîtrisait, les marines se sont dispersés à la recherche de Roger, pendant ce temps, je commence à savourer, le goût d'une victoire qui sera bientôt mienne... Tu veux voir tes boyaux, mon petit ? Non ? Oh ! Oui, du feu dans tes boyaux, t'as déjà vu ça. Après quelques parades, nous nous avançons d'un pas décidé, tout deux immaculés de sang, moi plus que l'autre, puis voyant arriver son coup par la gauche, je le pare avant de le désarmer, pour ensuite lui trancher l'abdomen... Mizukawa Sutero !

                  Sa blessure s'enflamme aussitôt et je décampe avec la même rapidité, plus ou moins... Ahahahaha !
                    Voilà une arme à la main. Merci Zorette. On se débarrasse de quelques marines chacun protégeant les arrières de l’autre. Finalement face à la marine on est tous pareils… Y’a cinq minutes on s’entretuait presque. Mais bon, c’est ça la vie. Puis il me propose une technique. Hum. Ça me tente bien mais bon j’ai plus d’alcool. Je préfère pas prolonger le combat donc j’lui sort la vieille excuse que j’suis trop saoule. HA HA HA ! Vraiment il a cru que j’suis saoule en plus. Moi j’suis un drunkun master. Boire ça permet juste de me relâcher pour effectuer des actions improbables. Faire croire qu’on est ivre n’est qu’une technique de déstabilisation. D’ailleurs il va vite s’en rendre compte lorsqu’il m’ouvre un passage car je fonce à toute vitesse.

                    Fantôme
                    Spoiler:
                    YIAAAA HAAAAAAAA

                    Maintenant que la vague est franchie, il ne me reste plus qu’à semer les poursuivants. Mais bon si je laisse Zorrette avec tous ces marines sur le dos il ne va pas faire long feu.

                    -HEP LES MARINES, j’vous humilie en disant que je m’appelle GOLD ROGER et vous arrivez même pas à m’attraper.

                    Je leur fais un classique dû j’me penche et secoue mon popotin puis j’me remets à courir. Certains en rajoutent et disent que le commandant va écraser l’autre alors voilà que un grand nombre se met à me courir après. J’ai peut être pas de grosses forces brutes, mais moi j’suis fort en esquive et j’suis rapide. Donc j’me dirige vers les ruelles pour les semait. Mais bon avec la démonstration de vitesse qui leur a fait croire que j’suis un fantôme, je continue sur cette voie en utilisant mon déplacement du félin. Plus aucun bruit dans mes déplacement, lorsqu’ils me perdent de vue ils c’est presque gagner. Car au bout d’un moment j’escalade et me cache sur un toit tranquillement. Evaporer. Voilà ce qu’ils disent. Un vrai fantôme.

                    J’attends que ça se calme un peu. Puis je me change et me mets en mode noble bourgeois. Même s’il y a des troupes qui rodent encore, ils ne me reconnaîtront pas comme ça. Hé hé hé, j’suis trop fort. Je passe tranquillement dans les rues et joue au pickpocket en bousculant certaines personnes qui se rendent compte de rien. Maintenant avec l’argent je peux tranquillement me poser dans le lieu où j’ai rencontré l’autre gugusse. Pourquoi j’viens le revoir ? Je sais pas ce que je fous ici. Bon je demande au barman de me servir un verre et de remplir ma gourde que je cache dans mon sac. J’lui donne cinq minutes. J’fini mon verre et j’me taille dans cinq petites minutes. J’ai des choses à faire sur Goa.
                      Déboussolé, j'arrive enfin près du bar, je me frotte la tête, m'essuie le front, enlève mon T-shirt tâché de sang et panse ma blessure au bras gauche... Après ce remue-ménage, faudrait que j'aille voir un toubib. Faut que j'attende le calme après cette petite tempête, car je doute pas que les gus bleus ont appelé des renforts après cette scène... Qui aurait cru entendre clamer le retour du seigneur des pirates, Gold Roger ! Qui l'aurait cru ?!...

                      Je renifle un bon coup et pousse la porte de l'endroit, je fixe les yeux du barman, je regarde à l'intérieur... Pas un chat, juste quelqu'un assis au comptoir, sûrement Roger, ah tiens ? Il me fait un signe discret, je m'approche et commande un Gold Roger au patron.

                      - Bon maintenant que l'adrénaline est retombé et qu'on s'est amusé à foutre le boxon dehors, c'est quoi ton plan pour sortir de la ville sans se faire prendre ?

                      - L'exécution, petit malin !

                      Soudain, ce type me pointe un calibre dans la tête, me dit de ne pas bouger et une horde de marines rentrent tout à coup sur les lieux...

                      - Au nom de la Justice, vous êtes en état d'arrestation pour attentat à la sécurité de Logue Town et atteinte à un Officier...

                      Et merde, je me suis fais avoir... Il est où Roger dans l'histoire ? Bon, j'ai pas le choix, je laisse tomber mon sabre à terre, sinon je vais recevoir une balle dans le crâne et je vais devoir faire le toutou et les suivre malgré moi... Ils me ligotent et m'emmène vers la grande place là où se trouve les civils qui acclament le travail des marines pour ensuite venir s'approcher un peu, me balancer des cailloux, des tomates sur ma gueule d'ange...


                      - Vous avez intérêt à me tuer, car je vais pas vous épargner quand je serai libre...
                        Bon le petit verre vide… J’vais m’en aller. Puis non allé j’attends encore un peu. Après quelques secondes le voilà qui se ramène. Ben voilà, j’ai bien fait d’attendre. Puis j’ai bien réfléchi. On est des frères maintenant. Ben oui car d’après mon premier frère qui m’a montré comment avoir des frères, il faut que les deux se couvrent mutuellement et qu’ils échangent de l’alcool. C’est ce qu’on a fait en plein combat. Chacun protéger l’autre puis on a échangé de l’alcool. J’me retrouve avec un nouveau frère sabreur. Pendant que je réfléchis ben l’autre se fait remarquer par les marines. Personnellement j’avais même pas remarqué qu’ils étaient là. Il se fait attrapé et les gens l’embarquent. Je passe discrètement ramasser son katana. Je sais pas s’il a de la valeur ou pas, mais déjà qu’il voulait pas me le prêté or si on prête pas quelques choses c’est parce qu’on l’aime bien.

                        Je sors tranquillement en replaçant mon monocle et observe ce qui se passe. Je suis les marines. Les enfoirés ils veulent l’exécuter ! Pourquoi ? Ils m’ont déjà pris un frère ils me prendront pas celui-là. Bon faut que je trouve un plan. En plus je peux pas me changer sinon je vais vite me faire repérer. Si je fais tout sauté ? Non Mizounette va mourir. Arf. J’ai plus le temps. Sur la grande place, Mizu sur le point d’être exécuté. Non à l’endroit où fût exécuter le seigneur des pirates, mais juste en bas. Les gens lui jettent des choses avec de la haine. Pff j’vais leur en jeté des choses ils verront. On touche pas à mon frère à moi !

                        J’avance vers la zone d’exécution, je bouscule les gens. Les marines finissent par me remarquer et me crient de ne pas bouger. Pff. Il croit parler à qui ? Comme s’il allait tirer avec tous les innocents a côté de moi. Non c’est à l’arme blanche que cela allait se passer. Enfin, ça c’est la logique des idiots. Moi je prends une tomate pourrie et la jette sur le marine.

                        -Vous faite les fiers mais le pire criminel qui se nomme GOLD ROGER ! Vous l’avez laissé filer !! Honte à vous ! Vous venez exposer vos exploits ! Envoyer donc ce brigand derrière les barreaux comme tous les autres et allé chasser le vrai coupable !

                        Une discussion vient faire son apparition dans la foule et des rumeurs commence à circuler. Le pire homme Gold Roger serrait de retour. Personnellement j’en profite pour leur dire qu’il n’y a pas plus grande abomination sur cette terre. Il est comme un fantôme. Il vient pour tuer les enfants, humilier la marine et créer le chaos. Je lance plein de phrase juste pour me créer une réputation hé hé hé. La peur commence à prendre possession de tous ces faibles. Je monte sur l’estrade avec le sabre de Mizu bien en évidence.

                        -Ecoutez moi ! On vient de me signaler qu’il est parmi nous ! Il va tenter de sauver cette énergumène ! Je dis non ! Vive le peuple et vive GOLD ROGER !

                        En même temps que j’hurle mon nom je lève le sabre comme pour trancher la tête de mizu, mais je lui casse ses chaines. Enfin j’essaie de les lui cassé, mais j’arrive pas c’est trop solide ! OOOOH PUTAIN les marines me saute dessus, un tente de coupé la tête de mizu mais je le redresse. Je le met sur mes épaules comme un sac de patates et saute dans la foule qui s’écarte. Je lance un cri de fou. Tout le monde me regarde et s’écarte. Tellement surpris qu’ils oublient de laisser place aux marines qui sont bien gênés.

                        -J’pouvais pas laisser mon frère crevé !

                        Je donne tout ce que j’ai, mais avec cette charge sur le dos j’vais beaucoup moins vite. Faut casser ces chaines qui lient ses poings et pieds.

                        -T’as pas une idée pour te libérer là ! Moi j’suis occupé à courir alors réfléchie !
                          - Merde Roger ! On a failli me couper la tête ! Ma tête !

                          Là le mec, il me doit un verre de rhum pour la peine, j'ai failli y laisser la vie. P.S. t'aurais pas à boire... A boire... J'ai soif. Non sérieusement, continue de courir, car ils sont à nos miches les bleus et ils sont tenaces sacre bleu ! Par la barbe de Wakam le rouge, non par les trois couilles de Wakam le blanc, on va pas s'en sortir... Ton frère ? Attends d'être dans un bar qu'on lève nos verres pour cette putain de fraternité... N'empêche on est bien con d'avoir foutu ce bordel ! Arf, faut que j'arrête de cogiter dans mon coin, sinon les marines vont nous courser... Oh ! Une ruelle à droite.

                          - Va à droite ! ALLEZ UUH DADA ! UUUUUUH !


                          Cool, on échappe peu à peu au radar de ces enflures de marines. Prend à gauche, non à droite, bon ok, continue d'avancer tout droit.

                          - Lâche-moi et passe mon sabre...Je suis essoufflé pas toi ?

                          C'est bon, je rigole, fait pas cette tête, j'essaie de trancher une porte qui se trouve juste en face de nous, dans cette ruelle, mais je me loupe et tranche le mur qui percute même pas qu'il a été touché par un sabre, solide... Bref, le Roger essaie de tourner la poignée de la porte et par miracle elle s'ouvre... En fait, c'est un gus qui l'a ouverte et qui nous fait signe de rentrer... C'est un vieillard doté d'une canne à sucre en guise de troisième pied qui nous sauve la mise.

                          Au calme, on souffle un peu et j'essaie de me libérer tandis que Gold parle à notre sauveur qui s'avère être l'ami d'un pirate.

                          - Dit grand-père ? T'aurais du saké ? Dans tout ce foutoir, il y'a une tradition qu'on doit honorer, toi et moi... Je veux dire Roger et moi-même. Nous devons partager un verre de saké pour solidifer nos liens, car ce qui s'est passé dans cette putain de journée n'est pas le fruit d'un grand hasard ou de nos conneries de jeunot... Faut que je respire, je parle trop vite, je suis chamboulé...

                          - Du saké, VOUS EN AVEZ PAS ? Du rhum, alors... Du Pastis ? On fera avec !



                          MIZUKAWA SUTERO ! A force de trancher comme un bourrin, je finis par couper ces chaînes... Enfin, un petit moment de répit.
                            FOUTU FOUTU FOUTU ! Si j’me fais chopper j’crois bien que j’exploserais la planète pour calmer mes nerfs. Puis l’autre me prend pour son cheval alors qu’on a les marines aux trousses. Il m’a piqué aux fesses, enfin en réalité c’est une balle, mais j’ai cru que c’était lui, du coup j’ai accéléré et j’ai réussi à me faufiler dans une ruelle et à disparaitre grâce à un vieux qui nous a ouvert une porte.

                            -Yop papi ! Tu gères la fougère ! N’oublie pas que je suis Gold Roger ! Mais comme tu m’as aidé tu auras la vie sauve ! Puis regarde j’ai mal là.

                            J’me tourne et lui montre mes fesses tandis que l’autre s’acharne sur ses chaines. Le vieux me donne une bonne claque sur le fessier et me gronde…

                            -Jeune effronté ! Comment oses-tu me montrer ton arrière-train. A ton âge jamais du respect pour les anciens. Si je vous aide c’est seulement en mémoire de…

                            -Ho ferme là grand père, on s’en fou de t’es histoire.


                            Puis il s’énerve encore mais je l’ignore totalement ce qui le rend fou de colère. Zorette demande du saké et il a bien raison, parlé avec le troisième âge ça déshydrate, à croire que c’est toute cette vieille peau qui aspire l’eau de nos corps. Bon moi je regard un peu où on a mis les pieds, je marche dans les locaux. C’est une ancienne boulangerie. Je sais pas si elle est encore opérationnel vue qu’on est dans la réserve. Alors je pointe mon nez et *snif snif*. Houlà ça sent le gâteau, j’me dirige vers la sortie et j’me fais tirer les oreilles par le vieux. AIE AIE AIE

                            -Reste ici, vous avez assez de problème pour le moment alors resté planqué.

                            -J’veux du gâteau !!

                            -T’aura rien si tu restes pas tranquille. Si tu te calmes pas j’appelle la marine pigée !


                            Je boude et me mets dans un coin. Méchant le papy. Puis Zorette s’amène avec sa boisson alcoolisée. Il me dit qu’on va solidifier nos liens. Ils sont pas assez solides les liens qu’il a ? Il en veut d’autres ?

                            -On a déjà échangé l’alcool pendant notre combat t’as oublié ? Bon tu veux qu’on recommence. Boaf, m’en fou. En tout cas tien ma gourde et bois pas trop, c’est moi qu’a couru c’est moi qui dois le plus boire.

                            J’me pose sur un tonneau tranquillement, lui me donne un verre que lui a apporté le vieux et moi j’lui file ma gourde.

                            -KANBEI ! ça veut dire santé. Enfin je crois … On s’en fou YO HO HO HO

                            J’me mets à chanter et le vieux me dit de faire moins de bruits mais bon le lieu est assez bien insonorisé.

                            Spoiler:
                              Pendant que le calme revient dans cette salle où nous avons été accueilli par ce brave vieil homme, je regarde Gold Roger et je frémis, je tremble dans l'intention de lui révéler mes doutes et mes rêves les plus secrets.

                              - Hoy Roger !

                              Quand mes jours seront comptés, lorsque je serai en danger, j'aimerai me souvenir de ce moment, de ces paroles qui sont je le pense d'une importance capitale à mes yeux, c'est alors que je bois d'une traite le fond de mon verre avant de me racler la gorge, je tousse, m'essuie les lèvres et lance un vieux regard de gars déterminé à mon frère.

                              - J'ai toujours vécu mon aventure seule, mais je ne le veux plus ! Le jour viendra où je formerai mon équipage... Oui, tu m'as bien entendu, j'aurai des nakama's ! Et je ferai tout pour les amener le plus loin dans des aventures plus folles les unes après les autres, je les aiderai à réaliser leurs rêves.

                              Je regarde mon verre vide et le rempli à nouveau pour re-boire le tout d'une traite, cul-sec !

                              - Héhé ! Mais je sais qu'un jour, je vais finir bas, très bas... Tellement que j'en aurai oublié mes propres compagnons. A ce moment là, je repenserai à notre fraternité

                              Je me mets à rire sans aucune raison apparente


                              P.S. Moi aussi, j'en veux bien de ce gâteau finalement !

                              C'est une histoire qui se finit sans chute, qui sait, nous allons peut-être nous revoir un jour sur Grand Line... Quand ? Un jour...