Par chance, il avait croisé un navire allié dans les parages et avais reçue les renseignements sur les lieux, sinon seul dieu sais vers quel coin perdu du monde il aurait atterri ! > Là, le verbe « avoir reçu » quel est son sujet ? qui est-ce qui a reçu les renseignements ? C’est « il » donc c’est avait avec un t. J’avais, tu avais, il avait… Pour ce qui est de « reçue » il ne s’accorde pas avec avoir donc il n’y a pas de « -e » et quand bien même il aurait pu s’accorder, « il » est masculin donc c’est reçu dans tous les cas. Pareil pour « dieu sais », le sujet est dieu et tu le remplacerais par quel pronom ? Je ? Non. Tu ? Non. Il ? Oui, il. Donc c’est « sait ».
Sa et il faux avouer que le pauvre était fraichement sécher due au magnifique soleil[…] > Sa ? Non. Après « sa » il y a toujours un nom. Par exemple : sa chemise, sa peinture, sa femme. Du coup, ce sera forcément l’autre donc « ça ». « faux » c’est un nom, le truc qu’à la faucheuse ou les fermiers. Toi tu parlais du verbe « falloir » donc c’est « il faut ». Pour l’histoire, le verbe falloir au présent n’a qu’un seul pronom qui est « il ». Après j’ai mis fraichement en vert parce qu’être fraichement sec… Je suis pas sûr que ça existe. Bref. Alors là, c’est pas « sécher » mais « séché ». Pour ne pas confondre les deux terminaisons tu remplaces par un verbe du 3ème groupe, exemple « Prendre » : pris = -é, -ée, -és, -ées (oui n’oublie pas les accords quand y en à faire !) et prendre = -er. Dans ta phrase ça ferait : « le pauvre était fraichement pris » qui est grammaticalement correcte alors que « le pauvre était fraichement prendre » ne l’est pas. Donc c’est bien « séché ». « Due », je l’ai mis en vert car ça n’a pas grand sens. Alors que « à cause du » irait bien mieux !
Son attention s’était dirigée vers deux jeunes papillons qui copulais […] qui s’était installée dans se jeune blondinet. > Ce sont deux papillons ils sont donc plusieurs alors par quel pronom tu les remplaces ? Tu ? Non. Il ? On pourrait mais ça ne désigne qu’une personne alors c’est « ils » ! Le verbe copuler doit donc se conjuguer à la troisième personne du pluriel, ils copulaient les autres étant : je copulais, tu copulais, il copulait, nous copulions, vous copuliez, ils copulaient ! Qui est-ce qui copule ? Ce sont les deux papillons donc « ils » alors c’est « deux jeunes papillons qui copulaient ». Ensuite « se » n’est à pas confondre avec « ce ». Pour les différencier, c’est simple. « se » se place devant un verbe. Regarde ma phrase, « place » est un verbe donc je n’ai pas mis « ce place ». Et « ce » se place devant tout sauf un verbe. Donc tu dis plutôt « ce jeune blondinet ».
D’instinct, il tira sa lame, un vieux katana tout rouiller qu’il avait reçue[…] > Alors, là. C’est comme je t’ai dit plus tôt pour « sêcher » : un vieux katana tout prendre, ça ne marche pas donc pas de terminaison en –er alors qu’un vieux katana tout pris fonctionne donc terminaison en –é car c’est un katana, c’est masculin, il n’y en a pas plusieurs. Ça nous donne ? Un vieux katana tout rouillé ! Hop. Qu’il avait reçue ? Non, on met un –e quand le sujet est au féminin or là, c’est « il » le sujet, c’est donc du masculin, on ne rajoute pas de –e.
[…]l’arme disposait d’un fourreau protecteur se qui faciliterais son transport, les armes à feu elle, était toute bousillé avec se mauvais temps passé […] > Là, tu vois que « qui » n’est pas un verbe donc on ne peut pas mettre « se » alors on met « ce ». Qu’est-ce qui faciliterait le transport ? C’est un « fourreau protecteur » qu’on peut remplacer par « il » donc « faciliterais » est faux. Regarde, quand tu conjugues le verbe faciliter au futur tu tombes sur : Je faciliterai, tu faciliterais, il faciliterait, nous faciliterons, vous faciliterez, ils faciliteraient… On a dit plus tôt qu’on remplace « un fourreau protecteur » par « il » du coup comment tu écris ton verbe là ? Il faciliterait. Voilà. Les armes à feu, elles sont plusieurs ? Or quand tu dis « elle » tu parles que d’une seule p ! Alors quand tu veux en fait parler de plusieurs armes à feu, tu rajoutes un –s à elle ce qui fait : les armes à feu, elles, … était toute bousillé ? Tu parles des armes à feu ? Reprend ton verbe être au passé, on a dit que c’était « elles » qui en fait, dans un tableau de conjugaison se conjugue pareil que « ils » alors c’est quoi ? Il/Elle était ? Non. Tu parles d’un seul truc là, t’en veux plusieurs. Ils/Elles étaient alors ! Et on obtient ce qu’on cherche. Alors comme ce sont des armes à feu, « une » arme à feu, on dit et qu’elles sont plusieurs. C’est du féminin + pluriel, on accorde donc et ça fait : les armes à feu, elles, étaient toutes bousillées car je rappelle que pour les accords, c’est ça : -é pour un masculin, -és pour un masculin pluriel, -ée pour un féminin et –ées pour un féminin pluriel. Là on touche bien le féminin pluriel, vu qu’il y a plusieurs armes à feu ! On a encore du « se mauvais temps », non mais tu le sais vu que je l’ai dit plusieurs fois. « se » se place devant un verbe et mauvais n’en étant pas un, on met « ce » qui nous donne « ce mauvais temps ».
[…]tant bien que mal vers le navire ou il trouva une série de corde nouée […] > La différence entre le « ou » et le « où », le « ou » c’est souvent en rapport avec un choix par ex : il était parisien ou marseillais, tu veux du ketchup ou de la mayonnaise ? etc... Alors que le où renvoie à un lieu : tu es la princesse du royaume où je me repose. Le « où » renvoie au « royaume ». Dans ta phrase, tu ne parles pas de choix mais bien d’un lieu qui est le navire. Alors tu mets « où » car il renvoie au navire.
Peut-être était-il à moitié ninja, où qu’il bougeait[…] > Comme juste en haut. Un bon exemple, mieux que les miens. Là, rien ne renvoie à un lieu donc tu choisis « ou » automatiquement.
Je viens d’arrivé et je me fais plein de nouveaux amis c’est vraiment super cette ile ! > Là, tu remplaces arrivé par un verbe du troisième groupe, prendre disons, ça fait : Je viens de prendre. Prendre = er donc c’est « arriver » et pas « arrivé ». Ensuite rien de bien méchant, juste qu’on écrit île avec un accent !
[…]se jeu de mots n’était pas voulu pour faire rire qui que ce soit c’était bien se que lui avais appris les gars de la caserne non ? > Si tu as bien lu ce que j’ai dit plus haut, tu sais que comme jeu n’est pas un verbe, on met « ce » ! Sinon, j’ai mis du vert car la phrase est un peu bizarre. Tu aurais pu simplement dire : ce jeu de mots n’était pas destiné à faire rire. Ensuite deuxième « se », « que » n’est pas un verbe donc tu mets « ce ». Hop. Lui est un pronom, c’est aussi la troisième du singulier, c’est comme « il » alors tu conjugues le verbe avoir à l’imparfait ça te fait : J’avais, tu avais, il avait, nous avions, vous aviez, ils avaient… Tu prends la troisième du singulier et bam, tu choisis « avait ».
Mais seule smiley en connaissais l’emplacement de cette case D 7 imaginaires, au grand malheur d’un pirate malhabile qui trébuchât sous la glissade et le roulé-boulé du marine. > Seule ? Non. Smiley est un homme donc c’est « Seule » sachant que : seul c’est masculin, seuls c’est masculin+pluriel, seule c’est féminin et seules c’est féminin+pluriel. C’est Smiley qui en connait l’emplacement donc c’est « il » alors c’est « connaissait » et pas « connaissais ». Il n’y a qu’une case D7 donc « imaginaires » ne doit pas être au pluriel, c’est « imaginaire ». Trébuchât c’est un nom, je crois… Nous on veut le verbe trébucher à la troisième personne du singulier au passé simple et c’est « trébucha » : Je trébuchai, tu trébuchas, il trébucha… Sinon j’ai mis en vert parce que la phrase est bizarre. Le « en » est inutile : Mais Smiley connaissait l’emplacement de cette case D7 imaginaire.
[…]le roulé-boulé avait mainte fois fait ses preuves ! > On dit « maintes fois » parce que c’est plusieurs fois, et ça, tu le sauras toute ta vie ! Enfin, j’espère.
Enfin, le moussaillon était un nouveau fin prêt à recommencer l’entrainement, quand il reconnut la situation > Phrase un peu étrange. Le « Enfin » est inutile, en fait.
Une impasse d’Okama… Oh putain, sais gars était donc sérieux… faire un coup foireux comme ça, dès la première pratique non de dieu ! > Dans l’impasse, il y a plusieurs Okamas, donc un –s. « sais » du verbe « savoir » alors que toi tu voulais plutôt désigner les personnes donc c’est « ces ». Et pour l’expression c’est : Nom de Dieu ! Hop.
Et merde ]pensât-il… La reine s’était fait entourer de pion et là, le roi adverse était tout près de la dévorer ! > pensât… Non. On veut du verbe penser au passé simple et à la troisième personne du singulier donc « pensa » et ça fait « pensa-t-il »
Quelque accrochage, puis enfin la tentative d’évasion s’avéra une réussite > Ce sont plusieurs accrochages donc quelque prend un –s et accrochage aussi : Quelques accrochages. J’ai mis en vert parce que c’est étrange encore une fois, tu voulais peut-être dire « s’avéra être une réussite. » ?
[…]il avait en chemin croisé le fer avec les plus téméraires, éviter quelques mains baladeuses d’Okama certifié et éviter la bouche d’un pistolet[…] > Tu énumères une action, « il avait […] croisé », « il avait évit… » on remplace par le verbe prendre « il avait prendre » ne se dit pas donc ça se termine par –é : évité. Ce sont les mains baladeuses de plusieurs Okamas donc ce sont des OkamaS certifiéS.
Ce qui était un exploit en soie. > On dit « en-soi », il n’y aura jamais de « e ».
Il était vrai que quelques coupures ornaient désormais ses avant-bras, mais Smiley en avais vue d’autre ! > C’est Smiley le sujet, c’est donc « il » (Rappel : J’avais, tu avais, il avait) donc c’est un –t ! On n’accorde pas le verbe « voir » donc ça fait « vu » et je suppose que tu parles de plusieurs choses que tu vois ? Donc tu dis « d’autres » : Mais Smiley en avait vu d’autres !
Se salopard avais gardé un As dans sa botte, […] les pauvres orteils tout écraser de notre blondinet devais bien avoir viré au bleu après le choc enduré ! > Qu’est-ce qu’on a dit pour la différence se/ce ? Salopard, c’est pas un verbe donc c’est « ce salopard », de plus, on peut le remplacer par « il » donc c’est « avait ». Hop. Les pauvres orteils tout pris… ou tout prendre ? Non, pris. Alors on accorde, ce sont des orteils, y en a plusieurs : écrasés. Notre blondinet c’est « il » alors « devais » c’est « devait » !
[…]sous le regard méduser […] > Un regard prendre, fonctionne ou non ? Non. Le regard médusé.
Olive mal vinaigrée en pris toute une aussi, sauf qu’il fini ça valse à l’intérieur[…] > Olive mal vinaigré, pourquoi un e ? Tu le remplaces par « il » en suite, il en pri…t ? (Je pris, tu pris, il prit). Sauf qu’il fini…t donc ! La valse lui appartient, c’est la sienne donc c’est « sa ». ça ? Quand tu dis ça, tu parles de quelque chose. « ça fait du bien » cette chose fait du bien, tu vois ? « c’est cool ça », c’est cool cette chose. En fait si tu peux remplacer ça par cette chose, c’est bon. Là, tu vois bien que « cette chose valse » (valse est un nom dans ta phrase et pas un verbe), c’est faux.
Libéré des cordes, c’est un regard noir suivi d’un immense sourire glacial qu’il balança au pirate ou en direction de la meute. > Libéré, tu le remplaces par Prendre, magie, ça fonctionne. Mieux que « Pris des cordes ». « Prendre des cordes » alors la terminaison de « Libéré » c’est –er.
plusieurs se sentirent même offusquer […] > plusieurs se sentirent même prendre ? Non ça fonctionne pas donc automatiquement c’est –é et comme ils sont plusieurs, c’est –és. Plusieurs se sentirent même offusqués…
C’est a se moment […] > Oui, non. On l’a fait plusieurs fois, regarde en haut et hop, tu sais que c’est « se » parce que moment n’est pas un verbe.
Et s’il penchait sur le côté ou pire, tombais à la renverse ! > Il faut que tu te mettes dans la tête et ça pourrait t’aider, que la terminaison –ais, ça concerne que le « je » et le « tu », là tu parles d’Oliver donc c’est « il » et sa terminaison c’est « ait ». Hop, tombait.
Rajouta-t-il d’un air de killer aux yeux injecter de vieilles larmes. > Aux yeux pris, c’est plus cool qu’aux yeux prendre. C’est du –é, déjà, maintenant t’as plus qu’à accorder vu qu’ils sont plusieurs, c’est –és.
Smiley savais qu’il pouvait éviter l’attaque, mais le fait qu’il aille passé pour un vrai idiot et qu’il n’aie pas encore pu démontrer ses talents > Smiley c’est « il », hein ? C’est ni « tu » ni « je ». Tu parles de toi à la troisième personne donc c’est « savait ». Hop, après deux tentatives de subjonctifs, elles sont fausses alors je te donne la bonne. « qu’il ait » c’est la seule et unique qui existe. C’est qu’il ait. Pour les autres, si tu veux, c’est : que j’aie, que tu aies, qu’il ait, que nous ayons, que vous ayez, qu’ils aient.
Aller gros minet > c’est « Allez » et ça le sera toujours. Retiens le, hop ! Retiens le tu peux le faire, héhé. Langouste.
ce malgré ses origines militaire […] > Plusieurs origines, il faut accorder jusqu’au bout, c’est « ses origines militaires », et voilà !
C’était donc ça la force de ses gens surhumaine… > Ces gens ne t’appartiennent pas donc c’est « ces », ses, sa, son c’est quand quelque chose appartient au sujet, là, non. Ensuite, ces gens surhumaines ? Non, tu voulais sûrement dire surhumain mais alors comme ils sont plusieurs, faut mettre un –s à surhumains. Voilà. Ces gens surhumains…
Oui il était au courant de cette technique celle-là et une autre appeler le pied de lune ou un truc dans le même genre. > Un peu étrange, cette phrase. Plutôt « il était au courant de l’existence de cette technique », non ? Ensuite, pareil pour « appeler », pour la suite va falloir que t’aies le réflexe de le remplacer par le verbe du troisième groupe de ton choix. Et là tu tombes sur du « pris » et pas du prendre donc hop, ça fait « appelé ».
- Avant de nous précipiter, j’aimerais bien […] se gars aurais pue nous tuer et le gouvernement n’en aurait pas tenue compte pour le bien de sa mission… > Ici, tu utilises du conditionnel alors qu’on veut du futur simple. La différence entre les deux, c’est qu’au futur simple la première personne du singulier ne prend pas de –s alors c’est « j’aimerai ». « gars » n’est pas un verbe = ce. Ce gars, c’est il. On est d’acc ? Alors c’est « aurait » et pourquoi tu mets un –e à pu ? Il n’y en a pas. Ce gars aurait pu. Voilà, hop. Toujours le même problème pour tenu, il n’y a pas de e.
Oliver céda à se qui aux yeux de Smile s’approchais le plus d’une crise de panique intense. > « qui » n’est pas un verbe = ce et ce renvoie à une crise de panique intense qu’on peut remplacer par « elle ». Elle s’approchai…t. T. Pas « s ». « s » c’est Je et Tu.
les pirates de l’extérieur croiraient à une victoire assurer de leur capitaine […] cet homme qui désormais ]avais ruiner leur volonté d’engager le combat. > On va changer de verbe de troisième groupe pour que tu comprennes bien. Au lieu de « prendre » je vais utiliser « vendre ». Hop. Victoire vendre ou victoire vendue ? Victoire vendue = -ée. Donc, victoire assurée. Cet homme…avais ? Non. Cet homme c’est il, c’est avait. Ensuite tu accordes le participe passé voyons ! avait ruiné.
Prend ce den den mushi et appel tes supérieurs > A l’impératif, c’est « prends » et « appelle ». Appel c’est un nom, pas confondre.
Sa et de voyager pour des missions, encore très secrètes, etc. > « et » après ça appartient à personne donc c’est forcément « ça ».
Olive détremper avait raison > détrempé ?
mais les voir en plain combat > en plein, hé.
faire se que le monde a besoin > que n’est pas un verbe = ce.
car s’il avait réussit à pousser un homme, voir deux, divers objet aurais surement suivie dans la foulé ! >
Tien prend se bocal a poisson > Deux impératifs, hé. Tien c’est surtout avec « le » avant. Là c’est le verbe tenir à l’impératif donc c’est Tiens. Prend, c’est aussi à l’impératif donc avec un –s aussi. Tiens, prends. Ensuite pareil, bocal n’est pas un verbe = ce avant. Puis optionnellement tu peux mettre un accent à a. Quand tu dis « a » la phrase est correcte quand tu le remplaces par « avait ». Exemple : Il a des cheveux. On remplace par avait = Il avait des cheveux. Ça fonctionne donc. Avec à, ça ne fonctionne pas. Exemple : Un bocal à poisson =/= Un bocal avait poisson. Non. Donc c’est bien un « à ».
Quant à lui, un demi-tonneau trancher […] enfin c’est se qui sembla a Smiley quand il le vit lui faire un clin d’œil, ça ou ce type avait des tournants d’Okama… > Un demi-tonneau VENDU/PRIS = tranché. Qui n’est pas un verbe = ce avant. Hey, c’est plus court comme ça. Dis moi si tu suis, p’tit bonhomme.
Bah ouais, il a dit qu’on fessait partie de la mission donc on est important ! On est donc devenue des agents ultra-secrets mec, on a la classe ! > fessait, ça existe mais ça vient du verbe fesser… J’pense pas que tu voulais dire ça sauf si… WAIT. Donc, verbe faire, c’est plutôt « faisait » et ouais le français c’est bizarre ! héhé. On est devenu, aussi.
s’il part sans nous et qu’on sait fait rouler je vais envoyer la cavalerie… Compris ? > Ah non. On s’est fait rouler, plutôt. Réfléchis, « sait » c’est savoir.
- Mission accepter commandant Queen ! > Mission PRISE/VENDUE = acceptée.
Queen se laissa tomber a l’eau […] se jusqu'à ne plus être apparent aux yeux du blondinet. > Pareil que pour plus haut, tu peux pas dire « tomber avait l’eau » donc automatiquement c’est « à ». Jusqu’à est pas un verbe = ce avant. Hop.
c’est à se moment > moment n’est pas un verbe = ce devant.
à l’intérieur se déroulais un vrai massacre qui lui tira un mince crie de terreur ! > se déroulait, ni de je, ni de tu. Et c’est pas un truc au pluriel donc c’est il, ho.
il avais entasser les résidus graisseux […] Quelle gâchis, mais avec tout ça, le crie attira l’attention du boucher du dimanche qui après son meurtre, décida de s’approcher de la fenêtre. > Ah non, là il est bien visible le « il » alors c’est évidemment avait. (Rappel : J’avais, tu avais, il avait). Ensuite v’là, participe passé d’entasser ? Il avait entassé. Un gâchis, on dit un gâchis, c’est masculin alors « Quel » pas « Quelle » ! Et c’est « un cri » jamais de –e.
Smile ne pouvais pas se faire griller > Smile, IL ne pouvaiT pas se faire griller. (Rappel : Je pouvais, tu pouvais, il pouvait).
Puis, le gros gras s’accota de tout ça pense sur le rebord effriter de la fenêtre, écrasant par la même occasion les doigts du pauvre marine. > rebord VENDU/PRIS = effrité. Hop.
tantôt on a sacrifier une offrande de graisse et maintenant je viens d’escalader le navire un peu plus loin, tu n’imagines même pas ! > on a VENDU/PRIS > sacrifié. Rehop.
ne demander pas comment il a perdu le deuxième, ça serait trop stupide d’avouer qu’il la enlever lui même > Ne demandez pas ! C’est de l’impératif, tu donnes un ordre tu ne mets absolument pas le verbe à l’infinitif. Pour la différence la/l’a. Mets la phrase au passé, si tu peux, c’est que c’est l’a. Ex : D’avouer qu’il l’avait enlevé lui-même. Si tu peux le faire c’est que ce n’est pas la. Et dans ce cas, tu accordes le participe « enlever », hoy. Ça fait « il l’a enlevé ».
De la figure de prou, le mousse attendit l’obscurité la plus sombre afin de favoriser son intrusion au sein du navire, il se devait bien évidemment de ne pas rester a l’extérieur et l’air commençais à refroidir par ici. > Une proue, on dit. Retiens le et l’air = il, non ? Je commençais, tu commençais, il commençait donc c’est « l’air commençait » et v’là.
Avec tous les conseils que j’ai donné, essaie de te corriger tout seul sur la fin, je donne quelques indications sur les mots soulignés.
Une fois le voile de la nuit tirée, Smile grimpa à bord, puis se faufila entre les cordage, tonneau et divers objet qui trainait par si par la, comme il le pensait, certain avec un peu abuser sur la supposée victoire de leur capitaine, mais ça lui faciliterait la vie de savoir que certain s’était souler à mort. Son expédition fut sans inconvénient, il esquiva avec merveille deux patrouilles de garde et écouta quelques conversations, à leur dire, le souper de se soir manquais de goût, […] Mais la mission passais avant tout […] > tirée : le voile, c’est masculin.
Par si par la : on dit par ci par là.
Certain : ils sont plusieurs ?
Avec un peu abuser : hm ? Relis toi.
Certain s’était souler : ils sont plusieurs non ? N’oublie pas d’accorder.
Inconvénient : sans qu’il n’y en aucun donc sans qu’il y en ait plusieurs alors ?
Deux patrouilles de garde : ils sont plusieurs aussi ?
Se soir manquais : longtemps qu’on en parle de ça… soir est pas un verbe et on peut le remplacer par « il ».
dans le placard a chaussette d’un des gars, […] Il sortie et se faufila entre les corps endormis des pirates, puis ne pue résister à la tentation quand il trouva cette jolie merveille.
Devant lui, sur une petite table basse, divers parchemins et une plume à encre reposaient en attendant d’être utiliser, […] la sale en griffonnant sur chaque visage, moustache, dent de lapin et bandeau de pirate. Ça lui pris toute la concentration du monde […].
D’être utiliser : accord…
La sale : sale, c’est quand quelque chose n’est pas propre, c’est pas ce que tu veux dire…
Visage, moustache, dent de lapin et bandeau de pirate : plusieurs.
Ça lui pris : tu remplaces ça par « cette chose » que tu remplaces par « elle » alors là tu conjugues bien.
Smile pue donc se remplir le ventre > Je pus, tu pus, il put ?
Une fois arriver sur le plus haut des mâts, […], le malsain et faux pirate s’était bien cacher, car il ne l’avait pas revue, nulle part… >
-Hey salut olive ! S’est moi, tu sais, dent blanche ! J’suis toujours dans mon hôtel comme on avait dit, à toi pingouin ! > s’est se place toujours devant un verbe conjugué, héhé.