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[Quête] Zao défend les faibles !

Quelque temps après que j'étais devenu chasseur de prime, dans l'après-midi je décidai de visiter peu la ville. Je vis alors Abyss and Co un cabinet d'avocat, un peu plus loin j'aperçus Le Red Carpet un casino mal fréquenté. Je changeai de rue en m'enfonçant dans cette grande ville et j'aperçus une bibliothèque Le centre d'archives Trovahechnik. En continuant ma petite avancée soudain quelqu'un sortant d'une petite ruelle me rentra dedans, cette même personne était poursuivit par cinq personnes celle-ci n'avaient pas très commodes d'ailleurs. Bien sûr par réflexe je rattrapa et arrêta la personne qui me rentra dedans, mais cela fit tomber mon hallebarde vu que je l'avais arrêté avec les deux mains. J'entendis de la part des cinq personne:
- Ahah ! Merci de l'avoir arrêté pour nous !

D'un coup la personne que j'avais arrêté me supplia:
- S'il te plaît ne les laisses pas m'emmener !!

Sur le coup je ne compris pas tout, mais je poussas sans être trop brusque Shun sur le côté sans trop savoir ce que je devais faire. Soudain l'un me cria dessus:
- Que fais-tu ? Tu vas tout de même pas nous affronter grand homme !?

Je rigola un peu sur le coup avec mon rire particulier et j'acquiesçais:
- Shalala ! Je défendrais toujours Shun qui est mon ami !

Le même des cinq me répondit:
- Alors, mort !

D'un coup les cinq hommes commencèrent à se disperser de tout les côtés, je me hâtais à reprendre mon hallebarde au sol, mais d'un coup un d'entre eux était déjà devant moi à vouloir me donner un coup de sabre qu'il sortit mais je paras en sortant avec une vitesse surprenante ma grande épée. Alors que j'étais occupé avec un, deux essayèrent de m'attaqués par-derrière et les derniers attrapèrent la personne qui me rentra dedans tantôt. Je me décalais sur le côté pour éviter les coups de ceux qui voulurent m'attaquer par derrière, puis j'en blessas un au niveau du dos. Ce dernier s'agenouilla au sol et cria un peu à cause de la douleur de cette blessure. L'autre en voulant me blesser dans le dos vu qu'il avait commencé à donner son coup il toucha son ami à l'épaule. Je me retrouvais donc fasse à deux adversaires maintenant, un blessé à l'épaule et l'autre encore en pleine forme. Avec ma grande force comparer à ses petits hommes en donnant un coup d'épée qu'essaya de parer mon adversaire en pleine forme ne put vraiment parer vu qu'il lâcha son épée sous la force de mon coup. J'enleva ma main gauche du manche de l'épée et profita pour donner en même temps un coup de poing dans le ventre de son adversaire touché ce qui le plia en deux. Alors que j'assomma mon ennemi désarmé d'un coup du manche de mon épée dans la tête, un des deux qui avait attrapés la personne qui m'implora me cria:
- Hey ! On a un otage, alors arrête toi !

Je me retourna vers eux et je profita d'avoir tout mes adversaires hors combat pour ramasser mon hallebarde et je m'appuya donc sur elle comme à mon habitude en disant:
- De toute façon vous êtes des lâches ! Venez vous battre comme des hommes au lieu de vous cachez derrière lui misérable vermine !

Un se sentant insulté par mes propos me fonça dessus avec son katana en main, malencontreusement je ne l'avais pas vu tout de suite, celui-ci me blessa dans la jambe. Je me retenus pour ne pas laisser un cri de douleur de ma part s'échapper de ma bouche. J'enchaîna donc mon adversaire qui étais en train de retirer son katana avec un coup de poing qui le fit saigner du nez. Lui il riposta alors assez vite en voulant me donner un coup de katana au niveau du torse, mais avec le long manche de mon hallebarde je le contra. Le repoussa et je lui administra un coup du manche de mon hallebarde dans le cou ce qui le fit s'agenouiller non seulement de douleur, mais aussi sa respiration fut couper un peu. J'en profita pour le pousser avec mon pied ce qui le coucha au sol. Je mis le bout du manche de mon hallebarde sur son dos et dis:
- J'ai un otage aussi ! Relâche le et je relâche ton ami !

L'homme relâcha tout de suite du coup Shun et recula, je releva celui que j'avais couché au sol et le poussa vers l'avant. Je dis à l'inconnu:
- Viens.

Les derniers adversaires me dirent alors:
- Compte sur nous pour t'envoyer quelqu'un de plus haut !

Je leur tourna le dos et continuais ma route avec Shun en lui demandant:
- Tu as foutu quoi ?!

Shun me répondit:
- Merci de m'avoir sauvé ! Je dois un peu de berrys à leur boss, Marso, c'est un vrai fou, maintenant qu'ils vont lui dire il va nous traquer et risque de nous tuer tout le deux !

J'acquiesça avec un sourire:
- Alors je le vaincrais.

Shun rétorqua:
- Mais il a une prime de 5 millions de berrys !

Voyant que je ne me souciais pas plus de ce dernier il continua:
- Puis.... si tu le dis alors tu es puissant ! Je peux restez avec toi le temps jusqu'à que tu le vaincs ?

Je répondis en rigolant:
- Shalala ! Oui bien sûr mais après je voudrais continuer mon chemin seul. Tu m'apporte un peu trop d'ennui je trouve.

Shun se mit à sourire.

On continuais notre chemin jusqu'au moment où nous vîmes les deux zigotos de toute à l'heure dire à quelqu'un caché dans la ruelle:
- C'est eux chef !

Je regarda alors dans la ruelle pour voir à ce que ressemblais ce fameux Marso.

Vous voulez savoir comment je me suis enfourné dans ce bordel ? Ma rencontre avec Shun ? Je l'ai connu le matin même !

* Flash-back*

Alors que l'on m'accepta comme chasseur de prime, je regardais l'usine de vêtement Al'Aklass qui est selon les rumeurs l'usine de la plus célèbre marque de fringues d'East Blue. J'étais intrigué par ce qu'il pouvait faire car je ne savais pas à quoi ressemblais ces vêtements. Soudain j'entendis des cris venant d'une ruelle:
- S'il vous plait arrêtez ! Aïe !!!

Je m'hâtais alors voir ce qui se passais, je vis une foule qui regardait deux personnes frappé sur un pauvre homme, je m'avançais et demandais à une personne:
- Personne ne réagis ? Vous ne l'aidez pas ?

Le civil lança un rire narquois et me lança:
- Personne irait aidé cet ex-Trafiquant qui doit de l'argent à tout le monde.

Je restais silencieux, l'homme frappé me voyant armés me supplia en criant:
- Vous ! S'il vous aïe ! plaît, aidez moi ! Aïe !

Me sentant gêné je ne savais pas quoi faire, soudain mon bras partit tous seul, je courus sur un des deux hommes puis d'un coup celui sur qui j'avais foncé tomba au sol, il était assommé. Le second arrêta de frapper l'homme, stupéfait il tomba sur son fessier et me dit terrifié:
- Qui... qui es-tu ?!

Je me mis à sourire et rétorqua:
- Je suis Zao Cao, chasseur de prime.

L'homme partit en courant, l'inconnu se releva avec difficulté et me dit:
- Merci... de m'avoir sauvé ! Je suis Gaop Shun !

Je répondis:
- Enchanté. Bon je dois vous laisser.

Je commençais à m'en aller mais il commença à me suivre en me disant:
- Attendez ! Je dois vous remerciez comme il se doit ! Venez avec moi je dois vous offrir un verre de saké !

J'hésitais mais je finis par accepter, il m'emmena dans un bar où il y avait des fréquentations à éviter, il commanda deux saké et me dit:
- Alors comme ça vous êtes chasseur de prime ? Si vous voulez je peux vous dire tout les criminel ici !

Je lâcha un rire puis lui lança:
- Je ne prévois pas de rester ici très longtemps alors je ne vois pas la peine de me dire ceci. Oui je suis chasseur de prime, mais je dois m'en aller.

Il lâcha un soupir et me répondit:
- Déjà ?! Bon d'accord, de mon côté je vais essayé de régler mes problèmes... .

Je lui tapota l'épaule amicalement et m'en alla. J'allais alors commencé à me promené dans la ville.

*Fin Flash-Back*
  • https://www.onepiece-requiem.net/t7929-zao-cao-le-brave-en-attente-du-test-rp#97814
L'homme qui sortit des ombres de la ruelle paraissait de prime abord absolument banal. Lui, primé à 5 millions ? Tu aurais pu rire, si soudainement, une aura menaçante ne s'était pas imposée à toi, ruisselant de l'inconnu qui te dévisageait. Une impression de force brute, à peine maîtrisée, prête à éclater à tout moment, t'assaillit. Les pieds écartés, bien plantés sur le sol, stable et pourtant la main posée sur la garde d'un sabre de sorte qu'il pouvait dégainer à tout instant, il examinait tes blessures d'un air blasé, détaché. Toi, tu avais du mal à respirer.
- « Ainsi, c'est toi qui défends ce misérable criminel ? Il paraît que tu es fort, chasseur de prime. Mais tu perds ton temps avec lui. Il ne te rapportera aucune prime, mais que des inconvénients. Alors, laisse-le ici, et pars. Ne te mêle pas de nos affaires, ce type n'est pas une victime, mais bel et bien un petit truand qui doit pas mal d'argent à pas mal de gens. Va donc défendre les braves citoyens. Tu ne vas pas te mettre en danger pour un petit truand de bas étage que tu as rencontré ce matin, hum? »
    Je m'appuyais sur mon hallebarde pour me reposer un peu des blessures que j'avais subit, puis je me tirais un peu la barbe ce qui montrais que réfléchissais pendant quelques secondes en jetant de brèves coup d'oeil vers Marso et Shun puis je finis par dire:
    Hmm... je n'aime pas les personnes lâches, tu en fais parti vu que tu envoie plusieurs de tes larbins qui sont de la petites racailles aussi contre ce pauvres hommes qui se reconvertit dans le civil en voulant repartir de 0.

    Je me redressais et fixais Marso dans les yeux.
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    Marso se contenta d'avoir une sorte de reniflement grondé, pour prouver tout le dédain qu'il avait pour cette attitude digne d'une mauvaise série B pour ado boutonneux. Tu voulais risquer ta vie pour sauver un mécréant avec qui tu n'avais passé que deux heures? Pas de problème, Marso n'avait aucun état d'âme sur ce point.

    Le trio travaillait souvent ensemble, et les deux hommes de main n'eurent besoin que d'un tout petit mouvement de menton pour dégainer leur sabre et attaquer Shun - puisque c'était lui après lequel la bande en avait - tandis que Marso se chargeait de toi, en direct face à face.

    Ton attitude était détachée, et tu n'étais pas prêt, alors que Marso avait la main sur sa poignée. Un mouvement de pied, un pivot et zaaaaap, tu te prends un coup en travers du torse. Derrière toi, Shun glapit, car en mauvaise posture. Mais tu l'es tout autant, car Marso presse son avantage. C'est un très bon sabreur, tu peux le sentir, et ses attaques sont précises. Tu es mal, très mal.